Minitel aol et plaisir bi
Récit érotique écrit par Tentationbiparis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Minitel aol et plaisir bi
Bonjour,
Voici deux histoires qui remontent à presque 20 ans, que je me décide à raconter alors que , maintenant marié, des envies bi remontent dans mes désirs.
La première chronologiquement date du temps du minitel. Etudiant, j'y passais alors de temps à autre, sur les messagerie de l'époque. Pas question donc d'échanger des photos avant le premier contact. Tout se faisait à l'écrit, puis oralement par téléphone. Autant dire que l'excitation devant l'inconnu était à son comble : prêt à prendre les jambes à son coup en cas de mauvaise surprise, ou au contraire prêt à dégainer en cas d'heureuse rencontre.
J'avais donc été contacté par un couple qui se disait adultérien, l'homme étant soumis à sa maitresse - infirmière. Rendez-vous fut pris dans un hotel à Vincennes. L'homme m'attendait, sa compagne n'était pas encore là. Il était brun, la trentaine ( j'en avais 20 à l'époque), trappu. On discutait un peu. Je m'impatientais. Il appelait sa compagne, qui ne répondait pas. Il propose alors qu'on commence sans sa copine. Pourquoi pas je lui réponds. Il se déshabille et se met dans le lit. Soumis, il s'allonge sur le lit. Je lui dit de se mettre à quattre patte, car il était convenu que je le doigterai. Je mis un préservatif sur mes doigts ( le sida à l'époque était trés à l'ordre du jour) et commencait à lui glisser un doigt puis deux. Il gémissait petit à petit. la situation m'excitait et je commençais à bander. Je lui mis un troisième doigt. Je baissais mon pantalon, mon braquemart était érigé. Je sens la chaleur de son anus au bout de mes doigts. Il est bien propre : il a du se faire un lavement avant. Sa maitresse n'est toujours pas là. Il me demande si je me veux pas le prendre. Je lui dit que cela ne m'interesse pas. Par contre, je peux lui mettre un doigt de plus. J'ai maintenant tous mes doigts dans son anus qui s'écarte avec un peu de difficulté. Il a l'air de bien apprécié car il gémit comme une chienne en chaleur. Je n'ai pas envie qu'il me touche, par contre de ma main libre je me masturbe. Je commence à me douter que sa maitresse est une leurre...tant pis...j'accélere le mouvement de mon poing dans son cul. Il se dilate de plus en plus. Il haléte et gémit. Je lui ordonne de tourner son visage vers moi et lui éjacule sur la bouche, il gémit encore. J'enléve mes doigts de son anus, qui est bien ouvert.
Je me rhabille et part.
Un ou deux ans aprés, le début d'internet, avec American On line, AOL pour les intimes, et ses fameux salons de discussion, source de tant de fantasmes, de masturbations et parfois de rencontres comme cela que je vais vous raconter. Je discutais depuis quelques temps avec un couple : lui était (encore ) soumis, et sa femme une belle chatain ( les photos étaient maintenant disponible, vive internet et les premier appareil photo numérique) dominatrice et adepte du karaté. Le plan prévu était le suivant : je devais venir chez eux vers minuit, habillé spécifiquement d'un bas de survetement sans slip, afin de pouvoir dégainer vite. Lui doit m'accueillir nu, à genoux dans l'entrée, la bouche ouvert, sans un mot, pour que je lui penetre la bouche et aprés un moment sa femme doit venir pour jouer avec nous deux : Elle doit titiller notre anus tous les deux entre autres plaisirs.
Arrive donc le soir du rendez vous, leur appartement est situé prés du parc des buttes chaumont, a coté d'un escalier pietons ( peut être d'autres personnes les ont rencontrés ..qui sait :) ). Arrivé devant l'entrée de l'immeuble, je les appele, une voix me dit de monter et de frapper doucement à la porte : en effet ils ont parait-ils des enfants qui dorment, il faut donc être discret.
Je prend l'ascenceur, et frappe à la porte. Celle-ci s'ouvre. Il m'attends, à genoux comme prévu. Je referme la porte. Il me chuchotte que sa maitresse doit arriver. Ni d'une, ni de deux, je baisse mon survetement ( c'est pratique) et lui fourre ma bitte, qui est encore molle dans sa bouche. Il est chauve, c'est pratique et lisse. Sa bouche est chaude, et il sait bien s'y prendre, quelques instants plus tard, je bande fort, je prends sa tete entre mes mains et imprime la cadence. Au bout d'un moment, il se dégage de mes mains et sa langue descend vers mes couilles, qu'il gobent, puis vers ma raie. Il commence alors à litéralement me bouffer le cul. Sa langue humide me lèche l'entre fesse, et cherche à se glisser dans mon anus. Il y parvient, il faut dire qu'il est vraiment doué, j'ai l'impression de mouiller de mon fondement. Ma bitte est en erection maximale. Je lui demande ou est sa copine, qu'elle vienne en profiter...il bredouille...encore un plan foireux je me dit..je me retourne et lui remet mon braquemart dans la bouche, et lui baise la bouche de plus en plus vite. Au bout de deux trois minutes, je jouis en lui maintenant mon sexe dans la bouche. Il avale le sperme. Je remonte mon survet et rentre.
Quelques jours plus tard,je le recroise sur aol, il me dit que sa copine était arrivé 20 minutes aprés...cela m'a tout l'air d'être du pipo, mais cela m'a tout de même permis d'avoir un des meilleurs turlutte de ma vie :)
En espérant que ces 2 récits vous ont plu.
