Mieux vaut oter sa petite culotte que d'aller chez le psy
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 850 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Georges ont reçu un total de 13 705 523 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 16 328 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mieux vaut oter sa petite culotte que d'aller chez le psy
Récemment il m’est arrivé une aventure digne d’un roman érotique, voire pornographique
J’ai vingt quatre ans et fréquente Laurine, une fille de vingt et un ans que j’ai connue à l’université, le problème, c’est les trois cents kilomètres qui nous séparent, les grandes vacances approchent et elle se morfond de notre séparation proche
- Comment allons-nous faire pour nous voir Ludo chéri ?
- Ça ne va pas être facile avec le job de serveur que j’ai dégoté, je n’aurais que certains après midi de libre, impossible de faire le trajet
- J’ai bien une idée …
- Dit toujours ?
- En ce moment maman n’est pas bien, elle ne surmonte pas l’épreuve de son récent divorce, je dirais même qu’elle a des idées suicidaires
- Excuse moi bébé, mais en quoi cela nous concernent ?
- Je peux la décider à louer quelques temps ici, mais, évidement, elle sera là
- Ha….ça change tout
- Je devrais évidement lui proposer de nous accompagner certains jours, rassure toi elle n’est pas du genre collante
- Elle est jolie ? comment s’appelle-t-telle ?
- Murielle, c’est moi, avec quelques années de plus et les cheveux de différente couleur !
- Muuuummmm ! elle doit être bonne
- Vilain vicieux ! je donnerais n’importe quoi pour qu’elle soit heureuse…caresse-moi Ludo…j’ai envie de ta verge en moi
En faisant l’amour a ma copine j’essaie d’imaginer sa mère, a-t-elle les mêmes seins en pommes que sa fille ? Et cette toison ? Cache-t-elle le même clitoris ? Et ces lèvres finement ciselées protègent-elles une vulve délicate ? Donne-t-elle d’aussi bons coups de reins ? Si bien que j’éjacule brusquement
- Hé bien ? tu me laisse en route ? je n’ai pas eu le temps de jouir !
- Excuse moi c’est l’excitation, nous recommencerons ce soir
- Promis ?
- Juré !
N’empêche que la présence de sa mère ne sera surement pas sans conséquences sur notre relation, enfin nous verrons le moment venu... et il arrive vite ce moment, Murielle, la maman, et Laurine débarquent un beau jour sur le quai de la gare, elle n’a pas menti … vues a quelques mètres, c’est deux sœurs, même si les traits tirés prouve son mal-être, sa maman est ravissante
Après les présentations d’usages, je les conduis à leur appart, le boulot m’appelle déjà, quelle poisse, Laurine me raccompagne dans l’escalier, j’ai juste le temps de passer mes doigts dans son string qui s’humidifie rapidement, je lèche un doigt et lui fait lécher l’autre
- Huuuuuummmmmmm, c’est autre chose que j’aimerais lécher chéri !
- Vient ce soir à ma piaule, je te paie le taxi
- Ça me gêne de laisser maman seule
- Wouaaah ça commence !
- Ne te fâche pas ! pour quelques heures ça ira, je t’aime ! mais je veux garder un œil sur maman
Vers onze heures Laurine arrive, je l’attends a poil, dés son entrée elle m’imite et me rejoint sur le lit
- Chose promise, chose due, je te suce ?
- Caresse-moi les bourses et la queue … comment va belle maman ?
- Ne te moque pas, en tous cas, elle te trouve super craquant!
- Je lui retourne le compliment, belle comme elle est, pourquoi ne trouve-t-elle pas de mecs ? tirer un bon coup, ça la calmerait
- Ça ne l’intéresse pas, mais c’est vrai, ça lui manque de faire l’amour
- Nous allons la sortir et lui trouver un mâle
- C’est peut être une idée …donne moi ta queue à sucer avant que tu ne décharge dans ma main, wouuuuuaaaaaaaaahmuuuuuuummmmmm !
- HUUUUUMMMM ! je paris que ta mère suce aussi bien que toi !
