Moi Laetitia, juge d'application des peines 1
Récit érotique écrit par John Rabbit [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Moi Laetitia, juge d'application des peines 1
Je m'appelle Laëtitia j'ai 26 et je suis une jeune JAP (juge d'application des peines) aujourd'hui je vais m'occuper de mon premier dossier en solo et je suis stressée, je suis de nature timide et je manque de confiance en moi, on m'a toujours dit que ce métier n'était pas fait pour moi mais j'ai envie de prouver que tout le monde a tort. Du coté de la vie privée je suis en couple avec Thomas depuis 10 ans, c'est mon premier et mon seul copain, sexuellement je pourrais pas dire que je suis épanouie, disons que pendant longtemps je l'ai été mais depuis quelque temps je sens qu'il me manque quelque chose à ce niveau, notre rapport se limite au missionnaire 1 ou 2 fois par semaine et Thomas n'aime pas que je lui fasse une fellation "trop dégradant" pour lui et de même pour le cunni, et comme je ledisais, avant cela ne me posait aucun souci, mais depuis quelque temps mes nuits sont ponctuées de rêves érotiques voire limite pornographique, souvent je rêve que je me fais prendre par un inconnu dominateur et dans des situations incongrues dans la rue, au bureau, ... et je me réveille en sueur et avec l'entrée jambe humide, mais bon revenons à la réalité.
Pour mon travail je dois aller visiter un jeune homme qui a une peine aménagée, il a 18 ans il a était arrêté pour des cambriolages et donc au lieu d'être en prison il est logé dans un hôtel de réinsertion à proximité du centre-ville, il y a eu récemment des soucis dans l'hôtel et il se pourrait qu'il soit impliqué donc je dois venir faire le point, bref, j'ai trouvé une place de parking à proximité de l'hôtel et j'ose pas sortir de la voiture, j'ai mal au ventre de me retrouver face à ce jeune délinquant merci à mon manque d'assurance, souvent on m'a dit que je ne devrais pas douter de moi parce que je suis jolie (je n'ai jamais trop compris le rapport mais bon bref), c'est vrai que je me trouve plutôt jolie, je suis blonde coupée au carré, des yeux marron, je fais 1m63 pour 47 kg mon tour de poitrine et 85c et je suis plutôt fière de mes fesses, souvent je me fais draguer ou siffler dans la rue, quelques fois quand je ne sors qu'avec mes copines je me fais aborder par des garçons mais je n'ai jamais osé franchir le pas et tromper Thomas, j'ose enfin sortir de la voiture, je remets en place ma jupe de mon tailleur et je vérifie que tous les boutons de mon chemisier soient bien attachés et que mon haut soit bien rentré dans ma jupe, je m'avance vers l'hôtel, la porte ne s'ouvre qu'avec un code que j'ai en ma possession, je le tape fébrilement et je rentre dans l'hôtel.
C'est un petit hôtel il n'y a que 4 chambres dedans, enfin c'est plus des studios que des chambres, je monte l'escalier, mes jambes manquent de se dérobées, je prends une grande inspiration et je continue mon ascension me voila en haut il y a une porte sur ma droite, deux en face de moi et une 4e sur ma gauche, je regarde mon dossier qui m'indique que la chambre et celle sur la gauche, je me dirige vers la porte léve ma main pour toquer mais je bloque, j'essaye de me ressaisir de prendre une grande inspiration d'essayer de rassembler le peu de courage que j'ai et je toc, pas de réponses, je recommence, j'entends du mouvement de l'autre côté de la porte et la porte s'ouvre.
Devant moi se trouve Brahim, je suis immédiatement perturbé et je sens le rouge me monter aux joues, car en effet Brahim n'a pour tenue qu'une serviette de bain nouée autour de la taille, de l'eau ruisselé sur son torse musclé, j'étais troublée et il l'a vu, malgré cela j'ai voulu m'imposer et je lui ai demandé de se changer, mais sans se démonter il m'a dit qu'il faisait trop chaud et qu'il était bien comme ça, et malheureusement mon naturel soumis est revenue au galop, je n'avais jamais réussi à m'imposer et tout le monde que ça soit dans ma famille ou au travail se servait de moi pour faire tout ce qu'ils ne voulaient pas faire, il aurait vraiment fallu que j'apprenne à dire non, surtout après ce qui va se passer... Enfin quoique peut-être que cela à changer ma vie de la bonne façon.
