Moi et les Filles (10)
Récit érotique écrit par Seblebeau [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Moi et les Filles (10)
Chapitre 10Moi et mon 19ème anniversaireAu petit matin, ce sont des mains baladeuses qui me réveillent doucement. J’ouvre les yeux pour voir Sandrine en train de tenter de réveiller la bête. Quand elle voit que j’ouvre les yeux, elle s’approche de moi et avant de déposer un petit baiser me dit tendrement :- Bon anniversaire - MerciPuis recommence son œuvre sur mon sexe qui commence à grossir maintenant que je suis complétement réveillé. Puis disparait sous les draps et commence doucement à me lécher ma queue. Une fois bien raide, elle commence par me sucer le gland. Quel délice de cette petite pipe du matin. La nuit ma redonner force et vigueur, je suis prêt pour une nouvelle journée de cadeau sexuel. Maintenant ma bite fait des allers-retours entre les lèvres pulpeuses de Sandrine.
Sans rien dire, elle me grimpe dessus, mon sexe entre facilement tellement la belle est humide et doucement elle commence à me faire l’amour. Rien à avoir avec cette nuit, elle est plus douce, plus câline et moins en chaleur. Comme si elle n’était plus en manque de bite, comme rassasiée et que là maintenant elle est passée au dessert. Elle prend son temps pour le déguster et faire durer ce moment le plus longtemps possible. Je suis encore un peu dans le brouillard mais quel moment sensuel. J’aimerais que cela ne s’arrête jamais.
Son bassin bouge doucement d’avant en arrière. Les yeux fermés, elle pousse de petits murmures de satisfaction. Mes mains caressent sa peau si douce de son corps de femme. Elle est radieuse dans la lumière douce du petit matin qui traverse les rideaux. Ses seins bougent au rythme de ses mouvements, qui sont maintenant un peu plus rapides tout en restant mesurés. Elle a glissé une main dans sa fente et je la sens joué avec son petit bouton pour faire monter son orgasme. De l’autre, elle titille l’un de ses testons.
Puis d’un coup, elle s’allonge sur moi et m’embrasse doucement. Aux tremblements de ses jambes, je comprends qu’elle est en train de jouir. C’est pour étouffer ses gémissements qu’elle a joint nos deux bouches. Après un petit moment sans bouger, elle se redresse, bascule sur le côté et se met à quatre pattes sur le bord du lit. Je comprends sans un mot ce qu’elle désire. Je me lève doucement pour me placer debout derrière elle. Mon mandrin se fait aspirer par la chatte de Sandrine qui n’entendait que cela pour commencer à bouger tout doucement.
Je caresse les fesses de ma belle et de temps en temps chatouille son petit trou. Elle a l’aire d’apprécier et je décide de le titiller un peu plus profondément. Il cède facilement et j’y introduis un doigt. Je sens à travers la paroi de son cul mon sexe faire les allers-retours en elle. Je libère mon doigt pour saisir ses anches. C’est à mon tour de prendre les choses en main et d’imprimer mon rythme. Je sens que je vais bientôt cracher mon venin. Je ralentis alors mon mouvement pour ne pas venir trop vite et prolonger un peu ce moment.
Je retire lentement mon sexe de son fourreau chaud et humide. Pour allonger la belle sur le dos, je relève ses jambes autour de mon cou pour la pénétrer de nouveau. Je la pilonne de grand coup de queue. J’arrive rapidement au point de non-retour et j’accélère alors le tempo pour jouir. Je me retire au dernier moment et je l’asperge de mon foutre par des grandes giclées blanchâtres. Je remets mon phallus au chaud dans le vagin de Sandrine. Pour faire encore quelques allers-retours tant que celui-ci reste dur.
Je reprends doucement mes esprits mais nous restons là, l’un dans l’autre, afin de prolonger le moment. Puis, Sandrine me regarde avec un petit sourire et me dit.
- Au fait, ton père et Rachel sont de retour. C’est pour cela que les filles sont reparties rapidement dans leur chambre ce matin- Ok, donc là tu m’as un peu piégé. Mon père va croire que tu es ma copine et il sait maintenant que l’on couche ensemble. Lui dis-je faussement indigné.
- Effectivement, c’était un peu le but et c’est exactement ce que l’on vient de faire, non ? Comme ça, toi, tu peux continuer à coucher avec Jade et moi avec Victoire.
- Ok, mais là il est l’heure d’aller à la douche car je vais être en retard en cours.
