Moi black, sodomisé pour la première fois
Récit érotique écrit par Blacklibre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Moi black, sodomisé pour la première fois
Je me rappelle de ce jour comme si c’était hier. Je me revois encore marcher dans la rue et à quel point le soleil bâtait dans le ciel, mais pourtant je suis incapable de me rappeler de la date exacte.
C’était un samedi, du mois de mai ou juin. Ça c’est flou dans ma tête. J’avais réussi à décrocher un rdv avec Rebecca. Il y’avait juste trois photos sur son profil. Une photo de face, une photo de son joli petit cul couvert d’une belle nuisette en coton et la dernière, c’était une longue jambe fine dans un bas résille de toute beauté. Ce qui était dommage, c’est que la photo de face n’était pas très claire, comme si la pièce était trop sombre. Du coup, ça ne donnait pas un très bon rendu, mais bon assez pour me dire que je ne dirai pas non pour une rencontre. Surtout que sa longue jambe dans son bas résille m’excite grandement. On dirait presque une jambe de danseuse. Je ne dirai pas non pour danser un ballet avec elle.
La prise de contact est facile. Je sens dans les échanges qu’elle a un côté Domi. On sent qu’elle aime qu’on lui obéisse. Ça ne me dérange pas, j’aime les personnes qui prennent des initiatives.
Le jour J, j’arrive près de chez elle, métro République. Ça va, c’est central. Il est 15h, le soleil bat sous son plein, je devrai ressentir de la fatigue sous ce soleil de plomb. Mais l’idée de passer un petit moment agréable avec une belle plante me donne un regain d’énergie.
Une fois sur place, Rebecca est identique à la photo. Presque aussi grande que moi, fine, diablement féline dans un ensemble de couleur noire. Elle est plus travestie que transsexuelle. Elle n’a pas de poitrine, ni n’a rien mis pour donner l’illusion. Mais ça ne me dérange pas, car en la voyant me diriger vers la chambre, je peux profiter à loisir de la vue sur son fessier magnifique. Juste gonflés comme je les aime. Un string noir enfonce une ficelle striée entre ses deux fesses. Je meurs d’envie de les caresser, de les mordiller, mais je me retiens. Je suis un gentleman.
Elle se jette rapidement son mon sexe, n’attendant pas que j’ai retiré mon pantalon pour l’enfoncer dans sa bouche. Waouh, elle sait y faire, entre ses aspirations, ses coups de langues et ses mouvements de gorge, je suis au paradis. Je me laisse tomber sur le lit et je la laisse bosser.
Je lui caresse la tête, sentant sa perruque bouger pendant qu’elle s’amuse à monter et à redescendre sur ma queue. Elle doit avoir l’habitude car elle utilise des techniques que je ne connaissais pas. Retirant mon sexe pour jouer avec sa langue. Chaque tape de sa langue sur mon sexe me fait presque sursauter. Je bouille de l’intérieur. Elle en profite pour prolonger un peu plus l’expérience. C’est une vraie sadique, elle aime me voir souffrir de plaisir. J’halète, j’en veux encore plus.
Après quelques minutes de ce traitement, elle s’arrête pour aller boire un verre de vin. Elle ne m’en propose pas, mais je ne dis rien. Elle aime dominer son amant. Elle est là uniquement pour son plaisir, le mien elle s’en fiche. Cela se voit tout de suite sur son visage. Pas vraiment le genre d’attitude humaine que j’apprécie, mais bon je suis juste là pour prendre mon pied. Un plan cul. Je ne suis pas là pour l’apprécier elle, même si c’est un plus. Je suis là pour lui donner et prendre du plaisir. Basta !
