Mon amour de collègue
Récit érotique écrit par JC 65 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon amour de collègue
Cela fait un an que je travaille à la maintenance dans un groupe hôtelier. Mon collègue Flavio, c’est un beau mec, grand fin et musclé, tout m’attire chez lui, même son accent portugais et sa façon de rouler les R me fait fondre, mais il est marié et père de famille… Impossible donc d’imaginer une aventure avec lui, enfin c’est ce que je pensais jusqu’à ce jour où nous sommes partis pour une intervention dans une chambre. Un problème électrique sans gravité, mais qui nécessitait d’être deux car c’était dans le faux plafond et il fallait assurer l’échelle pour celui qui réparait. Flavio monte et passe le buste dans le faux plafond, charge à moi de lui tenir l’échelle et lui faire passer l’outillage nécessaire. «passe moi un tournevis cruciforme s’il te plaît»
J’en attrape un dans la caisse et monte deux marches sur l’échelle, mon visage est à hauteur de son entrejambe, je lui tend le tournevis, au même moment il se penche en avant et son sexe vient s’appuyer sur mes lèvres, surpris et ayant peur de le déséquilibrer je ne bronche pas.« Excuse-moi, me dit-il, j’ai du mal à accéder au boîtier. » gêné par la situation je ne réponds pas, je vois sa main apparaître et lui donne le tournevis, et il s’avance à nouveau et je me retrouve encore la bouche contre sa queue, je ne bouge toujours pas, je me cramponne à l’échelle tandis que sa queue frotte ma bouche. Il est particulièrement long à dévisser ce boîtier, en même temps je sent que son membre durcit, je pourrais descendre et faire comme si rien n’était, mais décidé à profiter de cette opportunité, je persiste à me tenir là contre lui. Il n’arrête pas de bouger de gauche à droite, il ne peut pas ignorer le contact de ma bouche contre lui, au bout de quelques minutes il s’arrête net et me dit «désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris», il est toujours à moitié dans le faux plafond et moi le visage contre son entrejambe. « Ne t’inquiète pas, c’est avec plaisir ! » au vu de son mouvement de recul, il est aussi surpris que moi de ma réponse. Je descend alors les deux marches de l’échelle tandis qu’il fait de même.«Je, je ne savais pas que tu… balbutie t-il »
« Ne t’en fais pas, ce n’était pas pour me déplaire, Dis je en comme pour essayer de le rassurer, je vois que tu as envie de quelque chose»
« C’est-à-dire, qu’en ce moment, il ne se passe plus grand-chose avec ma femme, et tu comprends, je suis un homme, j’ai des besoins… » cette phrase sonne pour moi comme un top départ: si tu as des besoins, j’ai des envies! Alors sans dire un mot, je commence à embrasser sa queue au travers de son pantalon, je n’hésite même pas à la mordiller tandis que mes mains explorent, sous son teeshirt, son ventre et ses pectoraux. Me voyant aussi enthousiaste, il ne tarde pas à ouvrir son pantalon et descendre sa braguette. Je baisse alors son caleçon et me jette avidement sur la magnifique queue qui se déploie devant moi. Je le suce frénétiquement en même temps que je le branle, je ne veux pas qu’il ait le temps de réfléchir à la situation, il est devant moi, sur son échelle, sa bite dans ma bouche comme j’en ai rêvé tant de fois. Son gland vient frapper au fond de ma gorge, de plus en plus fort, je sent qu’il ne va pas tenir longtemps à ce rythme là, je passe ma main entre ses cuisses et me met à lui caresser les couilles, et c’est à ce moment là qu’il me dit «arrête, je vais te jouir dans la bouche» Je n’ai envie que de ça, alors pour lui faire comprendre que c’est ce que je veux, je serre un peu plus fort son membre, et de l’autre main, pousse son bassin vers moi. Dans un râle