Mlle Fontaine : Rêve de Candaulie (Partie 2 - L'Amour Mosaïque)
Récit érotique écrit par MlleFontaine [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Mlle Fontaine : Rêve de Candaulie (Partie 2 - L'Amour Mosaïque)
La nuit fut courte
Au petit matin, j'ouvre les yeux au milieu de bruits de démarreurs et de brouhaha des gens qui passent dans l'allée devant la chambre. "Tout va bien chéri ?" Madame est réveillée et semble très en forme. Les yeux rivés sur son portable, elle consulte ses messages de la nuit. Je lui confirme que tout va bien.
- ils m'ont réveillé, il y a plein de monde dans l'hôtel, je suis en pleine forme pour baiser.
- Tu voulais pas nous sucer tous les 2 ?
- on va voir, mais de toute façon, vous allez me mettre plein de sperme sur la chatte. Je veux être la salope de l'hôtel ce matin.
Je sais, il n'y a rien à répondre à ce genre d'affirmation. Au premier abord, vous avez surtout envie de sortir votre queue pour vous faire sucer. Toutefois, je constate que l'autre côté du lit est vide.
- Notre acolyte a découché ?
- Non, il est à côté, il avait un coup de téléphone à passer.
- Oh, il faut donc patienter pour tes pipes ma chérie.
- Arrête, J'ai faim...
- C'est la baise qui te creuse, comme d'habitude.
Le loquet de la salle de bain s'ouvre et pour en laisser sortir notre invité. Il me salue, moi de même. Quelques échanges de banalités masculines que madame interrompt rapidement :
- Reste pas planté debout devant moi. Tu viens avec nous sous les draps, j'ai envie qu'on se fasse un câlin tous les 3.
Devant autant de gentillesse, notre convive vient se réfugier avec nous sous les bras. Madame enlace son baiseur de la veille d'un bras et m'attrape le bras pour le placer sur son ventre. Instinctivement, elle le sait, notre amour est viscéral. Je suis collée derrière elle. Je fais passer ma bouche le long de ses épaules pour semer plein de bisous. Près de son oreille je lui glisse un :
- Tu ne ferais pas ça pour faire grossir nos queues par hasard.
Elle lâche un petit rire coquin et relâche son étreinte, se relève un peu et soulève doucement les draps en nous regardant avec un regard coquin.
- oh mais qu'elles sont grosses ! J'adore...
Allongés tranquillement à ses côtés, nous discutons de choses et d'autres, mais surtout de madame qui en profite pour passer délicatement des doigts malicieux sur nos bites. Alors que nous commencions à poser une main chacun sur la poitrine de madame pour lui faire envisager un peu plus d'actions, nous entendons des pas derrière la porte. Nos mouvements s'arrêtent comme suspendus aux secondes à venir.
Soudain, on toque à la porte. Elle lance :
- Qui est-ce ?
- Service d'étages, madame, pour le petit déjeuner !
Pourquoi vois-je à ce moment là se dessiner un espiègle sourire dans le coin de la lèvre de ma femme ?
- Vous avez la carte, je crois, vous pouvez entrer, je suis occupée.
- oui, madame, j'entre vous déposer le plateau.
Nous remontons le drap pour un peu cacher nos queues bandées et les mains bien occupées de madame.
Le room service apparaît dans le couloir de la chambre, à reculons. Le garçon a les mains bien pleines. Il semble à la peine en arrivant dans la chambre. Avec son grand plateau, il se retourne et nous trouve tous les 3 assis dans le lit. Il donne un coup d'œil dans les 4 coins de la pièce. Avec tous les restes de la veille éparpillés un peu partout, il ne sait où donner de la tête pour poser le plateau.
un peu embêté, il bredouille :
- ah oui madame pardonnez moi, en effet, vous êtes occupée.
- ce n'est pas grave, vous pouvez quand même entrer, dit-elle en faisant légèrement danser ses tétons tout durs.
- merci madame, pour le plateau je vous le pose où ?
- ça vous embête de venir le déposer devant moi, je meurs de faim.
- Très bien, madame.
Le serveur avance vers le lit, se tend pour poser le plateau et le drap s'abaisse laissant voir devant les yeux ébahis du serveur nos bites bien dures dans les mains de mon épouse. Je ne sais pas vraiment si c'est le poids et les pieds du plateau ou si c'est madame qui a donné une impulsion soudaine qui a retiré le drap. Vous pouvez imaginer la réaction du serveur. Encore plus surpris que la minute précédente ! Il recule promptement la mine gênée, baissant le regard.
- excusez moi messieurs, dames, je ne voulais pas vous importuner.
Un jeune serveur timide, rien de tel, pour titiller la tentatrice qui accentue l'amplitude de ses mouvements.
- oh ne soyez pas gêné, c'est pas grave, vous pouvez regarder... Ne faites pas votre timide... Regardez... Ça vous plaît ce que je fais.
- oui madame, ça me plaît beaucoup et vous êtes très belle aussi.
- merci, c'est flatteur venant d'un jeune serveur séduisant, ça vous plairait que je fasse sortir le gland de votre queue comme ça...
Elle décalotte nos glands à fond de frein devant le serveur qui reste bouche bée de la scène.
Puis elle reprend :
- et je pourrais la lécher aussi...
Elle se tourne vers ma queue, sort sa langue et mime le geste de la lécher. Ça peut aussi faire cet effet de rencontrer pour la première fois mademoiselle Fontaine la tentatrice. En tout cas, je savais qu'il n'allait pas en sortir indemne. Le serveur ne sait plus vraiment où se tourner pour demander un soutien. Intérieurement, je rigole de l'insolite de ce vaudeville. Mon compère, à l'air de ne pas en penser moins.
Finalement, elle lâche la pression et fait retomber nos bites.
- Et bien moi je vais commencer par ce bon petit déjeuner, qu'est ce que vous nous avez apporté...
Elle part pour égrener le contenu du plateau, je sens qu'elle a une idée derrière la tête :
- Oh des fraises, un yaourt crémeux, de la confiture, du miel ... C'est très appétissant. Mais je vais commencer par le café, ça va me motiver !
Comme si la caféine avait un effet particulier sur sa libido enflammée...
- vous avez tout ce qu'il faut, madame ? Je peux repartir ?
Elle nous regarde comme pour chercher notre approbation et lui dis :
- tout est parfait, oui, merci
Le serveur nous salue en silence et n'est pas loin de se carapater vers la porte, lorsqu'elle l'interpelle.
- excusez-moi s'il vous plaît, encore 5 minutes... J'ai oublié quelque chose.
- oui, si je peux vous aider...
- comme je suis bien occupée, est ce que vous pourriez nous prendre avec l'appareil photo pour immortaliser notre petit déjeuner ensemble...comme ça le temps qu'on termine vous pourrez directement partir avec le plateau vide.
- Normalement, c'est pas possible mais pour vous je veux bien participer.
- vous êtes adorable, merci.
Je tends l'appareil photo allumé à ce convive imprévu. Il regarde le réglage indiqué sur l'écran et son œil se met à briller. Sur l'image, il comprend que ce n'est pas des photos de vacances qu'on lui demande.
- C'est filmé que vous voulez !?
Tout en portant la tasse à café à ses lèvres, madame la baronne répondit par l'affirmative.
- vous êtes des acteurs pornos c'est ça ?
Le sang de ce jeune serveur était en train d'inonder son cerveau d'idées cochonnes. Peut-être avait-il l'impression de réaliser un fantasme qu'il se repassait en boucle lorsqu'il se branle le soir dans sa chambre d'étudiant. Nous faisons en sorte de garder notre sérieux, mais je vois que notre invité croise les bras sur sa poitrine comme on le fait pour contrôler une montée hilarante. Il n'est pas habitué, madame n'a pas fini de s'amuser.
En se tournant vers nous, elle lui répond :
- Disons que oui... Voilà vous avez deviné ... Donc mon mari est le producteur, moi je suis la salope du film et lui c'est l'étalon qui vient me baiser comme une chienne nymphomane.
Je crois qu'il n'en revenait pas d'entendre ça, il était bloqué bouche bée. Son cerveau avait dû se déconnecter au mot 'salope', 'chienne' ou 'nymphomane' pour être remplacée par sa bite. A se demander s'il n'avait pas fini par éjaculer précocement dans son pantalon. Elle reprend :
- Mais, ne vous inquiétez pas, ça va bien se passer, on va baiser en prenant le petit-déjeuner et vous pourrez tout filmer.
Lorsqu'il sort de sa stupeur, il nous regarde tour à tour quelques secondes puis nous lance :
- vous allez vous sodomiser ?
Soit nous étions tombé sur un jeune bisexuel en mal d'aventure soit sa bite avait mis tellement de temps à trouver un synonyme du mot 'enculé' qu'il nous a lancé cette sortie sensationnelle. Baissant la tête, et animé de sursaut, serrant plus fort ses bras sur son torse pour contenir son rire intérieur, notre complice est au bout de sa vie. De perplexité, je passe ma main machinalement sur mon visage pour m'assurer que je suis bien réveillé.
Madame joue la moindre surprise et répond :
- Alors, non... personne ne va se faire sodomiser ce matin... et vous savez... on a un proverbe dans le porno "Sodomie du matin, Chagrin".
- Ah...
En grande comédienne, elle se lance alors dans une invective :
- Et oui, tu ne te rends pas compte en regardant tes films de cul sur ton portable. Mais, une bonne sodomie, c'est une préparation...
J'interromps son début de digression, car je sens que nous n'allons pas en sortir...
- mais tu ne va pas lui faire un cour de préparation à la sodomie à 9h du matin ?
- non, mais pas du tout chéri ... Mais c'est bien qu'il sache qu'avant de prendre une grosse queue, il faut préparer son cul pendant des heures avec des godes.
Quelle idée j'avais eu de vouloir l'interrompre, à part pour qu'elle surenchérisse sur la situation.
- Par contre, ils vont me défoncer la chatte et me remplir de sperme.
- Ah... C'est intéressant et je pourrais m'approcher... Enfin comment je veux dire... Vous touchez... moi aussi
Alors qu'elle termine son café, elle lui fait signe d'approcher plus près. Il s'avance, elle dépose la tasse et accompagne son geste :- Approche tes lèvres...
Elle lui fait un bisou langoureux sur les lèvres, à la fois doux, tendre et particulièrement humide, rien de mieux pour le replonger dans sa stupeur. Je profite de son inattention pour poser une main sur les tétons durcies de cette incorrigible tentatrice que j'aime à la folie.
- Glisse ta main sous le drap...
Le petit pervers s'exécute.
- Vas-y... touche ma chatte... Voilà... pose la main... et fait un peu glissé tes doigts, ça répond à ta question ?
Troublé, il n'arrive qu'à bredouiller un petit oui.
Elle lui retire sa main et conclut :
- Voilà, tu es officiellement dépucelé, tu viens d'embrasser ta première actrice porno et lui mettre les doigts dans la minette. Et maintenant tu nous filmes mon chou, on va finir de tâcher les draps de la chambre.
Dans l'instant, nous sommes un peu tous saisis d'euphories dans la conclusion de cet interlude cocasse. Je crois que notre invité et moi avions une folle envie de se détendre sur mon épouse après le grand 8 sensationnel qu'elle venait de nous faire vivre.
- je lance le tournage ?
- attends, non, faut te mettre comme nous, maintenant, tu fais partie de l'équipe !
- Comment ça ?
- Allez, mets toi à poil !
- ah...
- oui allez, déconfines moi tout ça, sors ta queue, on va commencer.
Après que notre cameraman improvisé soit enfin en tenue, mon épouse impatiente soulève le plateau pour que nous remontions le drap. La lumière douce du matin glissait à travers les rideaux à demi-tirés, illuminant la chambre d’un halo tamisé. Un client de l'hôtel qui tournerait la tête n'aurait aucun mal à entrevoir la scène.
Le serveur, encore hésitant, tenait maladroitement la caméra qu’on lui avait confiée. Face à lui, assise confortablement dans le lit, ma comédienne arborait des seins encore immaculés, ses cheveux tombant négligemment sur ses épaules. Son regard, à la fois déterminé et espiègle, se fixait une fois sur l’objectif, une fois ces mains de retour sur nos bites sous les draps.
- Ok... je crois qu'on est prêt, essaie de ne pas trembler. Juste comme c'est moi la salope qui se fait baiser, suis-moi quand je bouge, et si tu sens que l’angle est bizarre, dis-le-moi.
Elle décida d'improviser une introduction dédiée aux spectateurs :
- Bonjour à tous les clients, je suis la salope de l'hôtel ! Après avoir baisé toute la nuit, je vous propose une dégustation à 3 du petit déjeuner de l'hôtel.
Le serveur, les doigts serrés autour de la caméra, semblait sur le point de lâcher prise à tout moment. Son regard passait d’elle à l’objectif, et son esprit s’embrouillait à l’idée de devoir gérer quelque chose d’aussi... professionnel.
Elle fait repasser ses mains sur le draps, l'attrape lentement et fait tomber le rideau :
- Et nous allons commencer sans attendre car tout le monde est prêt. Toi aussi le cameraman, approche un peu. Oui, c'est bien, comme ça, murmura-t-elle doucement.
Il obéit, se rapprochant lentement du lit. Elle attrapa une fraise et la fit tourner lentement entre ses doigts, jouant avec la lumière matinale qui caressait la peau brillante du fruit.
- Tu veux bien m'aider ? demanda-t-elle, un brin de malice dans la voix.
