Michelle et Clotilde
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2011 dans la catégorie Plus on est
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Michelle et Clotilde
La clinique vétérinaire n’est pas un endroit parfait pour draguer. Je suis le dernier client avec mon chien, un pure race inconnue. La réceptionniste, gentiment me demande de patienter : le « chef » est pris pour un bout de temps. Je ne veux pas m'être déplacé pour rien, je vais attendre dans la voiture. Elle doit me prévenir quand l’heure de mon chien arrivera. Je suis garé à l’ombre, à l’abri d’un haut mur, personne ne peut me voir. Je suis pris d’une envie subite : je sors ma queue pour me branler. Je ferme même les yeux juste avant de jouir. C’est le moment que choisi la collaboratrice vétérinaire pour venir me parler. Je cache comme je peux ma bite. J’ouvre la vitre, elle se penche pour parler :
- Excusez moi, je ne savais pas ce que vous faisiez.
- Ce n’est pas grave.
- Moi je n’aime pas être dérangée pendant mes masturbations.
Elle aurai mieux fait de se taire, je bande plus fort, ma queue en sort de ma main. Elle passe son bras dans la voiture, prend ma pine, la branle comme il faut. Elle me lâche avant que je jouisse.
- Je reviens de suite, et elle part.
Moins d’un quart d’heure plus tard elle me demande de la suivre avec le chien. Du coup je débande complètement. Elle m’accompagne dans le cabinet, elle montre le chien. Je dois le laisser au moins la nuit.
Nous sortons ensemble, elle se dirige vers la voiture, monte à la place du mort. Sa jupe est à moitié cuisse. Quand je suis en place, elle ne demande qu’un simple baiser. Je l’embrasse, nos langues font vite connaissance. Je ne m’attendais pas à la suite : elle sort ma bite, se penche dessus pour me prendre en bouche, elle ne me suce qu’un instant. Je reste la queue en l’air.
- Démarre, nous allons dans un endroit discret.
- En ville ?
- Non pas loin de chez moi, seulement il y aura ma cousine qui aime baiser en trio.
Je suis ses indications jusqu’à me garer dans un petit chemin. Dans quel piège elle m’a entrainé, mon œil, sa cousine... Elle ouvre son sac en sort un portable et passe un coup de fil. Deux minutes plus tard arrive une voiture avec une fille à bord qui sort pour venir vers moi. Je voudrai rentrer ma bite :
- Ne fais pas ça, elle aime voir les membres et le tien est intéressant.
Quand les deux filles se retrouvent elle se font la bise, enfin disons qu’elles s’embrassent sur la bouche. La cousine fait le tour de la voiture par devant, je peux voir un sacré morceau de fille. Je comprends que ma compagne du moment aime l’embrasser. Quand elle est près de la voiture, elle regarde ma queue, m’embrasse sur la bouche :
- C’est vrai que tu es bien monté. Tu vas nous la mettre à nous deux. Tu nous feras jouir.
- Je ne sais si j’arriverai à vous baiser ensemble.
- Qui te parle d’ensemble, l’une après l’autre. Nous nous arrangeons toujours entre fille.
Je ne sais même pas comment elles s’appellent. Il faut que je les suive vers une destination inconnue. Nous y allons à pied : une simple baraque remplie de paille. Je suis entre les deux, elles en profitent pour me « lutiner » la queue toujours dehors. Nous entrons vite pressées par le désir de jouir. Elles m’abandonnent pour ne s’occuper que d’elles, elles s’embrassent avant de se déshabiller. Le spectacle est de toute beauté. Deux Vénus qui se mettent nues devant moi ne m’est jamais arrivé. Je n’y tiens plus, je suis nu en un quart de seconde. Je voudrais baiser une des deux, sinon je vais me branler devant elles. Elles viennent m’entourer, me prennent par les deux mains pour me jeter sur la paille.
Elle ne s’occupe que de moi pour le moment. J’ai droit à une bouche sur la mienne, une autre me suce. Je ne sais comment me retenir de jouir. Celle qui me suce se retire pour me donner à celle qui m’embrassait. Le changement est net, la façon n’est par la même. Quoiqu’il en soit je vais jouir quand même. Je me demande si je vais le dire, alors je jouis dans la bouche. Affolement, une a du sperme qui vient dans sa bouche alors que l’autre n’a que de la salive. Elles patientent jusqu’à ce que j’ai fini de distiller ma liqueur : elles l’échangent dans un baiser.
Je reste étendu sur la paille. Elles sont toujours nues, enlacées.
Maintenant elles se présentent:
-Clotilde, la cousine et Michelle l’aide du véto. Je me demande laquelle est la plus baisable. Clotilde est brune aux yeux marrons clairs et cheveux longs, avec une belle jeune poitrine, Michelle est châtain clair, même yeux, poitrine moins forte que celle de sa cousine. Elles forment un véritable tableau érotique du début du XVIII° siècle. Dans l’immédiat je ne les intéresse pas tellement. Elles savent fort bien s’amuser seules, pas à la poupée, à un jeu qui y ressemble sauf que les poupées sont vivantes et sensibles.
