Moi gay, jeune serveur soumis…

- Par l'auteur HDS Castajl1 -
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Récit libertin : Moi gay, jeune serveur soumis… Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Moi gay, jeune serveur soumis…
Je me prénomme Gabriel, j’ai 30 ans depuis un mois, gay passif, 1,72m pour 68kg, cheveux châtain clair, bouclés et semi-longs, légèrement musclé sans excès, monté correctement, poils pubiens et testicules rasés tous les deux jours. Je suis employé de banque dans le 8e arrondissement, Je dois reconnaître que je suis assez « exhibe » et n’hésite pas à profiter de mon charme et de mon corps bien foutu pour attirer le regard de la gent masculine dans des lieux publics et parfois en petit comité entre potes.
J’adore par exemple, très souvent me balader en short large ou pantalon de jogging en free-balling, c’est à dire sans sous-vêtement… les voyeurs ne s’y trompent pas. Certains de mes potes me considèrent à juste titre comme une vraie salope allumeuse, j’accepte cette définition qui me ressemble bien et surtout cette pratique est super excitante et me fout la trique pratiquement à chaque fois que je le pratique.
J’ai un copain régulier de 33 ans, bien monté et uniquement actif, on se voit au minimum trois fois par semaine ou chez moi, ou chez lui et assez souvent le vendredi soir au sauna gay pour faire des rencontres et baiser en groupes dans le hammam.

Le récit que je retrace maintenant s’est déroulé il y a moins d’un an, lorsque je venais de fêter mes 29 ans.

Pour satisfaire l’un de mes fantasmes, j’avais décidé de proposer mes services pour arrondir mes fins de mois, comme « homme de ménage » durant le week-end pour des couples gay ou hommes seuls.
J’avais passé plusieurs fois une annonce sur mon site gay préféré ou j’avais écrit : « Jeune homme gay de 29 ans, je vous propose mes services d’homme de ménage en week-end pour petits travaux ménagers à domicile, je m’adapterai à vos demandes et dans la tenue qui vous plaira, appelez-moi au 06-…. »
Dés ma première annonce j’ai reçu une dizaine de coups de fil, certains me considéraient uniquement comme une pute à baiser chez eux, mais d’autres étaient plus dans le fantasme d’avoir un jeunot à leur service pour le mater et le caresser durant ses travaux ménagers.
C’est bien cette catégorie d’employeur que je visais, mais je ne voulais pas me retrouver chez des vieux vicelards en quête de viande fraiche masculine, j’ai donc sélectionné mon « employeur » assez facilement après avoir discuté avec chacun d’entre eux.
Ma première « prestation » fut la bonne, c’était un beau mâle d’une quarantaine d’années légèrement grisonnant, gay, élégant, c’était un médecin généraliste, il vivait seul dans un bel appartement du XIIe arrondissement de Paris, il se prénommait Aurélien.
Son intérieur ne cachait absolument rien de son attirance pour le corps des hommes, aux murs un nombre important de dessins au fusain représentant de jeunes éphèbes souvent fortement dénudés voire totalement nus dans des positions très suggestives, des sculptures de plâtre ou des bronzes disposés sur ses meubles de belle facture représentant uniquement des corps d’hommes nus laissant apparaître leurs organes génitaux et des reproductions de lithographies de Cocteau dans son salon, puis dans sa chambre quelques sculptures de bois représentant des pénis de toutes tailles en érection. Il m’avait briffé sur son orientation sexuelle… Là, je n’avais plus de doute !
Il m’avait avoué rapidement que je lui plaisais beaucoup, que j’avais du charme, que mon corps correspondait à ses préférences, qu’il craquait devant ma jeunesse arrogante d’érotisme et que ma recherche d’emploi de week-end le faisait fantasmer.
« J’attends de toi, quelques travaux de tenue de mon appartement, ménage, repassage et service à table ou au salon lorsque je reçois mes amis, j’apprécierai que tes tenues soient toujours sexy et suggestives, qu’elles mettent ton beau corps en valeur, je ne te cacherai pas que ta présence ici doit être un véritable plaisir partagé entre toi, moi et mes amis, autrement dit je me permettrai de te mater lorsque tu œuvreras durant tes tâches ménagères ou d’entretien et je ne m’interdis pas de te caresser pour répondre à mes pulsions homosexuelles, libre à toi de repousser mes gestes s’ils te paraissent trop osés ou non souhaités, ou comme je le souhaite de temps en temps les accueillir avec bienveillance et complicité, ceci sera aussi valable si tu l’acceptes envers mes amis gays que je reçois très souvent chez moi ! »
Cette mise au point étant déclinée clairement et mes conditions financières très raisonnables, j’acceptai sans aucune restriction ce « contrat moral » aussi bien envers lui que ses amis.
Aurélien avait ajouté qu’il apprécierait de m’acheter lui-même mes tenues d’intérieur, afin qu’elles répondent à ses fantasmes vestimentaires… Je n’y voyais aucun inconvénient, je lui fournis alors mes mensurations et tailles adéquates afin qu’il fasse ses achats pour le samedi suivant et lui promis que j’obéirai systématiquement à ses choix vestimentaires sans jamais les discuter.
Il est vrai que lorsque j’avais décidé de proposer mes services particuliers sur mes annonces, je ne savais pas trop ou j’allais, j’avais seulement lu quelques récits à ce sujet qui m’avaient émoustillé pour ne pas dire fait bander rien qu’à l’idée de servir en tenue sexy et soumis à un maître porté sur la gent masculine… J’allais enfin vivre pleinement cette expérience.
Durant la semaine qui suivit notre entrevue avec Aurélien, je n’ai cessé de m’imaginer en petite tenue au service de mon maître quarantenaire, plusieurs fois dans mon boulot à la banque je me suis surpris à me caresser le sexe tout en pianotant sur mon ordi en pensant à lui… il ne m’était pas toujours aisé de dissimuler la tension de mon pantalon entouré de mes collègues, j’attendais la fin de semaine et surtout le samedi matin avec une rare impatience.
Le vendredi soir j’appelai Aurélien pour savoir si mon service était toujours attendu, il me confirma avec une certaine fébrilité qu’il n’attendait que ça et qu’il était impatient de me recevoir. Il me confirma avoir fait les achats pour mes tenues, je n’aurai selon lui que l’embarras du choix.
Le lendemain à 8h30 me voici à sa porte, je sonne, il me reçoit pieds nus et en peignoir, il m’embrasse discrètement sur une joue et m’invite à entrer, il me propose de partager le petit déjeuner avec lui.
Autour du café et des croissants, nous discutons de choses et d’autres, puis il m’invite à venir découvrir ses achats me concernant dans sa chambre d’amis…. Il y en avait plein le lit, des shorts tissus et cuir, des tee-shirts, des crop-tops, des débardeurs, des bodies, des maillots de bain, des strings, des boxers, des harnais… on se serait cru dans une boutique spécialisée du Marais, il y en avait pour une fortune d’étalé sur ce lit king-size.
Il me dit : « Voilà tout est pour toi Gabriel, tu vas pouvoir sublimer ton corps jeune et viril, et m’apporter le plaisir de te mater sans restriction, la salle de bain destinée à mes hôtes est à ta disposition, la seule chose que j’attends de toi est de toujours laisser la porte entrouverte lorsque tu y seras ».
Le coquin s’autorisera sans aucun doute de temps à autre, de se rincer l’œil lorsque je serai en nudité totale sous la douche ou devant le miroir du lavabo… J’étais aligné sur ce deal de voyeurisme sans restriction… Qui n’avait rien de déplaisant pour moi, bien au contraire.
Aujourd’hui, me dit-il, je te demande de mettre ce débardeur blanc et ce short satiné rose, tu choisiras librement ton sous-vêtement si tu souhaites en mette un.
Quelques instants plus tard me voici face à lui dans cette tenue estivale, le débardeur fait bien ressortir mes épaules, mes abdos et mes tétons quant au short, ce coquin m’avait pris la taille mini qui moulait exagérément mon anatomie trop serrée, j’avais mis un jock-strap CK dessous.

