Mon ami m'a ouvert les yeux sur ma bisexualité
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Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2006 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon ami m'a ouvert les yeux sur ma bisexualité
Ça s'est passé durant mon adolescence, à une période de la vie où l'on fait les plus importantes découvertes de notre existence. C'est avec mon ami Alain que j'ai découvert que je n'étais pas hétérosexuel mais plutôt bisexuel. Et je l'en remercie aujourd'hui.
Je ne me souviens plus précisément quel jour ça s'est passé et je n'ai pas marqué d'une croix le calendrier. J'avais entre quatorze et seize ans. Ça s'est étiré sur plusieurs mois voire même quelques années. Ce que je sais en revanche, c'est que ce furent parmi les meilleurs moments de mon adolescence.
Alain et moi faisions les quatre cent coups ensemble. Nous étions presque inséparables. Il m'arrivait d'ailleurs très souvent de dormir chez lui. Et le contraire arrivait aussi, malgré que c'était beaucoup plus rare.
Chez Alain, sa chambre était à l'étage et ses parents dormaient au rez-de-chaussée. En plus, son père et sa mère étaient beaucoup plus permissifs que les miens. Nous pouvions nous amuser comme bon nous semblait sans jamais être importuné alors que chez nous, les réglements étaient nombreux.
Cette permissivité et cette relative intimité aura donc permis à Alain de m'initier à l'amour entre garçons. De me déniaiser comme on dit.
J'avais bien eu quelques expériences sexuelles avec une copine, dont notamment lui avoir passé le doigt, mais je n'avais encore jamais eu l'occasion de vivre quelque chose d'aussi agréable que ce que j'allais vivre avec Alain.
Je matais aussi très souvent les autres garçons sous la douche après les cours d'éducation physique et j'y prenais d'ailleurs autant de plaisir que de contempler de jeunes filles bien roulées. Plusieurs de mes séances de masturbation se sont déroulées alors que j'avais les images de mes copains d'école encore dans la tête.
Le soir où tout a débuté, Alain m'avait invité à venir passer la nuit chez lui comme d'habitude. Il voulait me faire découvrir ses trouvailles. Il avait trouvé des magazines pornographiques dans une boîte alors qu'il s'était payé une petite excursion dans le grenier.
Il s'agissait de magazines très explicites appartenant à son père (qui d'autre ?) et qui ma foi ne laissaient aucune place à l'imagination. On y voyait des femmes complètement nues se faire prendre par des types équipés comme des étalons. Je me souviens que ces images nous excitaient terriblement.
On a contemplé les images pendant de longues minutes dans la chambre d'Alain alors que tout le reste de la famille dormait. On avait peine à contenir nos rires nerveux devant un tel spectacle. Les adolescents que nous étions éprouvaient un plaisir évident à admirer ces corps superbes sur le papier glacé. Nous aurions eu envie de les caresser ou même d'y poser nos lèvres tellement l'excitation était à son paroxysme.
Sur une page en particulier, nous sommes tombés sur la photo d'un type qui se tenait debout en érection devant une fille. Nous étions tous les deux fascinés de voir une queue d'une semblable dimension. Une pine gigantesque qui se dressait droite comme un piquet vers le haut et au bout de laquelle on voyait un gland rosé tout à fait magnifique. Je ne pouvais en détourner mon regard. Alain non plus.
- Je ne sais pas quelle grosseur on peut avoir, nous-autres, à côté de ça, me dit Alain. C'est gros, c'est l'enfer.
- J'imagine qu'on doit se sentir petit à côté de ça, lui répondis-je en me retenant difficilement de rire. As-tu vu le manche ?
- Moi, je veux voir de quoi la mienne a l'air dans le creux de ma main, reprit Alain. Ça me fascine. Je veux comparer.
Alain baissa son caleçon et en sortit un pénis déjà passablement en érection à cause de toutes ces images qu'on regardait depuis plusieurs minutes. Il le prit dans sa main et referma la paume autour pour le mesurer, le soupeser, en apprécier la forme et la taille. Puis, il commença à se caresser tranquillement le pénis pour se donner un peu plus de "poids" devant le monstre du magazine.
