Moment inoubliable!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Moment inoubliable!
Je suis en train de patienter dans la boulangerie à être servie quand mon regard tombe sur le cul de la cliente qui me précède. Je me surprends à la détailler. Secrètement, bien entendu. Je la trouve pas mal du tout. Tout à fait le genre de femme qui me fascine. A me faire perdre la tête. Menue et petite, brune, aussi pudibonde. Coiffée à la stone avec une frange. Elle porte un chemisier bien repassé, une jupe écossaise plissée, des socquettes blanches. Je sens ma queue s’ériger, qui pourrait résister à ce cul qui me fait face.
Sitôt servis, je me précipite à la sortie pour voir la brune parler à une femme âgée. A une poitrine imposante, et un cul à faire bander un mort. Il n’est plus question pour moi, de m’intéresser à présent de la brune. D’ailleurs, je trouve même qu’elle est trop jeune. Mon intérêt allant plutôt pour la plus âgée.
J’attends que le dialogue finisse entre elles pour suivre la septuagénaire qui tient un panier remplie en main. Elle déverrouille la portière d’une Mercedes et y dépose son panier sur la banquette arrière. Sitôt ceci fait, la voilà qu’elle file chez le buraliste. Je profite de son absence pour m’occuper de dégonfler sa roue. Mais le temps me manque. Si bien qu’à son retour, la roue est encore utilisable. J’attends qu’elle s’installe derrière son volant pour lui faire part du méfait.
- Toi, je sais ce que tu cherches… Me surprend-t-elle.
-Pardon ! Fais-je en la regardant, en étant persuadé que j’ai affaire à une salope.
-Oui, je t’ai vue la mater.
-Vous parlez de qui ?
-Ma fille !
-Non…non… vous vous m’éprenez là !
-Comment ça, ce n’est pas elle que tu matais ?
-Pas du tout !
-Désolé, me fait-elle. Répond-t-elle en se marrant.
-Alors, c’est quoi votre problème ? Ajoute-t-elle.
-Vous !
-Moi ? Vous vous foutez de moi. Ce n’est pas bien jeune homme.
-Loin de moi de me moquer de vous.
-Mais je ne suis qu’une vieille femme !
-Je vous sens pourtant ouverte. Sans être vraiment en quête, mais prête à tout.
-Mais… mais c’est une blague ?
Lèvres ourlées, doigts pulpeux. Ses pieds nus gainés dans des escarpins noirs. Ça aussi m’excite !
- Non, fais-je.
- Oui…oui, c’est une blague que vous me faites. C’est mon mari qui vous envoie ?
-Personne ne m'envoie. Seul, mon envie de vous.
Elle bat des paupières, regarde autour d’elle.
-Je vous fais tant envie que ça ? Jeune homme ?
-Vous n’imaginez pas à quel point.
-Vous n’avez pas peur d’être déçu.
-Aucun risque, j’adore les grosses vieilles cochonnes.
-Mais jeune homme, Comme vous allez-vous…
-Je me trompe ?
-Vous me gênez là ! Vous savez ?
-J’adore les grosses cochonnes. Vous en êtes, oui ou non ?
-Je ne sais pas… enfin… oui… oui je le suis… fait-elle, en ouvrant
Son sac à main.
Elle cherche un moment à l’intérieur avant d’y sortir un bristol. Qu’elle me tend discrètement.
-Mon mari est absent ce soir.
-C’est ce que je voulais entendre sortir de votre bouche.
-Gare à vous si vous vous foutez de moi ! Me lance-t-elle sourire salace aux lèvres.
Et là, elle s’empresse de se réfugier dans l’habitacle de sa voiture. Je suis pris au dépourvu. Je n’ai même pas eu le temps de lui signaler pour la roue. Et voilà que je vois rappliquer sa fille. Celle à la coupe à la stone. Elle me fixe des yeux comme si elle avait deviné. Il n’est plus question pour moi de m’attarder dans les environs. J’ai eu ce que je voulais.
Bien entendu, je me suis présenté chez Evelyne. Pas plus tard que le soir même. Elle n’a pas mit longtemps à me faire entrer dans son antre. Et me conduire jusqu’à son salon.
