Moi, la voisine et ma chef (partie 2)
Récit érotique écrit par Sexapile33 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Moi, la voisine et ma chef (partie 2)
Je la regardais s’éloigner et voyais ses hanches bien rondes dans un pantalon droit avec une liquette blanche et noire. Ses cheveux étaient coiffés sur une épaule et donnaient à son visage un éclat splendide. Son maquillage lui faisait ressortir ses yeux verts avec une luminosité que je n’avais pas vue les fois précédentes. Elle revint vers moi et me débarrassa de mon manteau. Elle m’emmena dans un petit couloir qui donnait sur une petite chambre dans laquelle trônait un lit et une étagère bricolée avec une penderie. Elle jeta mon manteau sur un coin de l’étagère libre et me dit « Voilà le seul coin que tu n’a pas vu puisque le reste est comme chez toi… Je vie dans le luxe, j’ai une chambre particulière ». Elle sourit et je lui répondis « C’est vrai qu’une chambre me manque chez moi. Quand je fais la cuisine, tout sent la bouffe ». Elle passa à côté de moi dans le petit couloir et nos corps se touchèrent doucement dans un frottements de tissus.
Elle s’arrêta face à moi et regarda ma poitrine avec la lavalière. Sa poitrine touchait presque la mienne et elle me dit « Je vois que tu as rangé tes affaires…c’est bien mieux » et elle pouffa de rire en allant vers le salon. Je hochais la tête en la suivant et je me sentais bien en présence de cette fille. Elle me proposa un verre tranquillement en attendant Carole, son autre copine qui travaillait comme une dingue la semaine et qui n’avait pas beaucoup de temps le samedi pour faire ses courses et son ménage.
Nous prîmes toutes les deux un porto et nous fîmes connaissance. La musique de la radio faisait une ambiance cool et j’appris qu’elle venait de Lyon et qu’elle était sur Paris depuis trois ans. Je lui dis que j’étais sur Paris depuis deux ans et que j’étais seule depuis tout ce temps. A 19h25, Sybille se rendit compte qu’elle avait oublié de préparer les amuses gueules et elle se leva pour les faire à la cuisine. Je l’accompagnais et nous nous retrouvions toutes les deux côte à côte à couper les toasts et mettre les ingrédients dessus. Je me sentais vraiment bien et sa présence à mes côtés me rendais plus sereine. Nous travaillions comme deux grandes copines tout en rigolant sur des sujets très divers. La sonnette retentis et Sybille me laissa travailler pour aller ouvrir à sa copine. J’esperais que cette fille n’allait pas foutre en l’air la bonne entente qui se mettait en place entre Sybille et moi. J’entendais les voix dans l’entrée et je m’essuyais les mains pour aller saluer cette nouvelle venue. En plus, j’avais fait deux gâteaux pour l’anniversaire de cette fille et j’avais l’espoir qu’elle les apprécierai. J’entrais dans le salon mais Sybille et sa copine étais dans la chambre en papotant toujours en sourdine.
J’attendais que Sybille revienne pour me présenter sa copine et je ne savais pas comment me mettre. Assise. Debout. Finalement, je commençais à regarder les livres sur une étagère pour patienter. Sybille apparu dans le salon et mon visage se figea d’un coup. Je me trouvais devant ma chef qui était comme moi, figée. Sybille ne remarqua pas l’arrêt de sa copine et dit le plus tranquillement du monde « Laurence, je te présente Carole, une très bonne copine ». J’avalais ma salive avec quelques difficultés en disant « Bonjour Carole ». Ma chef… Carole eu son visage qui reprit doucement des couleurs et finit d’un coup à éclater de rire. Sybille ne comprenait pas pourquoi Carole riait à en avoir mal au ventre. Je dis à Sybille pendant que Carole riait toujours autant, incapable de s’arrêter : « Ne t’inquiète pas, il n’y a rien de grave, c’est juste ma responsable de service ».Sur ces mots, c’est Sybille qui subit un arrêt momentané du rythme cardiaque. Sybille ne pu s’empêcher de dire un « mmeerrrddee… J’suis désolé… J’savais pas ». Je commençais à rire tellement la situation était cocasse. De plus, le rire de Carole était communicatif et la voir sans son rôle de chef complètement détendue me faisait tout drôle. Carole repris son souffle et avança vers moi pour me faire la bise en me disant à la limite du fou-rire « Enchantée…pfttt ».
L’apéro continua dans des explications pour que Sybille se sente rassurée sur la situation. Carole me dit qu’elle était ravie de me voir en si bonne forme alors que trois jours avant, je semblais tellement fatiguée. Sybille me dit que si j’avais des problèmes, je pouvais venir chez elle. D’un seul coup, je me sentais encadrée par deux bonnes copines. Je dis à Carole que je tiendrai ma parole sur la discrétion et elle me dit qu’elle me faisait confiance. Nous continuâmes la soirée et l’apéritif dînatoire continua toujours dans la bonne ambiance. L’alcool aidant, nous commencions à dire des bêtises plus grosses que nous. Carole commença à divaguer sur les filles du bureau et son chef, un gros lard puant de vantardise et de machisme. Sybille lui demanda si les collègues étaient sympas parce qu’elle savait que les filles entre elles, c’étaient comme des furies. Carole dit qu’elle aimait travailler avec les femmes mais qu’elle avait une préférence pour une nana de son équipe. Sybille se tourna vers moi et dit : « Ahhh…allez, tu en as trop dit… C’est qui ? ». Je me tournais vers Carole tout aussi intéressée en disant : « C’est qui ? ». Et Carole me regarda droit dans les yeux en me disant : « C’est toi ! ». Sybille éclata de rire en voyant mon visage rougir d’un coup. Je me sentais honorée d’être la favorite de Carole mais je sentais que cette femme avait pour moi des sentiments un peu plus fort que de l’amitié.
