moment de détente.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
moment de détente.
Je suis seul ce matin là dans la maison. Les enfants à l’école ma femme au travail. Je savoure ce moment. Très vite je suis submergé par une sensation familière. J’allume pour ça le poste de télévision et j’introduis dans le magnétoscope une cassette, prise derrière la rangée d’autre VSH. Je m’installe confortablement dans mon fauteuil. Je prends la télécommande et démarre la vidéo après l’avoir rembobinée.
Ma femme m’apparait assise en sous-vêtements sexy, assise sur le fauteuil du salon. Elle se caresse pour mon plus grand plaisir. Ses doigts entrent et sortent de son sexe doucement. Elle soupire langoureusement. Le mouvement de ses doigts s’accélère, ses muscles se tendent et ses membres commencent à trembler. Sa respiration s’emballe. Son bassin se soulève des coussins par à-coups. Ses doigts sont maintenant profondément enfoncés dans son sexe inondé. Elle jouit, la salope, et cela devant l’objectif.
Je me lasse jamais de la regarder prendre son pied à la télévision, voir combien elle est excitante. J’ai réalisé cette vidéo, et bien d’autre pour les moments comme ce matin, où je suis seul. Je sens très vite, mon sexe littéralement se gonfler.
Alors, j’envoie mes doigts joué avec ma braguette, caressant ainsi ma queue bandée à travers l’étoffe de mon pantalon. La première fois que j’ai visionné cette cassette, j’ai réalisé combien le corps de ma femme était attractif. J’aime ses formes bien faites, sa poitrine généreuse, et sa chatte, poilue comme je les aime. Et pas question qu’elle se rase !
Plus mon plaisir monte, et plus je pense à l’instant où elle va franchir la porte d’entrée avec son travail. Je prends mon temps, jouant avec ma queue, laissant mes doigts masser mon gland. Toujours à travers le textile, je précise. Putain, que c’est bon !
J’attends d’être au sursum de l’excitation pour mettre ma queue à l’air libre, et l’agrippé dans ma main droite, pour la branler. Je sens monter très vite les ondes de plaisir à travers mon corps. L’œil toujours fixé sur l’écran, je regarde ma femme, les yeux dans ses yeux, puisqu’elle regarde l’objectif. La grosse salope m’amène promptement à l’extase.
Les gémissements provenant de la vidéo, nourrie chez moi un érotisme insoutenable. Ma main active la branlette. Je cambre les reins pour mieux m’offrir à elle. Au point où je me trouve je ne peux pourtant pas en profiter longtemps.
La soudaineté de l’orgasme me surprend même. Une première giclée m’échappe, puis une autre, et une autre encore, aussi involontairement que lorsque éjaculait pendant mes rêves.
Le sperme épais et chaud qui se répand sur mes cuisses, me semble venir du fin fond de mes entrailles. La puissance de mon orgasme me plie en deux. J’ai l’impression de ne plus pouvoir arrêter de me vider.
Finalement, assommé de jouissance, je m’effondre sans force sur le fauteuil, épuisé.
Je ne sais pourquoi, mais j’ai la sensation curieuse d’avoir été observé. Je regarde du côté de la fenêtre et vois alors une silhouette disparaître. Je me lève précipitamment et, j’ouvre à la volée la fenêtre. Là, la bite à l’air je me penche, et là j’aperçois Nathalie, la fille des voisins passée le portail de chez elle, aussi rapidement qu’elle pouvait le faire. Avait-elle joué la voyeuse ? Et depuis quand ? Tout de suite mon esprit est en effervescence, pour ne pas dire dans un état de panique totale.
Je ne sais pourquoi, connaissant son numéro de téléphone, je décide de l’appeler. Mais avant, je remets de l’ordre dans ma tenue. Je coupe la télé et je me saisis seulement après du téléphone. A la quatrième sonnerie elle décroche. Je lui demande si elle peut venir jusqu’à chez moi, que j’ai quelque chose à voir avec elle. Elle refuse, justifiant des devoirs à faire, et me raccroche au nez.
Je dois me contenter de cela, ne savant pas très bien que faire de plus. Mais voilà quand vient taper à la porte. J’ouvre cette dernière pour tomber nez à nez avec Nathalie.