Je trouvais que sa verge était somme toute d'une belle dimension pour un garçon de son âge. Alain était circoncis, ce qui rendait son membre encore plus beau, plus attirant. À la base, on voyait déjà plusieurs poils couvrir sa bourse et son pubis. Et l'odeur qui en émanait m'enivrait.
La vue de mon meilleur ami qui se touchait ainsi devant moi me troubla. Pas de gêne, ni de colère. Non, au contraire. Je bandais de plus en plus. Je n'ai d'ailleurs pu faire autrement que d'abaisser moi aussi mon caleçon, le seul vêtement que je portais pour dormier, et de commencer à me toucher.
Nous étions là, à genoux l'un devant l'autre, à nous caresser au pied de son lit afin de prendre un peu de volume. Tout d'un coup, Alain s'est levé d'un trait et a ouvert le tiroir de son bureau duquel il a sorti une règle. On s'est mesuré chacun la bite mais on a rapidement déposé la règle parce qu'au fond, on a compris assez vite que deux adolescents en quête de leur identité sexuelle sortiraient probablement plus frustré qu'autre chose à ce jeu des comparaisons avec un mec aussi bien membré.
- On va se masturber l'un et l'autre, dit Alain. Tu vas voir, je l'ai déjà fait avec mon cousin, c'est vraiment bon.
Ce que j'aimais d'Alain, c'est qu'il avait le don de persuasion. Le ton de sa voix et la façon dont il demandait ou suggérait les choses avait quelque chose de presque envoûtant. Je pense que s'il m'avait demandé de me mettre à quatre pattes et de me mettre à japper comme un chien, je me serais exécuté. Pas que je suis un suiveur, mais parce que j'appréciais ce type et que j'aurais fait beaucoup de choses pour lui. Je crois bien que j'étais un peu amoureux en mon for intérieur.
Il faut que j'avoue qu'il était très attirant et qu'il l'est demeuré depuis. Un magnétisme animal, quelque chose d'indescriptible. Il ne fallait pas s'étonner d'ailleurs que plusieurs filles soient en admiration devant lui.
Pour être honnête, j'aurais bien aimé lui ressembler. Pas tant physiquement, puisque je suis loin d'être un laideron avec mes cheveux noirs, mon superbe petit cul et mes yeux pers, mais d'avoir cet indéfinissable charme m'aurait beaucoup plu. La beauté, ce n'est pas que physique.
Alain s'est levé lentement et a barré la porte de sa chambre pour ne pas qu'on nous surprenne en train de jouer ensemble, puis il est revenu s'agenouiller devant moi. Il a alors tendu son bras entre mes cuisses et s'est emparé doucement de ma queue. J'ai fermé les yeux. Je tremblais comme une feuille. J'étais à la fois terriblement nerveux de me faire surprendre mais aussi franchement excité. J'ai tendu aussi ma main vers son sexe et on a commencé à se masturber mutuellement.
Nous agissions tendrement, sans brusquerie, tout en délicatesse. Le rythme de nos poignets battaient presque la cadence tant nous étions en harmonie. J'étais à ce point excité que j'ai mis à peine quelques trop courtes minutes avant d'éjaculer. Alain n'a mis guère plus de temps.
J'étais mal à l'aise d'en avoir mis sur le sol et d'avoir même arrosé Alain. Nous avions tous les deux les cuisses, le ventre et le bas-ventre recouverts de goutelettes de sperme encore chaud. Mais il me rassura d'une voix douce.
- Ce n'est pas grave, me dit-il en posant sa main sur mon ventre. On va essuyer ça tantôt. En attendant, couche-toi sur le dos et laisse-moi faire. Je vais te laver d'une façon spéciale. Ferme les yeux et pose tes mains sur tes cuisses.
- Non, Alain. Attends. On va se faire surprendre. Arrête, s'il vous plaît. J'ai peur.