Me voilà dans une situation très délicate car j’étais attirée par ma voisine, relation que je refusais d’assouvir pour rester dans la normalité. J’avais vue ma chef avec ma voisine se faire des câlins. Ma chef avais sûrement des vues sur moi pour des relations intimes. La situation était très scabreuse. Sybille me dit « Tu sais que Carole est lesbienne et que tu peux la poursuivre pour harcèlement sexuel. Je haussais les épaules en disant « J’vois pas pourquoi ! ». Carole fit les gros yeux et dit à Sybille « Dis pas n’importe quoi. Je sais me tenir ». Je demandais à Sybille si elle était lesbienne aussi. Sybille eu l’air gênée et me répondit après avoir bu le reste de son verre de porto : « Je n’ai pas envie de répondre à cette question si cela te gêne. J’ai l’impression d’avoir trouvé une bonne copine alors je ne vais pas tout foutre en l’air pour une question de style de vie… Pour te donner une réponse… J’ai eu des garçons et j’ai eu des aventures avec des filles aussi ».
Je réfléchissais à toute vitesse et je pris une décision qui allait engendrer les plus grand changements dans ma vie. Je pris la parole « J’ai toujours été avec des garçons et jamais je n’ai penser à une relation lesbienne. Jusqu’à mon arrivée sur Paris, j’avais une pensée claire sur la chose. Depuis peu, je reconnais que mes idées changent et je suis beaucoup plus ouverte sur le sujet. » Carole et Sybille m’écoutaient avec la plus grande attention. « Si Carole est lesbienne, je trouve cela très bien pour elle car c’est une femme superbe et je suis presque jalouse des femmes avec qui elle peut être. En plus, je pense qu’un homme ne peut pas apprécier le corps d’une femme à sa juste valeur sans devenir un rustre. Pour toi, Sybille, tu es superbe aussi et je suis sûr que tu es une fleur bleue malgré ta façade dure. Si tu es lesbienne, c’est très bien pour toi. Si je ne veux plus te voir parce que tu aimes les femmes, je pense que c’est moi qui perdrais plus que toi… Ai-je bien répondu à votre attente ? ».
Le silence qui suivit fut un peu lourd et je crus bon d’ajouter : « Et pour moi, si vous voulez tous savoir, je crois être tombée amoureuse de vous deux. Je ne sais pas comment cela est possible mais c’est comme ça. Carole, si je vais mal depuis quelques temps, c’est parce que je refuse ces sentiments qui m’arrivent et que je n’en dors plus. Voilà… Comme ça vous savez tout et nous sommes bien avancées maintenant ! ».
Carole prit aussitôt la parole en disant « Je suis très contente que tu ais pu dire tout ça. Maintenant, j’espère que tu vas allez mieux ! ». Sybille s’essuya doucement les yeux car elle avait les larmes prêtent à couler, puis renifla et proposa de passer au dessert avec les bougies. Elle se leva pour aller à la cuisine. Je me levais pour la rejoindre et sortir le premier gâteau de la boite. Je demandais à Sybille : « Je t’ai fait de la peine ? ». Sybille sourit en disant « non, t’inquiète pas… je suis super heureuse ce soir…tu ne peux pas savoir ». Carole préparait la petite table en débarrassant les divers assiettes. Je la regardais penchée sur la table pour ramasser les affaires et je voyais son décolletés plongeant vers son soutif blanc et ses seins volumineux. Je me retournais avant qu’elle s’aperçoive que je la regardais. Mon ventre était un peu retourné et mes seins se dressèrent doucement. Je sentais mes tétons pousser le tissu dans un combat perdu d’avance.
Sybille mis les bougies sur le gâteau et me demanda d’aller fermer les rideaux et d’éteindre la lumière. Sybille alluma les bougies et le noir se fit dans la pièce. Elle avança avec le gâteau et nous avons chanté la petite chanson habituelle. Carole nous demanda de nous tenir les mains pendant qu’elle soufflait ses bougies. Les flammes moururent doucement et Carole nous tenait les mains fermement en disant : « Faites un vœux mesdames ».
Nous étions dans le noir à par la petite lueur de la chaine stéréo. J’aperçu une ombre s’approcher de moi et Carole me déposa un baiser sur la joue, très près de mes lèvres. Un frisson me parcouru l’échine et une chaleur douce m’envahie partout. J’entendis le même baiser vers Sybille. Carole nous lâcha les mains et j’allais allumer la pièce. En venant m’asseoir , le regard de Carole croisa le mien et je ne pus supporter ses yeux amoureux. Je pouvais dire qu’elle était amoureuse à partir de sa manière d’être avec moi. Elle était tendre, je ne reconnaissais plus du tout ma chef de service. J’avais une nouvelle femme devant moi. Une femme amoureuse qui cherchait le contact, le retour de sentiments, l’amour tout simplement. Sybille distribua les parts de gâteau et se leva pour sortir une petite boite pour l’offrir à Carole. Je me sentais toute conne de n’avoir pas prévu un cadeau et pendant que Carole ouvrait le paquet, je cherchais ce que je pourrais lui offrir. Je n’avais rien sur moi, pas une bague, pas de cadeau de dernière seconde que je pourrais allez chercher chez moi.
Rien…rien à part moi ! Et si j’osais, je m’offrirais comme cadeau. Complètement folle cette idée ! Je m’imaginais me levant, soulevant ma jupe et montrant ma culotte en disant « bon anniversaire ».
J’étais en plein délire. Carole ouvrit son cadeau et sorti un ensemble de sous-vêtement. Elle déplia les affaires et montra un string ficelle avec juste un tout petit triangle de tissu décoré avec une colombe en broderie. Un soutif qui ne devait pas tenir grand chose à part juste cacher les tétons pour celles qui ont de tout petits tétons. Carole sorti aussi de la boite un tube en genre de plastique. Cela fit rire aux éclats Carole et elle regarda Sybille en lui demandant : « Où t’as trouvé ce truc ? ». Sybille avait le sourire accroché aux lèvres et répondit : « Sur le net, on trouve de tout ! ». Carole se leva et embrassa Sybille sur les lèvres sans faire attention à ma présence. Cela me fit drôle de les voir s’embrasser et j’aurais voulu être entre les deux pour pouvoir recevoir un baiser de la part des deux femmes à la fois.
