Mises au point 3 : : Amours & Cie
Récit érotique écrit par Ethelrede [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mises au point 3 : : Amours & Cie
Mises au point 3 : : Amours & Cie
La vidéo
Les six amis ont décidé de créer un live sur un site spécialisé dans les films pornographiques/érotiques. Leur objectif : gagner suffisamment d'argent pour payer les études de Steffi, qui a dû quitter le domicile familial suite au refus de son père de la laisser faire les études qu'elle souhaitait… ni aucunes études que ce soit, préférant la marier pour qu'elle demeure à la maison auprès de son mari…
Le live s'appelle Amours & Cie. Dans la vidéothèque mise à disposition sur leur compte, ils ont décidé de poster une vidéo qui explique qui sont les six amis fondateurs, pourquoi ils sont là et quelle est leur éthique. Comme les vacances viennent de commencer, ils se sont mis au travail et ont rapidement réalisé la bande. Ce jeudi soir, ils la visionnent une ultime fois avant de la mettre en ligne !
Lorsque commence la vidéo, on voit dans un premier temps les six acteurs alignés, comme au moment du salut, après une pièce de théâtre. Des sous-titres en anglais permettent de suivre pour les spectateurs non francophones. Petit zoom, la caméra fait sa mise au point sur Hanna, la plus à gauche de la ligne. Elle est sobrement vêtue d'une robe noire assez courte, élégante, très bien coupée :
- Bonjour, mon nom est Hanna. J'ai bientôt dix-neuf ans, je viens d'obtenir mon bac avec une mention bien. J'entre en fac de médecine à la prochaine rentrée. Ma tendance personnelle a toujours été une attirance pour les filles, même si j'ai à plusieurs reprises eu des petits amis garçons dans mes débuts. Je voudrais vous dire que, ce que vous allez nous voir faire dans nos spectacles, nos shows, nous n'en avons aucune honte car nous le faisons pour une bonne cause. Vous dire aussi que tout ce que vous verrez est authentique et sans aucune simulation. Nous ne sommes pas des acteurs du sexe professionnels et n'avons aucune vocation à le devenir.
Elle se tait et la caméra fait un petit mouvement sur la droite… Ne voit rien, descend un peu et cadre le joli visage d'Agathe !
- Bonjour ! Mon nom est Agathe, j'ai tout juste dix-huit ans, je viens d'obtenir mon bac avec une mention très bien. Je me destine à une carrière de professeur d'anglais ou d'interprète ou traductrice simultanée, j'hésite encore. Mon prénom évoque une pierre très dure mais je suis plutôt attirée par la douceur ! Mon orientation sexuelle de base a toujours été vers les garçons. Je suis d'ailleurs très amoureuse d'un garçon avec lequel je compte fermement faire ma vie, je lui suis et serai fidèle toujours ! Pourtant, je dois admettre que depuis peu, je ressens une forte attirance vers les filles, notamment une qui est chère à mon cœur. Cela se traduit par le fait qu'elle et moi faisons assez souvent l'amour ensemble. Vous jugez cela incompatible avec mon amour et ma fidélité envers mon compagnon ? Pas lui, ni moi ! Je voudrais vous dire que dans notre groupe Amours &Cie, nous avons choisi la sincérité. Si une personne dit "je t'aime", c'est vrai, ne serait-ce qu'au moment où cette parole est prononcée. En outre, nous ne nous sommes fixé aucun interdit, ce qui ne remet nullement en cause notre fidélité, car nous adhérons à une bonne cause.
Agathe tourne la tête sur sa gauche, la caméra la suit… fait sa mise au point sur un beau garçon, enfin un !
- Bonjour, j'ai pour prénom Flavien, j'ai dix-huit ans, je viens de passer mon bac, avec mention très bien et je suis inscrit en fac de médecine pour la rentrée, donc avec Hanna que vous avez déjà vue. Mon orientation est résolument hétéro, mais je n'ai aucune forme de rejet ou d'ostracisme vis-à-vis des autres orientations possibles, tant qu'elles ne m'imposent aucune prosélyte visant à me dérouter de ma tendance actuelle. Je suis, c'est certain, très attiré par une très jolie fille mais rien n'est gravé dans le marbre, je ne suis pas même certain qu'elle le sache ! J'ai vocation à devenir l'homme d'une seule femme et j'y tiens fermement, même s'il m'arrive de trouver désirables d'autres filles. Toutefois, dans le cadre de "Amours &Cie", j'ai dû accepter de ne m'imposer aucun interdit. Surprise surprise. Je voudrais vous dire que les scènes qui vous seront proposées dans nos spectacles et nos shows seront toujours tirées de l'inspiration du moment. Rien n'est écrit à l'avance. Vous ne verres jamais deux fois la même programmation, sauf si les acteurs du moment souhaitent réitérer une chose qui leur aurait donné un vraiment grand plaisir !
Un petit mouvement tournant amène dans le champ la frimousse espiègle de Gisèle qui arbore un immense sourire des plus gourmands.
- Bonjour ! Je suis Gisèle, j'ai dix-huit ans passés de peu et je viens d'avoir mon bac en mode très bien : hyper fière, donc ! Je suis, moi aussi inscrite en fac de médecine, donc avec Flavien et Hanna que vous connaissez déjà. Mes attirances sexuelles sont complexes car j'ai passé plusieurs années auprès de garçons, sans jamais, toutefois, passer à l'horizontale, si vous voyez ce que je veux dire ! Mes deux dernières années de gentille drague avec des garçons ont été accompagnées par la cour effrénée que me faisait une fille, très belle, aux avances de laquelle j'ai fini par céder. Elle est donc ma compagne et depuis, je suis devenue un indécrottable goudou. Je voudrais vous dire que, dans notre groupe "Amours &Cie", l'un de nos objectifs est que les liens affectifs de notre vie réelle ne soient pas détectables. Normalement, si nous ne sommes pas trop nuls, vous ne saurez rien ! Nous pratiquerons diverses prestations avec divers acteurs dont nous ne sommes pas les partenaires dans la vraie vie et nous le ferons avec la plus grande sincérité, soyez-en certains, car Amours & Cie signifie que nous nous aimons réellement… au moment M ! Hé oui ! le reste du temps aussi, nous avons une très grande estime les uns pour les autres… Mais l'amour, le vrai… allez savoir pour qui il est ! Et tout cela, nous le consentons entre nous car c'est pour une bonne cause.
Le visage suivant est celui d'un garçon aux traits sérieux, presque durs. On devine pourtant qu'il est probablement timide !
- Bonjour, mon nom est Antoine. J'ai eu dix-huit ans à Pâques dernières et je viens d'avoir mon bac… je répugne à dire avec quelle mention. Je vais être étudiant en agronomie, ce qui signifie que je retourne au lycée pour deux ou trois année de classes préparatoires au concours de l'école. Ma position vis-à-vis du sexe et de l'amour, c'est que sans amour, il ne peut y avoir de sexe. Je suis très exclusivement hétérosexuel, sans pour autan avoir investigué les autres orientations. Je n'en parlerai donc pas puisque j'en ignore tout. Je suis lié par un amour unique, d'une puissance que je souhaite à tous et à toutes… Je compte fermement épouser cette merveilleuse personne qui est tout pour moi. Cependant, au sein d'Amours & Cie, il est possible que je sois amené à des relations avec une autre personne que ma promise… et je le ferai avec la plus grande sincérité car l'amour sera entre nous, pour une cause belle et juste. Je voudrais vous dire que nous avons choisi de ne pas nous masquer ni travestir nos noms, après une longue hésitation, car nous n'avons pas honte de défendre une bonne cause. Nous disparaitrons du réseau sitôt cette cause réalisée, son objectif atteint.
La caméra se stabilise enfin sur le dernier acteur, actrice en l'occurrence : Steffi. Contrairement aux autres, elle s'avance d'un pas. Elle porte une jupe fleurie descendant à mi-mollet et un petit corsage bouffant en tissu léger gris perle, très élégante avec ses belles boucles châtaines tombant sur ses épaules !
- Bonjour, je suis Steffi, J'ai eu dix-huit ans en février dernier, je viens d'avoir mon bac, peu importe la mention ! Je suis moi aussi inscrite en première année de médecine pour la rentrée prochaine. Mon orientation sexuelle est à la fois très nette et un peu floue à mes yeux : je pense être faite pour vivre avec un homme, cela ne fait pas trop de doute pour moi. J'y songe fortement et d'ailleurs, mon cœur penche ces derniers temps pour un gars que je trouve très chouette. Mais en même temps, je ressens une excitation considérable à la vue de certaines filles qui me mettent dans tous mes états ! Je voudrais vous donner quelques détails sur la cause, la bonne et belle cause dont mes amis viennent de vous parler. L'une des personnes de notre groupe Amours & Cie s'est vu interdire l'accès à toutes formes d'études par son père. C'est un véto catégorique opposé par son père qui a justifié le départ définitif de cette personne du domicile parental. Maintenant, à nous six, nous devons trouver le financement de ses études. Et c'est VOUS, qui allez nous y aider, par votre générosité ! Nous allons faire de notre mieux pour alimenter vos fantasmes et vous donner du plaisir. Nous fixerons des objectifs raisonnables mais certains seront très élevés… Je vous donne un exemple : moi-même, je suis encore vierge. Lorsque je me sentirai prête à offrir ma virginité à l'homme que j'aurai choisi, il rejoindra Amours & Cie s'il n'en fait pas partie et c'est devant vous que cela se passera : j'en fais le serment ici-même !
Steffi se tut enfin, se dirigea vers le début du rang, prit Hanna par la main et l'emmena, la caméra les suivant, vers un canapé au fond de la pièce. Les deux filles n'attendirent pas d'être assises pour s'embrasser avec une fougue croissante. Bientôt, la fermeture éclair de la jolie robe noire s'avoue vaincue tandis que les boutons du chemisier sont un à un conquis. Hanna ne portait rien sous la robe, une fine culotte de dentelle blanche constitue l'ultime rempart de Steffi sous la jupe qui, elle aussi, a volé au loin.
Les baisers continuent et les mains commencent à s'activer vers la culotte et le joli petit minou tout lisse… Soudain, tout cesse, les deux filles tournent un immense sourire vers la caméra et disent dans un ensemble parfait :
- Pour la suite, chers amis, chères spectatrices, rendez-vous sur le prochain show d'Amours & Cie !
Les shows
Premier
Le compte "Amours & Cie" a bien été ouvert et activé ce jour ! Les six amis se sont dit qu'un vendredi soir, c'était sans doute propice… Bon, les visiteurs venant tous de la planète Terre, date et heure n'ont en fait pas autant d'importance qu'on le croirait.
Comme promis sur la vidéo d'annonce, C'est Hanna et Steffi qui ont l'honneur d'ouvrir la danse ! Elles se sont vêtues comme dans la vidéo… Une fois en ligne, il n'y a plus qu'à attendre. C'est le plus long… le plus lassant, sans doute, dans l'esprit de nos deux animatrices. Un visiteur : Doudou37 ! Hanna l'interpelle :
- Hello Doudou, tu es de l'Indre et Loire ou bien tu es né en 37 ? Bel âge, en ce cas !
- Ni l'un ni l'autre : j'ai 37 ans !
- T'es un doudou ou bien une doudou ? Tu as vu, ma doudou, ce soir s'appelle Steffi, elle est très belle, hein ?
- Je suis un doudou…
- Bon alors tu as vu le programme ? On va commencer doucement, de 19 à 21 heures, ce sera des bisous, tout ça. Pour 55 jetons, on va se rouler un patin fabuleux. Ensuite, on aura le déshabillage : 98jetons par vêtement. Hé, on n'en a pas mis trop !
- J'ai vu.
- Et si on a du monde et si les jetons sont de la partie, pour mille cinq-cents jetons, on vous fera un show lesbien de trente minutes avec un moins deux vrais orgasmes chacune, c'est le minimum syndical !
À partir de là les filles commencent à se faire des bisous, se caresser à travers leurs vêtements, passer les mains dessous, sans rien laisser voir, se jeter des regards torrides et se dire tout ce qu'elles ont envie de se faire, plus tard, pour le show final. Les jetons commencent à tomber. À 55, Hanna prend Steffi sur ses cuisses et commence à l'embrasser avec amour, avec sincérité. C'est magnifique : on sent les deux partenaires pleinement engagées, on sent leur excitation ! Cinq minutes de baiser sans interruption, houa ! L'objectif suivant est annoncé à 95 jetons :ôter le chemiser de Steffi.
De toute évidence, les spectateurs se sont donné le mot. Il ne faut pas cinq minutes pour l'atteindre et en vingt minutes, les deux filles sont nues. Bien trop vite ! Alors elles fixent un objectif intermédiaire pour trois-cents jetons : retirer le plug d'Hanna avec les dents. Il était prévu initialement de le retirer pendant le show final, tant pis ! La grande fille se lève, se penche et fait admirer à la caméra la superbe améthyste qui brille entre ses fesses, bien tournée vers la webcam…
La course commence. Doudou37 envoie un pourboire de 45 jetons… Bon début ! Cette fois, c'est un peu plus poussif mais tout de même, assez rapidement, la petite sonnerie annonce l'objectif atteint. Alors Hanna se met à genoux sur le lit et se penche, tête sur le matelas. Steffi qui n'a jamais vu ce genre d'objet se doute de la manière dont elle va devoir s'y prendre, ce qui lui confirme sa partenaire dans un murmure.
Elle ouvre toute grande sa bouche, regardant la caméra, puis se place latéralement près des hanches d'Hanna, place ses deux mains sur ses fesses pour les tenir écartées, vient enfin délicatement passer ses dents derrière la collerette avant de la tirer tout doucement. L'ogive métallique sort en étincelant. Hanna se redresse et vient la recueillir dans sa bouche… Puis elle la dépose et embrasse sa partenaire, nouvelle manifestation de fougue ! Le point positif, c'est que cet intermède on prévu a tout de même permis d'arriver à l'heure prévue pour lancer le dernier objectif de la journée. Il apparait : 4998 jetons pour le show lesbien complet de trente minutes ! Les spectateurs connectés vont-ils être tentés ? vont-il envoyer de bons pourboires et faire monter la tension ? Les deux filles ont de gros doutes, tout de même…
Elles ont choisi de se rhabiller, en ajoutant quelques sous-vêtements, de manière à donner l'occasion d'un joli déshabillage ! Elles profitent de leur tenue pour s'alimenter un peu, aussi. Avec un sourire angélique, Steffi va devant la caméra :
- Si nous voulons être en forme pour vous donner un show digne de ce nom, il faut bien qu'on mange un peu, hein ?
Le temps qu'elles mangent, c'est déjà plus de deux mille jetons qui sont tombés. Sans doute des internautes ont-ils prévenu certains contacts, leur disant qu'il allait se passer des choses… Il n'est pas encore vingt-et-une heures quand retentit la petite sonnerie… Le montant est atteint, dépassé, même…
Steffi oriente la webcam différemment, vers le grand lit, y apporte la télécommande. Hanna fouille un sac et dispose quelques objets que les spectateurs n'ont pas le temps de voir : des jouets, sans doute ! Puis les deux filles se retrouvent face à face. Hanna sourit :
- Ma doudou, jolie Steffi… Nous n'avons jamais fait l'amour ensemble ! On va faire quelque chose de chouette, hein ? Ça fait si longtemps que je t'ai remarquée, au lycée, et que tu me plais… Et là, maintenant, j'ai tellement envie de toi ! Je vais t'aimer comme une dingue.
- Moi aussi Hanna, je te vois courtiser d'autres filles depuis des mois, j'ai même été limite jalouse, parfois. Des nuits entières j'ai rêvé de ce que je te ferais si d'aventure… Et le moment est venu ! J'ai envie de toi, Hanna…
Baiser chaud et sensuel, mains qui se promènent sur et sous les vêtements, qui caressent, qui pincent, qui pénètrent… Qui arrachent les premiers soupirs aux deux partenaires. Steffi a fait basculer Hanna sur le dos et lui a saisi les jambes, amené ses pieds jusqu'à sa bouche pour les lécher, les mordiller les sucer…
- Oh, comme tes pieds sont jolis, j'adore ! Je sens qu'on va être de bonnes copines, toi et moi : rien qu'à voir tes pieds, j'ai ma petite culotte toute mouillée…
- Tu aimes tant que ça les pieds ?
- Tu ne peux pas savoir à quel point !
- Tous les pieds te font cet effet ?
- Les tiens, oui, ceux d'Agathe aussi… Gisèle, non. C'est selon…
- Garçons et filles ?
- Ah, ça… Tu marques un point : je n'ai jamais regardé pour les garçons… Il faudra que je fasse un test !
Elle regarde Hanna droit dans les yeux et, descendant un de ses pieds jusqu'à la hauteur de son entrejambe, elle soulève la jupe et passe le pied dessous. Personne ne peut rien voir mais on devine comment Steffi dirige les orteils vers, sa culotte, l'écarte sans doute, les fait aller et venir sur son petit abricot… de haut en bas, d'avant en arrière…
Ses yeux deviennent tout ronds tandis qu'elle étouffe un petit hoquet. De ses deux mains, elle dirige le pied, on le voit dans un mouvement de va-et-vient qui s'amplifie jusqu'au moment ou elle pousse un petit cri, fermant les yeux et serrant ses jambes convulsivement, toute secouée de spasmes. Elle ressort le pied luisant de dessous la jupe, le remonte à ses lèvres et le lèche goulument avec ravissement. Sa langue remonte le cours de la jambe : sa tête passe sous sa robe noire… Maintenant, c'est Hanna qui commence à frémir. Les deux mains de Steffi ont pris d'assaut sa poitrine, très menue, plate, mais dotée de fabuleux tétons. À travers l'étoffe de la robe, on la voit les saisir, les étirer, on entend Hanna gémir… Puis, sans doute lui donne-t-elle l'estocade, là, sous le noir tissu, Hanna pousse une longue plainte en se cabrant, dos courbé vers l'arrière et cuisses tremblantes.