Elle lui tend la fraise pour qu'il la prenne devant elle. Les doigts tremblants, il lui tendit la fraise. Elle la saisit entre ses lèvres avec une lenteur étudiée, ses dents mordant délicatement dans la chair juteuse. Le serveur, maintenant de plus en plus absorbé par son rôle, fixa l'objectif sur ce moment, capturant le fruit rouge sombre qui disparaissait dans la bouche de cette incroyable salope.
- Hmmm, ces fraises sont parfaites, juteuses, sucrées.
Elle place la coupelle remplie de quelques fraises devant l'objectif :
- vous voulez goûter ?
Puis se recule, la coupelle dans la main. L'assurance du caméraman improvisé grandissait. Il ajusta la caméra, se déplaçant légèrement pour mieux cadrer la scène sur elle et notre invité. Elle prend la fraise et l'approche de sa bouche pour y déposer sa langue comme si elle jouait à lécher un gland.
- Bien, rapproche encore, je veux que tu captures ça. Doucement, oui...
Elle le fixe yeux dans les yeux, et fait quasiment disparaître la fraise avant de la retirer de sa bouche et de la tendre vers la bouche de notre acolyte. En le regardant mastiquer si lentement la fraise, je me disais qu'il n'avait jamais dû rencontrer une telle comédienne. Elle joua la même partition avec moi. Au détail près qu'elle aura pris soin de reposer la coupelle avant.
Elle s'était empressée de commencer à branler ma queue pendant que je tentais encore de déglutir. Du coin de l'œil, je voyais se préparer la suite. Notre invité avait entrepris dans le dos de mon épouse d'ouvrir un premier pot de confiture. Complice du complot qui se tramait, le serveur, encouragé, filmait maintenant avec plus de maîtrise et en avait profité pour souffler la suggestion à notre acolyte qui avait dû trouver l'idée séduisante.
Lorsque madame, fière de m'avoir aidé à manger la fraise en tirant sur ma bite se retourna, le reste du scénario s'emballa. Le doigt dans le pot de confiture, notre invité jeta de la confiture sur sa poitrine. Un ectoplasme de confiture d'abricot vint éclabousser son têton droit en remontant dans son décolleté.
Stupéfaite par cette taquinerie, elle reste bouche-bée, dégoulinante de confitures entre les seins. Nous organisons la riposte à venir, je me saisis d'un autre petite pot à la framboise, le caméraman pris le dernier, tandis que mon complice se tartinait les lèvre de confiture et rechargeait ses doigts :
- Oh non ! ça ne se fait pas, on ne s'amuse pas avec la nourr...
Mon complice lui attrape la bouche et lui écrase ses lèvres pleines de confitures. Je renchérit sur l'action.
- Tu parles trop ma chérie.
Je l'attrape à mon tour pour lui écraser mes lèvres de confitures sur la bouche et lui écraser les doigts sur le seins gauche.
Hilare, le serveur n'avait plus besoin de consignes; il devinait nos mouvements avant même que nous le faisions.
- Allez-y lécher lui les seins.
Avec nos doigts collants, nous la poussons plus en arrière puis nous nous synchronisons pour opérer un nettoyage en règle de son décolleté. Par surprise, madame bredouille :
- Mais enfin, ça ne se fait pas.
Nous répondons tous en coeur
- Oh non vraiment ça ne se fait pas.
- Mais en plus je suis bloqué par le plateau je ne peux même pas me déf...
Ultime provocation, le caméraman vient poser sa main pleine de confiture sur la bouche de madame et fait glisser le reste de ses doigts sur le bas de son cou.
Nous reprenons en cœur :
- Ah non ça ne se fait pas.
Et nous activons nos langues qui remontent sur son coup. Le caméraman a particulièrement bien géré sa surprise, un coup de maître. Je sais comme elle est sensible de cou et le passage de nos langues la fait totalement frissonner. Je la voyais passer nerveusement sa langue sur ses lèvres pour manger la confiture jusqu'à ce que je saute sur sa bouche pour lui soutirer une pelle à laquelle je n'avais eu droit depuis plus d'une journée.
Les rôles s’étaient inversés. Le serveur timide du début s'était effacé, laissant place à un cadreur improvisé mais audacieux. Il capture chaque détail de ce baiser fougueux avec une précision presque instinctive. l'étreinte interrompue sur nos lèvres nous laissons madame reprendre son souffle face caméra, nous avons beaucoup ri. Nous échangeons un regard avec mon complice en se demandant, pendant ce petit laps de repos, ce que le calme allait annoncer comme tempête. Elle semblait scruter le yaourt...
Elle tend le bras langoureusement et nous regardant l'un et l'autre avec un air de coquine vengeresse. Reprenant sa comédie, elle attrapa le pot de yaourt à côté d'elle, l’ouvrant très lentement avec une grâce presque théâtrale. Elle regarde sur le plateau :
- oh, il n'y a pas de cuillère...
Elle l’approche doucement de ses lèvres, ses yeux brièvement levés vers la caméra, comme pour capter l’attention du spectateur à travers l’objectif. Elle incline légèrement le pot et y plonge directement son doigt, enroulant la texture crémeuse du yaourt autour de son index. Le serveur, désormais plus confiant, zoome doucement sur le blanc immaculé , capturant l’instant précis où elle porte son doigt à ses lèvres.
Elle regarda de nouveau la caméra et plongea un doigt dans le yaourt onctueux, et déposa un peu de crème blanche sur ses lèvres avant de la lécher doucement. Elle ferme les yeux un instant, savourant le contact frais du yaourt sur sa bouche, avant de lécher lentement son doigt.
- hmmm, c'est rafraîchissant. mais il me faudrait un doigt plus gros pour le manger.
Un certain silence se fait pendant que madame se délecte avec malice. Une sensualité subtile se dégage de la scène avec la lumière matinale, douce et diffuse, qui baigne la scène d’une aura intime, rendant l’instant encore plus captivant. Le serveur-cameraman se fige une fraction de seconde, il ajuste doucement le cadrage pour mieux saisir son sourire discret, celui qui laisse entendre qu'elle sait parfaitement l'effet qu'elle produit, tout en maintenant ce jeu délicat du "voir sans être vu".
Alors que notre invité se lève pour approcher sa bite dure de madame, je profite de son inattention du moment pour faire discrètement disparaître le plateau au pied de lit et venir plonger ma queue droit devant elle. Notre réalisateur dézoome pour faire rentrer nos gros sexes dans le cadre.
Saisissant la queue de mon acolyte, pour en décalotter le gland et, dans un geste presque distrait, elle tente de verser un peu de yaourt. Le liquide crémeux glisse trop vite et déborde doucement. Une goutte épaisse tombe lentement sur le gros gland rougi d'excitation et glisse sur la pointe.
- Oups... je crois que j’en ai un peu trop mis, chuchote-t-elle avec amusement, ses yeux brièvement levés vers l’objectif, complice de l’instant.
Le serveur, désormais plus attentif, ajuste le cadre pour ne rien manquer du moment. Elle approche lentement la queue de sa bouche. Ses lèvres s’entrouvrent à peine pour faire sortir sa langue sur laquelle elle laisse couler la petite imperfection.
Savourant la douceur avec une grâce délibérée, la caméra se resserre sur ses lèvres, rosées de sa bouche entrouverte tandis qu’elle approche lentement sa queue. À mesure que la cuillère s’approche, le geste se ralentit, le moment suspendu. Ses lèvres viennent effleurer la pellicule de crème glissant doucement dessus avant de s’ouvrir un peu plus pour accueillir le gland.
Chaque détail compte pour madame : la façon dont ses lèvres se referment avec délicatesse autour du gland, laissant une onctueuse trace blanche du yaourt au coin de sa bouche. Elle ferme les yeux, le temps d’un instant, savourant le goût du gland mêlé au yaourt. Je vois dans les réflexes de ses maxillaires qu'elle fait rouler sa langue sur le gland pour le nettoyer de sa blancheur.
Ses lèvres se détachent ensuite lentement du gland, ce gros sexe glisse de sa bouche, laissant derrière lui un éclat brillant. Ses doigts effleurent machinalement sa bouche, essuyant la trace de yaourt restée, qu'elle vient reposer délicatement de son doigt sur le gland tandis qu’un sourire subtil se dessine, complice, pour l’objectif qui capte chaque nuance du moment. Nous vous ai-je pas déjà dit que j'avais une épouse exceptionnelle ?
Les 3 hommes dans cette pièce sont pris d'une excitation palpable. Le cameraman ne peut plus rien cacher de l'excitation que lui procure mon épouse et décale légèrement son plan pour faire apparaître sa queue dans le cadre du jeu.
- Toi aussi tu en voudrais n'est-ce pas ?
Mais au lieu de répondre, il se baisse, tend le bras pour attraper sur le plateau le pot de miel et porte de sa main fébrilement connaissance de sa suggestion à l'actrice principale de cette scène.
- Hmmm, quelle idée intéressante, un mélange sucré, frais et onctueux.
Elle fait échange du pot de yaourt, se saisit du miel et fait remarquer à la caméra qu'il y a une cuillère à miel, elle s'en saisit, la fait remonter au-dessus du pot pour nous faire démonstration des fils d'or qu'elle produit.
Replongeant la cuillère à qui elle fait faire un petit tour pour bien s'agglutiner de miel, elle la ressort du pot, donne un bref coup d'oeil coquin à notre caméraman, avant de sisir sa quueue pour y déposer du miel tout autour du gland. Le geste est sensuel et précis, son gland moins volumineux brille d'une couche d'or translucide.
Elle reprend le yaourt, en remet un peu sur la bite de notre invité, avant d'enfourner le gland, comme une cuillère d'argent, qui en ressortira quelques secondes plus tard lustré et brillant. Sans avaler, la bouche pleine, elle se positionne sous le gland du caméraman, regarde droit l'objectif avant d'ouvrir la bouche pour en montrer le contenu blanc. Mélangé à sa salive, on voit sa langue blanche brasser la crème en attente de recevoir la suite. Elle s'avance lentement, bouche en avant pour faire racler ses lèvres sur le gland maculé de miel.
Un premier aller-retour, elle passe son index sur ses lèvres pour caresser le miel qu'elle fait glisser dans sa bouche. Elle fait un nouveau passage en gardant le gland dans sa bouche et appliqué une succion pour aspirer les restes collant sur le corps caverneux. Elle se retire, prends du recul et d'un geste du doigt montre à la caméra qu'elle malaxe le tout dans sa bouche avant d'engloutir le tout.
- Oh qu'est-ce que c'est bon ! Tu as un peu éjaculé durant la succion toi, je l'ai senti en avalant.
J'ai toujours dit qu'il était difficile pour les non-initiés de résister à mon épouse.
- On recommence ?
Notre caméraman se recule et fais non de la tête. Il lui fait signe avec sa main de se retourner et semble lui proposer de monter sur ma queue pour filmer son cul face caméra.
- Je ne sais pas qu'elle est ton idée, mais tu excites ma curiosité.
Pour la première fois depuis plusieurs jours, me voici en contact peau à peau avec mon épouse. J'ai la sensation d'une première et je peux enfin contempler son visage radieux au-dessus de moi, ses seins qui viennent se frotter par intermittence sur mon torse. Lorsqu'elle s'enfonce sur ma queue, son vagin me brûle le gland. Comme chauffé à blanc de désir, cette sensation est progressivement calmée par le flot de cyprine qui vient impregné ma verge. Après quelques mouvements de coïts, on obtient un mélange doux et chaud. Rien de tel que de pouvoir sentir les muqueuses gorgées de plaisir d'une femme qu'on aime à la folie. Au-dessus de son épaule, je vois le serveur s'approcher, il dépose une main douce sur le haut du dos de madame pour lui commander de se coucher plus encore sur moi pour ouvrir son cul et sa chatte en mouvement. Notre invité nous rejoint et tient sa bite à disposition devant madame.
- Oh oui ! Vas-y donne moi ta queue.
Il passe délicatement son bras droit derrière sa tête, pose sa main derrière son coup l'intime d'avancer sa bouche inexorablement pour engloutir sa bite. Son cul et sa chatte se relèvent, j'adapte ma position en poussant sur mes jambes pour prendre le contrôle des mouvements et la pilonner. La caméraman, invisible à mes yeux, ne rate rien de nos entre-jambes avant que nous le voyons furtivement réapparaître le pot de miel à la main. Instinctivement, j'entreprends de baisser la cadence des pénétrations. Elle apprécie la sensualité, ça la fait sucer de façon plus langoureuse. Madame profite de ce moment pour nous faire part de ses commentaires :
- Tu avais mis du miel sur ta bite, j'ai adoré, elle est encore meilleure à sucer comme ça.
Sentant quelque chose se trame dans son dos, madame tourne brièvement la tête pour essayer de deviner ce qu'il s'y passe. Je passe la tête sur le côté pour comprendre son interrogation et je vois à proximité le pot de miel posé sur le lit et sa main se saisissant de la cuillère de miel. Qu'était-il en train de préparer ?
Elle s'approche de mon oreille et me murmure, haletante :
- Tu vois ce qu'il fait ?
- Je crois qu'il veut tester un nouveau mélange ?
- Miel & Sperme, tu crois ? qu'est-ce que c'est bon...
- Amuse-toi alors...
Elle se redresse et tente un bluff :
- On rajoute du miel ? J'ai un yaourt à finir...
Le réalisation demande l'aide d'un assistant. Notre invité vient à la rescousse pour l'aider dans son entreprise de nappage. Avec la cuillère de miel, il commence à doucement déposer des fils de miel sur les fesses de mon épouse. La fesse gauche puis la fesse droite se strie de fil d'or collant qui sont indéfectiblement attirés vers le bas. Visant que la fin du peau arrive. Le réalisateur se saisit du pot et demande à notre acolyte de lui écarter les fesses.