Sybille dit à Carole : « Tu n’a plus qu’a nous faire un essayage ! ». Carole pris les vêtements, hocha la tête et se leva en disant : « Mouais, pourquoi pas ». Sybille rigolait pendant que Carole allait dans la salle de bain pour se changer. Je regardais Sybille et lui dis « Je n’ai pas de cadeau, tu crois qu’elle va m’en vouloir ? ». Sybille me dit « Mais non, t’inquiètes pas pour ça. Carole est super cool…tu ne la connais comme moi je la connais ». Carole revint dans la pièce avec un long peignoir et imita un roulement de tambours. Elle ouvrit doucement le peignoir et je vis une femme magnifique avec un tissu sur sa toison qui cachait qu’une toute petite partie de son pubis. Un fin ruban de tissu couvrait chaque téton mais laissait voir les seins gonflés. Aussitôt, mon ventre pris feu et j’avais envie d’elle. Je sentais mon corps chauffer et se dilater. Carole fit tomber le peignoir à terre et elle me regardait en disant « Alors mesdames, le vrai dessert est servi ». N’y tenant plus, j’ouvrais mes cuisses et relevais ma jupe pour découvrir ma culotte. Carole ne me quittait pas des yeux et je la regardais fixement en disant « Bon anniversaire ».
J’avais une position obscène avec les cuisses écartées. Je me levais pour glisser ma jupe derrière moi et pouvoir offrir à la vue de toutes ma culotte. Sybille se pencha pour regarder entre mes cuisses et dit « Ouah, ça, c’est un vrai dessert. Bon les filles, je crois que nous avons une petite toilette à faire avant de passer dans la chambre. »
Carole acquiesça et alla dans la chambre en disant « Prête ». Sybille se leva et m’emmena dans la salle de bain pour me montrer les produits. Elle me demanda si j’avais un test du SIDA. Je lui dis qu’il datait de ma dernière relation, donc il y avait deux ans. Sybille réfléchit et me dit : « Carole à toute confiance en toi et je crois que l’on peut avoir confiance mais j’aimerais quand même que tu en refasses un régulièrement ». Je lui répondit qu’elle pouvait me faire confiance. Elle me dit alors : « Tu fais ta toilette et tu rejoins Carole habillée comme tu veux ».
Elle me laissa et retourna dans le salon pour ranger un peu pendant que je faisais ma toilette intime. Je n’en revenais pas de ma conduite. J’avais carrément ouvert mes cuisses. Jamais j’aurais cru cela possible venant de moi. Je retirais ma culotte qui étais mouillée et je lavais consciencieusement mon anatomie. Je gardais mes habits pour ne pas faire la vicieuse mais je retirais la lavalière tout en retirant les deux premiers boutons de mon chemisier pour offrir un beau décolleté. Je sortais de la salle de bain et Sybille pris ma place. J’étais dans le couloir mais je n’osais rejoindre Carole qui était jusqu’à hier ma chef de service. (Ouah, qu’est-ce qu’elle était belle).
J’attendis un peu, puis j’entrais dans la chambre. Carole était assise en tailleur sur le lit. Elle avait les seins volumineux qui se tenaient difficilement par la petite ficelle sur les tétons. La position en tailleur offrait à la vue sa toison presque complète. Carole m’invita à venir m’asseoir près d’elle. Je montais sur le lit et m’assis. Elle me sourit et me dit : « C’est le plus beau cadeau que l’on m’ait jamais fait ». Elle se pencha et déposa un baiser sur mes lèvres. Sybille arriva complètement nue. Je la regardais avec ses petits seins et sa toison fine et blonde qui laissait voir le relief de son sexe. Elle monta sur le lit et resta debout devant Carole et moi. Elle dit « Hep ! les filles, j’ai l’impression que je ne fais pas le poids avec mes petits titi face à vous deux.
Je regardais Sybille debout devant nous et notre position nous donnait tout loisir de voir son sexe avec la fente des lèvres légèrement écartée. C’était la première fois que je voyais le sexe d’une femme d’aussi près et je découvrais l’anatomie féminine dans toute sa simplicité. Sybille me demanda « Maintenant, tu peux nous montrer tes seins. Je crois savoir qu’ils sont très beaux. J’ai déjà eu l’occasion d’en voir une partie ». Je défis doucement les trois derniers boutons de mon chemisiers et le retirais. Mes seins réclamaient des caresses et la contraction de mes tétons me faisait presque mal. Je dégrafais mon soutif et Carole en fis autant. En peu de temps, nous étions trois filles nues sur le même lit.
Jamais je n’aurais imaginé me retrouver nue devant d’autres femme en vue de faire l’amour. Sybille se mis à genoux et posa ses fesses sur ses talons.J’avais mes mains entre mes cuisses pour cacher ma toison car je ne me sentais pas très à l’aise. Ma respiration étais rapide et ma poitrine se soulevait en rythme.
Carole avança sa main sur les miennes. Elle me dit : « Tu es très belle, tu sais ? » Je tournais la tête vers elle et elle me souriait. Mon regard alla vers sa poitrine qui était toute ronde avec de belles aréoles contractées et sombre. Elle avait une belle poitrine légèrement plus grosse que la mienne avec des seins tout ronds retombant par leur poids. Sa peau était lisse avec unE tache de rousseur sur son sein gauche à l’intérieur. Je sentis la main de Sybille me caresser la cuisse doucement. Des frissons me parcouraient tout le corps. Sa main remontait doucement vers mes mains.
Sybille se déplaça et avança vers moi. Carole aussi s’avança et me déposa un baiser sur les lèvres. Je ne résistais pas et sans vraiment le vouloir, mes yeux se fermèrent et ma bouche s’entrouvrit pour laisser entrer la langue chaude de Carole. La pénétration de la langue de Carole dans ma bouche me fit comme un coup électrique et tout mon corps se mit en marche pour le plaisir. La bouche de Carole se colla à la mienne et j’ouvris ma bouche pour lui faire le plus beau baiser que je puisse faire. Nos langues jouaient ensemble et mes main prirent Carole par les épaules pour l’enlacer. Sybille glissa sa main entre mes cuisses et posa sa main sur mon sexe ouvert. Le contact de sa main sur mon sexe déjà gonflé d’excitation me fit perdre la tête.
Mes gestes étaient mal assurés et je sentis un orgasme venir du plus profond de mon être. La langue de Carole m’étouffait presque tellement elle envahissait ma bouche. Mon sexe trempé était pénétré par les doigts de Sybille pendant que je ne pouvais réfreiner un long râle de plaisir. Mes hanches se soulevaient pour forcer les caresses de Sybille contre l’intérieur de mon vagin. J’étais tellement sous pression que je ne pouvais plus m’arrêter.