Elle s’allonge sur le ventre sur le lit et avance lentement vers moi, un regard empli d’envie sur le visage. Elle se déplace comme un félin qui s’apprête à sauter sur sa proie. Une fois au niveau de mon sexe, elle l’aval à nouveau avant de donner de grands coups, comme si elle cherchait à me faire venir d’un coup. Sans prévenir gare, elle m’enfonce un doigt dans le cul. Je n’ai rien vu venir et c’est venu tout à fait naturellement. C’est la première fois qu’on me fait ça. C’est étrange comme sensation, pas du tout désagréable et même plutôt le contraire. Ça commence comme une petite vague mais petit à petit c’est un torrent de plaisir qui m’assaille. Le mélange fellation et un doigt dans le cul, encore aujourd’hui, c’est un de mes moments préférés. Je pourrai me faire sucer et doigter pendant des heures.
Je laisse Rebecca faire, tout me rendant compte que ce n’est pas suffisant. J’adore la violence de sa fellation, mais je trouve que son doigt dans le cul est plutôt timoré. J’en veux plus, j’ai envie de sentir un peu plus ce doigt si brûlant en moi. Je me redresse un peu dans le lit, lui permettant d’avoir un meilleur accès sur mon cul et j’accélère le mouvement. Je n’arrive plus à parler, c’est une intrusion de mon lieu le plus sacré, mais pourtant j’aime ça et je veux qu’il viole mon sanctuaire encore plus.
Rebecca semble comprendre le message, elle se laisse diriger pour une fois avant d’accélérer à son tour la pression. Je n’arrive pas à sortir des sons avec ma bouche, je grimace à la fois de douleur et de plaisir. Son doigt est tout en moi, il danse, virevoltant à l’intérieur, plongeant et remontant, accélérant, décélérant le rythme.
- On dirait que quelqu’un en veut plus ! s’exclame Rebecca, un sourire complice sur le visage.
Je me tourne vers elle, tout tremblant encore par cette sensation nouvelle.
- Euh, je n’ai jamais fait ça !
Rebecca ne répond pas, se contentant d’ébaucher un large sourire carnassier sur les lèvres.
Je n’arrive pas à y croire. Je suis venu pour un moment en temps qu’actif et je me retrouve maintenant comme passif. Je n’arrive pas à croire que je l’ai moi-même pratiquement proposé. Je lui ai fait comprendre que j’étais partant. Comment j’ai pu faire ça ? Je veux dire, on ne touche pas à mon cul, c’est propriété privé et pourtant là à cet instant, j’ai envie de succomber. J’ai toujours aimé les interdits, est ce que c’est pour ça que j’ai finalement craqué ? Sincèrement, je ne sais pas. Je pense que je suis curieux de nature et que j’ai envie d’expérimenter un tas de choses. Je ne suis pas religieux mais c’est vrai que la religion nous donne des idées de ce qu’est le bien et le mal. Et normalement une relation sodomite, ce n’est pas très religieux. Mais je m’en fiche. Ce qui compte, c’est le plaisir et le moment présent.
Alors, je dis banco. Dans ma tête, je me dis, que ça y’est, le jour est enfin venu de passer à la casserole. J’avais déjà regardé des vidéos où des trans baisaient des mecs, mais j’étais toujours plus excité lorsque c’était l’inverse. Et pourtant à partir de ce jour, je ressens plus d’excitation à voir un homme se faire prendre par une trans que l’inverse. Comme quoi on en découvre toujours sur soi.
Bon, revenons à nos moutons. Rebecca revient dans la chambre avec des préservatifs et un gel. Elle me demande de me mettre à quatre pattes. Je dois avouer que la première fois, ça fait bizarre. J’avais l’impression d’être un esclave, un soumis et ça ne me ressemblait pas. Mais pourtant je l’ai fait. J’ai déplacé les oreillers et je me suis à 4 pattes, le cul bien en l’air, attendant la sentence.
Elle ne tarde pas à arriver, sous la forme d’un doigt qu’on m’enfonce dans le cul. Rebecca s’est glissé derrière moi et m’enfonce un doigt. Elle s’amuse avec, l’enfonçant, le faisant tourner. Voyant que le passage est ouvert, elle met une dose de gel, avant d’y enfoncer rapidement, un deuxième et ensuite un troisième doigt. Le passage est un peu plus difficile maintenant, mais elle y arrive toujours, continuant à m’ouvrir le cul. Je ne pourrai pas dire que j’ai pris un grand plaisir. C’est comme si on nous ouvrait de l’intérieur et que le contact nous chatouillait.
