Mlle Fontaine : Rêve de Candaulie
Récit érotique écrit par MlleFontaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Mlle Fontaine : Rêve de Candaulie
Bonjour à tous,
Comme promis, j'ai une nouvelle histoire à vous faire découvrir. Mais avec une petite différence, elle n'a pas été écrite par moi, mais pour moi. Mon mari, dont je vous ai évoqué les penchants candaulistes, m'a fait la surprise de ce texte qu'il a gardé plusieurs mois avant de me l'offrir. Si cette histoire était une déclaration privée, pourquoi ai-je souhaité la publier, pensez-vous ? En savourant cette lecture, j'ai agréablement découvert le point de vue de mon mari sur moi. Dans cette histoire, le style est un peu différend de ce que nous faisons d'habitude. Il me sublime dans de nombreux aspects et, bien qu'un peu réticente à lire son point de vue candauliste, j'ai beaucoup aimé l'atmosphère qui se dégage de l'histoire. Aussi, je vous laisse découvrir cette histoire avec les envies et les besoins de mon mari candauliste.
Lisez-la et savourez-la, comme je l'ai savouré !
PS : Il y aura une deuxième partie, écrite à 4 mains cette fois-ci.
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Depuis que je connais mademoiselle Fontaine, je vis une intense effervescence. Dès notre rencontre, elle m'est apparue comme une muse. Une source d'inspiration coquine sans limite. De nos échanges sulfureux sont nés de nombreuses histoires que nous avons, pour la plupart, décider de partager sur HDS.
Mais depuis qu'elle m'a annoncé qu'elle voulait créer un compte Swame, j'ai découvert de nouvelles formes de stimulations. Quel plaisir intense de l'imaginer en train de faire des photos, d'organiser des séances de vidéos en direct avec des inconnus. J'étais très excité à l'idée qu'elle puisse être draguée sur la messagerie privée, qu'on lui demande de se dénuder, ou en train de se caresser en disant le nom d'un autre homme. Moi, écoutant religieusement derrière la porte de son studio porno, sentant monter son excitation jusqu'à l'entendre se faire gicler et jouir devant les yeux lubrique d'un autre. Finalement, il y avait là-dedans quelque chose de très naturel.
Depuis des années, je partage avec ma muse son goût certain pour les ambiances sexuelles débridées. Comme discuter de pluralités exacerbées, de situations insolites où l'exhibitionnisme et les échanges abondants de fluides sont la norme. Alors, penser qu'elle puisse se lâcher au milieu de centaines ou milliers d'abonnés qui la soutiennent et en profitent pour l'encourager à s'épanouir dans des nouvelles expériences était une vraie fierté. J'ai donc découvert que sentir son épouse désirée peut être particulièrement gratifiant pour un néophyte du candaulisme. Rien ne peut vous donner plus envie de l'aider à concrétiser.
Quand votre épouse se met en scène pour des sites, elle peut aussi développer un goût certain pour la comédie et le déguisement. Pour mon esprit candauliste, c'est autant de nouvelles situations que j'aimerais épier. Mais, je vais vous confier une indiscrétion, j'espère secrètement qu'elle décide de ne pas rester dans son petit studio du vice, en solo avec sa valise de godes, et qu'elle décide d'aller goûter à d'autres scénarios. Mais pour cela, il faut aussi trouver des prétendants à la hauteur de ses ambitions.
Car, pour baiser avec mademoiselle Fontaine, il faut être bien équipé. Son cul, sa chatte et sa bouche sont des amatrices de belles queues. Sa chatte est une vraie spécialiste des bonnes choses. Si 2 ou 3 godes ne l'impressionnent pas, elle est encore plus frénétique assise sur un gros sexe. La pression qu'elle peut exercer sur votre sexe peut vous vider en moins de secondes que vous ne pouvez l'imaginer. Son vagin contraint toute votre queue à une étreinte qui vous contraindra à spermer. Et vous vous doutez que je suis très bien placé pour en témoigner.
Dès lors, vous comprenez que les fantasmes de pluralité de mademoiselle Fontaine sont tout à fait compréhensibles. Il n'y a rien de trop beau pour donner beaucoup de plaisir à ma muse, quitte à s'y mettre à plusieurs pour dépasser toutes ses ambitions. Pour ma part, cela était évident, logique. Son corps et ses orifices méritent qu'on s'occupe bien d'elle. Qu'on les cajole, qu'on les dorlote ou qu'on les baise. Toutefois, c'était un sujet sensible pour elle. Elle s'imaginait que laisser libre court à ses fantasmes de pluralités et d'exhibition écornerait notre intimité et la confiance qui nous unie. Son petit studio porno est une bulle, protégée par un relatif anonymat, qui la tient à distance de la virilité de potentiels prétendants potentiellement malsain. Mais je suis prêt à tout pour la soutenir dans cette entreprise, car lorsqu'il s'agit de cultiver ses fantasmes, je cultive aussi notre amour.
Nous avions donc besoin de trouver des volontaires pour cette nouvelle expérience. C'était le plus difficile et nous étions plutôt déconcerter par le manque de consistance de la plupart des candidats. Certains aimaient arborer leur sexe en gros plan et cherchait à ajouter une conquête à leurs tableaux de chasse plutôt que d'essayer de comprendre la démarche. D'autres étaient de simples fantasmeurs venus là pour abreuver leur imagination de nouvelles sensations sans lendemain, bien à l'abri du regard de leurs épouses. Ils nous semblaient important que les personnes comprennent les expériences candaulistes et soient donc familières aux limites posées.
Finalement, la réponse nous viendra par hasard en découvrant un lieu de loisirs pour adulte. Le propriétaire des lieux connaissait plusieurs volontaires potentiels qui étaient familiers avec ce genre de jeu. Il nous proposa de venir un soir dans son établissement. Il ferait en sorte que nous puissions les croiser.
Lorsque nous avons sonné à l'entrée du Club, nous lancions intérieurement une nouvelle page de notre vie de couple, une version qui pourrait paraître étrange, choquante, inconvenante... mais aussi grisante, excitante et stimulante. Le physionomiste ouvrit la porte, accompagné du propriétaire des lieux. Même si les salutations étaient chaleureuses, madame avait été prévenue. Elle ne pouvait éviter de se plier à un exercice obligatoire, montrer sa tenue afin de pouvoir entrer. Son imper serré à la taille ne laissait rien entrevoir. Avec son sourire de coquine et son regard tentateur, elle lance : "Vous voulez voir la surprise ?"
Elle défait le nœud de son manteau, et ouvre en grand, laissant voir le minimalisme de sa tenue. Pas un vêtement, juste de simple petit triangle noir qui laisse facilement apercevoir ses seins, sa belle chatte épilée, et de magnifiques talons hauts à semelles rouge laissant ses pieds totalement nus, soutenu de très fines lanières noires. Pour être sûr, le propriétaire lui demande d'enlever son manteau et de se tourner. Je vois son œil lubrique scintillé lorsqu'il découvre le cul entièrement dénudé de mon épouse. Avec cette tenue, difficile de ne pas nous faire entrer. Dans le couloir, elle dépose son long manteau au vestiaire. Puis nous nous dirigeons à l'intérieur du Club.
La pénombre devient ici un allié du désir, un complice silencieux qui s’impose à mesure que l’on pénètre dans le club. Elle enveloppe tout, comme un voile subtil qui habille les corps, brouillant les contours et laissant à l’imagination le soin de compléter ce que l’œil ne peut saisir. C’est elle qui orchestre les tentations, qui guide les regards et aiguise les sens.
Dans ce décor, les jeux de lumière caressent sa peau nue, suggérant plus qu’ils ne révèlent. Chaque faisceau est une invitation, une promesse à peine voilée, où les ombres glissent avec élégance sur ses courbes, les effleurant sans jamais les posséder.
Tout ici est accessoire de séduction. Les banquettes, en velours sombre, absorbent les confidences avec discrétion. Les corps s'y rapprochent, les murmures s’y échangent. Ici, l’intimité est soigneusement orchestrée, et la pénombre joue son rôle à la perfection, effaçant les frontières entre les individus, laissant place à un ballet discret de regards et de sourires esquissé. Dans ce théâtre d’ombres, les petites tables tamisées abritent des mains qui se frôlent, des verres qui s’entrechoquent dans un tintement feutré. Les éclats de lumière glissent sur les visages, captant au passage un regard, un sourire, avant de s’évanouir dans l’obscurité environnante.
Tout ici est conçu pour flatter l’éphémère, pour cultiver l’art de la séduction fugace. Sur la piste, j'imaginerais volontiers ma belle épouse finir sa soirée nue dans un déhanché lent et lascif, se laisser caresser par les faisceaux colorés comme des doigts qui effleurent sa peau sans jamais s’attarder. La lumière ne dévoilerait rien entièrement, mais saurait attirer le regard là où il faut. Son décolleté plein de sperme, son sexe déformée par des heures de baises et de jouissances, sa bouche rougit d'avoir sucer.