Sybille se pencha et glissa sa tête entre mes jambes. Elle posa sa tête et regardait mon sexe tout en titillant mon clito. A chaque pression sur mon bouton, je poussais un gémissement qui semblait amuser Carole. Elle avait quitté ma bouche me poussa en arrière pour m’allonger sur le lit. Sybille en profita pour écarter mes jambes et elle commença à pointer sa langue sur mon clito, ce qui me lança des petits picotements comme une petite décharge électrique dans le bas ventre. Carole était penchée au dessus de moi et me caressait les seins avec les siens. Ses seins avaient tout leur volume et ses tétons dressés jouaient avec les miens. Je me laissais faire en poussant toujours mes petits gémissements avec les caresses de Sybille.
J’étais devenu un objet de plaisir entre les mains expertes de ses deux femmes. Chaque contact était précis et procurait un plaisir intense. Jamais un homme ne pourrait offrir une telle quantité de plaisir. Je découvrais les possibilités énormes du plaisir féminin. Les seins de Carole me parcouraient le corps et elle descendait sur mon ventre et mes hanches. Je relevais la tête pour regarder et je voyais la tête blonde de Sybille entre mes cuisses et les gros seins de Carole frotter ma peau. Sybille laissa la place à Carole qui entrepris de me caresser la vulve avec ses tétons. Sybille vint vers moi et me dit « Dis donc ma chérie, tu es vraiment super bonne… J’adore les brunes et tu as vraiment très bon goût… tu veux goûter une blonde ? ».
Je souriais avec difficultés car les caresses des seins de Carole sur ma chatte me lançaient des fourmillements dans tout mon corps. Sans attendre ma réponse, Sybille me chevaucha et mis ses cuisses de part et d’autre de ma tête. Je me retrouvais recouvert de la chatte à Sybille à environ une dizaine de centimètres. Je voyais ses lèvres ouvertes autour de son vagin rosé. Un fil de mouille courait entre les lèvres et les poils blonds de sa toison étaient rare. Je voyais le renflement du clitoris et je ne savais pas si j’allais oser passer le pas. Mes fourmillements sur mon sexe n’arrêtaient pas et la vue de ce sexe ouvert et baveux devant moi ne m’attirait pas. Ayant déjà goûter ma mouille à plusieurs reprise par le passé, je fermais les yeux et attrapais les fesses de Sybille. Je relevais la tête et tira la langue tout en m’avançant. Soudain, le contact chaud et humide du sexe de Sybille se fit avec ma langue. L’odeur âcre de son sexe envahit progressivement mon nez et je glissais ma langue d’un bout à l’autre de la fente. J’entendais Sybille souffler bruyamment et cela me poussa à continuer ma caresse. Le goût de la mouille entra dans ma bouche et mes lèvres s’écartèrent pour mettre en contact toute ma bouche sur le sexe ouvert de Sybille. Je lèchais le sexe de Sybille pendant que Carole me masturbait avec ses seins. J’attrapais le clito de Sybille et l’aspira en bouche pour le têter. Je découvrais le sexe féminin mais je savais où se trouvait les endroits stratégiques. J’en profitais pour lêcher à grand coup de langue tout le sexe offert. Carole s’absenta et revint pendant que Sybille me léchait en joli 69 féminin. Nous faisions comme un concours. A chaque caresse de l’une, l’autre faisait de même. Je continuais de glisser ma longue sur le clitoris de Sybille quand une décharge m’envahi le ventre.
Ma vulve gonflée de désir venait d’être pénétrée par un genre de sexe long qui alla jusqu’au fond de mon ventre. Je poussais un cri à moitié étouffé dans le sexe de Sybille tellement la surprise et la quantité de sensations était colossale. Carole me dit : « Humm, je crois que mon cadeau te va bien » et elle commença de long va et vient avec le gode que Sybille lui avait offert. Sybille était penché sur moi et elle regardait le gode me pénétrer. Cette vue lui fit tellement d’effets qu’elle obtint un orgasme. Je sentis son bassin onduler dans le même rythme que les allez et venues en moi. La vitesse augmenta et j’avais du mal à garder ma concentration sur son sexe tellement j’étais secouée par le godes et ses impacts en moi. Sybille atteignit l’orgasme en même temps que moi et j’eu dans la bouche comme une éjaculation de mouille. Un fin filet gicla sur mon visage au moment où elle cria à plusieurs reprises. Je continuais de lécher son clitoris pendant que Carole me léchait le sexe à grand coup de langue.
Dans la suite, je pourrais raconter tout ce que nous avions fait mais la liste est longue. J’ai appris le plaisir de lécher des seins et des vulves. J’ai appris le nombre innombrables de caresses que les femmes peuvent offrir aux autres femmes. J’ai pris un réel plaisir d’avoir en bouche le sexe de Sybille et celui de Carole. J’ai appris à reconnaître le goût de leurs sexe les yeux fermés d’après l’odeur, la forme du sexe, la structure de leurs pilosités. Jamais je n’aurais imaginé prendre autant de plaisir à faire l’amour avec d’autres femmes. La seule différence entre ce que peut fournir un homme et une femme, c’est la pénétration, mais un gode fournit des caresses profonde dans le vagin et quand le sexe est bien chaud, les sensations sont identiques.
Mes relations avec Sybille et Carole se sont prolongées. J’ai emménagé avec Sybille et nous sommes pacsées. Carole est toujours ma chef de service et nous nous voyons une à deux fois par mois pour une soirée et une nuit de folie. Carole vit toujours seule malgré une invitation pour devenir collocatrice et devenir un trio de femmes modernes.
Aujourd’hui, je vis un parfait amour avec Sybille. Nous restons discrètes dans la rue et nous gardons notre amour pour nos moments d’intimité car la vision des autres sur les lesbiennes est très négative et complètement faussée par les médias.
Voilà mon histoire, j’espère qu’elle vous a plu et qu’elle pourra service à quelques femmes d’oser vivre leurs sexualité sans tabou. Pour les mecs, et bien prenez du plaisir mais dites vous que vous avez beaucoup à apprendre pour rendre réellement une femme heureuse en amour et sachez que la longueur de votre membre n’est pas ce qui primordiale. Apprenez à être doux et tendre et sensible.
