Moi Laetitia, juge d'application des peines 2
Récit érotique écrit par John Rabbit [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Moi Laetitia, juge d'application des peines 2
Après cette baise avec Brahim que je n'avais pas souhaité mais pas refusé je suis rentrée chez moi et j'ai pris une douche dans la glace je voyais mes fesses rougies par les claques de Brahim, je me suis dit que pendant quelques jours je devrais faire attention à ce que Thomas ne me voit pas nue. Quand nous nous sommes mis au lit il voulut faire l'amour mais j'ai prétendu un mal de tête et il se tourna sans protester, toute la nuit j'ai rêvé de Brahim me baisant comme une pute, j'ai même mouillé ma culotte en rêvant, le lendemain au travail j'étais distraite, je n'avais que des flashs de cette baise et cette envie de recommencer, mais ma raison me disait que j'étais folle de penser à ça, après le boulot je pris ma voiture et je suis rentré chez moi, et cette nuit-là Thomas voulut faire l'amour avec moi, il se mit sur moi, me pénétra sans plus de préliminaire, il me fit l'amour pendant 5 mois et jouit dans la capote (oui même si ça fait 10 ans que nous sommes ensemble nous mettons encore des capotes pour éviter de tomber enceinte), me laissant sur ma faim, j'ai eu du mal à dormir, le lendemain je me sentais pas très bien et quand Thomas est parti bossé j'ai appelé mon travail pour leur dire que j'étais souffrante...
Je savais très bien où j'avais envie d'être mais étais-je capable de céder à mes pulsions et de retourner voir Brahim? Je n'en savais rien et j'avais peur de cette envie d'être soumise, d'être traité comme une pute, de n'être qu'un vide couille pour lui, mais pourtant j'avais envie de ressentir encore cette vague de plaisir qui m'avait envahie, alors sans m'en rendre vraiment compte j'étais en route vers cet hôtel du centre-ville...
Très vite je fus devant la porte de la chambre et j'ai toqué, Brahim a ouvert la porte et fut surpris mais content de me voir, mais très vite son visage s'assombrit, il me dit que je devais partir mais je comprenais pas pourquoi, la porte s'ouvrit brusquement et un grand black costaud apparut derrière Brahim, l'homme me dévisagea et il dit à Brahim "c'est ta meuf?" "non c'est ma juge" lui répondit-il avec une voix mal assurée, l'homme dit alors "Tu vas me faire croire que ta juge viendrait avec ce mini short et ce haut?" c'est vrai que ma tenue était sexy, j'avais un petit short en jean et un débardeur blanc sans soutif, j'avais mis ça pour me laisser très peu de doute quant à ma visite à Brahim. L'homme poussa Brahim en arrière qui manqua de tomber sur le lit, et il me fit entrer, il ferma la porte à clef derrière moi, il était derrière, je sentais son souffle chaud il dit alors à Brahim :
- Sexy ta meuf, elle est au courant du fric que tu me dois?
- Non elle sait rien ne laisse la partir mec
Voulant désamorcer une situation que je sentais se tendre de plus en plus j'ai dit :
- Combien vous doit-il?
- Hum si c'est toi qui rembourses sa dette par besoin d'argent dit-il se collant derrière moi et posant ses grosses mains sur mon ventre, bizarrement la situation ne me faisait pas peur, je crois même qu'elle m'excitait. il se collait vraiment à moi, ses mains sont monté sous mon débardeur et il jouait avec ma poitrine tirant et pinçant mes tétons, puis il me tourna face à lui se pencha et m'embrassa, ses mains agrippèrent mes fesses, puis il se recula enleva son haut déboutonna son pantalon et en fit jaillir une bite énorme large et longue, il me fit assoir sur le bord du lit et il me mit son sexe dans la bouche, j'étais assise à côté de Brahim, et quand il voulut se lever l'homme lui dit de rester là et de pas bouger, j'essayais tant bien que mal de sucer cette grosse queue, mais j'avais énormément de mal à le prendre en bouche, je léchais toute sa longueur je gobais ses couilles et l'homme dit :
- Hum elle est doué ta meuf, je vais la déglinguer comme jamais.