Dans cet univers feutré, le bar n’est pas qu’un décor, il est le fil conducteur d’un ballet sensuel, où chaque geste semble calculé pour séduire, pour attiser l’envie sans jamais tout offrir. Il invite à une exploration silencieuse, où chacun devient à la fois acteur et spectateur. Les vases remplies de préservatifs ont remplacés depuis longtemps les cendriers.
Alors que nous prenions place au bar après notre petit tour des lieux, le propriétaire du Club vient nous indiquer qu'un de ses contacts est arrivé il y a quelques minutes et qu'il s'est installé en face de là où nous sommes. Nous l'observons discrètement mais nous comprenons qu'à la vue du petit attroupement que l'on voit défiler, il faudra vite se décider...
Hésitante, elle finit pas se rendre de l'autre côté du bar pour faire connaissance. Je restais à côté de mon verre, regardant son superbe cul se rapprocher de cet inconnu. Lorsqu'il compris que cette femme très déshabillée venait vers lui, il se détourna du coin du bar pour l'accueillir, faisant mine de ne p'us s'intéresser à d'autres prétendantes. Ils se font la bise comme de vieux amis mondains la prend par la main pour la faire tourner sur elle-même et semble la féliciter sur sa tenue. Debout, Il l'invite à s'approcher pour se blottir plus au fond en la guidant par la taille, lui propose un verre qu'elle semble acceptée. Une discussion s'engage. Sans doute sur la nature de ses attentes et ce qu'elle cherche.
Les minutes passent et même si je n'entends pas la discussion, je vois dans les gestes et les postures de chacun un début d'alchimie. Il lui fait quelques caresses sur les bras. Il semble vouloir la charmer, testé régulièrement son indice de confiance en faisant glisser sa main le long de son dos. Au fur et à mesure, elle, semble détendue, sans doute charmée par ce premier étalon à qui elle ne cache pas grand chose. Tout en discutant, elle le laisse descendre de plus en plus bas. Me cherchant du regard, elle indique où je suis, je lève mon verre à l'heure attention et me font signe de la tête. Un dernier sourire et elle le quitte brièvement pour revenir près de moi.
- Tout s'est bien passé on dirait ?
- ma tenue lui a fait de l'effet
- Tu es parfaite, surtout dans cette tenue... Et tu lui expliqué ce que tu cherchais ?
- il a voulu savoir si je voulais faire ça ici ou sur le parking...
- et tu lui as dit quoi ?
- qu'on avait une chambre d'hôtel pour tout filmer.
- il en a pensé quoi ?
- qu'il était d'accord si on le ramène à sa voiture ici demain matin.
- et toi, tu es d'accord ?
- oui, il est mignon, clean et très sympa, je veux bien essayer avec lui... Juste, il m'a demandé quelque chose de bizarre...
- C'est à dire ?
- il m'a dit que si j'acceptais, je devais retourner vers lui et que je m'agrippe à son cou pour l'embrasser devant tout le monde.
- il pense à son image de marque...
- Tu es d'accord ?
- oui, si ça te va ! Je vais chercher ton manteau au vestiaire.
- d'accord chéri, je vais lui rouler une pelle et je te retrouve dans le couloir.
Je regarde donc mon épouse repartir sur ces talons regagner l'autre bout du bar pour rouler une pelle très chaude à cet inconnu. Dommage que l'idée n'ait pas été qu'elle finisse jambe écartée sur le bar en train de se faire lécher la chatte, le propriétaire aurait adoré.
Je récupère sa veste au vestiaire et m'installe près de la porte en attendant. Je le fais un peu exprès, histoire qu'elle parcourt le couloir dans sa tenue. Ils arrivent finalement ensemble, me présente brièvement à notre invité. Nous nous faisons une poignée de main rapide pendant que madame enfile son manteau avant de retourner à l'extérieur. Nous saluons le staff et sortons sur le parking.
Notre invité traîne un peu à la sortie du Club, j'en profite pour glisser quelques questions à madame.
- Sympa cette pelle ?
- j'ai un peu surjoué la scène mais j'ai eu le droit de toucher sa bite en échange.
- Tu ne perds pas le sens de tes priorités.
- oui, et je crois qu'elle est grosse.
- Tu montes à l'arrière avec lui ?
- Tu crois que c'est une bonne idée ?
- oui, et de toute façon tu ne vas pas lui faire la conversation depuis le siège passager.
- ah non, c'est vrai... Mais je garde ma culotte.
- fais comme tu le sens, je ne peux pas te dire mieux.
Notre conversation s'interrompt avec l'arrivée de notre convive que j'invite à prendre place à l'arrière.
Elle se glisse à son tour dans la voiture, je claque la porte et prends place à mon tour sur le siège conducteur. Je démarre et me dirige vers la sortie du parking. Tout le monde dans l'habitacle est incroyablement silencieux, concentré sur cet engagement vers l'extérieur, comme une procession vers l'avenir. Je m'engage sur la route dans ce silence imperturbable.
Les lumières du parking s'enfoncent au loin et la pénombre prend place. Je ressens comme une tension dans tout mon être, comme l'impression grisante que quelque chose d'exceptionnel et hors du commun va avoir lieu. Ce mélange sucré-salé qui vous fait déglutir nerveusement en attendant de voir les promesses de cette soirée prendre pieds dans la réalité.Je donne discrètement un coup d’œil à l'arrière pour voir ce qui se passe. Je ne pipe mot, je laisse infuser le mélange d'émotions de chacun. Madame est un peu tremblotante, assise sur son côté de la banquette arrière, peut-être sa tenue trop légère, même pour une nuit d'été, ou un tantinet de trac.
Pour briser la glace, je fends le silence d'une petite suggestion "Vous pouvez dégrafer vos ceintures si vous voulez, on ne sera pas embêter...". Ma proposition fait mouche, notre nouvel invité lui propose alors de se poser contre son épaule pour l'aider à se réchauffer. Elle se laisse convaincre et s'approche timidement de lui. Il entoure son bras autour de ses épaules pour la serrer un peu contre lui. Elle le remercie pour sa proposition d'un peu de chaleur humaine. Je donne un bref coup d'œil et je vois sa main affectueusement posée sur la jambe gauche de notre convive.
En regardant la route, je dis "Je roule pas trop vite, la route est un peu sinueuse ...prenez votre temps...". Je redonne un coup d'œil à l'arrière et je les vois se sourire, je constate que sa main est remontée un peu plus haut, je devine assez facilement qu'elle est en train de défaire le zip de son pantalon. Elle glisse doucement la main pour fouiller à l'intérieur. Son éclat de rire est comme une bénédiction, elle a dû trouver quelque chose de drôlement intéressant, le froid ne l'aura pas transie trop longtemps. J'entends des bruissements de déplacements à l'arrière de l'habitacle et je comprends aisément qu'on est en train de se mettre un peu plus à l'aise.
J'essaie de me concentrer sur la route, jusqu'à ce que j'entende s'exprimer des notes gutturales. Enfin, elle est en possession de tous ses moyens. Moins alerté que véritablement soulagé par la tournure de la soirée, je donne un coup d'œil à l'arrière et trouve madame en train de se délecter du gland de son voisin. Elle semble avoir rapidement pris les choses en main. Pantalon ouvert et baissé sur les genoux, elle a pris soin de dégager la vue afin que je ne manque rien du spectacle dans le retro.
Lui, se tient sagement à sa disposition, et semble apprécier. Bite en main, elle se redresse vers lui, pour lui glisser un petit "ça te va ?", il hoche de la tête et accompagne son geste de ses mains qui ouvre son manteau pour le faire glisser de ses épaules. Madame se laisse faire et se retrouve les tétons pointés face à lui, adossée à la fenêtre. "Chéri, ne roule pas trop vite..."
Il dérobe les seins de mon épouse de leur minuscule triangle de mousseline noire et vient y poser délicatement les lèvres. C'est vrai qu'il ne faut pas que je roule trop vite, rien que pour ma propre sécurité. Avoir une érection et assister à des événements palpitants méritent toute mon attention.
J'entends madame apprécier. Le passage de sa langue doit sans doute la détendre, peut-être la rassurer, lui donner confiance en cet homme qui ne cherche à lui donner que du plaisir sans aucune promesse de lendemain. Elle profite de l'instant, passe sa main dans ses cheveux, relâche sa tête en arrière. Au fur et à mesure qu'il calme ses tensions, elle écarte les jambes du consentement. Ce moment semble lui convenir et elle est prête à en accepter d'autres vices.
Il descend sa bouche sur son ventre et commence à aventurer la main sur sa culotte. Il pose ses phalanges sur son clitoris qu'il tourne et presse comme un fruit défendu dont il attend le nectar. Mouiller est une seconde nature pour mademoiselle fontaine, alors nul doute qu'il va y trouver son compte et avoir les doigts trempés.
Je l'entends lui soufflé des mots, incompréhensible de ma position dans l'habitacle, accompagné son geste sur son sexe. Nous n'avons fait qu'un tiers de la route que je l'entends progressivement exprimer une excitation plus prononcée. Puis, d'un coup, plus rien. Je regarde dans le rétro et je vois qu'on s'agite à l'arrière. Non, madame n'a pas enlever sa culotte pour chevaucher la bite de notre invité comme une déesse affamée de sexe. Mais elle enlève son soutien-gorge et s'allonge complètement, jambes relevées, la tête sur son bas ventre pour le sucer tout en se faisant doigter la chatte.