« Wouahhh tu es trop beau mon garçon ! », il s’approche et me caresse les fesses en guise de validation de ma tenue… Tu me plais beaucoup ! Ton petit cul me fascine, tu ne peux pas savoir combien la présence d’un jeune minet beau comme un ange chez moi me transcende ! »
« Merci c’est gentil » lui répondis-je avec un sourire complice.
Il me donna les premières instructions, ranger la cuisine, mettre les couverts au lave-vaisselle, passer le balai et ensuite remettre en ordre le salon et épousseter les meubles.
Puis il vira son peignoir devant moi, je le découvris bien bâti et bien bronzé en shorty-dentelles gris foncé semi-transparent, ce qui me permis de deviner sa belle paire de fesses et sa raie noire bien visible, comme il s’était retourné trop rapidement je n’avais pu voir que très furtivement son paquet qui me sembla de belle taille.
Il disparut dans sa salle d’eau en laissant la porte entrouverte… le coquin !

Je commençai ma fonction d’employé de maison en attaquant la cuisine… Ça me faisait tout drôle de faire ces taches chez un inconnu, en tenue on ne peut plus provocante, j’étais sur mon petit nuage… J’allais pouvoir jouer mon rôle de pédale allumeuse face à ce beau toubib.
Après une demi-heure, il revint habillé d’un jean blanc et une chemisette bleue très élégant, il se mit le long de l’huisserie de la porte en prenant un plaisir non dissimulé à me mater, moi avec mon côté « exhibe » je n’hésitais pas à amplifier mes mouvements de fesses, de me baisser en lui offrant la vue de mon petit cul de lope ou en me passant de façon anodine la main sur mon anatomie bien moulée dans ce short trop court.

