Moi cocu ? Jamais de la vie !

- Par l'auteur HDS Georges -
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Moi cocu ? Jamais de la vie ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Moi cocu ? Jamais de la vie !
- Que ferait tu Benoit si tu apprenais que Marion te trompe après seulement cinq ans de mariage ?
- Houlà ! bonne question... je ne sais pas … je réfléchirais peut être à la cause, savoir si c’est accidentel ou régulier ? serait tu concerné Louis ?
- Hé bien … attention elles reviennent ….
- …..
- Voilà ce que Louis m’a dit en douce ce soir après diner lorsque vous étiez a la cuisine- Ah ? tu crois qu’il voulait parler de Cécile ?
- J’sais pas, ça fait combien de temps qu’ils sont marié ?
- Huit ans je crois... c’est nous qui avons cinq ans de mariage … attend, tu ne penses tout de même pas qu’il voulait parler de nous ?
- C’est là la question … tu me dirais si quelque chose ne tournait pas rond dans notre couple avant de prendre un amant ?
- Mais voyons chéri tout va bien, je n’ai rien à te reprocher !
- Pourtant je ne peux m’empêcher de faire la liaison - C’est ridicule ! met moi à l’épreuve ? vérifie mes petites culottes ?
- Tu fais bien d’en parler, j’ai récupéré dans la panière celle que tu portais hier, elle est dans ce tiroir, ou tu dois prendre rendez-vous en urgence chez le gynéco ou le fond est bien tapissé de sperme et à l’odeur je pencherais pour la seconde affirmation !
- Benoit je te jure …- Ne jure pas, qui est-ce ?
- Mais enfin !... alors puisque nous en somment là je vais te dire que tu manques de fantaisie au lit Benoit …mais ce n’est pas pour cela que je vais écarter les cuisses devant le premier venu - Mais tu y pense ?
- Si tu ne changes pas ça pourrait arriver- Que dois-je ‘changer’ ?
- Changer n’est pas approprié, c’est de la fantaisie que je souhaite mettre dans notre lit- Fantaisie ou changement ?
- C’est-à-dire ?
- Supposons que j’invite le petit voisin qui te fait les yeux doux à chaque fois que nous nous croisons - Tu crois que Laurent, ce jeune blanc-bec est amoureux de moi ?
- A toi de me le dire, une femme remarque tout de suite ce genre de chose et puis je ne connais même pas son prénom, mais toi si, bizarre non ? et puis si tu le compare à un chérubin tu pourrais avoir des surprises au lit ! là tu pourrais parler de fantaisies !
- Tu me mets mal à l’aise Benoit …- Tu mouille Marion ?
- Bah … - Le fait de parler de ce Laurent t’excite Marion ?
- Mais non voyons !
- Donne-la-moi … - Quoi donc ?
- Ta petite culotte, à moins que tu ne préfères que j’y mette la main ?
- Essaie pour voir !
- Lève-toi et vient devant moi, sinon….
- Sinon quoi ?
- Sinon je l’arrache moi-même- Ma petite culotte en soie ? tu es fou ? … arrête ! arrête !
- Écarte les cuisses ! ne bouge plus ou je la craque... hé bé ! regarde ? ça file entre mes doigts, ça c’est de la mouille ! de la bonne mouille bien fraiche que ta chatte distille en ce moment même !
- Benoit ? si je mouille toi tu bande, je me trompe ?
- Oui je bande comme un âne depuis que je t’imagine nue avec Laurent sur toi- Oui j’avoue, je ne l’ai pas encore fait mais j’aimerais qu’il me baise ce petit jeune - Alors louis n’a pas menti ?
- Non, Louis m’a vue lorsque je parlais à Laurent dans le parking couvert du super marché - Simplement parlé ?
- Il a essayé de m’embrasser, je l’ai repoussé avec peine- Pas de main au cul ?
- Si …il est très costaud mais il n’a pas eu le temps de me doigter, Louis arrivait - Dommage hein ? ! revenons à cette petite culotte souillée ? explique-moi ?
- Alors que j’étais montée dans la voiture, devant son insistance pour que le lui montre mon entre cuisses, je lui ai donné mon slip, il m’a dit d’attendre une minute … lorsqu’il est revenu il m’a jeté ma culotte poisseuse par la vitre en me disant ‘à bientôt ’- Il s’est simplement branlé dedans ?
