Mini partouze dans la piscine - histoire érotique

En faisant la planche sur cette eau de piscine, je ne me doute pas qu'une fille me regarde fixement. La seule chose que je vois est son épaule qui bouge régulièrement. Nous ne sommes pas nombreux en cet après midi débutante. J'ai la curiosité de compter les baigneurs : nous sommes 5 en tout et pour tout : une femme d'un age certain, son mari, deux filles jeunes qui ne font que ricaner, cette fille et moi.
Je remarque que cette fille est jolie, sans plus. Je me demande bien pourquoi son épaule bouge sans cesse et pourquoi elle ne fait que me regarder. Je veux en avoir le cœur net et je m'approche lentement.
Je suis enfin à sa hauteur, elle me regarde bien dans les yeux. Son épaule ne bouge presque plus.
Soudain elle ferme les yeux. Les ouvre à nouveau et me regarde encore en souriant cette fois. Je lui rends son sourire me met en position verticale. Elle a juste pied, alors que l'eau ne m'arrive qu'au niveau de la poitrine. J'ai une vague vue sur son corps car l'eau n'est pas transparente. Je veux engager la conversation, bêtement, comme souvent au débute une relation. J'allais lui demander si elle venait là souvent, tant qu'à y être j'aurai tout aussi bien pu lui demander si sa mère savait qu'elle état là !!
Heureusement c'est elle qui commence à me féliciter pour faire la planche, elle ne sait pas le faire. Je lui propose de lui apprendre.
Elle accepte : je lui demande de se laisser aller dans mes bras pour que je la tienne au moins au début. Elle se laisse aller. J'ai enfin une bonne vue sur son anatomie. Une belle paire de loches, un ventre plat, des cuisses magnifiques, bref, elle me plait. Elle est maintenant sur le dos, elle pourrait facilement continuer toute seule. Je continue à la tenir. Nos regards ne se quittent pas.
Je ne sais ce qui me prend je pose ma bouche sur la sienne, sans vouloir aller plus loin. C'est elle qui ouvrant sa bouche me met sa langue dans la mienne. Elle m'embrasse d'une telle façon qu'elle me fait presque bander. Elle me demande de la lâcher pour se trouver à la verticale. Aussitôt elle vient se serrer contre moi. Cette fois elle n'a pas à m'embrasser, c'est a moi de prendre l'initiative. Je sens sa poitrine contre moi, elle est dure, me donne des envie de baise : je bande rapidement. Mon élève s'en aperçoit aussitôt : elle pose sa main sur la bite. Je pense qu'elle ne va pas me branler, erreur elle arrive à sortir mon engin du slip, ce qui finalement n'est pas difficile. Sa main commence des allers et venues, elle baisse presque complètement mon slip. Je suis presque nu. Je l'arrête pour ne pas jouir rapidement. C'est à mon tour d'aller chercher ses secrets dans son maillot : un deux pièces assez léger est très facile à baisser un peu. Je mets deux doigts dans son sexe. Elle desserre un peu les jambes pour me laisser la branler. C'est à ce moment qu'elle me dit que c'est justement ce qu'elle faisait tout à l'heure en me regardant. Bon aveu de sa part : au moins elle est sensuelle. Mes doigts lui caressent le clitoris. Je passe un bras derrière elle entre les fesses. Je veux aller lui caresser l'anus. Elle s'en doute, aussi elle écarte le plus possible les fesses. Je ne pensais réellement pas qu'elle se laisse faire ainsi. J'ai ma main devant qui la branle, bientôt j'ai l'autre main qui lui caresse et lui branle le cul.
Elle me laisse faire en se laissant aller: elle veux jouir je le sens bien. Et elle jouit, je le sens aux contractions de son anus. Elle se retire un peu: je ne peux plus la peloter. Elle revient, entoure ma taille avec ses jambes, prend ma queue pour la placer sur l'entrée de son sexe. J'allais la baiser quand elle donne un coup de reins : je suis dans son vagin, chaud et humide. Je ne peux faire de grands mouvements: c'est elle qui les fait: elle me baise. Comme elle est placée je peux lui mettre la main au cul facilement Je ne me gêne pas pour lui mettre trois doigts dans l'anus. Sa réaction est immédiate: elle jouit encore. Elle jouit encore quand mon sperme se déverse en elle.
J'ai du y mettre la grosse dose: un peu de sperme nage sur l'eau avant d'aller se dissiper ailleurs.
Elle reste en place, elle me garde en pensant que je vais bander encore longtemps. Je ne suis pas superman, je débande. Elle se met derrière moi, bien collée. Sa main tient toujours ma pine, son autre main me caresse la poitrine et comme je ne bande pas encore elle emploi les grands moyens: un doigt dans le cul. L'effet est presque immédiat: je bande à nouveau. Elle se moque de moi: tu vois quand tu veux. Elle me fait mettre contre l'angle de la piscine, je la colle à nouveau à moi. Elle pend ma bite pour se la mettre au cul. C'est à ce moment là que je vois les jeunes ricaneuses qui s'approchent de nous. Elle les voit aussi :
-Tant mieux si elles viennent, elles verront une nana se faire enculer comme j'aime.
- Si elles nous dénoncent ?
- Penses-tu, elles se branleront aussi, même devant nous.
Ce que je vois c'est que les filles sont de plus en plus proches : elles ne ricanent plus. Elles semblent hypnotisées par notre couple. Malgré ou à cause d'elles, je n'hésite pas à sodomiser ma demoiselle. Elle est debout, ses mains qui tiennent autour de mon cou, les seins presque dehors de l'eau :
- Oui continu, mets moi la au fond du cul, c'est bon, encore, encore, tu vas me faire jouir !!!
- Je te la mets bien à fonds, tu sens mes couilles contre tes fesses ?
- Oui, je vais jouir, tu ne sortiras pas de mon cul, j'en veux encore.
Je vois les jeunes filles nous regarder d'un air plus qu'intéressé. Je les vois passer leurs mains vers leur bas ventre. Elles aussi se branlent en nous regardant faire. Ma maîtresse finissant de jouir me fait sortir de ses fesses : je bande encore. Elle propose aux jeunes pucelles de venir me caresser. Excité comme je suis-je ne dit pas non. J'ai ainsi droit à trois mains sur ma queue. Elles sont dirigées par celle de ma compagne du moment. Elles veulent m'embrasser: j'ai simultanément trois bouches sur la miennes. C'est presque la fin, je jouis une dernière fois grâce à ces trois mains de jeunes qui ne devaient pas dépasser les 20 ans.