Elle retire ses doigts avant d’enfoncer quelque chose de nouveau dans mon cul. Je pense qu’il s’agit de 4 doigts qu’elle m’aurait enfoncé. Elle y va plus profondément et je sursaute quand ma rondelle cède face à cet assaut. Je l’entends pousser un soupir d’aise, avant de dire :
- Je suis en toi ! ca y’est t’es plus puceau du cul.
Avant même que mon cerveau puisse intégrer cette information, elle commence à s’enfoncer un peu plus en moi. Tout doucement, délicatement. Ce n’est presque pas douloureux. Sa queue je ne l’ai pas vu avant, elle n’était qu’une bosse dans sa culotte, mais maintenant je l’ai dans le cul. Toute entière. C’est comme enfoncé une tige longue, longue et encore plus longue.
- Si tu as mal, j’arrête.
- Non, c’est bon, continues stp.
Contre toute attente, la douleur disparait rapidement, remplacé par une vague de chaleur. Je n’ai jamais voulu me comporter comme un soumis mais pourtant à ce moment précis, j’apprécie le fait d’être possédé, que quelqu’un prenne du plaisir en moi. Je ne suis qu’un objet qu’on utilise et ça me convient. Les coups de reins s’accélèrent et je la laisse manœuvrer. C’est Rebecca la capitaine de mon navire. Mon cul est à elle. Et je peux vous dire qu’elle se fait plaisir. Elle sait y faire la bougresse. Elle se redresse afin d’être encore plus en hauteur, prend bien appuie sur ses pieds et me pilonne de cette façon. J’ai l’impression de planer. Elle me tient fermement au niveau des hanches, comme pour m’interdire de bouger. Je n’ai pas mon mot à dire. Je sens sa bite qui danse à l’intérieur de moi. Elle a trouvé une bonne position et peut se donner à fond.
Je l’entends pousser des petits cris de plaisir pendant que son sexe me laboure. C’est très étrange de ressentir la présence d’un intrus en soi et surtout de ne plus vouloir qu’il s’en aille. Je le sens avancer et reculer en moi, cherchant à aller toujours plus loin et toujours plus fort.
Je découvre un tout autre plaisir, on peut jouir du cul. J’en avais entendu parler mais je ne l’avais jamais expérimenté. J’en veux encore plus. C’est si bon.
Rebecca continue à me baiser une bonne dizaine de minutes avant de sortir d’un coup de moi et de pester :
- Je n’aime pas les capotes, ça coupe tout !
- Ah ok !
Je ne trouve rien de mieux à lui répondre, trop épuisé, je me laisse tomber sur le lit. Même si c’est Rebecca qui a fait tout le boulot, être passif demande de savoir bien encaissé. Je prends le temps de reprendre mon souffle. C’est étrange, j’ai encore l’impression d’avoir son sexe en moi. Je touche mon cul, il est bien ouvert. Cela en est presque douloureux. Je suis content d’avoir vécu l’expérience, mais pas sûr de vouloir remettre ça.
Rebecca reprend son verre de vin avant d’échanger un regard avec moi Je sens qu’elle n’en a pas fini avec moi. Pour mon plus grand plaisir.
Elle revient rapidement se coller à moi. Elle m’embrasse avant de venir titiller mes tétons. Cela me fait pousser des cris de plaisir. Sa langue procure tellement de plaisir. Elle met un coussin sous mes reins, avant de se pencher à nouveau et de replonger en moi sans plus de cérémonie.
Elle relève mes jambes pour se maintenir dessus. Son sexe coulisse en moi, comme s’il était chez lui, se frayant un chemin sans difficulté. Je la sens encore plus excité, elle veut me pilonner face méchant. Donnant de violents coups, me relevant les jambes encore plus haut, tout en me donnant de puissants coups de bite. Je retrouve rapidement le plaisir que j’avais ressenti quelques instants plus tôt. Je bande comme un taureau pendant qu’elle me baise. Son sexe glisse plus facilement en moi et je le sens encore plus. C’est un délice. Pourquoi est-ce que j’ai attendu aussi longtemps avant de tenter l’expérience. C’est trop bon.