Ces paroles m'excitaient encore plus, l'homme se retira de ma bouche enlevèrent mes vêtements, me fit mettre à 4 pattes me lécha l'abricot quelques minutes et il présenta son sexe contre mes lèvres intime, d'un mouvement brusque mais contrôlé il s'inséra en moi me faisant crier de surprise et de plaisir vu que cela me déclencha un orgasme, sur le coup je n'avais même pas réalisé qu'il était en train de me baiser sans capote, j'ai percuté quand il m'a dit de pas m'inquiéter qu'il était clean, mais de toute façon je prenais trop de plaisir pour dire quoi que ce soit, l'homme me prit pendant un long et bon moment en levrette et il finit par jouir en moi, il s'est retiré à remonté son pantalon et il dit:
- Ta dette est réglée mais n'hésite pas à revenir m'emprunter des thunes...
Je me suis écroulé sur le lit quand la porte claqua, Brahim essaya de se justifier et d'expliquer la situation mais j'en avais rien à faire, toutes mes barrières venaient de tomber je venais de comprendre que depuis tout le temps j'étais une salope qui aimait le sexe mais qui ne voulait pas l'admettre, alors le coupant dans ses explications je lui ai simplement dit :
- Encule-moi...
- Quoi? dit-il incrédule
- Oui encule-moi j'ai envie de savoir ce que ça fait...
Alors il s'exécuta, il me mit en levrette, cracha sur mon anus, présenta son gland à l'entrée de mon cul et il s'introduit en moi, la sensation était différente, cela faisait mal au début mais très vite le plaisir à remplacer la douleur, il m'agrippa les fesses et il accéléra le rythme sous mes encouragements à me faire prendre plus fort, très vite il a senti qu'il allait jouir et comme il n'avait pas mis de capote non plus il me demanda s'il pouvait jouir en moi...
- Oui vide-toi en moi, s'il te plaît
Et il se vida en moi dans un râle de plaisir partagé et provoquant aussi un orgasme qui fit trembler tout mon corps, Nous nous sommes écroulé tous les deux sur le lit et il eut un premier geste de tendresse, il me prit dans ses bras, nous sommes restés longtemps comme ça, puis je me suis levé et je lui ai demandé si je pouvais prendre une douche, il accepta mais à la seule condition de la prendre avec moi, je lui fis un clin d'oeil en guise d'approbation. Nous nous lavions mutuellement et son sexe reprit vite de la vigueur, alors il m'a retourné face à la paroi de la douche, me cambrant légèrement il me pénétra dans la douche, puis il me retourna leva une de mes jambes et se réintroduit en moi, une main tenait ma jambe l'autre agrippée mes seins, nos bouches ne se quittaient plus et il jouit en moi, après cela je suis partie quand il m'a demandé si je reviendrais je lui ai dis que je n'en savais rien qu'il n'avait rien à attendre de moi que ça devait rester entre nous et que c'est moi qui déciderais si je le reverrais ou pas, il accepta et pour la première fois de ma vie je m'imposais.
Je savais très bien où j'avais envie d'être mais étais-je capable de céder à mes pulsions et de retourner voir Brahim? Je n'en savais rien et j'avais peur de cette envie d'être soumise, d'être traité comme une pute, de n'être qu'un vide couille pour lui, mais pourtant j'avais envie de ressentir encore cette vague de plaisir qui m'avait envahie, alors sans m'en rendre vraiment compte j'étais en route vers cet hôtel du centre-ville...
Très vite je fus devant la porte de la chambre et j'ai toqué, Brahim a ouvert la porte et fut surpris mais content de me voir, mais très vite son visage s'assombrit, il me dit que je devais partir mais je comprenais pas pourquoi, la porte s'ouvrit brusquement et un grand black costaud apparut derrière Brahim, l'homme me dévisagea et il dit à Brahim "c'est ta meuf?" "non c'est ma juge" lui répondit-il avec une voix mal assurée, l'homme dit alors "Tu vas me faire croire que ta juge viendrait avec ce mini short et ce haut?" c'est vrai que ma tenue était sexy, j'avais un petit short en jean et un débardeur blanc sans soutif, j'avais mis ça pour me laisser très peu de doute quant à ma visite à Brahim. L'homme poussa Brahim en arrière qui manqua de tomber sur le lit, et il me fit entrer, il ferma la porte à clef derrière moi, il était derrière, je sentais son souffle chaud il dit alors à Brahim :
- Sexy ta meuf, elle est au courant du fric que tu me dois?