- Détends-toi ! La porte est barrée et tout le monde dort. Tu vas voir, je ne ferai rien que tu n'aimeras pas.
Je m'étendis sur le dos. Alain passa sa main entre mes jambes pour me les écarter, puis il s'installa à genoux entre mes cuisses. Il se pencha au-dessus de moi et porta tranquillement ses lèvres et sa langue sur mon bas-ventre. Je sursautai un peu. Il me rassura à mi-voix, puis il se mit à lécher de façon langoureuse le sperme qui maculait mes parties génitales ainsi que mes doigts.
Je frémissais sous le souffle chaud et les caresses buccales de mon copain. Sa langue se promenait de ma taille jusqu'à mes cuisses et aucun recoin n'était épargné. Pas même mes doigts.
J'ai vite compris qu'il ne s'agissait plus du tout d'un simple nettoyage. Je n'ai pas mis longtemps à recommencer à m'exciter. Ma queue frémissait de désir. Alain ne me suçait ni ne me masturbait. Il ne faisait que lécher. Mais ses caresses étaient si précises et si délicieuses qu'il aurait très bien pu continuer toute la nuit s'il en avait été capable tellement c'était bon. C'était presque animal. On aurait dit un chien en train de laper l'eau au fond de son écuelle.
Je saisissais alors qu'il avait expérimenté avec son cousin des choses qu'il partageait maintenant avec moi. J'avais moi aussi eu quelques épisodes de « touche-pipi » avec un cousin, mais ça se résumait à de simples touchers. Rien de ce que semblait avoir vécu Alain avec le sien en tout cas.
Mes jambes tremblaient et j'avais le coeur qui voulait me sortir de la poitrine. J'essayais tant bien que mal de ralentir ma respiration car je savais que plus je m'excitais et plus je risquais de mettre un terme à nos jeux. Alain me répéta d'ailleurs à plusieurs reprises de le laisser faire et de me calmer.
Je me mordais les lèvres tellement j'éprouvais de plaisir à me sentir ainsi possédé par lui. Jamais auparavant je n'avais encore vécu de moments d'une telle intensité. La tête penché vers l'arrière, je soulevais mes fesses, mon pubis et mon sexe se hissaient vers en haut comme pour quêter la caresse de sa langue chaude et humide. Je me retenais de faire du bruit. Je ne voulais pas que l'on soit surpris et que l'on soit interrompu dans nos jeux.
Malgré toute la bonne volonté, je ne pus me retenir encore bien longtemps et j'éjaculai de nouveau le peu de sperme et de liquide séminal que j'avais encore.
Alain se hâta d'approcher sa bouche de ma bite juste au moment où je lâchais ma décharge afin d'avaler ne serait-ce que les quelques gouttes que je pouvais lui offrir. Il était vraiment gourmand. Je comprenais que mon ami avait fait ce genre de choses plus d'une fois avec son cousin ou qui sait d'autre. Son frère peut-être ? Un voisin ? Un oncle ? Qui sait.
J'étais trop exténué et surtout trop peu expérimenté pour poursuivre plus longtemps. Mais ce fut extraordinaire. Je commençais à comprendre que je n'étais pas qu'hétérosexuel mais bien bisexuel. Je savais maintenant que ce n'était pas pour rien que je peinais à contenir mon érection chaque fois que je reluquais les autres gars sous la douche.
On a nettoyé ce qui restait sur le sol. Alain et moi sommes allés nous débarbouiller sans bruit à la salle de bain et sommes revenus nous mettre au lit. Mais avant que nous dormions tous les deux, Alain prit le temps de me demander :
- Si tu veux, je vais te faire découvrir d'autres choses une autre fois. À moins que ça ne te tente vraiment pas ?
- J'ai vraiment eu très peur qu'on nous surprenne, mais j'ai hâte de recommencer. J'ai jamais eu autant de fun.
