Mon amant dominant

- Par l'auteur HDS Nightsun -
Récit érotique écrit par Nightsun [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon amant dominant Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon amant dominant
Arthur m’attend dans la chambre d’hôtel, ses yeux de mâle dominant me transpercent. "Fous-toi à poil, salope," il grogne, et mes fringues tombent, ma queue raide déjà à sa merci. Il me bande les yeux avec un tissu noir, mes sens s’emballent, puis ses mains rudes me chopent, me jettent sur le lit. Le collier claque autour de mon cou, la laisse pend et frotte ma peau, et le bâillon s’enfonce dans ma gueule, étouffant mes "S’il te plaît, Arthur, fais-moi tout."

À quatre pattes, il tire sur la laisse, me force à me cambrer comme une pute en manque. "Prends ça, petite chienne," il lâche en enfonçant le gode épais dans ma bouche. Ma gorge se serre, je bave, je supplie dans ma tête, Baise-moi fort, je t’en prie. Il ajuste la ceinture autour de mes hanches, empoigne les poignées, et arrache le bandeau. Les miroirs me balancent l’image de ma dépravation : cul offert, collier luisant, gueule écartelée par le bâillon, une vraie salope prête à tout encaisser.

Il se cale derrière moi, sa bite énorme effleure mon trou avant de me déchirer d’un coup brutal. "Oh putain, Arthur, doucement," je gémis dans le bâillon, mais il s’en fout. Mon cul s’ouvre, une brûlure vive me traverse, comme si on m’écartait les chairs avec un fer chaud. Chaque centimètre s’enfonce, lourd, impitoyable, et je sens mes parois s’étirer, palpiter autour de lui. Une pression sourde s’installe, mêlée d’un plaisir vicieux qui me fait trembler. "Plus fort, s’il te plaît, défonce-moi," je veux crier, mais le bâillon avale mes mots.Les miroirs renvoient tout : mes fesses rouges et écartées, sa queue qui me laboure, mes yeux humides de désir. Il tire sur les poignées, et chaque coup de reins m’arrache un spasme, ma prostate écrasée pulse comme une salope en feu. Mon cul est un brasier, chaque frottement envoie des éclairs dans mes tripes, une plénitude qui me dilate jusqu’à l’agonie. "Arthur, je t’en supplie, continue, fais-moi mal," je pense, et il accélère, ses couilles claquent contre moi, un rythme de bourreau.Il me retourne, m’écarte les jambes comme une vulgaire poupée, et me reprend face au miroir. "Regarde-toi, sale pute," il grogne, et je vois ma bite raide tressauter, mon trou béant engloutir sa tige. La sensation est crue, une friction qui me râpe l’intérieur, un mélange de douleur et d’extase qui me fait baver. Mon cul s’adapte, suce sa queue à chaque va-et-vient, et je sens une vague monter, un besoin de hurler, "Baise-moi encore, je suis à toi." Les miroirs capturent ma gueule défaite, mes supplications muettes, mon corps qui s’abandonne à sa sauvagerie.