Surprise, mon épouse relève la tête et lance dans leur direction :
- Qu'est-ce que vous faites tous les 2 ? je vais être toute collante...
Les fesses maintenues fermement, le réalisateur fait un plan serré sur son cul qui se dévoile. Il commence par déposer et faire tourner la cuillère en bois en haut de sa raie des fesses, le miel entame sa traversée du canyon jusqu'à venir napper son petit trou. Vernis d'or, il vide le reste du contenu du pot qui vient l'inonder. Instinctivement, mon épouse cabre son cul pour aider le précieux liquide sucré à se frayer un passage jusqu'à son sexe. Avec la cuillère à miel, il répartit et la tartine de miel. Le cul ouvert, il prend un certain plaisir à faire passer le bout de la cuillère à miel sur son trou.
- Vous m'en avez mis partout, essayez ça doit entrer...
Mon épouse n'est pas une adepté de la sodomie, mais un gode, des doigts ou un plug peuvent avoir ses faveurs lorsqu'elle est très excitée. J'ai donc appris ce jour-là que la cuillère à miel bien imbibé pouvait aussi être envisageable. Une fois avoir fait rentrer à demi la cuillère à miel, le réalisateur prend du recul et en profite pour récupérer le pot de yaourt pour la suite. Sous l'œil de l'objectif, nos entrejambes s'entrechoquent dans les claquements et un mélange de bruit liquide. L'échauffement fait ressortir nos embruns, je sens la sueur qui s'évapore des pores de son corps mêlé au parfum du miel chauffé par le contact de sa peau et de nos sexes.
Je ne mettrais pas beaucoup de temps à jouir tant la jouissance viendra puissamment. Écrasant ma queue tout au fond de son vagin, je laisse exploser mes couilles gonflées de sperme dans ce corps fabuleux qui m'amène chaque jour tant de bonheur et de plaisir. Tout dans ce moment me fait dire combien j'aime cette femme exceptionnelle et le bonheur intense qu'elle me donne chaque jour de m'avoir choisi comme mari.
Revenant des constellations de la jouissance, je retire ma queue trempée de sa chatte. Madame garde la pause, le réalisateur effectue un plan de façon précise, extrêmement méthodique. Placé le pot de yaourt sous son sexe, il recueille le mélange de sperme, de cyprine et le miel venant de ses fesses. Il libère son cul de son accessoire et reprend la cuillère à miel pour tourner ce yaourt onctueux.
Madame peut enfin se retirer, elle roule sur mon côté gauche, maculant les draps de son cul de miel.
- Je peux finir mon yaourt maintenant ?
Respectant les consignes de sa cliente, le serveur reprend possession de la situation. Respectant la volonté de madame, notre invité trempe son gland dans le mélange afin qu'elle puisse le consommer en le portant jusqu'à sa bouche. Allongée, elle nous fait part de son commentaire :
- Hmmm c'est parfait... je crois que c'est mon nouveau petit-déjeuner préféré. on doit pouvoir s'en servir de crème pour le corps, non ?
- Mais bien sûr madame, je vous la verse où ?, demande très poliment le serveur-caméraman.
- Où vous voulez ! mon corps va en raffoler !
Suspendu dans l'air, le serveur fait doucement verser le pot et parcourt lentement le corps de mon épouse. Une première goutte viendra se glisser près du têton droit, puis entre ses seins avant que les impacts suivants viennent se nicher sur son ventre et remplir son nombril. Au fur et à mesure, elle laisse glisser ses doigts dans le yaourt pour l'étaler, le répartir, porter à sa bouche les surplus qui maculent ses doigts. Elle écarte et remonte ses jambes pour libérer son bas-ventre et déployer sa chatte sur lequel viendront terminer le reste du contenu. Sa majesté n'a pas d'égal en pareil moment. Comment ne pas être subjugué par cette femme mariée entourée de 3 hommes qui se caresse le sexe après étale le reste de ses effluves sexuelles sur elle comme une chatte brulante.
- ça c'est qu'on appelle un petit-déjeuner copieux ! Restez encore un peu avec nous cher client de l'hôtel, avant de nous dire au revoir, vous allez pouvoir nous rejoindre dans la salle de bain. Vous allez adorer me mater sous la douche.
La douche n’est pas une simple invitation à partager un moment intime et coquin avec Mlle Fontaine. C’est un rituel. Au début de notre relation, nous vivions à des centaines de kilomètres l’un de l’autre. L’inextricable force qui nous attirait ne pouvait s’exprimer que durant ces brefs week-ends que nous arrachions à nos agendas, ici et là. Je la retrouvais souvent sur un quai de gare. Elle descendait d’une rame comme une icône céleste au milieu de la grisaille.
Nos retrouvailles avaient le goût de l’effervescence. Heureux de nous retrouver, pressés de nous enlacer, nous vivions les premières heures dans l’illusion d’une infinité de moments à partager, comme si, pour un bref instant, le temps était notre allié. Mais le sablier continue de s’égrener. Il nous ramenait toujours, inévitablement, vers cette dernière heure implacable où je devrais la raccompagner, ces dernières minutes où il faudrait que je la quitte, cette dernière seconde où elle ne serait plus à mes côtés. Déjà, elle avait cette habitude — héritée sans doute de relations fragiles ou passagères — de m’inviter à partager un moment sous la douche, comme pour voler encore un instant de plus à la marche inexorable du temps. Résurgence d'une émotion oubliée ? Sa proposition n'a donc rien d'anodine à mes yeux.
Les fesses encore maculées de miel et le corps luisant des restes de ce petit déjeuner, elle nous emmène dans la douche suivie par le serveur. La cabine exiguë nous forçait à rester étroitement serrés. Rapidement, l'eau chaude vient à couler sur nous comme une bénédiction. Au centre, mon épouse est devenue silencieuse, comme introvertie sous l'effet de cette caresse bienveillante. Nous tentons quelques boutades avec mon acolyte pour garder l'atmosphère détendue du petit déjeuner. Il lui manifeste beaucoup d'intérêt, piqué au vif par sa douce folie coquine.
Effleurant chaque contour de son corps avec une douceur presque thérapeutique, cette douche me semblait anormalement sage, comme si l’eau parvenait à laver plus que le miel et le sperme; Dans son mutisme, je sentais une veine tentative de ma muse pour nettoyer des nuances de pensées plus sombres. Installé derrière elle, je m'approche de son oreille gauche, pose doucement mes mains sur sa taille pour lui glisser un simple "Je t'aime", comme la dizaine de fois où j'ai pu me retrouver sous la douche avec elle. Elle tourne la tête, esquisse brièvement un sourire mais replonge aussitôt, comme happée par une douleur sous-jacente qui continuait de sourdre en elle.
D'un échange de regard, nous comprenons avec notre invité que mon épouse traverse un moment de tourment. Dans cette bulle de chaleur, nos corps se rapprochaient, cherchant dans la fusion un répit, une manière désespérée de nous ancrer dans l’instant. Mes mains glissaient sur son dos, celles de notre invité sur sa poitrine. Je sentais chaque fibre de mon être se tendre vers elle, comme si je concentrais toute mon énergie, mon amour, pour qu'elle ne cède pas à la mélancolie. Il remonte ses mains sur son cou, lui redresse la tête. Ma tête posée sur son épaule droite, je vois ses mains remonter sur le visage de mon épouse, ses pouces se diriger sur ses lèvres pour les caresser comme s'il tentait d'appliquer un baume de douceur sur sa détresse.
Je le sens résister à ses yeux bleus perçants, ce regard qui demande un baiser. Il dépose sa tête sur son torse pour la câliner comme s'il voulait croire que ce contact pouvait guérir, effacer son inquiétude. L’eau coulait encore, la lumière tamisée dansait sur nos peaux humides, créant des reflets changeants dans la vapeur. Il n'y avait plus que le son de l’eau qui frappait le sol, résonnant comme une pluie continue, une mélodie triste qui accompagnait le silence tendu entre nos corps serrés. Soudain, j'eu à mon tour cette sensation oubliée, chaque goutte d’eau semblait marquer une seconde perdue, une fraction de temps qui s’échappait, impossible à rattraper, nous rapprochant de notre départ de l'hôtel.
Semblant ressortir de sa nébuleuse, elle redresse la tête et se libère des bras de notre acolyte avec un soupir qui en dit long sur l'instant qu'elle vient de traverser.
- Vous êtes mignons tous les deux, vous n'avez même pas tenté d'abuser de la situation...
- Non, nous prenons soin de notre princesse, c'est différent, lui réponds-je.
Le jet d'eau s'interrompt. L’eau cesse de couler. La pièce revient doucement à la vie. Nous retrouvons le serveur qui nous demanda si, entre les acteurs; tous les backstages après une scène porno se finissaient avec ce degré de communion. Nous lui faisons comprendre qu'aujourd'hui c'est un peu particulier.
Nous nous séchons rapidement, sans trop de mot, comme si le simple contact des serviettes contre nos peaux pouvait effacer ce qui restait de la douceur humide qui nous avait enveloppés quelques instants plus tôt. Chaque geste est rapide, presque mécanique, guidé par une urgence nouvelle, une hâte maladroite. A peine essuyée, madame remet son long manteau et boucle sa ceinture. Stupéfait, le serveur lui demande si elle va vraiment sortir comme ça :
- Je suis arrivée comme ça, je repars comme je suis venue.
A ce moment, la chambre d’hôtel, qui avait un temps été un refuge, n’était plus qu’un décor oppressant qu’il fallait quitter.
Nos gestes brusques trahissant la nervosité qui nous gagnait. Dans la douche, nous avions tous les 3 compris que chaque seconde nous rapprochait de la fin. Nous avions besoin de vivre un dernier instant ailleurs.
Sur le pas de la chambre, le serveur s'engage en premier, les mains chargées du plateau consommé.
- Nous sommes désolés du tracas que nous t'avons créé, mais tu t'es révélé comme un audacieux caméraman. Tu devrais songer à te reconvertir.
- Oui, je suis d'accord, madame, ça m'a beaucoup plu.
- Tu vas être très en retard et avec l'état de la chambre, j'espère que ça n'ira pas trop loin.
- Ce n'est pas grave, je dirai que le plateau est tombé et j'ai tenté de nettoyer avant de revenir.
Nous fermons la porte sur ce lieu de débauche et confions la carte d'entrée au serveur qui la remettra à l'accueil pour nous.
Avec ce dernier service, il nous évite un petit détour et nous permet de nous rendre sans attendre à la voiture. Cette fois, sans hésitation, j'ouvre la porte côté passager et notre invité entre. Le temps qu'il s'installe madame défait le nœud de son imper et retire les boutons un à un. Nous échangeons un bref regard dans lequel je lis sa détermination à vivre intensément les minutes qui suivent. Puis, elle s'engouffre à son tour dans la voiture.
La lumière du jour, claire et sans ambiguïté, inonde l’allée que nous empruntons pour la dernière fois. Les lampadaires ne sont plus qu’un souvenir inutile, leur pâleur battue en retraite par le soleil. Rien ne se cache plus dans les ombres; tout est mis à nus.
La grille, autrefois sentinelle fatiguée, ne protège plus rien. Elle est grande ouverte, béante, prête à recracher les derniers vestiges des convives. Le grincement métallique qui avait accompagné notre entrée dans la nuit silencieuse a disparu. Elle ne fait plus barrage, ne retient plus l’ombre, mais au contraire invite au départ. Elle est là, inerte, passive, presque pressée de nous voir quitter ce lieu devenu trop familier.
En silence, nous passons la grille, la voiture roulant lentement sur les graviers, qui crissent sous les roues comme un écho à ce départ forcé. Cette grille, qui avait été un maigre symbole de protection, n’est plus qu’une ouverture, un rappel que la nuit s’est achevée et que tout doit se terminer.
La voiture avançait maintenant hors du motel, longeant les périphéries de la ville que nous n'avions pas perçues la veille. Ce qui, dans l’obscurité de la nuit, avait semblé être un vide insondable s’était transformé en une zone semi-urbanisée, une sorte de no man's land entre la ville et la campagne, où la vie semblait en suspens.
Jetant un bref coup d'œil à l'arrière, madame a grandement ouvert son imper, laissant frappés ses magnifiques atouts par la lumière du matin. A cet instant, rien ne lui fait peur, même pas les bâtiments qui surgissaient autour de nous. La semaine, ces lieux devaient vibrer d’un certain tumulte, d’allées et venues, de voitures stationnées en rangs serrés, de silhouettes affairées. Mais aujourd'hui entrepôts de métal aux façades neutres, parkings, vitrines de bureaux étaient désertés.
Le silence régnait encore dans l'habitacle, pesant, comme une lente respiration. J'entends soupirer mon épouse. Une mélange d'exaspération, de calme, peut-être une pointe de résignation. Brièvement arrêtée à un feu rouge, elle en profite pour enlever ses talons qu'elle laisse s'affaler derrière le siège passager et s'allonge sur son amant, les jambes relevées, appuyées sur le rebords de la vitre . Je rédémarre la traversée de cette ville fantôme, mon épouse lovée sur la baquette arrière, le sexe à l'air. Elle attrape le bras droit de son amant et pose sa main sur son sexe déjà très ouvert et rougit.
Reprenant la route qui nous mène vers le parking du club, un peu dans le même esprit que la veille, je rompt le silence "Je roule doucement, vous avez le temps d'en profiter". D'un virage à un autre, je donne régulièrement des coups d'œil à l'arrière. Mon épouse semble observer la route, le regard plongé dans un abysse trouble. Notre invité lui caresse le sexe avec une douceur complice comme une chatte qui l'aurait amadouée. Lorsqu'il entreprend de concentrer ses caresses sur son clitoris, elle ouvre les jambes plus grands encore. Son sexe brillant sous cette chaude lumière de fin de matinée est animée de convulsion. Béant, il s'ouvre et se referme comme pour réclamer encore plus de sperme. Mlle Fontaine a toujours été une adepte du sexe en voiture, de jour comme de nuit. Sur l'autoroute, comme dans un parking.
