Mon amant plus jeune
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon amant plus jeune
Enfin libre à 40 ans. Le divorce est prononcé en ma faveur. J'en aurai embrassé mon avocat. Mon ex doit me verser une pension alimentaire conséquente: sa situation le permet largement. Et en plus je garde l'appartement. Nous n'avons pas d'enfant. Je suis libre de disposer de moi-même comme je l'entends.
Nous étions séparés depuis qu'il avait rencontré une autre femme dont je ne veux rien savoir. Ce sera à elle de s'en dépatouiller.
Je me "console" en pianotant sur internet. J'y trouve une foule de sites qui m'intéressent, entre autre je suis allée vers un site où des jouets féminins sont vendus. J'ai craqué pour des boules de geisha et un godemiché tout simple: je pourrai améliorer mes plaisirs solitaires. A dire vrai-je me méfie tellement des hommes que je préfère assouvir seule mes besoins. Jusqu'à présent je ne m'en plains pas.
Je vais en vacances lointaines. Je me fais des amies d'un peu partout. Bref je recherche ce que je n'ai pas eu depuis ce mariage trop précipité.
Un soir en rentrant du cinéma je remarque un jeune homme qui ne me déplait pas du tout. Nous prenons l'ascenseur ensemble. Il me sourit je le lui rend. Je ne fais point trop. Il descend au même étage que moi. Il rentre dans l'appartement voisin du mien. Je ne l'avais jamais vu.
Ce soir je me masturbe avec mon gode, je pense à lui: je l'imagine en train de me faire l'amour. Il y a longtemps que je n'ai pas couché avec un homme. Je jouis ainsi plusieurs fois. S'il savait ce que je voudrai…….
Je le revois le lendemain, cette fois nos sourires ne sont pas de façade. Je repense à mes fantasmes de la veille. Je l'examine de plus près: il me semble bien être comme je le rêvais. Je pense à lui toute la journée. Je ne le revois pas. Tant pis si je prend un gadin: je vais chez lui pour qu'il me dépanne en sel.
Quand il me voit, il sourit encore plus. Je rentre, il va dans sa cuisine, revient avec un grand paquet de sel. Il me le donne: mes mains touchent les siennes: je ne les lâche plus. Il comprend enfin que je m'étais introduite chez lui pour autre chose.
Il me fait asseoir sur un divan dans son séjour assez pauvrement meublé. Nous commençons à parler: je lui dit la vérité me concernant je suis divorcée et je m'ennuie. J'ai envie de lui dire que je le veux. Si je dis une telle chose, il va me prendre pour la dernière des dernières. Je me retiens. Petit à petit j'arrive à lui demander s'il a une petite amie. Il en a eu plusieurs, les a toutes larguées parce qu'aucune le pouvait le satisfaire sexuellement. Il en parle comme d'une chose naturelle. Pourtant il n'a que 22 ans (18 ans de moins que moi). Il me plaît de plus en plus. Je ne peux plus continuer à parler comme nous le faisons. Je l'invite pour le lendemain soir pour boire un alcool. Il accepte avec un sourire sous entendu.
Je sais qu'il sait. Tant pis, j'attendrais demain. Cette petite conversation m'a drôlement excitée. Mon bas ventre demande une satisfaction immédiateté. Je vais dans ma chambre, me déshabille, me retiens pour ne pas me masturber. Je bricole un repas vite fait. Je me force à regarder la télé. Rien n'y fait: je suis obligée de retourner me coucher; Cette fois je me caresse le clitoris longtemps pour faire durer mon plaisir. Ma main frotte sur mon bouton un moment avant d'arrêter pour recommencer peu de temps après. J'ai toujours le même fantasme: il me la met. Je jouis longuement. Je m'endors enfin. Le lendemain je suis nue dans mon lit; j'en profite pour recommencer une bonne masturbation avec le gode cette fois.
Pour ce soir j'ai décidé d'être une vraie femme qui meurt d'envie de se faire prendre par un jeune. Je veut me conduire d'une façon indécente: je ne porte que ma robe, celle à boutons devant. S'il me voit ainsi j'espère qu'il me sautera dessus, sinon, je saurais comment faire. En attendant j'ai posé sur une table basse une bouteille de vieil armagnac, une autre de whisky, et une de liqueur.