il se crispe et lâche une énorme quantité de foutre en moi, j’essaye d’avaler mais il y en a trop, une seconde et une troisième débordent et s’échappent de la commissure de mes lèvres. J’adore le goût de son foutre et m’y reprends à plusieurs reprises pour tout avaler. Je continue à aspirer et lécher cette queue tant désirée jusqu’à ce qu’il ne reste plus aucune trace de ce moment. Je m’essuie les lèvres d’un revers de main en remettant sa queue dans son caleçon, l’embrasse en dessous du nombril, remonte sa braguette et referme le bouton de son pantalon. « Merci c’était super bon , me dit-il, j’espère que tu n’es pas trop gêné… » je le regarde avec un sourire malicieux et lui réponds qu’à part s’il me restait un poil sur la langue, je ne serai pas du tout gêné… le reste de la journée se passe normalement, nous partons chacun de notre côté pour faire les interventions qui tombent les unes après les autres. J’ai vraiment sucé Flavio! Cette idée m’émoustille toute la soirée, même si ça ne devait arriver qu’une fois, c’était génial de l’avoir comme ça dans ma bouche, je me gode fort en imaginant mon beau portugais entre mes cuisses. Le lendemain, j’arrive un peu en avance, un peu inquiet de voir comment mon bellâtre va réagir après les événements de la veille. Je m’installe au bureau et regarde sur l’ordinateur les demandes d’intervention à traiter. Soudain, je sent une main se poser sur mon épaule, c’est lui, je ne l’ai pas entendu arriver, il se penche derrière moi et me glisse à l’oreille « salut, tu vas bien? j’ai repensé à hier, et j’ai une surprise pour toi ! » je me retourne vers lui et vois son visage illuminé d’un grand sourire « ah bon ? Et je peux savoir quelle est cette surprise ? » « ça dépend, tu as aimé hier ?» « bien sûr ! J’ai adoré ! » alors il s’assied sur la chaise à côté de moi et ouvre son pantalon pour m’exhiber un sexe en érection et complètement rasé. Ne sachant trop quoi dire, je le prends en main et me met à le caresser, il est dur et chaud, je ne met pas longtemps à m’agenouiller entre ses jambes pour lécher ses couilles lisses et me met à le sucer tendrement . Alors que ma langue fait des va et viens le long de sa tige, il me regarde et me demande « je ne sais pas si ça te branche, mais j’ai envie de plus. » j’arrête alors ma fellation et le fixe dans les yeux « il n’y a rien, dont tu pourrais avoir envie que je ne puisse t’offrir!» et pour joindre le geste à la parole, je fais glisser son pantalon à ses pieds, ôte le mien et viens m’asseoir sur lui. Je lui roule un patin, ses mains me malaxent les fesses, il ne tarde pas à pousser sa queue contre mon petit trou, comme pour me signifier son envie d’aller jusqu’au bout. Excité, je me penche vers mon pantalon, et en extirpe un flacon de lubrifiant que j’avais emmené avec le secret espoir que ça arrive. Je dépose une noisette de gel sur ma rondelle et en badigeonne sa queue avant de la guider en moi. il rentre sans difficulté, je prends un malin plaisir à le faire entrer au plus profond de mon ventre, sa bouche ne quitte à présent plus la mienne, nos langues s’entremêlent tandis que je commence à monter et descendre le faisant coulisser en moi. Ses mains prennent mes fesses et m’imposent un rythme plus rapide et profond, sa bouche descend et me suce les tétons comme si j’étais une femelle, il baise vraiment comme un dieu!. Tout à coup, il se lève en me maintenant contre lui et m’allonge sur le bureau, les jambes sur ses épaules je deviens sa chose, son bassin vient claquer de plus en plus fort contre mes fesses, je ne contrôle plus rien alors qu’un premier orgasme me foudroie. Il remarque mon éjaculation et me dit « tu aimes vraiment ça, hein? » je ne peux rien répondre à part