-Tu veux me voir ? S’exclame-t-elle.
-Oui… rentre.
-Non, dis-moi ce que tu veux savoir ?
-C’était toi à la fenêtre ?
-Tu parles de quoi ?
-Aller de toi à moi, je préfère que ce soit toi que la vieille d’en face.
Elle se met à rire, et très vite la glace se rompt d’un coup.
-Tu en as vue beaucoup ?
-Assez !
Je suis estomaquée par sa franchise, ne sachant quoi faire.
-Tu visionnais un film de cul ? Me lâche-t-elle.
-Oui.
-Tu l’as visionné en entier ton film ?
-Non !
-Ce la te dis de regarder la fin ensemble ? Fait-elle d’une voix tremblante.
Je reste de nouveau sans voix, sans savoir quoi répondre à cela. Quel culot tout de même ! D’ailleurs la petite effrontée me pousse déjà, pour entrer chez moi sans que je l’invite. Par pur réflexe je jette un coup d’œil du côté de chez la vieille voisine, pour voir qu’elle n’est pas derrière sa vitre. Heureusement pour moi elle n’y est pas. Cela me réconforte, avant de fermer mon entrée.
Nathalie prend place sur mon fauteuil, attendant patiemment la suite. Je sors la vidéo du magnétoscope avec l’intention d’en mettre une autre.
-Qu’est-ce que tu fais ? Fait la voix derrière moi.
-Je change de cassette.
-Je veux voir ce que tu regardais.
-Mais …
- où je me tire, me coupe-t-elle.
-Mais… c’est que…
Elle se lève et lâche.
-Bon, je me tire…
Je réponds alors :
-Bon…bon… comme tu veux…
Je fourre de nouveau la cassette dans son logement, et remet en fonction la télé. Et là sur l’écran ma femme n’est plus seule, mais accompagné par ma personne.
-Et bien ! Lâche Nathalie. Cela aurait été dommage de louper ça. Tu ne crois pas ?
Sur l’écran je frotte ma queue sur la bouche et le nez de ma femme, avec le dialogue qui va avec :
- Ça te plaît salope, une queue. Sers-toi de ta langue pour me lécher. Voilà, c’est bien. Je veux la sentir.
Par moment, la langue de ma femme s’active à sucer la queue.
-Eh bien ! Fait Nathalie d’une voix rauque. Je ne regrette pas d’avoir reporter mes devoirs.
Plus loin dans la vidéo, on me voit empoigné ma queue et de la diriger entre les fesses rondes de ma femme, dès qu’elle me sent, elle cambre les reins pour s’offrir plus complètement à mon désir. D’un seul coup de reins puissant, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde par l’ouverture la plus chaude.
Aussitôt, je vois ma queue perforer la chatte offerte de ma compagne, en entendant celle-ci feuler de plaisir sous cette intrusion affolante.
A quelques centimètres de Nathalie, une boule de chaleur intense se forme à la hauteur de mon bas-ventre. Toute ma tête l’embrase. Je ne parle pas de cette érection toute raide, animal qui ne demande qu’à être soulagé.
Aussi, je défais ma braguette, et sors ma queue de sa prison de toile.
-Et bien, qu’est-ce que tu lui… Dit Nathalie en se tournant vers moi.
Sa phrase s’arrête là, alors que ses yeux se braquent sur ma queue.
Reprenant ses esprits, elle se retourne prestement son attention vers l’écran, avec le visage et toute une partie de son cou entièrement empourpré. Ses mains se mettent à trembler et c’est d’une voix chevrotante qu’elle me demande :
-Qu’est ce que tu fais ?
-Je m’excuse. C’est que je suis trop serré dans mon pantalon.
Je vois sa lèvre inférieure vibrer légèrement et je sens bien, qu’elle est encore toute troublée de ce qu’elle a vu, aussi je décide d’en parler plus clairement.
-Tu as l’air toute retournée. C’est pourtant la même que sur l’écran.
-Oui, mais c’est sur l’écran ! Répond-t-elle d’une voix toute suave. C’est simplement parce que c’était la première fois que j’en vois une autre que celui de mon copain, enfin en vrai !