Ce petit manège de va-et-vient durera toute la suite du voyage. Ils ont été tous les 2 exemplaires et ont su tirer parfaitement profit de la situation, jusqu'à ce que nous arrivions enfin à destination.
Dans l’obscurité de la nuit, le portail à deux vantaux, en fer forgé, se dresse comme une sentinelle fatiguée à l’entrée du motel. Son aspect défraîchi, marqué par les années et les intempéries, porte les stigmates du temps passé.
Lorsque ce fugace gardien des traces d'un autre âge s'ouvre enfin, dans un grincement paresseux, il dévoile le silence de l’endroit. Avec la voiture, j'emprunte le passage, une allée faiblement éclairée, où les rares lampadaires diffusent une lumière soumise à l'obscurité. Blafarde, elle peine à repousser les ombres de la nuit, mais suffisante pour que tout le monde puisse un peu se rhabiller.
Sortie de la voiture, madame part devant et en parfait gentlemans lubriques qui aiment reluquer son derrière, nous suivons à faible distance. Cette allée me semble interminable, sans doute agacée par le crépitement de nos pas maladroitement discret. Nous sommes pourtant si près de ce bâtiment. Il m'apparaît comme une silhouette informe, se fondant dans l’obscurité environnante. Les couleurs se sont totalement dissolues dans l'obscurité, ne laissant dérrière elle qu'un mélange de noir et de gris. Il n'y a plus que l'alignement austère des façades, aux contours effacés, qui trahit la présence du motel. Ce décor impersonnel, aux angles rigides, semble parfaitement à sa place dans cette nuit, comme s'il connaissait déjà la fin de l'histoire, comme s’il cherchait à entretenir l’anonymat de ce qu’il abrite derrière ses murs. Et dans les moindres détails. Même l'escalier extérieur et ses balustrades de bois sombre, en se mêlant à l'obscurité, semble vouloir effacer toute trace de vie ou de mouvement.
Avant de nous engager dans l'allée extérieure de l'étage, madame marque un temps d'arrêt comme pour sonder cette dernière ligne droite. Elle tourne la tête comme pour vérifier notre présence derrière elle. Dans un mouvement qui fleure le fétichisme, elle tend sa main pour saisir ses talons, l'un après l'autre. Rassemblée au bout de 2 phalanges de sa main droite, elle nous les tend par-dessus son épaule. Je m'en saisis mécaniquement. Débarrassée de ses talons, ses mains descendent de nouveau le long de son corps pour déboutonner ce manteau et font une halte sur sa taille pour crocheter sa culotte qu'elle fait descendre. Rassemblée dans sa main gauche, elle rejoue la même scène par-dessus son épaule gauche. Notre invité comprend qu'elle lui est destinée et s'en saisit volontiers. Elle ouvre un peu plus son imper pour faire ressortir ses épaules... je constate d'ailleurs qu'elle est sortie de la voiture sans soutien-gorge. La voici prête à arpenter quasiment nue les derniers mètres qui nous séparent de la chambre. "Maintenant, nous pouvons y aller." chuchote-t-elle.
Je la comprends, elle venait de passer presque 3/4 d'heure à sucer une grosse queue à l'arrière de la voiture et de se faire doigter, elle devait être trempée. Il était donc important que nous tentions d'être discrets. Les fenêtres sont closes, leurs volets métalliques baissés, bloquant toute vue sur l'intérieur. Les rares lumières filtrant à travers les interstices ne font qu’intensifier l’impression de secret, d’un lieu où le passage des visiteurs laisse à peine une empreinte. Ici, la nuit enveloppe tout d’une neutralité glaciale, où le moindre bruit paraît amplifié dans le silence immobile. Rien ne distingue ce bâtiment d’un autre, pas plus qu’il ne laisse deviner ce qu’il se passe derrière ses murs.
Dans l'instant, ce motel m'apparaît comme un endroit parfait tant il semble disparaître dans l'anonymat de la nuit. Presque comme s’il cherchait à dissimuler non seulement sa propre existence, mais aussi les vices de ceux qui y séjournent, éphémères voyageurs sans visage, engloutis dans l’ombre. Ce n'était pas tout à fait dans l'idée de madame qui ne manque pas une occasion de se faire remarquer. Arrivée devant la porte d'entrée de la chambre, elle dégaine la carte d'entrée et fait bruyamment retrousser le loquet de la porte pour le ponctuer d'un joyeux : "C'est ouvert !". A cet instant, je n'ai pu chasser l'idée que tout était vraiment ouvert. Il rentre, elle le suit, je ferme la marche et la porte de notre huis-clos.
Le petit couloir d'entrée de la chambre s’ouvre sur un espace d’une neutralité implacable. Les murs, d’un blanc cassé sans âme, n'offrent aucun signe distinctif, aucune trace de vie passée. La décoration est réduite à sa plus simple expression, les lignes épurées du mobilier ne révélant rien d’autre qu’un confort fonctionnel. Le lit, tiré à la perfection, présente des draps d'une blancheur clinique. Sous l’éclairage artificiel, la pièce semble figée, incapable de témoigner d'une quelconque chaleur humaine.
Dans l'air flotte une odeur stérile, une légère émanation chimique, un mélange aseptisé. Cette odeur impersonnelle, ni agréable ni désagréable, se mêle à celle des draps fraîchement lavés et aux phéromones des nouveaux occupants. Il pourrait s'en dégager une impression de vide si nous n'étions trois en train de nous préparer à vivre un moment très spécial dans ce lieu de passage où les sensations s’effacent avant même d’avoir pu naître. A la requête de madame, notre invité nocturne se rend dans la salle de bain pour se déshabiller. J'en fait de même dans la chambre alors qu'elle n'a plus rien à effeuiller.
J'enfile une chemise, me muni de la caméra et occupe le temps par quelques réglages. A travers l'objectif, je me rends compte que tout ici respire l’indifférence, l’anonymat, l'absence de tout lien avec la vie réelle. La chambre pourrait être n'importe où, n'importe quand ; elle n'a pas d'identité, pas de mémoire. Le lieu ne retient rien de ceux qui y dorment, et les visiteurs ne repartent avec rien d’autre qu’un souvenir flou. Sauf ce soir, où la suite de cet instant sera sans doute livrée aux plaisirs numériques de centaines de voyeurs.
Lorsqu'il sort de la salle de bain entièrement nu, j'enclenche la prise de vue. Madame est allongée sur le lit et observe ce mâle s'avancer vers elle. On lit dans ses yeux une légère nervosité autant que d'appétence, sans doute pour la consistance de sa queue. Tout cela prenait l'allure d'une saillie. La proéminence de son sexe s'alliant parfaitement à la cause. Ils vient se positionner devant madame, le sexe en main, prêt à fondre sur son entrejambe.
Allongée sur le lit, jambes écartées, son silence est lourd, sa respiration crispée. Mais sa chatte luisante trahit tout de l'ambiguïté de la situation. Offerte à un quasi-inconnu dans une situation aux accents virginaux, la tentation aurait-elle cédé la place à l'appréhension ?
Son expérience des femmes offertes lui fait trahir un rictus. Tout se passe à merveille, elle est gonflée, rouge d'impatience, il l'a suppose sans doute ouverte à tout.
En devinant son corps nu en train de s'approcher d'elle, ses phalanges se contractent. Les draps bruissent sous la contraction de ses doigts. Son vernis à ongles rouge, si provocateur à l'accoutumé, ne s'attendait pas à traduire une pointe d'anxiété. Il n'y aura pas de préliminaires, tout a été déjà dit. Il n'y a pas besoin de se connaître davantage, juste de ressentir.
Il s'avance doucement, frôle ses jambes écartées jusqu'à un premier contact inévitable qui la fait instinctivement tressaillir. Il se tient au-dessus d'elle, arborant fièrement son sexe élancé. Le contact de ses jambes avec ces flancs inconnus la font frissonner et lâcher un gémissement étouffé. Elle n'en peux plus d'attendre, redresse sa tête de curiosité pour espérer entre-apercevoir l'objet de son impatience. Elle le scrute. Je vois ses yeux s'illuminer d'intérêt pour ce sexe masculin auquel elle montre l'entrée sans aucune pudeur depuis un instant déjà. Elle doit encore avoir envie de le mettre dans sa bouche, elle aime tellement les gourmandises.
Les conditions pour filmer la scène ont été parfaitement choisies. De là où je me tiens, j'observe la scène avec splendeur. Suffisamment près pour ne rien manquer de la scène qui se joue devant mes yeux, suffisamment loin pour ne pas interférer avec l'intimité qui pourrait se dégager.