Au fur et mesure des panneaux routiers, et des rond-point, les événements se font plus nets, la respiration de mon épouse s'accélère, son souffle en devient hypnotisant, je reste concentré sur la route, les mains agrippées à mon volant. La respiration se ponctue de gémissements, de plus en plus intenses. A bout de curiosité, je donne regarde dans le retrouviseur mon épouse les jambes repliées sur elles, les mains étirant son sexe, sont amant le caressant en crochetant deux doigts dans la chatte. Je comprends mieux pourquoi je la sentais monter aussi haut dans les voyelles (en particulier A et O).
Lorsqu'il agite ses phalanges sur son clitoris et dans son vagin, elle engage un champ de jouissance avant d'être interrompu dans sa montée par l'arrêt brusque des caresses. Elle en devient chienne, réclamant la fin du supplice et le retour de doigts libérateurs dans son entrejambe. A force de crocheter les parois de son sexe, il arrivera à la offrir une première libération en la faisant gicler sur la banquette arrière. Avec la chaleur, il ne faut pas beaucoup de temps pour que les effluves sécrétés par son corps ne remplissent l'habitacle. Cela me rappelle instantanément le bonheur d'une mise en bouche de sa chatte excitée. J'en viens machinalement à saliver et repense aux nombreuses images de ce clito luisant d'envie de jouir que je dorlotte d'amour si souvent.
L'intensité ne retombera plus durant plusieurs minutes amenant madame à s'exclamer :
- Continue à me caresser, tu vas me faire jouir...
Sa voix contractée, impatiente de jouir est un instant de délectation. Mlle Fontaine n'en peut plus et c'est tout qu'on aime. La faire jouir, semblait séduisant... Mais cela ne semblait pas dans l'idée de notre hôte qui continuera à s'amuser cycliquement. A deux reprises encore, il la fera encore gicler ce qui la rendra encore plus comédienne :
- Oh non mais c'est pas possible, j'en mets partout ! J'adore...
La délivrance ne tardera pas à arriver pour mon épouse. Constatant la rougeur écarlate de son clitoris, il jugea opportun de cesser les assauts dans son vagin, et de définitivement la délivrer de sa tension. Dans les derniers soubresauts de la montée, je l'entends haleter, murmurant insatiablement "vas-y" jusqu'à l'inévitable arrivée d'une jouissance inévitable. Mlle Fontaine éructe, explose de jouissance, fendant l'habitacle d'un orgasme long et puissant, cambrée par l'intensité dévastatrice.
Bouche ouverte, le souffle coupé, elle cambre son dos comme attirée par le 7eme ciel avant de retomber quelques secondes plus tard, la tête roulant sur la jambe de notre invité. La jouissance de mon épouse a cela de particulier qu'elle nous entraîne dans un tourbillon magnétique. J'expire doucement pour ne pas montrer à quel point je suis comblée de l'avoir entendu jouir.
La fin de la route sera beaucoup plus calme. Les membres relachés, elle nous fait remarquer qu'elle n'est plus bonne à rien. Nous allons la croire, du moins, pour l'instant, car, dans quelques secondes nous serons arrivés au point de retour. Il sera temps qu'elle rechausse ses talons pour dire au revoir à notre invité de la nuit.
À peine la voiture arrêtée au bord du trottoir, je fais descendre les passagers de l’arrière. Je tends brièvement la main à notre invité, un geste rapide, presque formel, le remerciant pour ce moment partagé. Il acquiesce d’un signe de tête, ses mots aussi légers que la poignée de main. Je laisse mon épouse le raccompagner jusqu’à sa voiture, garée un peu plus loin, à l'écart sur le parking.
Tandis qu’ils s’éloignent ensemble, il tend la main vers elle, un geste qu’elle accepte de deux doigts, mais en marquant une faible hésitation. Leurs doigts se frôlent avant de s’entrelacer. Il ne reste que quelques mètres à parcourir, une distance dérisoire, mais chargée d’une tension à peine voilée.
Arrivés devant sa voiture, ils s’arrêtent près du coffre. Il se tourne vers elle, l’air détendu, alors qu’elle s’avance avec une certaine nervosité, son imperméable entrouvert, laissant à peine dissimuler ses intentions. Tout dans sa posture trahit son attente, fébrile. La recherche d’un ultime frisson dans ce moment suspendu. Ses lèvres murmurent une demande silencieuse, à laquelle il répond d’un baiser lent, charnu comme s'il essayait de la faire vaciller.
Depuis l’habitacle de la voiture, j’observe la scène, attentif au moindre de ses gestes. Je l'ai vu s’approcher de lui, et à cet instant, quelque chose en elle a semblé changé. Il ne s’agit pas seulement de cette demande d'une ultime étreinte, mais d'une énergie nouvelle qui l’animait. Elle, qui avait joui 10 minutes plus tôt, rayonnait d’une force presque inattendue, simple et brute, saisissant le dernier instant présent, sans autre préoccupation que de le vivre intensément.
Ainsi, elle fait descendre son imper de ses épaules et s'agenouille au milieu du grand parking vide pour défaire son pantalon. Elle en sort son sexe avec une appétance presque animale et le glisse avidement dans sa bouche. Avec l'étreinte que porte sa bouche et sa main droite, il ne pouvait faire différemment qu'être bien dur. Elle se déchaine sur sexe, le suce, le lèche, le branle, enfonce sa tête sur son membre jusqu'à la luette, elle ne lui laisse aucune chance. Elle alterne vitesse, rigueur, douceur, tapote son gros gland sur sa langue en le regardant fixement dans les yeux par intermittence. Une soif de sexe qui l’embrase, et qui me rends profondément heureux. Elle respire cette insouciance que je rêve de lui offrir, cette simplicité où chaque instant est vécu sans contrainte, où chaque plaisir est accueilli sans détour.
C’est tout ce que je désire pour elle. Qu’elle n’ait plus rien à craindre, qu’elle ne pense qu’à ses désirs, qu’à ces moments où elle peut être elle-même, libre, radieuse, où elle séduit sans effort et se laisse séduire par la vie. Je veux qu’elle n’ait plus à se soucier de rien d’autre que de goûter à ces plaisirs charnels, de croquer la vie avec ceux qui, comme nous, savent que l’essentiel réside dans ces instants éphémères, ces moments où tout s’efface sauf l’intensité du présent.
J'aimerais lui offrir son havre d'amour pluriel, un endroit rien qu'à elle où elle pourrait composer la fresque de ses expériences. Que cette complicité lui amène de nouveaux plaisirs chaque jour, qu'elle à baiser sur une chaise longue dans le jardin avec un groupe de son choix, ou qu'elle se fasse lécher la clito au bord de la piscine. Pendant ce temps, je serais là, tantôt dans la cuisine pendant qu'elle dégustera une queue en levrette dans le salon pour un trio entre amis, ou comme aujourd'hui dans la voiture, en train de la voir déguster le sexe d'un amant, nue sur un parking désert.
Mon amour pour elle est si fort que je la veux ainsi, insouciante et vivante, capable de savourer chaque regard, chaque sourire, chaque étreinte comme s’ils étaient les derniers. C’est cette liberté que je veux lui offrir, qu’elle mérite. Et à cet instant précis, en la voyant si épanouie, je sais que c’est ce qu’elle recherche elle aussi, qu’elle mérite de vivre ainsi, sans autre entrave que celle de ses propres envies.
A moitié perdu dans mes pensées, je ne fais plus vraiment attention au final de ce moment. Impatiente de le faire jouir, elle le branle jusqu'à l'éjaculation. Je ne vois pas le jet de sperme qu'il expulse, juste la réaction de madame lorsqu'elle termine son étreinte sur sa queue. Elle regarde sur sa poitrine et passe sa main entre ses seins. L'endroit parfait pour éjaculer sur elle. Elle fera un ultime passage sur son gland pour aspirer les dernières gouttes de sperme et faire rouler le gland sur sa langue, comme un dernier baiser d'adieu à cette queue qu'elle a tant apprécié.
Elle se relève, il commence à remettre les boutons de son pantalon. Pendant qu'il est occupé à reboucler sa ceinture, elle en profite pour lui faire un dernier baiser sur la joue en esquissant un sourire qui semble dire "merci" et s'éloigne. Un peu hébété après avoir joui et fini promptement de remettre ses affaires en ordre, il la regarde s'éloigner avant de disparaître dans son véhicule et de s'en aller du parking en me faisant signe.
Alors qu’elle revient vers la voiture, je ressens une paix qui finit d'éclipser les quelques derniers doutes de mes modèles passés. Ce chemin qu’elle trace de nouveau vers moi, à cet instant, incarne quelque chose de plus profond que toutes les peurs initiales. Elle aussi, semble ressentir la même chose. Je distingue un sourire paisible sur ses lèvres, chaque pas qu’elle fait semble confirmer une vérité : tout s’aligne.
Elle s’installe à mes côtés, sans un mot. Je constate la traînée de sperme qui commence à sécher sur sa poitrine et son sein gauche bien éclaboussé. Je démarre et reprend la route. Le soleil inonde la voiture, baignant son visage et son cou d’une lumière douce. Le silence qui s’installe entre nous n’est pas une absence, mais une plénitude, l'expression de la force tranquille de notre amour. Ce n’est pas un silence pesant, mais celui de deux âmes qui ont compris que tout ce qu’elles cherchaient était déjà là, depuis le début.
Un moment de réflexion, une contemplation intérieure des émotions encore à demi-formées, émergeant doucement. Je la regarde, et je sais que ce qu’elle a vécu avec cet homme n’est qu’un éclat, une nouvelle pièce dans la mosaïque qui compose son plaisir, son amour. Mais, au centre de cette composition complexe, il y a nous. Le centre de gravité autour duquel tout s’organise. Ce ne sont pas de simples aventures qui s’ajoutent à la liste d'un couple libre, mais les éléments d’une image plus vaste, où chaque expérience s’imbrique pour compléter ce que nous sommes, sans jamais ébranler notre fondation.
Elle repose sa tête contre la vitre, baignée par la lumière du matin. Et dans cet instant suspendu, je perçois le relâchement de ses doutes. Ce qui, hier encore, semblait une frontière à ne pas franchir s’est dissipé dans la clarté de l’aube. Le poids des incertitudes se dissout, remplacé par une sérénité nouvelle, un apaisement profond. Ce qui s'est passé ne l'a pas éloignée de moi, bien au contraire, cela nous rapproche dans cette mosaïque que nous construisons ensemble, pas à pas, fragment par fragment.
Je l’observe avec tendresse, réalisant que notre amour n’est pas figé dans une définition stricte ou dans une exclusivité imposée. Il est vivant, vibrant, nourri par cette liberté que je lui offre. Chaque geste qu’elle partage avec d’autres, chaque moment vécu à l’extérieur de notre union, ne fait que renforcer ce noyau, cet espace intime qui est le nôtre. Nous n'avons pas peur de nous perdre, car nous savons que notre amour est plus vaste que cela. Il s’étend, s’adapte, et se nourrit de chaque fragment que nous ajoutons ensemble, rendant notre union plus riche, plus profonde.
– Finalement, tu voudrais le revoir ? lui demanda-je, d’une voix calme, mais curieuse.
Elle prend une longue inspiration avant de répondre, toujours posée, mais cette fois sa voix a pris une teinte légère, presque désinvolte.
– Non, pas forcément, murmure-t-elle, comme si la question n'avait pas de gravité.
Sa réponse est simple, mais je perçois qu’elle n’est pas figée dans une certitude. Elle reflète une compréhension plus large : ce n’est pas lui qui compte, mais ce que cet instant a créé en nous. Ce qu’elle a vécu avec lui était peut-être la première pièce d'une grande fresque que nous continuerons de composer ensemble. Car ce qui importe, ce qui compte réellement, c’est ce qui nous ramène toujours à nous : cette force, cet amour central qui donne un sens à tout ce qui gravite autour.
À cet instant précis, je sais que nous avons franchi une étape. Pas seulement en surmontant nos peurs, mais en les intégrant, en les dépassant pour en faire une nouvelle pierre de cette mosaïque vivante qu'est notre union. Chaque éclat d’expérience, chaque fragment de plaisir partagé ailleurs ne fait que renforcer l’image centrale : la nôtre, indissociable. Notre amour n’est pas menacé par la liberté que je lui offre, il s’en nourrit. Cette liberté est un reflet de notre force, non une échappatoire.
Alors, tandis que nous avançons sur ce chemin que nous traçons à deux, je comprends que cette mosaïque ne cessera de s’étendre. Et même si d’autres fragments viendront se joindre à ceux déjà posés, l’image centrale, celle de notre amour, de notre union indéfectible, restera toujours la même. C’est cet "Amour Mosaïque" que nous créons ensemble, pièce par pièce, avec amour, confiance... et candaulisme.
Au petit matin, j'ouvre les yeux au milieu de bruits de démarreurs et de brouhaha des gens qui passent dans l'allée devant la chambre. "Tout va bien chéri ?" Madame est réveillée et semble très en forme. Les yeux rivés sur son portable, elle consulte ses messages de la nuit. Je lui confirme que tout va bien.
- ils m'ont réveillé, il y a plein de monde dans l'hôtel, je suis en pleine forme pour baiser.
- Tu voulais pas nous sucer tous les 2 ?