- Rrrrrrrhhhhuuuuuuuummmmm … salaud ! bouffe moi le chat, ça te cloueras le bec
C’est la chatte de sa mère que je broute, je suis obnubilé par cette femme, et c’est pire lorsque j’enfonce ma queue dans la vulve détrempée de sa fille, est-elle aussi serrée ? Mouille-t-elle autant ? Une fois de plus je décharge trop tôt, mais je me rattrape en ne cessant pas mes coups de reins, Laurine explose enfin en feu d’artifice, elle sait que je n’ai pas déchargé une deuxième fois, alors elle se retourne et me montre son vagin dégoulinant de mon foutre sous un autre angle, ce qui est loin de me déplaire …. Murielle est aussi chaude que sa fille ? C’est repartit pour un tour, je secoue ma copine comme un prunier avant de succomber
Je reste emboité en elle tant que notre souffle n’est pas régulier
- Chérie ? j’ai réfléchis, demain nous sortons avec ta mère
- C’est vrai ?
- Elle ne va pas refuser ?
- Pas si c’est toi qui lu demande
Murielle a fini par accepter une sortie au resto et finir dans un bar pour siroter un digestif, elle est magnifique avec ce corsage qui laisse apercevoir un soutient gorge bien plein, et cette jupe évasée que cache-t-elle ? Des hommes l’ont remarquée mais elle ne veut pas les voir, il est très difficile de lui arracher un sourire, ce qui finit par exaspérer sa fille
- Tu veux rentrer maman ?
- Ce sera mieux, je ne veux pas gâcher votre sortie en amoureux, votre bonheur me fait mal …
- Très bien, Ludo va te raccompagner, je vais t’attendre chez toi chéri, prend tout ton temps, je te réserve une surprise
En disant cela Laurine me fixe longuement dans les yeux, comme pour m’adresser un message …
Dans la voiture Murielle ne prononce pas un mot, raide sur son siège elle regarde défiler les néons de la ville, pourvu qu’elle ne fasse pas une bêtise une fois seule ….
- Ça va Murielle ?
- Oui-oui …
- Parlez-moi un peu de vous, je sais que votre divorce a été particulièrement pénible
- Ho ça oui ! ce salaud s’est tiré avec une nana plus jeune que sa fille
- Il faut tirer un trait sur le passé, vous devriez lui rendre la monnaie de sa pièce
- Je n’en ai pas le courage...
- Nous voici arrivés, je vous accompagne jusqu'à la porte ?
Soudain elle se tourne vers moi, de grosses larmes coulent sur ses joues je lui tends les bras, elle se jette dedans pour éclater en sanglots, ça me fait tout drôle de la ceinturer ainsi, ses seins s’écrasent sur ma poitrine
- Calmez vous, il n’en vaut pas la peine ce con
Elle sanglote bruyamment, j’embrasse ses cheveux, lui caresse l’épaule, elle se calme peu a peu et se fait molle sur moi, innocemment, ma main glisse vers sa poitrine, la femme tressaille mais ne me repousse pas, ma paume masse le sein que je devine aussi ferme que chez Laurine, sa main se pose sur ma cuisse a quelques centimètres de mon érection, sans oser aller plus loin, ses doigts se crispent dans ma chair a me faire mal, son chemisier n’est pas entré dans sa jupe , il m’est facile de passer dessous et de bousculer le bonnet du soutien-gorge, sa respiration haletante qui se calmait reprend de plus belle , mais plus pour la même raison, je palpe le nichon rond et ferme comme un melon saturé de sucre
Son visage se lève vers le mien, je lèche une grosse larme encore accrochée a sa joue, de la joue aux lèvres il n’y a que quelques millimètres que nos lèvres franchissent, du coup j’abandonne son sein pour passer directement sous sa jupe, elle devait attendre ma venue puisque ses cuisses sont ouvertes, nouveau tremblement lorsque j’écarte le tangua étroit, elle saisie enfin ma queue par-dessus le tissu,, mes doigts trouve une toison abondante, surement négligée, sans doute dût au fait de l’absence de relations sexuelle, la fente entrebâillée est suintante , je m’y enfonce très facilement, non parce qu’elle est plus large que sa fille, mais depuis le temps qu’elle est sevrée, les glandes doivent être gorgées de jus intime, j’ai une envie irrésistible de la baiser, je décolle ma bouche de la sienne pour lui en faire part, c’est elle qui me devance …
- Ne restons pas ici, des voisins peuvent nous voir
- Je te suis …
le corsage a moitié ouvert, le soutient gorge en biais , elle monte les escaliers quatre a quatre, je la colle de prés, mes doigts grattent le fond du slip humide a moitié mangé par la chatte, ça lui arrache de petits éclats de rire nerveux, preuve qu’elle a une envie folle de se faire monter, elle tâtonne pour mettre la clé dans la serrure, j’en profite pour tirer la culotte vers le bas, elle entre entravée par le sous-vêtement a mis cuisses, je donne un coup de talon pour refermer la porte, elle me fait face, l’air grave, elle se dévêt lentement…
- Laurine sait ce que nous allons faire, n’est-ce pas ?