Enfin un coup de sonnette. Il rentre: je lui aurais sauté au cou. Dans le salon il choisit l'Armagnac, comme moi. Nous réchauffons l'alcool dans nos mains. Je porte rapidement la conversation sur ses déboires avec les jeunes. Elles manquent d'expérience et surtout ne prennent jamais d'initiative. Je le plains avec sérieux. J'ose même ajouter que les jeunes femmes sont toujours avec des idées totalement fausses sur le sexe: elles s'imagine que les hommes ont les même besoins qu'elles. Il leur faut beaucoup d'expérience pour arriver à contenter un jeune. Il comprend enfin de que j'attends de lui. Il en rougit un peu. Il me regarde avec un regard différent. Je défait deux boutons de ma robe: celui du haut qui cachait un peu mes seins et celui du bas qui lui cachait mes jambes. Si ce n'est pas un appel que je fais !!!!
Je l'invite à s'asseoir près de moi. Notre conversation cesse brusquement: nous nous regardons. J'aimerai qu'il m'embrasse le premier: je serai au fond la bête traquée. Je regarde ses lèvres avec insistance. Il comprend que je le veux. Enfin il m'embrasse. Nos langues jouent un ballet excitant dans nos bouches. Je me colle à lui. C'est lui qui maintenant prend les initiatives: il pose une main sur mon épaule. Je reste sage pour l'instant. Une main va sur ma poitrine. Il commende à me caresser trop fort: je lui demande de ne pas me serrer les seins ainsi: il me fait mal. Si les filles qu'il fréquentait ne lui disaient pas, je ne me gêne pas. Enfin ses caresses deviennent excitantes. Il défait un autre bouton pour faire sortir totalement ma poitrine. Il m'embrasse les tétons fort bien. Je mouille. Il descend enfin une main sur un genou. Je le laisse faire. J'attends juste qu'il commence à venir vers mon entrejambe. Il le fait: à mon tour de prendre des initiatives: il bande, je vois sous son pantalon une grosse bosse que je prend à pleine main. J'arrive à lui sortir sa queue. Je le branle comme je sais: c'est-à-dire bien. Quand il arrive dans ma fente, il essaye de me branler le bouton. Il n'arrive pas à trouver la place exacte. Je suis obligé de le guider. Je me demande s'il a eu tant de filles que ce qu'il dit. Il n"est pas vierge, c'est certain, il manque surtout d'expérience. Cette fois il me masturbe correctement. Il arrive à me faire jouir. Il en est tout fier, il me demande même si j'ai été heureuse !!!
Il enlève ma robe: ce n'est pas très dur avec le peu de boutons qui la ferme. Nue devant lui, je joue à la starlette: je me trémousse comme, à mon avis, les hommes aiment. Je me tourne sur moi-même. Il me regarde. Mon corps n'a pas changé depuis mes 20 ans, il ne s'en doutait pas.
Il ne se doute pas de l'exploit suivant: je me mets à ses pied, prend sa bite dans la bouche. Il a un goût agréable. Je lui lèche d'abord le gland avant le la prendre presque entièrement. Je fais des vas et viens. Je vais le faire jouir: à son age on bande vite. Il reste penché son dos bien sur le dossier du canapé, les yeux fermés. Il profite de ma caresse. Quand il jouit, il ne m'en a même pas averti. Heureusement que j'aime le sperme. J'avale sa dose qui finalement est pas si importante que ça: il a du se branler plusieurs fois avant de venir chez moi.
Je me rassois à ses cotés: suces moi, voilà ma demande. Sans rien dire il se met à genoux, J'ouvre les jambes: il peut voir tout mon sexe. Je prends sa tête et la dirige là où je veux, d'abord mon anus: je lui demande de le lécher avant d'y mettre sa langue. Je le fais arriver sur mon antre. Il doit y mettre encore sa langue le plus profond possible. Et enfin il arrive à mon clitoris. Il arrive à le lécher convenablement Ce qu'il ne sait pas c'est que j'ai jouis trois fois avec le bout de langue.
Quand il se relève il bande plus fort que la première fois. Je lui demande si ce qu'on a fait lui a plu: il ne répond pas, il m'embrasse.