J’essaies de me dégager de Sandrine mais elle n’est pas décidée à me laisse partir comme cela. Ma queue a perdu de sa superbe mais reste quand même dans la chatte de ma maitresse du matin. Elle a passé ses jambes autour de moi et recommence à bouger ses anches. Mais je n’ai pas le temps et je vais être en retard au bahut.
Je l’embrasse tendrement, je lui explique que je ne peux pas rester et que l’on reprendra ce soir. Je me libère de son étreinte et me dirige vers la salle de bain. Je prends rapidement une douche en savonnant abondamment mon sexe qui est encore en érection. Il est très sensible après les ébats de la nuit et du matin. Je sors de la salle de bain encore à poile et Sandrine essaie encore de m’attirer à elle. Je m’habille très vite tout en évitant les assauts de la demoiselle en chaleur. Elle est encore couverte de mon sperme.
En descendant, je croise Rachel qui me souhaite un bon anniversaire en me faisant la bise. Puis, c’est au tour de Jade et de Manon d’en faire de même. Jade me colle littéralement sa poitrine contre le torse, je sens à travers nos vêtements ses tétons pointés. Elle a l’aire très câline ce matin C’est au tour de mon père :- Bon anniversaire mon fils ! Dit-il de sa voix de stentor- Merci- Maintenant que tu as 19 ans, je pense qu’il serait bon que tu passes ton permis de conduire. Et dès que tu l’auras, je te pairais ta première voiture. Me dit-il en me serrant dans ses bras.
- C’est vrai ?
- Si je te le dis. C’est le premier anniversaire que tu passes ici, on va te gâter tu vas voir. Par-contre tu n’as pas vue Sandrine. Dit mon père avec un grand sourire.
- En haut, je crois. J’y vais, je vais être en retard. Un pote doit passer me prendre.
Je m’éclipse rapidement pour éviter la discussion sur ma relation avec Sandrine. Ma journée de cours me semble interminable. C’est le vieux prof de mathématique qui me barbe dans mon dernier cours de la journée. C’est long deux heures de cours magistral en fin de journée. La fatigue se fait sentir après la nuit passée à satisfaire trois filles assoiffées de sexe. Mon esprit divague et je me vois déjà au volant d’une superbe voiture de sport. Je ne peux pas avoir une vieille bouse par mon père.
Cette journée ne peut pas être meilleure à part les cours. Je l’ai commencé par faire l’amour avec ma copine officielle du nord. Elle m’aurait encore bien dévoré tout cru. Mon père m’a promis une bagnole. Et là j’ai l’impression qu’une des filles de la classe me mate depuis ce matin. Elle s’appelle Gisèle, il me semble. Elle est pas mal fichue, de ma taille, blonde, taille fine, belle fesse et beau tour de poitrine. Bref tout à fait à mon gout.
La fin des cours sonne, il est dix-huit heures et c’est le Week end. La soirée se rapproche et j’ai hâte de voir ce que mon père m’a préparé pour mon anniversaire. Outre mon permis et la voiture, il m’a promis une belle soirée. Alors je suis pressé de rentrer, vite les transports en commun et retour à la maison.
J’arrive enfin et je reconnais dans la cour la belle mustang rouge du père de Sandrine. Je rentre et je saluts tout le monde. Sandrine me colle plus que d’habitude et je vois dans le regard de Jade l’envie d’être à sa place. En revanche, le regard du père de Sandrine en dit long aussi. Je ne sais pas si c’est de l’approbation de voir sa fille flirter ouvertement avec un mec ou simplement un : « il était temps ».
Après quelques banalités échangées avec les uns et les autres et les fameux joyeux anniversaires de rigueur, je monte prendre une douche et me changer. Je sors de ma salle de bain en m’essuyant les cheveux comme à mon habitude à poil. Je relève la tête, je remarque une silhouette dans l’ouverture de ma porte, celle de Rachel. Je suis nu devant elle. Il me faut quelques secondes pour réagir et me cacher le sexe avec ma serviette. Décidément, il faut que je pense à me mettre quelque chose en sortant de ma salle de bain. C’est elle qui rompt le silence pesant :- Tiens est-ce que tu peux porter cela ? Me dit-elle en me tendant une petite boite à bijoux- Qu’-est-ce que c’est ?
- Ouvre tu verras bien. Ton père t’avait achetée ce cadeau, il y a quelques années. Mais il n’a pas trouvé le bon moment pour te l’offrir. Me dit Rachel en me tendant la boite.
- MerciJ’ouvre la boite et découvre une superbe gourmette en Or gravée avec mon prénom et ma date de naissance. Avant de repartir, Rachel ajoute :- En tout cas, les chiens ne font pas des chats. Si tu vois ce que je veux dire. Me dit-elle en baissant le regard vers mon entrejambe avec un large sourire.