- …. Oui …elle s’en doute …elle m’a imploré du regard de le faire avec vous
- Ma petite fille chérie … pardonne moi ….
Elle se jette dans mes bras, j’appuie a peine sur ses épaules, Murielle glisse a mes pieds, ses mains fébriles s’attaquent a ma boucle de ceinture, puis tire mon pantalon, le boxer suit le mouvement, ma queue n’a pas le temps de voir le jour, elle est engloutie par la bouche avide, je lui caresse amoureusement les cheveux, mes couilles ne sont pas privées de caresses, j’avance par petits coups dans sa gorge, impatiente de sentir couler mon jus elle aspire goulument mon gland, provoquant des bruits de succions, le bassin cambré, je regarde ses joues creusées dans l’attente de mon sperme, elle est belle …je laisse ma sauce jaillir dans sa bouche, elle se relève une coulée encore accrochée au menton , je passe mon doigt pour récupérer la sauce et lui fait lécher
- J’en mourrais d’envie …merci … j’envie ma fille d’avoir une si belle verge a sa disposition …
- Heureux de t’avoir satisfaite, ma bite est a toi maintenant
Le tenant par les épaules je la fait reculer vers un clic-clac ouvert dans un coin de la pièce, le slip toujours a mis cuisses elle perd l’équilibre et s’affale sur le lit improvisé, les jambes en l’air, ma tête passe entre le slip et son entrecuisses odorant sur lequel je me jette bouche ouverte, langue sortie, la femme agrippe vigoureusement mes cheveux
- Frotte-toi sur ma moule, enfonce ton nez dans mon vagin
N’ayant pas la possibilité de répondre je la laisse me guider, son bassin bouge de haut en bas, du front au menton, tout mon visage est enduit de cyprine, pour la calmer j’enfonce deux doigts dans son fondement, mais cela fait l’effet inverse
- HOOOOOOOUUIII ! Je te veux dans tous mes trous !
Hyper excitée elle jouit très vite, je bois une partie de ce jet chaud et doré avant de me hisser a sa hauteur, elle lèche les dégoulinades restées sur ma figure, ma queue bandée a mort cherche instinctivement le trou a bitte, après deux dérapages infructueux, je m’enfonce dans le volcan débordant de lave, ses talons se rejoignent dans mon dos on ne peut pas être plus soudés
C’est une furie qui se débat sous moi, je subis ses assauts, rien à voir avec la baise pépère de sa fille, c’est elle aperçue quand j’ai déchargé ? Sans doute, car ses ongles se sont plantés dans mes épaules en jouissant
- BAISE-MOI ! DEFONCE-MOI ! ENCORE ! ENCORE ! Plante ta pine là ou tu veux mais baise moi
- Je vais t’enculer …tes mauvaises pensées ont disparut ?
- Demain je me trouve un mec !
Je retire lentement mon manche, elle relève davantage ses fesses, en m’aidant d’une main j’appuie sur le cratère qui accepte lentement mon gland, nous sommes essoufflés, en sueur, mais la rage de baiser et toujours aussi vivace, j’espère que les murs sont bien insonorisés car elle mugit comme un animal….je m’enfonce dans son tunnel, encore et encore, jusqu'à ce que mes couilles buttent sur son cul
Je lui laisse le soin de manœuvrer elle-même, je reste immobile pendant qu’elle s’emmanche à loisir sur ma queue
Nous avons jouis ensemble, elle s’est endormie alors que j’étais encore en elle, j’ai rejoins Laurine qui m’attendait nue entre les draps, impatiente de savoir ce qui c’était passé avec sa mère
- Elle n’a plus envie de se suicider ….je l’ai léchée, baisée et sodomisée, d’ailleurs tu peux contrôler je ne me suis pas lavé ….