des gémissements. Il me retourne et me prend en levrette en me maintenant par les hanches. « Oh putain, tu as un trop bon cul », me dit-il en me baissant de plus en plus fort. Je m’accroche comme je peux alors qu’un deuxième orgasme me fait perdre pied. Ses mouvements deviennent plus saccadés et d’un coup, il lâche sa semence en moi. Nous restons comme ça, moi à plat ventre contre le bureau, lui en moi à embrasser mon dos et masser mes fesses que je presse contre lui pour profiter au maximum de ce moment. «C’était incroyable! Me dit-il, on pourra recommencer? » «à chaque fois que tu en auras envie» . Nous partons chacun de notre côté pour résoudre les pannes signalées par les réceptions des différents hôtels du groupe, nous nous croisons parfois, sac à outils sur l’épaule et échangeons des sourires malicieux. La pause de midi arrive enfin, nous nous retrouvons pour manger. Pour une fois il n’y a personne d’autre dans la salle du personnel, Flavio en face de moi commence à me poser des questions sur ma sexualité. Je lui explique ma bisexualité, mon plaisir à soulager les mecs, que ce soit dans ma bouche ou ailleurs, puis nous parlons fantasmes, lui aime le contact des bas et delà lingerie fine… je suis tellement excité qu’à peine de retour à l’atelier, je ferme à clefs la porte et me jette sur lui et l’embrasse à pleine bouche. Ma main passe sur son pantalon et visiblement il a autant envie que moi. Il m’enlève mon teeshirt, et d’un coup baisse mon pantalon et mon boxer, pour la première fois il attrape ma queue et commence à me branler en me roulant des patins. De son autre main il descend entre mes fesses, insère directement deux doigts dans mon cul. J’adore sa façon de prendre les choses en main! Il quitte ma bouche pour lécher et mordiller mes tétons durcis par le désir. Ses doigts s’agitent dans mon arrière-train, il s’accroupit devant moi et commence à me sucer, il se débrouille très bien pour une première fois, il est parfois pris de haut le cœur, mais continue quand même. Je gémis, mes jambes tremblent, c’est tellement doux. Il se relève, m’embrasse et me prend par la main pour m’entraîner vers le bureau. Il baisse son pantalon et s’assieds sur la chaise, je l’enjambe et de dos à lui viens m’empaller sur sa bite. Il me prends par les hanches et me donne d’emblée un rythme soutenu. Mes mains sur son ventre m’aident à monter et descendre en claquant bien fort mes fesses contre lui. Il ne met pas longtemps à jouir en moi, je m’allonge sur lui et caresse sa nuque pendant qu’il m’embrasse dans le cou et me branle vigoureusement. J’explose finalement dans sa main, sa queue encore plantée en moi. L’après midi j’ai l’impression d’être sur un nuage, même si j’ai du mettre du papier toilette dans mon boxer pour éponger le foutre qui coule par moments de mon trou. Je n’arrête pas de penser à notre discussion du midi, et à peine débauché, je décide d’aller faire des emplettes… à mon tour de lui faire une surprise! Le lendemain, nous nous croisons rapidement à l’atelier et alors qu’il s’apprête à m’embrasser, je l’esquive et lui dit «pas maintenant, je dois aller à la 558 pour un problème de plomberie » il reste un peu surpris pendant que je file, outils à la main. Je monte rapidement et une fois dans la chambre enlève mon teeshirt et mon pantalon, prends mon téléphone et lui envoie un message «viens me donner un coup de main, j’ai besoin de toi» , il ne faut pas longtemps pour que j’entende la porte s’ouvrir et se refermer. Il entre et reste figé lorsqu’il me trouve sur le lit, en string dentelle, bas et portes jarretelles. Le voyant ainsi désarçonné, je me lève et viens contre lui pour l’embrasser. Il me prend par les fesses pour me coller contre