C’est très agréable, mais je ne sais pas pourquoi mon instinct me dit que quelque chose cloche.
- Tu as mis une capote.
- Non. Je n’aime pas. Je préfère te baiser sans.
Je lui explique, tout en me redressant que pour moi, c’est une condition non négociable. C’est trop dangereux. Je suis ok pour prendre du plaisir, mais pas en risquant ma santé. Le risque n’en vaut pas la chandelle.
Elle n’apprécie pas trop mais n’insiste pas. Je suis assis sur le lit, en me demandant si elle va me laisser la prendre à son tour. Mon sexe est dressé et a très envie de se joindre à la fête.
Rebecca fait le tour du lit, avant de s’agenouiller devant moi et de reprendre mon sexe dans sa bouche. Ah dieu que c’est bon. J’en avais presque oublié ce plaisir. Elle s’amuse à embrasser ma queue, à la lécher avec sa langue. Avant de l’enfoncer à nouveau dans la bouche pour un rodéo buccal. Je sens les effets qui montent. Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps. Je serre les draps pendant qu’elle m’aspire le sexe en entier, donnant de grands coups, bavant dessus, avant de le sucer à nouveau.
J’ai très envie de lui faire l’amour mais en même temps sa fellation est tellement incroyable que je ne peux pas lui dire d’arrêter. Soudain, c’en est trop.
- Ohhhhhh, je viens !
Ne voyant aucun recul de sa part, je jouis dans sa bouche. Je tremble de tout mon corps, lui tenant la tête pour que ses lèvres ne quittent pas mon sexe. J’aimerai rester ainsi éternellement.
On discute quelques minutes avant qu’elle me fiche à la porte. Je lui fais un baise main comme tout gentleman que je suis, avant de la quitter, repus et ayant des crispations au niveau du cul. Je sens que je vais avoir du mal à m’assoir pendant un certain temps.
Une part de moi a envie de tirer un trait sur tout ça, mais une autre a très envie de renouveler l’expérience. Je sens que j’aurai encore beaucoup de choses à apprendre dans la voie d’un passif.
C’était un samedi, du mois de mai ou juin. Ça c’est flou dans ma tête. J’avais réussi à décrocher un rdv avec Rebecca. Il y’avait juste trois photos sur son profil. Une photo de face, une photo de son joli petit cul couvert d’une belle nuisette en coton et la dernière, c’était une longue jambe fine dans un bas résille de toute beauté. Ce qui était dommage, c’est que la photo de face n’était pas très claire, comme si la pièce était trop sombre. Du coup, ça ne donnait pas un très bon rendu, mais bon assez pour me dire que je ne dirai pas non pour une rencontre. Surtout que sa longue jambe dans son bas résille m’excite grandement. On dirait presque une jambe de danseuse. Je ne dirai pas non pour danser un ballet avec elle.
La prise de contact est facile. Je sens dans les échanges qu’elle a un côté Domi. On sent qu’elle aime qu’on lui obéisse. Ça ne me dérange pas, j’aime les personnes qui prennent des initiatives.
Le jour J, j’arrive près de chez elle, métro République. Ça va, c’est central. Il est 15h, le soleil bat sous son plein, je devrai ressentir de la fatigue sous ce soleil de plomb. Mais l’idée de passer un petit moment agréable avec une belle plante me donne un regain d’énergie.
Une fois sur place, Rebecca est identique à la photo. Presque aussi grande que moi, fine, diablement féline dans un ensemble de couleur noire. Elle est plus travestie que transsexuelle. Elle n’a pas de poitrine, ni n’a rien mis pour donner l’illusion. Mais ça ne me dérange pas, car en la voyant me diriger vers la chambre, je peux profiter à loisir de la vue sur son fessier magnifique. Juste gonflés comme je les aime. Un string noir enfonce une ficelle striée entre ses deux fesses. Je meurs d’envie de les caresser, de les mordiller, mais je me retiens. Je suis un gentleman.