Les deux filles se donnent un instant de répit, se regardant avec tendresse. Hanna parle tout doucement :
- Ma belle ! Ce n'était pas prévu, ça ! Joli travail et magnifique idée !
Elle déboutonne soigneusement le corsage de Steffi qui, de son côté, fait tomber une nouvelle fois la jolie robe noire. La jupe vole à son tour : les deux partenaires sont maintenant en culottes et Steffi a encore un soutien-gorge qui fait aimablement pigeonner ses seins.
- Les voilà à genoux face à face : Hanna saisit Steffi par la taille et s'allonge sur le dos, forçant sa jeune partenaire à venir chevaucher son visage. Sa cavalière comprenant son attente fait mine de baisser sa culotte :
- Pas de ça Lisette ! Aujourd'hui, je veux boire de l'eau filtrée !
Hanna possède une langue démesurée : elle la passe sur la fine dentelle, juste au dessus du petit minou dont elle convoite le divin nectar, le recouvre en totalité. Elle appuie, le contourne, le flatte, l'enserre entre ses lèvres pulpeuses et aspire avec force. Steffi n'a jamais reçu une telle caresse. Elle voudrait ôter cette culotte mais réalise en même temps qu'elle ajoute une dimension érotique, une excitation superlative !
Elle sent les deux mains de sa partenaire se glisser sous la culotte pour caresser ses fesses. Un doigt se glisse entre les dodus globes de chair appétissante et caresse le petit anneau musculeux. Steffi tente d'ôter cette main… Une tape plutôt inamicale sur la main lui fait comprendre qu'elle n'a pas son mot à dire et elle se soumet bon gré mal gré. Une phalange indiscrète revient à la charge tandis que la langue agile continue son œuvre. Bientôt, la jeune femme sent une puissante montée de plaisir qui étreint son petit anneau, lui donne envie de plus.
- Oh oui, Hanna, vas-y, plus fort, s'il te plaît… Oui encore, plus profond, encore…
Hanna ôte son doigt et le remet accompagné de son voisin, provoquant un véritable rugissement de plaisir. Steffi est au bord du plus puissant orgasme de toute sa vie. Elle se tortille, ondule des fesses et du bassin, cherchant à magnifier les effets de deux caresses qu'elle reçoit simultanément, sa liqueur d'amour coule en abondance. Elle geint, râle et finalement pousse un cri strident, long et modulé tandis que ses cuisses sont prises d'incoercibles tremblements.
Elle s'effondre sur le côté, roule sur le dos, exténuée ; Hanna lui retire enfin la culotte détrempée qu'elle porte toujours. Se penchant entre ses cuisses offertes, elle lèche avec douceur ces parties devenues si sensibles mais demeurant toujours aussi irrésistiblement attirantes. Du bout de sa langue, elle lisse les pétales froissés de la jolie fleur, en butine le pistil avec légèreté, plonge au fond du calice recueillir son nectar parfumé.
Steffi se redresse légèrement, se tord de manière à amener sa tête sur sa partenaire dans une position identique et entreprend de lui rendre la politesse. Une main d'Hanna plonge sous un oreiller et en sort un jouet qu'elle tend à son amie. Message reçu ! Steffi vient placer le membre factice sur le luisant sillon qu'elle vient de parcourir d'une langue gourmande. La belle serre aussitôt les cuisses en signe de refus, puis les écarte de nouveau en basculant son bassin en un message assez clair. C'est donc sur la petite rosette violacée que l'objet vient terminer sa course, à la grande satisfaction de la jolie brune !
Steffi pousse à peine sur l'objet, il entre avec une facilité déconcertante. Elle appuie à peine plus, le voila presque totalement entré. Hanna vient d'elle-même écarter ses fesses encore un peu plus : le renflement de la base de la hampe factice entre à son tour, malgré son diamètre dissuasif. Sur l'écran, on peut voir la ventouse qui, seule, reste à l'extérieur… Sa jeune partenaire s'active, joue de la langue et de ses doigts, lèche et savoure la délicieuse crème blanche qui commence à sourdre en quantité. Elle a de la peine à tout faire disparaître tant l'écoulement en est abondant, elle en a la figure toute barbouillée, on ne voit plus que cela sur l'écran !
Soudain, Hanna pousse un soupir particulièrement profond, se tend une fois encore en contractant tous ses muscles : on voit son ventre se durcir, ses fesses se crisper, se serrer à l'extrême. La ventouse du jouet se plie et tout à coup entre à son tour, le petit anneau se referme derrière elle… Hanna vole en éclats dans une tempête orgasmique démente comme elle n'en a jamais connu. Tout son corps est parcouru d'ondes de plaisirs, de spasmes qui la font tressauter comme un poisson sorti de l'eau, les yeux clos, les dents serrées. Steffi lape avec gourmandise les dernières petites coulées de la douce liqueur crémeuse tandis qu'Hanna revient doucement à elle. D'une main habituée, elle récupère son jouet et le pose au sol. Son regard sur Steffi n'est plus tout à fait le même :
- Oh, toi… Toi… Toi, Steffi ! Personne ne m'avait jamais fait jouir comme ça ! Tu es vraiment douée, pour une presque hétéro ! Tu as du talent, même… Oui, je crois qu'on va être de bonnes copines, toi et moi !
- Dis, ton gode… quand il a disparu… J'ai eu la trouille ! Que s'est-il passé ?
- Oh, ça ! Ça m'arrive de l'avaler comme ça, quand je suis dans une excitation vraiment intense ! Et là, tu peux me croire, elle était au rendez-vous, l'excitation !
Les filles regardent l'heure : sapristi, quarante minutes de show ! Il est grand temps de terminer la séance. Hanna, toujours en tenue de travail, se place face à la caméra, Steffi à sa droite :
- Bon, les p'tits loups, ça vous a plu ? Au fait, notre Doudou est toujours là ? Tu as aimé, dis, Doudou ?
- Je veux ! il était fabuleux, votre show, j'espère qu'il y en aura d'autres !
- T'en fais pas, on en fera des tas ! Bon, c'est l'heure d'éteindre les lumières et de faire dodo ! La prochaine vacation sur Amours & Cie, c'est demain, samedi matin à neuf heures ! Merci à tous d'être venus, merci pour votre générosité. Merci de faire de la pub autour de vous pour Amours & Cie ! Aimez-vous toutes et tous, nous vous aimons, ciao bye !
Avant de repartir, Steffi murmure, effarée :
- Dis, Hanna, tu as vu ce que nous avons fait ? Si mes calculs sont justes, nous avons gagné pas loin de cinq cents euros…
- C'est dingue ! Même si c'était cinquante, on serait super heureuses ! Oui, on a super bien marché. C'est la rançon de la sincérité…
Deuxième
Ce samedi matin, c'est Flavien qui vient démarrer l'ordinateur et qui ouvre une session sur Amours & Cie à neuf heures piles. Il râle un peu parce que le groupe a décidé la veille au soir que, puisque deux filles avaient ouvert la danse, ce serait de bonne guerre que les deux garçons commencent le show suivant. Ils ont dit OK mais ne sont pas du tout inspirés ! À peine la session ouvert, une connexion arrive : Barézille77… tout un programme.
Flavien se demande à quoi ressemble cette personne. Il allume le micro :
- Salut les p'tits loups, salut Barézille, tu es quoi, toi, martien, terrien, homme, femme ? T peux mettre le son, on est seul…
- Je suis une femme !
- Jolie voix. Tu peux mettre ta webcam ?
Apparait une fenêtre dans laquelle Flavien peut admirer une plutôt jolie femme vêtue en tout et pour toute de bas résilles ! La webcam s'éteint aussitôt.
- Ah, oui ! ton pseudo se comprend mieux, comme ça !
Antoine arrive, il est vêtu d'un bleu de travail. Il semble revenir d'un chantier, avec un air très affairé.
- Salut Flavien. Les nanas ne sont pas encore arrivées ? Elles exagèrent… On n'a pas que ça à faire, nous…
- Nan, toujours pas là. Et je ne sais pas ce qu'on va bien pouvoir proposer. On a une seule connexion, regarde : Barézille77. C'est une super jolie nana !
Un post de Barézille77 apparait : "Vous n'avez qu'à nous faire une comparaison de vos membres… ça ferait une bonne… introduction !"
Flavien et Antoine se regardent… Pfff. Autant les filles ont eu l'air d'adorer leur prestation de la veille, autant ils ont envie de se produire ici comme d'aller se pendre ! Antoine, très direct :
- Tu voudrais vraiment me toucher la bite, toi ?
- Bin… pas trop… Mais tu as vu la vidéo des filles, hein… elles n'ont pas fait que toucher ! J'espère qu'elles vont arriver et qu'on aura une relève avant d'avoir dû aller trop loin.
Un peu à contrecœur, Flavien lance le premier objectif : pour 55 jetons, les deux garçons vont comparer la grosseur et la longueur de leur sexe en modestie et en érection… Flavien a un doute :
- Je ne suis pas sûr du tout d'arriver à bander pour la prise de mesure…
- Bah… On se lance, on verra bien. Et puis… C'est pour une bonne cause !
Elle a bon dos, la cause… Ils sont d'une humeur vraiment pas au top ! Il ne faut pourtant qu'un petit quart d'heure pour que les 55 jetons soient tous collectés : pas d'échappatoire, il faut y aller ! Alors, Antoine ôte son bleu de travail : il est habillé dessous. Il ouvre sa braguette… pas bien commode, tout ça. Plus pragmatique, Flavien retire son pantalon : après tout, ce sera fait, il faudra sûrement aller plus loin après… Antoine le suit. Les voilà donc en T-shirt, flamberge au vent !
La mesure au repos est en faveur d'Antoine, légèrement plus long que Flavien, mais de peu. Maintenant, il va falloir échauffer ces petites choses… Antoine se décide : il saisit délicatement la verge de son ami et la caresse avec légèreté du bout de ses doigts. Il est surpris par la sensation de douceur de cette peau : il a pourtant la même, il n'avait jamais remarqué ! Il serre un peu plus fort et sent immédiatement une réaction de la verge qui commence à croître dans sa main. Une grande émotion le gagne à penser que c'est lui qui provoque l'érection de son ami. Flavien a saisi le sexe de son partenaire et le presse doucement entre ses doigts. À son tour, il sent l'objet gonfler dans le fourreau de ses doigts.
En quelques secondes, les voilà qui arborent chacun une fort belle érection ainsi qu'un visage écarlate. Au lieu de mesurer, ils décident de les placer côte à côte tête-bêche : la lecture est sans appel : Flavien est sensiblement plus long, d'un bon demi-gland, Antoine, lui, est en revanche un peu plus épais !
À l'écran, les pourboires crépitent… Antoine passe donc au défi suivant : 248 jetons pour prendre le sexe de Flavien dans sa bouche et le sucer une minute complète. Il ne comprend pas bien ce qui lui arrive. Il ne veut pas du tout faire ce genre de choses, mais envoyer cet objectif déclenche en lui une sorte d'excitation qui le met littéralement en transes. Il commence à en avoir réellement envie et se prend à espérer que ça aille vite ! Les jetons tombent plus ou moins régulièrement, le compteur crépite, Flavien s'entretient devant l'écran, d'une main paresseuse… Bientôt, la petite sonnerie annonce que le show peut commencer… Une petite mise au point s'impose. Flavien se lance :
- Ni Antoine ni moi n'avons jamais pratiqué cet exercice… Nous comptons sur votre indulgence… et vos encouragements !
Antoine se place donc à genoux de profil face à la caméra, Flavien debout devant lui… après une très courte hésitation, il le prend dans sa bouche. Énorme surprise ! Lui qui pensait ressentir une sorte de dégoût trouve le contact très agréable. Il ressort le sexe en érection, le regarde avec étonnement, le caresse du bout de ses doigts, le reprend dans sa bouche avec envie. C'est tout doux, c'est chaud, ça palpite sur la langue : une grande excitation le gagne… Antoine fait coulisser le pieu de chair entre ses lèvres, le faisant pénétrer chaque fois de plus en plus profondément. Il arrive à la limite extrême, tout près de sa luette, fait ressortir le membre et recommence. Il serre ses lèvres au plus fort en un anneau aussi étroit qu'il le peut, lèche le frein lorsqu'il arrive tout au bout. D'une main, il caresse en même temps les bourses, les flatte, les pétrit avec douceur.
Flavien soupire dans son étonnement : lui qui pensait également ressentir du dégoût commence au contraire à apprécier la caresse de son ami. Il anticipe le moment où le plaisir le saisira et où il lui fera l'hommage de sa jouissance en se déversant dans sa bouche… Il imagine même quelles suites pourraient bien survenir !
La minute n'est pas tout à fait écoulée lorsque Flavien ne parvient pas à retenir un râle et se répand dans la bouche de son ami ! Un millième de seconde plus tard, la décision d'Antoine est prise : pour la cause, il se doit d'être irréprochable à l'écran… Alors, il se tourne vers la caméra, ouvrant tout grand la bouche pour que tous puissent voir la belle et onctueuse liqueur blanche qui couvre généreusement sa langue, puis il l'avale par petites goulées, savourant le doux nectar, reprend en main le sexe de Flavien, lèche, le presse, l'aspire pour en extraire jusqu'à la dernière goutte, le tout en affichant un sourire dépourvu de toute équivoque : finalement, il a adoré ça !
Il dit quelques mots à l'oreille de Flavien en se relevant :
- Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Soit tu me fais pareil, mais ça ferait un peu réchauffé… soit je vais devoir te prendre par les fesses… De toute manière, tôt ou tard, on y passera tous les deux, je le crains… Pour la cause !
- Tu as raison, on va opter pour la deuxième… Je n'aime pas trop l'idée mais j'avoue ressentir une belle excitation en y pensant… Et puis, avons-nous le choix ?
C'est à cet instant qu'Agathe et Steffi entrent dans le studio, comprennent ce qui vient de se produire… Agathe sourit :
- Hé bien, les p'tits minets, qu'est-ce que vous avez dû faire, là ? Il fallait nous attendre ! On l'aurait fait à votre place ! Allez, poussez-vous, on va prendre la suite, vous voulez bien ?
- Heu… Vous ne croyez pas que vous la jouez un peu faux-cul ? Je parie que vous étiez derrière la porte depuis vingt minutes !
Avec son habituel regard plein de candeur, Agathe se tourne vers une Steffi hilare et lance :
- Ça, alors ! Comment une telle idée peut-elle leur être venue ? Bon, on vous relève ?
- Non, en fait, nous venions de décider que nous allions continuer.
- Oh ! alors on va vous assister de notre mieux
C'est Flavien lui-même qui va lancer l'objectif final : pour 4998 jetons, il va offrir sa virginité anale à son ami Antoine, assisté des deux filles. Le compteur de jetons commence immédiatement à crépiter : Barézille77 a offert 90 jetons !
Sur le canapé, Steffi et Agathe s'embrassent langoureusement tout en se donnant de tendres caresses. Antoine s'approche d'elles et interpose son sexe palpitant entre les quatre jolies lèvres. Les deux filles s'en saisissent et commencent à lui administrer une suave caresse linguale, devant Flavien, un rien jaloux :
- Hé soldat Antoine, n'oublie pas que tu vas en avoir besoin bientôt… Ne fais pas péter toutes tes munitions avant le combat !
Le garçon s'en moque et lui fait signe de venir participer. Tandis que les filles s'occupent de leur mieux de ces deux verges magnifiques, leurs mains ne restent pas inactives : elles se caressent la poitrine, descendent jusqu'à leur petit minou qu'elles s'explorent mutuellement de leurs doigts plus qu'habitués à l'exercice ! Lorsque retentit le jingle de l'objectif atteint, elles sont au bord de l'orgasme.
Flavien fait s'allonger Agathe sur le flanc au bord du lit et vient se positionner devant elle. Il la regarde intensément avant de l'embrasser, et dans ce regard, la jeune femme n'a aucune peine à lire ce que ressent le garçon : il a peur de ce qui l'attend ! Agathe lui fait son plus joli sourire, le plus rassurant, tout en chuchotant, d'une manière tout à fait inaudible si ce n'est par lui :
- Ne t'en fais pas, il n'y a que du bon à ressentir, tu vas aimer ! Je suis sûr que tu en redemanderas…
Tandis qu'il embrasse sa partenaire avec reconnaissance, il sent Antoine qui vient s'insinuer entre ses muscles fessiers crispés, durcis par l'appréhension. Gémissement de Flavien, surpris : il s'attendait à quelque chose de douloureux, c'est une verge toute douce, non agressive, bien lubrifiée qui glisse sans aucune peine en lui, avec une sensation de plénitude qu'il trouve aussitôt très agréable, même si l'épais objet de chair qui le pénètre distend passablement son petit anneau musculeux. Son étonnement est tel qu'il se surprend même à lancer cet appel :
- Vas-y Antoine, mets-le bien à fond, j'adore, c'est génial comme sensation, oh, oui, continue, pousse encore plus fort…
Antoine s'exécute, poussant autant qu'il peut. Ne pouvant plus avancer, il change de position, se plaçant en ciseaux : résultat immédiat, Flavien gémit encore plus fort :
- Oh, oui, vieux frère, viens encore plus fort en moi, c'est trop bon, je vais jouir si tu continues comme ça…
Il n'en faut pas beaucoup plus pour qu'Antoine, dans son état d'intense excitation se répande en longues saccades chaudes et crémeuses au plus profond de son copain. Flavien sent son plaisir au plus profond de lui et en éprouve une grande joie… mais ne termine pas pour autant en orgasme !