Sans transition, il approche désormais sa queue de l'entrée de son vagin. Sa respiration change en sentant son gland se frayer habillement un chemin entre ses grandes lèvres. De grandes aspirations se succèdent au rythme saccadé de cette belle verge qui s'enfonce petit à petit dans son intimité. Avec la circonférence et la longueur de cette queue, rien n'indique qu'elle ne va pas prendre un pieds d'enfer dans les minutes qui suivent. A mi-parcours, il s'arrête comme pour mieux scruter ses réactions. Elle laisse retomber sa respiration. Il secoue légèrement sa verge d'avant en arrière comme pour lui annoncer la suite du programme. En réponse à cette invitation, sa gorge vient exprimer ses pensées en laissant s'échapper un son guttural emplie de plaisir. Madame a faim de coup de bites, mais elle n'imagine pas qu'elle n'est pas au bout de son ouverture. Heureusement, je suis là pour immortaliser l'intégralité de la situation. Sentant la verge s'enfoncer plus en avant dans ses entrailles, elle ne peut réprimer un "ohh" trahissant sa stupéfaction de la façon dont s'immisce encore plus profondément cette queue.
Le cadre de la caméra fait abstraction du reste de l'environnement, on y distingue cette masse, forcer sans résistance l'entrée d'un domaine dont je suis le gardien. En y concédant l'entrée, je laisse madame offerte à s'ouvrir à ses fantaisies. Elle sait d'ailleurs en abuser. Alors que ses bourses sont tout près de coller sa vulve, elle l' incombe à pousser en avant sur ses jambes pour engloutir l'intégralité de sa queue. Stoïque derrière mon objectif, je constate avec délectation que le choix de cet étalon était parfait pour madame. Je vois les veines gorgées de sang se gonfler, son corps caverneux se contracter et se relâcher comme pour préparer les assauts d'un bélier prêt à pousser intensément sur la porte de son utérus. Rien ne viendra amortir le choc de son gland découvert jusqu'à ce qu'elle ne cède et qu'il ne réussisse à immerger les lieux de son épaisse semence blanche.
Fermement agrippé à ses jambes, c'est ainsi qu'il entreprend de faire glisser sa verge dans son corps. Les passages cycliquement répétés de cette machine infernale produisent son effet sur ses muqueuses vaginales. Elles s'échauffent et s'affolent à chaque passage longitudinal. Les respirations s'accélèrent, on halète d'un côté, on tente de garder le rythme de l'autre. La minette ne montre aucune résistance et se laisse visiter avec allégresse par ce sexe fort qui la presse dans ses sécrétions. Chaque aller-retour en devient plus humide. Submergée de satisfaction d'être prise, elle laisse dégouliner sa joie sans retenue. Les mouvements et les respirations se font sens, une synchronisation s'opère alors dans la magie des fluides. Le son flasque du coït se fait plus clair, la mouille grouille d'allégresse. Désormais tout se passe de concerts, chaque partie du corps de chacun joue la même partition. La bite ne cesse de rentrer et sortir d'un vagin béant d'extase, les jambes claquent et se repoussent pour accompagner les pénétrations, la sueur grimpe aux fronts, les regards s'entremêlent, la tentation se lit sur les visages. Madame en veut encore, elle est désormais prête à tout pour faire exploser son étalon. Sa queue est désormais à sa merci, l'instrument de ses fantasmes les plus pervers. Qu'est ce qu'elle aime ça.
Un tantinet simulatrice, ma provocatrice ira bien jusqu'au bout de ses offices. Enivré par les bruits gutturaux de ma belle, il ne peut résister à l'appel du sperme. Martelant doucement sa queue au fond de sa chatte, elle le saisit par les hanches pour le coller contre son sexe. Ses doigts surmontés de ce vernis rouge montrent là leur visage charnel. C'est elle qui le possède pour son plaisir, ne lui laissant pas d'autre choix que de se vider. La tension dans son sexe encore tendu est palpable à l'œil nue. Il expulse le premier jet dans une expiration qui en dit long sur son plaisir d'achever sa mission. Puis une seconde, et une troisième moins intense. La substance blanche vient alors jusqu'à apparaître aux commissures de sa chatte encore obstruée. Voilà, mon épouse a été baisée par un autre homme, quel spectacle !
Je suis empli de fierté, je cache l'effervescence intérieur qui me parcours devant la conclusion de cette scène. Mon cœur chavire d'un amour transcendant, infini pour cette femme fabuleuse.
Après avoir inondé madame de son sperme, il reste quelques secondes à l'intérieur, le temps que madame retire l'étreinte de ses griffes sur le bas de son dos. Il se retire pour laisser le champ libre à l'objectif indiscret de la caméra. Il a tout à fait rempli son rôle et n'attache guère d'importance à la suite des événements. S'essuyant le gland des restes de la baise, il se dirige vers la petite salle de bain pour prendre une douche, nous laissant ainsi communier avec la quintessence de ce moment.
Je vois les yeux de madame intensément briller. Je ne lui dis rien, mais je suis aux anges. Ravi du soin qu'il a pris de mon épouse, ravi de la voir aussi épanouie. Elle était réticente à toute expérience candauliste. Elle avait peur de ma réaction, pensant que je me sentirais trompé. J'en suis à mille lieux. Dès lors, y aurait-elle trouvé un nouveau jeu où le sexe s'envisage sans autre promesse que le plaisir.
Sa chatte ouverte, rougie des frottements intenses de sa verge ne cesse de se vider de leurs jouissances. Après cette première expérience, j'aime encore plus me dire que sa chatte pourrait se déformer sous l'assaut de grosses queues. J'imagine avec délectation la sensation grisante de revisiter son vagin et lécher son clitoris après les assauts des autres.
Elle a encore du mal à reprendre sa respiration. Mais, pendant que la caméra balaie son entrejambe, elle ne peut s'empêcher de glisser une main coquine pour deviner du bout des doigts l'état dans laquelle il la laissée.
J'aime bien la voir remplie de sperme. C'est un spectacle exceptionnel sur lequel nous nous attardons à chaque fois. Son clitoris est gonflé et saillant. Il baigne dans un mélange de sperme, de cyprine et de sueur. Nul doute que l'expérience lui a plu mais qu'il faut désormais le soulager de toute cette excitation. Elle commence alors à le caresser délicatement.
Je me recule pour un plan plus large. Depuis l'œil de la caméra, je vois madame en train de s'adonner à un plaisir solitaire. Je ne manque rien de ce moment. Ses doigts qui s'agitent frénétiquement sur le haut de son sexe, sa respiration qui s'accélère, ses seins qui s'agitent sous la résonance de son bras qui s'activent mécaniquement. Elle passe chaque palier de la transe. Chaque seconde se charge de la tension de son sexe pour la faire finir par un orgasme explosif. Je pensais la voir heureuse, je la trouve fabuleuse. La prise de vue se termine sans bruit sur sa chatte gonflée et endolorie.
Nous n'avons pas eu de contact physique depuis l'arrivée de notre convive, je dépose le matériel sur la table de l'autre côté du lit puis viens m'installer près d'elle. J'observe son corps se relâcher, traversé de légers spasmes, ses yeux fermés par la fatigue de l'extase, sa bouche légèrement entrouverte. Voici comment j'aime mon épouse. Abreuvée de sexe, inondée de plaisir, dégoulinante de sueur et de sperme. Je ne me risque pas à briser la solennité de l'instant, au contraire je le savoure.
Mais avant le retour du pilonneur de mon épouse, j'en profite pour lui dire dans l'oreille "Est-ce que tu as un goût de bite ?". Sans ouvrir les yeux ni même bouger la tête, elle me répond :
- Tu peux même pas imaginer.
- Tu l'as très bien sucé. Je suis très fière de toi.
- Oui, j'ai bien aimé sa queue, mais tu sais, ça m'a fait bizarre de sentir une nouvelle queue dans mon vagin, c'était pas pareil, c'était aussi effrayant qu'excitant...
- ça va te donner envie d'en tester plein d'autres...
- peut-être, je sais pas.
Notre invité sort de la salle de bain. Un rictus de satisfaction sur l'état de madame. Nous sommes nus tous les 3. Il est temps de se reposer. Madame l'invite à s'approcher pour s'allonger à côté d'elle. On sera un peu serré à trois sur ce matelas. Je me glisse plus à droite de madame pour qu'elle puisse profiter d'un peu d'espace. Elle qui se retrouve pour la première fois entourée de deux queues pour la nuit. Nous remontons le drap. Elle roule sur le ventre, j'éteins la lumière. Au milieu des faibles lueurs de l'extérieur, on entend alors une petite voix qui s'endort...
"oh on a oublié de fermer les volets, c'est pas grave, demain matin je vous sucerai tous les deux..."
Comme promis, j'ai une nouvelle histoire à vous faire découvrir. Mais avec une petite différence, elle n'a pas été écrite par moi, mais pour moi. Mon mari, dont je vous ai évoqué les penchants candaulistes, m'a fait la surprise de ce texte qu'il a gardé plusieurs mois avant de me l'offrir. Si cette histoire était une déclaration privée, pourquoi ai-je souhaité la publier, pensez-vous ? En savourant cette lecture, j'ai agréablement découvert le point de vue de mon mari sur moi. Dans cette histoire, le style est un peu différend de ce que nous faisons d'habitude. Il me sublime dans de nombreux aspects et, bien qu'un peu réticente à lire son point de vue candauliste, j'ai beaucoup aimé l'atmosphère qui se dégage de l'histoire. Aussi, je vous laisse découvrir cette histoire avec les envies et les besoins de mon mari candauliste.