Je commence tout doucement à caresser son genou du bout des doigts. Comme elle ne réagit pas je me laisse aller à les remonter sur sa cuisse, faisant des incursions vers le haut avant de revenir vers le genou. Tout doucement, et sans un mot, je prends n’initiative de gagner quelques millimètres de plus sur sa cuisse, puis l’autre, mais sans jamais aller trop haut, pour ne pas la brusquer. Sous l’effet de mes câlineries, sa jupe peu à peu, remonte et je peux maintenant apercevoir la lisière de sa petite culotte de couleur blanche. Me penchant un peu, pour en apercevoir un peu plus. C’est l’instant qu’elle choisit pour m’interrompe soudain, prenant son courage à deux mains elle laisse tomber un :
-Qu’est ce que tu me fais, là ? Arrête, j’ai un petit ami…
-Tu n’aimes pas ?
-Ce que je ressens est bizarre, me dit-elle, j’ai très peur et en même temps c’est terriblement plaisant.
-Alors laisse-toi faire, cela restera entre nous, c’est promis.
Elle écarte alors, doucement les jambes, et mes doigts qui jusque là évité d’aller chahuté son sous-vêtement, se dirige sans obstacle vers son point le plus intime de son anatomie. Tout finement, du bout des doigts j’effleure les lèvres de son sexe que moule parfaitement sa petite culotte de coton blanc. Accentuant la pression, je les sens s’ouvrir et vois apparaitre peu à peu l’humidité de son ventre, que le tissu de sa culotte pompe.
Elle murmure pourtant, un faible arrête, qu’elle accompagne d’un profond soupir. Le point de non-retour est alors atteint. D’ailleurs je la vois fermé les yeux, et je m’adonne à la caresser ainsi. Je prends même la décision, d’approcher mon visage de son sexe. Pour ne pas me corrompre, je lui demande de bien vouloir m’aider à enlever sa petite culotte. Elle hésite un instant, alors que j’ai déjà mes mains au niveau de ses hanches tenant les élastiques de ce dernier rempart à mon plaisir. Mais très vite, elle soulève, un peu ses fesses du coussin ce qui me permet de lui ôter son sous-vêtement et de mettre à jour une adorable toison, non apprivoisé, bien fournie.
Je reste un instant sous la contemplation du tableau offert. Puis je me décide de reprendre ma caresse, et cela du bout des doigts. Je me centralise sur ses lèvres accidentées. Cette caresse semble lui plaire au plus au point car ses hanches commencent à tanguer. Son ventre palpite. Cette même humidité qui l’instant d’avant se perdait dans le coton de sa petite culotte recommence à sourdre peu à peu, s’accrochant à mes doigts et formant comme des petits filets de perles à chacun de leurs passages.
Je ne peux m’interdire d’y poser la bouche. Ce qui a pour effet de la faire sursauter. Elle tente bien de me repousser, n’étant pas familiarisé avec ce genre de caresse. Mais le diabolique ballet qu’a immédiatement entreprit ma langue met fin à ses dernières résistances.. Elle se détend alors totalement sur son fauteuil et se laisse gagner par le plaisir qui peu à peu envahit ses sens.
De mon coté, c’est féerique. Toujours est-il qu’après même pas une minute de ce traitement, voilà que la demoiselle farouche d’auparavant se transforme en une femme pleine de désirs et c’est maintenant de ses deux mains qu’elle presse ma tête contre son sexe. Son ventre s’agite de soubresauts, sa respiration se fait de plus en plus pesante et de sa gorge sort maintenant un gémissement presque continu qui va en s’amplifiant.
Soudain, elle se raidit, me presse plus fortement la tête et gémit bruyamment tout en me parlant :
-Oohhhh Alain, ça vient, ça vient, ça vieeeennnnt…..Oohhhh ouiiiiiiiiiiiiiii …
C’est le dernier bruit qui sort de sa bouche avant qu’elle ne s’effondre complètement anéantie sur son fauteuil et qu’elle ne repousse ma tête de ce sexe qui maintenant est devenu trop sensible pour supporter ne serait-ce que l’effleurement d’une caresse.
Reprenant mon souffle et la regardant apprécier ce moment de calme après la tempête, j’admire cette petite larme qui brille au coin de son œil et ce sourire de béatitude qui éclaire son visage.