lui, ses mains descendent vers mes cuisses, le contact du nylon provoque en lui une érection de tous les diables que je sent contre mon bas ventre. Je lui enlève son teeshirt pendant qu’il quitte le bas tout en s’embrassant goulûment. Alors que je veux m’agenouiller pour le sucer, il me repousse violemment vers le lit. Il se jette sur moi, relève mes jambes et commence à lécher ma rondelle par dessus la dentelle. Ma main dans ses cheveux presse pour qu’il me mange plus profond. Il écarte ma lingerie et passe sa langue de mes couilles à mon cul, il a l’air d’un fou furieux, sa langue entre et sort frénétiquement, quel délice! Il finit par se relever, je me redresse et assis au bord du lit le prends en bouche. Du liquide seminal sort déjà de sa queue, me confirmant que mon étalon est super excité. Il maintient ma tête et commence à baiser ma bouche, j’ai du mal à respirer, mais j’adore ça! Il se retire enfin et me repousse à nouveau sur le lit, il s’allonge entre mes jambes et me prend d’un coup en missionnaire. J’aime beaucoup cette position, je l’embrasse et le caresse pendant qu’il me pénètre de plus en plus vite. Je jouis sous ses coups de rein, alors que je crois qu’il va faire de même, il se retire brusquement et m’ordonne de me mettre à quatre pattes. J’obéis et me cambre au maximum. « tu as vraiment un cul d’enfer, j’ai jamais baisé comme ça avec une femme» me dit il avant de rentrer en moi. Je pousse mes fesses en arrière pour qu’il me prenne le plus profondément possible. Sa queue me remplit et j’ai l’impression que mon ventre va exploser à chaque fois qu’il me pilonne. Il se déchaîne littéralement en moi m’arrachant deux puis trois orgasmes, j’ai l’impression que je vais m’évanouir. Je subis ses coups de hanches en me retenant de gueuler comme une chienne. Il finit par se lâcher et me remplit de sperme. Je suis KO, je m’effondre sur le lit tandis qu’il s’allonge contre moi. Nous restons un moment comme ça, sans rien dire, profitant de cet instant hors du temps. Nous avons travaillé pendant deux ans ensemble, profitant de nos corps à chaque occasion… mais je vous en dirai plus dans un autre récit.
J’en attrape un dans la caisse et monte deux marches sur l’échelle, mon visage est à hauteur de son entrejambe, je lui tend le tournevis, au même moment il se penche en avant et son sexe vient s’appuyer sur mes lèvres, surpris et ayant peur de le déséquilibrer je ne bronche pas.« Excuse-moi, me dit-il, j’ai du mal à accéder au boîtier. » gêné par la situation je ne réponds pas, je vois sa main apparaître et lui donne le tournevis, et il s’avance à nouveau et je me retrouve encore la bouche contre sa queue, je ne bouge toujours pas, je me cramponne à l’échelle tandis que sa queue frotte ma bouche. Il est particulièrement long à dévisser ce boîtier, en même temps je sent que son membre durcit, je pourrais descendre et faire comme si rien n’était, mais décidé à profiter de cette opportunité, je persiste à me tenir là contre lui. Il n’arrête pas de bouger de gauche à droite, il ne peut pas ignorer le contact de ma bouche contre lui, au bout de quelques minutes il s’arrête net et me dit «désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris», il est toujours à moitié dans le faux plafond et moi le visage contre son entrejambe. « Ne t’inquiète pas, c’est avec plaisir ! » au vu de son mouvement de recul, il est aussi surpris que moi de ma réponse. Je descend alors les deux marches de l’échelle tandis qu’il fait de même.«Je, je ne savais pas que tu… balbutie t-il »
« Ne t’en fais pas, ce n’était pas pour me déplaire, Dis je en comme pour essayer de le rassurer, je vois que tu as envie de quelque chose»
