Mon amant italien (partie 2/2) - histoire érotique

Tizio s’habille rapidement avant de sortir, il revient quelques minutes plus tard avec deux barquettes. Il se met à nouveau en tenue d’Adam pour manger sur le lit avec moi et on discute. Il m’apprend que sa fille s’est mariée à un serbe et qu’elle vit à présent dans le sud de la France. Il me parle de ses neveux qui étaient aussi au lycée avec moi, il me dit qu’ils sont de très beaux garçons, ce que je confirme mais qu’ils ne sont pas gays du tout. On rigole… Il me raconte enfin comment après toute une vie d’hétérosexualité sans la moindre pensée impure ou d’adultère, il s’était retrouvé l’année dernière à partager le lit du fils de son cousin en Italie, un adonis de 19 ans qui dormait en slip à quelques centimètres de lui. Il n’avait pas fermé l’œil de la nuit, il avait bandé la moitié du temps et n’avait arrêté de se demander ce qu’il lui arrivait !
- Maintenant je sais que j’aime aussi les garçons… mais j’ai perdu du temps, à mon âge je suis trop vieux pour les mecs… plus du tout à leur goût !
- Tu rigoles, t’es super bandant et t’es bien meilleur amant que plein de petits mecs de 20 ans que j’ai connus !
- T’es gentil bébé – Dit-il en passant derrière moi pour m’embrasser la nuque, les épaules et enfin le dos. Tu as la peau si douce, c’est un plaisir d’avoir quelqu’un de si doux à caresser et à embrasser !
- Merci…
- Non, merci à toi de me laisser en profiter… si je pouvais je te mangerais !
Il me saute alors dessus en m’embrassant de partout avec cette fougue qui le caractérise. Il roule pour prendre place entre mes cuisses et je sens son poids au-dessus de moi. Il plonge à nouveau pour rejoindre ma bouche, nos langues se chamaillent et mes mains se plaquent sur ses fesses et son dos que j’agrippe fermement. Il descend vers mon cou et me fait frissonner à mesure que ses baisers et sa langue explorent ma peau.

Sa bouche frôle un de mes tétons et il entend le changement dans ma respiration. Il décide donc de s’y attarder quand il comprend qu’il a trouvé mon point faible, et s’applique à me faire gémir et à me faire tordre dans tous les sens. Il lèche d’abord tout le mamelon de sa langue épaisse, puis mordille tout délicatement le téton avant de le téter comme un petit biberon. Il passe d’un téton à l’autre tout en me caressant le corps pour me rendre dingue avec une maestria digne d’un chef d’orchestre italien. Mon souffle est coupé, il le sait, il en joue, il s’applique à me donner le plus de sensations possibles. Pendant qu’il continue de s’occuper mes tétons, il descend une main vers mon sexe, et commence à me branler. Mon plaisir vient des deux extrémités à présent, c’est insoutenable. Il lèche sa main avant de la replacer sur ma verge et de la branler à nouveau. Il accélère, y va à toute vitesse, je ne peux me retenir et je jouis dans sa main… Il me la fait lécher, et sans me faire prier je suce ses doigts pour avoir le goût de mon propre hydromel mais aussi pour sucer quelque chose car ma bouche n’en peut plus de désir et ses doigts larges et masculins font l’affaire.
- Bébé, tu as faim on dirait… ou soif ?
- Donne-moi ton biberon que je me rassasie alors ! - Osé-je effrontément.
Il m’offre son sexe tout dur et qui mouille déjà. Ma langue ne tarde pas à aller recueillir sa petite perle salée ce qui a pour effet immédiat de me refaire bander. Ma langue parcourt son gros gland avant de le gober tout entier, et de commencer à le sucer aussi profond que je peux. Il est au-dessus de moi et en levant les yeux je peux voir ce superbe mâle baraqué qui souffle pour exprimer son désir, en premier plan j’ai ses deux grosses couilles qui s’agitent avec nos mouvements, la vue est imprenable et m’incite à m’appliquer pour donner le maximum de plaisir à mon amant ! Je le biberonne fermement.