Laurence
Elle s’arrêta face à moi et regarda ma poitrine avec la lavalière. Sa poitrine touchait presque la mienne et elle me dit « Je vois que tu as rangé tes affaires…c’est bien mieux » et elle pouffa de rire en allant vers le salon. Je hochais la tête en la suivant et je me sentais bien en présence de cette fille. Elle me proposa un verre tranquillement en attendant Carole, son autre copine qui travaillait comme une dingue la semaine et qui n’avait pas beaucoup de temps le samedi pour faire ses courses et son ménage.
Nous prîmes toutes les deux un porto et nous fîmes connaissance. La musique de la radio faisait une ambiance cool et j’appris qu’elle venait de Lyon et qu’elle était sur Paris depuis trois ans. Je lui dis que j’étais sur Paris depuis deux ans et que j’étais seule depuis tout ce temps. A 19h25, Sybille se rendit compte qu’elle avait oublié de préparer les amuses gueules et elle se leva pour les faire à la cuisine. Je l’accompagnais et nous nous retrouvions toutes les deux côte à côte à couper les toasts et mettre les ingrédients dessus. Je me sentais vraiment bien et sa présence à mes côtés me rendais plus sereine. Nous travaillions comme deux grandes copines tout en rigolant sur des sujets très divers. La sonnette retentis et Sybille me laissa travailler pour aller ouvrir à sa copine. J’esperais que cette fille n’allait pas foutre en l’air la bonne entente qui se mettait en place entre Sybille et moi. J’entendais les voix dans l’entrée et je m’essuyais les mains pour aller saluer cette nouvelle venue. En plus, j’avais fait deux gâteaux pour l’anniversaire de cette fille et j’avais l’espoir qu’elle les apprécierai. J’entrais dans le salon mais Sybille et sa copine étais dans la chambre en papotant toujours en sourdine.
J’attendais que Sybille revienne pour me présenter sa copine et je ne savais pas comment me mettre. Assise. Debout. Finalement, je commençais à regarder les livres sur une étagère pour patienter. Sybille apparu dans le salon et mon visage se figea d’un coup. Je me trouvais devant ma chef qui était comme moi, figée. Sybille ne remarqua pas l’arrêt de sa copine et dit le plus tranquillement du monde « Laurence, je te présente Carole, une très bonne copine ». J’avalais ma salive avec quelques difficultés en disant « Bonjour Carole ». Ma chef… Carole eu son visage qui reprit doucement des couleurs et finit d’un coup à éclater de rire. Sybille ne comprenait pas pourquoi Carole riait à en avoir mal au ventre. Je dis à Sybille pendant que Carole riait toujours autant, incapable de s’arrêter : « Ne t’inquiète pas, il n’y a rien de grave, c’est juste ma responsable de service ».Sur ces mots, c’est Sybille qui subit un arrêt momentané du rythme cardiaque. Sybille ne pu s’empêcher de dire un « mmeerrrddee… J’suis désolé… J’savais pas ». Je commençais à rire tellement la situation était cocasse. De plus, le rire de Carole était communicatif et la voir sans son rôle de chef complètement détendue me faisait tout drôle. Carole repris son souffle et avança vers moi pour me faire la bise en me disant à la limite du fou-rire « Enchantée…pfttt ».
L’apéro continua dans des explications pour que Sybille se sente rassurée sur la situation. Carole me dit qu’elle était ravie de me voir en si bonne forme alors que trois jours avant, je semblais tellement fatiguée. Sybille me dit que si j’avais des problèmes, je pouvais venir chez elle. D’un seul coup, je me sentais encadrée par deux bonnes copines. Je dis à Carole que je tiendrai ma parole sur la discrétion et elle me dit qu’elle me faisait confiance. Nous continuâmes la soirée et l’apéritif dînatoire continua toujours dans la bonne ambiance. L’alcool aidant, nous commencions à dire des bêtises plus grosses que nous. Carole commença à divaguer sur les filles du bureau et son chef, un gros lard puant de vantardise et de machisme. Sybille lui demanda si les collègues étaient sympas parce qu’elle savait que les filles entre elles, c’étaient comme des furies. Carole dit qu’elle aimait travailler avec les femmes mais qu’elle avait une préférence pour une nana de son équipe. Sybille se tourna vers moi et dit : « Ahhh…allez, tu en as trop dit… C’est qui ? ». Je me tournais vers Carole tout aussi intéressée en disant : « C’est qui ? ». Et Carole me regarda droit dans les yeux en me disant : « C’est toi ! ». Sybille éclata de rire en voyant mon visage rougir d’un coup. Je me sentais honorée d’être la favorite de Carole mais je sentais que cette femme avait pour moi des sentiments un peu plus fort que de l’amitié.
Me voilà dans une situation très délicate car j’étais attirée par ma voisine, relation que je refusais d’assouvir pour rester dans la normalité. J’avais vue ma chef avec ma voisine se faire des câlins. Ma chef avais sûrement des vues sur moi pour des relations intimes. La situation était très scabreuse. Sybille me dit « Tu sais que Carole est lesbienne et que tu peux la poursuivre pour harcèlement sexuel. Je haussais les épaules en disant « J’vois pas pourquoi ! ». Carole fit les gros yeux et dit à Sybille « Dis pas n’importe quoi. Je sais me tenir ». Je demandais à Sybille si elle était lesbienne aussi. Sybille eu l’air gênée et me répondit après avoir bu le reste de son verre de porto : « Je n’ai pas envie de répondre à cette question si cela te gêne. J’ai l’impression d’avoir trouvé une bonne copine alors je ne vais pas tout foutre en l’air pour une question de style de vie… Pour te donner une réponse… J’ai eu des garçons et j’ai eu des aventures avec des filles aussi ».
Je réfléchissais à toute vitesse et je pris une décision qui allait engendrer les plus grand changements dans ma vie. Je pris la parole « J’ai toujours été avec des garçons et jamais je n’ai penser à une relation lesbienne. Jusqu’à mon arrivée sur Paris, j’avais une pensée claire sur la chose. Depuis peu, je reconnais que mes idées changent et je suis beaucoup plus ouverte sur le sujet. » Carole et Sybille m’écoutaient avec la plus grande attention. « Si Carole est lesbienne, je trouve cela très bien pour elle car c’est une femme superbe et je suis presque jalouse des femmes avec qui elle peut être. En plus, je pense qu’un homme ne peut pas apprécier le corps d’une femme à sa juste valeur sans devenir un rustre. Pour toi, Sybille, tu es superbe aussi et je suis sûr que tu es une fleur bleue malgré ta façade dure. Si tu es lesbienne, c’est très bien pour toi. Si je ne veux plus te voir parce que tu aimes les femmes, je pense que c’est moi qui perdrais plus que toi… Ai-je bien répondu à votre attente ? ».