« C’est-à-dire, qu’en ce moment, il ne se passe plus grand-chose avec ma femme, et tu comprends, je suis un homme, j’ai des besoins… » cette phrase sonne pour moi comme un top départ: si tu as des besoins, j’ai des envies! Alors sans dire un mot, je commence à embrasser sa queue au travers de son pantalon, je n’hésite même pas à la mordiller tandis que mes mains explorent, sous son teeshirt, son ventre et ses pectoraux. Me voyant aussi enthousiaste, il ne tarde pas à ouvrir son pantalon et descendre sa braguette. Je baisse alors son caleçon et me jette avidement sur la magnifique queue qui se déploie devant moi. Je le suce frénétiquement en même temps que je le branle, je ne veux pas qu’il ait le temps de réfléchir à la situation, il est devant moi, sur son échelle, sa bite dans ma bouche comme j’en ai rêvé tant de fois. Son gland vient frapper au fond de ma gorge, de plus en plus fort, je sent qu’il ne va pas tenir longtemps à ce rythme là, je passe ma main entre ses cuisses et me met à lui caresser les couilles, et c’est à ce moment là qu’il me dit «arrête, je vais te jouir dans la bouche» Je n’ai envie que de ça, alors pour lui faire comprendre que c’est ce que je veux, je serre un peu plus fort son membre, et de l’autre main, pousse son bassin vers moi. Dans un râle il se crispe et lâche une énorme quantité de foutre en moi, j’essaye d’avaler mais il y en a trop, une seconde et une troisième débordent et s’échappent de la commissure de mes lèvres. J’adore le goût de son foutre et m’y reprends à plusieurs reprises pour tout avaler. Je continue à aspirer et lécher cette queue tant désirée jusqu’à ce qu’il ne reste plus aucune trace de ce moment. Je m’essuie les lèvres d’un revers de main en remettant sa queue dans son caleçon, l’embrasse en dessous du nombril, remonte sa braguette et referme le bouton de son pantalon. « Merci c’était super bon , me dit-il, j’espère que tu n’es pas trop gêné… » je le regarde avec un sourire malicieux et lui réponds qu’à part s’il me restait un poil sur la langue, je ne serai pas du tout gêné… le reste de la journée se passe normalement, nous partons chacun de notre côté pour faire les interventions qui tombent les unes après les autres. J’ai vraiment sucé Flavio! Cette idée m’émoustille toute la soirée, même si ça ne devait arriver qu’une fois, c’était génial de l’avoir comme ça dans ma bouche, je me gode fort en imaginant mon beau portugais entre mes cuisses. Le lendemain, j’arrive un peu en avance, un peu inquiet de voir comment mon bellâtre va réagir après les événements de la veille. Je m’installe au bureau et regarde sur l’ordinateur les demandes d’intervention à traiter. Soudain, je sent une main se poser sur mon épaule, c’est lui, je ne l’ai pas entendu arriver, il se penche derrière moi et me glisse à l’oreille « salut, tu vas bien? j’ai repensé à hier, et j’ai une surprise pour toi ! » je me retourne vers lui et vois son visage illuminé d’un grand sourire « ah bon ? Et je peux savoir quelle est cette surprise ? » « ça dépend, tu as aimé hier ?» « bien sûr ! J’ai adoré ! » alors il s’assied sur la chaise à côté de moi et ouvre son pantalon pour m’exhiber un sexe en érection et complètement rasé. Ne sachant trop quoi dire, je le prends en main et me met à le caresser, il est dur et chaud, je ne met pas longtemps à m’agenouiller entre ses jambes pour lécher ses couilles lisses et me met à le sucer tendrement . Alors que ma langue fait des va et viens le long de sa tige, il me regarde et me demande « je ne sais pas si ça te branche, mais j’ai envie de plus. » j’arrête alors ma fellation et le fixe dans les yeux « il n’y a rien, dont tu pourrais avoir envie que je ne puisse t’offrir!» et pour joindre le geste à la parole, je fais glisser son pantalon à ses