Mon ami jacques suite du 28/8 et fin - histoire érotique

Notre ami jacques suite et dénouement
Avec un peu de retard, la suite de l’évolution de leur couple
Après la journée que nous avions passée et où nous avions découvert une Florence désirant évoluer dans le libertinage et un jacques semblant soumis à ses envies, nous avions pris un peu de distance, afin de leur laisser le temps de digérer une situation délicate.
C’est finalement, encore florence qui a relancé la machine ; Son homme étant en déplacement pour une exposition de vieilles voitures, elle nous a invité à passer la soirée avec elle ; elle n’est jamais rassurée seule , car, en effet sa maison est assez isolée ; une bonne raclette et une soirée devant la cheminée ; je ne peux m’empêcher de la regarder car , depuis que nous avons jouer devant la piscine, elle s’habille différemment ; ce soir, jupe courte et top, manifestement sans soutien-gorge ; si elle n’a pas une grosse poitrine, ses petits seins ont un gros téton et ce soir celui-ci pointe, très visible sous le fin tissus.
Je me prends à nouveau à avoir envie d’elle et je ne suis pas le seul, car je m’aperçois que nini a posé une main sur son bras ; les deux femmes se regardent, et c’est nini qui fait le rapprochement. Posant sa main sur sa cuisse, elle se penche et ses lèvres se posent sur celles de florence ; un peu surprise, finalement, elle y répond et, à son tour sa main se pose sur nini, mais sur ses seins ; mais je constate que nini a décidé de mener le jeu : la redressant face à nous, elle lui dit : « Je pense que tu as envie de devenir aussi libertine que moi, tu dois donc suivre le même chemin ; ce soir, tu seras à nous deux, et tu devras nous obéir, t’offrir aussi bien à jean qu’à moi, mais avant tu vas te mettre nue devant nous deux, puis ensuite appeler Jacques et lui dire comment tu es et ce que tu as envie de faire »J’avoue avoir pensé qu’elle allait se rebiffer, mais non, après une légère hésitation, elle s’est redressée et doucement à quitter son top, dévoilant ses tétons saillants, puis sa jupe s’est retrouvée au sol, dévoilant à notre surprise, l’absence de string ; avec un petit regard de défi, elle a pris son téléphone : « Jacques, bonsoir mon chéri, je peux parler ? oui, bon alors, comme je te l’avais dit, j’ai envie de faire l’amour, sans que tu sois là ;…. Un silence…. Oui Nicole et jean sont là et je suis debout devant eux, nue, les jambes écartées pour qu’ils puisent me fouiller la chatte ; ………….oui j’ai envie de faire l’amour avec Nicole et de me faire prendre par jean…………tu es d’accord……ok……. Oui, j’espère qu’ils vont rester cette nuit avec moi…….oui, je t’embrasse je te rappelle plus tard »Cette conversation , alors qu’elle nous dévoile sa chatte, m’a donné la trique , mais c’est vers Nicole qu’elle se dirige ; celle -ci s’est avancée sur son siège et elle se caresse le minou à travers le voile de son string ; alors que florence s’approche d’elle, elle écarte ses cuisses et écartant le tissu, elle lui dit de lui lécher la chatte ; si elle est bi, je ne sais pas si florence l’est ; mais c’est finalement ce qu’elle fait ; docile, elle se met à genoux et s’encastre entre les cuisses largement ouvertes ; l’abricot offert est vite sollicité par la langue qui le fouille ; à côté, je sors ma queue, excité par non seulement par sa docilité, mais surtout par son fessier , rond, ferme, tentant ; alors qu’elle broute nini avec ardeur , si j’en crois les gémissements, je m’approche deux et ma main investit le sillon, passant de sa chatte à son anneau ; à chaque fois que mon doigt caresse son cul, un soubresaut la parcourt ; j’ai envie de la prendre et la ceinturant, je frotte mon gland sur les lèvres, déjà humides ; à ce contact, elle redresse son bassin et quittant pour un instant la minette devant elle , elle s’écrit « , prend moi, j’ai envie que tu me baises et alors qu’elle reprend possession de la chatte de nini, celle-ci m’encourage : « vas-y défonce là , j’ai envie qu’elle t’appartienne, fais la jouir, comme jacques m’a fait jouir l’autre jour » l’occasion est trop bonne et d’une poussée, ma queue la perfore ; surprise , elle ne peut retenir un oh de surprise, mais recule ses fesses à la recherche de mes coups de piston ; à chaque fois , mes couilles lui battent les fesses, et rapidement sa cyprine s’écoule autour de mon chibre, alors qu’elle a abandonné le sexe qu’elle broutait , ; maintenant elle jouit, accrochée aux bras de nini , la tête sur ses cuisses, le regard hagard ; « tu aimes te faire baiser par mon homme ?, pas de réponse…… puis dans un sursaut elle reconnait son plaisir « oh oui, vas-y baise moi, fais de moi une petite salope, prends moi comme ta femme, j’ai envie de vous , d’être complétement à vous, « j’ai ralenti car je ne veux pas encore jouir, mais elle reprend « vas-y bourre moi, jutes dans ma chatte, elle est à toi, j’ai envie que tu m’engrosses…………oh oui je jouis……putain c’est bon « pour moi , c’est la fin de ma résistance et enfoncé , butant contre le fond de sa matrice, je lui donne ma semence ; de puissants jets lui frappent les parois, la remplissent, s’écoulant le long de ses cuisses quand ma queue continue à la baiser ; quand enfin , je me retire, un flot de jute s’échappe de la grotte, dilatée. Elle s’écroule dans les bras de nini, alors que je lui présente ma queue à nettoyer, ce à quoi elle s’emploie sans rechignerFinalement, nous nous retrouvons dans la chambre, Florence dans les bras de nini, découvrant les plaisirs saphiques, se léchant réciproquement la chatte en 69 ; mais en même temps, étant au-dessus, elle m’offre la vue de son sillon ; et la réaction est rapide : ma tige reprend de la vigueur, et la doigtant pour récupérer un peu de sperme, je lui graisse l’anneau ; et lui agrippant les hanches, je frotte mon gland sur l’anneau serré, elle essaie de se libérer, mais maintenue par nini et par moi, rien n’y fait et doucement, ma queue s’enfonce dans le conduit ; pour la faire se détendre, une grande claque sur la fesse ; surprise, elle réagit et j’en profite pour l’enculer totalement ; un cri traduit la saillie, mais je ne me retire pas , bien enfoncé dans son fondement ; je la laisse reprendre ses esprits, puis doucement , je commence à la pistonner, de plus en plus rapidement en fonction de ses gémissements maintenant de plaisir ; nini en profite pour me titiller les couilles qui battent devant sa bouche ; Mon plaisir, dù aussi bien par le cul serré, que par la bouche de nini, ne tarde pas à monter et en rugissant, je me vide dans ses entrailles ; pour elle aussi la jouissance est là, la langue de nini et ma queue qui la ramone ont fait venir son plaisir et quand mes jets la frappent, elle râle entre nos bras.

Se blottissant entre nous deux, elle se détend, quand soudain elle attrape son téléphone :« bonsoir mon cœur, ce soir , tu es cocu, jean vient de me prendre deux fois, et il m’a même sodomiser, et j’ai appartenu aussi à nini ; je vais passer la nuit avec eux, j’ai envie de m’offrir à eux, leur appartenir, me sentir leur petite salope ; tu dois comprendre que ce ne sera pas la dernière fois ; tu voulais que je me livre, je l’ai fait ; j’ai appris que tu avais baiseé nini avant de me le dire ; je t’aime mais mon corps leur appartient aussi ; mais je sais que cela ne doit pas te déplaire ; je t’embrasse à demain »
Dénouement : florence est, avec l’accord de ma petite femme, ma maitresse, souvent en sa présence, et parfois même seule à seule ; jacques a accepté la situation, et nous lui avons accordé la possibilité de prendre nini ; cependant, florence me demande de la reprendre devant lui, et je pense que cela ne va pas tarder.