Microfictions : 8- La douche
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Microfictions : 8- La douche
Le jeune homme s'appelait Armand et se trouvait un peu maigre pour séduire les filles. Il s'était donc inscrit dans une salle de musculation, bien différentes alors de ce qu'elles sont aujourd'hui. Elles n'étaient pas mixtes. Armand soulevait des haltères avec d'autres hommes tandis que dans la salle d'à côté, les femmes pédalaient sur des vélos fixes, entre autres activités sportives. Les deux salles étaient séparées par des douches qui ne communiquaient pas entre elles... quoique.
Ce jour là, Armand avait eu très chaud et avait décidé de se doucher. A peine avait-il commencé à faire couler l'eau qu'il entendit du bruit dans la cabine d'à côté. Celle des femmes. Une forte tentation le prit de savoir qui était la fille nue, tout près de lui, chantonnant sous l'eau chaude. Mais impossible de regarder par en haut avec le plafond. Restait tout en bas une minuscule ouverture servant à l'évacuation du liquide mousseux. Il se mit à plat ventre et au prix du douloureuse torsion du cou, parvint à découvrir non seulement les pieds de la fille mais aussi ses jambes et, en se tordant un peu plus, son sexe. Vu en contre-plongée, il lui parut plutôt poilu et la fille le savonnait avec ardeur. En se retournant, elle découvrit ses fesses, plutôt petites et fermes.
Armand se sentit parfaitement conforté dans son initiative, bien qu'il ne vît pas le reste du corps, à commencer par le visage. La chatte, c'était déjà beaucoup. Il guetterait la sortie de la fille pour voir sa mine, tout à l'heure.
Mais alors qu'il s'était retiré pour soulager son cou douloureux, une voix d'homme retentit dans la cabine d'à côté. Nom de dieu, c'était celle de Bernard, le patron de la salle, un culturiste super costaud dans les mains desquelles il valait mieux ne pas tomber quand il était en colère. Que faisait-il là ? Avait-il découvert le voyeur ? Armand sentit un souffle glacé dans son dos. Mais la fille se mit à rire. Ou plutôt à glousser. Et ce qu'Armand put entendre ne laissait pas place au doute : Bernard était entré dans la douche des femmes pour une raison qui n'avait rien à voir avec le voyeurisme du voisin et encore moins avec la préparation physique.
Armand prit son courage à deux mains et se pencha à nouveau près de l'ouverture. Ce n'étaient plus deux pieds nus mais quatre qu'il voyait désormais. Puis quatre jambes nues et... deux sexes. Celui de Bernard était raide comme un mât de cocagne et il était entouré par la main de la fille qui coulissait le long de la hampe. Armand perçut clairement des bruits de succion, laissant supposer que ses deux voisins s'embrassaient. Et la fille souffla : "grand fou, viens, j'ai envie".
Alors, Armand vit la main de Bernard entourer la jambe féminine, la soulever et les deux sexes s'emboiter. De son observatoire à ras du sol, le jeune voyeur avait une vue imprenable sur les deux lourdes couilles ballotant en cadence, le pénis rigide entrer et sortir de la vulve béante et les mains de la fille crispées sur les fesses du culturiste. Celui-ci leva la deuxième jambe de sorte que la fille encerclait maintenant les reins de son chevalier servant. La cloison de la douche résonnait de coups sourds et Armand se demanda si le couple n'allait pas se retrouver "chez lui" tant il mettait du coeur à l'ouvrage. Heureusement, il changea de position, la fille ayant demandé à être "prise par derrière".
Armand se retira vivement de peur d'être découvert. La fille était maintenant à quatre pattes, tout près de lui. Il osa néanmoins un oeil, puis deux. Il ne pouvait toujours pas découvrir son visage mais par contre, ses seins ballotant entre ses bras à chaque coup de bite de Bernard étaient eux parfaitement visibles. Deux beaux seins lourds que la main du culturiste se mit à palper, arrachant des gémissements à leur propriétaire. Celle-ci clama des "n'arrête pas, encore, encore" et Armand comprit aux grognements du baiseur qu'il avait expulsé sa semence après une rafale de coups de bite qui fit couiner la fille, visiblement satisfaite. La douche, qui s'était arrêtée, se remit à couler, les deux amants n'ayant eu pas beaucoup de chemin à faire pour se nettoyer de leur accouplement. Il était temps pour Armand de s'extraire le plus discrètement possible de sa cabine.
Quelque minutes plus tard, alors qu'il se rhabillait dans le vestiaire, il vit apparaitre le patron de la salle, visiblement détendu et même un peu fiérot. "Alors, gars, ça va, tu as eu une bonne séance ? Excuse-moi de ne pas t'avoir surveillé, j'étais occupé à côté, à charge de revanche".
Tu parles ! Il le prenait vraiment pour un idiot avec tout le raffut que le couple avait produit, comme par hasard un jour où il n'y avait presque personne dans la salle. Armand ne fit pas de commentaire et se dépêcha de rejoindre sa mobylette pour observer la sortie de la fille. Qui était-elle ? Il avait une envie folle de le savoir pour alimenter ses masturbations futures.
Et il vit apparaitre non pas une fille mais une femme d'une bonne quarantaine d'années, blonde teintée aux cheveux courts, habillée sportivement, un sac à la main. Elle le regarda à peine mais Armand eut le temps de percevoir un petit sourire sur ses lèvres, comme si elle revivait par la pensée le coït aquatique qu'elle venait de vivre. Il la suivit du regard et la vit disparaitre dans la rue. Peut-être en train de rejoindre son mari et ses enfants, allez savoir...