Tout à côté de lui, Agathe toujours allongée sur son dos reçoit un profond baiser de Steffi, à plat-ventre à côté d'elle. Flavien se lève et vient frotter son frein surexcité sur le magnifique téton rose de la jeune fille. Steffi en profite pour venir poser sa tête tout près de ce sein, pour capturer cette belle verge de sa bouche gourmande qui n'a encore jamais connu cette caresse… Flavien comprend qu'il n'aura pas cette fois la chance d'aboutir à un orgasme sur ce joli téton : il offre cette opportunité à Steffi qui ne se prive pas, s'active, sent les frémissements qui l'agitent, serre l'anneau de ses lèvres et aspire de toutes ses forces… Le garçon, dans un râle, laisse exploser sa jouissance dans la bouche de cette fille qu'il rêve plus que tout au monde séduire et qui, pour le moment, semble encore hésiter à se donner à lui…
Steffi embrasse aussitôt Agathe, échangeant avec elle la délicieuse liqueur en un langoureux baiser. Les garçons sentent qu'ils les ont perdues et se bornent à se parler à voix basse :
- Alors comme ça tu as aimé ?
- Ah ! J'ai adoré, sans rire… Je regrette presque de ne pas avoir essayé plus tôt ! C'est bon… mais bon… Tu ne peux pas savoir. Jamais je n'aurais imaginé une sensation pareille, vrai de vrai !
- J'aurais jamais cru… Il faudra que tu me le fasses, alors !
Steffi s'est maintenant mise tête-bêche sur son amie et la lèche doucement tout en s'aidant de ses doigts, tandis qu'Agathe lui rend la pareille avec application, tendresse et reconnaissance. Les deux garçons se font un clin d'œil et se comprennent : Antoine décide de se rendre à la tête d'Agathe et Flavien reste entre ses cuisses, tout près de la tête de la jolie fille qu'il chérit déjà tant. Il modifie l'angle de prise de vue de la webcam et s'installe. Il voit la langue de Steffi qui s'active, approche la sienne ; commence alors un ballet dans lequel les deux langues se mêlent parfois à la faveur d'une rencontre sur les chairs rosées de la fleur d'amour d'une bien jolie fille. Antoine de son côté en fait tout autant, embrassant parfois sa belle à l'occasion de ces furtives rencontres, se régalant de la liqueur d'amour de Steffi le reste du temps.
Excitation allant croissant, soupirs qui montent de tous côtés, même les deux garçons qui, pourtant, viennent de jouir, y vont de leurs râles en caressant eux-mêmes leur pistil douloureux. Steffi sent la pression monter chez sa partenaire, elle accélère le mouvement tant de sa langue que de ses doigts. Elle englobe soudainement tout son petit minou surexcité de sa bouche grande ouverte en ventouse, tandis que de sa langue, elle termine la caresse dont elle connait à l'avance le résultat.
C'est l'explosion. À l'écran, on voit distinctement de petits jets de l'abondante cyprine vaincre la pression des lèvres de Steffi, gicler sur les cuisses, y ricocher pour venir inonder son visage d'un miel translucide qui le nappe généreusement… Agathe est prise de soubresauts et demeure tendue, gémissante et incapable de continuer sa propre caresse ; c'est Antoine qui l'achève d'une langue salvatrice, donnant à Steffi la libération d'un puissant orgasme.
Steffi relève la tête, les yeux fermés, les lèvres hermétiquement closes et les joues gonflées à l'extrême. Elle sent le souffle de Flavien devant elle, colle ses lèvres aux siennes et laisse fuser dans sa bouche cet abondant nectar qui, en même temps, continue de s'écouler de la fleur inondée d'Agathe. Le garçon ne s'attendait pas à ce volume ! Il s'étrangle, déglutit péniblement le délicieux jus avant de revenir s'abreuver à sa source-même. Lui et Steffi s'embrassent enfin, toujours entre ces deux magnifiques cuisses luisantes de la savoureuse sécrétion. Antoine et Agathe, de l'autre côté de la scène, s'embrassent amoureusement, hors caméra, se sourient, échangent des mots d'amour murmurés !
Lorsque les quatre amants se relèvent, la colonne des discussions est archi pleine de commentaires fracassants ! Tout le monde en reveut… Un petit coup d'œil à l'horloge : Houa ! Ils ont tenu plus d'une heure… Bel effort… mais il est grand temps de refermer la session ! Agathe revient sur le devant de l'écran :
- Bon, les p'tits loups, on a débordé, encore un coup… J'espère que vous ne nous en voulez pas trop ! Nous allons devoir aller nous sustenter un peu pour revenir en forme pour d'autres shows excitants ! Alors, bon weekend, mille mercis pour votre visite et votre générosité. La prochaine vacation d'Amours & Cie, ce sera lundi prochain de 19 à 21 heures, nous ne savons pas encore avec quels animateurs. Aimez-vous toutes et tous, nous vous aimons, ciao bye !
Troisième
Lundi soir, Gisèle retrouve Agathe chez Hanna pour le troisième show. Cette dernière est partie diner chez des cousins avec ses parents, il n'y a pas de risque de les voir avant au moins onze heures du soir, au plus tôt ! Elles ont converti le canapé clic-clac en un lit recouvert des plusieurs épaisses serviettes de bain. Cela promet d'être confortable. Elles on disposé divers tabourets de bar et autres table basse tout autour de manière à pouvoir y disposer l'ordinateur avec la webcam, offrant des angles de prise de vue intéressants. Pourtant, Gisèle tire une tête pas très engageante…
- Que t'arrive-t-il ? Tu n'es pas en forme ? Tu as tes bricoles ?
- Nan… Ça va. C'est juste que… je n'aime toujours pas l'idée de tromper Hanna… même avec toi ou quelqu'un d'Amours & Cie. J'ai tellement peur de la perdre…
- Pourquoi dis-tu ça ? Nous sommes tous bien d'accord, pourtant. On agit pour la cause !
- Oui, mais… Quand je vois Hanna qui fait l'amour avec Steffi ou avec toi, et qu'elle y prend plaisir, j'ai quand même du mal… Elle est tout pour moi, cette fille. Et la tromper me fait tout autant de mal.
- Mais enfin, Giz, tu n'es pas cool de dire ça ! Hanna t'aime plus que tout au monde, tu le sais. Et si elle couche avec d'autres filles que toi, elle n'en demeure pas moins amoureuse de toi, de toi uniquement. Tant qu'elle te revient en exclusivité, c'est que c'est juste pour toi que son cœur bat ! Tu le sais, nous sommes deux couples déclarés au sein d'Amours & Cie, et un troisième n'est sans doute pas bien loin. Tous, nous sommes fidèles, tu n'as pas de souci à te faire.
- Tu crois ?
- Bien-sûr que je le crois, j'en suis même sûre. Et puis… Ne me dis pas que tu n'as pas eu de plaisir quand nous avons fait l'amour toi et moi ici même, au bord de la piscine l'autre jour, quand nous avons lamentablement planté les garçons !
- C'est vrai… Tu avais été… plutôt efficace !
- Allez ! Il faut démarrer, c'est l'heure… Je te propose un truc rigolo pour commencer, je vais te déshabiller sans les mains ni les bras, d'acc ?
Aussitôt, avec un sourire coquin, Gisèle ouvre son pantalon, elle fait glisser sa jolie marinière rouge et blanche très juste au corps le plus bas possible sur sa petite culotte avant de remonter son jean par dessus.
- On va faire durer un peu le plaisir !
- Oh, tu es vache ! Et puis je n'arriverai jamais à défaire ce bouton trop serré… Déboutonne-le, s'il te plaît, derrière la boucle de ceinture, ça ne se verra pas !
Agathe connecte l'ordinateur sur le site et ouvre la session : une minute avant neuf heures. Aussitôt, trois spectateurs apparaissent déjà en ligne !
- Salut les p'tits loups ! Merci d'être au rendez-vous. Ce soir, nous allons tâcher de vous donner un peu de bonheur Gisèle et moi, et de recharger votre pompe à fantasmes pour quelques heures ! Regardez ma copine, elle est choucarde, hein ? Vous avez vu ? C'est une vraie rousse, promis, je vous ferai bientôt voir ! Alors je vous annonce notre premier objectif : pour 55 jetons, je vais la déshabiller sans y mettre les mains… Grande comme elle est, je vais avoir du boulot !
Quelques commentaires apparaissent dans la colonne des chats donnant des conseils, exprimant des envies… Et le compteur de jetons commence à s'incrémenter déjà dix, treize, dix-huit… Sucette complète le score à 55. Drôle d'avatar, Sucette : une photo représentant un sexe féminin d'où dépasse le bâton… d'une sucette !
- Merci Sucette ! Tu as un très joli sourire sur ta photo, j'aime beaucoup tes lèvres ! Tu peux mettre ton micro pour la séance ? On pourra se parler, comme ça…
La voix d'une femme sort de l'enceinte wifi, une voix jeune, sensuelle.
- Voilà, c'est fait. Vous ne pouvez pas imaginer ce que j'aimerais être avec vous, en ce moment…
- Ça pourrait se faire, un jour. Tu habites loin ?
- Oh, oui, j'en ai peur… Je ne suis pas bien loin de Sète, à côté de l'étang de Thau, en fait. Très loin de Paris…
- Mais dis-donc, tout le monde n'habite pas Paris ! Nous sommes quasiment voisines ! On se parle en privé après le show, si tu veux… Reste en ligne après la fin. On va voir si on peut arranger ça ! Mais pour l'heure, j'ai du travail, moi ! À toute, Sucette, profite bien...
Agathe met ses mains dans son dos et y croise ses doigts. Elle s'agenouille devant Gisèle et, tente d'attraper la lanière de la ceinture pour la dégager de la boucle. Aïe : elle n'avait pas anticipé une lanière aussi large. Elle n'arrive pas à ouvrir suffisamment la mâchoire pour la saisir entre ses dents. Il va falloir ruser… Elle introduit sa langue dessous, la glisse aussi profondément qu'elle peut, la fait aussi dure que possible, force, fouille et, finalement, parvient à faire se soulever la bande de cuir. Tout devient plus facile. Elle opère avec ses pieds, maintenant : elle glisse ses jolis orteils sous la lanière et l'ôte aisément de la boucle, tire pour sortir l'ardillon : le pantalon est ouvert ! Elle place prestement son visage devant l'ouverture, comme pour défaire le fameux bouton, prend la tirette de fermeture éclair entre ses lèvres et la descend.
Gisèle s'agenouille sur le lit. Pour Agathe, en se remettant sur le dos, c'est maintenant une formalité de saisir de ses pieds la marinière et de la monter le long de son buste… Sauf que ses jambes sont un peu trop courtes pour passer la tête ! Il faut un relai avec les dents et quelques efforts avant de voir un joli soutien-gorge rouge fort bien rempli apparaître ! De ses dents, elle baisse le pantalon jusqu'à mi-cuisses, non sans en profiter pour un petit baiser coquin sur la petite culotte, juste à l'endroit stratégique. Alors, faisant basculer Gisèle sur son dos, elle s'allonge à plat ventre sur elle et, tout en lui donnant un baiser des plus gourmands, elle replie ses cuisses à la façon d'une grenouille et pousse le pantalon en le tenant de ses orteils. En un tournemain, voilà notre Gisèle en sous-vêtements.
Agathe fait s'asseoir sa partenaire et, très simplement, fait sauter le soutien-gorge à l'aide de ses dents, libérant la magnifique poitrine laiteuse de Gisèle qui se remet debout pour l'ultime opération. Sa complice s'agenouille, saisit la ceinture élastique de la fine culotte de dentelle rouge entre ses dents au niveau d'une hanche et la tire vers le bas. Elle la reprend aisément entre ses fesses bien dodues, continue à se baisser en tenant le vêtement entre ses dents, repasse la prendre devant pour continuer, jusqu'à avoir le petit cœur de poils roux juste devant ses yeux… là, elle fait une pause, lâchant la culotte un instant, le temps d'un large coup de sa langue sur le petit minou tout émoustillé de son amie dont émane maintenant un puissant parfum de désir : elle ne l'a certes pas volé. La culotte finit par terre, Agathe recouvre l'usage de ses mains et se remet debout… Gisèle ne fait pas le moindre mouvement, lui laissant l'initiative… comme si elle se trouvait désemparée d'être nue au milieu de la rue ! Alors, elle lance ses deux bras autour de son cou et l'embrasse, lui donnant le baiser du vainqueur !
- Qu'est-ce qu'on fixe comme prochain objectif, Giz ?
- Attends, je dois aller faire pipi, je n'en peux plus !
- Bonne idée, j'y vais aussi…
Un clin d'œil vers la webcam, le temps de requérir la patience des spectateurs :
- À tout de suite mes p'tits loups !
Lorsque les deux filles reviennent, elles lancent l'objectif suivant : pour 98 jetons, Gisèle va déshabiller Agathe et jouer un peu avec ses seins et son sexe. Attention, ce qui est prévu est relativement soft, on n'attaque jamais les choses sérieuses avant le show final. Mais il faut bien appâter le poisson… pour solliciter les fameux jetons ! Et comme chacun sait, on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre… La stratégie d'Amours & Cie est donc bien de montrer un petit peu de leur panoplie, de ce qu'ils sont susceptibles de faire en show réel. Alors, parfois, comme la sincérité est également leur maître mot, cela déborde un peu… Voire largement… auquel cas, les spectateurs se rincent l'œil… À l'œil ! En attendant que le compteur commence à monter, les deux filles se font donc des sourires, des caresses, se donnent de superbes baisers qui en disent long sur ce qui les attend…
Seulement voilà, autant Gisèle a conservé depuis le début de la session un contrôle total, doublé d'une certaine réserve comme vous le savez, autant Agathe est chauffée à blanc : en elle monte le désir, le besoin même d'une exultation rapide. Ses baisers se font plus intimes, plus profonds. Ses caresses visent maintenant à l'essentiel : Gisèle a bien du mal à endiguer cette fougue, lui murmurant d'attendre, de patienter, qu'elle va bien trop vite ! Par chance, cette fièvre est communicative : les pourboires tombent en cascades, les demandes particulières avec : tout le monde sent qu'un orgasme est à portée de sexe, le réclame ! Aussi, lorsque le jingle d'objectif atteint retentit, Gisèle n'a que le temps d'ôter son haut à sa partenaire, faire sauter son soutien-gorge que déjà, celle-ci l'entraîne vers le lit avec dans les yeux une lueur vorace.
Gisèle décide de faire l'impasse sur la jupe : pas le temps ! La culotte ? Même pas en rêve… Elle se rue littéralement sur cette magnifique poitrine qui, décidément, l'attire. Elle adore ces seins bien ronds, parfaitement formés, souples et fermes à la fois, à la peau si douce. Ces grandes aréoles rose pâle, dont, elle l'a remarqué tout de suite dès le premier jour, la gauche est sensiblement plus grande que la droite. Ces tétons bien roses eux aussi, tellement sensibles, menus au repos mais qui prennent une fière longueur lorsqu'ils deviennent tout durs d'excitation, invitation à les sucer, les aspirer, les mordiller.
Elle lèche voluptueusement le ventre en insistant sur le nombril, arrête enfin sa course lorsqu'elle atteint la ceinture élastique de la culotte dissimulant la magnifique toison sauvage d'une blondeur encore plus pâle que la chevelure de son amante.
- On passe à l'objectif suivant, maintenant !
- Essaye pour voir ! Si tu ne m'achèves pas, je le fais moi-même et après, je me vengerai… Sévèrement !
- Arrête, j'ai peur !
Gisèle sait que la fin est tellement proche qu'il suffira de trois fois rien… Toujours placée entre les cuisses de sa jolie amante, elle écarte très largement la culotte de sa main gauche, la fait passer sur sa fesse droite, puis englobe le petit minou d'Agathe de sa bouche largement ouverte en ventouse et, tout en faisant le vide, laisse sa langue fouiller les chairs pantelantes et torturer le petit bouton de rose qui n'en peut mais ! Un cri fuse aussitôt tandis que la jeune fille se tend, le corps parcouru de vagues de plaisir. Gisèle arrête alors sa caresse, ne voulant pas en donner trop à celle qui a tout de même sérieusement triché ! Agathe, mi-heureuse mi-frustrée se relève et embrasse son amie :
- Tu aurais pu y mettre un peu plus de formes, d'intensité… C'était bon, mais peut mieux faire !
- Tricheuse ! Tu l'as volé, celui-là, ce n'était pas le moment.
- Je sais bien, mais de toute manière, je n'aurais rien pu faire avant d'avoir évacué ça !
Surprise des deux filles quand Antoine fait soudainement son apparition… Encore un imprévu… pas forcément désagréable ! En fait, il avait vu, au tout début du show, que Gisèle ne semblait pas trop partante et il avait décidé de venir prêter main forte à son Agathe bien aimée.
- Oh, voilà un p'tit minet ! Tu viens ronronner avec nous, Antoine ?
- Pourquoi pas ? Vous en êtes où ?