Lisez-la et savourez-la, comme je l'ai savouré !
PS : Il y aura une deuxième partie, écrite à 4 mains cette fois-ci.
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Depuis que je connais mademoiselle Fontaine, je vis une intense effervescence. Dès notre rencontre, elle m'est apparue comme une muse. Une source d'inspiration coquine sans limite. De nos échanges sulfureux sont nés de nombreuses histoires que nous avons, pour la plupart, décider de partager sur HDS.
Mais depuis qu'elle m'a annoncé qu'elle voulait créer un compte Swame, j'ai découvert de nouvelles formes de stimulations. Quel plaisir intense de l'imaginer en train de faire des photos, d'organiser des séances de vidéos en direct avec des inconnus. J'étais très excité à l'idée qu'elle puisse être draguée sur la messagerie privée, qu'on lui demande de se dénuder, ou en train de se caresser en disant le nom d'un autre homme. Moi, écoutant religieusement derrière la porte de son studio porno, sentant monter son excitation jusqu'à l'entendre se faire gicler et jouir devant les yeux lubrique d'un autre. Finalement, il y avait là-dedans quelque chose de très naturel.
Depuis des années, je partage avec ma muse son goût certain pour les ambiances sexuelles débridées. Comme discuter de pluralités exacerbées, de situations insolites où l'exhibitionnisme et les échanges abondants de fluides sont la norme. Alors, penser qu'elle puisse se lâcher au milieu de centaines ou milliers d'abonnés qui la soutiennent et en profitent pour l'encourager à s'épanouir dans des nouvelles expériences était une vraie fierté. J'ai donc découvert que sentir son épouse désirée peut être particulièrement gratifiant pour un néophyte du candaulisme. Rien ne peut vous donner plus envie de l'aider à concrétiser.
Quand votre épouse se met en scène pour des sites, elle peut aussi développer un goût certain pour la comédie et le déguisement. Pour mon esprit candauliste, c'est autant de nouvelles situations que j'aimerais épier. Mais, je vais vous confier une indiscrétion, j'espère secrètement qu'elle décide de ne pas rester dans son petit studio du vice, en solo avec sa valise de godes, et qu'elle décide d'aller goûter à d'autres scénarios. Mais pour cela, il faut aussi trouver des prétendants à la hauteur de ses ambitions.
Car, pour baiser avec mademoiselle Fontaine, il faut être bien équipé. Son cul, sa chatte et sa bouche sont des amatrices de belles queues. Sa chatte est une vraie spécialiste des bonnes choses. Si 2 ou 3 godes ne l'impressionnent pas, elle est encore plus frénétique assise sur un gros sexe. La pression qu'elle peut exercer sur votre sexe peut vous vider en moins de secondes que vous ne pouvez l'imaginer. Son vagin contraint toute votre queue à une étreinte qui vous contraindra à spermer. Et vous vous doutez que je suis très bien placé pour en témoigner.
Dès lors, vous comprenez que les fantasmes de pluralité de mademoiselle Fontaine sont tout à fait compréhensibles. Il n'y a rien de trop beau pour donner beaucoup de plaisir à ma muse, quitte à s'y mettre à plusieurs pour dépasser toutes ses ambitions. Pour ma part, cela était évident, logique. Son corps et ses orifices méritent qu'on s'occupe bien d'elle. Qu'on les cajole, qu'on les dorlote ou qu'on les baise. Toutefois, c'était un sujet sensible pour elle. Elle s'imaginait que laisser libre court à ses fantasmes de pluralités et d'exhibition écornerait notre intimité et la confiance qui nous unie. Son petit studio porno est une bulle, protégée par un relatif anonymat, qui la tient à distance de la virilité de potentiels prétendants potentiellement malsain. Mais je suis prêt à tout pour la soutenir dans cette entreprise, car lorsqu'il s'agit de cultiver ses fantasmes, je cultive aussi notre amour.
Nous avions donc besoin de trouver des volontaires pour cette nouvelle expérience. C'était le plus difficile et nous étions plutôt déconcerter par le manque de consistance de la plupart des candidats. Certains aimaient arborer leur sexe en gros plan et cherchait à ajouter une conquête à leurs tableaux de chasse plutôt que d'essayer de comprendre la démarche. D'autres étaient de simples fantasmeurs venus là pour abreuver leur imagination de nouvelles sensations sans lendemain, bien à l'abri du regard de leurs épouses. Ils nous semblaient important que les personnes comprennent les expériences candaulistes et soient donc familières aux limites posées.
Finalement, la réponse nous viendra par hasard en découvrant un lieu de loisirs pour adulte. Le propriétaire des lieux connaissait plusieurs volontaires potentiels qui étaient familiers avec ce genre de jeu. Il nous proposa de venir un soir dans son établissement. Il ferait en sorte que nous puissions les croiser.
Lorsque nous avons sonné à l'entrée du Club, nous lancions intérieurement une nouvelle page de notre vie de couple, une version qui pourrait paraître étrange, choquante, inconvenante... mais aussi grisante, excitante et stimulante. Le physionomiste ouvrit la porte, accompagné du propriétaire des lieux. Même si les salutations étaient chaleureuses, madame avait été prévenue. Elle ne pouvait éviter de se plier à un exercice obligatoire, montrer sa tenue afin de pouvoir entrer. Son imper serré à la taille ne laissait rien entrevoir. Avec son sourire de coquine et son regard tentateur, elle lance : "Vous voulez voir la surprise ?"
Elle défait le nœud de son manteau, et ouvre en grand, laissant voir le minimalisme de sa tenue. Pas un vêtement, juste de simple petit triangle noir qui laisse facilement apercevoir ses seins, sa belle chatte épilée, et de magnifiques talons hauts à semelles rouge laissant ses pieds totalement nus, soutenu de très fines lanières noires. Pour être sûr, le propriétaire lui demande d'enlever son manteau et de se tourner. Je vois son œil lubrique scintillé lorsqu'il découvre le cul entièrement dénudé de mon épouse. Avec cette tenue, difficile de ne pas nous faire entrer. Dans le couloir, elle dépose son long manteau au vestiaire. Puis nous nous dirigeons à l'intérieur du Club.
La pénombre devient ici un allié du désir, un complice silencieux qui s’impose à mesure que l’on pénètre dans le club. Elle enveloppe tout, comme un voile subtil qui habille les corps, brouillant les contours et laissant à l’imagination le soin de compléter ce que l’œil ne peut saisir. C’est elle qui orchestre les tentations, qui guide les regards et aiguise les sens.
Dans ce décor, les jeux de lumière caressent sa peau nue, suggérant plus qu’ils ne révèlent. Chaque faisceau est une invitation, une promesse à peine voilée, où les ombres glissent avec élégance sur ses courbes, les effleurant sans jamais les posséder.
Tout ici est accessoire de séduction. Les banquettes, en velours sombre, absorbent les confidences avec discrétion. Les corps s'y rapprochent, les murmures s’y échangent. Ici, l’intimité est soigneusement orchestrée, et la pénombre joue son rôle à la perfection, effaçant les frontières entre les individus, laissant place à un ballet discret de regards et de sourires esquissé. Dans ce théâtre d’ombres, les petites tables tamisées abritent des mains qui se frôlent, des verres qui s’entrechoquent dans un tintement feutré. Les éclats de lumière glissent sur les visages, captant au passage un regard, un sourire, avant de s’évanouir dans l’obscurité environnante.
Tout ici est conçu pour flatter l’éphémère, pour cultiver l’art de la séduction fugace. Sur la piste, j'imaginerais volontiers ma belle épouse finir sa soirée nue dans un déhanché lent et lascif, se laisser caresser par les faisceaux colorés comme des doigts qui effleurent sa peau sans jamais s’attarder. La lumière ne dévoilerait rien entièrement, mais saurait attirer le regard là où il faut. Son décolleté plein de sperme, son sexe déformée par des heures de baises et de jouissances, sa bouche rougit d'avoir sucer.
Dans cet univers feutré, le bar n’est pas qu’un décor, il est le fil conducteur d’un ballet sensuel, où chaque geste semble calculé pour séduire, pour attiser l’envie sans jamais tout offrir. Il invite à une exploration silencieuse, où chacun devient à la fois acteur et spectateur. Les vases remplies de préservatifs ont remplacés depuis longtemps les cendriers.
Alors que nous prenions place au bar après notre petit tour des lieux, le propriétaire du Club vient nous indiquer qu'un de ses contacts est arrivé il y a quelques minutes et qu'il s'est installé en face de là où nous sommes. Nous l'observons discrètement mais nous comprenons qu'à la vue du petit attroupement que l'on voit défiler, il faudra vite se décider...
Hésitante, elle finit pas se rendre de l'autre côté du bar pour faire connaissance. Je restais à côté de mon verre, regardant son superbe cul se rapprocher de cet inconnu. Lorsqu'il compris que cette femme très déshabillée venait vers lui, il se détourna du coin du bar pour l'accueillir, faisant mine de ne p'us s'intéresser à d'autres prétendantes. Ils se font la bise comme de vieux amis mondains la prend par la main pour la faire tourner sur elle-même et semble la féliciter sur sa tenue. Debout, Il l'invite à s'approcher pour se blottir plus au fond en la guidant par la taille, lui propose un verre qu'elle semble acceptée. Une discussion s'engage. Sans doute sur la nature de ses attentes et ce qu'elle cherche.