Cette dernière remarque me fait rougir et me laisse un peu rêveur. Je sens même un début d’érection sous la serviette que je tenais encore d’une main. Au bout de quelque seconde, j’allais refermer la porte quand j’entends des pas dans le couloir. Je passe la tête par la porte avant de lancer :- Tu as oublié quelque chose ? Pensant que c’était Rachel qui a opéré un demi-tour…
Sans rien dire, elle me grimpe dessus, mon sexe entre facilement tellement la belle est humide et doucement elle commence à me faire l’amour. Rien à avoir avec cette nuit, elle est plus douce, plus câline et moins en chaleur. Comme si elle n’était plus en manque de bite, comme rassasiée et que là maintenant elle est passée au dessert. Elle prend son temps pour le déguster et faire durer ce moment le plus longtemps possible. Je suis encore un peu dans le brouillard mais quel moment sensuel. J’aimerais que cela ne s’arrête jamais.
Son bassin bouge doucement d’avant en arrière. Les yeux fermés, elle pousse de petits murmures de satisfaction. Mes mains caressent sa peau si douce de son corps de femme. Elle est radieuse dans la lumière douce du petit matin qui traverse les rideaux. Ses seins bougent au rythme de ses mouvements, qui sont maintenant un peu plus rapides tout en restant mesurés. Elle a glissé une main dans sa fente et je la sens joué avec son petit bouton pour faire monter son orgasme. De l’autre, elle titille l’un de ses testons.
Puis d’un coup, elle s’allonge sur moi et m’embrasse doucement. Aux tremblements de ses jambes, je comprends qu’elle est en train de jouir. C’est pour étouffer ses gémissements qu’elle a joint nos deux bouches. Après un petit moment sans bouger, elle se redresse, bascule sur le côté et se met à quatre pattes sur le bord du lit. Je comprends sans un mot ce qu’elle désire. Je me lève doucement pour me placer debout derrière elle. Mon mandrin se fait aspirer par la chatte de Sandrine qui n’entendait que cela pour commencer à bouger tout doucement.
Je caresse les fesses de ma belle et de temps en temps chatouille son petit trou. Elle a l’aire d’apprécier et je décide de le titiller un peu plus profondément. Il cède facilement et j’y introduis un doigt. Je sens à travers la paroi de son cul mon sexe faire les allers-retours en elle. Je libère mon doigt pour saisir ses anches. C’est à mon tour de prendre les choses en main et d’imprimer mon rythme. Je sens que je vais bientôt cracher mon venin. Je ralentis alors mon mouvement pour ne pas venir trop vite et prolonger un peu ce moment.
Je retire lentement mon sexe de son fourreau chaud et humide. Pour allonger la belle sur le dos, je relève ses jambes autour de mon cou pour la pénétrer de nouveau. Je la pilonne de grand coup de queue. J’arrive rapidement au point de non-retour et j’accélère alors le tempo pour jouir. Je me retire au dernier moment et je l’asperge de mon foutre par des grandes giclées blanchâtres. Je remets mon phallus au chaud dans le vagin de Sandrine. Pour faire encore quelques allers-retours tant que celui-ci reste dur.
Je reprends doucement mes esprits mais nous restons là, l’un dans l’autre, afin de prolonger le moment. Puis, Sandrine me regarde avec un petit sourire et me dit.
- Au fait, ton père et Rachel sont de retour. C’est pour cela que les filles sont reparties rapidement dans leur chambre ce matin- Ok, donc là tu m’as un peu piégé. Mon père va croire que tu es ma copine et il sait maintenant que l’on couche ensemble. Lui dis-je faussement indigné.
- Effectivement, c’était un peu le but et c’est exactement ce que l’on vient de faire, non ? Comme ça, toi, tu peux continuer à coucher avec Jade et moi avec Victoire.
- Ok, mais là il est l’heure d’aller à la douche car je vais être en retard en cours.
J’essaies de me dégager de Sandrine mais elle n’est pas décidée à me laisse partir comme cela. Ma queue a perdu de sa superbe mais reste quand même dans la chatte de ma maitresse du matin. Elle a passé ses jambes autour de moi et recommence à bouger ses anches. Mais je n’ai pas le temps et je vais être en retard au bahut.
Je l’embrasse tendrement, je lui explique que je ne peux pas rester et que l’on reprendra ce soir. Je me libère de son étreinte et me dirige vers la salle de bain. Je prends rapidement une douche en savonnant abondamment mon sexe qui est encore en érection. Il est très sensible après les ébats de la nuit et du matin. Je sors de la salle de bain encore à poile et Sandrine essaie encore de m’attirer à elle. Je m’habille très vite tout en évitant les assauts de la demoiselle en chaleur. Elle est encore couverte de mon sperme.
