Microfictions : 4- La cuisine
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Microfictions : 4- La cuisine
Cette fois, c'était décidé. Muriel ne reverrait plus David. Pas question de céder à ses avances et de se faire culbuter chez elle comme c'était souvent arrivé dans un passé encore récent. Il fallait se rendre à l'évidence : à 55 balais, Muriel était certes encore très sexy mais s'envoyer en l'air avec un jeune gars vingt ans plus jeune, marié, père de famille et peu désireux de revoir sa situation matrimoniale n'avait aucun sens. Juste un plaisir certes violent et terriblement jouissif, mais passager et sans avenir. Elle le lui avait dit, répété, mais il n'en avait tenu aucun compte et chaque fois qu'il avait sonné à sa porte, elle avait fini par lui ouvrir pour ne pas alerter les voisins. Et elle avait craqué. Mais c'était fini, bien fini.
Cela faisait deux semaines qu'elle ne l'avait plus revu. Elle en était à la fois satisfaite et, au fond d'elle-même, sans se l'avouer, un peu déçue. Elle aurait bien aimé le rembarrer. Lui rabaisser son caquet, à ce jeune coq. Bon, c'est vrai, elle se sentait un peu en manque en ce moment. Ses amants habituels se trouvaient absents, ou empêchés. Il lui fallait pourtant sa dose de sexe, se sentir désirée, être courtisée. Sa fabuleuse poitrine, toujours mise en valeur par de généreux décolletés et entretenue à grand renfort de crèmes, restait son atout majeur avec ses tenues toujours jeunes, ses cheveux mi-longs teints en blond pâle et un je ne sais quoi chez elle qui la rajeunissait. Cougar ? A un moment, sans doute, mais elle voulait désormais une liaison plus durable avec un homme de son âge. Elle y croyait toujours, malgré des échecs répétés qui lui minaient le moral... et la faisaient souvent capituler devant la fougue de David, si bien membré.
Muriel se déshabilla entièrement et revêtit son peignoir éponge pour se placer devant sa télévision, une tisane à la main. C'est alors qu'on sonna à sa porte. Qui cela pouvait-il être ? Elle regarda par l'oeilleton : David ! Elle ressentit aussitôt une boule dans son estomac. Elle ne bougea pas, ne réagit pas. Il sonna à nouveau, tapa à sa porte:- Ouvre, je sais que tu es là, ne fait pas l'idiote !
- Va-t-en, je ne veux plus te voir.
- Ouvre, je te dis, je veux juste te parler, m'excuser, allez...
Muriel hésita quelques secondes. Elle resserra son peignoir et finit par ouvrir. David fit son entrée, échevelé, surexcité, toujours aussi beau... Et s'épancha :- Excuse-moi mais je devais te parler. Je me suis engueulé avec ma femme. Elle m'a fichu dehors.
- Et pourquoi donc ?
- Pour une connerie. Je devais lui prêter la voiture et je ne l'ai pas fait à temps, si bien qu'elle a loupé un rendez-vous important.
- Ce n'est pas si grave, ça ira mieux demain. Tu veux boire quelque chose ?
- Oui, un café, s'il te plait.
Muriel gagna la cuisine et prépara la cafetière. Quand elle revint, David avait pris ses aises, ôté son manteau et pris possession du canapé.
- Tu bois ton café et tu t'en vas, hein ? lui dit-elle.
- Mais oui, t'inquiète pas. Je sais que tu ne veux plus de moi, ingrate que tu es.
- Ingrate ? Et pourquoi grands dieux ?
- Eh bé, on a passé souvent du bon temps ensemble, non ? J'adore ton corps, tu le sais. Tiens, là maintenant, de le deviner sous ton peignoir, je bande.
- Arrête, ne commence pas.
- Tu ne me crois pas ? Tiens, regarde.