Après un long moment, il se positionne à nouveau entre mes jambes et me tire à lui dans un mouvement ferme mais délicat. J’adore quand il me « prend en main » de la sorte. Je n’ai jamais été de ces types soumis, mais là je me sens comme possédé quand il me prend dans ses bras, dans ses mains, qu’il me manipule avec autant de virilité, je me sens à lui et c’est une sensation que j’adore. Il me soulève les jambes et murmure :
- Laisse-moi goûter à ton bouton de rose, bébé.
- Vas-y, j’en ai très envie aussi, mmm…
Il plonge alors la tête entre mes cuisses et commence à m’embrasser partout avant de s’attarder uniquement sur mon petit trou. Je sens les poils de son bouc qui me chatouillent les fesses, ça rajoute en sensations. Sa langue commence à lécher mon œillet et je me tors de plaisir instantanément. Il recommence avec des coups de langue réguliers et de plus en plus prononcés. Je gémis, je gémis fort, c’est tellement bon de sentir son souffle chaud et la moiteur de sa langue à cet endroit. Sa langue commence à s’introduire en moi et je défaillis à nouveau. Elle me visite à présent, me fouille. Très vite ses doigts s’invitent et commencent à bien écarter mon petit trou pendant que sa langue s’applique à me rendre fou. Je sens ensuite son pouce me pénétrer et je me tors à nouveau dans un gémissement bruyant… Que c’est bon ! Il me ramone maintenant, juste avec son pouce et la sensation est grandiose. Il approche un autre doigt, l’enfonce, puis un troisième qui doit forcer un peu, mais il y arrive et commence à bouger lentement en moi. Sa langue vient régulièrement lubrifier l’action. J’ai la tête dans l’oreiller, le cul relevé, et le souffle coupé.
- J’en peux plus Tizio, j’ai envie de sentir ta queue en moi là…
- Tu veux ?
- Oui… j’ai un peu peur vu la taille de ton gland, mais j’en ai trop envie là.
- T’inquiète bébé, je vais faire ça bien…
Je lui indique que j’ai un peu de lubrifiant qu’il me restait du sauna dans mon sac, il déchire l’emballage et me fait couler le contenu sur ma rondelle qui commence déjà à être bien dilatée. Il prend aussi le préservatif qui accompagnait le lubrifiant et se le met comme un grand. Il présente son gland à mon entrée privée et le frotte, je ne peux m’empêcher de gémir. Ses doigts reviennent me fouiller, il en met quatre à présent, il faut forcer un peu, mais je commence à m’y faire. Il les retire soudain et je sens son gland à nouveau. Il le frotte de bas en haut, m’écarte les fesses et je sens alors son sexe me pénétrer. Les larmes me viennent aux yeux. Le passage est un peu difficile et douloureux mais très vite je le sens remplir mon intimité, si chaud, si gros… la douleur s’en va.
- Tout va bien mon bébé ? Ca va aller ?
- Oui ça va, j’ai plus l’habitude d’en prendre de si grosses… mais c’est bon de te sentir en moi bébé… Baise-moi STP, j’ai trop envie de toi !!
- A vos ordres chef !!
Mon bel italien commence un long va-et-vient, lent mais profond, je le sens me posséder de toute sa longueur et ses grosses couilles viennent se coller à mes fesses. Elles claquent violemment avec ce bruit excitant si caractéristique. Heureusement que j’ai la tête dans l’oreiller car je crie à présent sous ses coups de reins les plus puissants. Il me pilonne avec de longs râles rauques de mâle qui se mêlent à mes gémissements et à mes petits cris étouffés.

J’entends alors du bruit derrière la fenêtre, des ouvriers qui sont là pour des travaux discutent bruyamment… Tizio me demande si je veux qu’il fasse moins de bruit. Je refuse car j’aime tellement les mecs expressifs que ça me gâcherait une partie de mon plaisir qu’il se taise. Au diable les oreilles indiscrètes !! Tizio me lime toujours très profondément, il se penche maintenant pour se coller contre moi, m’embrasse la nuque, me lèche le dos, et me murmure qu’il adore mon petit cul serré.

Avec sa poigne unique, mon bel italien m’agrippe par une hanche, passe un bras sous une jambe et il me retourne comme une crêpe… Il me soulève bien les cuisses et replace son gros gland qui entre facilement maintenant. Ses coups de reins sont de plus en plus rapides et profonds et ses grosses couilles me claquent toujours le cul. Je le regarde dans les yeux, il me sourit et se penche pour me rouler une pelle que j’aurais voulu interminable. Il pose tendrement la main sur ma joue et de son pouce me caresse délicatement juste en dessous de l’œil.
- Tout va bien bébé ? Tu fermes les yeux ? Ca fait mal ?
- Non, c’est trop bon, justement je ferme les yeux parce que j’apprécie…
- Moi aussi, j’adore !! Tu es serré, je suis si bien en toi !
- Tu sais… je crois qu’on ne m’a jamais pris comme ça et jamais on m’a donné autant de plaisir que ça en me prenant…
- Même pas ton copain ?
- Non… il ne m’a que rarement pris, c’est moi qui le prend d’habitude…