Nous allons dans ma chambre. Couché il recommence ses baisers. Je lui reprends la queue comme si j'allais le branler encore. Il m'arrête. Cette fois je sais qu'il va enfin me baiser. J'écarte les jambes, l'invite à me prendre. Il sait faire ça au moins: il rentre lentement, trop lentement à mon goût. Je le laisse faire, ainsi je jouirai plus tard.ces vas et viens sont quand même de plus en plus rapide au fur et mesure que son plaisir arrive. Je suis sur le point de jouir quand je sens son sperme gicler au fond de mon ventre. Je jouis avec un peu de retard sur lui. Je le lui dit: il en est tout content: je crois être la première femme a qui il a donné un orgasme. Il sort de moi tout fripé. Je me charge de le faire bander vite: je lui montre comment je me branle. C'est la première femme qu'il voit se donner du plaisir. Je regarde sa bite: il bande à nouveau. J'ai envie de l'avoir ailleurs: aujourd'hui de n'est pas fromage ou dessert, c'est les deux.
Je me mets en levrette, prend sa pine, la guide vers mon anus. Il avoue que c'est la première fois qu'il va enculer une femme. Il veut rentrer comme dans mon con. Je le modère: il doit m'enculer très lentement au moins au début. Il obéi comme un gamin: il rentre très lentement le plus dur à passer: son gland. A ce moment là je donne un coup de rein. Il est à fond en moi. Il me lime rapidement Je jouis comme une folle. Je sens sa queue encore plus quand les spasmes de la jouissance m'envahissent. Il met un sacré bout de temps à jouir. Tant mieux pour moi, je me rattrape des jours sans. Je jouis toujours quand il jouit encore une dernière fois. Je voudrai le branler, comme ça pour le plaisir de voir sa queue quand il jouit. Cette fois je n'ai pas à lui montrer comment je me branle. Il sait ce que je veux: il me donne sa pine. Je l'ai à pleine main. Je tire son prépuce vers le bas avant de le remonter, le tout très lentement, comme il semble aimer. Il veux me branler aussi: je lui laisse accès libre au clitoris. Je continu ma masturbation: son gland rougit de plus en plus. Je le sens se tendre: il jouit. Je regarde avec intérêt son sperme jaillir.
C'est terminé. Il veut rentrer chez lui. Je ne veux pas finir la nuit seule sous prétexte que j'ai peur. Il passe la nuit avec moi. Nous baisons encore plusieurs fois.
Cette fois ça y est: j'ai un maintenant un amant bien plus jeune que moi. Je vais le vider à fond chaque fois que nous baiserons.
Nous étions séparés depuis qu'il avait rencontré une autre femme dont je ne veux rien savoir. Ce sera à elle de s'en dépatouiller.
Je me "console" en pianotant sur internet. J'y trouve une foule de sites qui m'intéressent, entre autre je suis allée vers un site où des jouets féminins sont vendus. J'ai craqué pour des boules de geisha et un godemiché tout simple: je pourrai améliorer mes plaisirs solitaires. A dire vrai-je me méfie tellement des hommes que je préfère assouvir seule mes besoins. Jusqu'à présent je ne m'en plains pas.
Je vais en vacances lointaines. Je me fais des amies d'un peu partout. Bref je recherche ce que je n'ai pas eu depuis ce mariage trop précipité.
Un soir en rentrant du cinéma je remarque un jeune homme qui ne me déplait pas du tout. Nous prenons l'ascenseur ensemble. Il me sourit je le lui rend. Je ne fais point trop. Il descend au même étage que moi. Il rentre dans l'appartement voisin du mien. Je ne l'avais jamais vu.
Ce soir je me masturbe avec mon gode, je pense à lui: je l'imagine en train de me faire l'amour. Il y a longtemps que je n'ai pas couché avec un homme. Je jouis ainsi plusieurs fois. S'il savait ce que je voudrai…….
Je le revois le lendemain, cette fois nos sourires ne sont pas de façade. Je repense à mes fantasmes de la veille. Je l'examine de plus près: il me semble bien être comme je le rêvais. Je pense à lui toute la journée. Je ne le revois pas. Tant pis si je prend un gadin: je vais chez lui pour qu'il me dépanne en sel.
Quand il me voit, il sourit encore plus. Je rentre, il va dans sa cuisine, revient avec un grand paquet de sel. Il me le donne: mes mains touchent les siennes: je ne les lâche plus. Il comprend enfin que je m'étais introduite chez lui pour autre chose.