Et il déboutonna son jean, libérant son pénis déjà dressé et décalotté, prêt à l'emploi. Un pénis que Muriel connaissait par coeur pour l'avoir souvent léché, sucé, tété, enfoncé jusque dans sa gorge. Elle sentit une onde de chaleur envahir son bas-ventre. Alerte ! Elle se leva brusquement du fauteuil face à lui et gagna la cuisine pour rapporter le café, pas encore tout à fait filtré. Pendant qu'elle attendait, dos à David, celui-ci s'approcha furtivement et l'enlaça, sa bite tendue contre ses fesses, ses mains soupesant ses seins lourds à travers le peignoir. Et il l'embrassa dans le cou. Le cou et les seins, c'étaient les points faibles de Muriel. Elle tenta de se dégager mais ne réussit qu'à ouvrir son peignoir où les mains de David s'engouffrèrent. Un long pelotage s'ensuivit pendant que le café coulait. Muriel ne réagissait plus. Elle laissa même une de ses mains glisser dans son dos à la recherche de la bite, qu'elle branla légèrement. Elle était en train de capituler sans condition. Encouragé, David releva le peignoir et vérifia l'humidité de la chatte, avec l'aide de Muriel qui écarta légèrement les jambes. Conforté, David lui releva une cuisse et, le pantalon aux chevilles, la pénétra tout en continuant à lui pétrir les seins. En appui sur le plan de travail de sa cuisine, Muriel répondit aux coups de bite par des rotations de hanches que David trouva merveilleusement jouissives. Il retrouvait là la femelle experte de la baise qu'il vénérait et qu'aucune femme de sa connaissance n'égalait. Elle fit glisser son peignoir qui tomba à ses pieds et elle apparut entièrement nue à son amant qui la retourna.
- Sur la table, souffla-t-elle, prends-moi sur la table. Et déshabille-toi.
David s'exécuta fébrilement, aidé par Muriel qui, désormais, ne s'appartenait plus vraiment. Elle le voulait nu devant elle, en elle. Elle voulait mater son jeune corps parfait pendant qu'il la possédait et savourer sa chance d'être baisée par un beau mec. Là, chez elle, dans sa cuisine. La hauteur de la table était parfaite. Leur sexes s'emboitèrent sans effort. Museau contre museau, buste contre buste, yeux dans les yeux, le couple copulait avec ardeur. Les reins verrouillés par les cuisses de Muriel, David la pilonnait au point que la table s'était déplacée pour se coller au mur et ainsi affirmer une pression encore plus forte de son pénis. Muriel perdait tout contrôle, bramait, feulait, stimulait, laissant même échapper ou ou deux mots grossiers qui étaient, pour David, le signal d'un orgasme imminent. De fait, elle expulsa un profond soupir assorti d'un sourire lumineux et elle lâcha :- Que c'était bon ! Mais reste là, j'ai encore envie.
Le couple se dissocia provisoirement. Muriel se remit debout, les fesses rougies par ce coït particulier, prit son peignoir et l'étala sur le sol.
- Couche-toi là, dit-elle à son amant, laisse-moi te baiser maintenant.
Obéissant, David s'allongea sur le peignoir, le bite fièrement dressée vers le plafond, entre frigo et machine à laver et dans une bonne odeur de café chaud. Accroupie, Muriel se positionna au-dessus du gland et descendit lentement, lentement, jusqu'à ce qu'elle se fût totalement empalée. Alors, elle resta immobile quelques secondes pour savourer l'instant avant de se relever et de s'abaisser, de se relever et de s'abaisser, de plus en plus vite, de plus en plus sèchement. Le comportement éminemment érotique de sa maîtresse prit David au cerveau. La danse de ses seins lourds lui mit le sperme au bord du gland. Et lorsqu'elle lança "ah je la sens bien ta queue, elle est pointue, elle est dure !" David ne put se retenir plus longtemps. Il expulsa du fond de ses reins un baquet de sperme qui dégoulina de la chatte de Muriel, laquelle prit un malin plaisir à essorer le dard en jouant avec ses muscles intimes. Vidé de sa substance, David rendit les armes et put découvrir une lueur de triomphe dans les yeux de Muriel lorsqu'elle se releva.