Elles se branlent à peine, juste le temps de se mettre en forme, la suite et plus érotique. Le chiffre 69 décrit très bien la position. Elles ont les têtes entre les jambes de l’autre, les langues qui lèchent le sexe. Elles tournent souvent sur elles mêmes.
Je commence à bander à nouveau. Je ne vais pas les laisser s’amuser seules. Quand un cul de présente en l’air, je ne fais pas le détail, j’entre directement, malgré les cris de douleurs . Douleur relative, puisqu’en moins de 30 secondes, les cris se transforment en gémissements de plaisir. Je suis au fond d’un cul très convenable, très habitable pour une bite. La langue qui suce le sexe de cette fille vient également sur ma queue pour s’emparer de mes couilles. Je peux aller tout au fond, je vais et viens dans cet anus. Je m’y sens à l’aise.
Je sens les crispations de son sphincter autour de ma bite. C’est bon.
Quand je sors de ce ventre qui est celui de Michelle je suis prêt pour la suite avec Clotilde. J’ai envie de faire le flémard, je me met sur le dos, la queue toujours bien bandée. J’attire des bouches, les langues se liguent sur ma pine. Ce genre de filles m’étonne de plus en plus, elles aiment sucer après une sodomie, c’est meilleur parait-il.
Je ne demande plus qu’une chose être à l’abri pour le froid virtuel qui arrive : je veux un habitat pour ma queue. Clotilde se propose, elle m’enjambe pour venir se ficher sur la queue. Quel plaisir de la sentir quand j’entre en elle. Ses mouvements cessent un instant, le temps pour Michelle de venir sur ma bouche. Là aussi quel délice de sentir son jus et son gout. Je sens qu’elles basculent vers l’autre, je me doute de ce qu’elles se font, elles s’embrassent encore.
Elles ne peuvent se passer l’une de l’autre. Heureusement que j’ai déjà joui, je tiens le coup pour toutes leurs jouissances.
Michelle après un orgasme particulièrement relevé demande à changer de place. Clotilde qui vient de jouir lui cède ma queue. Je pensais qu’elle voudrai baiser, alors qu’elle ne demande que de l’avoir dans le cul. Elle pose sa pastille sur la bite, lentement elle se laisse aller dessus.
Elle ferme les yeux, renverse sa tête en arrière et entame la danse de l’amour pour le bonheur de ma queue. Sa cousine est derrière elle, elle l’embrasse dans le cou, pendant que ses mains caressent ses seins.
Juste avant de jouir, je pousse un léger gémissement, mon foutre part dans une longue giclée dans son ventre.
Nous prenons rendez vous pour le dimanche après midi, elles promettent qu’elles ne baiserons presque pas ensemble, je fais celui qui le crois. Après tout dimanche c’est après demain.
- Excusez moi, je ne savais pas ce que vous faisiez.
- Ce n’est pas grave.
- Moi je n’aime pas être dérangée pendant mes masturbations.
Elle aurai mieux fait de se taire, je bande plus fort, ma queue en sort de ma main. Elle passe son bras dans la voiture, prend ma pine, la branle comme il faut. Elle me lâche avant que je jouisse.
- Je reviens de suite, et elle part.
Moins d’un quart d’heure plus tard elle me demande de la suivre avec le chien. Du coup je débande complètement. Elle m’accompagne dans le cabinet, elle montre le chien. Je dois le laisser au moins la nuit.
Nous sortons ensemble, elle se dirige vers la voiture, monte à la place du mort. Sa jupe est à moitié cuisse. Quand je suis en place, elle ne demande qu’un simple baiser. Je l’embrasse, nos langues font vite connaissance. Je ne m’attendais pas à la suite : elle sort ma bite, se penche dessus pour me prendre en bouche, elle ne me suce qu’un instant. Je reste la queue en l’air.
- Démarre, nous allons dans un endroit discret.
- En ville ?
- Non pas loin de chez moi, seulement il y aura ma cousine qui aime baiser en trio.
Je suis ses indications jusqu’à me garer dans un petit chemin. Dans quel piège elle m’a entrainé, mon œil, sa cousine... Elle ouvre son sac en sort un portable et passe un coup de fil. Deux minutes plus tard arrive une voiture avec une fille à bord qui sort pour venir vers moi. Je voudrai rentrer ma bite :
- Ne fais pas ça, elle aime voir les membres et le tien est intéressant.
Quand les deux filles se retrouvent elle se font la bise, enfin disons qu’elles s’embrassent sur la bouche. La cousine fait le tour de la voiture par devant, je peux voir un sacré morceau de fille. Je comprends que ma compagne du moment aime l’embrasser. Quand elle est près de la voiture, elle regarde ma queue, m’embrasse sur la bouche :
- C’est vrai que tu es bien monté. Tu vas nous la mettre à nous deux. Tu nous feras jouir.