Voici deux histoires qui remontent à presque 20 ans, que je me décide à raconter alors que , maintenant marié, des envies bi remontent dans mes désirs.
La première chronologiquement date du temps du minitel. Etudiant, j'y passais alors de temps à autre, sur les messagerie de l'époque. Pas question donc d'échanger des photos avant le premier contact. Tout se faisait à l'écrit, puis oralement par téléphone. Autant dire que l'excitation devant l'inconnu était à son comble : prêt à prendre les jambes à son coup en cas de mauvaise surprise, ou au contraire prêt à dégainer en cas d'heureuse rencontre.
J'avais donc été contacté par un couple qui se disait adultérien, l'homme étant soumis à sa maitresse - infirmière. Rendez-vous fut pris dans un hotel à Vincennes. L'homme m'attendait, sa compagne n'était pas encore là. Il était brun, la trentaine ( j'en avais 20 à l'époque), trappu. On discutait un peu. Je m'impatientais. Il appelait sa compagne, qui ne répondait pas. Il propose alors qu'on commence sans sa copine. Pourquoi pas je lui réponds. Il se déshabille et se met dans le lit. Soumis, il s'allonge sur le lit. Je lui dit de se mettre à quattre patte, car il était convenu que je le doigterai. Je mis un préservatif sur mes doigts ( le sida à l'époque était trés à l'ordre du jour) et commencait à lui glisser un doigt puis deux. Il gémissait petit à petit. la situation m'excitait et je commençais à bander. Je lui mis un troisième doigt. Je baissais mon pantalon, mon braquemart était érigé. Je sens la chaleur de son anus au bout de mes doigts. Il est bien propre : il a du se faire un lavement avant. Sa maitresse n'est toujours pas là. Il me demande si je me veux pas le prendre. Je lui dit que cela ne m'interesse pas. Par contre, je peux lui mettre un doigt de plus. J'ai maintenant tous mes doigts dans son anus qui s'écarte avec un peu de difficulté. Il a l'air de bien apprécié car il gémit comme une chienne en chaleur. Je n'ai pas envie qu'il me touche, par contre de ma main libre je me masturbe. Je commence à me douter que sa maitresse est une leurre...tant pis...j'accélere le mouvement de mon poing dans son cul. Il se dilate de plus en plus. Il haléte et gémit. Je lui ordonne de tourner son visage vers moi et lui éjacule sur la bouche, il gémit encore. J'enléve mes doigts de son anus, qui est bien ouvert.
Je me rhabille et part.
Un ou deux ans aprés, le début d'internet, avec American On line, AOL pour les intimes, et ses fameux salons de discussion, source de tant de fantasmes, de masturbations et parfois de rencontres comme cela que je vais vous raconter. Je discutais depuis quelques temps avec un couple : lui était (encore ) soumis, et sa femme une belle chatain ( les photos étaient maintenant disponible, vive internet et les premier appareil photo numérique) dominatrice et adepte du karaté. Le plan prévu était le suivant : je devais venir chez eux vers minuit, habillé spécifiquement d'un bas de survetement sans slip, afin de pouvoir dégainer vite. Lui doit m'accueillir nu, à genoux dans l'entrée, la bouche ouvert, sans un mot, pour que je lui penetre la bouche et aprés un moment sa femme doit venir pour jouer avec nous deux : Elle doit titiller notre anus tous les deux entre autres plaisirs.
Arrive donc le soir du rendez vous, leur appartement est situé prés du parc des buttes chaumont, a coté d'un escalier pietons ( peut être d'autres personnes les ont rencontrés ..qui sait :) ). Arrivé devant l'entrée de l'immeuble, je les appele, une voix me dit de monter et de frapper doucement à la porte : en effet ils ont parait-ils des enfants qui dorment, il faut donc être discret.
Je prend l'ascenceur, et frappe à la porte. Celle-ci s'ouvre. Il m'attends, à genoux comme prévu. Je referme la porte. Il me chuchotte que sa maitresse doit arriver. Ni d'une, ni de deux, je baisse mon survetement ( c'est pratique) et lui fourre ma bitte, qui est encore molle dans sa bouche. Il est chauve, c'est pratique et lisse. Sa bouche est chaude, et il sait bien s'y prendre, quelques instants plus tard, je bande fort, je prends sa tete entre mes mains et imprime la cadence. Au bout d'un moment, il se dégage de mes mains et sa langue descend vers mes couilles, qu'il gobent, puis vers ma raie. Il commence alors à litéralement me bouffer le cul. Sa langue humide me lèche l'entre fesse, et cherche à se glisser dans mon anus. Il y parvient, il faut dire qu'il est vraiment doué, j'ai l'impression de mouiller de mon fondement. Ma bitte est en erection maximale. Je lui demande ou est sa copine, qu'elle vienne en profiter...il bredouille...encore un plan foireux je me dit..je me retourne et lui remet mon braquemart dans la bouche, et lui baise la bouche de plus en plus vite. Au bout de deux trois minutes, je jouis en lui maintenant mon sexe dans la bouche. Il avale le sperme. Je remonte mon survet et rentre.
Quelques jours plus tard,je le recroise sur aol, il me dit que sa copine était arrivé 20 minutes aprés...cela m'a tout l'air d'être du pipo, mais cela m'a tout de même permis d'avoir un des meilleurs turlutte de ma vie :)
En espérant que ces 2 récits vous ont plu.
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j 'adore cette histoire