- on va voir, mais de toute façon, vous allez me mettre plein de sperme sur la chatte. Je veux être la salope de l'hôtel ce matin.
Je sais, il n'y a rien à répondre à ce genre d'affirmation. Au premier abord, vous avez surtout envie de sortir votre queue pour vous faire sucer. Toutefois, je constate que l'autre côté du lit est vide.
- Notre acolyte a découché ?
- Non, il est à côté, il avait un coup de téléphone à passer.
- Oh, il faut donc patienter pour tes pipes ma chérie.
- Arrête, J'ai faim...
- C'est la baise qui te creuse, comme d'habitude.
Le loquet de la salle de bain s'ouvre et pour en laisser sortir notre invité. Il me salue, moi de même. Quelques échanges de banalités masculines que madame interrompt rapidement :
- Reste pas planté debout devant moi. Tu viens avec nous sous les draps, j'ai envie qu'on se fasse un câlin tous les 3.
Devant autant de gentillesse, notre convive vient se réfugier avec nous sous les bras. Madame enlace son baiseur de la veille d'un bras et m'attrape le bras pour le placer sur son ventre. Instinctivement, elle le sait, notre amour est viscéral. Je suis collée derrière elle. Je fais passer ma bouche le long de ses épaules pour semer plein de bisous. Près de son oreille je lui glisse un :
- Tu ne ferais pas ça pour faire grossir nos queues par hasard.
Elle lâche un petit rire coquin et relâche son étreinte, se relève un peu et soulève doucement les draps en nous regardant avec un regard coquin.
- oh mais qu'elles sont grosses ! J'adore...
Allongés tranquillement à ses côtés, nous discutons de choses et d'autres, mais surtout de madame qui en profite pour passer délicatement des doigts malicieux sur nos bites. Alors que nous commencions à poser une main chacun sur la poitrine de madame pour lui faire envisager un peu plus d'actions, nous entendons des pas derrière la porte. Nos mouvements s'arrêtent comme suspendus aux secondes à venir.
Soudain, on toque à la porte. Elle lance :
- Qui est-ce ?
- Service d'étages, madame, pour le petit déjeuner !
Pourquoi vois-je à ce moment là se dessiner un espiègle sourire dans le coin de la lèvre de ma femme ?
- Vous avez la carte, je crois, vous pouvez entrer, je suis occupée.
- oui, madame, j'entre vous déposer le plateau.
Nous remontons le drap pour un peu cacher nos queues bandées et les mains bien occupées de madame.
Le room service apparaît dans le couloir de la chambre, à reculons. Le garçon a les mains bien pleines. Il semble à la peine en arrivant dans la chambre. Avec son grand plateau, il se retourne et nous trouve tous les 3 assis dans le lit. Il donne un coup d'œil dans les 4 coins de la pièce. Avec tous les restes de la veille éparpillés un peu partout, il ne sait où donner de la tête pour poser le plateau.
un peu embêté, il bredouille :
- ah oui madame pardonnez moi, en effet, vous êtes occupée.
- ce n'est pas grave, vous pouvez quand même entrer, dit-elle en faisant légèrement danser ses tétons tout durs.
- merci madame, pour le plateau je vous le pose où ?
- ça vous embête de venir le déposer devant moi, je meurs de faim.
- Très bien, madame.
Le serveur avance vers le lit, se tend pour poser le plateau et le drap s'abaisse laissant voir devant les yeux ébahis du serveur nos bites bien dures dans les mains de mon épouse. Je ne sais pas vraiment si c'est le poids et les pieds du plateau ou si c'est madame qui a donné une impulsion soudaine qui a retiré le drap. Vous pouvez imaginer la réaction du serveur. Encore plus surpris que la minute précédente ! Il recule promptement la mine gênée, baissant le regard.
- excusez moi messieurs, dames, je ne voulais pas vous importuner.
Un jeune serveur timide, rien de tel, pour titiller la tentatrice qui accentue l'amplitude de ses mouvements.
- oh ne soyez pas gêné, c'est pas grave, vous pouvez regarder... Ne faites pas votre timide... Regardez... Ça vous plaît ce que je fais.
- oui madame, ça me plaît beaucoup et vous êtes très belle aussi.
- merci, c'est flatteur venant d'un jeune serveur séduisant, ça vous plairait que je fasse sortir le gland de votre queue comme ça...
Elle décalotte nos glands à fond de frein devant le serveur qui reste bouche bée de la scène.
Puis elle reprend :
- et je pourrais la lécher aussi...
Elle se tourne vers ma queue, sort sa langue et mime le geste de la lécher. Ça peut aussi faire cet effet de rencontrer pour la première fois mademoiselle Fontaine la tentatrice. En tout cas, je savais qu'il n'allait pas en sortir indemne. Le serveur ne sait plus vraiment où se tourner pour demander un soutien. Intérieurement, je rigole de l'insolite de ce vaudeville. Mon compère, à l'air de ne pas en penser moins.
Finalement, elle lâche la pression et fait retomber nos bites.
- Et bien moi je vais commencer par ce bon petit déjeuner, qu'est ce que vous nous avez apporté...
Elle part pour égrener le contenu du plateau, je sens qu'elle a une idée derrière la tête :
- Oh des fraises, un yaourt crémeux, de la confiture, du miel ... C'est très appétissant. Mais je vais commencer par le café, ça va me motiver !
Comme si la caféine avait un effet particulier sur sa libido enflammée...
- vous avez tout ce qu'il faut, madame ? Je peux repartir ?
Elle nous regarde comme pour chercher notre approbation et lui dis :
- tout est parfait, oui, merci
Le serveur nous salue en silence et n'est pas loin de se carapater vers la porte, lorsqu'elle l'interpelle.
- excusez-moi s'il vous plaît, encore 5 minutes... J'ai oublié quelque chose.
- oui, si je peux vous aider...
- comme je suis bien occupée, est ce que vous pourriez nous prendre avec l'appareil photo pour immortaliser notre petit déjeuner ensemble...comme ça le temps qu'on termine vous pourrez directement partir avec le plateau vide.
- Normalement, c'est pas possible mais pour vous je veux bien participer.
- vous êtes adorable, merci.
Je tends l'appareil photo allumé à ce convive imprévu. Il regarde le réglage indiqué sur l'écran et son œil se met à briller. Sur l'image, il comprend que ce n'est pas des photos de vacances qu'on lui demande.
- C'est filmé que vous voulez !?
Tout en portant la tasse à café à ses lèvres, madame la baronne répondit par l'affirmative.
- vous êtes des acteurs pornos c'est ça ?
Le sang de ce jeune serveur était en train d'inonder son cerveau d'idées cochonnes. Peut-être avait-il l'impression de réaliser un fantasme qu'il se repassait en boucle lorsqu'il se branle le soir dans sa chambre d'étudiant. Nous faisons en sorte de garder notre sérieux, mais je vois que notre invité croise les bras sur sa poitrine comme on le fait pour contrôler une montée hilarante. Il n'est pas habitué, madame n'a pas fini de s'amuser.
En se tournant vers nous, elle lui répond :
- Disons que oui... Voilà vous avez deviné ... Donc mon mari est le producteur, moi je suis la salope du film et lui c'est l'étalon qui vient me baiser comme une chienne nymphomane.
Je crois qu'il n'en revenait pas d'entendre ça, il était bloqué bouche bée. Son cerveau avait dû se déconnecter au mot 'salope', 'chienne' ou 'nymphomane' pour être remplacée par sa bite. A se demander s'il n'avait pas fini par éjaculer précocement dans son pantalon. Elle reprend :
- Mais, ne vous inquiétez pas, ça va bien se passer, on va baiser en prenant le petit-déjeuner et vous pourrez tout filmer.
Lorsqu'il sort de sa stupeur, il nous regarde tour à tour quelques secondes puis nous lance :
- vous allez vous sodomiser ?
Soit nous étions tombé sur un jeune bisexuel en mal d'aventure soit sa bite avait mis tellement de temps à trouver un synonyme du mot 'enculé' qu'il nous a lancé cette sortie sensationnelle. Baissant la tête, et animé de sursaut, serrant plus fort ses bras sur son torse pour contenir son rire intérieur, notre complice est au bout de sa vie. De perplexité, je passe ma main machinalement sur mon visage pour m'assurer que je suis bien réveillé.
Madame joue la moindre surprise et répond :
- Alors, non... personne ne va se faire sodomiser ce matin... et vous savez... on a un proverbe dans le porno "Sodomie du matin, Chagrin".
- Ah...
En grande comédienne, elle se lance alors dans une invective :
- Et oui, tu ne te rends pas compte en regardant tes films de cul sur ton portable. Mais, une bonne sodomie, c'est une préparation...
J'interromps son début de digression, car je sens que nous n'allons pas en sortir...
- mais tu ne va pas lui faire un cour de préparation à la sodomie à 9h du matin ?
- non, mais pas du tout chéri ... Mais c'est bien qu'il sache qu'avant de prendre une grosse queue, il faut préparer son cul pendant des heures avec des godes.
Quelle idée j'avais eu de vouloir l'interrompre, à part pour qu'elle surenchérisse sur la situation.
- Par contre, ils vont me défoncer la chatte et me remplir de sperme.
- Ah... C'est intéressant et je pourrais m'approcher... Enfin comment je veux dire... Vous touchez... moi aussi
Alors qu'elle termine son café, elle lui fait signe d'approcher plus près. Il s'avance, elle dépose la tasse et accompagne son geste :- Approche tes lèvres...
Elle lui fait un bisou langoureux sur les lèvres, à la fois doux, tendre et particulièrement humide, rien de mieux pour le replonger dans sa stupeur. Je profite de son inattention pour poser une main sur les tétons durcies de cette incorrigible tentatrice que j'aime à la folie.
- Glisse ta main sous le drap...
Le petit pervers s'exécute.
- Vas-y... touche ma chatte... Voilà... pose la main... et fait un peu glissé tes doigts, ça répond à ta question ?
Troublé, il n'arrive qu'à bredouiller un petit oui.
Elle lui retire sa main et conclut :
- Voilà, tu es officiellement dépucelé, tu viens d'embrasser ta première actrice porno et lui mettre les doigts dans la minette. Et maintenant tu nous filmes mon chou, on va finir de tâcher les draps de la chambre.
Dans l'instant, nous sommes un peu tous saisis d'euphories dans la conclusion de cet interlude cocasse. Je crois que notre invité et moi avions une folle envie de se détendre sur mon épouse après le grand 8 sensationnel qu'elle venait de nous faire vivre.
- je lance le tournage ?
- attends, non, faut te mettre comme nous, maintenant, tu fais partie de l'équipe !
- Comment ça ?
- Allez, mets toi à poil !
- ah...
- oui allez, déconfines moi tout ça, sors ta queue, on va commencer.
Après que notre cameraman improvisé soit enfin en tenue, mon épouse impatiente soulève le plateau pour que nous remontions le drap. La lumière douce du matin glissait à travers les rideaux à demi-tirés, illuminant la chambre d’un halo tamisé. Un client de l'hôtel qui tournerait la tête n'aurait aucun mal à entrevoir la scène.
Le serveur, encore hésitant, tenait maladroitement la caméra qu’on lui avait confiée. Face à lui, assise confortablement dans le lit, ma comédienne arborait des seins encore immaculés, ses cheveux tombant négligemment sur ses épaules. Son regard, à la fois déterminé et espiègle, se fixait une fois sur l’objectif, une fois ces mains de retour sur nos bites sous les draps.
- Ok... je crois qu'on est prêt, essaie de ne pas trembler. Juste comme c'est moi la salope qui se fait baiser, suis-moi quand je bouge, et si tu sens que l’angle est bizarre, dis-le-moi.
Elle décida d'improviser une introduction dédiée aux spectateurs :
- Bonjour à tous les clients, je suis la salope de l'hôtel ! Après avoir baisé toute la nuit, je vous propose une dégustation à 3 du petit déjeuner de l'hôtel.
Le serveur, les doigts serrés autour de la caméra, semblait sur le point de lâcher prise à tout moment. Son regard passait d’elle à l’objectif, et son esprit s’embrouillait à l’idée de devoir gérer quelque chose d’aussi... professionnel.
Elle fait repasser ses mains sur le draps, l'attrape lentement et fait tomber le rideau :
- Et nous allons commencer sans attendre car tout le monde est prêt. Toi aussi le cameraman, approche un peu. Oui, c'est bien, comme ça, murmura-t-elle doucement.
Il obéit, se rapprochant lentement du lit. Elle attrapa une fraise et la fit tourner lentement entre ses doigts, jouant avec la lumière matinale qui caressait la peau brillante du fruit.
- Tu veux bien m'aider ? demanda-t-elle, un brin de malice dans la voix.
Elle lui tend la fraise pour qu'il la prenne devant elle. Les doigts tremblants, il lui tendit la fraise. Elle la saisit entre ses lèvres avec une lenteur étudiée, ses dents mordant délicatement dans la chair juteuse. Le serveur, maintenant de plus en plus absorbé par son rôle, fixa l'objectif sur ce moment, capturant le fruit rouge sombre qui disparaissait dans la bouche de cette incroyable salope.
- Hmmm, ces fraises sont parfaites, juteuses, sucrées.
Elle place la coupelle remplie de quelques fraises devant l'objectif :
- vous voulez goûter ?
Puis se recule, la coupelle dans la main. L'assurance du caméraman improvisé grandissait. Il ajusta la caméra, se déplaçant légèrement pour mieux cadrer la scène sur elle et notre invité. Elle prend la fraise et l'approche de sa bouche pour y déposer sa langue comme si elle jouait à lécher un gland.