- Je t’aime mon amour, merci d’avoir sauvé maman de la déprime, mais maintenant c’est à mon tour d’être léchée, baisée et sodomisée !!!!!!
J’ai vingt quatre ans et fréquente Laurine, une fille de vingt et un ans que j’ai connue à l’université, le problème, c’est les trois cents kilomètres qui nous séparent, les grandes vacances approchent et elle se morfond de notre séparation proche
- Comment allons-nous faire pour nous voir Ludo chéri ?
- Ça ne va pas être facile avec le job de serveur que j’ai dégoté, je n’aurais que certains après midi de libre, impossible de faire le trajet
- J’ai bien une idée …
- Dit toujours ?
- En ce moment maman n’est pas bien, elle ne surmonte pas l’épreuve de son récent divorce, je dirais même qu’elle a des idées suicidaires
- Excuse moi bébé, mais en quoi cela nous concernent ?
- Je peux la décider à louer quelques temps ici, mais, évidement, elle sera là
- Ha….ça change tout
- Je devrais évidement lui proposer de nous accompagner certains jours, rassure toi elle n’est pas du genre collante
- Elle est jolie ? comment s’appelle-t-telle ?
- Murielle, c’est moi, avec quelques années de plus et les cheveux de différente couleur !
- Muuuummmm ! elle doit être bonne
- Vilain vicieux ! je donnerais n’importe quoi pour qu’elle soit heureuse…caresse-moi Ludo…j’ai envie de ta verge en moi
En faisant l’amour a ma copine j’essaie d’imaginer sa mère, a-t-elle les mêmes seins en pommes que sa fille ? Et cette toison ? Cache-t-elle le même clitoris ? Et ces lèvres finement ciselées protègent-elles une vulve délicate ? Donne-t-elle d’aussi bons coups de reins ? Si bien que j’éjacule brusquement
- Hé bien ? tu me laisse en route ? je n’ai pas eu le temps de jouir !
- Excuse moi c’est l’excitation, nous recommencerons ce soir
- Promis ?
- Juré !
N’empêche que la présence de sa mère ne sera surement pas sans conséquences sur notre relation, enfin nous verrons le moment venu... et il arrive vite ce moment, Murielle, la maman, et Laurine débarquent un beau jour sur le quai de la gare, elle n’a pas menti … vues a quelques mètres, c’est deux sœurs, même si les traits tirés prouve son mal-être, sa maman est ravissante
Après les présentations d’usages, je les conduis à leur appart, le boulot m’appelle déjà, quelle poisse, Laurine me raccompagne dans l’escalier, j’ai juste le temps de passer mes doigts dans son string qui s’humidifie rapidement, je lèche un doigt et lui fait lécher l’autre
- Huuuuuummmmmmm, c’est autre chose que j’aimerais lécher chéri !
- Vient ce soir à ma piaule, je te paie le taxi
- Ça me gêne de laisser maman seule
- Wouaaah ça commence !
- Ne te fâche pas ! pour quelques heures ça ira, je t’aime ! mais je veux garder un œil sur maman
Vers onze heures Laurine arrive, je l’attends a poil, dés son entrée elle m’imite et me rejoint sur le lit
- Chose promise, chose due, je te suce ?
- Caresse-moi les bourses et la queue … comment va belle maman ?
- Ne te moque pas, en tous cas, elle te trouve super craquant!
- Je lui retourne le compliment, belle comme elle est, pourquoi ne trouve-t-elle pas de mecs ? tirer un bon coup, ça la calmerait
- Ça ne l’intéresse pas, mais c’est vrai, ça lui manque de faire l’amour
- Nous allons la sortir et lui trouver un mâle
- C’est peut être une idée …donne moi ta queue à sucer avant que tu ne décharge dans ma main, wouuuuuaaaaaaaaahmuuuuuuummmmmm !
- HUUUUUMMMM ! je paris que ta mère suce aussi bien que toi !