Quand je l’ai accompagné plus tard jusqu’à la sortie j’avais encore en bouche son arôme.
-On va ce revoir ? Me lâche-t-elle, un pied sur le trottoir.
-Et ton copain ?
Ma femme m’apparait assise en sous-vêtements sexy, assise sur le fauteuil du salon. Elle se caresse pour mon plus grand plaisir. Ses doigts entrent et sortent de son sexe doucement. Elle soupire langoureusement. Le mouvement de ses doigts s’accélère, ses muscles se tendent et ses membres commencent à trembler. Sa respiration s’emballe. Son bassin se soulève des coussins par à-coups. Ses doigts sont maintenant profondément enfoncés dans son sexe inondé. Elle jouit, la salope, et cela devant l’objectif.
Je me lasse jamais de la regarder prendre son pied à la télévision, voir combien elle est excitante. J’ai réalisé cette vidéo, et bien d’autre pour les moments comme ce matin, où je suis seul. Je sens très vite, mon sexe littéralement se gonfler.
Alors, j’envoie mes doigts joué avec ma braguette, caressant ainsi ma queue bandée à travers l’étoffe de mon pantalon. La première fois que j’ai visionné cette cassette, j’ai réalisé combien le corps de ma femme était attractif. J’aime ses formes bien faites, sa poitrine généreuse, et sa chatte, poilue comme je les aime. Et pas question qu’elle se rase !
Plus mon plaisir monte, et plus je pense à l’instant où elle va franchir la porte d’entrée avec son travail. Je prends mon temps, jouant avec ma queue, laissant mes doigts masser mon gland. Toujours à travers le textile, je précise. Putain, que c’est bon !
J’attends d’être au sursum de l’excitation pour mettre ma queue à l’air libre, et l’agrippé dans ma main droite, pour la branler. Je sens monter très vite les ondes de plaisir à travers mon corps. L’œil toujours fixé sur l’écran, je regarde ma femme, les yeux dans ses yeux, puisqu’elle regarde l’objectif. La grosse salope m’amène promptement à l’extase.
Les gémissements provenant de la vidéo, nourrie chez moi un érotisme insoutenable. Ma main active la branlette. Je cambre les reins pour mieux m’offrir à elle. Au point où je me trouve je ne peux pourtant pas en profiter longtemps.
La soudaineté de l’orgasme me surprend même. Une première giclée m’échappe, puis une autre, et une autre encore, aussi involontairement que lorsque éjaculait pendant mes rêves.
Le sperme épais et chaud qui se répand sur mes cuisses, me semble venir du fin fond de mes entrailles. La puissance de mon orgasme me plie en deux. J’ai l’impression de ne plus pouvoir arrêter de me vider.
Finalement, assommé de jouissance, je m’effondre sans force sur le fauteuil, épuisé.
Je ne sais pourquoi, mais j’ai la sensation curieuse d’avoir été observé. Je regarde du côté de la fenêtre et vois alors une silhouette disparaître. Je me lève précipitamment et, j’ouvre à la volée la fenêtre. Là, la bite à l’air je me penche, et là j’aperçois Nathalie, la fille des voisins passée le portail de chez elle, aussi rapidement qu’elle pouvait le faire. Avait-elle joué la voyeuse ? Et depuis quand ? Tout de suite mon esprit est en effervescence, pour ne pas dire dans un état de panique totale.
Je ne sais pourquoi, connaissant son numéro de téléphone, je décide de l’appeler. Mais avant, je remets de l’ordre dans ma tenue. Je coupe la télé et je me saisis seulement après du téléphone. A la quatrième sonnerie elle décroche. Je lui demande si elle peut venir jusqu’à chez moi, que j’ai quelque chose à voir avec elle. Elle refuse, justifiant des devoirs à faire, et me raccroche au nez.
Je dois me contenter de cela, ne savant pas très bien que faire de plus. Mais voilà quand vient taper à la porte. J’ouvre cette dernière pour tomber nez à nez avec Nathalie.
-Tu veux me voir ? S’exclame-t-elle.
-Oui… rentre.
-Non, dis-moi ce que tu veux savoir ?
-C’était toi à la fenêtre ?
-Tu parles de quoi ?