Lorsque je passais au salon, lui s’était installé dans son fauteuil avec un bouquin et moi j’œuvrais à faire la petite main tout en me trémoussant discrètement, lorsque je passais à proximité de son fauteuil, je sentais le dos de sa main me frôler les cuisses, je ne réagissais pas, mais profitais de ses effleurements avec délectation.
Décidemment j’adorais ce job de week-end.
Il me demanda en fin de matinée de donner un coup dans sa salle d’eau, ce que je fis dans la foulée, ce coquin avait laissé son shorty-dentelles bien en évidence sur le bord du lavabo et son peignoir au sol, je me mis à quatre pattes pour nettoyer le bac de la douche à l’italienne et m’aperçu qu’il était en train de mater mon petit cul, évidemment j’en profitai pour remuer mon fessier telle une chienne en chaleur, il ne tarda pas à se passer la main sur la braguette en guise de satisfaction.
Il me demanda si son shorty-dentelles me plaisais !
Je lui confirmai que j’aimais ce type de sous-vêtement, que moi-même je portais souvent un shorty ou en string-dentelles, j’ajoutais qu’il le portait à la perfection et que la semi transparence de cette matière plutôt féminine mettait en valeur ses belles fesses imberbes.
Il apprécia mon commentaire élogieux et me demanda si j’étais capable de renifler celui qu’il avait porté toute la nuit ?
Un peu surpris par cette question improbable mais non moins excitante, je lui répondis que oui, j’aimerai ressentir son odeur de mâle au travers de la dentelle, ce que je fis sans me faire prier… Puis il s’approcha de moi me serra de très près et on s’est mis à renifler son shorty tous les deux avec de grandes inspirations…
Il me remercia en me passant la main dans ma touffe de cheveux épaisse et bouclée : « Merci je t’adore, tu me plais beaucoup Gabriel, tu peux le mettre au sale maintenant, devine ce que je porte ce matin sous mon Jean ? »
Toujours surpris par ses questions improbables : « Je ne sais pas, un boxer ? »
Non, ouvre ma braguette et regarde.
Alors là, il attaquait fort mon patron... On n’était lus dans les tâches ménagères !
Je le regardai un peu hébété et surpris… « Vas-y mon garçon, puisque je te le demande » me dit-il avec un grand sourire.
Je m’accroupi donc à ses pieds, et entrepris de baisser sa fermeture éclair lentement, de dégrafer sa ceinture de cuir noire et d’ouvrir son Jean blanc…
Et là, je découvre un beau paquet emballé dans un string léopard, le bombé de ses testicules et l’empreinte de son membre plaqué sur le côté gauche étaient parfaitement moulés, J’en était sûr à ce moment, Aurélien était bien pourvu le coquin !
Je croyais rêver, j’étais embauché du matin même chez mon employeur du week-end avec qui j’avais fait connaissance tout juste huit jours avant et me voici à genoux à ses pieds à dix centimètres de sa queue !
Alors ça te plait ?
Je lui bafouille une réponse perturbée : « Euh, oui, oui bien sûr, il vous va bien… mais euh, je suis euh…»
« Quoi ne me dis pas que c’est la première fois que tu es le nez face à un sexe d’homme ? Tu aimes la bite si j’ai bien compris ? »
Sa question fut tellement violente et inattendue que j’étais totalement perdu et tout rouge.
Je lui réponds : Oui, j’aime bien, enfin oui je vous confirme…
« Alors écoute mon petit Gabriel, contente-toi de lui déposer juste un petit bisou au travers du lycra, et le moment venu, je te promets, je te confierai tout ce beau paquet pour toi tout seul ! »
Il me demandait de lui embrasser le gland… Non mais… sérieux ?
J’étais en train de vivre une situation ubuesque et bandante à la fois…
« Allez, ne te fais pas prier petit pédé, je te l’ordonne ! »
OK, puisqu’il me l’ordonne, je lui déposai un baiser du bout des lèvres sur l’empreinte du gland qui était parfaitement moulée sous ce lycra aux couleurs sauvages.
Il remit son pantalon et me dit : « Tu es un amour d’employé, je ne regrette pas de t’avoir embauché en extra pour le ménage et pour le reste ! »
J’imaginais bien ce que pouvait signifier « Le reste ».
Après tout, c’est moi qui avais tenté cette expérience en diffusant mon annonce, il fallait bien imaginer qu’une petite lope comme moi qui se faisait embaucher chez un pédé allait un jour ou l’autre devoir soumettre son petit cul à la bite de son employeur… et ce beau salaud m’y préparait bien !
Mais mon rôle d’allumeur (ou d’allumeuse) devait durer… Aurélien s’en délectait aussi, un baiser sur son sexe emballé n’avait pour but que d’exciter son désir sexuel tout en s’interdisant de se faire sucer tout de suite par son jeune « homme de ménage », sa patience sera bien un jour récompensée.
Le midi nous mangeâmes dans son coin repas, notre discussion dérapa rapidement sur nos activités coquines, lui m’avoua qu’il rencontrait régulièrement quelques amis gays du monde médical avec qui il participait à des gang bangs débridés, qu’il passait ses vacances dans des clubs naturistes gays du sud de la France ou en Corse et moi je lui avouais mes aventures avec des hommes murs entre 40 et 55 ans, que j’étais adepte des saunas et que j’étais plutôt passif.