Elle se jette rapidement son mon sexe, n’attendant pas que j’ai retiré mon pantalon pour l’enfoncer dans sa bouche. Waouh, elle sait y faire, entre ses aspirations, ses coups de langues et ses mouvements de gorge, je suis au paradis. Je me laisse tomber sur le lit et je la laisse bosser.
Je lui caresse la tête, sentant sa perruque bouger pendant qu’elle s’amuse à monter et à redescendre sur ma queue. Elle doit avoir l’habitude car elle utilise des techniques que je ne connaissais pas. Retirant mon sexe pour jouer avec sa langue. Chaque tape de sa langue sur mon sexe me fait presque sursauter. Je bouille de l’intérieur. Elle en profite pour prolonger un peu plus l’expérience. C’est une vraie sadique, elle aime me voir souffrir de plaisir. J’halète, j’en veux encore plus.
Après quelques minutes de ce traitement, elle s’arrête pour aller boire un verre de vin. Elle ne m’en propose pas, mais je ne dis rien. Elle aime dominer son amant. Elle est là uniquement pour son plaisir, le mien elle s’en fiche. Cela se voit tout de suite sur son visage. Pas vraiment le genre d’attitude humaine que j’apprécie, mais bon je suis juste là pour prendre mon pied. Un plan cul. Je ne suis pas là pour l’apprécier elle, même si c’est un plus. Je suis là pour lui donner et prendre du plaisir. Basta !
Elle s’allonge sur le ventre sur le lit et avance lentement vers moi, un regard empli d’envie sur le visage. Elle se déplace comme un félin qui s’apprête à sauter sur sa proie. Une fois au niveau de mon sexe, elle l’aval à nouveau avant de donner de grands coups, comme si elle cherchait à me faire venir d’un coup. Sans prévenir gare, elle m’enfonce un doigt dans le cul. Je n’ai rien vu venir et c’est venu tout à fait naturellement. C’est la première fois qu’on me fait ça. C’est étrange comme sensation, pas du tout désagréable et même plutôt le contraire. Ça commence comme une petite vague mais petit à petit c’est un torrent de plaisir qui m’assaille. Le mélange fellation et un doigt dans le cul, encore aujourd’hui, c’est un de mes moments préférés. Je pourrai me faire sucer et doigter pendant des heures.
Je laisse Rebecca faire, tout me rendant compte que ce n’est pas suffisant. J’adore la violence de sa fellation, mais je trouve que son doigt dans le cul est plutôt timoré. J’en veux plus, j’ai envie de sentir un peu plus ce doigt si brûlant en moi. Je me redresse un peu dans le lit, lui permettant d’avoir un meilleur accès sur mon cul et j’accélère le mouvement. Je n’arrive plus à parler, c’est une intrusion de mon lieu le plus sacré, mais pourtant j’aime ça et je veux qu’il viole mon sanctuaire encore plus.
Rebecca semble comprendre le message, elle se laisse diriger pour une fois avant d’accélérer à son tour la pression. Je n’arrive pas à sortir des sons avec ma bouche, je grimace à la fois de douleur et de plaisir. Son doigt est tout en moi, il danse, virevoltant à l’intérieur, plongeant et remontant, accélérant, décélérant le rythme.
- On dirait que quelqu’un en veut plus ! s’exclame Rebecca, un sourire complice sur le visage.
Je me tourne vers elle, tout tremblant encore par cette sensation nouvelle.
- Euh, je n’ai jamais fait ça !
Rebecca ne répond pas, se contentant d’ébaucher un large sourire carnassier sur les lèvres.
Je n’arrive pas à y croire. Je suis venu pour un moment en temps qu’actif et je me retrouve maintenant comme passif. Je n’arrive pas à croire que je l’ai moi-même pratiquement proposé. Je lui ai fait comprendre que j’étais partant. Comment j’ai pu faire ça ? Je veux dire, on ne touche pas à mon cul, c’est propriété privé et pourtant là à cet instant, j’ai envie de succomber. J’ai toujours aimé les interdits, est ce que c’est pour ça que j’ai finalement craqué ? Sincèrement, je ne sais pas. Je pense que je suis curieux de nature et que j’ai envie d’expérimenter un tas de choses. Je ne suis pas religieux mais c’est vrai que la religion nous donne des idées de ce qu’est le bien et le mal. Et normalement une relation sodomite, ce n’est pas très religieux. Mais je m’en fiche. Ce qui compte, c’est le plaisir et le moment présent.