Et je me suis endormi ce soir-là la tête remplie de souvenirs agréables dans l'espoir d'autres plaisirs encore meilleurs. Ce fut un soir de grandes révélations et de grandes découvertes pour moi. J'écrirai éventuellement d'autres récits de mes expériences avec mon ami.
Je ne me souviens plus précisément quel jour ça s'est passé et je n'ai pas marqué d'une croix le calendrier. J'avais entre quatorze et seize ans. Ça s'est étiré sur plusieurs mois voire même quelques années. Ce que je sais en revanche, c'est que ce furent parmi les meilleurs moments de mon adolescence.
Alain et moi faisions les quatre cent coups ensemble. Nous étions presque inséparables. Il m'arrivait d'ailleurs très souvent de dormir chez lui. Et le contraire arrivait aussi, malgré que c'était beaucoup plus rare.
Chez Alain, sa chambre était à l'étage et ses parents dormaient au rez-de-chaussée. En plus, son père et sa mère étaient beaucoup plus permissifs que les miens. Nous pouvions nous amuser comme bon nous semblait sans jamais être importuné alors que chez nous, les réglements étaient nombreux.
Cette permissivité et cette relative intimité aura donc permis à Alain de m'initier à l'amour entre garçons. De me déniaiser comme on dit.
J'avais bien eu quelques expériences sexuelles avec une copine, dont notamment lui avoir passé le doigt, mais je n'avais encore jamais eu l'occasion de vivre quelque chose d'aussi agréable que ce que j'allais vivre avec Alain.
Je matais aussi très souvent les autres garçons sous la douche après les cours d'éducation physique et j'y prenais d'ailleurs autant de plaisir que de contempler de jeunes filles bien roulées. Plusieurs de mes séances de masturbation se sont déroulées alors que j'avais les images de mes copains d'école encore dans la tête.
Le soir où tout a débuté, Alain m'avait invité à venir passer la nuit chez lui comme d'habitude. Il voulait me faire découvrir ses trouvailles. Il avait trouvé des magazines pornographiques dans une boîte alors qu'il s'était payé une petite excursion dans le grenier.
Il s'agissait de magazines très explicites appartenant à son père (qui d'autre ?) et qui ma foi ne laissaient aucune place à l'imagination. On y voyait des femmes complètement nues se faire prendre par des types équipés comme des étalons. Je me souviens que ces images nous excitaient terriblement.
On a contemplé les images pendant de longues minutes dans la chambre d'Alain alors que tout le reste de la famille dormait. On avait peine à contenir nos rires nerveux devant un tel spectacle. Les adolescents que nous étions éprouvaient un plaisir évident à admirer ces corps superbes sur le papier glacé. Nous aurions eu envie de les caresser ou même d'y poser nos lèvres tellement l'excitation était à son paroxysme.
Sur une page en particulier, nous sommes tombés sur la photo d'un type qui se tenait debout en érection devant une fille. Nous étions tous les deux fascinés de voir une queue d'une semblable dimension. Une pine gigantesque qui se dressait droite comme un piquet vers le haut et au bout de laquelle on voyait un gland rosé tout à fait magnifique. Je ne pouvais en détourner mon regard. Alain non plus.
- Je ne sais pas quelle grosseur on peut avoir, nous-autres, à côté de ça, me dit Alain. C'est gros, c'est l'enfer.
- J'imagine qu'on doit se sentir petit à côté de ça, lui répondis-je en me retenant difficilement de rire. As-tu vu le manche ?
- Moi, je veux voir de quoi la mienne a l'air dans le creux de ma main, reprit Alain. Ça me fascine. Je veux comparer.
Alain baissa son caleçon et en sortit un pénis déjà passablement en érection à cause de toutes ces images qu'on regardait depuis plusieurs minutes. Il le prit dans sa main et referma la paume autour pour le mesurer, le soupeser, en apprécier la forme et la taille. Puis, il commença à se caresser tranquillement le pénis pour se donner un peu plus de "poids" devant le monstre du magazine.