Le silence qui suivit fut un peu lourd et je crus bon d’ajouter : « Et pour moi, si vous voulez tous savoir, je crois être tombée amoureuse de vous deux. Je ne sais pas comment cela est possible mais c’est comme ça. Carole, si je vais mal depuis quelques temps, c’est parce que je refuse ces sentiments qui m’arrivent et que je n’en dors plus. Voilà… Comme ça vous savez tout et nous sommes bien avancées maintenant ! ».
Carole prit aussitôt la parole en disant « Je suis très contente que tu ais pu dire tout ça. Maintenant, j’espère que tu vas allez mieux ! ». Sybille s’essuya doucement les yeux car elle avait les larmes prêtent à couler, puis renifla et proposa de passer au dessert avec les bougies. Elle se leva pour aller à la cuisine. Je me levais pour la rejoindre et sortir le premier gâteau de la boite. Je demandais à Sybille : « Je t’ai fait de la peine ? ». Sybille sourit en disant « non, t’inquiète pas… je suis super heureuse ce soir…tu ne peux pas savoir ». Carole préparait la petite table en débarrassant les divers assiettes. Je la regardais penchée sur la table pour ramasser les affaires et je voyais son décolletés plongeant vers son soutif blanc et ses seins volumineux. Je me retournais avant qu’elle s’aperçoive que je la regardais. Mon ventre était un peu retourné et mes seins se dressèrent doucement. Je sentais mes tétons pousser le tissu dans un combat perdu d’avance.
Sybille mis les bougies sur le gâteau et me demanda d’aller fermer les rideaux et d’éteindre la lumière. Sybille alluma les bougies et le noir se fit dans la pièce. Elle avança avec le gâteau et nous avons chanté la petite chanson habituelle. Carole nous demanda de nous tenir les mains pendant qu’elle soufflait ses bougies. Les flammes moururent doucement et Carole nous tenait les mains fermement en disant : « Faites un vœux mesdames ».
Nous étions dans le noir à par la petite lueur de la chaine stéréo. J’aperçu une ombre s’approcher de moi et Carole me déposa un baiser sur la joue, très près de mes lèvres. Un frisson me parcouru l’échine et une chaleur douce m’envahie partout. J’entendis le même baiser vers Sybille. Carole nous lâcha les mains et j’allais allumer la pièce. En venant m’asseoir , le regard de Carole croisa le mien et je ne pus supporter ses yeux amoureux. Je pouvais dire qu’elle était amoureuse à partir de sa manière d’être avec moi. Elle était tendre, je ne reconnaissais plus du tout ma chef de service. J’avais une nouvelle femme devant moi. Une femme amoureuse qui cherchait le contact, le retour de sentiments, l’amour tout simplement. Sybille distribua les parts de gâteau et se leva pour sortir une petite boite pour l’offrir à Carole. Je me sentais toute conne de n’avoir pas prévu un cadeau et pendant que Carole ouvrait le paquet, je cherchais ce que je pourrais lui offrir. Je n’avais rien sur moi, pas une bague, pas de cadeau de dernière seconde que je pourrais allez chercher chez moi.
Rien…rien à part moi ! Et si j’osais, je m’offrirais comme cadeau. Complètement folle cette idée ! Je m’imaginais me levant, soulevant ma jupe et montrant ma culotte en disant « bon anniversaire ».
J’étais en plein délire. Carole ouvrit son cadeau et sorti un ensemble de sous-vêtement. Elle déplia les affaires et montra un string ficelle avec juste un tout petit triangle de tissu décoré avec une colombe en broderie. Un soutif qui ne devait pas tenir grand chose à part juste cacher les tétons pour celles qui ont de tout petits tétons. Carole sorti aussi de la boite un tube en genre de plastique. Cela fit rire aux éclats Carole et elle regarda Sybille en lui demandant : « Où t’as trouvé ce truc ? ». Sybille avait le sourire accroché aux lèvres et répondit : « Sur le net, on trouve de tout ! ». Carole se leva et embrassa Sybille sur les lèvres sans faire attention à ma présence. Cela me fit drôle de les voir s’embrasser et j’aurais voulu être entre les deux pour pouvoir recevoir un baiser de la part des deux femmes à la fois.
Sybille dit à Carole : « Tu n’a plus qu’a nous faire un essayage ! ». Carole pris les vêtements, hocha la tête et se leva en disant : « Mouais, pourquoi pas ». Sybille rigolait pendant que Carole allait dans la salle de bain pour se changer. Je regardais Sybille et lui dis « Je n’ai pas de cadeau, tu crois qu’elle va m’en vouloir ? ». Sybille me dit « Mais non, t’inquiètes pas pour ça. Carole est super cool…tu ne la connais comme moi je la connais ». Carole revint dans la pièce avec un long peignoir et imita un roulement de tambours. Elle ouvrit doucement le peignoir et je vis une femme magnifique avec un tissu sur sa toison qui cachait qu’une toute petite partie de son pubis. Un fin ruban de tissu couvrait chaque téton mais laissait voir les seins gonflés. Aussitôt, mon ventre pris feu et j’avais envie d’elle. Je sentais mon corps chauffer et se dilater. Carole fit tomber le peignoir à terre et elle me regardait en disant « Alors mesdames, le vrai dessert est servi ». N’y tenant plus, j’ouvrais mes cuisses et relevais ma jupe pour découvrir ma culotte. Carole ne me quittait pas des yeux et je la regardais fixement en disant « Bon anniversaire ».