Je rentre donc dans le studio, c'est plutôt petit sur la droite se trouve un bureau puis après il y a un petit coin cuisiné, sur le mur perpendiculaire il y avait une fenêtre, en face de la porte d'entrée se trouvait un lit et sur la gauche de l'entrée il y avait deux portes une qui mène à la salle de bain et une autre qui je suppose et un placard, la porte claqua derrière moi, j'ai regardé Brahim dans les yeux, dans son regard je voyais une lueur d'envie, il me regardait vraiment de haut en bas avec le même regard qu'un lion face à sa proie, au lieu de me faire peur, je sentais monter dans mon ventre une chaleur que je n'avais rarement ressentie, je sentais mes joues rougir, mes jambes tremblées, je ne sais pas trop comment cela s'est passé je sais juste qu'il m'a demandé si j'étais la juge et qu'un "oui" léger est sortie de ma bouche, ce qui s'est passé après j'ai eu l'impression de n'en être que spectatrice et de me retrouver dans mes rêves érotiques, il s'est approché de moi, vraiment très proche, si bien que j'ai dû reculer mais je fu vite arrêtée par le bureau, il dit que j'étais très belle et qu'il remerciait la justice de m'avoir Envoyé à lui, il était maintenant quasi contre moi, il mit ses mains sur mes hanches, je n'ai pas eu la force ou le courage de le repousser, pourtant j'aurais dû, mais pourquoi je n'avais pas pu? La peur? Le désir? Je ne savais pas, mais il était maintenant collé à moi je sentais sur mon ventre son sexe se durcir, il pencha sa tête pour m'embrasser mais avant qu'il ne le fasse j'ai pu lui dire de ne pas faire ça que j'étais juge que ce n'était pas correct qu'il devait cesser immédiatement, Je ne sais pas si ces mots ne sont sortis que dans mon esprit ou si je les ai vraiment dit mais il ne s'arrêta pas et il m'embrassa, c'était la première fois que des lèvres autres que celles de Thomas se posaient sur les miennes, avec sa langue il força ma bouche à s'ouvrir, sa langue joua avec la mienne, j'étais tétanisé mais je crois que j'appréciais vu la sensation de papillon dans le ventre que j'avais...
Les choses se sont vite accélérés surement devant mon manque de refus il me fit assoir sur la lame bureau, m'écartant les jambes pour se coller encore plus à moi, je sentais son sexe bandé contre le tissu de ma culotte, il se pressait contre moi et je mouillais, sa langue toujours dans ma bouche, ses mains sont venues détacher les boutons de mon chemisier dévoilant mon soutien-gorge blanc, ses mains agrippèrent mes seins mais rapidement sont d'un mouvement que je ne saurais décrire il me fit mettre au sol. J'étais donc à genoux devant lui, il détacha sa serviette qui est tombée à ses pieds, son sexe jaillit devant mon visage, il était fin mais long, beaucoup plus long que celui de Thomas, il se rapprocha encore de moi et il dit "suce-moi salope" et je l'ai pris en bouche, c'était vraiment la première fois que je suçais un garçon sans capote les rares fois où je l'avais fait à Thomas c'était avec préservatif, Brahim mit ses mains sur ma tête et imprima le rythme, me provoquant souvent des hauts le coeur, mais lui semblait prendre du plaisir, il me prit la bouche quelques minutes puis il arrêta me fait relever et il me jeta sur le lit, j'étais sur le ventre quand il passa ses mains sur mes hanches pour me relever, j'étais maintenant à 4 pattes, il prit dans le tiroir du bureau une capote, il l'a mise, à soulever ma jupe, baisser ma culotte il mit sa main sur mon sexe dit "tu mouilles salope" et il s'enfonça en moi, m'arrachant un cri qui n'était plus de la surprise mais du plaisir, ses mains s'agrippèrent fermement à mes hanches et il me pénétra comme un marteau piqueur pénétré le bitume, il me mettait des claques sur les fesses la douleur me provoquait dû plaisir, je ne me reconnaissais plus quand il me demandait si j'aimais être prise comme une pute et que je disais