pieds, ôte le mien et viens m’asseoir sur lui. Je lui roule un patin, ses mains me malaxent les fesses, il ne tarde pas à pousser sa queue contre mon petit trou, comme pour me signifier son envie d’aller jusqu’au bout. Excité, je me penche vers mon pantalon, et en extirpe un flacon de lubrifiant que j’avais emmené avec le secret espoir que ça arrive. Je dépose une noisette de gel sur ma rondelle et en badigeonne sa queue avant de la guider en moi. il rentre sans difficulté, je prends un malin plaisir à le faire entrer au plus profond de mon ventre, sa bouche ne quitte à présent plus la mienne, nos langues s’entremêlent tandis que je commence à monter et descendre le faisant coulisser en moi. Ses mains prennent mes fesses et m’imposent un rythme plus rapide et profond, sa bouche descend et me suce les tétons comme si j’étais une femelle, il baise vraiment comme un dieu!. Tout à coup, il se lève en me maintenant contre lui et m’allonge sur le bureau, les jambes sur ses épaules je deviens sa chose, son bassin vient claquer de plus en plus fort contre mes fesses, je ne contrôle plus rien alors qu’un premier orgasme me foudroie. Il remarque mon éjaculation et me dit « tu aimes vraiment ça, hein? » je ne peux rien répondre à part des gémissements. Il me retourne et me prend en levrette en me maintenant par les hanches. « Oh putain, tu as un trop bon cul », me dit-il en me baissant de plus en plus fort. Je m’accroche comme je peux alors qu’un deuxième orgasme me fait perdre pied. Ses mouvements deviennent plus saccadés et d’un coup, il lâche sa semence en moi. Nous restons comme ça, moi à plat ventre contre le bureau, lui en moi à embrasser mon dos et masser mes fesses que je presse contre lui pour profiter au maximum de ce moment. «C’était incroyable! Me dit-il, on pourra recommencer? » «à chaque fois que tu en auras envie» . Nous partons chacun de notre côté pour résoudre les pannes signalées par les réceptions des différents hôtels du groupe, nous nous croisons parfois, sac à outils sur l’épaule et échangeons des sourires malicieux. La pause de midi arrive enfin, nous nous retrouvons pour manger. Pour une fois il n’y a personne d’autre dans la salle du personnel, Flavio en face de moi commence à me poser des questions sur ma sexualité. Je lui explique ma bisexualité, mon plaisir à soulager les mecs, que ce soit dans ma bouche ou ailleurs, puis nous parlons fantasmes, lui aime le contact des bas et delà lingerie fine… je suis tellement excité qu’à peine de retour à l’atelier, je ferme à clefs la porte et me jette sur lui et l’embrasse à pleine bouche. Ma main passe sur son pantalon et visiblement il a autant envie que moi. Il m’enlève mon teeshirt, et d’un coup baisse mon pantalon et mon boxer, pour la première fois il attrape ma queue et commence à me branler en me roulant des patins. De son autre main il descend entre mes fesses, insère directement deux doigts dans mon cul. J’adore sa façon de prendre les choses en main! Il quitte ma bouche pour lécher et mordiller mes tétons durcis par le désir. Ses doigts s’agitent dans mon arrière-train, il s’accroupit devant moi et commence à me sucer, il se débrouille très bien pour une première fois, il est parfois pris de haut le cœur, mais continue quand même. Je gémis, mes jambes tremblent, c’est tellement doux. Il se relève, m’embrasse et me prend par la main pour m’entraîner vers le bureau. Il baisse son pantalon et s’assieds sur la chaise, je l’enjambe et de dos à lui viens m’empaller sur sa bite. Il me prends par les hanches et me donne d’emblée un rythme soutenu. Mes mains sur son ventre m’aident à monter et descendre en claquant bien fort mes fesses contre lui. Il ne met pas longtemps à jouir en