Les minutes passent et même si je n'entends pas la discussion, je vois dans les gestes et les postures de chacun un début d'alchimie. Il lui fait quelques caresses sur les bras. Il semble vouloir la charmer, testé régulièrement son indice de confiance en faisant glisser sa main le long de son dos. Au fur et à mesure, elle, semble détendue, sans doute charmée par ce premier étalon à qui elle ne cache pas grand chose. Tout en discutant, elle le laisse descendre de plus en plus bas. Me cherchant du regard, elle indique où je suis, je lève mon verre à l'heure attention et me font signe de la tête. Un dernier sourire et elle le quitte brièvement pour revenir près de moi.
- Tout s'est bien passé on dirait ?
- ma tenue lui a fait de l'effet
- Tu es parfaite, surtout dans cette tenue... Et tu lui expliqué ce que tu cherchais ?
- il a voulu savoir si je voulais faire ça ici ou sur le parking...
- et tu lui as dit quoi ?
- qu'on avait une chambre d'hôtel pour tout filmer.
- il en a pensé quoi ?
- qu'il était d'accord si on le ramène à sa voiture ici demain matin.
- et toi, tu es d'accord ?
- oui, il est mignon, clean et très sympa, je veux bien essayer avec lui... Juste, il m'a demandé quelque chose de bizarre...
- C'est à dire ?
- il m'a dit que si j'acceptais, je devais retourner vers lui et que je m'agrippe à son cou pour l'embrasser devant tout le monde.
- il pense à son image de marque...
- Tu es d'accord ?
- oui, si ça te va ! Je vais chercher ton manteau au vestiaire.
- d'accord chéri, je vais lui rouler une pelle et je te retrouve dans le couloir.
Je regarde donc mon épouse repartir sur ces talons regagner l'autre bout du bar pour rouler une pelle très chaude à cet inconnu. Dommage que l'idée n'ait pas été qu'elle finisse jambe écartée sur le bar en train de se faire lécher la chatte, le propriétaire aurait adoré.
Je récupère sa veste au vestiaire et m'installe près de la porte en attendant. Je le fais un peu exprès, histoire qu'elle parcourt le couloir dans sa tenue. Ils arrivent finalement ensemble, me présente brièvement à notre invité. Nous nous faisons une poignée de main rapide pendant que madame enfile son manteau avant de retourner à l'extérieur. Nous saluons le staff et sortons sur le parking.
Notre invité traîne un peu à la sortie du Club, j'en profite pour glisser quelques questions à madame.
- Sympa cette pelle ?
- j'ai un peu surjoué la scène mais j'ai eu le droit de toucher sa bite en échange.
- Tu ne perds pas le sens de tes priorités.
- oui, et je crois qu'elle est grosse.
- Tu montes à l'arrière avec lui ?
- Tu crois que c'est une bonne idée ?
- oui, et de toute façon tu ne vas pas lui faire la conversation depuis le siège passager.
- ah non, c'est vrai... Mais je garde ma culotte.
- fais comme tu le sens, je ne peux pas te dire mieux.
Notre conversation s'interrompt avec l'arrivée de notre convive que j'invite à prendre place à l'arrière.
Elle se glisse à son tour dans la voiture, je claque la porte et prends place à mon tour sur le siège conducteur. Je démarre et me dirige vers la sortie du parking. Tout le monde dans l'habitacle est incroyablement silencieux, concentré sur cet engagement vers l'extérieur, comme une procession vers l'avenir. Je m'engage sur la route dans ce silence imperturbable.
Les lumières du parking s'enfoncent au loin et la pénombre prend place. Je ressens comme une tension dans tout mon être, comme l'impression grisante que quelque chose d'exceptionnel et hors du commun va avoir lieu. Ce mélange sucré-salé qui vous fait déglutir nerveusement en attendant de voir les promesses de cette soirée prendre pieds dans la réalité.Je donne discrètement un coup d’œil à l'arrière pour voir ce qui se passe. Je ne pipe mot, je laisse infuser le mélange d'émotions de chacun. Madame est un peu tremblotante, assise sur son côté de la banquette arrière, peut-être sa tenue trop légère, même pour une nuit d'été, ou un tantinet de trac.
Pour briser la glace, je fends le silence d'une petite suggestion "Vous pouvez dégrafer vos ceintures si vous voulez, on ne sera pas embêter...". Ma proposition fait mouche, notre nouvel invité lui propose alors de se poser contre son épaule pour l'aider à se réchauffer. Elle se laisse convaincre et s'approche timidement de lui. Il entoure son bras autour de ses épaules pour la serrer un peu contre lui. Elle le remercie pour sa proposition d'un peu de chaleur humaine. Je donne un bref coup d'œil et je vois sa main affectueusement posée sur la jambe gauche de notre convive.
En regardant la route, je dis "Je roule pas trop vite, la route est un peu sinueuse ...prenez votre temps...". Je redonne un coup d'œil à l'arrière et je les vois se sourire, je constate que sa main est remontée un peu plus haut, je devine assez facilement qu'elle est en train de défaire le zip de son pantalon. Elle glisse doucement la main pour fouiller à l'intérieur. Son éclat de rire est comme une bénédiction, elle a dû trouver quelque chose de drôlement intéressant, le froid ne l'aura pas transie trop longtemps. J'entends des bruissements de déplacements à l'arrière de l'habitacle et je comprends aisément qu'on est en train de se mettre un peu plus à l'aise.
J'essaie de me concentrer sur la route, jusqu'à ce que j'entende s'exprimer des notes gutturales. Enfin, elle est en possession de tous ses moyens. Moins alerté que véritablement soulagé par la tournure de la soirée, je donne un coup d'œil à l'arrière et trouve madame en train de se délecter du gland de son voisin. Elle semble avoir rapidement pris les choses en main. Pantalon ouvert et baissé sur les genoux, elle a pris soin de dégager la vue afin que je ne manque rien du spectacle dans le retro.
Lui, se tient sagement à sa disposition, et semble apprécier. Bite en main, elle se redresse vers lui, pour lui glisser un petit "ça te va ?", il hoche de la tête et accompagne son geste de ses mains qui ouvre son manteau pour le faire glisser de ses épaules. Madame se laisse faire et se retrouve les tétons pointés face à lui, adossée à la fenêtre. "Chéri, ne roule pas trop vite..."
Il dérobe les seins de mon épouse de leur minuscule triangle de mousseline noire et vient y poser délicatement les lèvres. C'est vrai qu'il ne faut pas que je roule trop vite, rien que pour ma propre sécurité. Avoir une érection et assister à des événements palpitants méritent toute mon attention.
J'entends madame apprécier. Le passage de sa langue doit sans doute la détendre, peut-être la rassurer, lui donner confiance en cet homme qui ne cherche à lui donner que du plaisir sans aucune promesse de lendemain. Elle profite de l'instant, passe sa main dans ses cheveux, relâche sa tête en arrière. Au fur et à mesure qu'il calme ses tensions, elle écarte les jambes du consentement. Ce moment semble lui convenir et elle est prête à en accepter d'autres vices.
Il descend sa bouche sur son ventre et commence à aventurer la main sur sa culotte. Il pose ses phalanges sur son clitoris qu'il tourne et presse comme un fruit défendu dont il attend le nectar. Mouiller est une seconde nature pour mademoiselle fontaine, alors nul doute qu'il va y trouver son compte et avoir les doigts trempés.
Je l'entends lui soufflé des mots, incompréhensible de ma position dans l'habitacle, accompagné son geste sur son sexe. Nous n'avons fait qu'un tiers de la route que je l'entends progressivement exprimer une excitation plus prononcée. Puis, d'un coup, plus rien. Je regarde dans le rétro et je vois qu'on s'agite à l'arrière. Non, madame n'a pas enlever sa culotte pour chevaucher la bite de notre invité comme une déesse affamée de sexe. Mais elle enlève son soutien-gorge et s'allonge complètement, jambes relevées, la tête sur son bas ventre pour le sucer tout en se faisant doigter la chatte.
Ce petit manège de va-et-vient durera toute la suite du voyage. Ils ont été tous les 2 exemplaires et ont su tirer parfaitement profit de la situation, jusqu'à ce que nous arrivions enfin à destination.
Dans l’obscurité de la nuit, le portail à deux vantaux, en fer forgé, se dresse comme une sentinelle fatiguée à l’entrée du motel. Son aspect défraîchi, marqué par les années et les intempéries, porte les stigmates du temps passé.
Lorsque ce fugace gardien des traces d'un autre âge s'ouvre enfin, dans un grincement paresseux, il dévoile le silence de l’endroit. Avec la voiture, j'emprunte le passage, une allée faiblement éclairée, où les rares lampadaires diffusent une lumière soumise à l'obscurité. Blafarde, elle peine à repousser les ombres de la nuit, mais suffisante pour que tout le monde puisse un peu se rhabiller.