J’avais une position obscène avec les cuisses écartées. Je me levais pour glisser ma jupe derrière moi et pouvoir offrir à la vue de toutes ma culotte. Sybille se pencha pour regarder entre mes cuisses et dit « Ouah, ça, c’est un vrai dessert. Bon les filles, je crois que nous avons une petite toilette à faire avant de passer dans la chambre. »
Carole acquiesça et alla dans la chambre en disant « Prête ». Sybille se leva et m’emmena dans la salle de bain pour me montrer les produits. Elle me demanda si j’avais un test du SIDA. Je lui dis qu’il datait de ma dernière relation, donc il y avait deux ans. Sybille réfléchit et me dit : « Carole à toute confiance en toi et je crois que l’on peut avoir confiance mais j’aimerais quand même que tu en refasses un régulièrement ». Je lui répondit qu’elle pouvait me faire confiance. Elle me dit alors : « Tu fais ta toilette et tu rejoins Carole habillée comme tu veux ».
Elle me laissa et retourna dans le salon pour ranger un peu pendant que je faisais ma toilette intime. Je n’en revenais pas de ma conduite. J’avais carrément ouvert mes cuisses. Jamais j’aurais cru cela possible venant de moi. Je retirais ma culotte qui étais mouillée et je lavais consciencieusement mon anatomie. Je gardais mes habits pour ne pas faire la vicieuse mais je retirais la lavalière tout en retirant les deux premiers boutons de mon chemisier pour offrir un beau décolleté. Je sortais de la salle de bain et Sybille pris ma place. J’étais dans le couloir mais je n’osais rejoindre Carole qui était jusqu’à hier ma chef de service. (Ouah, qu’est-ce qu’elle était belle).
J’attendis un peu, puis j’entrais dans la chambre. Carole était assise en tailleur sur le lit. Elle avait les seins volumineux qui se tenaient difficilement par la petite ficelle sur les tétons. La position en tailleur offrait à la vue sa toison presque complète. Carole m’invita à venir m’asseoir près d’elle. Je montais sur le lit et m’assis. Elle me sourit et me dit : « C’est le plus beau cadeau que l’on m’ait jamais fait ». Elle se pencha et déposa un baiser sur mes lèvres. Sybille arriva complètement nue. Je la regardais avec ses petits seins et sa toison fine et blonde qui laissait voir le relief de son sexe. Elle monta sur le lit et resta debout devant Carole et moi. Elle dit « Hep ! les filles, j’ai l’impression que je ne fais pas le poids avec mes petits titi face à vous deux.
Je regardais Sybille debout devant nous et notre position nous donnait tout loisir de voir son sexe avec la fente des lèvres légèrement écartée. C’était la première fois que je voyais le sexe d’une femme d’aussi près et je découvrais l’anatomie féminine dans toute sa simplicité. Sybille me demanda « Maintenant, tu peux nous montrer tes seins. Je crois savoir qu’ils sont très beaux. J’ai déjà eu l’occasion d’en voir une partie ». Je défis doucement les trois derniers boutons de mon chemisiers et le retirais. Mes seins réclamaient des caresses et la contraction de mes tétons me faisait presque mal. Je dégrafais mon soutif et Carole en fis autant. En peu de temps, nous étions trois filles nues sur le même lit.
Jamais je n’aurais imaginé me retrouver nue devant d’autres femme en vue de faire l’amour. Sybille se mis à genoux et posa ses fesses sur ses talons.J’avais mes mains entre mes cuisses pour cacher ma toison car je ne me sentais pas très à l’aise. Ma respiration étais rapide et ma poitrine se soulevait en rythme.
Carole avança sa main sur les miennes. Elle me dit : « Tu es très belle, tu sais ? » Je tournais la tête vers elle et elle me souriait. Mon regard alla vers sa poitrine qui était toute ronde avec de belles aréoles contractées et sombre. Elle avait une belle poitrine légèrement plus grosse que la mienne avec des seins tout ronds retombant par leur poids. Sa peau était lisse avec unE tache de rousseur sur son sein gauche à l’intérieur. Je sentis la main de Sybille me caresser la cuisse doucement. Des frissons me parcouraient tout le corps. Sa main remontait doucement vers mes mains.
Sybille se déplaça et avança vers moi. Carole aussi s’avança et me déposa un baiser sur les lèvres. Je ne résistais pas et sans vraiment le vouloir, mes yeux se fermèrent et ma bouche s’entrouvrit pour laisser entrer la langue chaude de Carole. La pénétration de la langue de Carole dans ma bouche me fit comme un coup électrique et tout mon corps se mit en marche pour le plaisir. La bouche de Carole se colla à la mienne et j’ouvris ma bouche pour lui faire le plus beau baiser que je puisse faire. Nos langues jouaient ensemble et mes main prirent Carole par les épaules pour l’enlacer. Sybille glissa sa main entre mes cuisses et posa sa main sur mon sexe ouvert. Le contact de sa main sur mon sexe déjà gonflé d’excitation me fit perdre la tête.
Mes gestes étaient mal assurés et je sentis un orgasme venir du plus profond de mon être. La langue de Carole m’étouffait presque tellement elle envahissait ma bouche. Mon sexe trempé était pénétré par les doigts de Sybille pendant que je ne pouvais réfreiner un long râle de plaisir. Mes hanches se soulevaient pour forcer les caresses de Sybille contre l’intérieur de mon vagin. J’étais tellement sous pression que je ne pouvais plus m’arrêter.
Sybille se pencha et glissa sa tête entre mes jambes. Elle posa sa tête et regardait mon sexe tout en titillant mon clito. A chaque pression sur mon bouton, je poussais un gémissement qui semblait amuser Carole. Elle avait quitté ma bouche me poussa en arrière pour m’allonger sur le lit. Sybille en profita pour écarter mes jambes et elle commença à pointer sa langue sur mon clito, ce qui me lança des petits picotements comme une petite décharge électrique dans le bas ventre. Carole était penchée au dessus de moi et me caressait les seins avec les siens. Ses seins avaient tout leur volume et ses tétons dressés jouaient avec les miens. Je me laissais faire en poussant toujours mes petits gémissements avec les caresses de Sybille.
J’étais devenu un objet de plaisir entre les mains expertes de ses deux femmes. Chaque contact était précis et procurait un plaisir intense. Jamais un homme ne pourrait offrir une telle quantité de plaisir. Je découvrais les possibilités énormes du plaisir féminin. Les seins de Carole me parcouraient le corps et elle descendait sur mon ventre et mes hanches. Je relevais la tête pour regarder et je voyais la tête blonde de Sybille entre mes cuisses et les gros seins de Carole frotter ma peau. Sybille laissa la place à Carole qui entrepris de me caresser la vulve avec ses tétons. Sybille vint vers moi et me dit « Dis donc ma chérie, tu es vraiment super bonne… J’adore les brunes et tu as vraiment très bon goût… tu veux goûter une blonde ? ».