Là-même où confortablement installé, je braque mes yeux sur Evelyne, qui commence à dégrafer sa robe, en prenant son temps dans une chorégraphie provocante. Quand elle finit de défaire la série de boutons, elle rentre les épaules et le vêtement glisse. Chut en un souffle presque imperceptible. Elle me toise avec dans le regard un air de défi.
Je ne peux m’empêcher de pousser un gémissement rauque. Dessous, elle porte un ensemble, slip et soutien-gorge à balconnets qui semble offrir sur un plateau sa somptueuse poitrine. Elle défait l’attache dorsale du soutien-gorge qui va rejoindre l’habit sur le sol. Plaçant ses mains en coupe sous ses seins, elle me les tend comme pour m’en faire cadeau.
Je sens mon cœur battre encore plus vite. Mes yeux se portent sur ses chevilles au-dessus des escarpins en vernis noir. Qui s’élève et dont son talon se pose sur mon sexe gonflé, à en éclater. Elle se met à appuyer de tout son poids, écrasant mon sexe contre mon ventre. Pendant ce temps, j’étudie le triangle de dentelle retenu sur les hanches. Je vois clairement la toison à travers la dentelle. Cela déclenche en moi une onde de chaleur qui soulève l’étoffe de mon pantalon d’une irrépressible érection.
Bon, et maintenant qu’est-ce que je fais. Moi, qui est ma libido qui monte en flèche. Devant une femme, une septuagénaire bien sûr tout rapport. Que je devine être chaude comme de la braise. Donc il n’y a plus qu’à se lancer…
Surtout que je la sens se délecter du bouillonnement qui agite mes sens. Je reste bouche bée, devant son d’effeuillage. Mes yeux exorbités se braquent sur l’incroyable fouillis de sa toison intime, nue. Mon sang irrigue mes veines dans un torrent incontrôlable. Alors je me lance :
-A quatre pattes, que je vois ton cul !
-Je suis toute mouillée. Je mouille pour toi, mon cochon. Je sens mon clito tout dur,
Cambrant les reins, elle tend son cul à mon regard, retroussant d’une main sa jupe.
-Écarte les mieux que ça !
Tandis qu’elle obéit en ouvrant ses globes à pleines mains, elle me fixe sans sourciller.
- Pas de regret ? Me fait-elle. Tu n’as pas envie de changer d’avis… t’es sûr ?
- Non… je campe sur ma première décision. Un doigt dans ton cul.
-Comment ça, un doigt dans mon cul ?
Je lui susurre mes désirs d’un ton sec. Par provocation, elle humecte son doigt. Elle tâtonne pour le faire glisser dans sa raie. Elle grimace en enfonçant son doigt dans les replis de son trou du cul, avant de faire disparaître la première phalange. J’accueille son geste d’un soupir qui lui fait lever de la tête. Son index disparaît en entier dans son rectum et elle gémit de plaisir.
-Maintenant, bouge ton doigt !
Elle obéit tout de suite, comme si elle n’attendait que ça.
Le bras tendu, elle parvient à vriller son index au plus profond de son anus.
-Fais-moi voir ta chatte !
Elle libère ses fesses et pivote sur elle-même. Elle se couche sur le dos, en appui sur les coudes. Les jambes pliées et grandes ouvertes. Son sexe béant s’offre à mon regard. Elle se redresse pour étirer ses lèvres au maximum. Sa chair luisante palpite.
- Fais voir que je renifle, tu m’excites salope, avec tes airs de sainte nitouche.
Je place mon nez au-dessus de sa fente pour en humer ses arômes.
- Putain, ça sent bon la chatte, ça me fait bander, moi.
-Tu ne vas peut-être pas me croire, mais ce n’est pas mon genre de faire des choses pareilles, mais je ne sais pas… ce qu’il m’arrive aujourd’hui. Je suis, comme envoûté… Tu as fini par me donner envie !
-Et bien un grand merci à celui qui t'a envoûté, lui fais-je.
Je lui passe alors ma main entre ses cuisses, lui faisant écarter davantage.
- Ce qui m’excite dans tout ça, c’est qu’il n’y a pas de blabla inutile entre nous.