-Aller de toi à moi, je préfère que ce soit toi que la vieille d’en face.
Elle se met à rire, et très vite la glace se rompt d’un coup.
-Tu en as vue beaucoup ?
-Assez !
Je suis estomaquée par sa franchise, ne sachant quoi faire.
-Tu visionnais un film de cul ? Me lâche-t-elle.
-Oui.
-Tu l’as visionné en entier ton film ?
-Non !
-Ce la te dis de regarder la fin ensemble ? Fait-elle d’une voix tremblante.
Je reste de nouveau sans voix, sans savoir quoi répondre à cela. Quel culot tout de même ! D’ailleurs la petite effrontée me pousse déjà, pour entrer chez moi sans que je l’invite. Par pur réflexe je jette un coup d’œil du côté de chez la vieille voisine, pour voir qu’elle n’est pas derrière sa vitre. Heureusement pour moi elle n’y est pas. Cela me réconforte, avant de fermer mon entrée.
Nathalie prend place sur mon fauteuil, attendant patiemment la suite. Je sors la vidéo du magnétoscope avec l’intention d’en mettre une autre.
-Qu’est-ce que tu fais ? Fait la voix derrière moi.
-Je change de cassette.
-Je veux voir ce que tu regardais.
-Mais …
- où je me tire, me coupe-t-elle.
-Mais… c’est que…
Elle se lève et lâche.
-Bon, je me tire…
Je réponds alors :
-Bon…bon… comme tu veux…
Je fourre de nouveau la cassette dans son logement, et remet en fonction la télé. Et là sur l’écran ma femme n’est plus seule, mais accompagné par ma personne.
-Et bien ! Lâche Nathalie. Cela aurait été dommage de louper ça. Tu ne crois pas ?
Sur l’écran je frotte ma queue sur la bouche et le nez de ma femme, avec le dialogue qui va avec :
- Ça te plaît salope, une queue. Sers-toi de ta langue pour me lécher. Voilà, c’est bien. Je veux la sentir.
Par moment, la langue de ma femme s’active à sucer la queue.
-Eh bien ! Fait Nathalie d’une voix rauque. Je ne regrette pas d’avoir reporter mes devoirs.
Plus loin dans la vidéo, on me voit empoigné ma queue et de la diriger entre les fesses rondes de ma femme, dès qu’elle me sent, elle cambre les reins pour s’offrir plus complètement à mon désir. D’un seul coup de reins puissant, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde par l’ouverture la plus chaude.
Aussitôt, je vois ma queue perforer la chatte offerte de ma compagne, en entendant celle-ci feuler de plaisir sous cette intrusion affolante.
A quelques centimètres de Nathalie, une boule de chaleur intense se forme à la hauteur de mon bas-ventre. Toute ma tête l’embrase. Je ne parle pas de cette érection toute raide, animal qui ne demande qu’à être soulagé.
Aussi, je défais ma braguette, et sors ma queue de sa prison de toile.
-Et bien, qu’est-ce que tu lui… Dit Nathalie en se tournant vers moi.
Sa phrase s’arrête là, alors que ses yeux se braquent sur ma queue.
Reprenant ses esprits, elle se retourne prestement son attention vers l’écran, avec le visage et toute une partie de son cou entièrement empourpré. Ses mains se mettent à trembler et c’est d’une voix chevrotante qu’elle me demande :
-Qu’est ce que tu fais ?
-Je m’excuse. C’est que je suis trop serré dans mon pantalon.
Je vois sa lèvre inférieure vibrer légèrement et je sens bien, qu’elle est encore toute troublée de ce qu’elle a vu, aussi je décide d’en parler plus clairement.
-Tu as l’air toute retournée. C’est pourtant la même que sur l’écran.
-Oui, mais c’est sur l’écran ! Répond-t-elle d’une voix toute suave. C’est simplement parce que c’était la première fois que j’en vois une autre que celui de mon copain, enfin en vrai !