Je souriais avec difficultés car les caresses des seins de Carole sur ma chatte me lançaient des fourmillements dans tout mon corps. Sans attendre ma réponse, Sybille me chevaucha et mis ses cuisses de part et d’autre de ma tête. Je me retrouvais recouvert de la chatte à Sybille à environ une dizaine de centimètres. Je voyais ses lèvres ouvertes autour de son vagin rosé. Un fil de mouille courait entre les lèvres et les poils blonds de sa toison étaient rare. Je voyais le renflement du clitoris et je ne savais pas si j’allais oser passer le pas. Mes fourmillements sur mon sexe n’arrêtaient pas et la vue de ce sexe ouvert et baveux devant moi ne m’attirait pas. Ayant déjà goûter ma mouille à plusieurs reprise par le passé, je fermais les yeux et attrapais les fesses de Sybille. Je relevais la tête et tira la langue tout en m’avançant. Soudain, le contact chaud et humide du sexe de Sybille se fit avec ma langue. L’odeur âcre de son sexe envahit progressivement mon nez et je glissais ma langue d’un bout à l’autre de la fente. J’entendais Sybille souffler bruyamment et cela me poussa à continuer ma caresse. Le goût de la mouille entra dans ma bouche et mes lèvres s’écartèrent pour mettre en contact toute ma bouche sur le sexe ouvert de Sybille. Je lèchais le sexe de Sybille pendant que Carole me masturbait avec ses seins. J’attrapais le clito de Sybille et l’aspira en bouche pour le têter. Je découvrais le sexe féminin mais je savais où se trouvait les endroits stratégiques. J’en profitais pour lêcher à grand coup de langue tout le sexe offert. Carole s’absenta et revint pendant que Sybille me léchait en joli 69 féminin. Nous faisions comme un concours. A chaque caresse de l’une, l’autre faisait de même. Je continuais de glisser ma longue sur le clitoris de Sybille quand une décharge m’envahi le ventre.
Ma vulve gonflée de désir venait d’être pénétrée par un genre de sexe long qui alla jusqu’au fond de mon ventre. Je poussais un cri à moitié étouffé dans le sexe de Sybille tellement la surprise et la quantité de sensations était colossale. Carole me dit : « Humm, je crois que mon cadeau te va bien » et elle commença de long va et vient avec le gode que Sybille lui avait offert. Sybille était penché sur moi et elle regardait le gode me pénétrer. Cette vue lui fit tellement d’effets qu’elle obtint un orgasme. Je sentis son bassin onduler dans le même rythme que les allez et venues en moi. La vitesse augmenta et j’avais du mal à garder ma concentration sur son sexe tellement j’étais secouée par le godes et ses impacts en moi. Sybille atteignit l’orgasme en même temps que moi et j’eu dans la bouche comme une éjaculation de mouille. Un fin filet gicla sur mon visage au moment où elle cria à plusieurs reprises. Je continuais de lécher son clitoris pendant que Carole me léchait le sexe à grand coup de langue.
Dans la suite, je pourrais raconter tout ce que nous avions fait mais la liste est longue. J’ai appris le plaisir de lécher des seins et des vulves. J’ai appris le nombre innombrables de caresses que les femmes peuvent offrir aux autres femmes. J’ai pris un réel plaisir d’avoir en bouche le sexe de Sybille et celui de Carole. J’ai appris à reconnaître le goût de leurs sexe les yeux fermés d’après l’odeur, la forme du sexe, la structure de leurs pilosités. Jamais je n’aurais imaginé prendre autant de plaisir à faire l’amour avec d’autres femmes. La seule différence entre ce que peut fournir un homme et une femme, c’est la pénétration, mais un gode fournit des caresses profonde dans le vagin et quand le sexe est bien chaud, les sensations sont identiques.
Mes relations avec Sybille et Carole se sont prolongées. J’ai emménagé avec Sybille et nous sommes pacsées. Carole est toujours ma chef de service et nous nous voyons une à deux fois par mois pour une soirée et une nuit de folie. Carole vit toujours seule malgré une invitation pour devenir collocatrice et devenir un trio de femmes modernes.
Aujourd’hui, je vis un parfait amour avec Sybille. Nous restons discrètes dans la rue et nous gardons notre amour pour nos moments d’intimité car la vision des autres sur les lesbiennes est très négative et complètement faussée par les médias.
Voilà mon histoire, j’espère qu’elle vous a plu et qu’elle pourra service à quelques femmes d’oser vivre leurs sexualité sans tabou. Pour les mecs, et bien prenez du plaisir mais dites vous que vous avez beaucoup à apprendre pour rendre réellement une femme heureuse en amour et sachez que la longueur de votre membre n’est pas ce qui primordiale. Apprenez à être doux et tendre et sensible.
Laurence
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire,trois femmes formidable, Laurence apprend très vite
Mais Carole me rend très amoureuse et je suis prete a lui offrir
ma chatte toute humide de désir.Bisou.
Mais Carole me rend très amoureuse et je suis prete a lui offrir
ma chatte toute humide de désir.Bisou.
J'ai pris un pied fou à lire ce texte tres exitant, je me suis godé tout le long, thx you
Superbe récit,Tu donne envie (même si je suis un homme).
très belle histoire qui m'a fait mouillé ma culotte.
j'adore cette histoire ! très excitant, sensuelle... j'aimerai etre à la place de Laurence...
Trés bon récit, ai beaucoup apprécié, adore les femmes entre elles aussi bien raconté,
j' approuve les derniers commentaires sur les hommes et répond qu'il n'y a pas d'âge
pour apprendre; mon amie le sait et en profite!!!! félicitation.....
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TRES BELLE HISTOIRE MERCI DE NOUS L'AVOIR OFFERTE JAIMERAIS EN LIRE D AUTRES AUSSI BELLE
ENCORE MERCI
ENCORE MERCI
Très bien écrit, sensualité... vivement d'autres aventures. bravo
Très jolie histoire,très bien racontée,sensuelle,passionnante félicitation.