Sortie de la voiture, madame part devant et en parfait gentlemans lubriques qui aiment reluquer son derrière, nous suivons à faible distance. Cette allée me semble interminable, sans doute agacée par le crépitement de nos pas maladroitement discret. Nous sommes pourtant si près de ce bâtiment. Il m'apparaît comme une silhouette informe, se fondant dans l’obscurité environnante. Les couleurs se sont totalement dissolues dans l'obscurité, ne laissant dérrière elle qu'un mélange de noir et de gris. Il n'y a plus que l'alignement austère des façades, aux contours effacés, qui trahit la présence du motel. Ce décor impersonnel, aux angles rigides, semble parfaitement à sa place dans cette nuit, comme s'il connaissait déjà la fin de l'histoire, comme s’il cherchait à entretenir l’anonymat de ce qu’il abrite derrière ses murs. Et dans les moindres détails. Même l'escalier extérieur et ses balustrades de bois sombre, en se mêlant à l'obscurité, semble vouloir effacer toute trace de vie ou de mouvement.
Avant de nous engager dans l'allée extérieure de l'étage, madame marque un temps d'arrêt comme pour sonder cette dernière ligne droite. Elle tourne la tête comme pour vérifier notre présence derrière elle. Dans un mouvement qui fleure le fétichisme, elle tend sa main pour saisir ses talons, l'un après l'autre. Rassemblée au bout de 2 phalanges de sa main droite, elle nous les tend par-dessus son épaule. Je m'en saisis mécaniquement. Débarrassée de ses talons, ses mains descendent de nouveau le long de son corps pour déboutonner ce manteau et font une halte sur sa taille pour crocheter sa culotte qu'elle fait descendre. Rassemblée dans sa main gauche, elle rejoue la même scène par-dessus son épaule gauche. Notre invité comprend qu'elle lui est destinée et s'en saisit volontiers. Elle ouvre un peu plus son imper pour faire ressortir ses épaules... je constate d'ailleurs qu'elle est sortie de la voiture sans soutien-gorge. La voici prête à arpenter quasiment nue les derniers mètres qui nous séparent de la chambre. "Maintenant, nous pouvons y aller." chuchote-t-elle.
Je la comprends, elle venait de passer presque 3/4 d'heure à sucer une grosse queue à l'arrière de la voiture et de se faire doigter, elle devait être trempée. Il était donc important que nous tentions d'être discrets. Les fenêtres sont closes, leurs volets métalliques baissés, bloquant toute vue sur l'intérieur. Les rares lumières filtrant à travers les interstices ne font qu’intensifier l’impression de secret, d’un lieu où le passage des visiteurs laisse à peine une empreinte. Ici, la nuit enveloppe tout d’une neutralité glaciale, où le moindre bruit paraît amplifié dans le silence immobile. Rien ne distingue ce bâtiment d’un autre, pas plus qu’il ne laisse deviner ce qu’il se passe derrière ses murs.
Dans l'instant, ce motel m'apparaît comme un endroit parfait tant il semble disparaître dans l'anonymat de la nuit. Presque comme s’il cherchait à dissimuler non seulement sa propre existence, mais aussi les vices de ceux qui y séjournent, éphémères voyageurs sans visage, engloutis dans l’ombre. Ce n'était pas tout à fait dans l'idée de madame qui ne manque pas une occasion de se faire remarquer. Arrivée devant la porte d'entrée de la chambre, elle dégaine la carte d'entrée et fait bruyamment retrousser le loquet de la porte pour le ponctuer d'un joyeux : "C'est ouvert !". A cet instant, je n'ai pu chasser l'idée que tout était vraiment ouvert. Il rentre, elle le suit, je ferme la marche et la porte de notre huis-clos.
Le petit couloir d'entrée de la chambre s’ouvre sur un espace d’une neutralité implacable. Les murs, d’un blanc cassé sans âme, n'offrent aucun signe distinctif, aucune trace de vie passée. La décoration est réduite à sa plus simple expression, les lignes épurées du mobilier ne révélant rien d’autre qu’un confort fonctionnel. Le lit, tiré à la perfection, présente des draps d'une blancheur clinique. Sous l’éclairage artificiel, la pièce semble figée, incapable de témoigner d'une quelconque chaleur humaine.
Dans l'air flotte une odeur stérile, une légère émanation chimique, un mélange aseptisé. Cette odeur impersonnelle, ni agréable ni désagréable, se mêle à celle des draps fraîchement lavés et aux phéromones des nouveaux occupants. Il pourrait s'en dégager une impression de vide si nous n'étions trois en train de nous préparer à vivre un moment très spécial dans ce lieu de passage où les sensations s’effacent avant même d’avoir pu naître. A la requête de madame, notre invité nocturne se rend dans la salle de bain pour se déshabiller. J'en fait de même dans la chambre alors qu'elle n'a plus rien à effeuiller.
J'enfile une chemise, me muni de la caméra et occupe le temps par quelques réglages. A travers l'objectif, je me rends compte que tout ici respire l’indifférence, l’anonymat, l'absence de tout lien avec la vie réelle. La chambre pourrait être n'importe où, n'importe quand ; elle n'a pas d'identité, pas de mémoire. Le lieu ne retient rien de ceux qui y dorment, et les visiteurs ne repartent avec rien d’autre qu’un souvenir flou. Sauf ce soir, où la suite de cet instant sera sans doute livrée aux plaisirs numériques de centaines de voyeurs.
Lorsqu'il sort de la salle de bain entièrement nu, j'enclenche la prise de vue. Madame est allongée sur le lit et observe ce mâle s'avancer vers elle. On lit dans ses yeux une légère nervosité autant que d'appétence, sans doute pour la consistance de sa queue. Tout cela prenait l'allure d'une saillie. La proéminence de son sexe s'alliant parfaitement à la cause. Ils vient se positionner devant madame, le sexe en main, prêt à fondre sur son entrejambe.
Allongée sur le lit, jambes écartées, son silence est lourd, sa respiration crispée. Mais sa chatte luisante trahit tout de l'ambiguïté de la situation. Offerte à un quasi-inconnu dans une situation aux accents virginaux, la tentation aurait-elle cédé la place à l'appréhension ?
Son expérience des femmes offertes lui fait trahir un rictus. Tout se passe à merveille, elle est gonflée, rouge d'impatience, il l'a suppose sans doute ouverte à tout.
En devinant son corps nu en train de s'approcher d'elle, ses phalanges se contractent. Les draps bruissent sous la contraction de ses doigts. Son vernis à ongles rouge, si provocateur à l'accoutumé, ne s'attendait pas à traduire une pointe d'anxiété. Il n'y aura pas de préliminaires, tout a été déjà dit. Il n'y a pas besoin de se connaître davantage, juste de ressentir.
Il s'avance doucement, frôle ses jambes écartées jusqu'à un premier contact inévitable qui la fait instinctivement tressaillir. Il se tient au-dessus d'elle, arborant fièrement son sexe élancé. Le contact de ses jambes avec ces flancs inconnus la font frissonner et lâcher un gémissement étouffé. Elle n'en peux plus d'attendre, redresse sa tête de curiosité pour espérer entre-apercevoir l'objet de son impatience. Elle le scrute. Je vois ses yeux s'illuminer d'intérêt pour ce sexe masculin auquel elle montre l'entrée sans aucune pudeur depuis un instant déjà. Elle doit encore avoir envie de le mettre dans sa bouche, elle aime tellement les gourmandises.
Les conditions pour filmer la scène ont été parfaitement choisies. De là où je me tiens, j'observe la scène avec splendeur. Suffisamment près pour ne rien manquer de la scène qui se joue devant mes yeux, suffisamment loin pour ne pas interférer avec l'intimité qui pourrait se dégager.
Sans transition, il approche désormais sa queue de l'entrée de son vagin. Sa respiration change en sentant son gland se frayer habillement un chemin entre ses grandes lèvres. De grandes aspirations se succèdent au rythme saccadé de cette belle verge qui s'enfonce petit à petit dans son intimité. Avec la circonférence et la longueur de cette queue, rien n'indique qu'elle ne va pas prendre un pieds d'enfer dans les minutes qui suivent. A mi-parcours, il s'arrête comme pour mieux scruter ses réactions. Elle laisse retomber sa respiration. Il secoue légèrement sa verge d'avant en arrière comme pour lui annoncer la suite du programme. En réponse à cette invitation, sa gorge vient exprimer ses pensées en laissant s'échapper un son guttural emplie de plaisir. Madame a faim de coup de bites, mais elle n'imagine pas qu'elle n'est pas au bout de son ouverture. Heureusement, je suis là pour immortaliser l'intégralité de la situation. Sentant la verge s'enfoncer plus en avant dans ses entrailles, elle ne peut réprimer un "ohh" trahissant sa stupéfaction de la façon dont s'immisce encore plus profondément cette queue.