- Rrrrrrrhhhhuuuuuuuummmmm … salaud ! bouffe moi le chat, ça te cloueras le bec
C’est la chatte de sa mère que je broute, je suis obnubilé par cette femme, et c’est pire lorsque j’enfonce ma queue dans la vulve détrempée de sa fille, est-elle aussi serrée ? Mouille-t-elle autant ? Une fois de plus je décharge trop tôt, mais je me rattrape en ne cessant pas mes coups de reins, Laurine explose enfin en feu d’artifice, elle sait que je n’ai pas déchargé une deuxième fois, alors elle se retourne et me montre son vagin dégoulinant de mon foutre sous un autre angle, ce qui est loin de me déplaire …. Murielle est aussi chaude que sa fille ? C’est repartit pour un tour, je secoue ma copine comme un prunier avant de succomber
Je reste emboité en elle tant que notre souffle n’est pas régulier
- Chérie ? j’ai réfléchis, demain nous sortons avec ta mère
- C’est vrai ?
- Elle ne va pas refuser ?
- Pas si c’est toi qui lu demande
Murielle a fini par accepter une sortie au resto et finir dans un bar pour siroter un digestif, elle est magnifique avec ce corsage qui laisse apercevoir un soutient gorge bien plein, et cette jupe évasée que cache-t-elle ? Des hommes l’ont remarquée mais elle ne veut pas les voir, il est très difficile de lui arracher un sourire, ce qui finit par exaspérer sa fille
- Tu veux rentrer maman ?
- Ce sera mieux, je ne veux pas gâcher votre sortie en amoureux, votre bonheur me fait mal …
- Très bien, Ludo va te raccompagner, je vais t’attendre chez toi chéri, prend tout ton temps, je te réserve une surprise
En disant cela Laurine me fixe longuement dans les yeux, comme pour m’adresser un message …
Dans la voiture Murielle ne prononce pas un mot, raide sur son siège elle regarde défiler les néons de la ville, pourvu qu’elle ne fasse pas une bêtise une fois seule ….
- Ça va Murielle ?
- Oui-oui …
- Parlez-moi un peu de vous, je sais que votre divorce a été particulièrement pénible
- Ho ça oui ! ce salaud s’est tiré avec une nana plus jeune que sa fille
- Il faut tirer un trait sur le passé, vous devriez lui rendre la monnaie de sa pièce
- Je n’en ai pas le courage...
- Nous voici arrivés, je vous accompagne jusqu'à la porte ?
Soudain elle se tourne vers moi, de grosses larmes coulent sur ses joues je lui tends les bras, elle se jette dedans pour éclater en sanglots, ça me fait tout drôle de la ceinturer ainsi, ses seins s’écrasent sur ma poitrine
- Calmez vous, il n’en vaut pas la peine ce con
Elle sanglote bruyamment, j’embrasse ses cheveux, lui caresse l’épaule, elle se calme peu a peu et se fait molle sur moi, innocemment, ma main glisse vers sa poitrine, la femme tressaille mais ne me repousse pas, ma paume masse le sein que je devine aussi ferme que chez Laurine, sa main se pose sur ma cuisse a quelques centimètres de mon érection, sans oser aller plus loin, ses doigts se crispent dans ma chair a me faire mal, son chemisier n’est pas entré dans sa jupe , il m’est facile de passer dessous et de bousculer le bonnet du soutien-gorge, sa respiration haletante qui se calmait reprend de plus belle , mais plus pour la même raison, je palpe le nichon rond et ferme comme un melon saturé de sucre
Son visage se lève vers le mien, je lèche une grosse larme encore accrochée a sa joue, de la joue aux lèvres il n’y a que quelques millimètres que nos lèvres franchissent, du coup j’abandonne son sein pour passer directement sous sa jupe, elle devait attendre ma venue puisque ses cuisses sont ouvertes, nouveau tremblement lorsque j’écarte le tangua étroit, elle saisie enfin ma queue par-dessus le tissu,, mes doigts trouve une toison abondante, surement négligée, sans doute dût au fait de l’absence de relations sexuelle, la fente entrebâillée est suintante , je m’y enfonce très facilement, non parce qu’elle est plus large que sa fille, mais depuis le temps qu’elle est sevrée, les glandes doivent être gorgées de jus intime, j’ai une envie irrésistible de la baiser, je décolle ma bouche de la sienne pour lui en faire part, c’est elle qui me devance …
- Ne restons pas ici, des voisins peuvent nous voir
- Je te suis …
le corsage a moitié ouvert, le soutient gorge en biais , elle monte les escaliers quatre a quatre, je la colle de prés, mes doigts grattent le fond du slip humide a moitié mangé par la chatte, ça lui arrache de petits éclats de rire nerveux, preuve qu’elle a une envie folle de se faire monter, elle tâtonne pour mettre la clé dans la serrure, j’en profite pour tirer la culotte vers le bas, elle entre entravée par le sous-vêtement a mis cuisses, je donne un coup de talon pour refermer la porte, elle me fait face, l’air grave, elle se dévêt lentement…
- Laurine sait ce que nous allons faire, n’est-ce pas ?