oui, ça l'encourageait encore plus à me prendre fort, il me disait aussi qu'il avait vu dès que j'étais entrée que j'avais envie de sa bite et je crois qu'il n'avait pas tort, puis il se retira, il me fit me mettre debout et il me déshabilla complètement puis il m'allongea sur le dos, m'écarta les jambes et il est venue se mettre sur moi, il reprit un rythme rapide, je fixais le plafond me demandant si c'était bien moi qui étais là en train de me faire baiser par ce délinquant, et encore je ne pensais pas aux conséquences que cela pourrait avoir si ça venait à se savoir, mais ma réflexion est partie quand j'ai senti venir un orgasme, un orgasme comme jamais je n'avais eu avant, je crois que c'est à ce moment que j'ai su ce qu'était le plaisir sexuel, des larmes coulaient mais je n'ai jamais su si c'était des larmes de plaisirs ou des larmes de tristesse d'être limite violer dans cette chambre d'hôtel miteuse, mais avec le recul je pense que j'ai aimé ce moment, je sentais que Brahim commençait à faiblir, il se retira d'ailleurs peu de temps après, enleva la capote et il a approché son sexe de mon visage, il releva ma tête avec une main et me mit son sexe dans ma bouche, j'ai senti son sexe se vider c'était la première fois que j'avais du sperme dans la bouche je ne saurais dire si j'aimais ça mais j'ai avalé, la sensation était bizarre mais pas désagréable, il se coucha à coté de moi et il dit "ouah tu es trop bonne" je ne sais pas si c'était un compliment mais cela m'a fait plaisir, j'ai tourné la tête sur la gauche et j'ai vu que ça faisait déjà une heure que j'étais là, je devais partir, je me suis affolée, j'ai ramassé mes affaires et je me suis dirigée vers la salle de bain, je me suis vite rhabillée, recoiffée comme je pouvais et je me suis précipité vers la porte, il était toujours allongé sur le lit et avant que j'ouvre la porte pour fuir il me dit "j'ai bien kiffé, tous les soirs je dois être à 19h ici bracelet oblige, donc si tu veux tu reviens quand tu veux", je n'ai rien répondu et je suis partie, j'ai descendu les escaliers rapidement et je courais dans la rue pour rejoindre ma voiture, une fois à l'intérieur j'ai fermé les yeux, ma respiration était rapide, puis j'ai commencé à me calmer, quand j'ai ouvert les yeux j'ai cru à un rêve, c'était forcément un rêve cela n'avait pas pu se passer, j'étais en train de me convaincre que c'était un rêve, mais la réalité est venue me frapper de plein fouet... Où était ma culotte?
Pour mon travail je dois aller visiter un jeune homme qui a une peine aménagée, il a 18 ans il a était arrêté pour des cambriolages et donc au lieu d'être en prison il est logé dans un hôtel de réinsertion à proximité du centre-ville, il y a eu récemment des soucis dans l'hôtel et il se pourrait qu'il soit impliqué donc je dois venir faire le point, bref, j'ai trouvé une place de parking à proximité de l'hôtel et j'ose pas sortir de la voiture, j'ai mal au ventre de me retrouver face à ce jeune délinquant merci à mon manque d'assurance, souvent on m'a dit que je ne devrais pas douter de moi parce que je suis jolie (je n'ai jamais trop compris le rapport mais bon bref), c'est vrai que je me trouve plutôt jolie, je suis blonde coupée au carré, des yeux marron, je fais 1m63 pour 47 kg mon tour de poitrine et 85c et je suis plutôt fière de mes fesses, souvent je me fais draguer ou siffler dans la rue, quelques fois quand je ne sors qu'avec mes copines je me fais aborder par des garçons mais je n'ai jamais osé franchir le pas et tromper Thomas, j'ose enfin sortir de la voiture, je remets en place ma jupe de mon tailleur et je vérifie que tous les boutons de mon chemisier soient bien attachés et que mon haut soit bien rentré dans ma jupe, je m'avance vers l'hôtel, la porte ne s'ouvre qu'avec un code que j'ai en ma possession, je le tape fébrilement et je rentre dans l'hôtel.