- Bah, on n'est plus très loin du final. Tu veux qu'on fasse un petit intermédiaire avec toi ? Par exemple, tu pourrais offrir à Gisèle… comment dire… une préparation pour quand Flavien te rendra la politesse de votre premier show ensemble ?
- Comme tu y vas ! Juste une préparation, alors, hein ?
Le compteur est lancé : pour 198 jetons, Gisèle va exciter Antoine avec son jouet favori, un magnifique olisbos sans ceinture. Antoine et Agathe sont partis en soixante-neuf après des baisers débordants, tandis que Gisèle met en place son jouet "strapless". Elle vient embrasser à tour de rôle les deux amants, sortant parfois le sexe palpitant d'Antoine de la bouche de sa partenaire pour le prendre dans la sienne, avant d'embrasser avec tendresse sa belle amie ! Puis elle embrasse Antoine avec sensualité, le laissant venir caresser sa poitrine à la peau laiteuse, tout en faisant nonchalamment coulisser deux de ses doigts dans l'antre d'amour d'Agathe. C'est ainsi qu'ils entendent la petite musique qu'ils ont programmée pour objectif atteint…
Gisèle sort de son sac une culotte de maille très serrée pour retenir son jouet en place lors des moments de débordement et s'approche du couple qui, déjà, lance des gémissements et autres râles de bonheur. Agathe, elle peut le constater, a bien préparé le terrain. Le petit anneau musculeux d'Antoine est luisant de la magnifique feuille de rose qu'elle vient de lui pratiquer. Elle y présente l'extrémité de son jouet, sans nullement appuyer. Par de très légers coups de reins, elle offre à son partenaire un doux massage de l'entrée arrachant de petits soupirs au garçon qui, apparemment, apprécie ce contact. Elle augmente insensiblement l'amplitude de ses déhanchements, accentuant du même coup l'ouverture du petit muscle et, par là même, la délicate sensation qu'elle procure à son partenaire. Bientôt, elle sent que toute résistance a cessé : elle est en place !
Il avait été convenu qu'il ne s'agirait que d'une préparation… Mais quitte à déborder lors d'une séance, autant le faire bien, non ? Antoine n'a pas du tout l'air de regretter ce qu'il fait, ce qu'il ressent… Gisèle donne encore quelques coups de reins, son jouet pénètre de plus en plus profondément dans l'étroit conduit d'Antoine qui manifeste plus de plaisir que de douleur ! Il le signifie de manière intelligible :
- Oh, là, là ! Qu'est-ce que c'est bon, ce truc ! Mais comment est-il possible de ne pas savoir des choses pareilles ? J'aurais essayé depuis belle lurette, si j'avais su ! Vas-y Gisèle, donne-toi à fond, j'adore !
Alors la jeune femme ne se le fait pas dire deux fois, elle accélère ses va-et-vient en lui qui ajuste sa position à quatre pattes pour se mettre bien à sa hauteur. Agathe, ainsi libérée, a placé un gros oreiller sous le ventre de son chéri. Puis elle passe la tête entre les jambes de Gisèle et d'Antoine pour pouvoir venir prendre ce dernier dans sa bouche et, tandis que les coups de boutoir enflamment son désir, elle lui offre sa bouche dans laquelle il va et vient au rythme imprimé par la jolie rousse. Bientôt, dans un râle puissant, il se répand en elle avant de s'effondrer en avant, le corps agité de tremblements ; Il vient de vivre une chose dont il ignorait l'existence, un orgasme sexuel et anal simultané…
Gisèle se défait de sa culotte et de son jouet ; Agathe vient l'embrasser, partage avec elle la liqueur amoureuse d'Antoine qu'elle a conservée en bouche. C'est la première fois qu'elle a l'occasion d'y goûter… Notamment dans une telle situation ! Avec un grand sourire et un regard plein de reconnaissance, elle prend Agathe dans ses bras, la serre fort. Regarde Antoine qui retrouve son souffle :
- Il va bien notre petit minet ? Il va se remettre à ronronner ?
Elle vient l'embrasser à son tour et lui murmure quelques mots qui le font sourire :
- Perdre ta virginité anale avec une lesbienne, c'est un peu un comble ! Mais j'ai l'impression que tu n'as pas détesté ça !
Vingt heures, Il est plus que grand temps d'envoyer l'objectif final, si on veut avoir une chance de le réaliser le soir même… Agathe vient annoncer la couleur devant la webcam :
- Hé bien dis-donc, mes pt'its loups, on a sacrément débordé, ce soir ! Et en plus, on avait prévu un show lesbien intégral en final, et voilà qu'on a un gars en plus… Bon, vu ce qu'il vient de prendre, hein… Pas certain qu'il soit en mesure de nous faire grand mal ! Bon allez, on va se lancer :
Pour 4998 jetons, Amours & Cie propose un show lesbien déjanté avec contribution d'Antoine s'il arrive à trouver son chemin ! Les trois partenaires s'écartent un moment, le temps de boire un peut d'eau et de souffler. Les spectateurs internautes qui commencent à connaître et apprécier les prestations de ce petit groupe sont déjà là, nombreux. Les pourboires commencent à arriver. Gisèle est venue auprès d'Agathe avec un sourire carnassier : il est loin le temps de ses doutes, où elle semblait avoir peur de tromper la belle de sa vie. Sa gourmandise fait plaisir à voir. Agathe s'en régale prospectivement…
- Mais arrête de me regarder comme ça, Giz, si j'avais une culotte, elle serait déjà bonne à tordre ! Je ne sais pas comment tu fais ça, rien que ton regard me fait dégouliner !
Les deux filles s'asseyent face à face sur le lit.
Agathe prend un des pieds de Gisèle en lui en tendant un. Elle le porte à ses lèvres et glisse sa langue entre ses orteils. Elle n'est pas du tout d'accord avec l'avis de Steffi qui trouve les pieds de Gisèle quelconques ! Pour elle, ils sont au contraire très sexy, très excitants. Elle les lèche, les suce avec volupté tandis que sa partenaire lui rend la pareille avec mille petites gâteries, mini-baisers et coups de langue, passage sensuel de toute sa largeur sous la plante, extorquant un sanglot à sa belle !
Sans lâcher leurs pieds, les deux filles se donnent un profond baiser, revenant à leur léchage de temps en temps, sous le regard amusé d'Antoine. Lui, n'a jamais été spécialement attiré par les pieds, que ce soient ceux des filles ou ceux des garçons, est tombé raide amoureux de ceux d'Agathe, laquelle occupe toute la place de son cœur, de son âme, à commencer par ses jolis petits pieds. En temps normal, rien que de les voir, il ressent une émotion qui, généralement se traduit par une incoercible envie d'elle. Or là… il les a sous les yeux, ces jolis pieds adorés, avec, en prime, ceux de Gisèle, qui sont loin d'être laids, loin de manquer de séduction, de sex appeal… La récente scène à l'issue de laquelle il a connu un orgasme mémorable lui semble soudain bien lointaine… Bon, trêve de rêverie… lui, en ce moment, est tout de même plus préoccupé par le positionnement de la webcam qu'il déplace, au gré des changements de position des deux jolies filles qui, décidément ne manquent pas d'idées !
Agathe a fait descendre son pied vers le menton de Gisèle. De ses longs orteils habiles, elle caresse l'arête de son maxillaire, longe les puissants ligaments du cou, entre sur la plaine de son buste, en direction des douces montagnes de ses seins. De sa place, elle les regarde plus attentivement que jamais… Les trouve magnifiques…
- J'adore tes petites taches de rousseur sur les seins ! Je ne les avais pas remarquées.
- Il te reste encore plein de choses à découvrir, chez moi, ma chérie !
- Ah oui ? Quoi, par exemple ?
- J'ai dit à découvrir… pas à te faire apporter sur un plateau d'argent… Tu dois chercher !
Agathe ôte ses pieds de la jolie poitrine, se redresse, regarde Gisèle dans les yeux. Son regard est de plus en plus brûlant, mais hermétique : elle doit imaginer, chercher, découvrir quelque chose, vite ! Une idée lui vient : points sensibles, zones érogènes… Où chercher ? Les pieds, c'est déjà fait… Vite, elle descend vers ses genoux et s'en vient lécher le creux sensible, à l'arrière. La belle gémit un peu mais rien de formidable. Elle remonte, évitant l'entrejambe, passe sur le nombril déjà longuement taquiné… Les aisselles ! La voilà qui lèche avec ferveur ces odorants dessous de bras, sans toutefois déclencher de cataclysme. Le cou ? Les oreilles ? C'est en passant sa langue dans le pavillon de la belle rousse qu'elle comprend qu'elle vient de découvrir un de ses petits secrets : sitôt qu'elle a touché son oreille de sa langue, Gisèle a poussé un petit sanglot et, plus bas, Agathe a senti un immédiat suintement imprégner abondamment sa cuisse.
Tout en sollicitant ce point sensible, elle continue à réfléchir quelle particularité sa partenaire pourrait bien avoir qu'elle cherche à lui faire découvrir dans ce show… Elle repasse dans sa mémoire les divers moments de leurs ébats. Un début de réponse semble lui venir : lorsqu'elle l'embrasse, Agathe a remarqué l'agilité exceptionnelle de la langue de Gisèle. Oui ! C'est bien cela. Alors, notre jolie blonde s'allonge sur le dos, jambes pendant hors du lit largement ouvertes :
- Giz, viens me lécher, viens me faire du bien avec ta merveilleuse langue !
Antoine dispose la caméra plus haut et, à l'écran, on peut voir l'incroyable langue de Gisèle entrer profondément dans le joli petit minou étroit d'Agathe. Larousse ouvre très largement la bouche pour pousser sa langue encore plus loin, la ressort, lèche suavement, sensuellement les lèvres, le petit capuchon… puis pénètre à nouveau le chaud conduit. Elle y fait des va-et-vient de plus en plus marqués, de plus en plus profonds, rapides, tandis qu'Agathe commence à haleter. Zoom de la caméra sur la scène surréaliste : la langue ressort périodiquement, enduite de la liqueur d'amour d'Agathe, laisse des filaments gluants qui s'étirent avant de pénétrer à nouveau au plus profond… Au dernier passage, la langue s'attarde sur la petite perle d'amour, un immense frémissement secoue la jeune femme et un jet de nectar se propulse, autour de la langue, éclaboussant tout le visage de la lécheuse, tandis qu'Agathe pousse un long et plaintif gémissement… C'est sur cette image que le compteur atteint le nombre requis pour l'objectif final !
Le temps de se remettre, de retrouver son souffle et son clame, de se nettoyer le visage, d'aller boire un peu, nos trois amis sont de retour ! Se regardent en souriant… Pour ce qui est du show lesbien… le sujet est déjà plus que largement entamé !
Agathe, encore elle, décide d'ouvrir la danse. Après tout, c'est elle qui a provoqué tous les débordements de ce show : à elle de réparer. Puisque Gisèle vient de lui donner un fabuleux orgasme avec sa langue digne d'une girafe, il lui appartient de lui en procurer au moins un du même niveau… Elle indique à Antoine la prise de vue qu'elle souhaite, depuis le bas et fait s'installer Gisèle sur le dos au bord de la table. Elle approche son visage du petit cœur artistement découpé dans la toison rousse et commence à lécher ce délicieux petit minou qu'elle a déjà eu plusieurs fois l'occasion de déguster. Elle fait jouer sa langue, ses lèvres, en très gros plan sur l'écran. Son index vient délicatement longer les pourtours de cette jolie fleur rose pâle, pénètre sa corole et s'y enfonce au plus profond. Ressort et descend, traversant l'espace périnéal, tournoyer rapidement autour de la petite fleur violacée, fermant jalousement les lieux interdits un "Non ! pas là" impérieux rappelle à l'ordre l'impertinente exploratrice ! Deux doigts viennent reprendre la précédente figure de l'érotique ballet, puis un troisième, tandis que langue et lèvres s'agitent toujours du côté des pétales et du pistil encapuchonné plus haut. Les trois doigts glissent tandis que l'auriculaire, innocemment replié, fait semblant de bouder. La tension monte, les soupirs aussi, puis les gémissements, et les plaintes. Alors, ce petit doigt espiègle se déplie soudainement et vient sournoisement investir le temple interdit, provoquant un soubresaut de la belle. Qui, cependant, ne le chasse pas… Les va-et-vient reprennent de plus belle et c'est elle qui finit par demander, par supplier :
- Mets-moi un doigt de plus, s'il te plaît…
Toujours aussi espiègle, la belle Agathe ajoute un doigt de son autre main au bouquet des trois premiers doigts…
- Non ! pas là…
- Oh, pardon, je n'avais pas compris…
Fausse innocence, fausse amie ! Agathe veut tout de même le plaisir de sa belle amante. Elle retire son petit doigt, qu'elle ajoute à ceux du dessus et met à la place deux doigts de l'autre main. Là, Gisèle commence à se trémousser sérieusement ! Antoine change d'angle de prise de vue car les deux mains bouchent assez souvent le champ. Maintenant, les deux mains opèrent en parfaite harmonie avec quatre doigts qui ont investi le conduit du joli petit minou et deux autres, celui de l'étoile mauve si bien cachée… Gisèle gémit, elle en veut davantage, du fond de son excitation. Elle crie "encore, encore", désespérément.
Son amante vient placer son pouce au milieu des quatre doigts occupés à donner du plaisir à sa jolie fleur rose. Puis elle reprend sa progression, poussant avec délicatesse mais fermeté, tout en assurant d'une langue bienveillante, le bien-être du réceptacle. Les jointures des doigts blanchissent, les lèvres intimes aussi ! Agathe n'a jamais effectué cet exercice dont elle a seulement entendu parler… Elle s'applique, fait tourner sa main pour assurer une progression souple. Les jointures des dernières phalanges viennent de disparaitre derrière ces lèvres qui semblent affamées. Le passage étroit est vaincu : les chairs se referment doucement sur le poignet de la jolie blonde qui commence de lents mouvements de piston, tirant des cris aigus de la belle rousse en transes.
En même temps, elle ajoute un troisième doigt à l'autre bouquet… fait une pause s'attendant à un refus qui ne vient pas, loin de là.
- Oh oui, vas-y ma chérie, oui plus fort…
Agathe pousse encore un peu, les trois doigts étant maintenant bloqués dans leur progression par le reste de la main. Comment faire pour progresser, alors ? La jolie blonde ressort tous ses doigts, les suce longuement pour les enduire de salive et présent maintenant le bouquet de ses cinq doigts serrés. L'anneau brun s'efface devant eux, jusqu'à un certain point. Antoine apparait à l'écran, apportant un tube de gel que Gisèle vient de lui tendre. Il en enduit généreusement les deux mains d'Agathe qui reprend sa progression avec bien plus d'aisance, sous les gémissements d'approbation de son amante. Bientôt, de petits cris douloureux se font entendre, aussitôt suivis d'un :
- Ne t'arrête surtout pas…
Alors, elle continue et bientôt, le fin liseré brun distendu se referme à son tour autour de son poignet ! Double fist, voilà une première mémorable ! Agathe opère quelques va-et-vient sous les râles de son amie qui n'en peut plus, tire tout doucement sur la première main, la fait délicatement ressortir. Même opération pour la seconde main : Gisèle se redresse avec un sourire ravi !
- Depuis le temps que j'espérais connaître ça… Mais il faut une partenaire avec des mains vraiment menues ! Maintenant, je crois que je vais déguster pendant quelques jours…
Elle s'est allongée sur le lit, les yeux clos. Agathe s'est mise sur le dos à côté d'elle et a attiré le bel Antoine près d'elle. Tout en l'embrassant, elle l'a fait venir à califourchon sur elle et, bientôt, il cherche à entrer en elle ; elle le laisse faire, le temps de quelques allers-retours puis se dégage assez soudainement.
- Mon p'tit minet, ce n'est pas un jour où je puisse me permettre de travailler sans filet, il va falloir être patient… Attends, j'ai une idée.
Elle enjambe Gisèle pour passer de l'autre côté, puis saisissant la verge palpitante de son chéri, l'attire à elle. Le garçon enjambe à son tour Gisèle mais à ce moment, Agathe dirige son membre vers le petit minou de la rousse en lui faisant un signe entendu… "Elle est folle" se dit-il ! Mais elle, tranquille continue à faire oui de la tête, et joint le geste à la parole, plaçant son sexe maintenant au contact avec celui de Gisèle qui ouvre les yeux, bouche bée… incapable de bouger. Alors, comme mu par une force étrangère à sa volonté, Antoine se voit entrer en elle juste en-dessous de ce joli petit cœur qu'il aime tant regarder ; Gisèle pousse un petit gémissement :
- Oui, Antoine, viens doucement… c'est ma première fois avec un garçon, tu sais…
Agathe vient embrasser son amie, lui caresse le visage, lèche quelques larmes qui perlent à ses yeux :
- Tu m'en veux, Giz ?
- Oh non ! bien au contraire, cela aurait dû être fait depuis longtemps… Même Hanna me le dit tout le temps… Oh, oui… c'est si bon…
- Giz… Antoine peut-il venir en toi ? Ou doit-il se retirer ? C'est toi qui décides.
- Je veux qu'il vienne en moi !
C'est ainsi, sur cet orgasme hors norme entre cette jolie lesbienne et le garçon hétéro, devenus tous deux bi ensemble, que se termina ce show sous les félicitations de tous les spectateurs ! Agathe prit les coordonnées de Sucette pour le cas où et termina la session : il était plus de vingt-deux heures trente. Le temps de remettre le salon en ordre, ils partaient à peine vingt minutes avant le retour d'Hanna avec ses parents !