- Je ne vois pas d’autres alternatives ?
- Tu l’as sentie ?
- Oui, même léchée un peu - Salope ! bien ! puisque tu as laissé de faux espoirs à ce jeune étalon tu vas assumer - Assumer ?
- Tu vas t’arranger pour rencontrer Laurent et lui donner rencard ici - Tu seras là ?
- Je ne sais pas, en tout cas pas dans la même pièce- Comment vais-je m’y prendre ?
- Comme tu l’as fait dans la voiture, tu lui montre ta culotte il saura quoi faire lui ! tu veux des fantaisies ? tu vas en avoir, ne lui refuse rien - Je ne vais tout de même pas me …- Faire enculer ? qu’est-ce que tu crois ? bien sûr que si !
- Je n’oserai jamais me laisser écarter les fesses … - Fantaisie Marion, fantaisie ! à présent suce-moi !
Si on m’avait dit que je demanderais à être cocu … cette idée a fait son chemin au fil de la conversation, à présent je ne peux plus faire marche arrière, advienne que pourraLe lendemain Marion est allée chercher le pain, elle est revenue à la maison l’air grave mais je sens qu’elle jubile intérieurement- J’ai vu Laurent …c’est pour cet après midi - Bien, je dois justement aller chez Louis- Ne lui parle surtout pas de notre arrangement- Je ne veux pas passer pour un pauvre cocu !
- Je vais me préparer … je mets une culotte ou pas ?
- Sans culotte tu passeras pour une pétasse qui veut vulgairement tirer un coup - Alors j’en mets une !
Marion est soudainement redevenue une ado qui se prépare à rencontrer un garçon a la sortie des cours, j’ai fait semblant de partir pour revenir me planquer dans la maison, me sachant là elle ne serait pas aussi libre d’affirmer ses enviesJe suis donc rentré par une fenêtre de la chambre d’ami que j’avais ouverte préventivement, Marion fait nerveusement les cent pas, elle a revêtu un tailleur, jupe courte et veste seulement fermée par deux boutons, dissimulant a peine sa poitrine généreuse libre de tout soutiens, bas auto fixant, juchée sur des escarpins … elle est attirante, tout simplement baisable !
Le carillon d’entrée résonne enfin, ma femme se précipite, j’entends des voix un bruit de bisous et les talons claquent sur le carrelage, Marion entre dans le salon et fait aussitôt face à son futur amant- Détend toi Laurent mon mari n’est pas là, dans le parking tu étais plus entreprenant !
- Maintenant que je vous vois face à moi je me sens désarmé, vous êtes si belle - Tu as apprécié le parfum de ma chatte lorsque tu t’es masturbé dedans ?
- C’était divin ! je revois encore votre entrejambes ouvert et la petite culotte glissant sur vos cuisses, j’ai bandé quand vos poils sont apparus - Tu vas les voir de très près dans un instant- Vous avez un soutient gorge ?
- A ton avis ? vient vérifier ?
- Montrez-vous totalement, exhibez-vous devant moi - C’est vraiment ce que tu veux ? je ne l’ai jamais fait ne bouge pas …Une lueur d’excitation a fait briller les yeux de Marion, cela fait partie de ces fantaisies dont elle parlait ? j’aurais dut l’amener en ville afin qu’elle montre ses fesses a des mecs avides de visions furtives, de là à la faire baiser il n’y a qu’un pas …quel imbécile je suis …Campée sur ses deux pieds légèrement écartés, le buste tendu, ma femme fixe le jeune homme en déboutonnant sa veste, elle ouvre un pan après l’autre, les yeux de Laurent sont écarquillés devant deux nichons aux larges aréoles où en leur centre pointent deux longs tétons, la veste tombée Marion met ses mains en coupe incitant le jeune homme à venir téter ses seins- Le reste ! je veux voir le reste avant !
- Petit vicieux … je crois que ta braguette va craquer ?