- Bien, rapproche encore, je veux que tu captures ça. Doucement, oui...
Elle le fixe yeux dans les yeux, et fait quasiment disparaître la fraise avant de la retirer de sa bouche et de la tendre vers la bouche de notre acolyte. En le regardant mastiquer si lentement la fraise, je me disais qu'il n'avait jamais dû rencontrer une telle comédienne. Elle joua la même partition avec moi. Au détail près qu'elle aura pris soin de reposer la coupelle avant.
Elle s'était empressée de commencer à branler ma queue pendant que je tentais encore de déglutir. Du coin de l'œil, je voyais se préparer la suite. Notre invité avait entrepris dans le dos de mon épouse d'ouvrir un premier pot de confiture. Complice du complot qui se tramait, le serveur, encouragé, filmait maintenant avec plus de maîtrise et en avait profité pour souffler la suggestion à notre acolyte qui avait dû trouver l'idée séduisante.
Lorsque madame, fière de m'avoir aidé à manger la fraise en tirant sur ma bite se retourna, le reste du scénario s'emballa. Le doigt dans le pot de confiture, notre invité jeta de la confiture sur sa poitrine. Un ectoplasme de confiture d'abricot vint éclabousser son têton droit en remontant dans son décolleté.
Stupéfaite par cette taquinerie, elle reste bouche-bée, dégoulinante de confitures entre les seins. Nous organisons la riposte à venir, je me saisis d'un autre petite pot à la framboise, le caméraman pris le dernier, tandis que mon complice se tartinait les lèvre de confiture et rechargeait ses doigts :
- Oh non ! ça ne se fait pas, on ne s'amuse pas avec la nourr...
Mon complice lui attrape la bouche et lui écrase ses lèvres pleines de confitures. Je renchérit sur l'action.
- Tu parles trop ma chérie.
Je l'attrape à mon tour pour lui écraser mes lèvres de confitures sur la bouche et lui écraser les doigts sur le seins gauche.
Hilare, le serveur n'avait plus besoin de consignes; il devinait nos mouvements avant même que nous le faisions.
- Allez-y lécher lui les seins.
Avec nos doigts collants, nous la poussons plus en arrière puis nous nous synchronisons pour opérer un nettoyage en règle de son décolleté. Par surprise, madame bredouille :
- Mais enfin, ça ne se fait pas.
Nous répondons tous en coeur
- Oh non vraiment ça ne se fait pas.
- Mais en plus je suis bloqué par le plateau je ne peux même pas me déf...
Ultime provocation, le caméraman vient poser sa main pleine de confiture sur la bouche de madame et fait glisser le reste de ses doigts sur le bas de son cou.
Nous reprenons en cœur :
- Ah non ça ne se fait pas.
Et nous activons nos langues qui remontent sur son coup. Le caméraman a particulièrement bien géré sa surprise, un coup de maître. Je sais comme elle est sensible de cou et le passage de nos langues la fait totalement frissonner. Je la voyais passer nerveusement sa langue sur ses lèvres pour manger la confiture jusqu'à ce que je saute sur sa bouche pour lui soutirer une pelle à laquelle je n'avais eu droit depuis plus d'une journée.
Les rôles s’étaient inversés. Le serveur timide du début s'était effacé, laissant place à un cadreur improvisé mais audacieux. Il capture chaque détail de ce baiser fougueux avec une précision presque instinctive. l'étreinte interrompue sur nos lèvres nous laissons madame reprendre son souffle face caméra, nous avons beaucoup ri. Nous échangeons un regard avec mon complice en se demandant, pendant ce petit laps de repos, ce que le calme allait annoncer comme tempête. Elle semblait scruter le yaourt...
Elle tend le bras langoureusement et nous regardant l'un et l'autre avec un air de coquine vengeresse. Reprenant sa comédie, elle attrapa le pot de yaourt à côté d'elle, l’ouvrant très lentement avec une grâce presque théâtrale. Elle regarde sur le plateau :
- oh, il n'y a pas de cuillère...
Elle l’approche doucement de ses lèvres, ses yeux brièvement levés vers la caméra, comme pour capter l’attention du spectateur à travers l’objectif. Elle incline légèrement le pot et y plonge directement son doigt, enroulant la texture crémeuse du yaourt autour de son index. Le serveur, désormais plus confiant, zoome doucement sur le blanc immaculé , capturant l’instant précis où elle porte son doigt à ses lèvres.
Elle regarda de nouveau la caméra et plongea un doigt dans le yaourt onctueux, et déposa un peu de crème blanche sur ses lèvres avant de la lécher doucement. Elle ferme les yeux un instant, savourant le contact frais du yaourt sur sa bouche, avant de lécher lentement son doigt.
- hmmm, c'est rafraîchissant. mais il me faudrait un doigt plus gros pour le manger.
Un certain silence se fait pendant que madame se délecte avec malice. Une sensualité subtile se dégage de la scène avec la lumière matinale, douce et diffuse, qui baigne la scène d’une aura intime, rendant l’instant encore plus captivant. Le serveur-cameraman se fige une fraction de seconde, il ajuste doucement le cadrage pour mieux saisir son sourire discret, celui qui laisse entendre qu'elle sait parfaitement l'effet qu'elle produit, tout en maintenant ce jeu délicat du "voir sans être vu".
Alors que notre invité se lève pour approcher sa bite dure de madame, je profite de son inattention du moment pour faire discrètement disparaître le plateau au pied de lit et venir plonger ma queue droit devant elle. Notre réalisateur dézoome pour faire rentrer nos gros sexes dans le cadre.
Saisissant la queue de mon acolyte, pour en décalotter le gland et, dans un geste presque distrait, elle tente de verser un peu de yaourt. Le liquide crémeux glisse trop vite et déborde doucement. Une goutte épaisse tombe lentement sur le gros gland rougi d'excitation et glisse sur la pointe.
- Oups... je crois que j’en ai un peu trop mis, chuchote-t-elle avec amusement, ses yeux brièvement levés vers l’objectif, complice de l’instant.
Le serveur, désormais plus attentif, ajuste le cadre pour ne rien manquer du moment. Elle approche lentement la queue de sa bouche. Ses lèvres s’entrouvrent à peine pour faire sortir sa langue sur laquelle elle laisse couler la petite imperfection.
Savourant la douceur avec une grâce délibérée, la caméra se resserre sur ses lèvres, rosées de sa bouche entrouverte tandis qu’elle approche lentement sa queue. À mesure que la cuillère s’approche, le geste se ralentit, le moment suspendu. Ses lèvres viennent effleurer la pellicule de crème glissant doucement dessus avant de s’ouvrir un peu plus pour accueillir le gland.
Chaque détail compte pour madame : la façon dont ses lèvres se referment avec délicatesse autour du gland, laissant une onctueuse trace blanche du yaourt au coin de sa bouche. Elle ferme les yeux, le temps d’un instant, savourant le goût du gland mêlé au yaourt. Je vois dans les réflexes de ses maxillaires qu'elle fait rouler sa langue sur le gland pour le nettoyer de sa blancheur.
Ses lèvres se détachent ensuite lentement du gland, ce gros sexe glisse de sa bouche, laissant derrière lui un éclat brillant. Ses doigts effleurent machinalement sa bouche, essuyant la trace de yaourt restée, qu'elle vient reposer délicatement de son doigt sur le gland tandis qu’un sourire subtil se dessine, complice, pour l’objectif qui capte chaque nuance du moment. Nous vous ai-je pas déjà dit que j'avais une épouse exceptionnelle ?
Les 3 hommes dans cette pièce sont pris d'une excitation palpable. Le cameraman ne peut plus rien cacher de l'excitation que lui procure mon épouse et décale légèrement son plan pour faire apparaître sa queue dans le cadre du jeu.
- Toi aussi tu en voudrais n'est-ce pas ?
Mais au lieu de répondre, il se baisse, tend le bras pour attraper sur le plateau le pot de miel et porte de sa main fébrilement connaissance de sa suggestion à l'actrice principale de cette scène.
- Hmmm, quelle idée intéressante, un mélange sucré, frais et onctueux.
Elle fait échange du pot de yaourt, se saisit du miel et fait remarquer à la caméra qu'il y a une cuillère à miel, elle s'en saisit, la fait remonter au-dessus du pot pour nous faire démonstration des fils d'or qu'elle produit.
Replongeant la cuillère à qui elle fait faire un petit tour pour bien s'agglutiner de miel, elle la ressort du pot, donne un bref coup d'oeil coquin à notre caméraman, avant de sisir sa quueue pour y déposer du miel tout autour du gland. Le geste est sensuel et précis, son gland moins volumineux brille d'une couche d'or translucide.
Elle reprend le yaourt, en remet un peu sur la bite de notre invité, avant d'enfourner le gland, comme une cuillère d'argent, qui en ressortira quelques secondes plus tard lustré et brillant. Sans avaler, la bouche pleine, elle se positionne sous le gland du caméraman, regarde droit l'objectif avant d'ouvrir la bouche pour en montrer le contenu blanc. Mélangé à sa salive, on voit sa langue blanche brasser la crème en attente de recevoir la suite. Elle s'avance lentement, bouche en avant pour faire racler ses lèvres sur le gland maculé de miel.
Un premier aller-retour, elle passe son index sur ses lèvres pour caresser le miel qu'elle fait glisser dans sa bouche. Elle fait un nouveau passage en gardant le gland dans sa bouche et appliqué une succion pour aspirer les restes collant sur le corps caverneux. Elle se retire, prends du recul et d'un geste du doigt montre à la caméra qu'elle malaxe le tout dans sa bouche avant d'engloutir le tout.
- Oh qu'est-ce que c'est bon ! Tu as un peu éjaculé durant la succion toi, je l'ai senti en avalant.
J'ai toujours dit qu'il était difficile pour les non-initiés de résister à mon épouse.
- On recommence ?
Notre caméraman se recule et fais non de la tête. Il lui fait signe avec sa main de se retourner et semble lui proposer de monter sur ma queue pour filmer son cul face caméra.
- Je ne sais pas qu'elle est ton idée, mais tu excites ma curiosité.
Pour la première fois depuis plusieurs jours, me voici en contact peau à peau avec mon épouse. J'ai la sensation d'une première et je peux enfin contempler son visage radieux au-dessus de moi, ses seins qui viennent se frotter par intermittence sur mon torse. Lorsqu'elle s'enfonce sur ma queue, son vagin me brûle le gland. Comme chauffé à blanc de désir, cette sensation est progressivement calmée par le flot de cyprine qui vient impregné ma verge. Après quelques mouvements de coïts, on obtient un mélange doux et chaud. Rien de tel que de pouvoir sentir les muqueuses gorgées de plaisir d'une femme qu'on aime à la folie. Au-dessus de son épaule, je vois le serveur s'approcher, il dépose une main douce sur le haut du dos de madame pour lui commander de se coucher plus encore sur moi pour ouvrir son cul et sa chatte en mouvement. Notre invité nous rejoint et tient sa bite à disposition devant madame.
- Oh oui ! Vas-y donne moi ta queue.
Il passe délicatement son bras droit derrière sa tête, pose sa main derrière son coup l'intime d'avancer sa bouche inexorablement pour engloutir sa bite. Son cul et sa chatte se relèvent, j'adapte ma position en poussant sur mes jambes pour prendre le contrôle des mouvements et la pilonner. La caméraman, invisible à mes yeux, ne rate rien de nos entre-jambes avant que nous le voyons furtivement réapparaître le pot de miel à la main. Instinctivement, j'entreprends de baisser la cadence des pénétrations. Elle apprécie la sensualité, ça la fait sucer de façon plus langoureuse. Madame profite de ce moment pour nous faire part de ses commentaires :
- Tu avais mis du miel sur ta bite, j'ai adoré, elle est encore meilleure à sucer comme ça.
Sentant quelque chose se trame dans son dos, madame tourne brièvement la tête pour essayer de deviner ce qu'il s'y passe. Je passe la tête sur le côté pour comprendre son interrogation et je vois à proximité le pot de miel posé sur le lit et sa main se saisissant de la cuillère de miel. Qu'était-il en train de préparer ?
Elle s'approche de mon oreille et me murmure, haletante :
- Tu vois ce qu'il fait ?
- Je crois qu'il veut tester un nouveau mélange ?
- Miel & Sperme, tu crois ? qu'est-ce que c'est bon...
- Amuse-toi alors...
Elle se redresse et tente un bluff :
- On rajoute du miel ? J'ai un yaourt à finir...
Le réalisation demande l'aide d'un assistant. Notre invité vient à la rescousse pour l'aider dans son entreprise de nappage. Avec la cuillère de miel, il commence à doucement déposer des fils de miel sur les fesses de mon épouse. La fesse gauche puis la fesse droite se strie de fil d'or collant qui sont indéfectiblement attirés vers le bas. Visant que la fin du peau arrive. Le réalisateur se saisit du pot et demande à notre acolyte de lui écarter les fesses.
Surprise, mon épouse relève la tête et lance dans leur direction :
- Qu'est-ce que vous faites tous les 2 ? je vais être toute collante...
Les fesses maintenues fermement, le réalisateur fait un plan serré sur son cul qui se dévoile. Il commence par déposer et faire tourner la cuillère en bois en haut de sa raie des fesses, le miel entame sa traversée du canyon jusqu'à venir napper son petit trou. Vernis d'or, il vide le reste du contenu du pot qui vient l'inonder. Instinctivement, mon épouse cabre son cul pour aider le précieux liquide sucré à se frayer un passage jusqu'à son sexe. Avec la cuillère à miel, il répartit et la tartine de miel. Le cul ouvert, il prend un certain plaisir à faire passer le bout de la cuillère à miel sur son trou.