L’après-midi je devais m’occuper de sa chambre et de la chambre d’amis et du couloir, vers 14h30 il m’invita à changer de tenue en me demandant de mettre un tee shirt XXL et un jock-strap noir, du coup avec ce tee shirt extra large et quatre fois trop long on aurait dit une nana car mon jock n’était visible que lorsque je me penchais exagérément offrant une vue privilégiée sur mes fesses imberbes.
Il m’avoua que cette tenue l’excitait beaucoup et que mon côté féminin avec mes cheveux abondants bouclés et ce tee-shirt que je portais comme une mini robe me donnait un look d’allumeuse de night-club.
Je pris cette remarque comme un compliment car lorsque je m’exhibe en public j’aime provoquer en portant une tenue ambiguë aux yeux des mecs.
Aurélien, me découvrant ainsi très excitant, me demanda si j’aimerai me vêtir ainsi, hyper sexy pour assurer un service à table lorsqu’il reçoit ses amis de la jaquette ?
Je lui répondis que je le faisais parfois entre potes lors de soirées olé, olé et même qu’un jour j’avais servi le champagne dans une tenue semblable dans un club libertin où mecs et nanas m’avaient ploté les fesses sans retenue et qu’ensuite les mecs m’avaient palpé le paquet à plusieurs jusqu’à me faire éjaculer dans leurs flûtes qu’ils ont ensuite dégustées, mélangeant mon sperme avec un Veuve Cliquot millésimé.
« Ah oui quand même ! Tu es une vraie petite pute c’est top ! Je t’aime de plus en plus ».
Oui, c’est mon côté petite salope... Je dois l’avouer.
« Mais c’est très bien ainsi mon garçon ».

Durant l’après-midi j’ai donc assuré le grand ménage des chambres jusque sous les lits, où ma position le cul en l’air excitait mon patron qui n’en perdait pas une goutte, plusieurs fois je sentis sa main caresser mes fesses, mais toujours dans la retenue et le respect, c’est incroyable ce que son attitude d’approche douce et suggestive sans aucune brutalité ou insistance est hyper bandante, il profite des situations dans le total respect de ma personne.
Il prend son pied et moi le mien… C’est top !

En fin de journée, il m’invita à prendre un jus d’orange avec lui dans le salon puis m’invita à aller à la douche, je lui répondis que ce n’était pas nécessaire et il m’ordonna d’y aller !
Je ne me fis pas prier deux fois, comme il me l’avait demandé, je laissai la porte de la salle d’eau ouverte, je me déshabillais et me glissais dans la douche à l’italienne… et quelques instants plus tard mon beau quarantenaire fit son apparition dans la salle d’eau embuée, il avait revêtu un bermuda léger d’intérieur et se délectait de me mater me savonner, évidemment je rallongeais le temps de savonnage pour satisfaire mon employeur-voyeur qui se palpait l’entrejambe avec délectation, lorsque je sorti de la douche je lui demandais de m’essuyer….
Un peu surpris par ma demande, il s’exécuta avec plaisir, son essuyage dura bien un quart d’heure, il passait et repassait la serviette éponge sur toutes les parties de mon corps, m’essuyait les cheveux, me caressant les fesses, les seins, les abdos, il descendit subrepticement sa main sur ma queue à demi bandée, il la prit en main et amorça une masturbation pendant trois à quatre minutes, puis s’agenouilla et m’embrassa le gland totalement décalotté, il me palpa ma paire de couilles rasée et bien pendantes, puis se releva et me dit :
« Tu es trop beau, tu me fais bander petit salaud… C’est trop bon ! Dépêche-toi de t’habiller et de rentrer chez toi ! »
C’est donc à poil, que j’allais dans la chambre d’amis, je lui demandai si je pouvais mettre un string ficelle blanc issu de ses achats pour repartir chez moi ?
« Bien sûr, ces sous-vêtements sont pour toi, je veux juste que tu me montres comment tu le portes »
J’enfilai donc devant lui ce string satiné et offrit à Aurélien un mini défilé dans son salon et son couloir en dandinant mon petit cul, mon service trois pièces étant parfaitement mis en valeur dans ce petit bout de tissus trop juste et la ficelle disparaissant dans ma raie des fesses.
« Tu es sublime, petite salope… Dépêche-toi de t’habiller avant que je ne te saute dessus ! », et il me claque les fesses au passage.
Je terminai de me rhabiller, jetant mon boxer avec ses affaires sales, après tout… j’étais presque chez moi !

Avant de partir il m’annonça que le samedi suivant il recevrait deux de ses amis intimes en soirée et qu’il comptait sur moi pour préparer leur accueil et me demandait de tenir ma promesse pour assurer un service parfait… parfait (il me l’a répété deux fois avec un clin d’œil).
« Je leur ai parlé de toi… Ils sont impatients de faire ta connaissance ».

Sur ces bonnes paroles, nous nous sommes dit aurevoir, derrière la porte d’entrée, il n’a pas pu se retenir de m’embrasser sur la bouche et très furtivement il m’engouffra sa langue dans la bouche et me roula une pelle en me caressant les cheveux fougueusement… Je me suis laissé faire.
« Allez, file petit chenapan ! Et à samedi ! »

Je ne vous dis pas la semaine de ouf que j’ai passé, en permanence je me repassai le film des séquences chez mon employeur du week-end, le soir sur mon lit tout en me caressant je revivais les courtes séquences de tentatives de séduction d’Aurélien, toutes ces petites attentions brèves comme les caresses sur mes fesses ou mes cuisses, le regard coquin, son voyeurisme discret lors de mes positions suggestives de ménage, sa masturbation furtive, l’essuyage délicat de mon corps à la sortie de douche, puis cette pelle roulée en guise d’aurevoir… Je n’avais qu’une hâte, c’était d’arriver au samedi matin suivant où je le retrouverai aussi coquin lui et peut-être ses amis.