Plus tard, rhabillés, une tasse à la main, Muriel et David se caressaient mutuellement la cuisse, sans mot dire. Puis David décréta qu'il "devait y aller". Il embrassa Muriel sur les lèvres, lui taquina la joue et s'esquiva.
"Et voilà, se dit Muriel, il a encore eu ce qu'il voulait et comme une conne, j'ai cédé et je me retrouve toute seule. Mais il ne m'y reprendra plus. C'est sûr, cette fois, c'est terminé".
Cela faisait deux semaines qu'elle ne l'avait plus revu. Elle en était à la fois satisfaite et, au fond d'elle-même, sans se l'avouer, un peu déçue. Elle aurait bien aimé le rembarrer. Lui rabaisser son caquet, à ce jeune coq. Bon, c'est vrai, elle se sentait un peu en manque en ce moment. Ses amants habituels se trouvaient absents, ou empêchés. Il lui fallait pourtant sa dose de sexe, se sentir désirée, être courtisée. Sa fabuleuse poitrine, toujours mise en valeur par de généreux décolletés et entretenue à grand renfort de crèmes, restait son atout majeur avec ses tenues toujours jeunes, ses cheveux mi-longs teints en blond pâle et un je ne sais quoi chez elle qui la rajeunissait. Cougar ? A un moment, sans doute, mais elle voulait désormais une liaison plus durable avec un homme de son âge. Elle y croyait toujours, malgré des échecs répétés qui lui minaient le moral... et la faisaient souvent capituler devant la fougue de David, si bien membré.
Muriel se déshabilla entièrement et revêtit son peignoir éponge pour se placer devant sa télévision, une tisane à la main. C'est alors qu'on sonna à sa porte. Qui cela pouvait-il être ? Elle regarda par l'oeilleton : David ! Elle ressentit aussitôt une boule dans son estomac. Elle ne bougea pas, ne réagit pas. Il sonna à nouveau, tapa à sa porte:- Ouvre, je sais que tu es là, ne fait pas l'idiote !
- Va-t-en, je ne veux plus te voir.
- Ouvre, je te dis, je veux juste te parler, m'excuser, allez...
Muriel hésita quelques secondes. Elle resserra son peignoir et finit par ouvrir. David fit son entrée, échevelé, surexcité, toujours aussi beau... Et s'épancha :- Excuse-moi mais je devais te parler. Je me suis engueulé avec ma femme. Elle m'a fichu dehors.
- Et pourquoi donc ?
- Pour une connerie. Je devais lui prêter la voiture et je ne l'ai pas fait à temps, si bien qu'elle a loupé un rendez-vous important.
- Ce n'est pas si grave, ça ira mieux demain. Tu veux boire quelque chose ?
- Oui, un café, s'il te plait.
Muriel gagna la cuisine et prépara la cafetière. Quand elle revint, David avait pris ses aises, ôté son manteau et pris possession du canapé.
- Tu bois ton café et tu t'en vas, hein ? lui dit-elle.
- Mais oui, t'inquiète pas. Je sais que tu ne veux plus de moi, ingrate que tu es.
- Ingrate ? Et pourquoi grands dieux ?
- Eh bé, on a passé souvent du bon temps ensemble, non ? J'adore ton corps, tu le sais. Tiens, là maintenant, de le deviner sous ton peignoir, je bande.
- Arrête, ne commence pas.
- Tu ne me crois pas ? Tiens, regarde.