Il me fait asseoir sur un divan dans son séjour assez pauvrement meublé. Nous commençons à parler: je lui dit la vérité me concernant je suis divorcée et je m'ennuie. J'ai envie de lui dire que je le veux. Si je dis une telle chose, il va me prendre pour la dernière des dernières. Je me retiens. Petit à petit j'arrive à lui demander s'il a une petite amie. Il en a eu plusieurs, les a toutes larguées parce qu'aucune le pouvait le satisfaire sexuellement. Il en parle comme d'une chose naturelle. Pourtant il n'a que 22 ans (18 ans de moins que moi). Il me plaît de plus en plus. Je ne peux plus continuer à parler comme nous le faisons. Je l'invite pour le lendemain soir pour boire un alcool. Il accepte avec un sourire sous entendu.
Je sais qu'il sait. Tant pis, j'attendrais demain. Cette petite conversation m'a drôlement excitée. Mon bas ventre demande une satisfaction immédiateté. Je vais dans ma chambre, me déshabille, me retiens pour ne pas me masturber. Je bricole un repas vite fait. Je me force à regarder la télé. Rien n'y fait: je suis obligée de retourner me coucher; Cette fois je me caresse le clitoris longtemps pour faire durer mon plaisir. Ma main frotte sur mon bouton un moment avant d'arrêter pour recommencer peu de temps après. J'ai toujours le même fantasme: il me la met. Je jouis longuement. Je m'endors enfin. Le lendemain je suis nue dans mon lit; j'en profite pour recommencer une bonne masturbation avec le gode cette fois.
Pour ce soir j'ai décidé d'être une vraie femme qui meurt d'envie de se faire prendre par un jeune. Je veut me conduire d'une façon indécente: je ne porte que ma robe, celle à boutons devant. S'il me voit ainsi j'espère qu'il me sautera dessus, sinon, je saurais comment faire. En attendant j'ai posé sur une table basse une bouteille de vieil armagnac, une autre de whisky, et une de liqueur.
Enfin un coup de sonnette. Il rentre: je lui aurais sauté au cou. Dans le salon il choisit l'Armagnac, comme moi. Nous réchauffons l'alcool dans nos mains. Je porte rapidement la conversation sur ses déboires avec les jeunes. Elles manquent d'expérience et surtout ne prennent jamais d'initiative. Je le plains avec sérieux. J'ose même ajouter que les jeunes femmes sont toujours avec des idées totalement fausses sur le sexe: elles s'imagine que les hommes ont les même besoins qu'elles. Il leur faut beaucoup d'expérience pour arriver à contenter un jeune. Il comprend enfin de que j'attends de lui. Il en rougit un peu. Il me regarde avec un regard différent. Je défait deux boutons de ma robe: celui du haut qui cachait un peu mes seins et celui du bas qui lui cachait mes jambes. Si ce n'est pas un appel que je fais !!!!
Je l'invite à s'asseoir près de moi. Notre conversation cesse brusquement: nous nous regardons. J'aimerai qu'il m'embrasse le premier: je serai au fond la bête traquée. Je regarde ses lèvres avec insistance. Il comprend que je le veux. Enfin il m'embrasse. Nos langues jouent un ballet excitant dans nos bouches. Je me colle à lui. C'est lui qui maintenant prend les initiatives: il pose une main sur mon épaule. Je reste sage pour l'instant. Une main va sur ma poitrine. Il commende à me caresser trop fort: je lui demande de ne pas me serrer les seins ainsi: il me fait mal. Si les filles qu'il fréquentait ne lui disaient pas, je ne me gêne pas. Enfin ses caresses deviennent excitantes. Il défait un autre bouton pour faire sortir totalement ma poitrine. Il m'embrasse les tétons fort bien. Je mouille. Il descend enfin une main sur un genou. Je le laisse faire. J'attends juste qu'il commence à venir vers mon entrejambe. Il le fait: à mon tour de prendre des initiatives: il bande, je vois sous son pantalon une grosse bosse que je prend à pleine main. J'arrive à lui sortir sa queue. Je le branle comme je sais: c'est-à-dire bien. Quand il arrive dans ma fente, il essaye de me branler le bouton. Il n'arrive pas à trouver la place exacte. Je suis obligé de le guider. Je me demande s'il a eu tant de filles que ce qu'il dit. Il n"est pas vierge, c'est certain, il manque surtout d'expérience. Cette fois il me masturbe correctement. Il arrive à me faire jouir. Il en est tout fier, il me demande même si j'ai été heureuse !!!