Le samedi suivant, 8h30 fébrile et impatient je sonnai à sa porte, Aurélien attendait sa proie jeune et élégante, j’étais en baskets, bermuda jaune poussin et sweat léger noir.
« Entre vite, comme tu es élégant ce matin », il me déposa un baiser sur la bouche et m’invita à sa table de petit-déjeuner dans sa cuisine, ça sentait bon le café et les croissants frais nous attendaient sur la table.
Nous avons discuté de nos impressions ressenties suite au samedi précédent, tous deux avions vécu ce samedi comme un véritable rêve… Lui, accueillant un jeune homo à disposition pour l’entretien de son appartement et moi ayant vécu mon fantasme de servir en tenue très légère un maître gay dans la quarantaine élégant, bien foutu et respectueux !

Il m’expliqua comment il voyait la journée, ma mission était de remettre tout son appart en ordre, donner un coup de propreté dans toutes les pièces, un peu de vaisselle à faire, préparer la chambre d’amis… au cas où ? A midi nous grignoterons tous les deux, dans l’après-midi un traiteur doit livrer le dîner, nous préparerons l’apéro et le brunch, puis ses deux amis devraient arriver vers 19h30.
Il me demanda pour ce matin de revêtir un maillot de bain « Tof » taille basse de type sunga uni de couleur parme avec lacets blancs et une chemisette unie de couleur écrue qu’il m’exigea de maintenir ouverte afin de profiter pleinement de mon torse imberbe et mes abdos.
« Wouahh, j’aime beaucoup, vois-tu, mon trip à la plage c’est de mater les beaux mecs comme toi en maillot de bain et d’imaginer leur anatomie en fonction du relief qu’ils offrent… Comme on dit j’aime les poutres apparentes !... Et la tienne me convient parfaitement. »

Je le remercie de ce compliment flatteur et pars en cuisine pour faire la vaisselle, lui repart dans la salle d’eau.
A plusieurs reprises nous nous sommes croisés dans l’appart et à chaque fois j’ai eu droit à une petite claque au cul, puis lorsque je suis allé nettoyer et ranger sa salle d’eau, il me coinça le long du lavabo, approcha sa bouche de la mienne et me roula une super pelle très gourmande qui dura bien cinq minutes et entrepris de me palper le sexe fougueusement au travers de l’élasthanne jusqu’à l’érection totale de mon membre dont le gland sorti rapidement du slip de bain, je me suis senti obligé de lui infliger la même punition en palpant son entrejambe qui bandait aussi au travers de son pantalon de toile, nos palpations et embrassades ont bien duré un quart d’heure, c’est moi qui lui ai demandé d’arrêter car j’étais limite de larguer ma purée par l’excitation de nos palpations fébriles et accélérées.

Chacun repris ses activités, moi dans la salle d’eau et lui parti faire son courrier dans le salon.
En suivant, j’entrepris de remettre le salon et le coin repas de sa grande pièce à vivre en ordre, tout en étant plongé dans ses papiers il exigea que j’enlève ma chemisette pour satisfaire son plaisir de voyeur à me mater œuvrer à demi nu dans ce slip de bain minimaliste, ce pédé de toubib prenait son pied en se caressant l’entrejambe… Et moi avec mon côté « Exhibe » je faisais en sorte d’utiliser des postures outrageusement suggestives, par exemple en passant un coup de chiffon volontairement long et sensuel sur les pieds de table en position accroupie et écartant au maximum mes cuisses face à lui, au point que mes couilles ainsi plaquées dans ce mini slip sortaient en parties de chaque côté de mon entrejambe, ou parfois en tendant mon petit cul dans sa direction lorsque je faisais le dessus des meubles, ou en m’approchant face à lui en me palpant le paquet ou en réajustant mon service trois pièces en glissant ma main dans le maillot de bain en le fixant du regard… Et ce petit salaud prenait à chaque fois son pied, parfois en me le confirmant par quelques mots du genre :
« Tu me fous la trique… Petit pédé… Tu es vraiment une belle salope… Je mouille… je t’adore petite pédale… J’ai envie de te baiser… Putain j’en peux plus…»
C’était un véritable jeu entre nous : Moi l’allumeur et lui l’allumé, décidemment j’avais bien fait de rechercher un tel emploi… et surtout de trouver cet employeur !

Le midi nous mangeâmes vite fait sur le pouce, moi toujours torse nu et dans mon bout de tissus de bain qui ne couvrait pas totalement ma raie des fesses et ma queue proéminente bien moulée et Aurélien avait décidé de revêtir lui aussi un boxer de bain blanc qui faisait ressortir à merveille son bronzage, je le félicitai pour cette tenue très sexy qui mettait bien en évidence sa masculinité et sa virilité, Aurélien en avait entre les jambes, j’espérais bien à un moment ou un autre apprécier son contenu sans sous-vêtement et pourquoi pas engloutir dans ma bouche cette bite qu’il n’arrêtait pas de flatter de sa main gauche !