Et il déboutonna son jean, libérant son pénis déjà dressé et décalotté, prêt à l'emploi. Un pénis que Muriel connaissait par coeur pour l'avoir souvent léché, sucé, tété, enfoncé jusque dans sa gorge. Elle sentit une onde de chaleur envahir son bas-ventre. Alerte ! Elle se leva brusquement du fauteuil face à lui et gagna la cuisine pour rapporter le café, pas encore tout à fait filtré. Pendant qu'elle attendait, dos à David, celui-ci s'approcha furtivement et l'enlaça, sa bite tendue contre ses fesses, ses mains soupesant ses seins lourds à travers le peignoir. Et il l'embrassa dans le cou. Le cou et les seins, c'étaient les points faibles de Muriel. Elle tenta de se dégager mais ne réussit qu'à ouvrir son peignoir où les mains de David s'engouffrèrent. Un long pelotage s'ensuivit pendant que le café coulait. Muriel ne réagissait plus. Elle laissa même une de ses mains glisser dans son dos à la recherche de la bite, qu'elle branla légèrement. Elle était en train de capituler sans condition. Encouragé, David releva le peignoir et vérifia l'humidité de la chatte, avec l'aide de Muriel qui écarta légèrement les jambes. Conforté, David lui releva une cuisse et, le pantalon aux chevilles, la pénétra tout en continuant à lui pétrir les seins. En appui sur le plan de travail de sa cuisine, Muriel répondit aux coups de bite par des rotations de hanches que David trouva merveilleusement jouissives. Il retrouvait là la femelle experte de la baise qu'il vénérait et qu'aucune femme de sa connaissance n'égalait. Elle fit glisser son peignoir qui tomba à ses pieds et elle apparut entièrement nue à son amant qui la retourna.
- Sur la table, souffla-t-elle, prends-moi sur la table. Et déshabille-toi.
David s'exécuta fébrilement, aidé par Muriel qui, désormais, ne s'appartenait plus vraiment. Elle le voulait nu devant elle, en elle. Elle voulait mater son jeune corps parfait pendant qu'il la possédait et savourer sa chance d'être baisée par un beau mec. Là, chez elle, dans sa cuisine. La hauteur de la table était parfaite. Leur sexes s'emboitèrent sans effort. Museau contre museau, buste contre buste, yeux dans les yeux, le couple copulait avec ardeur. Les reins verrouillés par les cuisses de Muriel, David la pilonnait au point que la table s'était déplacée pour se coller au mur et ainsi affirmer une pression encore plus forte de son pénis. Muriel perdait tout contrôle, bramait, feulait, stimulait, laissant même échapper ou ou deux mots grossiers qui étaient, pour David, le signal d'un orgasme imminent. De fait, elle expulsa un profond soupir assorti d'un sourire lumineux et elle lâcha :- Que c'était bon ! Mais reste là, j'ai encore envie.
Le couple se dissocia provisoirement. Muriel se remit debout, les fesses rougies par ce coït particulier, prit son peignoir et l'étala sur le sol.
- Couche-toi là, dit-elle à son amant, laisse-moi te baiser maintenant.
Obéissant, David s'allongea sur le peignoir, le bite fièrement dressée vers le plafond, entre frigo et machine à laver et dans une bonne odeur de café chaud. Accroupie, Muriel se positionna au-dessus du gland et descendit lentement, lentement, jusqu'à ce qu'elle se fût totalement empalée. Alors, elle resta immobile quelques secondes pour savourer l'instant avant de se relever et de s'abaisser, de se relever et de s'abaisser, de plus en plus vite, de plus en plus sèchement. Le comportement éminemment érotique de sa maîtresse prit David au cerveau. La danse de ses seins lourds lui mit le sperme au bord du gland. Et lorsqu'elle lança "ah je la sens bien ta queue, elle est pointue, elle est dure !" David ne put se retenir plus longtemps. Il expulsa du fond de ses reins un baquet de sperme qui dégoulina de la chatte de Muriel, laquelle prit un malin plaisir à essorer le dard en jouant avec ses muscles intimes. Vidé de sa substance, David rendit les armes et put découvrir une lueur de triomphe dans les yeux de Muriel lorsqu'elle se releva.
Plus tard, rhabillés, une tasse à la main, Muriel et David se caressaient mutuellement la cuisse, sans mot dire. Puis David décréta qu'il "devait y aller". Il embrassa Muriel sur les lèvres, lui taquina la joue et s'esquiva.
"Et voilà, se dit Muriel, il a encore eu ce qu'il voulait et comme une conne, j'ai cédé et je me retrouve toute seule. Mais il ne m'y reprendra plus. C'est sûr, cette fois, c'est terminé".
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