Tizio me flatte à nouveau avec ses manières de dragueur italien, il sait que j’aime ça. Soudain, en tournant un peu la tête, je vois par la fenêtre deux visages, dont un disparait immédiatement pour se cacher. Ce sont les ouvriers de tout à l’heure qui nous matent en profitant des quelques centimètres de champ de vision laissés par le rideau trop court pour cacher toute la largeur de la fenêtre… De là où ils sont, ils ne doivent pas voir grand-chose, juste mon visage et mon torse, grand maximum. Après en avoir parlé à Tizio que ça ne dérange pas d’être épié, je décide de lécher mes lèvres en signe d’encouragement aux mateurs. Celui qui était resté fait donc signe à son collègue de revenir. Leurs deux visages se collent presque pour partager le fin champ de vision, leurs yeux ne cessent d’aller de droite à gauche dans le but d’apercevoir le plus de choses possibles. Je ne peux m’empêcher de me dire qu’ils doivent penser qu’on est un couple hétéro et que je suis en train de me faire une nana et qu’ils risquent d’avoir une drôle de surprise quand ils verront mon rugbyman trapu... ça m’amuse.

Tizio ramène mon attention à lui en commençant à me branler pendant qu’il me laboure toujours, c’est bon ! Ma queue est toujours moite de ma dernière éjaculation, ce qui lubrifie bien ses mouvements. Nos corps sont unis par la sueur et par ce plaisir brûlant qui nous habite tous les deux. Sans sortir de mes fesses, Tizio nous fait rouler sur la tranche et continue de me prendre vigoureusement en respirant très fort à mon oreille, il la lèche et la suce parfois même.
- Tiens les ouvriers sont plus là ? Ils ont dû réaliser qu’on était deux mecs, hé hé !
- Ils savent pas ce qu’ils ratent, tant pis pour eux ! – Dit mon bel italien.
Sa respiration se fait de plus en plus chaotique. Il se retire, enlève la capote et me fait à nouveau rouler pour que je sois sur le ventre. Je sens aussitôt son sperme brûlant couler dans le creux de mes reins. Il se plaque presque immédiatement contre moi, me lèche le dos alors qu’il recommence à donner de petits coups de reins. Son sexe ramollit et se loge bien dans ma raie. Son jus chaud nous colle et fait des bruits rigolos.

Il se relève et me sèche méthodiquement, s’il sait être bourrin comme un taureau, mon étalon italien sait aussi être délicat quand il le faut, c’est le parfait équilibre entre l’homme et la bête niveau baise, pensé-je. Il me retourne pour me sécher de l’autre côté :
- Oh mais dis-donc, tu es toujours en grande forme toi !! Et t’as pas mal mouillé on dirait ?
- Difficile de faire autrement comme on prend son pied comme je viens de le faire. Tizio, tu m’as épuisé, mais putain que tu m’as comblé !! Jamais on m’a baisé comme ça !
- Je t’ai comblé ? Non, je te comble, je préférerais que tu emploies le présent… qui t’a dit que j’en avais fini avec toi ?
- Tu rigoles ?
- Oh non, regarde comme t’es raide, ce serait un péché de te laisser dans cet état…

Il se jette alors sur mon sexe et le suce goulument. Cette fois je ne résiste pas plus de cinq minutes tellement je suis encore dans tous mes états. Je lui dis que je vais venir mais un rapide regard qu’il me lance me fait comprendre qu’il ne va pas se dégager. Je jouis dans sa bouche en me tordant et en soupirant comme un animal. Mon dieu que c’est bon !
- C’est la première fois que je goûte à du sperme, autre que le mien en tout cas… c’est bon mon petit Alex adoré…
- Je suis ravi d’avoir pu te faire connaître ça Tizio… Y a d’autres lacunes que je peux t’aider à combler ?
Il se jette à nouveau sur moi pour m’embrasser et me prendre furieusement dans ses bras. On se câline en discutant tranquillement…

Tizio et moi sommes devenus des amants réguliers, on essayait de se voir toutes les semaines selon nos disponibilités, parfois c’était pour deux ou trois bonnes heures de baise torride, parfois juste pour se sucer dans un parking entre midi et deux, en tout cas il a été l’amant dont j’avais toujours rêvé. Cette histoire de sexe a duré un peu plus de huit mois avant que la vie ne nous mène sur des chemins différents. Cela faisait des années que je n’avais pas eu de ses nouvelles, mais dimanche dernier alors que je rentrais chez moi avec mon copain, j’aperçus le sourire gorgé du soleil de l’Italie de mon ancien amant, accompagné de sa femme vraisemblablement… Un regard, un échange de sourires, et mes souvenirs qui refont surface…