- Je peux la sortir ? mes couilles me font mal à force- Je suis impatiente de voir ton sexe Le jeune homme baisse son jean et passa sa queue par-dessus son slip, une queue dont je serais presque jaloux … le gland écarlate à moitié décalotté laisse échapper son liquide séminal, c’est au tour de ma femme de se retenir pour ne pas de précipiter bouche en avant pour récupérer le nectar qui finit par tomber au sol, Laurent passe sa paume sur son bout et se sers de la dernière goutte pour lubrifier son nœud et se masturber lentement, chacun attend de voir ce que va faire l’autre , Marion cherche la fermeture de la jupe et s’en débarrasse dans un mouvement de hanche sensuel , le tanga vert pomme présente une large auréole humide- Donnez-moi cotre culotte j’ai envie de décharger dedans- Tu ne préfères pas mettre tout dans ma chatte ?
- J’ai de la réserve, elle débordera de foutre si je vous baise - Dans ce cas… vient me l’enlever toi-même alors …A genoux, le nez sur l’entrecuisse, il semble humer l’air avant de se décider à tirer sur l’élastique de la taille, lentement, pour faire durer le plaisir que tout homme ressent à mettre une chatte à nu, c’est l’abandon total de la femme avant l’accouplement- Vos poils sont gavés de mouille ! ça sent vachement bon- Branle-toi face à moi et gicle sur le fond de ma culotte, nous la lècherons tous les deux- Et ensuite ?
- Ensuite tu brouteras ma matrice avant de m’emmancher- Putain que c’est bon, je me la secoue le nez rivé à votre slip !
Marion désormais nue, frotte ses cuisses l’une sur l’autre d’excitation, il lui tarde de voir les trainées blanches fuser de la bite cramoisie, Laurent se tient raide comme un piquet, il arrive au bout, ça me fait ça a moi aussi quand je me masturbe, soudain la culotte passe rapidement du nez à la pointe de la queue, secoué de spasmes incontrôlables il décharge abondamment sur le fond de coton, ceci fait il étale la semence le plus possible du bout de sa pine qui n’as pas faiblit d’un pouce, puis tend le tanga chiffonné à ma femme qui s’en empare en tirant une langue gourmande- J’ai adoré le goût de ton sperme l’autre jour, épais et épicé, cette fois je le veux dans la chatte- C’est quand vous voulez- Avant tu vas mettre ton nez dedans, je vais m’écarter la moule sur assise sur le coin de la tableRien ne peut plus arrêter ma femme, elle ne se contrôle plus, cuisses largement écartées elle s’ouvre la cramouille du bout des doigts en invitant Laurent à s’approcher, celui-ci finit d’ôter ses vêtements et obtempère en tenant sa bite droit devant lui- Bouffe-moi et baise-moi petit- Avant je vais mettre mes doigts- Tes doigts, ta langue, ta pine, ton foutre, met moi tout bordel !
Un bruit mouillé accompagne les gouttes qui s’écrasent sur le carrelage, apparemment satisfait il s’essuie à la nappe avant de se baisser face au calice poilu, sa langue pointue lape le clitoris échauffé faisant sursauter Marion, de rage elle lui plaque la figure entre ses cuisses - Bouffe-moi putain, bouffe ma chatte !
- Mmmmmmmuuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmm !!
- Aaaaaahhh !! tu te démerde comme un manche, relève toi et met la moi bien profond- Je vais vous mettre tout, bite et couilles Les jambes féminine sur les épaules, exactement à la bonne hauteur le gamin cherche le trou du bout de sa queue, ça ne prend qu’une seconde, il se propulse dans le vagin offert, il y reste un moment afin de savourer avant de se faire rabrouer par ma femme qui veut se faire défoncer, la table ancienne se met à grincer sur ses chevilles, je crains le pire Laurent ne bouge pas d’un pouce, agrippé aux cuisses il ramène à son gré le ventre sur sa queue, la tête de Marion valse de droite à gauche, elle perd pied en hurlant des oui et des non, l’orgasme ne la quitte plus, soudain Laurent bloque sa maitresse sur lui, il décharge une fois de plus, ç’est fini ?
- Mais que fait tu Laurent ?
- Ne bougez pas, je change simplement de trou, je veux ton cul !
- Ce n’était pas prévu !
- Tant que je suis là j’en profite !
Depuis j’assiste à leurs ébats …. Je participe aussi de temps en temps pour des doubles pénétrations, mais je ne suis pas cocu ! !

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