À Suivre (Amours & Cie 2)
La vidéo
Les six amis ont décidé de créer un live sur un site spécialisé dans les films pornographiques/érotiques. Leur objectif : gagner suffisamment d'argent pour payer les études de Steffi, qui a dû quitter le domicile familial suite au refus de son père de la laisser faire les études qu'elle souhaitait… ni aucunes études que ce soit, préférant la marier pour qu'elle demeure à la maison auprès de son mari…
Le live s'appelle Amours & Cie. Dans la vidéothèque mise à disposition sur leur compte, ils ont décidé de poster une vidéo qui explique qui sont les six amis fondateurs, pourquoi ils sont là et quelle est leur éthique. Comme les vacances viennent de commencer, ils se sont mis au travail et ont rapidement réalisé la bande. Ce jeudi soir, ils la visionnent une ultime fois avant de la mettre en ligne !
Lorsque commence la vidéo, on voit dans un premier temps les six acteurs alignés, comme au moment du salut, après une pièce de théâtre. Des sous-titres en anglais permettent de suivre pour les spectateurs non francophones. Petit zoom, la caméra fait sa mise au point sur Hanna, la plus à gauche de la ligne. Elle est sobrement vêtue d'une robe noire assez courte, élégante, très bien coupée :
- Bonjour, mon nom est Hanna. J'ai bientôt dix-neuf ans, je viens d'obtenir mon bac avec une mention bien. J'entre en fac de médecine à la prochaine rentrée. Ma tendance personnelle a toujours été une attirance pour les filles, même si j'ai à plusieurs reprises eu des petits amis garçons dans mes débuts. Je voudrais vous dire que, ce que vous allez nous voir faire dans nos spectacles, nos shows, nous n'en avons aucune honte car nous le faisons pour une bonne cause. Vous dire aussi que tout ce que vous verrez est authentique et sans aucune simulation. Nous ne sommes pas des acteurs du sexe professionnels et n'avons aucune vocation à le devenir.
Elle se tait et la caméra fait un petit mouvement sur la droite… Ne voit rien, descend un peu et cadre le joli visage d'Agathe !
- Bonjour ! Mon nom est Agathe, j'ai tout juste dix-huit ans, je viens d'obtenir mon bac avec une mention très bien. Je me destine à une carrière de professeur d'anglais ou d'interprète ou traductrice simultanée, j'hésite encore. Mon prénom évoque une pierre très dure mais je suis plutôt attirée par la douceur ! Mon orientation sexuelle de base a toujours été vers les garçons. Je suis d'ailleurs très amoureuse d'un garçon avec lequel je compte fermement faire ma vie, je lui suis et serai fidèle toujours ! Pourtant, je dois admettre que depuis peu, je ressens une forte attirance vers les filles, notamment une qui est chère à mon cœur. Cela se traduit par le fait qu'elle et moi faisons assez souvent l'amour ensemble. Vous jugez cela incompatible avec mon amour et ma fidélité envers mon compagnon ? Pas lui, ni moi ! Je voudrais vous dire que dans notre groupe Amours &Cie, nous avons choisi la sincérité. Si une personne dit "je t'aime", c'est vrai, ne serait-ce qu'au moment où cette parole est prononcée. En outre, nous ne nous sommes fixé aucun interdit, ce qui ne remet nullement en cause notre fidélité, car nous adhérons à une bonne cause.
Agathe tourne la tête sur sa gauche, la caméra la suit… fait sa mise au point sur un beau garçon, enfin un !
- Bonjour, j'ai pour prénom Flavien, j'ai dix-huit ans, je viens de passer mon bac, avec mention très bien et je suis inscrit en fac de médecine pour la rentrée, donc avec Hanna que vous avez déjà vue. Mon orientation est résolument hétéro, mais je n'ai aucune forme de rejet ou d'ostracisme vis-à-vis des autres orientations possibles, tant qu'elles ne m'imposent aucune prosélyte visant à me dérouter de ma tendance actuelle. Je suis, c'est certain, très attiré par une très jolie fille mais rien n'est gravé dans le marbre, je ne suis pas même certain qu'elle le sache ! J'ai vocation à devenir l'homme d'une seule femme et j'y tiens fermement, même s'il m'arrive de trouver désirables d'autres filles. Toutefois, dans le cadre de "Amours &Cie", j'ai dû accepter de ne m'imposer aucun interdit. Surprise surprise. Je voudrais vous dire que les scènes qui vous seront proposées dans nos spectacles et nos shows seront toujours tirées de l'inspiration du moment. Rien n'est écrit à l'avance. Vous ne verres jamais deux fois la même programmation, sauf si les acteurs du moment souhaitent réitérer une chose qui leur aurait donné un vraiment grand plaisir !
Un petit mouvement tournant amène dans le champ la frimousse espiègle de Gisèle qui arbore un immense sourire des plus gourmands.
- Bonjour ! Je suis Gisèle, j'ai dix-huit ans passés de peu et je viens d'avoir mon bac en mode très bien : hyper fière, donc ! Je suis, moi aussi inscrite en fac de médecine, donc avec Flavien et Hanna que vous connaissez déjà. Mes attirances sexuelles sont complexes car j'ai passé plusieurs années auprès de garçons, sans jamais, toutefois, passer à l'horizontale, si vous voyez ce que je veux dire ! Mes deux dernières années de gentille drague avec des garçons ont été accompagnées par la cour effrénée que me faisait une fille, très belle, aux avances de laquelle j'ai fini par céder. Elle est donc ma compagne et depuis, je suis devenue un indécrottable goudou. Je voudrais vous dire que, dans notre groupe "Amours &Cie", l'un de nos objectifs est que les liens affectifs de notre vie réelle ne soient pas détectables. Normalement, si nous ne sommes pas trop nuls, vous ne saurez rien ! Nous pratiquerons diverses prestations avec divers acteurs dont nous ne sommes pas les partenaires dans la vraie vie et nous le ferons avec la plus grande sincérité, soyez-en certains, car Amours & Cie signifie que nous nous aimons réellement… au moment M ! Hé oui ! le reste du temps aussi, nous avons une très grande estime les uns pour les autres… Mais l'amour, le vrai… allez savoir pour qui il est ! Et tout cela, nous le consentons entre nous car c'est pour une bonne cause.
Le visage suivant est celui d'un garçon aux traits sérieux, presque durs. On devine pourtant qu'il est probablement timide !
- Bonjour, mon nom est Antoine. J'ai eu dix-huit ans à Pâques dernières et je viens d'avoir mon bac… je répugne à dire avec quelle mention. Je vais être étudiant en agronomie, ce qui signifie que je retourne au lycée pour deux ou trois année de classes préparatoires au concours de l'école. Ma position vis-à-vis du sexe et de l'amour, c'est que sans amour, il ne peut y avoir de sexe. Je suis très exclusivement hétérosexuel, sans pour autan avoir investigué les autres orientations. Je n'en parlerai donc pas puisque j'en ignore tout. Je suis lié par un amour unique, d'une puissance que je souhaite à tous et à toutes… Je compte fermement épouser cette merveilleuse personne qui est tout pour moi. Cependant, au sein d'Amours & Cie, il est possible que je sois amené à des relations avec une autre personne que ma promise… et je le ferai avec la plus grande sincérité car l'amour sera entre nous, pour une cause belle et juste. Je voudrais vous dire que nous avons choisi de ne pas nous masquer ni travestir nos noms, après une longue hésitation, car nous n'avons pas honte de défendre une bonne cause. Nous disparaitrons du réseau sitôt cette cause réalisée, son objectif atteint.
La caméra se stabilise enfin sur le dernier acteur, actrice en l'occurrence : Steffi. Contrairement aux autres, elle s'avance d'un pas. Elle porte une jupe fleurie descendant à mi-mollet et un petit corsage bouffant en tissu léger gris perle, très élégante avec ses belles boucles châtaines tombant sur ses épaules !
- Bonjour, je suis Steffi, J'ai eu dix-huit ans en février dernier, je viens d'avoir mon bac, peu importe la mention ! Je suis moi aussi inscrite en première année de médecine pour la rentrée prochaine. Mon orientation sexuelle est à la fois très nette et un peu floue à mes yeux : je pense être faite pour vivre avec un homme, cela ne fait pas trop de doute pour moi. J'y songe fortement et d'ailleurs, mon cœur penche ces derniers temps pour un gars que je trouve très chouette. Mais en même temps, je ressens une excitation considérable à la vue de certaines filles qui me mettent dans tous mes états ! Je voudrais vous donner quelques détails sur la cause, la bonne et belle cause dont mes amis viennent de vous parler. L'une des personnes de notre groupe Amours & Cie s'est vu interdire l'accès à toutes formes d'études par son père. C'est un véto catégorique opposé par son père qui a justifié le départ définitif de cette personne du domicile parental. Maintenant, à nous six, nous devons trouver le financement de ses études. Et c'est VOUS, qui allez nous y aider, par votre générosité ! Nous allons faire de notre mieux pour alimenter vos fantasmes et vous donner du plaisir. Nous fixerons des objectifs raisonnables mais certains seront très élevés… Je vous donne un exemple : moi-même, je suis encore vierge. Lorsque je me sentirai prête à offrir ma virginité à l'homme que j'aurai choisi, il rejoindra Amours & Cie s'il n'en fait pas partie et c'est devant vous que cela se passera : j'en fais le serment ici-même !
Steffi se tut enfin, se dirigea vers le début du rang, prit Hanna par la main et l'emmena, la caméra les suivant, vers un canapé au fond de la pièce. Les deux filles n'attendirent pas d'être assises pour s'embrasser avec une fougue croissante. Bientôt, la fermeture éclair de la jolie robe noire s'avoue vaincue tandis que les boutons du chemisier sont un à un conquis. Hanna ne portait rien sous la robe, une fine culotte de dentelle blanche constitue l'ultime rempart de Steffi sous la jupe qui, elle aussi, a volé au loin.
Les baisers continuent et les mains commencent à s'activer vers la culotte et le joli petit minou tout lisse… Soudain, tout cesse, les deux filles tournent un immense sourire vers la caméra et disent dans un ensemble parfait :
- Pour la suite, chers amis, chères spectatrices, rendez-vous sur le prochain show d'Amours & Cie !
Les shows
Premier
Le compte "Amours & Cie" a bien été ouvert et activé ce jour ! Les six amis se sont dit qu'un vendredi soir, c'était sans doute propice… Bon, les visiteurs venant tous de la planète Terre, date et heure n'ont en fait pas autant d'importance qu'on le croirait.
Comme promis sur la vidéo d'annonce, C'est Hanna et Steffi qui ont l'honneur d'ouvrir la danse ! Elles se sont vêtues comme dans la vidéo… Une fois en ligne, il n'y a plus qu'à attendre. C'est le plus long… le plus lassant, sans doute, dans l'esprit de nos deux animatrices. Un visiteur : Doudou37 ! Hanna l'interpelle :
- Hello Doudou, tu es de l'Indre et Loire ou bien tu es né en 37 ? Bel âge, en ce cas !
- Ni l'un ni l'autre : j'ai 37 ans !
- T'es un doudou ou bien une doudou ? Tu as vu, ma doudou, ce soir s'appelle Steffi, elle est très belle, hein ?
- Je suis un doudou…
- Bon alors tu as vu le programme ? On va commencer doucement, de 19 à 21 heures, ce sera des bisous, tout ça. Pour 55 jetons, on va se rouler un patin fabuleux. Ensuite, on aura le déshabillage : 98jetons par vêtement. Hé, on n'en a pas mis trop !
- J'ai vu.
- Et si on a du monde et si les jetons sont de la partie, pour mille cinq-cents jetons, on vous fera un show lesbien de trente minutes avec un moins deux vrais orgasmes chacune, c'est le minimum syndical !
À partir de là les filles commencent à se faire des bisous, se caresser à travers leurs vêtements, passer les mains dessous, sans rien laisser voir, se jeter des regards torrides et se dire tout ce qu'elles ont envie de se faire, plus tard, pour le show final. Les jetons commencent à tomber. À 55, Hanna prend Steffi sur ses cuisses et commence à l'embrasser avec amour, avec sincérité. C'est magnifique : on sent les deux partenaires pleinement engagées, on sent leur excitation ! Cinq minutes de baiser sans interruption, houa ! L'objectif suivant est annoncé à 95 jetons :ôter le chemiser de Steffi.
De toute évidence, les spectateurs se sont donné le mot. Il ne faut pas cinq minutes pour l'atteindre et en vingt minutes, les deux filles sont nues. Bien trop vite ! Alors elles fixent un objectif intermédiaire pour trois-cents jetons : retirer le plug d'Hanna avec les dents. Il était prévu initialement de le retirer pendant le show final, tant pis ! La grande fille se lève, se penche et fait admirer à la caméra la superbe améthyste qui brille entre ses fesses, bien tournée vers la webcam…
La course commence. Doudou37 envoie un pourboire de 45 jetons… Bon début ! Cette fois, c'est un peu plus poussif mais tout de même, assez rapidement, la petite sonnerie annonce l'objectif atteint. Alors Hanna se met à genoux sur le lit et se penche, tête sur le matelas. Steffi qui n'a jamais vu ce genre d'objet se doute de la manière dont elle va devoir s'y prendre, ce qui lui confirme sa partenaire dans un murmure.
Elle ouvre toute grande sa bouche, regardant la caméra, puis se place latéralement près des hanches d'Hanna, place ses deux mains sur ses fesses pour les tenir écartées, vient enfin délicatement passer ses dents derrière la collerette avant de la tirer tout doucement. L'ogive métallique sort en étincelant. Hanna se redresse et vient la recueillir dans sa bouche… Puis elle la dépose et embrasse sa partenaire, nouvelle manifestation de fougue ! Le point positif, c'est que cet intermède on prévu a tout de même permis d'arriver à l'heure prévue pour lancer le dernier objectif de la journée. Il apparait : 4998 jetons pour le show lesbien complet de trente minutes ! Les spectateurs connectés vont-ils être tentés ? vont-il envoyer de bons pourboires et faire monter la tension ? Les deux filles ont de gros doutes, tout de même…
Elles ont choisi de se rhabiller, en ajoutant quelques sous-vêtements, de manière à donner l'occasion d'un joli déshabillage ! Elles profitent de leur tenue pour s'alimenter un peu, aussi. Avec un sourire angélique, Steffi va devant la caméra :
- Si nous voulons être en forme pour vous donner un show digne de ce nom, il faut bien qu'on mange un peu, hein ?
Le temps qu'elles mangent, c'est déjà plus de deux mille jetons qui sont tombés. Sans doute des internautes ont-ils prévenu certains contacts, leur disant qu'il allait se passer des choses… Il n'est pas encore vingt-et-une heures quand retentit la petite sonnerie… Le montant est atteint, dépassé, même…
Steffi oriente la webcam différemment, vers le grand lit, y apporte la télécommande. Hanna fouille un sac et dispose quelques objets que les spectateurs n'ont pas le temps de voir : des jouets, sans doute ! Puis les deux filles se retrouvent face à face. Hanna sourit :
- Ma doudou, jolie Steffi… Nous n'avons jamais fait l'amour ensemble ! On va faire quelque chose de chouette, hein ? Ça fait si longtemps que je t'ai remarquée, au lycée, et que tu me plais… Et là, maintenant, j'ai tellement envie de toi ! Je vais t'aimer comme une dingue.
- Moi aussi Hanna, je te vois courtiser d'autres filles depuis des mois, j'ai même été limite jalouse, parfois. Des nuits entières j'ai rêvé de ce que je te ferais si d'aventure… Et le moment est venu ! J'ai envie de toi, Hanna…
Baiser chaud et sensuel, mains qui se promènent sur et sous les vêtements, qui caressent, qui pincent, qui pénètrent… Qui arrachent les premiers soupirs aux deux partenaires. Steffi a fait basculer Hanna sur le dos et lui a saisi les jambes, amené ses pieds jusqu'à sa bouche pour les lécher, les mordiller les sucer…
- Oh, comme tes pieds sont jolis, j'adore ! Je sens qu'on va être de bonnes copines, toi et moi : rien qu'à voir tes pieds, j'ai ma petite culotte toute mouillée…
- Tu aimes tant que ça les pieds ?
- Tu ne peux pas savoir à quel point !
- Tous les pieds te font cet effet ?
- Les tiens, oui, ceux d'Agathe aussi… Gisèle, non. C'est selon…
- Garçons et filles ?
- Ah, ça… Tu marques un point : je n'ai jamais regardé pour les garçons… Il faudra que je fasse un test !
Elle regarde Hanna droit dans les yeux et, descendant un de ses pieds jusqu'à la hauteur de son entrejambe, elle soulève la jupe et passe le pied dessous. Personne ne peut rien voir mais on devine comment Steffi dirige les orteils vers, sa culotte, l'écarte sans doute, les fait aller et venir sur son petit abricot… de haut en bas, d'avant en arrière…
Ses yeux deviennent tout ronds tandis qu'elle étouffe un petit hoquet. De ses deux mains, elle dirige le pied, on le voit dans un mouvement de va-et-vient qui s'amplifie jusqu'au moment ou elle pousse un petit cri, fermant les yeux et serrant ses jambes convulsivement, toute secouée de spasmes. Elle ressort le pied luisant de dessous la jupe, le remonte à ses lèvres et le lèche goulument avec ravissement. Sa langue remonte le cours de la jambe : sa tête passe sous sa robe noire… Maintenant, c'est Hanna qui commence à frémir. Les deux mains de Steffi ont pris d'assaut sa poitrine, très menue, plate, mais dotée de fabuleux tétons. À travers l'étoffe de la robe, on la voit les saisir, les étirer, on entend Hanna gémir… Puis, sans doute lui donne-t-elle l'estocade, là, sous le noir tissu, Hanna pousse une longue plainte en se cabrant, dos courbé vers l'arrière et cuisses tremblantes.