- Non elle sait rien ne laisse la partir mec
Voulant désamorcer une situation que je sentais se tendre de plus en plus j'ai dit :
- Combien vous doit-il?
- Hum si c'est toi qui rembourses sa dette par besoin d'argent dit-il se collant derrière moi et posant ses grosses mains sur mon ventre, bizarrement la situation ne me faisait pas peur, je crois même qu'elle m'excitait. il se collait vraiment à moi, ses mains sont monté sous mon débardeur et il jouait avec ma poitrine tirant et pinçant mes tétons, puis il me tourna face à lui se pencha et m'embrassa, ses mains agrippèrent mes fesses, puis il se recula enleva son haut déboutonna son pantalon et en fit jaillir une bite énorme large et longue, il me fit assoir sur le bord du lit et il me mit son sexe dans la bouche, j'étais assise à côté de Brahim, et quand il voulut se lever l'homme lui dit de rester là et de pas bouger, j'essayais tant bien que mal de sucer cette grosse queue, mais j'avais énormément de mal à le prendre en bouche, je léchais toute sa longueur je gobais ses couilles et l'homme dit :
- Hum elle est doué ta meuf, je vais la déglinguer comme jamais.
Ces paroles m'excitaient encore plus, l'homme se retira de ma bouche enlevèrent mes vêtements, me fit mettre à 4 pattes me lécha l'abricot quelques minutes et il présenta son sexe contre mes lèvres intime, d'un mouvement brusque mais contrôlé il s'inséra en moi me faisant crier de surprise et de plaisir vu que cela me déclencha un orgasme, sur le coup je n'avais même pas réalisé qu'il était en train de me baiser sans capote, j'ai percuté quand il m'a dit de pas m'inquiéter qu'il était clean, mais de toute façon je prenais trop de plaisir pour dire quoi que ce soit, l'homme me prit pendant un long et bon moment en levrette et il finit par jouir en moi, il s'est retiré à remonté son pantalon et il dit:
- Ta dette est réglée mais n'hésite pas à revenir m'emprunter des thunes...
Je me suis écroulé sur le lit quand la porte claqua, Brahim essaya de se justifier et d'expliquer la situation mais j'en avais rien à faire, toutes mes barrières venaient de tomber je venais de comprendre que depuis tout le temps j'étais une salope qui aimait le sexe mais qui ne voulait pas l'admettre, alors le coupant dans ses explications je lui ai simplement dit :
- Encule-moi...
- Quoi? dit-il incrédule
- Oui encule-moi j'ai envie de savoir ce que ça fait...
Alors il s'exécuta, il me mit en levrette, cracha sur mon anus, présenta son gland à l'entrée de mon cul et il s'introduit en moi, la sensation était différente, cela faisait mal au début mais très vite le plaisir à remplacer la douleur, il m'agrippa les fesses et il accéléra le rythme sous mes encouragements à me faire prendre plus fort, très vite il a senti qu'il allait jouir et comme il n'avait pas mis de capote non plus il me demanda s'il pouvait jouir en moi...
- Oui vide-toi en moi, s'il te plaît
Et il se vida en moi dans un râle de plaisir partagé et provoquant aussi un orgasme qui fit trembler tout mon corps, Nous nous sommes écroulé tous les deux sur le lit et il eut un premier geste de tendresse, il me prit dans ses bras, nous sommes restés longtemps comme ça, puis je me suis levé et je lui ai demandé si je pouvais prendre une douche, il accepta mais à la seule condition de la prendre avec moi, je lui fis un clin d'oeil en guise d'approbation. Nous nous lavions mutuellement et son sexe reprit vite de la vigueur, alors il m'a retourné face à la paroi de la douche, me cambrant légèrement il me pénétra dans la douche, puis il me retourna leva une de mes jambes et se réintroduit en moi, une main tenait ma jambe l'autre agrippée mes seins, nos bouches ne se quittaient plus et il jouit en moi, après cela je suis partie quand il m'a demandé si je reviendrais je lui ai dis que je n'en savais rien qu'il n'avait rien à attendre de moi que ça devait rester entre nous et que c'est moi qui déciderais si je le reverrais ou pas, il accepta et pour la première fois de ma vie je m'imposais.
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