Je commence tout doucement à caresser son genou du bout des doigts. Comme elle ne réagit pas je me laisse aller à les remonter sur sa cuisse, faisant des incursions vers le haut avant de revenir vers le genou. Tout doucement, et sans un mot, je prends n’initiative de gagner quelques millimètres de plus sur sa cuisse, puis l’autre, mais sans jamais aller trop haut, pour ne pas la brusquer. Sous l’effet de mes câlineries, sa jupe peu à peu, remonte et je peux maintenant apercevoir la lisière de sa petite culotte de couleur blanche. Me penchant un peu, pour en apercevoir un peu plus. C’est l’instant qu’elle choisit pour m’interrompe soudain, prenant son courage à deux mains elle laisse tomber un :
-Qu’est ce que tu me fais, là ? Arrête, j’ai un petit ami…
-Tu n’aimes pas ?
-Ce que je ressens est bizarre, me dit-elle, j’ai très peur et en même temps c’est terriblement plaisant.
-Alors laisse-toi faire, cela restera entre nous, c’est promis.
Elle écarte alors, doucement les jambes, et mes doigts qui jusque là évité d’aller chahuté son sous-vêtement, se dirige sans obstacle vers son point le plus intime de son anatomie. Tout finement, du bout des doigts j’effleure les lèvres de son sexe que moule parfaitement sa petite culotte de coton blanc. Accentuant la pression, je les sens s’ouvrir et vois apparaitre peu à peu l’humidité de son ventre, que le tissu de sa culotte pompe.
Elle murmure pourtant, un faible arrête, qu’elle accompagne d’un profond soupir. Le point de non-retour est alors atteint. D’ailleurs je la vois fermé les yeux, et je m’adonne à la caresser ainsi. Je prends même la décision, d’approcher mon visage de son sexe. Pour ne pas me corrompre, je lui demande de bien vouloir m’aider à enlever sa petite culotte. Elle hésite un instant, alors que j’ai déjà mes mains au niveau de ses hanches tenant les élastiques de ce dernier rempart à mon plaisir. Mais très vite, elle soulève, un peu ses fesses du coussin ce qui me permet de lui ôter son sous-vêtement et de mettre à jour une adorable toison, non apprivoisé, bien fournie.
Je reste un instant sous la contemplation du tableau offert. Puis je me décide de reprendre ma caresse, et cela du bout des doigts. Je me centralise sur ses lèvres accidentées. Cette caresse semble lui plaire au plus au point car ses hanches commencent à tanguer. Son ventre palpite. Cette même humidité qui l’instant d’avant se perdait dans le coton de sa petite culotte recommence à sourdre peu à peu, s’accrochant à mes doigts et formant comme des petits filets de perles à chacun de leurs passages.
Je ne peux m’interdire d’y poser la bouche. Ce qui a pour effet de la faire sursauter. Elle tente bien de me repousser, n’étant pas familiarisé avec ce genre de caresse. Mais le diabolique ballet qu’a immédiatement entreprit ma langue met fin à ses dernières résistances.. Elle se détend alors totalement sur son fauteuil et se laisse gagner par le plaisir qui peu à peu envahit ses sens.
De mon coté, c’est féerique. Toujours est-il qu’après même pas une minute de ce traitement, voilà que la demoiselle farouche d’auparavant se transforme en une femme pleine de désirs et c’est maintenant de ses deux mains qu’elle presse ma tête contre son sexe. Son ventre s’agite de soubresauts, sa respiration se fait de plus en plus pesante et de sa gorge sort maintenant un gémissement presque continu qui va en s’amplifiant.
Soudain, elle se raidit, me presse plus fortement la tête et gémit bruyamment tout en me parlant :
-Oohhhh Alain, ça vient, ça vient, ça vieeeennnnt…..Oohhhh ouiiiiiiiiiiiiiii …
C’est le dernier bruit qui sort de sa bouche avant qu’elle ne s’effondre complètement anéantie sur son fauteuil et qu’elle ne repousse ma tête de ce sexe qui maintenant est devenu trop sensible pour supporter ne serait-ce que l’effleurement d’une caresse.
Reprenant mon souffle et la regardant apprécier ce moment de calme après la tempête, j’admire cette petite larme qui brille au coin de son œil et ce sourire de béatitude qui éclaire son visage.
Quand je l’ai accompagné plus tard jusqu’à la sortie j’avais encore en bouche son arôme.
-On va ce revoir ? Me lâche-t-elle, un pied sur le trottoir.
-Et ton copain ?
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