Les deux filles se donnent un instant de répit, se regardant avec tendresse. Hanna parle tout doucement :
- Ma belle ! Ce n'était pas prévu, ça ! Joli travail et magnifique idée !
Elle déboutonne soigneusement le corsage de Steffi qui, de son côté, fait tomber une nouvelle fois la jolie robe noire. La jupe vole à son tour : les deux partenaires sont maintenant en culottes et Steffi a encore un soutien-gorge qui fait aimablement pigeonner ses seins.
- Les voilà à genoux face à face : Hanna saisit Steffi par la taille et s'allonge sur le dos, forçant sa jeune partenaire à venir chevaucher son visage. Sa cavalière comprenant son attente fait mine de baisser sa culotte :
- Pas de ça Lisette ! Aujourd'hui, je veux boire de l'eau filtrée !
Hanna possède une langue démesurée : elle la passe sur la fine dentelle, juste au dessus du petit minou dont elle convoite le divin nectar, le recouvre en totalité. Elle appuie, le contourne, le flatte, l'enserre entre ses lèvres pulpeuses et aspire avec force. Steffi n'a jamais reçu une telle caresse. Elle voudrait ôter cette culotte mais réalise en même temps qu'elle ajoute une dimension érotique, une excitation superlative !
Elle sent les deux mains de sa partenaire se glisser sous la culotte pour caresser ses fesses. Un doigt se glisse entre les dodus globes de chair appétissante et caresse le petit anneau musculeux. Steffi tente d'ôter cette main… Une tape plutôt inamicale sur la main lui fait comprendre qu'elle n'a pas son mot à dire et elle se soumet bon gré mal gré. Une phalange indiscrète revient à la charge tandis que la langue agile continue son œuvre. Bientôt, la jeune femme sent une puissante montée de plaisir qui étreint son petit anneau, lui donne envie de plus.
- Oh oui, Hanna, vas-y, plus fort, s'il te plaît… Oui encore, plus profond, encore…
Hanna ôte son doigt et le remet accompagné de son voisin, provoquant un véritable rugissement de plaisir. Steffi est au bord du plus puissant orgasme de toute sa vie. Elle se tortille, ondule des fesses et du bassin, cherchant à magnifier les effets de deux caresses qu'elle reçoit simultanément, sa liqueur d'amour coule en abondance. Elle geint, râle et finalement pousse un cri strident, long et modulé tandis que ses cuisses sont prises d'incoercibles tremblements.
Elle s'effondre sur le côté, roule sur le dos, exténuée ; Hanna lui retire enfin la culotte détrempée qu'elle porte toujours. Se penchant entre ses cuisses offertes, elle lèche avec douceur ces parties devenues si sensibles mais demeurant toujours aussi irrésistiblement attirantes. Du bout de sa langue, elle lisse les pétales froissés de la jolie fleur, en butine le pistil avec légèreté, plonge au fond du calice recueillir son nectar parfumé.
Steffi se redresse légèrement, se tord de manière à amener sa tête sur sa partenaire dans une position identique et entreprend de lui rendre la politesse. Une main d'Hanna plonge sous un oreiller et en sort un jouet qu'elle tend à son amie. Message reçu ! Steffi vient placer le membre factice sur le luisant sillon qu'elle vient de parcourir d'une langue gourmande. La belle serre aussitôt les cuisses en signe de refus, puis les écarte de nouveau en basculant son bassin en un message assez clair. C'est donc sur la petite rosette violacée que l'objet vient terminer sa course, à la grande satisfaction de la jolie brune !
Steffi pousse à peine sur l'objet, il entre avec une facilité déconcertante. Elle appuie à peine plus, le voila presque totalement entré. Hanna vient d'elle-même écarter ses fesses encore un peu plus : le renflement de la base de la hampe factice entre à son tour, malgré son diamètre dissuasif. Sur l'écran, on peut voir la ventouse qui, seule, reste à l'extérieur… Sa jeune partenaire s'active, joue de la langue et de ses doigts, lèche et savoure la délicieuse crème blanche qui commence à sourdre en quantité. Elle a de la peine à tout faire disparaître tant l'écoulement en est abondant, elle en a la figure toute barbouillée, on ne voit plus que cela sur l'écran !
Soudain, Hanna pousse un soupir particulièrement profond, se tend une fois encore en contractant tous ses muscles : on voit son ventre se durcir, ses fesses se crisper, se serrer à l'extrême. La ventouse du jouet se plie et tout à coup entre à son tour, le petit anneau se referme derrière elle… Hanna vole en éclats dans une tempête orgasmique démente comme elle n'en a jamais connu. Tout son corps est parcouru d'ondes de plaisirs, de spasmes qui la font tressauter comme un poisson sorti de l'eau, les yeux clos, les dents serrées. Steffi lape avec gourmandise les dernières petites coulées de la douce liqueur crémeuse tandis qu'Hanna revient doucement à elle. D'une main habituée, elle récupère son jouet et le pose au sol. Son regard sur Steffi n'est plus tout à fait le même :
- Oh, toi… Toi… Toi, Steffi ! Personne ne m'avait jamais fait jouir comme ça ! Tu es vraiment douée, pour une presque hétéro ! Tu as du talent, même… Oui, je crois qu'on va être de bonnes copines, toi et moi !
- Dis, ton gode… quand il a disparu… J'ai eu la trouille ! Que s'est-il passé ?
- Oh, ça ! Ça m'arrive de l'avaler comme ça, quand je suis dans une excitation vraiment intense ! Et là, tu peux me croire, elle était au rendez-vous, l'excitation !
Les filles regardent l'heure : sapristi, quarante minutes de show ! Il est grand temps de terminer la séance. Hanna, toujours en tenue de travail, se place face à la caméra, Steffi à sa droite :
- Bon, les p'tits loups, ça vous a plu ? Au fait, notre Doudou est toujours là ? Tu as aimé, dis, Doudou ?
- Je veux ! il était fabuleux, votre show, j'espère qu'il y en aura d'autres !
- T'en fais pas, on en fera des tas ! Bon, c'est l'heure d'éteindre les lumières et de faire dodo ! La prochaine vacation sur Amours & Cie, c'est demain, samedi matin à neuf heures ! Merci à tous d'être venus, merci pour votre générosité. Merci de faire de la pub autour de vous pour Amours & Cie ! Aimez-vous toutes et tous, nous vous aimons, ciao bye !
Avant de repartir, Steffi murmure, effarée :
- Dis, Hanna, tu as vu ce que nous avons fait ? Si mes calculs sont justes, nous avons gagné pas loin de cinq cents euros…
- C'est dingue ! Même si c'était cinquante, on serait super heureuses ! Oui, on a super bien marché. C'est la rançon de la sincérité…
Deuxième
Ce samedi matin, c'est Flavien qui vient démarrer l'ordinateur et qui ouvre une session sur Amours & Cie à neuf heures piles. Il râle un peu parce que le groupe a décidé la veille au soir que, puisque deux filles avaient ouvert la danse, ce serait de bonne guerre que les deux garçons commencent le show suivant. Ils ont dit OK mais ne sont pas du tout inspirés ! À peine la session ouvert, une connexion arrive : Barézille77… tout un programme.
Flavien se demande à quoi ressemble cette personne. Il allume le micro :
- Salut les p'tits loups, salut Barézille, tu es quoi, toi, martien, terrien, homme, femme ? T peux mettre le son, on est seul…
- Je suis une femme !
- Jolie voix. Tu peux mettre ta webcam ?
Apparait une fenêtre dans laquelle Flavien peut admirer une plutôt jolie femme vêtue en tout et pour toute de bas résilles ! La webcam s'éteint aussitôt.
- Ah, oui ! ton pseudo se comprend mieux, comme ça !
Antoine arrive, il est vêtu d'un bleu de travail. Il semble revenir d'un chantier, avec un air très affairé.
- Salut Flavien. Les nanas ne sont pas encore arrivées ? Elles exagèrent… On n'a pas que ça à faire, nous…
- Nan, toujours pas là. Et je ne sais pas ce qu'on va bien pouvoir proposer. On a une seule connexion, regarde : Barézille77. C'est une super jolie nana !
Un post de Barézille77 apparait : "Vous n'avez qu'à nous faire une comparaison de vos membres… ça ferait une bonne… introduction !"
Flavien et Antoine se regardent… Pfff. Autant les filles ont eu l'air d'adorer leur prestation de la veille, autant ils ont envie de se produire ici comme d'aller se pendre ! Antoine, très direct :
- Tu voudrais vraiment me toucher la bite, toi ?
- Bin… pas trop… Mais tu as vu la vidéo des filles, hein… elles n'ont pas fait que toucher ! J'espère qu'elles vont arriver et qu'on aura une relève avant d'avoir dû aller trop loin.
Un peu à contrecœur, Flavien lance le premier objectif : pour 55 jetons, les deux garçons vont comparer la grosseur et la longueur de leur sexe en modestie et en érection… Flavien a un doute :
- Je ne suis pas sûr du tout d'arriver à bander pour la prise de mesure…
- Bah… On se lance, on verra bien. Et puis… C'est pour une bonne cause !
Elle a bon dos, la cause… Ils sont d'une humeur vraiment pas au top ! Il ne faut pourtant qu'un petit quart d'heure pour que les 55 jetons soient tous collectés : pas d'échappatoire, il faut y aller ! Alors, Antoine ôte son bleu de travail : il est habillé dessous. Il ouvre sa braguette… pas bien commode, tout ça. Plus pragmatique, Flavien retire son pantalon : après tout, ce sera fait, il faudra sûrement aller plus loin après… Antoine le suit. Les voilà donc en T-shirt, flamberge au vent !
La mesure au repos est en faveur d'Antoine, légèrement plus long que Flavien, mais de peu. Maintenant, il va falloir échauffer ces petites choses… Antoine se décide : il saisit délicatement la verge de son ami et la caresse avec légèreté du bout de ses doigts. Il est surpris par la sensation de douceur de cette peau : il a pourtant la même, il n'avait jamais remarqué ! Il serre un peu plus fort et sent immédiatement une réaction de la verge qui commence à croître dans sa main. Une grande émotion le gagne à penser que c'est lui qui provoque l'érection de son ami. Flavien a saisi le sexe de son partenaire et le presse doucement entre ses doigts. À son tour, il sent l'objet gonfler dans le fourreau de ses doigts.
En quelques secondes, les voilà qui arborent chacun une fort belle érection ainsi qu'un visage écarlate. Au lieu de mesurer, ils décident de les placer côte à côte tête-bêche : la lecture est sans appel : Flavien est sensiblement plus long, d'un bon demi-gland, Antoine, lui, est en revanche un peu plus épais !
À l'écran, les pourboires crépitent… Antoine passe donc au défi suivant : 248 jetons pour prendre le sexe de Flavien dans sa bouche et le sucer une minute complète. Il ne comprend pas bien ce qui lui arrive. Il ne veut pas du tout faire ce genre de choses, mais envoyer cet objectif déclenche en lui une sorte d'excitation qui le met littéralement en transes. Il commence à en avoir réellement envie et se prend à espérer que ça aille vite ! Les jetons tombent plus ou moins régulièrement, le compteur crépite, Flavien s'entretient devant l'écran, d'une main paresseuse… Bientôt, la petite sonnerie annonce que le show peut commencer… Une petite mise au point s'impose. Flavien se lance :
- Ni Antoine ni moi n'avons jamais pratiqué cet exercice… Nous comptons sur votre indulgence… et vos encouragements !
Antoine se place donc à genoux de profil face à la caméra, Flavien debout devant lui… après une très courte hésitation, il le prend dans sa bouche. Énorme surprise ! Lui qui pensait ressentir une sorte de dégoût trouve le contact très agréable. Il ressort le sexe en érection, le regarde avec étonnement, le caresse du bout de ses doigts, le reprend dans sa bouche avec envie. C'est tout doux, c'est chaud, ça palpite sur la langue : une grande excitation le gagne… Antoine fait coulisser le pieu de chair entre ses lèvres, le faisant pénétrer chaque fois de plus en plus profondément. Il arrive à la limite extrême, tout près de sa luette, fait ressortir le membre et recommence. Il serre ses lèvres au plus fort en un anneau aussi étroit qu'il le peut, lèche le frein lorsqu'il arrive tout au bout. D'une main, il caresse en même temps les bourses, les flatte, les pétrit avec douceur.
Flavien soupire dans son étonnement : lui qui pensait également ressentir du dégoût commence au contraire à apprécier la caresse de son ami. Il anticipe le moment où le plaisir le saisira et où il lui fera l'hommage de sa jouissance en se déversant dans sa bouche… Il imagine même quelles suites pourraient bien survenir !
La minute n'est pas tout à fait écoulée lorsque Flavien ne parvient pas à retenir un râle et se répand dans la bouche de son ami ! Un millième de seconde plus tard, la décision d'Antoine est prise : pour la cause, il se doit d'être irréprochable à l'écran… Alors, il se tourne vers la caméra, ouvrant tout grand la bouche pour que tous puissent voir la belle et onctueuse liqueur blanche qui couvre généreusement sa langue, puis il l'avale par petites goulées, savourant le doux nectar, reprend en main le sexe de Flavien, lèche, le presse, l'aspire pour en extraire jusqu'à la dernière goutte, le tout en affichant un sourire dépourvu de toute équivoque : finalement, il a adoré ça !
Il dit quelques mots à l'oreille de Flavien en se relevant :
- Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Soit tu me fais pareil, mais ça ferait un peu réchauffé… soit je vais devoir te prendre par les fesses… De toute manière, tôt ou tard, on y passera tous les deux, je le crains… Pour la cause !
- Tu as raison, on va opter pour la deuxième… Je n'aime pas trop l'idée mais j'avoue ressentir une belle excitation en y pensant… Et puis, avons-nous le choix ?
C'est à cet instant qu'Agathe et Steffi entrent dans le studio, comprennent ce qui vient de se produire… Agathe sourit :
- Hé bien, les p'tits minets, qu'est-ce que vous avez dû faire, là ? Il fallait nous attendre ! On l'aurait fait à votre place ! Allez, poussez-vous, on va prendre la suite, vous voulez bien ?
- Heu… Vous ne croyez pas que vous la jouez un peu faux-cul ? Je parie que vous étiez derrière la porte depuis vingt minutes !
Avec son habituel regard plein de candeur, Agathe se tourne vers une Steffi hilare et lance :
- Ça, alors ! Comment une telle idée peut-elle leur être venue ? Bon, on vous relève ?
- Non, en fait, nous venions de décider que nous allions continuer.
- Oh ! alors on va vous assister de notre mieux
C'est Flavien lui-même qui va lancer l'objectif final : pour 4998 jetons, il va offrir sa virginité anale à son ami Antoine, assisté des deux filles. Le compteur de jetons commence immédiatement à crépiter : Barézille77 a offert 90 jetons !
Sur le canapé, Steffi et Agathe s'embrassent langoureusement tout en se donnant de tendres caresses. Antoine s'approche d'elles et interpose son sexe palpitant entre les quatre jolies lèvres. Les deux filles s'en saisissent et commencent à lui administrer une suave caresse linguale, devant Flavien, un rien jaloux :
- Hé soldat Antoine, n'oublie pas que tu vas en avoir besoin bientôt… Ne fais pas péter toutes tes munitions avant le combat !
Le garçon s'en moque et lui fait signe de venir participer. Tandis que les filles s'occupent de leur mieux de ces deux verges magnifiques, leurs mains ne restent pas inactives : elles se caressent la poitrine, descendent jusqu'à leur petit minou qu'elles s'explorent mutuellement de leurs doigts plus qu'habitués à l'exercice ! Lorsque retentit le jingle de l'objectif atteint, elles sont au bord de l'orgasme.
Flavien fait s'allonger Agathe sur le flanc au bord du lit et vient se positionner devant elle. Il la regarde intensément avant de l'embrasser, et dans ce regard, la jeune femme n'a aucune peine à lire ce que ressent le garçon : il a peur de ce qui l'attend ! Agathe lui fait son plus joli sourire, le plus rassurant, tout en chuchotant, d'une manière tout à fait inaudible si ce n'est par lui :
- Ne t'en fais pas, il n'y a que du bon à ressentir, tu vas aimer ! Je suis sûr que tu en redemanderas…
Tandis qu'il embrasse sa partenaire avec reconnaissance, il sent Antoine qui vient s'insinuer entre ses muscles fessiers crispés, durcis par l'appréhension. Gémissement de Flavien, surpris : il s'attendait à quelque chose de douloureux, c'est une verge toute douce, non agressive, bien lubrifiée qui glisse sans aucune peine en lui, avec une sensation de plénitude qu'il trouve aussitôt très agréable, même si l'épais objet de chair qui le pénètre distend passablement son petit anneau musculeux. Son étonnement est tel qu'il se surprend même à lancer cet appel :
- Vas-y Antoine, mets-le bien à fond, j'adore, c'est génial comme sensation, oh, oui, continue, pousse encore plus fort…
Antoine s'exécute, poussant autant qu'il peut. Ne pouvant plus avancer, il change de position, se plaçant en ciseaux : résultat immédiat, Flavien gémit encore plus fort :
- Oh, oui, vieux frère, viens encore plus fort en moi, c'est trop bon, je vais jouir si tu continues comme ça…
Il n'en faut pas beaucoup plus pour qu'Antoine, dans son état d'intense excitation se répande en longues saccades chaudes et crémeuses au plus profond de son copain. Flavien sent son plaisir au plus profond de lui et en éprouve une grande joie… mais ne termine pas pour autant en orgasme !