- Vous m'en avez mis partout, essayez ça doit entrer...
Mon épouse n'est pas une adepté de la sodomie, mais un gode, des doigts ou un plug peuvent avoir ses faveurs lorsqu'elle est très excitée. J'ai donc appris ce jour-là que la cuillère à miel bien imbibé pouvait aussi être envisageable. Une fois avoir fait rentrer à demi la cuillère à miel, le réalisateur prend du recul et en profite pour récupérer le pot de yaourt pour la suite. Sous l'œil de l'objectif, nos entrejambes s'entrechoquent dans les claquements et un mélange de bruit liquide. L'échauffement fait ressortir nos embruns, je sens la sueur qui s'évapore des pores de son corps mêlé au parfum du miel chauffé par le contact de sa peau et de nos sexes.
Je ne mettrais pas beaucoup de temps à jouir tant la jouissance viendra puissamment. Écrasant ma queue tout au fond de son vagin, je laisse exploser mes couilles gonflées de sperme dans ce corps fabuleux qui m'amène chaque jour tant de bonheur et de plaisir. Tout dans ce moment me fait dire combien j'aime cette femme exceptionnelle et le bonheur intense qu'elle me donne chaque jour de m'avoir choisi comme mari.
Revenant des constellations de la jouissance, je retire ma queue trempée de sa chatte. Madame garde la pause, le réalisateur effectue un plan de façon précise, extrêmement méthodique. Placé le pot de yaourt sous son sexe, il recueille le mélange de sperme, de cyprine et le miel venant de ses fesses. Il libère son cul de son accessoire et reprend la cuillère à miel pour tourner ce yaourt onctueux.
Madame peut enfin se retirer, elle roule sur mon côté gauche, maculant les draps de son cul de miel.
- Je peux finir mon yaourt maintenant ?
Respectant les consignes de sa cliente, le serveur reprend possession de la situation. Respectant la volonté de madame, notre invité trempe son gland dans le mélange afin qu'elle puisse le consommer en le portant jusqu'à sa bouche. Allongée, elle nous fait part de son commentaire :
- Hmmm c'est parfait... je crois que c'est mon nouveau petit-déjeuner préféré. on doit pouvoir s'en servir de crème pour le corps, non ?
- Mais bien sûr madame, je vous la verse où ?, demande très poliment le serveur-caméraman.
- Où vous voulez ! mon corps va en raffoler !
Suspendu dans l'air, le serveur fait doucement verser le pot et parcourt lentement le corps de mon épouse. Une première goutte viendra se glisser près du têton droit, puis entre ses seins avant que les impacts suivants viennent se nicher sur son ventre et remplir son nombril. Au fur et à mesure, elle laisse glisser ses doigts dans le yaourt pour l'étaler, le répartir, porter à sa bouche les surplus qui maculent ses doigts. Elle écarte et remonte ses jambes pour libérer son bas-ventre et déployer sa chatte sur lequel viendront terminer le reste du contenu. Sa majesté n'a pas d'égal en pareil moment. Comment ne pas être subjugué par cette femme mariée entourée de 3 hommes qui se caresse le sexe après étale le reste de ses effluves sexuelles sur elle comme une chatte brulante.
- ça c'est qu'on appelle un petit-déjeuner copieux ! Restez encore un peu avec nous cher client de l'hôtel, avant de nous dire au revoir, vous allez pouvoir nous rejoindre dans la salle de bain. Vous allez adorer me mater sous la douche.
La douche n’est pas une simple invitation à partager un moment intime et coquin avec Mlle Fontaine. C’est un rituel. Au début de notre relation, nous vivions à des centaines de kilomètres l’un de l’autre. L’inextricable force qui nous attirait ne pouvait s’exprimer que durant ces brefs week-ends que nous arrachions à nos agendas, ici et là. Je la retrouvais souvent sur un quai de gare. Elle descendait d’une rame comme une icône céleste au milieu de la grisaille.
Nos retrouvailles avaient le goût de l’effervescence. Heureux de nous retrouver, pressés de nous enlacer, nous vivions les premières heures dans l’illusion d’une infinité de moments à partager, comme si, pour un bref instant, le temps était notre allié. Mais le sablier continue de s’égrener. Il nous ramenait toujours, inévitablement, vers cette dernière heure implacable où je devrais la raccompagner, ces dernières minutes où il faudrait que je la quitte, cette dernière seconde où elle ne serait plus à mes côtés. Déjà, elle avait cette habitude — héritée sans doute de relations fragiles ou passagères — de m’inviter à partager un moment sous la douche, comme pour voler encore un instant de plus à la marche inexorable du temps. Résurgence d'une émotion oubliée ? Sa proposition n'a donc rien d'anodine à mes yeux.
Les fesses encore maculées de miel et le corps luisant des restes de ce petit déjeuner, elle nous emmène dans la douche suivie par le serveur. La cabine exiguë nous forçait à rester étroitement serrés. Rapidement, l'eau chaude vient à couler sur nous comme une bénédiction. Au centre, mon épouse est devenue silencieuse, comme introvertie sous l'effet de cette caresse bienveillante. Nous tentons quelques boutades avec mon acolyte pour garder l'atmosphère détendue du petit déjeuner. Il lui manifeste beaucoup d'intérêt, piqué au vif par sa douce folie coquine.
Effleurant chaque contour de son corps avec une douceur presque thérapeutique, cette douche me semblait anormalement sage, comme si l’eau parvenait à laver plus que le miel et le sperme; Dans son mutisme, je sentais une veine tentative de ma muse pour nettoyer des nuances de pensées plus sombres. Installé derrière elle, je m'approche de son oreille gauche, pose doucement mes mains sur sa taille pour lui glisser un simple "Je t'aime", comme la dizaine de fois où j'ai pu me retrouver sous la douche avec elle. Elle tourne la tête, esquisse brièvement un sourire mais replonge aussitôt, comme happée par une douleur sous-jacente qui continuait de sourdre en elle.
D'un échange de regard, nous comprenons avec notre invité que mon épouse traverse un moment de tourment. Dans cette bulle de chaleur, nos corps se rapprochaient, cherchant dans la fusion un répit, une manière désespérée de nous ancrer dans l’instant. Mes mains glissaient sur son dos, celles de notre invité sur sa poitrine. Je sentais chaque fibre de mon être se tendre vers elle, comme si je concentrais toute mon énergie, mon amour, pour qu'elle ne cède pas à la mélancolie. Il remonte ses mains sur son cou, lui redresse la tête. Ma tête posée sur son épaule droite, je vois ses mains remonter sur le visage de mon épouse, ses pouces se diriger sur ses lèvres pour les caresser comme s'il tentait d'appliquer un baume de douceur sur sa détresse.
Je le sens résister à ses yeux bleus perçants, ce regard qui demande un baiser. Il dépose sa tête sur son torse pour la câliner comme s'il voulait croire que ce contact pouvait guérir, effacer son inquiétude. L’eau coulait encore, la lumière tamisée dansait sur nos peaux humides, créant des reflets changeants dans la vapeur. Il n'y avait plus que le son de l’eau qui frappait le sol, résonnant comme une pluie continue, une mélodie triste qui accompagnait le silence tendu entre nos corps serrés. Soudain, j'eu à mon tour cette sensation oubliée, chaque goutte d’eau semblait marquer une seconde perdue, une fraction de temps qui s’échappait, impossible à rattraper, nous rapprochant de notre départ de l'hôtel.
Semblant ressortir de sa nébuleuse, elle redresse la tête et se libère des bras de notre acolyte avec un soupir qui en dit long sur l'instant qu'elle vient de traverser.
- Vous êtes mignons tous les deux, vous n'avez même pas tenté d'abuser de la situation...
- Non, nous prenons soin de notre princesse, c'est différent, lui réponds-je.
Le jet d'eau s'interrompt. L’eau cesse de couler. La pièce revient doucement à la vie. Nous retrouvons le serveur qui nous demanda si, entre les acteurs; tous les backstages après une scène porno se finissaient avec ce degré de communion. Nous lui faisons comprendre qu'aujourd'hui c'est un peu particulier.
Nous nous séchons rapidement, sans trop de mot, comme si le simple contact des serviettes contre nos peaux pouvait effacer ce qui restait de la douceur humide qui nous avait enveloppés quelques instants plus tôt. Chaque geste est rapide, presque mécanique, guidé par une urgence nouvelle, une hâte maladroite. A peine essuyée, madame remet son long manteau et boucle sa ceinture. Stupéfait, le serveur lui demande si elle va vraiment sortir comme ça :
- Je suis arrivée comme ça, je repars comme je suis venue.
A ce moment, la chambre d’hôtel, qui avait un temps été un refuge, n’était plus qu’un décor oppressant qu’il fallait quitter.
Nos gestes brusques trahissant la nervosité qui nous gagnait. Dans la douche, nous avions tous les 3 compris que chaque seconde nous rapprochait de la fin. Nous avions besoin de vivre un dernier instant ailleurs.
Sur le pas de la chambre, le serveur s'engage en premier, les mains chargées du plateau consommé.
- Nous sommes désolés du tracas que nous t'avons créé, mais tu t'es révélé comme un audacieux caméraman. Tu devrais songer à te reconvertir.
- Oui, je suis d'accord, madame, ça m'a beaucoup plu.
- Tu vas être très en retard et avec l'état de la chambre, j'espère que ça n'ira pas trop loin.
- Ce n'est pas grave, je dirai que le plateau est tombé et j'ai tenté de nettoyer avant de revenir.
Nous fermons la porte sur ce lieu de débauche et confions la carte d'entrée au serveur qui la remettra à l'accueil pour nous.
Avec ce dernier service, il nous évite un petit détour et nous permet de nous rendre sans attendre à la voiture. Cette fois, sans hésitation, j'ouvre la porte côté passager et notre invité entre. Le temps qu'il s'installe madame défait le nœud de son imper et retire les boutons un à un. Nous échangeons un bref regard dans lequel je lis sa détermination à vivre intensément les minutes qui suivent. Puis, elle s'engouffre à son tour dans la voiture.
La lumière du jour, claire et sans ambiguïté, inonde l’allée que nous empruntons pour la dernière fois. Les lampadaires ne sont plus qu’un souvenir inutile, leur pâleur battue en retraite par le soleil. Rien ne se cache plus dans les ombres; tout est mis à nus.
La grille, autrefois sentinelle fatiguée, ne protège plus rien. Elle est grande ouverte, béante, prête à recracher les derniers vestiges des convives. Le grincement métallique qui avait accompagné notre entrée dans la nuit silencieuse a disparu. Elle ne fait plus barrage, ne retient plus l’ombre, mais au contraire invite au départ. Elle est là, inerte, passive, presque pressée de nous voir quitter ce lieu devenu trop familier.
En silence, nous passons la grille, la voiture roulant lentement sur les graviers, qui crissent sous les roues comme un écho à ce départ forcé. Cette grille, qui avait été un maigre symbole de protection, n’est plus qu’une ouverture, un rappel que la nuit s’est achevée et que tout doit se terminer.
La voiture avançait maintenant hors du motel, longeant les périphéries de la ville que nous n'avions pas perçues la veille. Ce qui, dans l’obscurité de la nuit, avait semblé être un vide insondable s’était transformé en une zone semi-urbanisée, une sorte de no man's land entre la ville et la campagne, où la vie semblait en suspens.
Jetant un bref coup d'œil à l'arrière, madame a grandement ouvert son imper, laissant frappés ses magnifiques atouts par la lumière du matin. A cet instant, rien ne lui fait peur, même pas les bâtiments qui surgissaient autour de nous. La semaine, ces lieux devaient vibrer d’un certain tumulte, d’allées et venues, de voitures stationnées en rangs serrés, de silhouettes affairées. Mais aujourd'hui entrepôts de métal aux façades neutres, parkings, vitrines de bureaux étaient désertés.
Le silence régnait encore dans l'habitacle, pesant, comme une lente respiration. J'entends soupirer mon épouse. Une mélange d'exaspération, de calme, peut-être une pointe de résignation. Brièvement arrêtée à un feu rouge, elle en profite pour enlever ses talons qu'elle laisse s'affaler derrière le siège passager et s'allonge sur son amant, les jambes relevées, appuyées sur le rebords de la vitre . Je rédémarre la traversée de cette ville fantôme, mon épouse lovée sur la baquette arrière, le sexe à l'air. Elle attrape le bras droit de son amant et pose sa main sur son sexe déjà très ouvert et rougit.
Reprenant la route qui nous mène vers le parking du club, un peu dans le même esprit que la veille, je rompt le silence "Je roule doucement, vous avez le temps d'en profiter". D'un virage à un autre, je donne régulièrement des coups d'œil à l'arrière. Mon épouse semble observer la route, le regard plongé dans un abysse trouble. Notre invité lui caresse le sexe avec une douceur complice comme une chatte qui l'aurait amadouée. Lorsqu'il entreprend de concentrer ses caresses sur son clitoris, elle ouvre les jambes plus grands encore. Son sexe brillant sous cette chaude lumière de fin de matinée est animée de convulsion. Béant, il s'ouvre et se referme comme pour réclamer encore plus de sperme. Mlle Fontaine a toujours été une adepte du sexe en voiture, de jour comme de nuit. Sur l'autoroute, comme dans un parking.
Au fur et mesure des panneaux routiers, et des rond-point, les événements se font plus nets, la respiration de mon épouse s'accélère, son souffle en devient hypnotisant, je reste concentré sur la route, les mains agrippées à mon volant. La respiration se ponctue de gémissements, de plus en plus intenses. A bout de curiosité, je donne regarde dans le retrouviseur mon épouse les jambes repliées sur elles, les mains étirant son sexe, sont amant le caressant en crochetant deux doigts dans la chatte. Je comprends mieux pourquoi je la sentais monter aussi haut dans les voyelles (en particulier A et O).