Ce jour là, Armand avait eu très chaud et avait décidé de se doucher. A peine avait-il commencé à faire couler l'eau qu'il entendit du bruit dans la cabine d'à côté. Celle des femmes. Une forte tentation le prit de savoir qui était la fille nue, tout près de lui, chantonnant sous l'eau chaude. Mais impossible de regarder par en haut avec le plafond. Restait tout en bas une minuscule ouverture servant à l'évacuation du liquide mousseux. Il se mit à plat ventre et au prix du douloureuse torsion du cou, parvint à découvrir non seulement les pieds de la fille mais aussi ses jambes et, en se tordant un peu plus, son sexe. Vu en contre-plongée, il lui parut plutôt poilu et la fille le savonnait avec ardeur. En se retournant, elle découvrit ses fesses, plutôt petites et fermes.
Armand se sentit parfaitement conforté dans son initiative, bien qu'il ne vît pas le reste du corps, à commencer par le visage. La chatte, c'était déjà beaucoup. Il guetterait la sortie de la fille pour voir sa mine, tout à l'heure.
Mais alors qu'il s'était retiré pour soulager son cou douloureux, une voix d'homme retentit dans la cabine d'à côté. Nom de dieu, c'était celle de Bernard, le patron de la salle, un culturiste super costaud dans les mains desquelles il valait mieux ne pas tomber quand il était en colère. Que faisait-il là ? Avait-il découvert le voyeur ? Armand sentit un souffle glacé dans son dos. Mais la fille se mit à rire. Ou plutôt à glousser. Et ce qu'Armand put entendre ne laissait pas place au doute : Bernard était entré dans la douche des femmes pour une raison qui n'avait rien à voir avec le voyeurisme du voisin et encore moins avec la préparation physique.
Armand prit son courage à deux mains et se pencha à nouveau près de l'ouverture. Ce n'étaient plus deux pieds nus mais quatre qu'il voyait désormais. Puis quatre jambes nues et... deux sexes. Celui de Bernard était raide comme un mât de cocagne et il était entouré par la main de la fille qui coulissait le long de la hampe. Armand perçut clairement des bruits de succion, laissant supposer que ses deux voisins s'embrassaient. Et la fille souffla : "grand fou, viens, j'ai envie".
Alors, Armand vit la main de Bernard entourer la jambe féminine, la soulever et les deux sexes s'emboiter. De son observatoire à ras du sol, le jeune voyeur avait une vue imprenable sur les deux lourdes couilles ballotant en cadence, le pénis rigide entrer et sortir de la vulve béante et les mains de la fille crispées sur les fesses du culturiste. Celui-ci leva la deuxième jambe de sorte que la fille encerclait maintenant les reins de son chevalier servant. La cloison de la douche résonnait de coups sourds et Armand se demanda si le couple n'allait pas se retrouver "chez lui" tant il mettait du coeur à l'ouvrage. Heureusement, il changea de position, la fille ayant demandé à être "prise par derrière".
Armand se retira vivement de peur d'être découvert. La fille était maintenant à quatre pattes, tout près de lui. Il osa néanmoins un oeil, puis deux. Il ne pouvait toujours pas découvrir son visage mais par contre, ses seins ballotant entre ses bras à chaque coup de bite de Bernard étaient eux parfaitement visibles. Deux beaux seins lourds que la main du culturiste se mit à palper, arrachant des gémissements à leur propriétaire. Celle-ci clama des "n'arrête pas, encore, encore" et Armand comprit aux grognements du baiseur qu'il avait expulsé sa semence après une rafale de coups de bite qui fit couiner la fille, visiblement satisfaite. La douche, qui s'était arrêtée, se remit à couler, les deux amants n'ayant eu pas beaucoup de chemin à faire pour se nettoyer de leur accouplement. Il était temps pour Armand de s'extraire le plus discrètement possible de sa cabine.
Quelque minutes plus tard, alors qu'il se rhabillait dans le vestiaire, il vit apparaitre le patron de la salle, visiblement détendu et même un peu fiérot. "Alors, gars, ça va, tu as eu une bonne séance ? Excuse-moi de ne pas t'avoir surveillé, j'étais occupé à côté, à charge de revanche".
Tu parles ! Il le prenait vraiment pour un idiot avec tout le raffut que le couple avait produit, comme par hasard un jour où il n'y avait presque personne dans la salle. Armand ne fit pas de commentaire et se dépêcha de rejoindre sa mobylette pour observer la sortie de la fille. Qui était-elle ? Il avait une envie folle de le savoir pour alimenter ses masturbations futures.
Et il vit apparaitre non pas une fille mais une femme d'une bonne quarantaine d'années, blonde teintée aux cheveux courts, habillée sportivement, un sac à la main. Elle le regarda à peine mais Armand eut le temps de percevoir un petit sourire sur ses lèvres, comme si elle revivait par la pensée le coït aquatique qu'elle venait de vivre. Il la suivit du regard et la vit disparaitre dans la rue. Peut-être en train de rejoindre son mari et ses enfants, allez savoir...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire affriolante, qui aurait à mon goût nécessité un préambule savoureux pour préparer l'intrusion de cet apollon musculeux d