Mieux vaut tard que jamais

- Par l'auteur HDS Fantasmecandaule -
Auteur couple.
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Récit libertin : Mieux vaut tard que jamais Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mieux vaut tard que jamais
Mieux vaut tard que jamaisJ’ai 48 ans aujourd’hui et je vais vous raconter mon histoireJe suis mariée avec Stéphane depuis 28 ans, il a été mon 3ème amant et nous ne nous sommes plus quitté depuis, j’en suis éperdument amoureuseJ’adore mon mari qui est très aimant et très attentionné, je n’étais pas très porté sur le sexe jusqu’à récemment, en effet nous avons toujours fait l’amour 1 à 2 fois par semaine de façon « conventionnelle », et j’ai toujours pris mon pied, du moins c’est ce que je croyais…Stéphane serait assez insatiable, il regarde souvent du porno, il essaye en vain de m’y convertir mais je ne suis pas fan. Il voudrait tout le temps épicer notre vie sexuelle, il m’offre des sous vêtement coquin, des accessoires… jusqu’à ce qu’il m’offre il y a 3 ans un godemichet « rabbit », au premier abord, j’ai trouvé cet objet énorme (pourtant Stéphane est très bien monté), il était hors de question que je m’en serve malgré tout le bien que m’en disait mon mari…15 jours après, alors que Stéphane était en déplacement, je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais je me suis surprise à penser à ce vibromasseur, tandis que j’étais au bureau, et je remarquai que cela me faisait de l’effet, une fois rentrée à la maison, je me fais couler un bain pour me délasser, me sert un petit verre de porto et je vais dans le tiroir prendre le fameux engin, je regarde si les piles fonctionne toujours, waouh ça vibre dans tous les sens ! Je le laisse sur le litUne demi-heure plus tard, je sors du bain et je me dis qu’après tout autant ne pas mourir idiote et qu’il n’y a pas de mal à se faire du bienJ’essaye de comprendre comment fonctionne les boutons de cet énorme bite vibrante, je suis mouillée, je n’ai pas de mal à insérer l’objet que j’actionne doucement, à ma surprise il pénètre doucement jusqu’au fond et commence à me pilonner tout en tournant dans mon vagin, un petit appendice vient vibrer sur mon clitoris qui est tout gonflé, c’est super bon il ne me faut pas plus de 5 minutes pour découvrir l’orgasme véritable, je hurle de plaisir et me tords de tout mon corps… c’est une sensation nouvelle, jamais jusqu’alors je n’avis éprouvé un tel plaisir, jamais je n’avais crié de plaisir, jamais mon corps n’avait tressailli de plaisir !
Je suis épuisée et m’endort nue, l’objet de mon plaisir à côté de moi, lorsque je me réveille je n’arrive pas à m’en remettre ! Comment cela a-t-il pu se produire ? J’étais intimement persuadé que Stéphane me baisait comme il fallait et que je prenais mon pied, mais pas du tout hier soir j’avais réellement pris mon pied et il me tardait que cela se reproduiseJe n’ai pas du tout osé en parler à Stéphane lorsqu’il est rentré le soir mais il fallait que j’en parle à quelqu’un… J’ai une collègue de bureau, que je côtoie très peu, mais qui passe pour être une « coquine », elle devrait pouvoir m’aider (bonjour le cliché)… Je l’invite à boire un verre après le boulot et me confie assez naturellement à elle, je lui raconte mon aventure dans les moindres détails et lui demande comment cela est possible, elle est ravie et m’assure que si je le désire, elle va faire mon éducation, je suis toute rouge de confusion mais j’accepte…Vendredi soir, Stéphane est tout surpris que je sorte avec une copine, ce n’est mon habitude, mais je dois retrouver Sandra dans un piano barSandra m’avait demandé de mettre une robe et des escarpins pour être un peu aguichante, j’ai fait au mieux, Lorsque j’arrive Sandra n’est pas seule, elle me présente Marc, un ami, un black immense qui doit mesurer 2 mètres et peser 110 kilos de muscles, je ne m’attendais pas à ça, je pensais que nous serions qu’entre nous, je le salue leur dit que finalement je vais rentrer chez moi…Sandra