Le cadre de la caméra fait abstraction du reste de l'environnement, on y distingue cette masse, forcer sans résistance l'entrée d'un domaine dont je suis le gardien. En y concédant l'entrée, je laisse madame offerte à s'ouvrir à ses fantaisies. Elle sait d'ailleurs en abuser. Alors que ses bourses sont tout près de coller sa vulve, elle l' incombe à pousser en avant sur ses jambes pour engloutir l'intégralité de sa queue. Stoïque derrière mon objectif, je constate avec délectation que le choix de cet étalon était parfait pour madame. Je vois les veines gorgées de sang se gonfler, son corps caverneux se contracter et se relâcher comme pour préparer les assauts d'un bélier prêt à pousser intensément sur la porte de son utérus. Rien ne viendra amortir le choc de son gland découvert jusqu'à ce qu'elle ne cède et qu'il ne réussisse à immerger les lieux de son épaisse semence blanche.
Fermement agrippé à ses jambes, c'est ainsi qu'il entreprend de faire glisser sa verge dans son corps. Les passages cycliquement répétés de cette machine infernale produisent son effet sur ses muqueuses vaginales. Elles s'échauffent et s'affolent à chaque passage longitudinal. Les respirations s'accélèrent, on halète d'un côté, on tente de garder le rythme de l'autre. La minette ne montre aucune résistance et se laisse visiter avec allégresse par ce sexe fort qui la presse dans ses sécrétions. Chaque aller-retour en devient plus humide. Submergée de satisfaction d'être prise, elle laisse dégouliner sa joie sans retenue. Les mouvements et les respirations se font sens, une synchronisation s'opère alors dans la magie des fluides. Le son flasque du coït se fait plus clair, la mouille grouille d'allégresse. Désormais tout se passe de concerts, chaque partie du corps de chacun joue la même partition. La bite ne cesse de rentrer et sortir d'un vagin béant d'extase, les jambes claquent et se repoussent pour accompagner les pénétrations, la sueur grimpe aux fronts, les regards s'entremêlent, la tentation se lit sur les visages. Madame en veut encore, elle est désormais prête à tout pour faire exploser son étalon. Sa queue est désormais à sa merci, l'instrument de ses fantasmes les plus pervers. Qu'est ce qu'elle aime ça.
Un tantinet simulatrice, ma provocatrice ira bien jusqu'au bout de ses offices. Enivré par les bruits gutturaux de ma belle, il ne peut résister à l'appel du sperme. Martelant doucement sa queue au fond de sa chatte, elle le saisit par les hanches pour le coller contre son sexe. Ses doigts surmontés de ce vernis rouge montrent là leur visage charnel. C'est elle qui le possède pour son plaisir, ne lui laissant pas d'autre choix que de se vider. La tension dans son sexe encore tendu est palpable à l'œil nue. Il expulse le premier jet dans une expiration qui en dit long sur son plaisir d'achever sa mission. Puis une seconde, et une troisième moins intense. La substance blanche vient alors jusqu'à apparaître aux commissures de sa chatte encore obstruée. Voilà, mon épouse a été baisée par un autre homme, quel spectacle !
Je suis empli de fierté, je cache l'effervescence intérieur qui me parcours devant la conclusion de cette scène. Mon cœur chavire d'un amour transcendant, infini pour cette femme fabuleuse.
Après avoir inondé madame de son sperme, il reste quelques secondes à l'intérieur, le temps que madame retire l'étreinte de ses griffes sur le bas de son dos. Il se retire pour laisser le champ libre à l'objectif indiscret de la caméra. Il a tout à fait rempli son rôle et n'attache guère d'importance à la suite des événements. S'essuyant le gland des restes de la baise, il se dirige vers la petite salle de bain pour prendre une douche, nous laissant ainsi communier avec la quintessence de ce moment.
Je vois les yeux de madame intensément briller. Je ne lui dis rien, mais je suis aux anges. Ravi du soin qu'il a pris de mon épouse, ravi de la voir aussi épanouie. Elle était réticente à toute expérience candauliste. Elle avait peur de ma réaction, pensant que je me sentirais trompé. J'en suis à mille lieux. Dès lors, y aurait-elle trouvé un nouveau jeu où le sexe s'envisage sans autre promesse que le plaisir.
Sa chatte ouverte, rougie des frottements intenses de sa verge ne cesse de se vider de leurs jouissances. Après cette première expérience, j'aime encore plus me dire que sa chatte pourrait se déformer sous l'assaut de grosses queues. J'imagine avec délectation la sensation grisante de revisiter son vagin et lécher son clitoris après les assauts des autres.
Elle a encore du mal à reprendre sa respiration. Mais, pendant que la caméra balaie son entrejambe, elle ne peut s'empêcher de glisser une main coquine pour deviner du bout des doigts l'état dans laquelle il la laissée.
J'aime bien la voir remplie de sperme. C'est un spectacle exceptionnel sur lequel nous nous attardons à chaque fois. Son clitoris est gonflé et saillant. Il baigne dans un mélange de sperme, de cyprine et de sueur. Nul doute que l'expérience lui a plu mais qu'il faut désormais le soulager de toute cette excitation. Elle commence alors à le caresser délicatement.
Je me recule pour un plan plus large. Depuis l'œil de la caméra, je vois madame en train de s'adonner à un plaisir solitaire. Je ne manque rien de ce moment. Ses doigts qui s'agitent frénétiquement sur le haut de son sexe, sa respiration qui s'accélère, ses seins qui s'agitent sous la résonance de son bras qui s'activent mécaniquement. Elle passe chaque palier de la transe. Chaque seconde se charge de la tension de son sexe pour la faire finir par un orgasme explosif. Je pensais la voir heureuse, je la trouve fabuleuse. La prise de vue se termine sans bruit sur sa chatte gonflée et endolorie.
Nous n'avons pas eu de contact physique depuis l'arrivée de notre convive, je dépose le matériel sur la table de l'autre côté du lit puis viens m'installer près d'elle. J'observe son corps se relâcher, traversé de légers spasmes, ses yeux fermés par la fatigue de l'extase, sa bouche légèrement entrouverte. Voici comment j'aime mon épouse. Abreuvée de sexe, inondée de plaisir, dégoulinante de sueur et de sperme. Je ne me risque pas à briser la solennité de l'instant, au contraire je le savoure.
Mais avant le retour du pilonneur de mon épouse, j'en profite pour lui dire dans l'oreille "Est-ce que tu as un goût de bite ?". Sans ouvrir les yeux ni même bouger la tête, elle me répond :
- Tu peux même pas imaginer.
- Tu l'as très bien sucé. Je suis très fière de toi.
- Oui, j'ai bien aimé sa queue, mais tu sais, ça m'a fait bizarre de sentir une nouvelle queue dans mon vagin, c'était pas pareil, c'était aussi effrayant qu'excitant...
- ça va te donner envie d'en tester plein d'autres...
- peut-être, je sais pas.
Notre invité sort de la salle de bain. Un rictus de satisfaction sur l'état de madame. Nous sommes nus tous les 3. Il est temps de se reposer. Madame l'invite à s'approcher pour s'allonger à côté d'elle. On sera un peu serré à trois sur ce matelas. Je me glisse plus à droite de madame pour qu'elle puisse profiter d'un peu d'espace. Elle qui se retrouve pour la première fois entourée de deux queues pour la nuit. Nous remontons le drap. Elle roule sur le ventre, j'éteins la lumière. Au milieu des faibles lueurs de l'extérieur, on entend alors une petite voix qui s'endort...
"oh on a oublié de fermer les volets, c'est pas grave, demain matin je vous sucerai tous les deux..."
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Mlle Fontaine. Oui, nous aimons et pratiquons les mêmes choses!
Bonjour, un grand merci à tous les lecteurs qui ont lu cette histoire et pour ceux qui ont pris le temps d'ajouter un commentaire. La seconde partie (longue désolé, on était super inspiré) devrait bientôt arriver.
Merci Olga T, nous sommes ravi que l'histoire vous ai plu, c'est un sujet que vous connaissez et vos encouragements nous confortent pour continuer dans ce sens.
Merci Olga T, nous sommes ravi que l'histoire vous ai plu, c'est un sujet que vous connaissez et vos encouragements nous confortent pour continuer dans ce sens.
un peu long
Pourquoi inquisitrice je pose 1 question logique n'en deplaise mon cher. Quand à Sade c'était 1 femme , ses écrits datent de Mathusalem ou presque et les précautions n'étaient pas les meme !!!!
Dixit les libertins , ils ne prennent jamais de risques donc je n'ai pas compris l'idée ici !!
Dixit les libertins , ils ne prennent jamais de risques donc je n'ai pas compris l'idée ici !!
Plus qu'une histoire de sexe, joli texte et très excitant.
Comment se fait-il qu'il y ait une inquisitrice dans les commentaires ?
Vous devriez relire le Marquis de Sade et lui faire part de vos commentaires.
Comment se fait-il qu'il y ait une inquisitrice dans les commentaires ?
Vous devriez relire le Marquis de Sade et lui faire part de vos commentaires.
Bonjour!
C'est une histoire bien excitante ! Ne reste plus qu'à mettre en pratique !!!
C'est une histoire bien excitante ! Ne reste plus qu'à mettre en pratique !!!
C'est un magnifique texte candauliste!
Donc la gonzesse fait 1 descente en club et nique a blanc comme ça sans capotes sérieux !!!!