Après le repas il m’invita à prendre le café dans le salon, sur son canapé de cuir beige, puis il se mit à me confesser que ce même canapé aurait beaucoup de choses à raconter, de nombreux ébats avec ses amis, aussi avec quelques patients intimes avec qui il avait poussé un peu loin les consultations hors de son cabinet professionnel et une fois où il avait dépucelé un jeune asiatique de 19 ans en mal de mâle !
Ses récits à peine terminés, il me fit mettre debout face à lui et me tira aux pieds mon slip de bain, ma queue ainsi libérée eu un mouvement de ressort, elle était au niveau de son visage, il me pris les couilles et se mit à me les palper avec douceur et professionnalisme, puis tout en me caressant les fesses, il mouilla son majeur et me doigta lentement et profondément en titillant ma prostate, je me mis à gémir assez rapidement, il maîtrisait parfaitement son doigter, c’est un professionnel du corps humain… et surtout du corps des hommes !
De l’autre main il vira son boxer blanc, nous étions maintenant à poil tous les deux, il me coucha sur le canapé tout en continuant son doigtage expert et encouragé par mes petits cris de pute qui trahissaient mon extrême plaisir un brin douloureux mais tellement jouissif, quel pied… Lui, bandait comme un âne, son membre faisait bien 18x4 et sa paire de couilles lisses et rasées étaient bien pleines… Je me mis à le branler doucement au début et plus il me faisait crier comme une chienne plus mes mouvements de va et vient s’accéléraient, son gland large et violacé était totalement décalotté, je bandais comme un malade mes 17,5 était tendus et mon excitation anale ayant atteint le Nirvana de l’extase, je me mis à geindre comme une bête et largua soudainement par grands jets mon sperme épais sur le canapé et lui dans la foulée cessant son doigtage de pédé expérimenté, repris sa masturbation de plus belle, il branlait son pieu de façon sauvage et rapide ses yeux trahissaient son état semi inconscient et dans un cri de bête ahurissant il m’éjacula sur le ventre et les cuisses par son sperme chaud et très liquide qu’il crachait en quantité abondante et saccadée, l’odeur de sperme avait soudain envahi le salon, il exigea aussitôt que je lèche nos nectars ainsi libérés… Je ne me fis pas prier… Avaler le sperme ne m’a jamais rebuté… au contraire.
Après ces ébats fébriles nous nous embrassâmes longuement étalés sur ce canapé humide et nos corps dégoulinants de sueur, puis c’est dans la douche à l’italienne que nous terminâmes nos caresses érotiques.
On s’est essuyés mutuellement et enfilés chacun un jock-strap « Addicted » le sien était rouge vif et le mien noir, nos fesses bien à l’air nous donnaient ainsi du cœur à l’ouvrage pour préparer la soirée.
J’étais bon pour nettoyer notre foutre étalé sur le canapé de cuir.
Vers 16h la sonnette retentit, c’est le traiteur qui venait livrer, Aurélien me demanda d’enfiler rapidement ma chemisette histoire d’être présentable, il m’avait prévenu que ce traiteur est un ami homo lui aussi et qu’il connaissait les habitudes vestimentaires et les mœurs de la maison.
Effectivement lorsque j’ai ouvert la porte en chemisette et jock, il eut un rapide coup d’œil vers mes jambes dénudées et pieds nus mais ne fit aucun commentaire, il avait un grand sourire qui laissait penser qu’il comprenait que la soirée serait chaude.
Il apprécia sans aucun doute de découvrir mes petites fesses lorsque je lui tournais le dos en allant vers la cuisine.
Aurélien vint le régler, toujours en jock et un large tee-shirt, notre traiteur avant de partir nous souhaita une très bonne soirée avec un grand sourire plein de sous-entendus.

Tous deux avec Aurélien nous avons préparé la table toujours en petite tenue, les claquements de fesses réciproques faisant partie de nos occupations en vue d’accueillir les deux invités.

Après une douche… Chacun dans notre salle de bain, nous nous préparions vers 18h à recevoir ses invités, Aurélien m’avais demandé de porter un short TOF ultra court Kinky imitation cuir me moulant éxagérement le sexe et le rebondi de mes fesses… Aucun sous-vêtement dessous… Un vrai bijou, sexy au possible et pour le haut un crop-top en tissus mesh micro perforé noir qui ne me couvrait que les seins.
« Tu es trop sexy Gabriel… Tu fais très pédé… mes amis vont fondre en te voyant c’est sûr ! » et tout en me félicitant pour cette tenue provocante, il me frotta lentement sa main experte et m’enveloppa la bosse pour m’empoigner le paquet vigoureusement et me déposa un baiser sur la bouche.
Quant à lui, il avait revêtu un ensemble en lin naturel relativement ample et ouvert sur le devant afin de mettre en évidence ses pectoraux bronzés et bien sculptés.
« Tu n’es pas en reste coquin » lui dis-je en lui tapotant les fesses et en constatant qu’il n’avait rien dessous.

Tout était prêt pour l’accueil de ses amis.
Vers 19h15, la sonnette d’entrée retentit, Cyril et Adrien ses amis étaient là, l’un avec une bouteille de Champagne et l’autre avec un petit paquet, ils entrent, Aurélien fait les présentations, de toute évidence ma personne les interpellent car ils sont tous deux attirés par mon sourire et ma jeunesse, ils n’ont pas manqué de me l’avouer… Leurs regards n’ont pas attendus pour se diriger sans discrétion vers l’empreinte bien moulée de mon short cuir.