moi, je m’allonge sur lui et caresse sa nuque pendant qu’il m’embrasse dans le cou et me branle vigoureusement. J’explose finalement dans sa main, sa queue encore plantée en moi. L’après midi j’ai l’impression d’être sur un nuage, même si j’ai du mettre du papier toilette dans mon boxer pour éponger le foutre qui coule par moments de mon trou. Je n’arrête pas de penser à notre discussion du midi, et à peine débauché, je décide d’aller faire des emplettes… à mon tour de lui faire une surprise! Le lendemain, nous nous croisons rapidement à l’atelier et alors qu’il s’apprête à m’embrasser, je l’esquive et lui dit «pas maintenant, je dois aller à la 558 pour un problème de plomberie » il reste un peu surpris pendant que je file, outils à la main. Je monte rapidement et une fois dans la chambre enlève mon teeshirt et mon pantalon, prends mon téléphone et lui envoie un message «viens me donner un coup de main, j’ai besoin de toi» , il ne faut pas longtemps pour que j’entende la porte s’ouvrir et se refermer. Il entre et reste figé lorsqu’il me trouve sur le lit, en string dentelle, bas et portes jarretelles. Le voyant ainsi désarçonné, je me lève et viens contre lui pour l’embrasser. Il me prend par les fesses pour me coller contre lui, ses mains descendent vers mes cuisses, le contact du nylon provoque en lui une érection de tous les diables que je sent contre mon bas ventre. Je lui enlève son teeshirt pendant qu’il quitte le bas tout en s’embrassant goulûment. Alors que je veux m’agenouiller pour le sucer, il me repousse violemment vers le lit. Il se jette sur moi, relève mes jambes et commence à lécher ma rondelle par dessus la dentelle. Ma main dans ses cheveux presse pour qu’il me mange plus profond. Il écarte ma lingerie et passe sa langue de mes couilles à mon cul, il a l’air d’un fou furieux, sa langue entre et sort frénétiquement, quel délice! Il finit par se relever, je me redresse et assis au bord du lit le prends en bouche. Du liquide seminal sort déjà de sa queue, me confirmant que mon étalon est super excité. Il maintient ma tête et commence à baiser ma bouche, j’ai du mal à respirer, mais j’adore ça! Il se retire enfin et me repousse à nouveau sur le lit, il s’allonge entre mes jambes et me prend d’un coup en missionnaire. J’aime beaucoup cette position, je l’embrasse et le caresse pendant qu’il me pénètre de plus en plus vite. Je jouis sous ses coups de rein, alors que je crois qu’il va faire de même, il se retire brusquement et m’ordonne de me mettre à quatre pattes. J’obéis et me cambre au maximum. « tu as vraiment un cul d’enfer, j’ai jamais baisé comme ça avec une femme» me dit il avant de rentrer en moi. Je pousse mes fesses en arrière pour qu’il me prenne le plus profondément possible. Sa queue me remplit et j’ai l’impression que mon ventre va exploser à chaque fois qu’il me pilonne. Il se déchaîne littéralement en moi m’arrachant deux puis trois orgasmes, j’ai l’impression que je vais m’évanouir. Je subis ses coups de hanches en me retenant de gueuler comme une chienne. Il finit par se lâcher et me remplit de sperme. Je suis KO, je m’effondre sur le lit tandis qu’il s’allonge contre moi. Nous restons un moment comme ça, sans rien dire, profitant de cet instant hors du temps. Nous avons travaillé pendant deux ans ensemble, profitant de nos corps à chaque occasion… mais je vous en dirai plus dans un autre récit.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hummm
J’ai déjà fait venir la maintenance dans un hôtel mais il ne s’est rien passé. Je les regarderai différemment la prochaine fois !!
Phil
J’ai déjà fait venir la maintenance dans un hôtel mais il ne s’est rien passé. Je les regarderai différemment la prochaine fois !!
Phil