C'est un petit hôtel il n'y a que 4 chambres dedans, enfin c'est plus des studios que des chambres, je monte l'escalier, mes jambes manquent de se dérobées, je prends une grande inspiration et je continue mon ascension me voila en haut il y a une porte sur ma droite, deux en face de moi et une 4e sur ma gauche, je regarde mon dossier qui m'indique que la chambre et celle sur la gauche, je me dirige vers la porte léve ma main pour toquer mais je bloque, j'essaye de me ressaisir de prendre une grande inspiration d'essayer de rassembler le peu de courage que j'ai et je toc, pas de réponses, je recommence, j'entends du mouvement de l'autre côté de la porte et la porte s'ouvre.
Devant moi se trouve Brahim, je suis immédiatement perturbé et je sens le rouge me monter aux joues, car en effet Brahim n'a pour tenue qu'une serviette de bain nouée autour de la taille, de l'eau ruisselé sur son torse musclé, j'étais troublée et il l'a vu, malgré cela j'ai voulu m'imposer et je lui ai demandé de se changer, mais sans se démonter il m'a dit qu'il faisait trop chaud et qu'il était bien comme ça, et malheureusement mon naturel soumis est revenue au galop, je n'avais jamais réussi à m'imposer et tout le monde que ça soit dans ma famille ou au travail se servait de moi pour faire tout ce qu'ils ne voulaient pas faire, il aurait vraiment fallu que j'apprenne à dire non, surtout après ce qui va se passer... Enfin quoique peut-être que cela à changer ma vie de la bonne façon.
Je rentre donc dans le studio, c'est plutôt petit sur la droite se trouve un bureau puis après il y a un petit coin cuisiné, sur le mur perpendiculaire il y avait une fenêtre, en face de la porte d'entrée se trouvait un lit et sur la gauche de l'entrée il y avait deux portes une qui mène à la salle de bain et une autre qui je suppose et un placard, la porte claqua derrière moi, j'ai regardé Brahim dans les yeux, dans son regard je voyais une lueur d'envie, il me regardait vraiment de haut en bas avec le même regard qu'un lion face à sa proie, au lieu de me faire peur, je sentais monter dans mon ventre une chaleur que je n'avais rarement ressentie, je sentais mes joues rougir, mes jambes tremblées, je ne sais pas trop comment cela s'est passé je sais juste qu'il m'a demandé si j'étais la juge et qu'un "oui" léger est sortie de ma bouche, ce qui s'est passé après j'ai eu l'impression de n'en être que spectatrice et de me retrouver dans mes rêves érotiques, il s'est approché de moi, vraiment très proche, si bien que j'ai dû reculer mais je fu vite arrêtée par le bureau, il dit que j'étais très belle et qu'il remerciait la justice de m'avoir Envoyé à lui, il était maintenant quasi contre moi, il mit ses mains sur mes hanches, je n'ai pas eu la force ou le courage de le repousser, pourtant j'aurais dû, mais pourquoi je n'avais pas pu? La peur? Le désir? Je ne savais pas, mais il était maintenant collé à moi je sentais sur mon ventre son sexe se durcir, il pencha sa tête pour m'embrasser mais avant qu'il ne le fasse j'ai pu lui dire de ne pas faire ça que j'étais juge que ce n'était pas correct qu'il devait cesser immédiatement, Je ne sais pas si ces mots ne sont sortis que dans mon esprit ou si je les ai vraiment dit mais il ne s'arrêta pas et il m'embrassa, c'était la première fois que des lèvres autres que celles de Thomas se posaient sur les miennes, avec sa langue il força ma bouche à s'ouvrir, sa langue joua avec la mienne, j'étais tétanisé mais je crois que j'appréciais vu la sensation de papillon dans le ventre que j'avais...