me rattrape, me dit de ne pas partir comme ça, que ce serait dommage de ne pas profiter d’une bonne soirée, de boire au moins un coup, après on verra…4 mojitos plus tard je suis toujours là, la conversation est très agréable et les 2 comparses me font clairement du rentre dedans, je ne me reconnais plus, cette situation m’excite tellement ! Sandra nous raconte sa dernière soirée, elle était avec 2 copains de Marc qui l’ont prise dans tous les sens, n’étant pas fan de porno, je ne m’imagine pas bien ce qu’elle nous raconte mais je suis trempée, en même temps elle m’invite à lui donner ma culotte comme si de rien n’était, je refuse, elle termine son histoire et se met à parler de Marc, elle parle de lui comme s’il n’était pas avec nous ! Elle le décrit comme un étalon du sexe en précisant qu’il est monté comme un cheval ! Et que ce serait franchement dommage que je n’en profite pas ! Elle est très gonflée, mais en même temps, en restant, je savais à quoi m’attendre ! Elle me redemande ma culotte, rouge de honte, je la fais glisser le long de mes cuisses et lui donne… Mais dis-donc, elle est trempée, ta culotte ! Tu caches bien ton jeu, ma cochonne ! Me dit-elle… Je suis dans les vapes, la situation plus l’alcool, j’ai besoin de me rafraichir, je file aux toilettes pour me mettre un peu d’eau sur le visage, ah ça fait du bien, lorsque je me redresse, Sandra et Marc sont là dans les vestiaires avec moi, je ne les avait pas entendu ! Je suis surprise, je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit que Sandra m’embrasse à pleine bouche et commence à me peloter, elle glisse sa main entre mes cuisses où j’ai la sensation que mon clitoris va exploser, je n’ai aucune envie de la repousser, c’est magique, je sens le plaisir monter en moi lorsque son pouce vient frotter mon clito et que son majeur est au fond de mon intimité, j’ai mis 30 secondes à atteindre un orgasme équivalent à celui que m’avait procuré le vibromasseur, je suis vidée d’énergie, je m’affale, assis sur le sol, Sandra dit alors à Marc, allez mon vieux fait la monter au septième ciel, elle ne veut que ça… Marc se campe devant moi, défait sa ceinture, ouvre sa braguette et laisse sortir un engin mi-dur d’une taille que je n’avais vue ni même imaginée, ni une ni deux, je m’empare de cette colonne de chair que je malaxe, soupèse puis prend en bouche, c’est énorme, j’ai envie de l’engloutir, je pompe, je suce, je lèche, je mordille (une vraie salope, ce n’est pas possible ce n’est pas moi !), il me demande de me redresser et de me mettre face au mur, il enfile son engin dans une capote puis le glisse derrière mes fesses et trouve rapidement l’accès à mon petit abricot, il est énorme, il va me faire mal… Pas du tout je suis tellement trempée que mon sexe avale le sien, c’est divin ! Il commence à me pilonner, je hurle de plaisir, heureusement que l’on ne peut pas m’entendre dans le Club ! Ma jouissance est supérieure à mes 2 derniers orgasmes, c’est au-delà de l’entendement, il continue de me baiser comme une salope dans les toilettes d’une boîte de nuit (bonjour l’image !) je sens que son plaisir monte également, et cela m’excite encore, il explose en moi en même temps que je jouis à nouveau, je ne pensais pas qu’il était possible de jouir autant ! Lorsque je vois le sexe de Marc dégonflé dans sa capote remplie de sperme, je réalise l’engin qui vient de me faire découvrir le Plaisir… Nous terminons la soirée avec un petit café pour me requinquer, nous nous embrassons en nous promettant de remettre ça. Il est l’heure de rentrer, lorsque j’arrive à la maison Stéphane est sur le canapé entrain de mater un porno, me questionne sur ma soirée, me trouve fatiguée, je lui réponds qu’en effet la soirée était géniale mais harassante et que je la lui raconterais le lendemain matin…Voilà comment j’ai découvert la sexualité et le plaisir ultime, pour connaitre la réaction de Stéphane, il faudra lire la suite…

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