Ils se mettent à l’aise, tous deux en costume d’été très léger l’un beige et l’autre bleu ciel et chemisettes blanches.
Cyril est dentiste et Adrien podologue, le monde de la santé était bien représenté ce soir-là.
Au salon les trois convives s’installèrent dans le canapé et les fauteuils de cuir autour de la table basse que je m’empressai de garnir de petits fours chauds, d’amuse-gueules divers et j’apportai les flûtes et servi le Champagne, Aurélien m’ayant demandé de venir trinquer avec eux, car même si mon rôle était d’assurer le service pour la soirée je n’en n’étais pas pour autant exclu de leur cercle restreint… Bien au contraire.
Aurélien ouvrit le paquet offert par Adrien…. C’était un plug acier de belle taille avec à son extrémité un gros diamant de couleur améthiste… Aurélien embrassa son ami pour ce présent qu’il aura beaucoup de plaisir à introduire dans son intimité.
En me regardant il me lança : « Si tu veux l’essayer Gabriel, je pourrais te le prêter ».

Tous les trois, ils ne tarissaient pas de compliments me concernant, du genre :
« Tu as un jeune employé très élégant et fort sexy, nous sommes vraiment gâtés de soir, j’adore votre tenue très suggestive Gabriel, je me sens pousser des ailes auprès d’un jeune homme comme vous… »
J’en était presque gêné, mais je savais aussi que la soirée étant 100% gay, les remarques et réflexions serait très orientées !
A plusieurs reprises lorsque je me levai pour assure le service et remplir les flûtes, chacun des trois se laissait aller à me caresser les cuisses, les bras ou les fesses, je respectais les consignes d’Aurélien : « Merci de te laisser faire, cette soirée doit être un plaisir pour nous quatre, chacun d’entre nous doit prendre son pied ! »

Je n’hésitai pas à m’accroupir afin de leur faire profiter de mon entrejambe bien moulé ou de me pencher en avant en leur tendant mon petit cul bien serré dans ce short façon cuir afin qu’ils bavent de tentation et de fantasmes… A tous les coups je gagnais mon pari.

Après avoir débarrassé la table basse de l’apéro, j’installe les assiettes et couverts en vue de passer au brunch toujours dans le salon, deux bouteilles de Champagne avaient été éclusées en une heure et demie, l’ambiance s’était sérieusement réchauffée, les plaisanteries grivoises commençaient à fuser, les mains devenaient baladeuses entre eux, mais je dois reconnaître que c’est bien moi qui assurait l’attraction de la soirée, plusieurs fois Cyril ou Adrien m’ont invité à m’asseoir où sur leur genoux ou auprès d’eux afin de faciliter les caresses sur mon corps, les baisers ou les passages de main dans ma chevelure dense et bouclée, les mains glissées dans mon short pour me caresser la raie…

Là j’étais arrivé à carrément jouer la pute de service pour mes trois pédés aux cheveux grisonnants !
Ceci dit, je prenais mon pied sans refuser aucun geste même osé soit-il, ils étaient là pour fantasmer sur le corps d’un jeune homo bien foutu et consentant… C’était pour eux le Nirvana !

En fin de brunch nous nous sommes tous les quatre retrouvés torse-nus, Adrien et Cyril s’étaient libérés de leur pantalon d’été, Cyril en shorty CK blanc et Adrien en string orange aux fesses demi couvertes, puis Aurélien vira son pantalon de lin pour nous offrir ses belles fesses bronzées, et c’est la queue à l’air qu’il mis de la musique jazzy et les galoches commencèrent à se rouler entre chacun d’entre nous, pour moi il n’était plus question d’assurer le service mais plutôt de répondre aux sollicitudes érotiques de mes trois pédés surexcités et bien shootés au Champagne.

A un moment Aurélien exigea que je monte sur la table basse afin que ces trois tapettes me palpent sur tout le corps alors que je devais danser au rythme de la musique dont il avait augmenté le volume.
Ainsi mon corps fut pris d’assaut par ces six mains fébriles et vicelardes, je bandais comme un âne dans ce short devenu trop serré, Cyril décida de mettre fin à mon supplice et me tirant le short à mes pieds et le balança au travers du salon, mon membre avait une érection rarement atteinte, il était hyper dur et mon gland totalement décalotté brillant et humide de mon liquide pré-séminal car je mouille toujours énormément lors des préliminaires, Aurélien englouti ma queue en fond de gorge et commença à me pomper, Adrien me titillait les tétons à me faire couiner en me palpant les couilles toutes lisses de l’autre main et Cyril me léchait le cul en m’enfonçant au plus profond qu’il pouvait sa langue chaude et humide… Je n’en pouvais plus, après dix minutes j’étais à la limite de leur éjaculer en plein visage, trois mecs sur moi, je ne l’avais jamais vécu aussi intensément puis me voyant totalement en transe Aurélien le membre raide m’exigea de descendre de la table, de m’allonger sur le dos le canapé et se mis à me présenter sa bite hyper tendue et s’amusait à simuler un début de pénétration en plaquant son gland dans mon entrejambes et le frottait sur ma paire de couilles, moi jambes en l’air totalement écartées j’attendais que sa belle queue me pénètre profondément… Ce qui ne tarda pas, encouragé par ses deux copains, Adrien approcha son pieu tendu au niveau de ma bouche et me l’enfonça dans la gorge en assurant des va et vient saccadés et pendant ce temps d’enculade et de fellation forcée, Cyril sorti son iPhone ce petit vicelard pour faire une série de clichés sous toutes les positions.