- Je ne sais si j’arriverai à vous baiser ensemble.
- Qui te parle d’ensemble, l’une après l’autre. Nous nous arrangeons toujours entre fille.
Je ne sais même pas comment elles s’appellent. Il faut que je les suive vers une destination inconnue. Nous y allons à pied : une simple baraque remplie de paille. Je suis entre les deux, elles en profitent pour me « lutiner » la queue toujours dehors. Nous entrons vite pressées par le désir de jouir. Elles m’abandonnent pour ne s’occuper que d’elles, elles s’embrassent avant de se déshabiller. Le spectacle est de toute beauté. Deux Vénus qui se mettent nues devant moi ne m’est jamais arrivé. Je n’y tiens plus, je suis nu en un quart de seconde. Je voudrais baiser une des deux, sinon je vais me branler devant elles. Elles viennent m’entourer, me prennent par les deux mains pour me jeter sur la paille.
Elle ne s’occupe que de moi pour le moment. J’ai droit à une bouche sur la mienne, une autre me suce. Je ne sais comment me retenir de jouir. Celle qui me suce se retire pour me donner à celle qui m’embrassait. Le changement est net, la façon n’est par la même. Quoiqu’il en soit je vais jouir quand même. Je me demande si je vais le dire, alors je jouis dans la bouche. Affolement, une a du sperme qui vient dans sa bouche alors que l’autre n’a que de la salive. Elles patientent jusqu’à ce que j’ai fini de distiller ma liqueur : elles l’échangent dans un baiser.
Je reste étendu sur la paille. Elles sont toujours nues, enlacées.
Maintenant elles se présentent:
-Clotilde, la cousine et Michelle l’aide du véto. Je me demande laquelle est la plus baisable. Clotilde est brune aux yeux marrons clairs et cheveux longs, avec une belle jeune poitrine, Michelle est châtain clair, même yeux, poitrine moins forte que celle de sa cousine. Elles forment un véritable tableau érotique du début du XVIII° siècle. Dans l’immédiat je ne les intéresse pas tellement. Elles savent fort bien s’amuser seules, pas à la poupée, à un jeu qui y ressemble sauf que les poupées sont vivantes et sensibles.
Elles se branlent à peine, juste le temps de se mettre en forme, la suite et plus érotique. Le chiffre 69 décrit très bien la position. Elles ont les têtes entre les jambes de l’autre, les langues qui lèchent le sexe. Elles tournent souvent sur elles mêmes.
Je commence à bander à nouveau. Je ne vais pas les laisser s’amuser seules. Quand un cul de présente en l’air, je ne fais pas le détail, j’entre directement, malgré les cris de douleurs . Douleur relative, puisqu’en moins de 30 secondes, les cris se transforment en gémissements de plaisir. Je suis au fond d’un cul très convenable, très habitable pour une bite. La langue qui suce le sexe de cette fille vient également sur ma queue pour s’emparer de mes couilles. Je peux aller tout au fond, je vais et viens dans cet anus. Je m’y sens à l’aise.
Je sens les crispations de son sphincter autour de ma bite. C’est bon.
Quand je sors de ce ventre qui est celui de Michelle je suis prêt pour la suite avec Clotilde. J’ai envie de faire le flémard, je me met sur le dos, la queue toujours bien bandée. J’attire des bouches, les langues se liguent sur ma pine. Ce genre de filles m’étonne de plus en plus, elles aiment sucer après une sodomie, c’est meilleur parait-il.
Je ne demande plus qu’une chose être à l’abri pour le froid virtuel qui arrive : je veux un habitat pour ma queue. Clotilde se propose, elle m’enjambe pour venir se ficher sur la queue. Quel plaisir de la sentir quand j’entre en elle. Ses mouvements cessent un instant, le temps pour Michelle de venir sur ma bouche. Là aussi quel délice de sentir son jus et son gout. Je sens qu’elles basculent vers l’autre, je me doute de ce qu’elles se font, elles s’embrassent encore.
Elles ne peuvent se passer l’une de l’autre. Heureusement que j’ai déjà joui, je tiens le coup pour toutes leurs jouissances.
Michelle après un orgasme particulièrement relevé demande à changer de place. Clotilde qui vient de jouir lui cède ma queue. Je pensais qu’elle voudrai baiser, alors qu’elle ne demande que de l’avoir dans le cul. Elle pose sa pastille sur la bite, lentement elle se laisse aller dessus.
Elle ferme les yeux, renverse sa tête en arrière et entame la danse de l’amour pour le bonheur de ma queue. Sa cousine est derrière elle, elle l’embrasse dans le cou, pendant que ses mains caressent ses seins.
Juste avant de jouir, je pousse un léger gémissement, mon foutre part dans une longue giclée dans son ventre.
Nous prenons rendez vous pour le dimanche après midi, elles promettent qu’elles ne baiserons presque pas ensemble, je fais celui qui le crois. Après tout dimanche c’est après demain.
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bof d'une banalité...