-Oui, comme tu dis. Répliquais-je en lui torturant les tendres lèvres qu’elle exhibait à ma vue.
Je pénètre le bout de mes doigts dans son luxurieuse toison. Mon index se niche dans le creux de ses grandes lèvres. Je trouve le clitoris et le lui excite. Elle laisse échapper un petit cri. Je sens sa fente s’humidifier. Pour plus d’aisance, elle recule un peu. Mon pénis se trouve coincé dans le creux de ses fesses. Écrasé sous son périnée. Elle fait bouger ses fesses sur mon bassin pour le sentir. Elle se saisit de mon pénis tendu.
Elle le pointe en l’air, vers son orifice. Doucement, mon gland est comme avalé par son vagin. Ce même orifice qui engloutit l’instant d’après ma verge en entier. Elle pousse un râle de contentement. Alors qu’elle se met en activité. Ses seins se dodelinent. Elle soulève ses fesses, délivrant par cette action ma queue jusqu’au gland. Elle avance et recule avec une cadence plus accrue.
-Oh Madame… c’est bon… !
-C’est bien pour ça que nous sommes là, non ?
Elle est toute brûlante. Je halète puis, dans un cri rauque, me déverse au plus profond de son ventre. L’émotion retombe, et je quitte le sexe accueillant, puis me rajuster.
Elle reste encore un moment à genoux. C’est alors que je réalise qu’elle n’a pas joui. Le corps agité par des orgasmes violents qui la laissent chaque fois plus brisée. Une loque sur le divan, pliée en deux. La tête abandonnée, le visage masqué par les cheveux coulant sur elle.
Je sens une chaleur malsaine monter en moi. Je connais ce genre de femme, plus les exigences sont crues, plus elles sont excitées. J’approche alors, ma bouche des poils drus, très poivre et sel. Qui émanent un âcre parfum de femme échauffée. Les grandes lèvres sont déjà vernissées de mouille, mais aussi de mon sperme, qui fait ressortir plus vivement leur couleur rouge foncé.
J’enfonce mon nez dans la toison pour arriver jusqu’à l’anus. De la langue, je tâtonne dans le sillon profond des fesses. Je fais connaissance avec l’anneau boursouflé et le lèche. Celle-ci a un sursaut. Comme si elle voulait me repousser. Je suis surpris de sa réaction. Je pensais qu’à son âge elle avait tout essayé. Alors j’insiste. Son anus est une forteresse close. Pourtant, progressivement, la délicate muqueuse s’assouplit et s’ouvre. Je pousse ma langue, aussi dardée que mon pénis. En même temps que m’envahit un goût âcre, fort et légèrement sucré.
Je songe qu’elle avait dû chier peu avant pour que demeure ce goût de chocolat amer.
Puis ma langue fait connaissance avec ses lèvres vaginales. Son clitoris darde. Je joue avec. Elle est plus qu’humide. Elle fond véritablement, son odeur est sublime. Je fais disparaître ma tête entre ses fesses chaudes. Elle jouit rapidement sous ma caresse buccale. Je prolonge ma tendresse. Ma langue pénètre son sexe. Je vais par des mouvements de rotation. De droite à gauche, de gauche à droite.
Elle est la propriétaire d’une chatte qui vit à grande vitesse. Je glisse vers ses fesses, sa position est des plus hard. Elle gémit, elle demande, elle réclame. Moment inoubliable !
Elle jouit à plusieurs reprises sous mes caresses. Au troisième orgasme, elle s’est pissée dessus. Sans même chercher à se retenir.
Ma main glisse vers ses fesses, cherchant une fois encore son anus. Je guide ma queue devant l’accès. Elle me la refuse. Prenant mon sexe, pour le coiffer de ses lèvres. Elle bouge. Elle mène la danse, jusqu’à me mener à l’orgasme.
Après tout ça, il était nécessaire de recharger les batteries. Et pour cela, il n’y a pas mieux qu’un alcool.
-Alors ? Ton avis ? Me fait-elle, avant de porter son verre à ses lèvres.
-J’ai pris un pied d’enfer!
-Celui demande une suite, non. Qu’est-ce que tu en penses ?