Alors, je dis banco. Dans ma tête, je me dis, que ça y’est, le jour est enfin venu de passer à la casserole. J’avais déjà regardé des vidéos où des trans baisaient des mecs, mais j’étais toujours plus excité lorsque c’était l’inverse. Et pourtant à partir de ce jour, je ressens plus d’excitation à voir un homme se faire prendre par une trans que l’inverse. Comme quoi on en découvre toujours sur soi.
Bon, revenons à nos moutons. Rebecca revient dans la chambre avec des préservatifs et un gel. Elle me demande de me mettre à quatre pattes. Je dois avouer que la première fois, ça fait bizarre. J’avais l’impression d’être un esclave, un soumis et ça ne me ressemblait pas. Mais pourtant je l’ai fait. J’ai déplacé les oreillers et je me suis à 4 pattes, le cul bien en l’air, attendant la sentence.
Elle ne tarde pas à arriver, sous la forme d’un doigt qu’on m’enfonce dans le cul. Rebecca s’est glissé derrière moi et m’enfonce un doigt. Elle s’amuse avec, l’enfonçant, le faisant tourner. Voyant que le passage est ouvert, elle met une dose de gel, avant d’y enfoncer rapidement, un deuxième et ensuite un troisième doigt. Le passage est un peu plus difficile maintenant, mais elle y arrive toujours, continuant à m’ouvrir le cul. Je ne pourrai pas dire que j’ai pris un grand plaisir. C’est comme si on nous ouvrait de l’intérieur et que le contact nous chatouillait.
Elle retire ses doigts avant d’enfoncer quelque chose de nouveau dans mon cul. Je pense qu’il s’agit de 4 doigts qu’elle m’aurait enfoncé. Elle y va plus profondément et je sursaute quand ma rondelle cède face à cet assaut. Je l’entends pousser un soupir d’aise, avant de dire :
- Je suis en toi ! ca y’est t’es plus puceau du cul.
Avant même que mon cerveau puisse intégrer cette information, elle commence à s’enfoncer un peu plus en moi. Tout doucement, délicatement. Ce n’est presque pas douloureux. Sa queue je ne l’ai pas vu avant, elle n’était qu’une bosse dans sa culotte, mais maintenant je l’ai dans le cul. Toute entière. C’est comme enfoncé une tige longue, longue et encore plus longue.
- Si tu as mal, j’arrête.
- Non, c’est bon, continues stp.
Contre toute attente, la douleur disparait rapidement, remplacé par une vague de chaleur. Je n’ai jamais voulu me comporter comme un soumis mais pourtant à ce moment précis, j’apprécie le fait d’être possédé, que quelqu’un prenne du plaisir en moi. Je ne suis qu’un objet qu’on utilise et ça me convient. Les coups de reins s’accélèrent et je la laisse manœuvrer. C’est Rebecca la capitaine de mon navire. Mon cul est à elle. Et je peux vous dire qu’elle se fait plaisir. Elle sait y faire la bougresse. Elle se redresse afin d’être encore plus en hauteur, prend bien appuie sur ses pieds et me pilonne de cette façon. J’ai l’impression de planer. Elle me tient fermement au niveau des hanches, comme pour m’interdire de bouger. Je n’ai pas mon mot à dire. Je sens sa bite qui danse à l’intérieur de moi. Elle a trouvé une bonne position et peut se donner à fond.
Je l’entends pousser des petits cris de plaisir pendant que son sexe me laboure. C’est très étrange de ressentir la présence d’un intrus en soi et surtout de ne plus vouloir qu’il s’en aille. Je le sens avancer et reculer en moi, cherchant à aller toujours plus loin et toujours plus fort.