Je trouvais que sa verge était somme toute d'une belle dimension pour un garçon de son âge. Alain était circoncis, ce qui rendait son membre encore plus beau, plus attirant. À la base, on voyait déjà plusieurs poils couvrir sa bourse et son pubis. Et l'odeur qui en émanait m'enivrait.
La vue de mon meilleur ami qui se touchait ainsi devant moi me troubla. Pas de gêne, ni de colère. Non, au contraire. Je bandais de plus en plus. Je n'ai d'ailleurs pu faire autrement que d'abaisser moi aussi mon caleçon, le seul vêtement que je portais pour dormier, et de commencer à me toucher.
Nous étions là, à genoux l'un devant l'autre, à nous caresser au pied de son lit afin de prendre un peu de volume. Tout d'un coup, Alain s'est levé d'un trait et a ouvert le tiroir de son bureau duquel il a sorti une règle. On s'est mesuré chacun la bite mais on a rapidement déposé la règle parce qu'au fond, on a compris assez vite que deux adolescents en quête de leur identité sexuelle sortiraient probablement plus frustré qu'autre chose à ce jeu des comparaisons avec un mec aussi bien membré.
- On va se masturber l'un et l'autre, dit Alain. Tu vas voir, je l'ai déjà fait avec mon cousin, c'est vraiment bon.
Ce que j'aimais d'Alain, c'est qu'il avait le don de persuasion. Le ton de sa voix et la façon dont il demandait ou suggérait les choses avait quelque chose de presque envoûtant. Je pense que s'il m'avait demandé de me mettre à quatre pattes et de me mettre à japper comme un chien, je me serais exécuté. Pas que je suis un suiveur, mais parce que j'appréciais ce type et que j'aurais fait beaucoup de choses pour lui. Je crois bien que j'étais un peu amoureux en mon for intérieur.
Il faut que j'avoue qu'il était très attirant et qu'il l'est demeuré depuis. Un magnétisme animal, quelque chose d'indescriptible. Il ne fallait pas s'étonner d'ailleurs que plusieurs filles soient en admiration devant lui.
Pour être honnête, j'aurais bien aimé lui ressembler. Pas tant physiquement, puisque je suis loin d'être un laideron avec mes cheveux noirs, mon superbe petit cul et mes yeux pers, mais d'avoir cet indéfinissable charme m'aurait beaucoup plu. La beauté, ce n'est pas que physique.
Alain s'est levé lentement et a barré la porte de sa chambre pour ne pas qu'on nous surprenne en train de jouer ensemble, puis il est revenu s'agenouiller devant moi. Il a alors tendu son bras entre mes cuisses et s'est emparé doucement de ma queue. J'ai fermé les yeux. Je tremblais comme une feuille. J'étais à la fois terriblement nerveux de me faire surprendre mais aussi franchement excité. J'ai tendu aussi ma main vers son sexe et on a commencé à se masturber mutuellement.
Nous agissions tendrement, sans brusquerie, tout en délicatesse. Le rythme de nos poignets battaient presque la cadence tant nous étions en harmonie. J'étais à ce point excité que j'ai mis à peine quelques trop courtes minutes avant d'éjaculer. Alain n'a mis guère plus de temps.
J'étais mal à l'aise d'en avoir mis sur le sol et d'avoir même arrosé Alain. Nous avions tous les deux les cuisses, le ventre et le bas-ventre recouverts de goutelettes de sperme encore chaud. Mais il me rassura d'une voix douce.
- Ce n'est pas grave, me dit-il en posant sa main sur mon ventre. On va essuyer ça tantôt. En attendant, couche-toi sur le dos et laisse-moi faire. Je vais te laver d'une façon spéciale. Ferme les yeux et pose tes mains sur tes cuisses.
- Non, Alain. Attends. On va se faire surprendre. Arrête, s'il vous plaît. J'ai peur.
- Détends-toi ! La porte est barrée et tout le monde dort. Tu vas voir, je ne ferai rien que tu n'aimeras pas.