-Pourquoi pas !
-Mais dis-moi, ça t’arrive de faire cela avec un couple ?
-C’est-à-dire ?
-Pour être plus claire es-tu bisexuelle ?
-Ça m’arrive, oui, passagèrement !
-C’est mon mari qui va être ravi ! S’exclame-t-elle.
Sitôt servis, je me précipite à la sortie pour voir la brune parler à une femme âgée. A une poitrine imposante, et un cul à faire bander un mort. Il n’est plus question pour moi, de m’intéresser à présent de la brune. D’ailleurs, je trouve même qu’elle est trop jeune. Mon intérêt allant plutôt pour la plus âgée.
J’attends que le dialogue finisse entre elles pour suivre la septuagénaire qui tient un panier remplie en main. Elle déverrouille la portière d’une Mercedes et y dépose son panier sur la banquette arrière. Sitôt ceci fait, la voilà qu’elle file chez le buraliste. Je profite de son absence pour m’occuper de dégonfler sa roue. Mais le temps me manque. Si bien qu’à son retour, la roue est encore utilisable. J’attends qu’elle s’installe derrière son volant pour lui faire part du méfait.
- Toi, je sais ce que tu cherches… Me surprend-t-elle.
-Pardon ! Fais-je en la regardant, en étant persuadé que j’ai affaire à une salope.
-Oui, je t’ai vue la mater.
-Vous parlez de qui ?
-Ma fille !
-Non…non… vous vous m’éprenez là !
-Comment ça, ce n’est pas elle que tu matais ?
-Pas du tout !
-Désolé, me fait-elle. Répond-t-elle en se marrant.
-Alors, c’est quoi votre problème ? Ajoute-t-elle.
-Vous !
-Moi ? Vous vous foutez de moi. Ce n’est pas bien jeune homme.
-Loin de moi de me moquer de vous.
-Mais je ne suis qu’une vieille femme !
-Je vous sens pourtant ouverte. Sans être vraiment en quête, mais prête à tout.
-Mais… mais c’est une blague ?
Lèvres ourlées, doigts pulpeux. Ses pieds nus gainés dans des escarpins noirs. Ça aussi m’excite !
- Non, fais-je.
- Oui…oui, c’est une blague que vous me faites. C’est mon mari qui vous envoie ?
-Personne ne m'envoie. Seul, mon envie de vous.
Elle bat des paupières, regarde autour d’elle.
-Je vous fais tant envie que ça ? Jeune homme ?
-Vous n’imaginez pas à quel point.
-Vous n’avez pas peur d’être déçu.
-Aucun risque, j’adore les grosses vieilles cochonnes.
-Mais jeune homme, Comme vous allez-vous…
-Je me trompe ?
-Vous me gênez là ! Vous savez ?
-J’adore les grosses cochonnes. Vous en êtes, oui ou non ?
-Je ne sais pas… enfin… oui… oui je le suis… fait-elle, en ouvrant
Son sac à main.
Elle cherche un moment à l’intérieur avant d’y sortir un bristol. Qu’elle me tend discrètement.
-Mon mari est absent ce soir.
-C’est ce que je voulais entendre sortir de votre bouche.
-Gare à vous si vous vous foutez de moi ! Me lance-t-elle sourire salace aux lèvres.
Et là, elle s’empresse de se réfugier dans l’habitacle de sa voiture. Je suis pris au dépourvu. Je n’ai même pas eu le temps de lui signaler pour la roue. Et voilà que je vois rappliquer sa fille. Celle à la coupe à la stone. Elle me fixe des yeux comme si elle avait deviné. Il n’est plus question pour moi de m’attarder dans les environs. J’ai eu ce que je voulais.
Bien entendu, je me suis présenté chez Evelyne. Pas plus tard que le soir même. Elle n’a pas mit longtemps à me faire entrer dans son antre. Et me conduire jusqu’à son salon.
Là-même où confortablement installé, je braque mes yeux sur Evelyne, qui commence à dégrafer sa robe, en prenant son temps dans une chorégraphie provocante. Quand elle finit de défaire la série de boutons, elle rentre les épaules et le vêtement glisse. Chut en un souffle presque imperceptible. Elle me toise avec dans le regard un air de défi.
