Moi, Caius Julius Caesar (part. 1)
Récit érotique écrit par Caesar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2005 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Moi, Caius Julius Caesar (part. 1)
(nous sommes en l'An 67 avant Jésus-Christ, Rome règne sur la majeure partie du monde connu, mais n'est pas encore un empire... la guerre civile commence à menacer la république alors que le Sénat perd progressivement le contrôle de l'État romain.)
Je m'appelle Caius Julius Caesar, de la maison Julii, membre influente du sénat de la République de Rome. En tant que membre de cette famille, j'ai le privilège de recevoir fréquemment les bons soins de nombreux esclaves, masculins ou féminins, qui savent me procurer des plaisirs de toutes sortes. Après tout, je suis un descendant de la déesse Vénus, déesse du plaisir. C'est mon devoir de célébrer les jouissances du corps, de la chair...
C'est aussi mon devoir de faire rayonner la puissance de Rome. Alors que ma maison risque à tout moment d'être mise à l'index par le dictateur Sylla, on me charge d'aller rappeller à l'ordre le roi grec Nicomède IV et de récupérer les flottes qu'il doit à Rome.
À peine arrivée à Mythilie, je savais que le plaisir m'y attendait. Je déambulai dans le palais du roi et tout ce que j'ai pu croiser durant une heure furent les esclaves sexuels du roi, de graciles femmes parfumées aux yeux de braise et aux corps huilés et invitants, mais aussi de splendides spécimens mâles tous plus sensuels et bien montés les uns que les autres. Je m'égarai dans leurs caresses et leurs attentions, frôlant un pénis par ici ou attrapant une fesse par là, durant un moment avant d'être interpellé par le roi.
-Ainsi je vois que maître Caesar a déjà trouvé les commodités dues à une personne de son rang.
Le sens du devoir me revint aussitôt à l'esprit et un plan commença à s'échafauder dans ma tête.
-En effet, mon cher Nicomède... ce sont de bien beaux amusements que vous avez là. Je pourrais peut-être en ramener un ou deux avec moi à Rome?
-Nous verrons cela. Voulez-vous vous détendre avant que nous commencions nos pourparler, mon cher?
-Bien sûr, à condition que vous vous joigniez à moi.
Je portais pour l'occasion une toge pourpre très facile à enlever et je profitais de cette particularité pour retirer en un éclair ce vêtement pour ainsi me mettre nu devant le roi Nicomède IV. En voyant l'erection que je dissimulais depuis son entrée, il eut un regard de satisfaction et fit renvoyer tous ceux étaient dans la pièce à part moi, en me fixant dans les yeux.
Une fois que tous furent dehors, il s'approcha de moi et, en commençant à retirer ses vêtements dorés et écarlates, me dit:
-Si vous voulez ravoir votre flotte, il vous faudra la mériter, j'En ai bien peur!
-Comme vous voudrez, votre Majesté...
Sur cette parole, le roi me bondit dessus et je reçus de plein fouet son imposante charpente, comparée à la mienne qui avait toujours été frêle et élancée. Nous nous embrassâmes vigoureusement, ses mains parcourant mon corps et moi caressant ses cheveux noirs et légèrement bouclés. Son érection me frappait le ventre, son pénis se frottant contre le mien alors que son bassin imprimait des moouvements de plus en plus invitants.
Il ne m'en fallut pas plus pour me mettre sur mes deux genoux. Je regardais le roi en plein dans les yeux avant d'engloutir son membre entre mes lèvres. Cette queue était immense, plus de vingt-cinq centimètres de long sur sept de large. J'eus du mal au départ, mais après quelques coups dans la gorge de la part du roi je me mis à le pomper vigoureusement, lui faisant une pipe digne du roi qu'il était (ou croyait être, du moins).
