Moiteur tropicale
Récit érotique écrit par Evita [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Evita ont reçu un total de 44 250 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 31 554 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Moiteur tropicale
J’enseignais le français à l’autre bout du monde.
J’aimais cette île sous les tropiques. Tout était une invitation à la sensualité.
J’avais fini par m’habituer à la moiteur permanente qui m’insupportait tant au début. Je m’y étais tellement habituée, qu’elle me manquait alors terriblement à chacun de mes retours en Europe. Je pense aujourd’hui que cette suffocante ambiance me plaisait finalement beaucoup.
J’aimais l’indécence de mes tenues légères. Ma peau était le plus souvent nue et cela me procurait une ivre sensation de liberté. A la maison, j’étais le plus souvent complètement nue sous ma robe, et je ne m’en rendais pas toujours compte mais il n’était pas rare que l’on puisse entrevoir mes seins sous la transparence du tissu. Il m’arrivait, pressée, de descendre en ville simplement vêtue d’une petite robe, et j’ai surpris plus d’une fois, le regard appuyé d’un homme sur le creux de mes cuisses au moment de descendre de ma voiture. Je maintenais alors quelques secondes de plus mes jambes écartées. Cela m’amusait et m’excitait aussi beaucoup. Je sentais alors parfois une douce chaleur envahir mon bas ventre et je sentais perler mon sexe… Il n’était pas rare qu’au retour de mon « expédition », j’imagine le sexe bandé de l’inconnu et me caresse avec frénésie pour éteindre le feu de mon entre-jambe.
Un jour, on frappe à ma porte. J’ouvre. Je portais alors une mini jupe de coton négligemment nouée sur les hanches et une brassière qui comprimait mes seins. Je sortais de la douche et les tétons dressés par la fraîcheur de l’eau se dressaient, durs et arrogants, sous le tissu.
Comme à mon habitude, aucun sous vêtement. J’appréciais le contact de la douceur de ma jupe sur la peau de mon sexe entièrement épilé.
C’était le fils de ma voisine, un jeune homme de 19 ans. Il était venu plusieurs fois pour demander de l’aide pour ses devoirs. J’avais souvent surpris ses regards posés sur mon corps et son trouble d’alors m’avait amusée. Il avait une dissertation à rédiger et venait me demander conseil.
Je le fais entrer, l’invite à s’assoir sur un fauteuil du salon et m’installe en face, sur le canapé.
Je prends la copie. La lis, non sans écarter légèrement les jambes, amusée à l’idée de son trouble renouvelé. Je finis de lire et lève les yeux pour lui poser quelques questions. Il n’écoutait pas. Ses yeux étaient rivés sur le creux de mes cuisses. Je lui demande de s’approcher, ce qu’il fait sans un mot. Je me repenche sur le document, puis relève la tête pour trouver, juste face à mes yeux une énorme bosse sous son short.
Je lui demande alors s’il veut regarder de plus près et, joignant le geste à la parole, écarte franchement mes cuisses. Il bredouille confus, mais son regard ne quitte pas mon entre-jambes. Ma jupe se relève laissant entrevoir mon sexe trempé. Je prends sa main et la pose d’autorité dessus. Il commence alors à me caresser, faisant glisser lentement ses doigts. Ses gestes sont un peu maladroits mais terriblement doux et frénétiques. Il titille mon clitoris. Des vagues de plaisir commencent à monter. Je gémis. Il s’enhardit. Je halète. Il enfonce un doigt, puis deux.
« Lèche-moi ! » Il s’accroupit. Je prends sa tête entre mes mains et l’attire à moi. Il pose ses lèvres sur moi, fais glisser sa langue entre les plis de mon intimité, l’enfonce, la retire, embrasse langoureusement mon petit bouton qui, gonflé, tendu, se dresse. Il ose un coup de langue plus bas. Je l’encourage. Mon anus se détend, s’assouplit. J’y glisse un doigt et me branle pendant qu’il ne cesse de me sucer, lécher, manger, dévorer. Moi doigt est comme aspiré en moi dans une douce sensation de succion.
Je jouis dans une vague puissante et violente qui m’arrache un cri. Mes cuisses sont trempes. Je suis entièrement ouverte. Il approche alors son sexe de ma bouche. Il est dur, doux et, ma foi, plutôt imposant. Je l’aspire, le suce à mon tour, l’enfonçant au plus profond de ma gorge. Il décharge dans un râle de plaisir. Je bois ce jus avec délices.
Je me lève, ajuste ma jupe, tente de reprendre sa copie mais il n’est pas rassasié et, quelques minutes plus tard, me demande de mettre à genoux. Je m’exécute. C’est maintenant lui qui dirige les opérations. Il soulève ma jupe. Ma position est d’une indécence folle.
Je suis à nouveau ouverte, offerte. Je sens sa queue glisser entre mes fesses. Il l’entre tout d’un coup, défonçant mon anus. Il l’enfonce jusqu’à la garde. Je sens ses testicules contre ma chatte, s’imprégner de mon humidité.
Il entame une série de violentes allées et venues. Je gémis. J’ai mal. C’est une délicieuse douleur. Et le plaisir s’intensifie encore. Je n’imaginais pas qu’il puisse être aussi entreprenant. Il me défonce.
Je jouis à nouveau très fort. Il se retire et tout son foutre coule entre mes cuisses.
Il se rhabille. S’en va, me laisse chancelante sur le canapé. La dissertation était sûrement un prétexte…
Il n’est plus jamais revenu. Je l’ai aperçu parfois.
Et puis un jour, il a frappé à ma porte, accompagné d’un copain. Mais c’est une autre histoire …
J’aimais cette île sous les tropiques. Tout était une invitation à la sensualité.