Lorsqu'il agite ses phalanges sur son clitoris et dans son vagin, elle engage un champ de jouissance avant d'être interrompu dans sa montée par l'arrêt brusque des caresses. Elle en devient chienne, réclamant la fin du supplice et le retour de doigts libérateurs dans son entrejambe. A force de crocheter les parois de son sexe, il arrivera à la offrir une première libération en la faisant gicler sur la banquette arrière. Avec la chaleur, il ne faut pas beaucoup de temps pour que les effluves sécrétés par son corps ne remplissent l'habitacle. Cela me rappelle instantanément le bonheur d'une mise en bouche de sa chatte excitée. J'en viens machinalement à saliver et repense aux nombreuses images de ce clito luisant d'envie de jouir que je dorlotte d'amour si souvent.
L'intensité ne retombera plus durant plusieurs minutes amenant madame à s'exclamer :
- Continue à me caresser, tu vas me faire jouir...
Sa voix contractée, impatiente de jouir est un instant de délectation. Mlle Fontaine n'en peut plus et c'est tout qu'on aime. La faire jouir, semblait séduisant... Mais cela ne semblait pas dans l'idée de notre hôte qui continuera à s'amuser cycliquement. A deux reprises encore, il la fera encore gicler ce qui la rendra encore plus comédienne :
- Oh non mais c'est pas possible, j'en mets partout ! J'adore...
La délivrance ne tardera pas à arriver pour mon épouse. Constatant la rougeur écarlate de son clitoris, il jugea opportun de cesser les assauts dans son vagin, et de définitivement la délivrer de sa tension. Dans les derniers soubresauts de la montée, je l'entends haleter, murmurant insatiablement "vas-y" jusqu'à l'inévitable arrivée d'une jouissance inévitable. Mlle Fontaine éructe, explose de jouissance, fendant l'habitacle d'un orgasme long et puissant, cambrée par l'intensité dévastatrice.
Bouche ouverte, le souffle coupé, elle cambre son dos comme attirée par le 7eme ciel avant de retomber quelques secondes plus tard, la tête roulant sur la jambe de notre invité. La jouissance de mon épouse a cela de particulier qu'elle nous entraîne dans un tourbillon magnétique. J'expire doucement pour ne pas montrer à quel point je suis comblée de l'avoir entendu jouir.
La fin de la route sera beaucoup plus calme. Les membres relachés, elle nous fait remarquer qu'elle n'est plus bonne à rien. Nous allons la croire, du moins, pour l'instant, car, dans quelques secondes nous serons arrivés au point de retour. Il sera temps qu'elle rechausse ses talons pour dire au revoir à notre invité de la nuit.
À peine la voiture arrêtée au bord du trottoir, je fais descendre les passagers de l’arrière. Je tends brièvement la main à notre invité, un geste rapide, presque formel, le remerciant pour ce moment partagé. Il acquiesce d’un signe de tête, ses mots aussi légers que la poignée de main. Je laisse mon épouse le raccompagner jusqu’à sa voiture, garée un peu plus loin, à l'écart sur le parking.
Tandis qu’ils s’éloignent ensemble, il tend la main vers elle, un geste qu’elle accepte de deux doigts, mais en marquant une faible hésitation. Leurs doigts se frôlent avant de s’entrelacer. Il ne reste que quelques mètres à parcourir, une distance dérisoire, mais chargée d’une tension à peine voilée.
Arrivés devant sa voiture, ils s’arrêtent près du coffre. Il se tourne vers elle, l’air détendu, alors qu’elle s’avance avec une certaine nervosité, son imperméable entrouvert, laissant à peine dissimuler ses intentions. Tout dans sa posture trahit son attente, fébrile. La recherche d’un ultime frisson dans ce moment suspendu. Ses lèvres murmurent une demande silencieuse, à laquelle il répond d’un baiser lent, charnu comme s'il essayait de la faire vaciller.
Depuis l’habitacle de la voiture, j’observe la scène, attentif au moindre de ses gestes. Je l'ai vu s’approcher de lui, et à cet instant, quelque chose en elle a semblé changé. Il ne s’agit pas seulement de cette demande d'une ultime étreinte, mais d'une énergie nouvelle qui l’animait. Elle, qui avait joui 10 minutes plus tôt, rayonnait d’une force presque inattendue, simple et brute, saisissant le dernier instant présent, sans autre préoccupation que de le vivre intensément.
Ainsi, elle fait descendre son imper de ses épaules et s'agenouille au milieu du grand parking vide pour défaire son pantalon. Elle en sort son sexe avec une appétance presque animale et le glisse avidement dans sa bouche. Avec l'étreinte que porte sa bouche et sa main droite, il ne pouvait faire différemment qu'être bien dur. Elle se déchaine sur sexe, le suce, le lèche, le branle, enfonce sa tête sur son membre jusqu'à la luette, elle ne lui laisse aucune chance. Elle alterne vitesse, rigueur, douceur, tapote son gros gland sur sa langue en le regardant fixement dans les yeux par intermittence. Une soif de sexe qui l’embrase, et qui me rends profondément heureux. Elle respire cette insouciance que je rêve de lui offrir, cette simplicité où chaque instant est vécu sans contrainte, où chaque plaisir est accueilli sans détour.
C’est tout ce que je désire pour elle. Qu’elle n’ait plus rien à craindre, qu’elle ne pense qu’à ses désirs, qu’à ces moments où elle peut être elle-même, libre, radieuse, où elle séduit sans effort et se laisse séduire par la vie. Je veux qu’elle n’ait plus à se soucier de rien d’autre que de goûter à ces plaisirs charnels, de croquer la vie avec ceux qui, comme nous, savent que l’essentiel réside dans ces instants éphémères, ces moments où tout s’efface sauf l’intensité du présent.
J'aimerais lui offrir son havre d'amour pluriel, un endroit rien qu'à elle où elle pourrait composer la fresque de ses expériences. Que cette complicité lui amène de nouveaux plaisirs chaque jour, qu'elle à baiser sur une chaise longue dans le jardin avec un groupe de son choix, ou qu'elle se fasse lécher la clito au bord de la piscine. Pendant ce temps, je serais là, tantôt dans la cuisine pendant qu'elle dégustera une queue en levrette dans le salon pour un trio entre amis, ou comme aujourd'hui dans la voiture, en train de la voir déguster le sexe d'un amant, nue sur un parking désert.
Mon amour pour elle est si fort que je la veux ainsi, insouciante et vivante, capable de savourer chaque regard, chaque sourire, chaque étreinte comme s’ils étaient les derniers. C’est cette liberté que je veux lui offrir, qu’elle mérite. Et à cet instant précis, en la voyant si épanouie, je sais que c’est ce qu’elle recherche elle aussi, qu’elle mérite de vivre ainsi, sans autre entrave que celle de ses propres envies.
A moitié perdu dans mes pensées, je ne fais plus vraiment attention au final de ce moment. Impatiente de le faire jouir, elle le branle jusqu'à l'éjaculation. Je ne vois pas le jet de sperme qu'il expulse, juste la réaction de madame lorsqu'elle termine son étreinte sur sa queue. Elle regarde sur sa poitrine et passe sa main entre ses seins. L'endroit parfait pour éjaculer sur elle. Elle fera un ultime passage sur son gland pour aspirer les dernières gouttes de sperme et faire rouler le gland sur sa langue, comme un dernier baiser d'adieu à cette queue qu'elle a tant apprécié.
Elle se relève, il commence à remettre les boutons de son pantalon. Pendant qu'il est occupé à reboucler sa ceinture, elle en profite pour lui faire un dernier baiser sur la joue en esquissant un sourire qui semble dire "merci" et s'éloigne. Un peu hébété après avoir joui et fini promptement de remettre ses affaires en ordre, il la regarde s'éloigner avant de disparaître dans son véhicule et de s'en aller du parking en me faisant signe.
Alors qu’elle revient vers la voiture, je ressens une paix qui finit d'éclipser les quelques derniers doutes de mes modèles passés. Ce chemin qu’elle trace de nouveau vers moi, à cet instant, incarne quelque chose de plus profond que toutes les peurs initiales. Elle aussi, semble ressentir la même chose. Je distingue un sourire paisible sur ses lèvres, chaque pas qu’elle fait semble confirmer une vérité : tout s’aligne.
Elle s’installe à mes côtés, sans un mot. Je constate la traînée de sperme qui commence à sécher sur sa poitrine et son sein gauche bien éclaboussé. Je démarre et reprend la route. Le soleil inonde la voiture, baignant son visage et son cou d’une lumière douce. Le silence qui s’installe entre nous n’est pas une absence, mais une plénitude, l'expression de la force tranquille de notre amour. Ce n’est pas un silence pesant, mais celui de deux âmes qui ont compris que tout ce qu’elles cherchaient était déjà là, depuis le début.
Un moment de réflexion, une contemplation intérieure des émotions encore à demi-formées, émergeant doucement. Je la regarde, et je sais que ce qu’elle a vécu avec cet homme n’est qu’un éclat, une nouvelle pièce dans la mosaïque qui compose son plaisir, son amour. Mais, au centre de cette composition complexe, il y a nous. Le centre de gravité autour duquel tout s’organise. Ce ne sont pas de simples aventures qui s’ajoutent à la liste d'un couple libre, mais les éléments d’une image plus vaste, où chaque expérience s’imbrique pour compléter ce que nous sommes, sans jamais ébranler notre fondation.
Elle repose sa tête contre la vitre, baignée par la lumière du matin. Et dans cet instant suspendu, je perçois le relâchement de ses doutes. Ce qui, hier encore, semblait une frontière à ne pas franchir s’est dissipé dans la clarté de l’aube. Le poids des incertitudes se dissout, remplacé par une sérénité nouvelle, un apaisement profond. Ce qui s'est passé ne l'a pas éloignée de moi, bien au contraire, cela nous rapproche dans cette mosaïque que nous construisons ensemble, pas à pas, fragment par fragment.
Je l’observe avec tendresse, réalisant que notre amour n’est pas figé dans une définition stricte ou dans une exclusivité imposée. Il est vivant, vibrant, nourri par cette liberté que je lui offre. Chaque geste qu’elle partage avec d’autres, chaque moment vécu à l’extérieur de notre union, ne fait que renforcer ce noyau, cet espace intime qui est le nôtre. Nous n'avons pas peur de nous perdre, car nous savons que notre amour est plus vaste que cela. Il s’étend, s’adapte, et se nourrit de chaque fragment que nous ajoutons ensemble, rendant notre union plus riche, plus profonde.
– Finalement, tu voudrais le revoir ? lui demanda-je, d’une voix calme, mais curieuse.
Elle prend une longue inspiration avant de répondre, toujours posée, mais cette fois sa voix a pris une teinte légère, presque désinvolte.
– Non, pas forcément, murmure-t-elle, comme si la question n'avait pas de gravité.
Sa réponse est simple, mais je perçois qu’elle n’est pas figée dans une certitude. Elle reflète une compréhension plus large : ce n’est pas lui qui compte, mais ce que cet instant a créé en nous. Ce qu’elle a vécu avec lui était peut-être la première pièce d'une grande fresque que nous continuerons de composer ensemble. Car ce qui importe, ce qui compte réellement, c’est ce qui nous ramène toujours à nous : cette force, cet amour central qui donne un sens à tout ce qui gravite autour.
À cet instant précis, je sais que nous avons franchi une étape. Pas seulement en surmontant nos peurs, mais en les intégrant, en les dépassant pour en faire une nouvelle pierre de cette mosaïque vivante qu'est notre union. Chaque éclat d’expérience, chaque fragment de plaisir partagé ailleurs ne fait que renforcer l’image centrale : la nôtre, indissociable. Notre amour n’est pas menacé par la liberté que je lui offre, il s’en nourrit. Cette liberté est un reflet de notre force, non une échappatoire.
Alors, tandis que nous avançons sur ce chemin que nous traçons à deux, je comprends que cette mosaïque ne cessera de s’étendre. Et même si d’autres fragments viendront se joindre à ceux déjà posés, l’image centrale, celle de notre amour, de notre union indéfectible, restera toujours la même. C’est cet "Amour Mosaïque" que nous créons ensemble, pièce par pièce, avec amour, confiance... et candaulisme.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour à tous !
Merci pour vos commentaires et à tout ceux qui ont lu cette partie, beaucoup plus longue que d'habitude (désolé, pour la boite de mouchoirs).
J'étais très inspirée pour le petit-déjeuner ! le garçon d'étage m'a rendu un grand service. :-D
En voiture, j'apprécie les vitres teintés à l'arrière, très utile.
Et une troisième partie sera publiée très bientôt. ^^
Bisous à tous !
Merci pour vos commentaires et à tout ceux qui ont lu cette partie, beaucoup plus longue que d'habitude (désolé, pour la boite de mouchoirs).
J'étais très inspirée pour le petit-déjeuner ! le garçon d'étage m'a rendu un grand service. :-D
En voiture, j'apprécie les vitres teintés à l'arrière, très utile.
Et une troisième partie sera publiée très bientôt. ^^
Bisous à tous !
Pourquoi je finis toujours la boîte de mouchoirs avant la fin des histoires... Toujours aussi excitante, Mlle Fontaine !
"Garçon d'étage, s'il vous plaît ! J'aurais besoin d'un énooooooorme service !!!"
Bonjour Mlle FONTAINE,
J'aimerais tellement faire une promenade en voiture avec toi !!!
J'aimerais tellement faire une promenade en voiture avec toi !!!