Je ne peux m’empêcher de pousser un gémissement rauque. Dessous, elle porte un ensemble, slip et soutien-gorge à balconnets qui semble offrir sur un plateau sa somptueuse poitrine. Elle défait l’attache dorsale du soutien-gorge qui va rejoindre l’habit sur le sol. Plaçant ses mains en coupe sous ses seins, elle me les tend comme pour m’en faire cadeau.
Je sens mon cœur battre encore plus vite. Mes yeux se portent sur ses chevilles au-dessus des escarpins en vernis noir. Qui s’élève et dont son talon se pose sur mon sexe gonflé, à en éclater. Elle se met à appuyer de tout son poids, écrasant mon sexe contre mon ventre. Pendant ce temps, j’étudie le triangle de dentelle retenu sur les hanches. Je vois clairement la toison à travers la dentelle. Cela déclenche en moi une onde de chaleur qui soulève l’étoffe de mon pantalon d’une irrépressible érection.
Bon, et maintenant qu’est-ce que je fais. Moi, qui est ma libido qui monte en flèche. Devant une femme, une septuagénaire bien sûr tout rapport. Que je devine être chaude comme de la braise. Donc il n’y a plus qu’à se lancer…
Surtout que je la sens se délecter du bouillonnement qui agite mes sens. Je reste bouche bée, devant son d’effeuillage. Mes yeux exorbités se braquent sur l’incroyable fouillis de sa toison intime, nue. Mon sang irrigue mes veines dans un torrent incontrôlable. Alors je me lance :
-A quatre pattes, que je vois ton cul !
-Je suis toute mouillée. Je mouille pour toi, mon cochon. Je sens mon clito tout dur,
Cambrant les reins, elle tend son cul à mon regard, retroussant d’une main sa jupe.
-Écarte les mieux que ça !
Tandis qu’elle obéit en ouvrant ses globes à pleines mains, elle me fixe sans sourciller.
- Pas de regret ? Me fait-elle. Tu n’as pas envie de changer d’avis… t’es sûr ?
- Non… je campe sur ma première décision. Un doigt dans ton cul.
-Comment ça, un doigt dans mon cul ?
Je lui susurre mes désirs d’un ton sec. Par provocation, elle humecte son doigt. Elle tâtonne pour le faire glisser dans sa raie. Elle grimace en enfonçant son doigt dans les replis de son trou du cul, avant de faire disparaître la première phalange. J’accueille son geste d’un soupir qui lui fait lever de la tête. Son index disparaît en entier dans son rectum et elle gémit de plaisir.
-Maintenant, bouge ton doigt !
Elle obéit tout de suite, comme si elle n’attendait que ça.
Le bras tendu, elle parvient à vriller son index au plus profond de son anus.
-Fais-moi voir ta chatte !
Elle libère ses fesses et pivote sur elle-même. Elle se couche sur le dos, en appui sur les coudes. Les jambes pliées et grandes ouvertes. Son sexe béant s’offre à mon regard. Elle se redresse pour étirer ses lèvres au maximum. Sa chair luisante palpite.
- Fais voir que je renifle, tu m’excites salope, avec tes airs de sainte nitouche.
Je place mon nez au-dessus de sa fente pour en humer ses arômes.
- Putain, ça sent bon la chatte, ça me fait bander, moi.
-Tu ne vas peut-être pas me croire, mais ce n’est pas mon genre de faire des choses pareilles, mais je ne sais pas… ce qu’il m’arrive aujourd’hui. Je suis, comme envoûté… Tu as fini par me donner envie !
-Et bien un grand merci à celui qui t'a envoûté, lui fais-je.
Je lui passe alors ma main entre ses cuisses, lui faisant écarter davantage.
- Ce qui m’excite dans tout ça, c’est qu’il n’y a pas de blabla inutile entre nous.
-Oui, comme tu dis. Répliquais-je en lui torturant les tendres lèvres qu’elle exhibait à ma vue.