Arthur me relève d’un coup sec, ses mains brutales m’arrachent du lit. "Debout, sale pute," il grogne, et me plaque contre le miroir, mon torse écrasé contre la surface froide, ma gueule tordue dans le reflet. Il attrape ma jambe gauche, la hisse sur une chaise, m’écartant comme une chienne offerte. "T’es qu’un trou à bite," il crache, sa voix rauque me fouette les nerfs. Sa queue, encore luisante, se presse contre mon fion déjà ouvert, et d’un coup violent, il me pénètre à nouveau.La sensation est immédiate, brutale : sa verge s’enfonce profond, un bélier qui force mes chairs. Mon cul s’étire encore, une brûlure vive qui irradie jusqu’à mes reins, mais sous la douleur, un plaisir sourd commence à pulser. Il me pilonne debout, chaque coup de reins fait trembler mes jambes, et je sens sa bite taper au fond, là où tout se noue. Mes parois internes se contractent autour de lui, comme si mon trou voulait le retenir, le sucer plus loin. "Arthur, putain, défonce-moi," je gémis dans le bâillon, les mots étouffés mais mon corps hurle pour lui.Le miroir me renvoie l’image crade : ma jambe écartée, mon cul empalé, ses mains qui serrent mes hanches comme des griffes. Sa queue frotte sans relâche, un va-et-vient qui masse ma prostate à chaque passage, envoyant des décharges électriques dans mon bas-ventre. C’est lourd, intense, une plénitude qui envahit mon rectum, comme si tout mon être se réduisait à ce point précis. Mes muscles internes palpitent, une chaleur gluante monte, et je sens mon trou s’ouvrir encore plus, avide, trempé de sueur et de désir. "S’il te plaît, finis-moi comme ça," je veux supplier, mes yeux implorants dans le reflet.Il accélère, ses insultes pleuvent : "T’es ma salope, mon vide-couilles, prends tout." Chaque mot fait vibrer mon cul, amplifie la sensation de sa verge qui me laboure. Au fond, ça cogne, ça écrase, une pression qui me déchire et me comble en même temps. Ma prostate est à vif, chaque coup la fait gonfler, et une vague brûlante grimpe, incontrôlable. Mes jambes flanchent, mais il me tient, me force à encaisser. "Achève-moi, Arthur, fais-moi jouir," je pense, désespéré, et soudain, tout bascule.Mon cul se resserre, un spasme violent me traverse, et je sens une explosion au fond de moi. Une jouissance rectale pure, sans toucher ma queue, me fait défaillir : mes parois convulsent autour de sa bite, une déferlante de plaisir me submerge, chaude, profonde, comme si mon fion crachait son extase. Je tremble, écrasé contre le miroir, mon reflet montre une gueule béante, un corps brisé par l’orgasme. Lui continue, impitoyable, prolongeant mes spasmes jusqu’à ce que je sois qu’une loque pantelante sous son emprise.

Alors que mon cul tremble encore sous les vagues de ma jouissance, Arthur pousse un grognement rauque, primal, ses mains crispées sur mes hanches comme pour m’arracher à moi-même. "T’es à moi, sale pute," il rugit, et je sens sa queue gonfler au fond de mon trou, un dernier coup de reins brutal qui m’écrase contre le miroir. Puis, il se lâche. Une chaleur épaisse, brûlante, jaillit en moi, son sperme gicle en jets puissants, inondant mes parois déjà ravagées. Chaque pulsation de sa bite marque mon intérieur, un flot visqueux qui me remplit, me déborde, comme une empreinte indélébile.Mon cul, encore sensible, palpite autour de lui, accueillant cette semence de mâle dominant. La sensation est crue, presque obscène : son foutre tapisse mes chairs, s’infiltre dans chaque repli, un sceau humide qui me lie à lui. Mes jambes flageolent, mon corps s’abandonne contre le miroir, et je vois dans le reflet ma gueule défaite, mes yeux perdus, mon cul béant qui dégouline de son jus. "Je t’appartiens, Arthur," je pense, les mots coincés dans ma gorge bâillonnée, mais mon regard le hurle.Il reste en moi un instant, sa bite ramollissant lentement, laissant son sperme s’écouler, marquer mon trou comme une revendication éternelle. Puis il se retire d’un coup sec, et je sens le vide, suivi d’un filet chaud qui coule le long de ma cuisse. "T’es ma chose maintenant," il grogne, tirant une dernière fois sur la laisse pour me rappeler ma place. Épuisé, brisé, je m’effondre à ses pieds, son emprise gravée dans ma chair, son odeur, son foutre, son pouvoir sur moi, à jamais. Je lui appartiens, corps et âme, une salope marquée par son maître.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Trop romantique, trop respectueux, en bref trop fleur bleue..



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