- …. Oui …elle s’en doute …elle m’a imploré du regard de le faire avec vous
- Ma petite fille chérie … pardonne moi ….
Elle se jette dans mes bras, j’appuie a peine sur ses épaules, Murielle glisse a mes pieds, ses mains fébriles s’attaquent a ma boucle de ceinture, puis tire mon pantalon, le boxer suit le mouvement, ma queue n’a pas le temps de voir le jour, elle est engloutie par la bouche avide, je lui caresse amoureusement les cheveux, mes couilles ne sont pas privées de caresses, j’avance par petits coups dans sa gorge, impatiente de sentir couler mon jus elle aspire goulument mon gland, provoquant des bruits de succions, le bassin cambré, je regarde ses joues creusées dans l’attente de mon sperme, elle est belle …je laisse ma sauce jaillir dans sa bouche, elle se relève une coulée encore accrochée au menton , je passe mon doigt pour récupérer la sauce et lui fait lécher
- J’en mourrais d’envie …merci … j’envie ma fille d’avoir une si belle verge a sa disposition …
- Heureux de t’avoir satisfaite, ma bite est a toi maintenant
Le tenant par les épaules je la fait reculer vers un clic-clac ouvert dans un coin de la pièce, le slip toujours a mis cuisses elle perd l’équilibre et s’affale sur le lit improvisé, les jambes en l’air, ma tête passe entre le slip et son entrecuisses odorant sur lequel je me jette bouche ouverte, langue sortie, la femme agrippe vigoureusement mes cheveux
- Frotte-toi sur ma moule, enfonce ton nez dans mon vagin
N’ayant pas la possibilité de répondre je la laisse me guider, son bassin bouge de haut en bas, du front au menton, tout mon visage est enduit de cyprine, pour la calmer j’enfonce deux doigts dans son fondement, mais cela fait l’effet inverse
- HOOOOOOOUUIII ! Je te veux dans tous mes trous !
Hyper excitée elle jouit très vite, je bois une partie de ce jet chaud et doré avant de me hisser a sa hauteur, elle lèche les dégoulinades restées sur ma figure, ma queue bandée a mort cherche instinctivement le trou a bitte, après deux dérapages infructueux, je m’enfonce dans le volcan débordant de lave, ses talons se rejoignent dans mon dos on ne peut pas être plus soudés
C’est une furie qui se débat sous moi, je subis ses assauts, rien à voir avec la baise pépère de sa fille, c’est elle aperçue quand j’ai déchargé ? Sans doute, car ses ongles se sont plantés dans mes épaules en jouissant
- BAISE-MOI ! DEFONCE-MOI ! ENCORE ! ENCORE ! Plante ta pine là ou tu veux mais baise moi
- Je vais t’enculer …tes mauvaises pensées ont disparut ?
- Demain je me trouve un mec !
Je retire lentement mon manche, elle relève davantage ses fesses, en m’aidant d’une main j’appuie sur le cratère qui accepte lentement mon gland, nous sommes essoufflés, en sueur, mais la rage de baiser et toujours aussi vivace, j’espère que les murs sont bien insonorisés car elle mugit comme un animal….je m’enfonce dans son tunnel, encore et encore, jusqu'à ce que mes couilles buttent sur son cul
Je lui laisse le soin de manœuvrer elle-même, je reste immobile pendant qu’elle s’emmanche à loisir sur ma queue
Nous avons jouis ensemble, elle s’est endormie alors que j’étais encore en elle, j’ai rejoins Laurine qui m’attendait nue entre les draps, impatiente de savoir ce qui c’était passé avec sa mère
- Elle n’a plus envie de se suicider ….je l’ai léchée, baisée et sodomisée, d’ailleurs tu peux contrôler je ne me suis pas lavé ….
- Je t’aime mon amour, merci d’avoir sauvé maman de la déprime, mais maintenant c’est à mon tour d’être léchée, baisée et sodomisée !!!!!!
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Georges
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...