Il enlève ma robe: ce n'est pas très dur avec le peu de boutons qui la ferme. Nue devant lui, je joue à la starlette: je me trémousse comme, à mon avis, les hommes aiment. Je me tourne sur moi-même. Il me regarde. Mon corps n'a pas changé depuis mes 20 ans, il ne s'en doutait pas.
Il ne se doute pas de l'exploit suivant: je me mets à ses pied, prend sa bite dans la bouche. Il a un goût agréable. Je lui lèche d'abord le gland avant le la prendre presque entièrement. Je fais des vas et viens. Je vais le faire jouir: à son age on bande vite. Il reste penché son dos bien sur le dossier du canapé, les yeux fermés. Il profite de ma caresse. Quand il jouit, il ne m'en a même pas averti. Heureusement que j'aime le sperme. J'avale sa dose qui finalement est pas si importante que ça: il a du se branler plusieurs fois avant de venir chez moi.
Je me rassois à ses cotés: suces moi, voilà ma demande. Sans rien dire il se met à genoux, J'ouvre les jambes: il peut voir tout mon sexe. Je prends sa tête et la dirige là où je veux, d'abord mon anus: je lui demande de le lécher avant d'y mettre sa langue. Je le fais arriver sur mon antre. Il doit y mettre encore sa langue le plus profond possible. Et enfin il arrive à mon clitoris. Il arrive à le lécher convenablement Ce qu'il ne sait pas c'est que j'ai jouis trois fois avec le bout de langue.
Quand il se relève il bande plus fort que la première fois. Je lui demande si ce qu'on a fait lui a plu: il ne répond pas, il m'embrasse.
Nous allons dans ma chambre. Couché il recommence ses baisers. Je lui reprends la queue comme si j'allais le branler encore. Il m'arrête. Cette fois je sais qu'il va enfin me baiser. J'écarte les jambes, l'invite à me prendre. Il sait faire ça au moins: il rentre lentement, trop lentement à mon goût. Je le laisse faire, ainsi je jouirai plus tard.ces vas et viens sont quand même de plus en plus rapide au fur et mesure que son plaisir arrive. Je suis sur le point de jouir quand je sens son sperme gicler au fond de mon ventre. Je jouis avec un peu de retard sur lui. Je le lui dit: il en est tout content: je crois être la première femme a qui il a donné un orgasme. Il sort de moi tout fripé. Je me charge de le faire bander vite: je lui montre comment je me branle. C'est la première femme qu'il voit se donner du plaisir. Je regarde sa bite: il bande à nouveau. J'ai envie de l'avoir ailleurs: aujourd'hui de n'est pas fromage ou dessert, c'est les deux.
Je me mets en levrette, prend sa pine, la guide vers mon anus. Il avoue que c'est la première fois qu'il va enculer une femme. Il veut rentrer comme dans mon con. Je le modère: il doit m'enculer très lentement au moins au début. Il obéi comme un gamin: il rentre très lentement le plus dur à passer: son gland. A ce moment là je donne un coup de rein. Il est à fond en moi. Il me lime rapidement Je jouis comme une folle. Je sens sa queue encore plus quand les spasmes de la jouissance m'envahissent. Il met un sacré bout de temps à jouir. Tant mieux pour moi, je me rattrape des jours sans. Je jouis toujours quand il jouit encore une dernière fois. Je voudrai le branler, comme ça pour le plaisir de voir sa queue quand il jouit. Cette fois je n'ai pas à lui montrer comment je me branle. Il sait ce que je veux: il me donne sa pine. Je l'ai à pleine main. Je tire son prépuce vers le bas avant de le remonter, le tout très lentement, comme il semble aimer. Il veux me branler aussi: je lui laisse accès libre au clitoris. Je continu ma masturbation: son gland rougit de plus en plus. Je le sens se tendre: il jouit. Je regarde avec intérêt son sperme jaillir.
C'est terminé. Il veut rentrer chez lui. Je ne veux pas finir la nuit seule sous prétexte que j'ai peur. Il passe la nuit avec moi. Nous baisons encore plusieurs fois.
Cette fois ça y est: j'ai un maintenant un amant bien plus jeune que moi. Je vais le vider à fond chaque fois que nous baiserons.
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