Après quelques instants, il m'empoigna par les cheveux pour me baiser la bouche, me donnant de violents coups de bassin. Son gland allait frappait le fond de ma gorge, mais la sensation d'avoir une aussi grosse queue dans la gueule me donnait un plaisir que j'avais rarement expérimenté. Les missions diplomatiques devenaient alors de plus en plus intéressantes...
Gonflé à bloc, je regardai le roi dans les yeux, retira la queue de ma bouche et lui dit bien fort:
-Allez baise-moi!
Je me retournai vivement en m'appuyant sur un fauteuil et en cambrant bien les hanches, me donnant une allure de putain esclave et complèteemnt soumise à ses volontés. Le roi m'observa un moment, me prit par les hanches et m'inséra un doigt huilé dans l'anus. Je ne l'avais pas entendu s'enduire les doigt et le membre d'huiles parfumées. Son doigt dans mon cul me procura un grand frisson de plaisir, et je laissai échapper un gémissement qui en témoignait.
-Alors vous aimez, Caesar?
-Oui, votre Majesté, amenez m'en plus!
Sans répondre verbalement à ma demande, le roi retira son doigt de mon cul et je sentis à la place la tête de son gland toucher mon anus. Lentement, il commença à me pénétrer et après quelques instants le gland était passé. Cette queue était la plus grosse à m'avoir pénétré, mais j'éprouvais toutefois aucune douleur et je m'empalai d'un seul coup sur ce membre énorme. Je sentis le gland toucher le fond de mon cul et criait de plaisir. Le roi, aparemment ravi d'avoir trouvé un amant aussi enthousiaste, m'empoigna les fesses et se mis à me baiser le cul d'abord en douceur, mais très vite il se mit à donner de violents coups de boutoir, m'Enculant comme seul un roi savait le faire.
-Allez mon petit Caesar, ma petite salope! Tu as le meilleur cul que j'ai jamais vu, un vrai cul divin!
-Je suis le desendant de Vénus, la déesse du plaisir, c'est bien normal! Ah oui, comme c'est bon!
Et il continua à me sodomiser de façon intensive durant près de vingt minutes. Ensuite, il se retira et me fis me rtourner pour m'embrasser à pleine langue, se collant sur moi et me caressant avec vigueur tout le corps. Puis, il m'étendit par terre, me fit relever les jambes et me pénétra à nouveau, d'un seul coup. Sa queue allait et venait en moi et je sentais un orgasme venir. Je jouis du cul près de trois fois d'affilées avant que sa majesté Nicomède Iv ne finisse par lâcher de grands jets de sperme au fin fond de mon cul. Tout au long de son formidable orgasme, il continua à me baiser violemment en me regardant dans les yeux. à ce moment, je me branlai et eu un orgasme en même temps que lui, recevant mon propre sperme en plein visage.
Après être resté en moi quelques instants, il se retira de mon cul et une coulée de sperme s'échappa de mon anus dilaté. Je restai étendu sur le fauteuil, avec mon amant m'observant avec fierté. C'est à ce moment que je me rendis compte que la plupart des gens qui étaient dans la salle au moment de mon arrivées étaient restés en retrait et avaient observé nos ébats. J'en fut extrêmement excité et me retournait vers le roi pour lui en faire part en sautant sur son pénis pour l'engloutir à nouveau dans ma bouche. Il avait un goût de sperme, de merde et d'huile parfumée, mais je n'en faisait que très peu de cas. Je m'appliquai à lui donner une pipe royale, sentant son membre grossir de plus en plus dans ma bouche jusqu'à être complètement raide. Je l'insérai alors jusqu'au fond de ma gorge et il put alors prendre les commandes, me baisait la gueule avec violence. Au bout d'une dizaine de minutes à peine, il expulsa trois énormes jets de sperme au fin fond de ma gorge et j'avalai le tout consciencieusement.
Il me remercia pour ce cadeau inattendu et me dit avec un sourire rayonnant:
-Ces navires, ils sont à toi, tu peux les commander dès maintenant.