Je découvre un tout autre plaisir, on peut jouir du cul. J’en avais entendu parler mais je ne l’avais jamais expérimenté. J’en veux encore plus. C’est si bon.
Rebecca continue à me baiser une bonne dizaine de minutes avant de sortir d’un coup de moi et de pester :
- Je n’aime pas les capotes, ça coupe tout !
- Ah ok !
Je ne trouve rien de mieux à lui répondre, trop épuisé, je me laisse tomber sur le lit. Même si c’est Rebecca qui a fait tout le boulot, être passif demande de savoir bien encaissé. Je prends le temps de reprendre mon souffle. C’est étrange, j’ai encore l’impression d’avoir son sexe en moi. Je touche mon cul, il est bien ouvert. Cela en est presque douloureux. Je suis content d’avoir vécu l’expérience, mais pas sûr de vouloir remettre ça.
Rebecca reprend son verre de vin avant d’échanger un regard avec moi Je sens qu’elle n’en a pas fini avec moi. Pour mon plus grand plaisir.
Elle revient rapidement se coller à moi. Elle m’embrasse avant de venir titiller mes tétons. Cela me fait pousser des cris de plaisir. Sa langue procure tellement de plaisir. Elle met un coussin sous mes reins, avant de se pencher à nouveau et de replonger en moi sans plus de cérémonie.
Elle relève mes jambes pour se maintenir dessus. Son sexe coulisse en moi, comme s’il était chez lui, se frayant un chemin sans difficulté. Je la sens encore plus excité, elle veut me pilonner face méchant. Donnant de violents coups, me relevant les jambes encore plus haut, tout en me donnant de puissants coups de bite. Je retrouve rapidement le plaisir que j’avais ressenti quelques instants plus tôt. Je bande comme un taureau pendant qu’elle me baise. Son sexe glisse plus facilement en moi et je le sens encore plus. C’est un délice. Pourquoi est-ce que j’ai attendu aussi longtemps avant de tenter l’expérience. C’est trop bon.
C’est très agréable, mais je ne sais pas pourquoi mon instinct me dit que quelque chose cloche.
- Tu as mis une capote.
- Non. Je n’aime pas. Je préfère te baiser sans.
Je lui explique, tout en me redressant que pour moi, c’est une condition non négociable. C’est trop dangereux. Je suis ok pour prendre du plaisir, mais pas en risquant ma santé. Le risque n’en vaut pas la chandelle.
Elle n’apprécie pas trop mais n’insiste pas. Je suis assis sur le lit, en me demandant si elle va me laisser la prendre à son tour. Mon sexe est dressé et a très envie de se joindre à la fête.
Rebecca fait le tour du lit, avant de s’agenouiller devant moi et de reprendre mon sexe dans sa bouche. Ah dieu que c’est bon. J’en avais presque oublié ce plaisir. Elle s’amuse à embrasser ma queue, à la lécher avec sa langue. Avant de l’enfoncer à nouveau dans la bouche pour un rodéo buccal. Je sens les effets qui montent. Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps. Je serre les draps pendant qu’elle m’aspire le sexe en entier, donnant de grands coups, bavant dessus, avant de le sucer à nouveau.
J’ai très envie de lui faire l’amour mais en même temps sa fellation est tellement incroyable que je ne peux pas lui dire d’arrêter. Soudain, c’en est trop.
- Ohhhhhh, je viens !
Ne voyant aucun recul de sa part, je jouis dans sa bouche. Je tremble de tout mon corps, lui tenant la tête pour que ses lèvres ne quittent pas mon sexe. J’aimerai rester ainsi éternellement.
On discute quelques minutes avant qu’elle me fiche à la porte. Je lui fais un baise main comme tout gentleman que je suis, avant de la quitter, repus et ayant des crispations au niveau du cul. Je sens que je vais avoir du mal à m’assoir pendant un certain temps.
Une part de moi a envie de tirer un trait sur tout ça, mais une autre a très envie de renouveler l’expérience. Je sens que j’aurai encore beaucoup de choses à apprendre dans la voie d’un passif.
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