Je m'étendis sur le dos. Alain passa sa main entre mes jambes pour me les écarter, puis il s'installa à genoux entre mes cuisses. Il se pencha au-dessus de moi et porta tranquillement ses lèvres et sa langue sur mon bas-ventre. Je sursautai un peu. Il me rassura à mi-voix, puis il se mit à lécher de façon langoureuse le sperme qui maculait mes parties génitales ainsi que mes doigts.
Je frémissais sous le souffle chaud et les caresses buccales de mon copain. Sa langue se promenait de ma taille jusqu'à mes cuisses et aucun recoin n'était épargné. Pas même mes doigts.
J'ai vite compris qu'il ne s'agissait plus du tout d'un simple nettoyage. Je n'ai pas mis longtemps à recommencer à m'exciter. Ma queue frémissait de désir. Alain ne me suçait ni ne me masturbait. Il ne faisait que lécher. Mais ses caresses étaient si précises et si délicieuses qu'il aurait très bien pu continuer toute la nuit s'il en avait été capable tellement c'était bon. C'était presque animal. On aurait dit un chien en train de laper l'eau au fond de son écuelle.
Je saisissais alors qu'il avait expérimenté avec son cousin des choses qu'il partageait maintenant avec moi. J'avais moi aussi eu quelques épisodes de « touche-pipi » avec un cousin, mais ça se résumait à de simples touchers. Rien de ce que semblait avoir vécu Alain avec le sien en tout cas.
Mes jambes tremblaient et j'avais le coeur qui voulait me sortir de la poitrine. J'essayais tant bien que mal de ralentir ma respiration car je savais que plus je m'excitais et plus je risquais de mettre un terme à nos jeux. Alain me répéta d'ailleurs à plusieurs reprises de le laisser faire et de me calmer.
Je me mordais les lèvres tellement j'éprouvais de plaisir à me sentir ainsi possédé par lui. Jamais auparavant je n'avais encore vécu de moments d'une telle intensité. La tête penché vers l'arrière, je soulevais mes fesses, mon pubis et mon sexe se hissaient vers en haut comme pour quêter la caresse de sa langue chaude et humide. Je me retenais de faire du bruit. Je ne voulais pas que l'on soit surpris et que l'on soit interrompu dans nos jeux.
Malgré toute la bonne volonté, je ne pus me retenir encore bien longtemps et j'éjaculai de nouveau le peu de sperme et de liquide séminal que j'avais encore.
Alain se hâta d'approcher sa bouche de ma bite juste au moment où je lâchais ma décharge afin d'avaler ne serait-ce que les quelques gouttes que je pouvais lui offrir. Il était vraiment gourmand. Je comprenais que mon ami avait fait ce genre de choses plus d'une fois avec son cousin ou qui sait d'autre. Son frère peut-être ? Un voisin ? Un oncle ? Qui sait.
J'étais trop exténué et surtout trop peu expérimenté pour poursuivre plus longtemps. Mais ce fut extraordinaire. Je commençais à comprendre que je n'étais pas qu'hétérosexuel mais bien bisexuel. Je savais maintenant que ce n'était pas pour rien que je peinais à contenir mon érection chaque fois que je reluquais les autres gars sous la douche.
On a nettoyé ce qui restait sur le sol. Alain et moi sommes allés nous débarbouiller sans bruit à la salle de bain et sommes revenus nous mettre au lit. Mais avant que nous dormions tous les deux, Alain prit le temps de me demander :
- Si tu veux, je vais te faire découvrir d'autres choses une autre fois. À moins que ça ne te tente vraiment pas ?
- J'ai vraiment eu très peur qu'on nous surprenne, mais j'ai hâte de recommencer. J'ai jamais eu autant de fun.
Et je me suis endormi ce soir-là la tête remplie de souvenirs agréables dans l'espoir d'autres plaisirs encore meilleurs. Ce fut un soir de grandes révélations et de grandes découvertes pour moi. J'écrirai éventuellement d'autres récits de mes expériences avec mon ami.
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