Je savourai ma victoire. Je m'étais comporté en véritable salope devant les esclaves du roi, risquant ma réputation, mais j'avais gagné ma mission.
Rien ne pouvait plus m'arrêter, maintenant que j'avais découvert le pouvoir du sexe pour conquérir!
Je m'appelle Caius Julius Caesar, de la maison Julii, membre influente du sénat de la République de Rome. En tant que membre de cette famille, j'ai le privilège de recevoir fréquemment les bons soins de nombreux esclaves, masculins ou féminins, qui savent me procurer des plaisirs de toutes sortes. Après tout, je suis un descendant de la déesse Vénus, déesse du plaisir. C'est mon devoir de célébrer les jouissances du corps, de la chair...
C'est aussi mon devoir de faire rayonner la puissance de Rome. Alors que ma maison risque à tout moment d'être mise à l'index par le dictateur Sylla, on me charge d'aller rappeller à l'ordre le roi grec Nicomède IV et de récupérer les flottes qu'il doit à Rome.
À peine arrivée à Mythilie, je savais que le plaisir m'y attendait. Je déambulai dans le palais du roi et tout ce que j'ai pu croiser durant une heure furent les esclaves sexuels du roi, de graciles femmes parfumées aux yeux de braise et aux corps huilés et invitants, mais aussi de splendides spécimens mâles tous plus sensuels et bien montés les uns que les autres. Je m'égarai dans leurs caresses et leurs attentions, frôlant un pénis par ici ou attrapant une fesse par là, durant un moment avant d'être interpellé par le roi.
-Ainsi je vois que maître Caesar a déjà trouvé les commodités dues à une personne de son rang.
Le sens du devoir me revint aussitôt à l'esprit et un plan commença à s'échafauder dans ma tête.
-En effet, mon cher Nicomède... ce sont de bien beaux amusements que vous avez là. Je pourrais peut-être en ramener un ou deux avec moi à Rome?
-Nous verrons cela. Voulez-vous vous détendre avant que nous commencions nos pourparler, mon cher?
-Bien sûr, à condition que vous vous joigniez à moi.
Je portais pour l'occasion une toge pourpre très facile à enlever et je profitais de cette particularité pour retirer en un éclair ce vêtement pour ainsi me mettre nu devant le roi Nicomède IV. En voyant l'erection que je dissimulais depuis son entrée, il eut un regard de satisfaction et fit renvoyer tous ceux étaient dans la pièce à part moi, en me fixant dans les yeux.
Une fois que tous furent dehors, il s'approcha de moi et, en commençant à retirer ses vêtements dorés et écarlates, me dit:
-Si vous voulez ravoir votre flotte, il vous faudra la mériter, j'En ai bien peur!
-Comme vous voudrez, votre Majesté...
Sur cette parole, le roi me bondit dessus et je reçus de plein fouet son imposante charpente, comparée à la mienne qui avait toujours été frêle et élancée. Nous nous embrassâmes vigoureusement, ses mains parcourant mon corps et moi caressant ses cheveux noirs et légèrement bouclés. Son érection me frappait le ventre, son pénis se frottant contre le mien alors que son bassin imprimait des moouvements de plus en plus invitants.
Il ne m'en fallut pas plus pour me mettre sur mes deux genoux. Je regardais le roi en plein dans les yeux avant d'engloutir son membre entre mes lèvres. Cette queue était immense, plus de vingt-cinq centimètres de long sur sept de large. J'eus du mal au départ, mais après quelques coups dans la gorge de la part du roi je me mis à le pomper vigoureusement, lui faisant une pipe digne du roi qu'il était (ou croyait être, du moins).
Après quelques instants, il m'empoigna par les cheveux pour me baiser la bouche, me donnant de violents coups de bassin. Son gland allait frappait le fond de ma gorge, mais la sensation d'avoir une aussi grosse queue dans la gueule me donnait un plaisir que j'avais rarement expérimenté. Les missions diplomatiques devenaient alors de plus en plus intéressantes...