Après un quart d’heure de limage intense, Aurélien s’est vidé les couilles en s’éjectant rapidement de mon trou, il me largua sa purée épaisse sur le ventre par grands jets blanchâtres et chauds alors que Adrien m’éjaculait dans la bouche et la gorge, je manquais de vomir tellement son pieu était large et long d’au moins 18cm, j’avais une quantité de sperme en bouche invraisemblable, j’ai dû en recracher une partie sur le canapé et à peine libérer de ces deux queues, que Cyril se pointa à son tour entre mes cuisses avec son dard de 19x4 et l’introduisit facilement dans mon trou béant puisque Aurélien avait déjà bien buriné mon anus, ce salaud me défonça le cul pendant au moins dix minutes et finit par me larguer sa semence en moi, j’ai soudain senti une chaleur m’envahir les entrailles par saccades, lorsqu’il retira sa grosse bite de mon trou endolori elle gouttait encore et il l’enfila aussitôt sans hésiter dans la bouche grande ouverte d’Aurélien qui attendait à genoux de finir le nettoyage du zob encore raide de son pote.
Entre temps, Adrien avait entrepris de me branler vigoureusement en vue de me faire cracher tout mon jus de petite salope et pour ce faire il me masturbait de la main gauche et me palpait les couilles lisses et pendantes de la main droite, il me branlait tellement fort que j’en criais de douleur jusqu’au moment où j’ai largué mon sperme abondant sur mon ventre et mes seins. Et les trois tentouses se jetèrent sur mon nectar encore chaud pour me lécher le ventre et avaler mon jus de lope épais et bien blanc.

Après ces échanges virils, nos quatre bites étaient devenues à demi-molles, nous avons trinqués à ces ébats entre mecs, mes trois compères m’ont remercié pour avoir été au top et d’avoir assuré sans condition ma fonction de passif.

Nous nous sommes retrouvés sous la douche dans le quart d’heure qui a suivi, deux par deux dans chacune des salles d’eau, chacun savonnant et caressant son partenaire d’un soir, puis chacun essuya langoureusement son compagnon de douche.

Il était deux heures du matin, l’heure de rentrer pour Adrien et Cyril qui avaient commandé un taxi.
Quant à moi j’ai passé la nuit aux côtés de mon employeur bien aimé dans son lit douillé, mais avant de s’endormir ce pédé d’Aurélien excité comme un cerf en rut m’a honoré une seconde fois en exigeant de m’enculer en levrette sur le lit… Il était déchainé, il me ramonait en gémissant, il m’a démonté le cul à grands coups de boutoir, il m’avait épuisé… Puis, après qu’il m’ait inondé les entrailles de son foutre chaud… L’anus douloureux et la raie dégoulinante de son sperme je suis allé chercher deux flûtes et une bouteille de Champagne à demi pleine, j’ai rempli les flûtes au pied du lit, je me suis masturbé face à lui jusqu’à éjaculation dans les flûtes pétillantes et nous avons dégusté ensemble ce cocktail Veuve Cliquot aditionné de mon foutre bien épais avant qu’il me suce les dernières gouttes sur mon gland rouge vif, nous ne nous sommes endormis qu’après trois heures et demie du matin… épuisés et enlacés, nus comme des vers, lui me plaquant son sexe à demi bandé calé dans la raie de mes fesses encore endolories… Un vrai bonheur de s’endormir dans cette position j’adore !

Il est évident que j’ai adoré cet emploi de serveur chez Aurélien, mon emploi de week-end chez lui a duré près de six mois, tous deux avons bien goûté et usé de cette période ensemble et plusieurs fois avec ces amis intimes, avant que je sois obligé de déménager à Béziers pour mon boulot, où là, après avoir passé ma petite annonce sur un site gay du sud de la France j’ai retrouvé en moins de deux semaines un nouvel employeur… Un couple gay de blacks charmants et très sympas, 36 ans pour l’un, informaticien et 48 ans pour l’autre, vendeur en vêtements de luxe, le plus âgé monté comme un cheval et accro de sodomie… le second versatile et très imaginatif… Inutile de vous dire que j’en ai rapidement eu « plein le cul », dans le meilleur sens du terme, de ce boulot de serveur soumis avec eux… Mais alors quel plaisir partagé !

C’est un emploi que je conseille à tous les garçons gays en recherche de job occasionnel, on arrondit les fins de mois, on se fait baiser aisément… Et surtout tout le monde prend son pied !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire hyper sexy, hyper chaude, que chacun aimerait vivre !
Fan de lingerie masculine sexy, je me suis régalé à la description des tenues plus que provocantes.
Une suite serait géniale !
Bravo et merci !



Texte coquin : Moi gay, jeune serveur soumis…
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