En descendant, je croise Rachel qui me souhaite un bon anniversaire en me faisant la bise. Puis, c’est au tour de Jade et de Manon d’en faire de même. Jade me colle littéralement sa poitrine contre le torse, je sens à travers nos vêtements ses tétons pointés. Elle a l’aire très câline ce matin C’est au tour de mon père :- Bon anniversaire mon fils ! Dit-il de sa voix de stentor- Merci- Maintenant que tu as 19 ans, je pense qu’il serait bon que tu passes ton permis de conduire. Et dès que tu l’auras, je te pairais ta première voiture. Me dit-il en me serrant dans ses bras.
- C’est vrai ?
- Si je te le dis. C’est le premier anniversaire que tu passes ici, on va te gâter tu vas voir. Par-contre tu n’as pas vue Sandrine. Dit mon père avec un grand sourire.
- En haut, je crois. J’y vais, je vais être en retard. Un pote doit passer me prendre.
Je m’éclipse rapidement pour éviter la discussion sur ma relation avec Sandrine. Ma journée de cours me semble interminable. C’est le vieux prof de mathématique qui me barbe dans mon dernier cours de la journée. C’est long deux heures de cours magistral en fin de journée. La fatigue se fait sentir après la nuit passée à satisfaire trois filles assoiffées de sexe. Mon esprit divague et je me vois déjà au volant d’une superbe voiture de sport. Je ne peux pas avoir une vieille bouse par mon père.
Cette journée ne peut pas être meilleure à part les cours. Je l’ai commencé par faire l’amour avec ma copine officielle du nord. Elle m’aurait encore bien dévoré tout cru. Mon père m’a promis une bagnole. Et là j’ai l’impression qu’une des filles de la classe me mate depuis ce matin. Elle s’appelle Gisèle, il me semble. Elle est pas mal fichue, de ma taille, blonde, taille fine, belle fesse et beau tour de poitrine. Bref tout à fait à mon gout.
La fin des cours sonne, il est dix-huit heures et c’est le Week end. La soirée se rapproche et j’ai hâte de voir ce que mon père m’a préparé pour mon anniversaire. Outre mon permis et la voiture, il m’a promis une belle soirée. Alors je suis pressé de rentrer, vite les transports en commun et retour à la maison.
J’arrive enfin et je reconnais dans la cour la belle mustang rouge du père de Sandrine. Je rentre et je saluts tout le monde. Sandrine me colle plus que d’habitude et je vois dans le regard de Jade l’envie d’être à sa place. En revanche, le regard du père de Sandrine en dit long aussi. Je ne sais pas si c’est de l’approbation de voir sa fille flirter ouvertement avec un mec ou simplement un : « il était temps ».
Après quelques banalités échangées avec les uns et les autres et les fameux joyeux anniversaires de rigueur, je monte prendre une douche et me changer. Je sors de ma salle de bain en m’essuyant les cheveux comme à mon habitude à poil. Je relève la tête, je remarque une silhouette dans l’ouverture de ma porte, celle de Rachel. Je suis nu devant elle. Il me faut quelques secondes pour réagir et me cacher le sexe avec ma serviette. Décidément, il faut que je pense à me mettre quelque chose en sortant de ma salle de bain. C’est elle qui rompt le silence pesant :- Tiens est-ce que tu peux porter cela ? Me dit-elle en me tendant une petite boite à bijoux- Qu’-est-ce que c’est ?
- Ouvre tu verras bien. Ton père t’avait achetée ce cadeau, il y a quelques années. Mais il n’a pas trouvé le bon moment pour te l’offrir. Me dit Rachel en me tendant la boite.
- MerciJ’ouvre la boite et découvre une superbe gourmette en Or gravée avec mon prénom et ma date de naissance. Avant de repartir, Rachel ajoute :- En tout cas, les chiens ne font pas des chats. Si tu vois ce que je veux dire. Me dit-elle en baissant le regard vers mon entrejambe avec un large sourire.
Cette dernière remarque me fait rougir et me laisse un peu rêveur. Je sens même un début d’érection sous la serviette que je tenais encore d’une main. Au bout de quelque seconde, j’allais refermer la porte quand j’entends des pas dans le couloir. Je passe la tête par la porte avant de lancer :- Tu as oublié quelque chose ? Pensant que c’était Rachel qui a opéré un demi-tour…
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