Tout à côté de lui, Agathe toujours allongée sur son dos reçoit un profond baiser de Steffi, à plat-ventre à côté d'elle. Flavien se lève et vient frotter son frein surexcité sur le magnifique téton rose de la jeune fille. Steffi en profite pour venir poser sa tête tout près de ce sein, pour capturer cette belle verge de sa bouche gourmande qui n'a encore jamais connu cette caresse… Flavien comprend qu'il n'aura pas cette fois la chance d'aboutir à un orgasme sur ce joli téton : il offre cette opportunité à Steffi qui ne se prive pas, s'active, sent les frémissements qui l'agitent, serre l'anneau de ses lèvres et aspire de toutes ses forces… Le garçon, dans un râle, laisse exploser sa jouissance dans la bouche de cette fille qu'il rêve plus que tout au monde séduire et qui, pour le moment, semble encore hésiter à se donner à lui…
Steffi embrasse aussitôt Agathe, échangeant avec elle la délicieuse liqueur en un langoureux baiser. Les garçons sentent qu'ils les ont perdues et se bornent à se parler à voix basse :
- Alors comme ça tu as aimé ?
- Ah ! J'ai adoré, sans rire… Je regrette presque de ne pas avoir essayé plus tôt ! C'est bon… mais bon… Tu ne peux pas savoir. Jamais je n'aurais imaginé une sensation pareille, vrai de vrai !
- J'aurais jamais cru… Il faudra que tu me le fasses, alors !
Steffi s'est maintenant mise tête-bêche sur son amie et la lèche doucement tout en s'aidant de ses doigts, tandis qu'Agathe lui rend la pareille avec application, tendresse et reconnaissance. Les deux garçons se font un clin d'œil et se comprennent : Antoine décide de se rendre à la tête d'Agathe et Flavien reste entre ses cuisses, tout près de la tête de la jolie fille qu'il chérit déjà tant. Il modifie l'angle de prise de vue de la webcam et s'installe. Il voit la langue de Steffi qui s'active, approche la sienne ; commence alors un ballet dans lequel les deux langues se mêlent parfois à la faveur d'une rencontre sur les chairs rosées de la fleur d'amour d'une bien jolie fille. Antoine de son côté en fait tout autant, embrassant parfois sa belle à l'occasion de ces furtives rencontres, se régalant de la liqueur d'amour de Steffi le reste du temps.
Excitation allant croissant, soupirs qui montent de tous côtés, même les deux garçons qui, pourtant, viennent de jouir, y vont de leurs râles en caressant eux-mêmes leur pistil douloureux. Steffi sent la pression monter chez sa partenaire, elle accélère le mouvement tant de sa langue que de ses doigts. Elle englobe soudainement tout son petit minou surexcité de sa bouche grande ouverte en ventouse, tandis que de sa langue, elle termine la caresse dont elle connait à l'avance le résultat.
C'est l'explosion. À l'écran, on voit distinctement de petits jets de l'abondante cyprine vaincre la pression des lèvres de Steffi, gicler sur les cuisses, y ricocher pour venir inonder son visage d'un miel translucide qui le nappe généreusement… Agathe est prise de soubresauts et demeure tendue, gémissante et incapable de continuer sa propre caresse ; c'est Antoine qui l'achève d'une langue salvatrice, donnant à Steffi la libération d'un puissant orgasme.
Steffi relève la tête, les yeux fermés, les lèvres hermétiquement closes et les joues gonflées à l'extrême. Elle sent le souffle de Flavien devant elle, colle ses lèvres aux siennes et laisse fuser dans sa bouche cet abondant nectar qui, en même temps, continue de s'écouler de la fleur inondée d'Agathe. Le garçon ne s'attendait pas à ce volume ! Il s'étrangle, déglutit péniblement le délicieux jus avant de revenir s'abreuver à sa source-même. Lui et Steffi s'embrassent enfin, toujours entre ces deux magnifiques cuisses luisantes de la savoureuse sécrétion. Antoine et Agathe, de l'autre côté de la scène, s'embrassent amoureusement, hors caméra, se sourient, échangent des mots d'amour murmurés !
Lorsque les quatre amants se relèvent, la colonne des discussions est archi pleine de commentaires fracassants ! Tout le monde en reveut… Un petit coup d'œil à l'horloge : Houa ! Ils ont tenu plus d'une heure… Bel effort… mais il est grand temps de refermer la session ! Agathe revient sur le devant de l'écran :
- Bon, les p'tits loups, on a débordé, encore un coup… J'espère que vous ne nous en voulez pas trop ! Nous allons devoir aller nous sustenter un peu pour revenir en forme pour d'autres shows excitants ! Alors, bon weekend, mille mercis pour votre visite et votre générosité. La prochaine vacation d'Amours & Cie, ce sera lundi prochain de 19 à 21 heures, nous ne savons pas encore avec quels animateurs. Aimez-vous toutes et tous, nous vous aimons, ciao bye !
Troisième
Lundi soir, Gisèle retrouve Agathe chez Hanna pour le troisième show. Cette dernière est partie diner chez des cousins avec ses parents, il n'y a pas de risque de les voir avant au moins onze heures du soir, au plus tôt ! Elles ont converti le canapé clic-clac en un lit recouvert des plusieurs épaisses serviettes de bain. Cela promet d'être confortable. Elles on disposé divers tabourets de bar et autres table basse tout autour de manière à pouvoir y disposer l'ordinateur avec la webcam, offrant des angles de prise de vue intéressants. Pourtant, Gisèle tire une tête pas très engageante…
- Que t'arrive-t-il ? Tu n'es pas en forme ? Tu as tes bricoles ?
- Nan… Ça va. C'est juste que… je n'aime toujours pas l'idée de tromper Hanna… même avec toi ou quelqu'un d'Amours & Cie. J'ai tellement peur de la perdre…
- Pourquoi dis-tu ça ? Nous sommes tous bien d'accord, pourtant. On agit pour la cause !
- Oui, mais… Quand je vois Hanna qui fait l'amour avec Steffi ou avec toi, et qu'elle y prend plaisir, j'ai quand même du mal… Elle est tout pour moi, cette fille. Et la tromper me fait tout autant de mal.
- Mais enfin, Giz, tu n'es pas cool de dire ça ! Hanna t'aime plus que tout au monde, tu le sais. Et si elle couche avec d'autres filles que toi, elle n'en demeure pas moins amoureuse de toi, de toi uniquement. Tant qu'elle te revient en exclusivité, c'est que c'est juste pour toi que son cœur bat ! Tu le sais, nous sommes deux couples déclarés au sein d'Amours & Cie, et un troisième n'est sans doute pas bien loin. Tous, nous sommes fidèles, tu n'as pas de souci à te faire.
- Tu crois ?
- Bien-sûr que je le crois, j'en suis même sûre. Et puis… Ne me dis pas que tu n'as pas eu de plaisir quand nous avons fait l'amour toi et moi ici même, au bord de la piscine l'autre jour, quand nous avons lamentablement planté les garçons !
- C'est vrai… Tu avais été… plutôt efficace !
- Allez ! Il faut démarrer, c'est l'heure… Je te propose un truc rigolo pour commencer, je vais te déshabiller sans les mains ni les bras, d'acc ?
Aussitôt, avec un sourire coquin, Gisèle ouvre son pantalon, elle fait glisser sa jolie marinière rouge et blanche très juste au corps le plus bas possible sur sa petite culotte avant de remonter son jean par dessus.
- On va faire durer un peu le plaisir !
- Oh, tu es vache ! Et puis je n'arriverai jamais à défaire ce bouton trop serré… Déboutonne-le, s'il te plaît, derrière la boucle de ceinture, ça ne se verra pas !
Agathe connecte l'ordinateur sur le site et ouvre la session : une minute avant neuf heures. Aussitôt, trois spectateurs apparaissent déjà en ligne !
- Salut les p'tits loups ! Merci d'être au rendez-vous. Ce soir, nous allons tâcher de vous donner un peu de bonheur Gisèle et moi, et de recharger votre pompe à fantasmes pour quelques heures ! Regardez ma copine, elle est choucarde, hein ? Vous avez vu ? C'est une vraie rousse, promis, je vous ferai bientôt voir ! Alors je vous annonce notre premier objectif : pour 55 jetons, je vais la déshabiller sans y mettre les mains… Grande comme elle est, je vais avoir du boulot !
Quelques commentaires apparaissent dans la colonne des chats donnant des conseils, exprimant des envies… Et le compteur de jetons commence à s'incrémenter déjà dix, treize, dix-huit… Sucette complète le score à 55. Drôle d'avatar, Sucette : une photo représentant un sexe féminin d'où dépasse le bâton… d'une sucette !
- Merci Sucette ! Tu as un très joli sourire sur ta photo, j'aime beaucoup tes lèvres ! Tu peux mettre ton micro pour la séance ? On pourra se parler, comme ça…
La voix d'une femme sort de l'enceinte wifi, une voix jeune, sensuelle.
- Voilà, c'est fait. Vous ne pouvez pas imaginer ce que j'aimerais être avec vous, en ce moment…
- Ça pourrait se faire, un jour. Tu habites loin ?
- Oh, oui, j'en ai peur… Je ne suis pas bien loin de Sète, à côté de l'étang de Thau, en fait. Très loin de Paris…
- Mais dis-donc, tout le monde n'habite pas Paris ! Nous sommes quasiment voisines ! On se parle en privé après le show, si tu veux… Reste en ligne après la fin. On va voir si on peut arranger ça ! Mais pour l'heure, j'ai du travail, moi ! À toute, Sucette, profite bien...
Agathe met ses mains dans son dos et y croise ses doigts. Elle s'agenouille devant Gisèle et, tente d'attraper la lanière de la ceinture pour la dégager de la boucle. Aïe : elle n'avait pas anticipé une lanière aussi large. Elle n'arrive pas à ouvrir suffisamment la mâchoire pour la saisir entre ses dents. Il va falloir ruser… Elle introduit sa langue dessous, la glisse aussi profondément qu'elle peut, la fait aussi dure que possible, force, fouille et, finalement, parvient à faire se soulever la bande de cuir. Tout devient plus facile. Elle opère avec ses pieds, maintenant : elle glisse ses jolis orteils sous la lanière et l'ôte aisément de la boucle, tire pour sortir l'ardillon : le pantalon est ouvert ! Elle place prestement son visage devant l'ouverture, comme pour défaire le fameux bouton, prend la tirette de fermeture éclair entre ses lèvres et la descend.
Gisèle s'agenouille sur le lit. Pour Agathe, en se remettant sur le dos, c'est maintenant une formalité de saisir de ses pieds la marinière et de la monter le long de son buste… Sauf que ses jambes sont un peu trop courtes pour passer la tête ! Il faut un relai avec les dents et quelques efforts avant de voir un joli soutien-gorge rouge fort bien rempli apparaître ! De ses dents, elle baisse le pantalon jusqu'à mi-cuisses, non sans en profiter pour un petit baiser coquin sur la petite culotte, juste à l'endroit stratégique. Alors, faisant basculer Gisèle sur son dos, elle s'allonge à plat ventre sur elle et, tout en lui donnant un baiser des plus gourmands, elle replie ses cuisses à la façon d'une grenouille et pousse le pantalon en le tenant de ses orteils. En un tournemain, voilà notre Gisèle en sous-vêtements.
Agathe fait s'asseoir sa partenaire et, très simplement, fait sauter le soutien-gorge à l'aide de ses dents, libérant la magnifique poitrine laiteuse de Gisèle qui se remet debout pour l'ultime opération. Sa complice s'agenouille, saisit la ceinture élastique de la fine culotte de dentelle rouge entre ses dents au niveau d'une hanche et la tire vers le bas. Elle la reprend aisément entre ses fesses bien dodues, continue à se baisser en tenant le vêtement entre ses dents, repasse la prendre devant pour continuer, jusqu'à avoir le petit cœur de poils roux juste devant ses yeux… là, elle fait une pause, lâchant la culotte un instant, le temps d'un large coup de sa langue sur le petit minou tout émoustillé de son amie dont émane maintenant un puissant parfum de désir : elle ne l'a certes pas volé. La culotte finit par terre, Agathe recouvre l'usage de ses mains et se remet debout… Gisèle ne fait pas le moindre mouvement, lui laissant l'initiative… comme si elle se trouvait désemparée d'être nue au milieu de la rue ! Alors, elle lance ses deux bras autour de son cou et l'embrasse, lui donnant le baiser du vainqueur !
- Qu'est-ce qu'on fixe comme prochain objectif, Giz ?
- Attends, je dois aller faire pipi, je n'en peux plus !
- Bonne idée, j'y vais aussi…
Un clin d'œil vers la webcam, le temps de requérir la patience des spectateurs :
- À tout de suite mes p'tits loups !
Lorsque les deux filles reviennent, elles lancent l'objectif suivant : pour 98 jetons, Gisèle va déshabiller Agathe et jouer un peu avec ses seins et son sexe. Attention, ce qui est prévu est relativement soft, on n'attaque jamais les choses sérieuses avant le show final. Mais il faut bien appâter le poisson… pour solliciter les fameux jetons ! Et comme chacun sait, on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre… La stratégie d'Amours & Cie est donc bien de montrer un petit peu de leur panoplie, de ce qu'ils sont susceptibles de faire en show réel. Alors, parfois, comme la sincérité est également leur maître mot, cela déborde un peu… Voire largement… auquel cas, les spectateurs se rincent l'œil… À l'œil ! En attendant que le compteur commence à monter, les deux filles se font donc des sourires, des caresses, se donnent de superbes baisers qui en disent long sur ce qui les attend…
Seulement voilà, autant Gisèle a conservé depuis le début de la session un contrôle total, doublé d'une certaine réserve comme vous le savez, autant Agathe est chauffée à blanc : en elle monte le désir, le besoin même d'une exultation rapide. Ses baisers se font plus intimes, plus profonds. Ses caresses visent maintenant à l'essentiel : Gisèle a bien du mal à endiguer cette fougue, lui murmurant d'attendre, de patienter, qu'elle va bien trop vite ! Par chance, cette fièvre est communicative : les pourboires tombent en cascades, les demandes particulières avec : tout le monde sent qu'un orgasme est à portée de sexe, le réclame ! Aussi, lorsque le jingle d'objectif atteint retentit, Gisèle n'a que le temps d'ôter son haut à sa partenaire, faire sauter son soutien-gorge que déjà, celle-ci l'entraîne vers le lit avec dans les yeux une lueur vorace.
Gisèle décide de faire l'impasse sur la jupe : pas le temps ! La culotte ? Même pas en rêve… Elle se rue littéralement sur cette magnifique poitrine qui, décidément, l'attire. Elle adore ces seins bien ronds, parfaitement formés, souples et fermes à la fois, à la peau si douce. Ces grandes aréoles rose pâle, dont, elle l'a remarqué tout de suite dès le premier jour, la gauche est sensiblement plus grande que la droite. Ces tétons bien roses eux aussi, tellement sensibles, menus au repos mais qui prennent une fière longueur lorsqu'ils deviennent tout durs d'excitation, invitation à les sucer, les aspirer, les mordiller.
Elle lèche voluptueusement le ventre en insistant sur le nombril, arrête enfin sa course lorsqu'elle atteint la ceinture élastique de la culotte dissimulant la magnifique toison sauvage d'une blondeur encore plus pâle que la chevelure de son amante.
- On passe à l'objectif suivant, maintenant !
- Essaye pour voir ! Si tu ne m'achèves pas, je le fais moi-même et après, je me vengerai… Sévèrement !
- Arrête, j'ai peur !
Gisèle sait que la fin est tellement proche qu'il suffira de trois fois rien… Toujours placée entre les cuisses de sa jolie amante, elle écarte très largement la culotte de sa main gauche, la fait passer sur sa fesse droite, puis englobe le petit minou d'Agathe de sa bouche largement ouverte en ventouse et, tout en faisant le vide, laisse sa langue fouiller les chairs pantelantes et torturer le petit bouton de rose qui n'en peut mais ! Un cri fuse aussitôt tandis que la jeune fille se tend, le corps parcouru de vagues de plaisir. Gisèle arrête alors sa caresse, ne voulant pas en donner trop à celle qui a tout de même sérieusement triché ! Agathe, mi-heureuse mi-frustrée se relève et embrasse son amie :
- Tu aurais pu y mettre un peu plus de formes, d'intensité… C'était bon, mais peut mieux faire !
- Tricheuse ! Tu l'as volé, celui-là, ce n'était pas le moment.
- Je sais bien, mais de toute manière, je n'aurais rien pu faire avant d'avoir évacué ça !
Surprise des deux filles quand Antoine fait soudainement son apparition… Encore un imprévu… pas forcément désagréable ! En fait, il avait vu, au tout début du show, que Gisèle ne semblait pas trop partante et il avait décidé de venir prêter main forte à son Agathe bien aimée.
- Oh, voilà un p'tit minet ! Tu viens ronronner avec nous, Antoine ?
- Pourquoi pas ? Vous en êtes où ?
- Bah, on n'est plus très loin du final. Tu veux qu'on fasse un petit intermédiaire avec toi ? Par exemple, tu pourrais offrir à Gisèle… comment dire… une préparation pour quand Flavien te rendra la politesse de votre premier show ensemble ?