J’avais fini par m’habituer à la moiteur permanente qui m’insupportait tant au début. Je m’y étais tellement habituée, qu’elle me manquait alors terriblement à chacun de mes retours en Europe. Je pense aujourd’hui que cette suffocante ambiance me plaisait finalement beaucoup.
J’aimais l’indécence de mes tenues légères. Ma peau était le plus souvent nue et cela me procurait une ivre sensation de liberté. A la maison, j’étais le plus souvent complètement nue sous ma robe, et je ne m’en rendais pas toujours compte mais il n’était pas rare que l’on puisse entrevoir mes seins sous la transparence du tissu. Il m’arrivait, pressée, de descendre en ville simplement vêtue d’une petite robe, et j’ai surpris plus d’une fois, le regard appuyé d’un homme sur le creux de mes cuisses au moment de descendre de ma voiture. Je maintenais alors quelques secondes de plus mes jambes écartées. Cela m’amusait et m’excitait aussi beaucoup. Je sentais alors parfois une douce chaleur envahir mon bas ventre et je sentais perler mon sexe… Il n’était pas rare qu’au retour de mon « expédition », j’imagine le sexe bandé de l’inconnu et me caresse avec frénésie pour éteindre le feu de mon entre-jambe.
Un jour, on frappe à ma porte. J’ouvre. Je portais alors une mini jupe de coton négligemment nouée sur les hanches et une brassière qui comprimait mes seins. Je sortais de la douche et les tétons dressés par la fraîcheur de l’eau se dressaient, durs et arrogants, sous le tissu.
Comme à mon habitude, aucun sous vêtement. J’appréciais le contact de la douceur de ma jupe sur la peau de mon sexe entièrement épilé.
C’était le fils de ma voisine, un jeune homme de 19 ans. Il était venu plusieurs fois pour demander de l’aide pour ses devoirs. J’avais souvent surpris ses regards posés sur mon corps et son trouble d’alors m’avait amusée. Il avait une dissertation à rédiger et venait me demander conseil.
Je le fais entrer, l’invite à s’assoir sur un fauteuil du salon et m’installe en face, sur le canapé.
Je prends la copie. La lis, non sans écarter légèrement les jambes, amusée à l’idée de son trouble renouvelé. Je finis de lire et lève les yeux pour lui poser quelques questions. Il n’écoutait pas. Ses yeux étaient rivés sur le creux de mes cuisses. Je lui demande de s’approcher, ce qu’il fait sans un mot. Je me repenche sur le document, puis relève la tête pour trouver, juste face à mes yeux une énorme bosse sous son short.
Je lui demande alors s’il veut regarder de plus près et, joignant le geste à la parole, écarte franchement mes cuisses. Il bredouille confus, mais son regard ne quitte pas mon entre-jambes. Ma jupe se relève laissant entrevoir mon sexe trempé. Je prends sa main et la pose d’autorité dessus. Il commence alors à me caresser, faisant glisser lentement ses doigts. Ses gestes sont un peu maladroits mais terriblement doux et frénétiques. Il titille mon clitoris. Des vagues de plaisir commencent à monter. Je gémis. Il s’enhardit. Je halète. Il enfonce un doigt, puis deux.
« Lèche-moi ! » Il s’accroupit. Je prends sa tête entre mes mains et l’attire à moi. Il pose ses lèvres sur moi, fais glisser sa langue entre les plis de mon intimité, l’enfonce, la retire, embrasse langoureusement mon petit bouton qui, gonflé, tendu, se dresse. Il ose un coup de langue plus bas. Je l’encourage. Mon anus se détend, s’assouplit. J’y glisse un doigt et me branle pendant qu’il ne cesse de me sucer, lécher, manger, dévorer. Moi doigt est comme aspiré en moi dans une douce sensation de succion.
Je jouis dans une vague puissante et violente qui m’arrache un cri. Mes cuisses sont trempes. Je suis entièrement ouverte. Il approche alors son sexe de ma bouche. Il est dur, doux et, ma foi, plutôt imposant. Je l’aspire, le suce à mon tour, l’enfonçant au plus profond de ma gorge. Il décharge dans un râle de plaisir. Je bois ce jus avec délices.
Je me lève, ajuste ma jupe, tente de reprendre sa copie mais il n’est pas rassasié et, quelques minutes plus tard, me demande de mettre à genoux. Je m’exécute. C’est maintenant lui qui dirige les opérations. Il soulève ma jupe. Ma position est d’une indécence folle.
Je suis à nouveau ouverte, offerte. Je sens sa queue glisser entre mes fesses. Il l’entre tout d’un coup, défonçant mon anus. Il l’enfonce jusqu’à la garde. Je sens ses testicules contre ma chatte, s’imprégner de mon humidité.
Il entame une série de violentes allées et venues. Je gémis. J’ai mal. C’est une délicieuse douleur. Et le plaisir s’intensifie encore. Je n’imaginais pas qu’il puisse être aussi entreprenant. Il me défonce.
Je jouis à nouveau très fort. Il se retire et tout son foutre coule entre mes cuisses.
Il se rhabille. S’en va, me laisse chancelante sur le canapé. La dissertation était sûrement un prétexte…
Il n’est plus jamais revenu. Je l’ai aperçu parfois.
Et puis un jour, il a frappé à ma porte, accompagné d’un copain. Mais c’est une autre histoire …
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Evita
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ouais je suis exciter ce matin par vtre histoire,si je pouvai l'entendre au telephone?
je suis tres impatient de lire la suite,
tendres baisés
JF
tendres baisés
JF
Ummmmm oh oui vivement la suite ! J'en suis déjà toute excite!!
a oui ....on veut la suite....