Gonflé à bloc, je regardai le roi dans les yeux, retira la queue de ma bouche et lui dit bien fort:
-Allez baise-moi!
Je me retournai vivement en m'appuyant sur un fauteuil et en cambrant bien les hanches, me donnant une allure de putain esclave et complèteemnt soumise à ses volontés. Le roi m'observa un moment, me prit par les hanches et m'inséra un doigt huilé dans l'anus. Je ne l'avais pas entendu s'enduire les doigt et le membre d'huiles parfumées. Son doigt dans mon cul me procura un grand frisson de plaisir, et je laissai échapper un gémissement qui en témoignait.
-Alors vous aimez, Caesar?
-Oui, votre Majesté, amenez m'en plus!
Sans répondre verbalement à ma demande, le roi retira son doigt de mon cul et je sentis à la place la tête de son gland toucher mon anus. Lentement, il commença à me pénétrer et après quelques instants le gland était passé. Cette queue était la plus grosse à m'avoir pénétré, mais j'éprouvais toutefois aucune douleur et je m'empalai d'un seul coup sur ce membre énorme. Je sentis le gland toucher le fond de mon cul et criait de plaisir. Le roi, aparemment ravi d'avoir trouvé un amant aussi enthousiaste, m'empoigna les fesses et se mis à me baiser le cul d'abord en douceur, mais très vite il se mit à donner de violents coups de boutoir, m'Enculant comme seul un roi savait le faire.
-Allez mon petit Caesar, ma petite salope! Tu as le meilleur cul que j'ai jamais vu, un vrai cul divin!
-Je suis le desendant de Vénus, la déesse du plaisir, c'est bien normal! Ah oui, comme c'est bon!
Et il continua à me sodomiser de façon intensive durant près de vingt minutes. Ensuite, il se retira et me fis me rtourner pour m'embrasser à pleine langue, se collant sur moi et me caressant avec vigueur tout le corps. Puis, il m'étendit par terre, me fit relever les jambes et me pénétra à nouveau, d'un seul coup. Sa queue allait et venait en moi et je sentais un orgasme venir. Je jouis du cul près de trois fois d'affilées avant que sa majesté Nicomède Iv ne finisse par lâcher de grands jets de sperme au fin fond de mon cul. Tout au long de son formidable orgasme, il continua à me baiser violemment en me regardant dans les yeux. à ce moment, je me branlai et eu un orgasme en même temps que lui, recevant mon propre sperme en plein visage.
Après être resté en moi quelques instants, il se retira de mon cul et une coulée de sperme s'échappa de mon anus dilaté. Je restai étendu sur le fauteuil, avec mon amant m'observant avec fierté. C'est à ce moment que je me rendis compte que la plupart des gens qui étaient dans la salle au moment de mon arrivées étaient restés en retrait et avaient observé nos ébats. J'en fut extrêmement excité et me retournait vers le roi pour lui en faire part en sautant sur son pénis pour l'engloutir à nouveau dans ma bouche. Il avait un goût de sperme, de merde et d'huile parfumée, mais je n'en faisait que très peu de cas. Je m'appliquai à lui donner une pipe royale, sentant son membre grossir de plus en plus dans ma bouche jusqu'à être complètement raide. Je l'insérai alors jusqu'au fond de ma gorge et il put alors prendre les commandes, me baisait la gueule avec violence. Au bout d'une dizaine de minutes à peine, il expulsa trois énormes jets de sperme au fin fond de ma gorge et j'avalai le tout consciencieusement.
Il me remercia pour ce cadeau inattendu et me dit avec un sourire rayonnant:
-Ces navires, ils sont à toi, tu peux les commander dès maintenant.
Je savourai ma victoire. Je m'étais comporté en véritable salope devant les esclaves du roi, risquant ma réputation, mais j'avais gagné ma mission.
Rien ne pouvait plus m'arrêter, maintenant que j'avais découvert le pouvoir du sexe pour conquérir!
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