Je pénètre le bout de mes doigts dans son luxurieuse toison. Mon index se niche dans le creux de ses grandes lèvres. Je trouve le clitoris et le lui excite. Elle laisse échapper un petit cri. Je sens sa fente s’humidifier. Pour plus d’aisance, elle recule un peu. Mon pénis se trouve coincé dans le creux de ses fesses. Écrasé sous son périnée. Elle fait bouger ses fesses sur mon bassin pour le sentir. Elle se saisit de mon pénis tendu.
Elle le pointe en l’air, vers son orifice. Doucement, mon gland est comme avalé par son vagin. Ce même orifice qui engloutit l’instant d’après ma verge en entier. Elle pousse un râle de contentement. Alors qu’elle se met en activité. Ses seins se dodelinent. Elle soulève ses fesses, délivrant par cette action ma queue jusqu’au gland. Elle avance et recule avec une cadence plus accrue.
-Oh Madame… c’est bon… !
-C’est bien pour ça que nous sommes là, non ?
Elle est toute brûlante. Je halète puis, dans un cri rauque, me déverse au plus profond de son ventre. L’émotion retombe, et je quitte le sexe accueillant, puis me rajuster.
Elle reste encore un moment à genoux. C’est alors que je réalise qu’elle n’a pas joui. Le corps agité par des orgasmes violents qui la laissent chaque fois plus brisée. Une loque sur le divan, pliée en deux. La tête abandonnée, le visage masqué par les cheveux coulant sur elle.
Je sens une chaleur malsaine monter en moi. Je connais ce genre de femme, plus les exigences sont crues, plus elles sont excitées. J’approche alors, ma bouche des poils drus, très poivre et sel. Qui émanent un âcre parfum de femme échauffée. Les grandes lèvres sont déjà vernissées de mouille, mais aussi de mon sperme, qui fait ressortir plus vivement leur couleur rouge foncé.
J’enfonce mon nez dans la toison pour arriver jusqu’à l’anus. De la langue, je tâtonne dans le sillon profond des fesses. Je fais connaissance avec l’anneau boursouflé et le lèche. Celle-ci a un sursaut. Comme si elle voulait me repousser. Je suis surpris de sa réaction. Je pensais qu’à son âge elle avait tout essayé. Alors j’insiste. Son anus est une forteresse close. Pourtant, progressivement, la délicate muqueuse s’assouplit et s’ouvre. Je pousse ma langue, aussi dardée que mon pénis. En même temps que m’envahit un goût âcre, fort et légèrement sucré.
Je songe qu’elle avait dû chier peu avant pour que demeure ce goût de chocolat amer.
Puis ma langue fait connaissance avec ses lèvres vaginales. Son clitoris darde. Je joue avec. Elle est plus qu’humide. Elle fond véritablement, son odeur est sublime. Je fais disparaître ma tête entre ses fesses chaudes. Elle jouit rapidement sous ma caresse buccale. Je prolonge ma tendresse. Ma langue pénètre son sexe. Je vais par des mouvements de rotation. De droite à gauche, de gauche à droite.
Elle est la propriétaire d’une chatte qui vit à grande vitesse. Je glisse vers ses fesses, sa position est des plus hard. Elle gémit, elle demande, elle réclame. Moment inoubliable !
Elle jouit à plusieurs reprises sous mes caresses. Au troisième orgasme, elle s’est pissée dessus. Sans même chercher à se retenir.
Ma main glisse vers ses fesses, cherchant une fois encore son anus. Je guide ma queue devant l’accès. Elle me la refuse. Prenant mon sexe, pour le coiffer de ses lèvres. Elle bouge. Elle mène la danse, jusqu’à me mener à l’orgasme.
Après tout ça, il était nécessaire de recharger les batteries. Et pour cela, il n’y a pas mieux qu’un alcool.
-Alors ? Ton avis ? Me fait-elle, avant de porter son verre à ses lèvres.
-J’ai pris un pied d’enfer!
-Celui demande une suite, non. Qu’est-ce que tu en penses ?
-Pourquoi pas !
-Mais dis-moi, ça t’arrive de faire cela avec un couple ?
-C’est-à-dire ?
-Pour être plus claire es-tu bisexuelle ?
-Ça m’arrive, oui, passagèrement !
-C’est mon mari qui va être ravi ! S’exclame-t-elle.
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