Les choses se sont vite accélérés surement devant mon manque de refus il me fit assoir sur la lame bureau, m'écartant les jambes pour se coller encore plus à moi, je sentais son sexe bandé contre le tissu de ma culotte, il se pressait contre moi et je mouillais, sa langue toujours dans ma bouche, ses mains sont venues détacher les boutons de mon chemisier dévoilant mon soutien-gorge blanc, ses mains agrippèrent mes seins mais rapidement sont d'un mouvement que je ne saurais décrire il me fit mettre au sol. J'étais donc à genoux devant lui, il détacha sa serviette qui est tombée à ses pieds, son sexe jaillit devant mon visage, il était fin mais long, beaucoup plus long que celui de Thomas, il se rapprocha encore de moi et il dit "suce-moi salope" et je l'ai pris en bouche, c'était vraiment la première fois que je suçais un garçon sans capote les rares fois où je l'avais fait à Thomas c'était avec préservatif, Brahim mit ses mains sur ma tête et imprima le rythme, me provoquant souvent des hauts le coeur, mais lui semblait prendre du plaisir, il me prit la bouche quelques minutes puis il arrêta me fait relever et il me jeta sur le lit, j'étais sur le ventre quand il passa ses mains sur mes hanches pour me relever, j'étais maintenant à 4 pattes, il prit dans le tiroir du bureau une capote, il l'a mise, à soulever ma jupe, baisser ma culotte il mit sa main sur mon sexe dit "tu mouilles salope" et il s'enfonça en moi, m'arrachant un cri qui n'était plus de la surprise mais du plaisir, ses mains s'agrippèrent fermement à mes hanches et il me pénétra comme un marteau piqueur pénétré le bitume, il me mettait des claques sur les fesses la douleur me provoquait dû plaisir, je ne me reconnaissais plus quand il me demandait si j'aimais être prise comme une pute et que je disais oui, ça l'encourageait encore plus à me prendre fort, il me disait aussi qu'il avait vu dès que j'étais entrée que j'avais envie de sa bite et je crois qu'il n'avait pas tort, puis il se retira, il me fit me mettre debout et il me déshabilla complètement puis il m'allongea sur le dos, m'écarta les jambes et il est venue se mettre sur moi, il reprit un rythme rapide, je fixais le plafond me demandant si c'était bien moi qui étais là en train de me faire baiser par ce délinquant, et encore je ne pensais pas aux conséquences que cela pourrait avoir si ça venait à se savoir, mais ma réflexion est partie quand j'ai senti venir un orgasme, un orgasme comme jamais je n'avais eu avant, je crois que c'est à ce moment que j'ai su ce qu'était le plaisir sexuel, des larmes coulaient mais je n'ai jamais su si c'était des larmes de plaisirs ou des larmes de tristesse d'être limite violer dans cette chambre d'hôtel miteuse, mais avec le recul je pense que j'ai aimé ce moment, je sentais que Brahim commençait à faiblir, il se retira d'ailleurs peu de temps après, enleva la capote et il a approché son sexe de mon visage, il releva ma tête avec une main et me mit son sexe dans ma bouche, j'ai senti son sexe se vider c'était la première fois que j'avais du sperme dans la bouche je ne saurais dire si j'aimais ça mais j'ai avalé, la sensation était bizarre mais pas désagréable, il se coucha à coté de moi et il dit "ouah tu es trop bonne" je ne sais pas si c'était un compliment mais cela m'a fait plaisir, j'ai tourné la tête sur la gauche et j'ai vu que ça faisait déjà une heure que j'étais là, je devais partir, je me suis affolée, j'ai ramassé mes affaires et je me suis dirigée vers la salle de bain, je me suis vite rhabillée, recoiffée comme je pouvais et je me suis précipité vers la porte, il était toujours allongé sur le lit et avant que j'ouvre la porte pour fuir il me dit "j'ai bien kiffé, tous les soirs je dois être à 19h ici bracelet oblige, donc si tu veux tu reviens quand tu veux", je n'ai rien répondu et je suis partie, j'ai descendu les escaliers rapidement et je courais dans la rue pour rejoindre ma voiture, une fois à l'intérieur j'ai fermé les yeux, ma respiration était rapide, puis j'ai commencé à me calmer, quand j'ai ouvert les yeux j'ai cru à un rêve, c'était forcément un rêve cela n'avait pas pu se passer, j'étais en train de me convaincre que c'était un rêve, mais la réalité est venue me frapper de plein fouet... Où était ma culotte?
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