- Comme tu y vas ! Juste une préparation, alors, hein ?
Le compteur est lancé : pour 198 jetons, Gisèle va exciter Antoine avec son jouet favori, un magnifique olisbos sans ceinture. Antoine et Agathe sont partis en soixante-neuf après des baisers débordants, tandis que Gisèle met en place son jouet "strapless". Elle vient embrasser à tour de rôle les deux amants, sortant parfois le sexe palpitant d'Antoine de la bouche de sa partenaire pour le prendre dans la sienne, avant d'embrasser avec tendresse sa belle amie ! Puis elle embrasse Antoine avec sensualité, le laissant venir caresser sa poitrine à la peau laiteuse, tout en faisant nonchalamment coulisser deux de ses doigts dans l'antre d'amour d'Agathe. C'est ainsi qu'ils entendent la petite musique qu'ils ont programmée pour objectif atteint…
Gisèle sort de son sac une culotte de maille très serrée pour retenir son jouet en place lors des moments de débordement et s'approche du couple qui, déjà, lance des gémissements et autres râles de bonheur. Agathe, elle peut le constater, a bien préparé le terrain. Le petit anneau musculeux d'Antoine est luisant de la magnifique feuille de rose qu'elle vient de lui pratiquer. Elle y présente l'extrémité de son jouet, sans nullement appuyer. Par de très légers coups de reins, elle offre à son partenaire un doux massage de l'entrée arrachant de petits soupirs au garçon qui, apparemment, apprécie ce contact. Elle augmente insensiblement l'amplitude de ses déhanchements, accentuant du même coup l'ouverture du petit muscle et, par là même, la délicate sensation qu'elle procure à son partenaire. Bientôt, elle sent que toute résistance a cessé : elle est en place !
Il avait été convenu qu'il ne s'agirait que d'une préparation… Mais quitte à déborder lors d'une séance, autant le faire bien, non ? Antoine n'a pas du tout l'air de regretter ce qu'il fait, ce qu'il ressent… Gisèle donne encore quelques coups de reins, son jouet pénètre de plus en plus profondément dans l'étroit conduit d'Antoine qui manifeste plus de plaisir que de douleur ! Il le signifie de manière intelligible :
- Oh, là, là ! Qu'est-ce que c'est bon, ce truc ! Mais comment est-il possible de ne pas savoir des choses pareilles ? J'aurais essayé depuis belle lurette, si j'avais su ! Vas-y Gisèle, donne-toi à fond, j'adore !
Alors la jeune femme ne se le fait pas dire deux fois, elle accélère ses va-et-vient en lui qui ajuste sa position à quatre pattes pour se mettre bien à sa hauteur. Agathe, ainsi libérée, a placé un gros oreiller sous le ventre de son chéri. Puis elle passe la tête entre les jambes de Gisèle et d'Antoine pour pouvoir venir prendre ce dernier dans sa bouche et, tandis que les coups de boutoir enflamment son désir, elle lui offre sa bouche dans laquelle il va et vient au rythme imprimé par la jolie rousse. Bientôt, dans un râle puissant, il se répand en elle avant de s'effondrer en avant, le corps agité de tremblements ; Il vient de vivre une chose dont il ignorait l'existence, un orgasme sexuel et anal simultané…
Gisèle se défait de sa culotte et de son jouet ; Agathe vient l'embrasser, partage avec elle la liqueur amoureuse d'Antoine qu'elle a conservée en bouche. C'est la première fois qu'elle a l'occasion d'y goûter… Notamment dans une telle situation ! Avec un grand sourire et un regard plein de reconnaissance, elle prend Agathe dans ses bras, la serre fort. Regarde Antoine qui retrouve son souffle :
- Il va bien notre petit minet ? Il va se remettre à ronronner ?
Elle vient l'embrasser à son tour et lui murmure quelques mots qui le font sourire :
- Perdre ta virginité anale avec une lesbienne, c'est un peu un comble ! Mais j'ai l'impression que tu n'as pas détesté ça !
Vingt heures, Il est plus que grand temps d'envoyer l'objectif final, si on veut avoir une chance de le réaliser le soir même… Agathe vient annoncer la couleur devant la webcam :
- Hé bien dis-donc, mes pt'its loups, on a sacrément débordé, ce soir ! Et en plus, on avait prévu un show lesbien intégral en final, et voilà qu'on a un gars en plus… Bon, vu ce qu'il vient de prendre, hein… Pas certain qu'il soit en mesure de nous faire grand mal ! Bon allez, on va se lancer :
Pour 4998 jetons, Amours & Cie propose un show lesbien déjanté avec contribution d'Antoine s'il arrive à trouver son chemin ! Les trois partenaires s'écartent un moment, le temps de boire un peut d'eau et de souffler. Les spectateurs internautes qui commencent à connaître et apprécier les prestations de ce petit groupe sont déjà là, nombreux. Les pourboires commencent à arriver. Gisèle est venue auprès d'Agathe avec un sourire carnassier : il est loin le temps de ses doutes, où elle semblait avoir peur de tromper la belle de sa vie. Sa gourmandise fait plaisir à voir. Agathe s'en régale prospectivement…
- Mais arrête de me regarder comme ça, Giz, si j'avais une culotte, elle serait déjà bonne à tordre ! Je ne sais pas comment tu fais ça, rien que ton regard me fait dégouliner !
Les deux filles s'asseyent face à face sur le lit.
Agathe prend un des pieds de Gisèle en lui en tendant un. Elle le porte à ses lèvres et glisse sa langue entre ses orteils. Elle n'est pas du tout d'accord avec l'avis de Steffi qui trouve les pieds de Gisèle quelconques ! Pour elle, ils sont au contraire très sexy, très excitants. Elle les lèche, les suce avec volupté tandis que sa partenaire lui rend la pareille avec mille petites gâteries, mini-baisers et coups de langue, passage sensuel de toute sa largeur sous la plante, extorquant un sanglot à sa belle !
Sans lâcher leurs pieds, les deux filles se donnent un profond baiser, revenant à leur léchage de temps en temps, sous le regard amusé d'Antoine. Lui, n'a jamais été spécialement attiré par les pieds, que ce soient ceux des filles ou ceux des garçons, est tombé raide amoureux de ceux d'Agathe, laquelle occupe toute la place de son cœur, de son âme, à commencer par ses jolis petits pieds. En temps normal, rien que de les voir, il ressent une émotion qui, généralement se traduit par une incoercible envie d'elle. Or là… il les a sous les yeux, ces jolis pieds adorés, avec, en prime, ceux de Gisèle, qui sont loin d'être laids, loin de manquer de séduction, de sex appeal… La récente scène à l'issue de laquelle il a connu un orgasme mémorable lui semble soudain bien lointaine… Bon, trêve de rêverie… lui, en ce moment, est tout de même plus préoccupé par le positionnement de la webcam qu'il déplace, au gré des changements de position des deux jolies filles qui, décidément ne manquent pas d'idées !
Agathe a fait descendre son pied vers le menton de Gisèle. De ses longs orteils habiles, elle caresse l'arête de son maxillaire, longe les puissants ligaments du cou, entre sur la plaine de son buste, en direction des douces montagnes de ses seins. De sa place, elle les regarde plus attentivement que jamais… Les trouve magnifiques…
- J'adore tes petites taches de rousseur sur les seins ! Je ne les avais pas remarquées.
- Il te reste encore plein de choses à découvrir, chez moi, ma chérie !
- Ah oui ? Quoi, par exemple ?
- J'ai dit à découvrir… pas à te faire apporter sur un plateau d'argent… Tu dois chercher !
Agathe ôte ses pieds de la jolie poitrine, se redresse, regarde Gisèle dans les yeux. Son regard est de plus en plus brûlant, mais hermétique : elle doit imaginer, chercher, découvrir quelque chose, vite ! Une idée lui vient : points sensibles, zones érogènes… Où chercher ? Les pieds, c'est déjà fait… Vite, elle descend vers ses genoux et s'en vient lécher le creux sensible, à l'arrière. La belle gémit un peu mais rien de formidable. Elle remonte, évitant l'entrejambe, passe sur le nombril déjà longuement taquiné… Les aisselles ! La voilà qui lèche avec ferveur ces odorants dessous de bras, sans toutefois déclencher de cataclysme. Le cou ? Les oreilles ? C'est en passant sa langue dans le pavillon de la belle rousse qu'elle comprend qu'elle vient de découvrir un de ses petits secrets : sitôt qu'elle a touché son oreille de sa langue, Gisèle a poussé un petit sanglot et, plus bas, Agathe a senti un immédiat suintement imprégner abondamment sa cuisse.
Tout en sollicitant ce point sensible, elle continue à réfléchir quelle particularité sa partenaire pourrait bien avoir qu'elle cherche à lui faire découvrir dans ce show… Elle repasse dans sa mémoire les divers moments de leurs ébats. Un début de réponse semble lui venir : lorsqu'elle l'embrasse, Agathe a remarqué l'agilité exceptionnelle de la langue de Gisèle. Oui ! C'est bien cela. Alors, notre jolie blonde s'allonge sur le dos, jambes pendant hors du lit largement ouvertes :
- Giz, viens me lécher, viens me faire du bien avec ta merveilleuse langue !
Antoine dispose la caméra plus haut et, à l'écran, on peut voir l'incroyable langue de Gisèle entrer profondément dans le joli petit minou étroit d'Agathe. Larousse ouvre très largement la bouche pour pousser sa langue encore plus loin, la ressort, lèche suavement, sensuellement les lèvres, le petit capuchon… puis pénètre à nouveau le chaud conduit. Elle y fait des va-et-vient de plus en plus marqués, de plus en plus profonds, rapides, tandis qu'Agathe commence à haleter. Zoom de la caméra sur la scène surréaliste : la langue ressort périodiquement, enduite de la liqueur d'amour d'Agathe, laisse des filaments gluants qui s'étirent avant de pénétrer à nouveau au plus profond… Au dernier passage, la langue s'attarde sur la petite perle d'amour, un immense frémissement secoue la jeune femme et un jet de nectar se propulse, autour de la langue, éclaboussant tout le visage de la lécheuse, tandis qu'Agathe pousse un long et plaintif gémissement… C'est sur cette image que le compteur atteint le nombre requis pour l'objectif final !
Le temps de se remettre, de retrouver son souffle et son clame, de se nettoyer le visage, d'aller boire un peu, nos trois amis sont de retour ! Se regardent en souriant… Pour ce qui est du show lesbien… le sujet est déjà plus que largement entamé !
Agathe, encore elle, décide d'ouvrir la danse. Après tout, c'est elle qui a provoqué tous les débordements de ce show : à elle de réparer. Puisque Gisèle vient de lui donner un fabuleux orgasme avec sa langue digne d'une girafe, il lui appartient de lui en procurer au moins un du même niveau… Elle indique à Antoine la prise de vue qu'elle souhaite, depuis le bas et fait s'installer Gisèle sur le dos au bord de la table. Elle approche son visage du petit cœur artistement découpé dans la toison rousse et commence à lécher ce délicieux petit minou qu'elle a déjà eu plusieurs fois l'occasion de déguster. Elle fait jouer sa langue, ses lèvres, en très gros plan sur l'écran. Son index vient délicatement longer les pourtours de cette jolie fleur rose pâle, pénètre sa corole et s'y enfonce au plus profond. Ressort et descend, traversant l'espace périnéal, tournoyer rapidement autour de la petite fleur violacée, fermant jalousement les lieux interdits un "Non ! pas là" impérieux rappelle à l'ordre l'impertinente exploratrice ! Deux doigts viennent reprendre la précédente figure de l'érotique ballet, puis un troisième, tandis que langue et lèvres s'agitent toujours du côté des pétales et du pistil encapuchonné plus haut. Les trois doigts glissent tandis que l'auriculaire, innocemment replié, fait semblant de bouder. La tension monte, les soupirs aussi, puis les gémissements, et les plaintes. Alors, ce petit doigt espiègle se déplie soudainement et vient sournoisement investir le temple interdit, provoquant un soubresaut de la belle. Qui, cependant, ne le chasse pas… Les va-et-vient reprennent de plus belle et c'est elle qui finit par demander, par supplier :
- Mets-moi un doigt de plus, s'il te plaît…
Toujours aussi espiègle, la belle Agathe ajoute un doigt de son autre main au bouquet des trois premiers doigts…
- Non ! pas là…
- Oh, pardon, je n'avais pas compris…
Fausse innocence, fausse amie ! Agathe veut tout de même le plaisir de sa belle amante. Elle retire son petit doigt, qu'elle ajoute à ceux du dessus et met à la place deux doigts de l'autre main. Là, Gisèle commence à se trémousser sérieusement ! Antoine change d'angle de prise de vue car les deux mains bouchent assez souvent le champ. Maintenant, les deux mains opèrent en parfaite harmonie avec quatre doigts qui ont investi le conduit du joli petit minou et deux autres, celui de l'étoile mauve si bien cachée… Gisèle gémit, elle en veut davantage, du fond de son excitation. Elle crie "encore, encore", désespérément.
Son amante vient placer son pouce au milieu des quatre doigts occupés à donner du plaisir à sa jolie fleur rose. Puis elle reprend sa progression, poussant avec délicatesse mais fermeté, tout en assurant d'une langue bienveillante, le bien-être du réceptacle. Les jointures des doigts blanchissent, les lèvres intimes aussi ! Agathe n'a jamais effectué cet exercice dont elle a seulement entendu parler… Elle s'applique, fait tourner sa main pour assurer une progression souple. Les jointures des dernières phalanges viennent de disparaitre derrière ces lèvres qui semblent affamées. Le passage étroit est vaincu : les chairs se referment doucement sur le poignet de la jolie blonde qui commence de lents mouvements de piston, tirant des cris aigus de la belle rousse en transes.
En même temps, elle ajoute un troisième doigt à l'autre bouquet… fait une pause s'attendant à un refus qui ne vient pas, loin de là.
- Oh oui, vas-y ma chérie, oui plus fort…
Agathe pousse encore un peu, les trois doigts étant maintenant bloqués dans leur progression par le reste de la main. Comment faire pour progresser, alors ? La jolie blonde ressort tous ses doigts, les suce longuement pour les enduire de salive et présent maintenant le bouquet de ses cinq doigts serrés. L'anneau brun s'efface devant eux, jusqu'à un certain point. Antoine apparait à l'écran, apportant un tube de gel que Gisèle vient de lui tendre. Il en enduit généreusement les deux mains d'Agathe qui reprend sa progression avec bien plus d'aisance, sous les gémissements d'approbation de son amante. Bientôt, de petits cris douloureux se font entendre, aussitôt suivis d'un :
- Ne t'arrête surtout pas…
Alors, elle continue et bientôt, le fin liseré brun distendu se referme à son tour autour de son poignet ! Double fist, voilà une première mémorable ! Agathe opère quelques va-et-vient sous les râles de son amie qui n'en peut plus, tire tout doucement sur la première main, la fait délicatement ressortir. Même opération pour la seconde main : Gisèle se redresse avec un sourire ravi !
- Depuis le temps que j'espérais connaître ça… Mais il faut une partenaire avec des mains vraiment menues ! Maintenant, je crois que je vais déguster pendant quelques jours…
Elle s'est allongée sur le lit, les yeux clos. Agathe s'est mise sur le dos à côté d'elle et a attiré le bel Antoine près d'elle. Tout en l'embrassant, elle l'a fait venir à califourchon sur elle et, bientôt, il cherche à entrer en elle ; elle le laisse faire, le temps de quelques allers-retours puis se dégage assez soudainement.
- Mon p'tit minet, ce n'est pas un jour où je puisse me permettre de travailler sans filet, il va falloir être patient… Attends, j'ai une idée.
Elle enjambe Gisèle pour passer de l'autre côté, puis saisissant la verge palpitante de son chéri, l'attire à elle. Le garçon enjambe à son tour Gisèle mais à ce moment, Agathe dirige son membre vers le petit minou de la rousse en lui faisant un signe entendu… "Elle est folle" se dit-il ! Mais elle, tranquille continue à faire oui de la tête, et joint le geste à la parole, plaçant son sexe maintenant au contact avec celui de Gisèle qui ouvre les yeux, bouche bée… incapable de bouger. Alors, comme mu par une force étrangère à sa volonté, Antoine se voit entrer en elle juste en-dessous de ce joli petit cœur qu'il aime tant regarder ; Gisèle pousse un petit gémissement :
- Oui, Antoine, viens doucement… c'est ma première fois avec un garçon, tu sais…
Agathe vient embrasser son amie, lui caresse le visage, lèche quelques larmes qui perlent à ses yeux :
- Tu m'en veux, Giz ?
- Oh non ! bien au contraire, cela aurait dû être fait depuis longtemps… Même Hanna me le dit tout le temps… Oh, oui… c'est si bon…
- Giz… Antoine peut-il venir en toi ? Ou doit-il se retirer ? C'est toi qui décides.
- Je veux qu'il vienne en moi !
C'est ainsi, sur cet orgasme hors norme entre cette jolie lesbienne et le garçon hétéro, devenus tous deux bi ensemble, que se termina ce show sous les félicitations de tous les spectateurs ! Agathe prit les coordonnées de Sucette pour le cas où et termina la session : il était plus de vingt-deux heures trente. Le temps de remettre le salon en ordre, ils partaient à peine vingt minutes avant le retour d'Hanna avec ses parents !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau bonne présentation Très jolis descriptifs de bons faux acteurs et actrices Très intuitives ces trois premières séances ont été captivantes on attend la suite merci à l’auteur
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