Mon amour pour la combinaison de plongée
Récit érotique écrit par Jon-Jon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2021 dans la catégorie Fétichisme
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Mon amour pour la combinaison de plongée
Mon amour pour la combinaison de plongée
Ce soir, j’étais toute seule, mon copain passait la soirée et la nuit chez un pote. C’était la grosse fête et il voulait que je vienne. Je lui répondis que j’avais une migraine et cela l’avait convaincu, il était parti seul chez son pote.
J’avais envie de me faire plaisir en solitaire. Je commençais par fermer les volets et la porte, c’était pour être tranquille.
Une fois que j’étais sûre que personne ne pouvait me déranger, j’allais dans ma chambre. Planqué dans ma penderie, se trouvait une boîte à chaussure. Évidemment, ce n’était pas une paire de chaussures qui se trouvait à l’intérieur, mais bien une combinaison de plongée.
La semaine dernière, quand je l’avais essayée en magasin, la combinaison m’avait procuré tellement de plaisir que je l’avais acheté sans hésiter.
Je suis une très fan de tenue moulante, c’était pour ça que vous verrez toujours un collant sous mes jupes.
Je me déshabillais rapidement, je plaçais un œuf vibrant dans mon sexe glabre. Et je finis par me vêtir de la combinaison en néoprène, elle était difficile à mettre. J’avais pris exprès une taille inférieure pour que ça soit très ajusté.
Pourquoi ai-je pris une taille inférieure?
Je n’abandonne pas. Après une trentaine de minutes, j’ai réussi à zipper ma combinaison. Je ne vais pas l’enlever de sitôt. Je suis tout excitée de sentir la combinaison sur ma peau. Certes, j’étais peu sexy avec, mais peu importe, j’étais toute seule. Ma faible poitrine, que j’avais, fut bridée encore plus.
Bordel, comment je me sens bien à l’intérieur !
J’allumais mon téléphone et me connectais à mon œuf. Je commençais par des vibrations lentes et galantes. J’avais le sourire aux lèvres, c’était trop bon ! Cela me faisait de petites caresses comme si j’avais mon doigt qui faisait des cercles sur ma vulve.
Je me dirigeais vers ma cuisine, je voulais manger tôt ce soir-là pour avoir le temps de m’amuser.
Je pris une casserole et j’allume le robinet. Très vite, mes esprits s’envolaient vers de la rêverie. Je fermais les yeux un instant. Avec ma main gauche me touchait l’entrejambe, je poussais l’œuf vers l’intérieur de mon sexe. Je gémis pour la première fois, comme si je recevais un très bon massage.
Une fois les yeux ouverts, l’eau débordée de la casserole. Je coupais l’eau.
Faire la cuisine avec un œuf vibrant n’est pas une chose aisée, croyez-moi !
Je déposais la casserole sur le feu et j’observais l’eau immobile.
J’attrapai mon téléphone et j’augmentais doucement les vibrations, elles étaient toujours calmes, mais un peu plus soutenues. Je pinçais mes seins à travers du néoprène. Mais cela ne faisait pas le résultat voulu.
Je versais les pâtes dans l’eau bouillante. Et je les remuais un peu. Je sentais les vibrations dans mon sexe, c’était très agréable, mais je faisais la cuisine. C’était frustrant de ne pas se laisser emporter par son plaisir.
Je suis le genre de fille à être impatiente dans le sexe, je veux jouir rapidement. En ce moment, mon sexe devait être bien mouillé, ma chatte était bien mouillée.
J’essorais les pattes dans un gémissement incontrôlable.
Je saisis une assiette et je mis toutes les pattes à l’intérieur. En serrant, je sentis l’œuf bouger dans mon sexe, ce qui me fit gémir de plaisir. J’avais l’impression qu’il se glissait comme une luge sur de la neige.
Je mangeais lentement, pour éviter de m’étouffer. Avec mes gémissements involontaires, j’avais peur de m’étrangler. Toute cette excitation me donna chaud. Des gouttes de sueur perlèrent sur mon front et d’autres ruisselaient dans ma poitrine. Je bus de l’eau pour me rafraîchir.
Le repas finit, je pus m’installer sur le canapé et m’amuser avec l’intensité de l’œuf. J’allumais la télévision pour regarder une série, rien d’érotique. C’était pour avoir une distraction visuelle.
Les vibrations étaient maintenant en forme de S, des fois c’était fort, des fois faible. Je gémissais sans retenue. Ma main s’empressait de caresser mon entrejambe à travers du néoprène.
Quelle idée de porter une combinaison de plongée ? On a chaud, ça colle, on transpire.
Je m’en fichais de tout ça, ce qui comptait, c’était mon plaisir solitaire. Les vibrations paraissaient aléatoires à présent, par moments, c’était violent, par d’autres moments, c’était faible, des fois plus rien pendant de longues secondes.
J’appréciais beaucoup ce mode aléatoire, car je n’avais plus le contrôle sur les vibrations.
Mon orgasme arriva en début de soirée vers 22 h 30, il fut bref, mais intense. Là, par tristesse, l’œuf tombait en rade de batterie. Plus aucune vibration. C’était le moment d’arrêter et de continuer à la main. Pour cela, il faut enlever ma combinaison, ce qui semblait une chose compliquée. Ce qui était encore plus embêtant était que ma vessie se remplissait de manière fulgurante.
J’attrapai le fil qui retenait le zip, je le tirai vers le bas. Le zip semblait bloqué, il ne pouvait pas bouger d’un centimètre. Je tirais plusieurs fois sur le fil, mais celui-ci se cassa.
Merde ! Mes mains n’arrivaient pas à atteindre le zip sur mon dos. Ma vessie semblait pleine. Je me dirige vers la baignoire dans la salle de bain.
De l’urine chaude coula sur mes cuisses, la sensation fut à la désagréable et excitante. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu un accident de ce type. La pisse s’écoula lentement et dégagea une forte odeur.
Après de longues minutes, ils restaient encore de l’urine sur mes cuisses bloquées dans ma combinaison. Je me douchais pour enlever toute cette odeur infecte.
L’eau chaude pénétra à l’intérieur à ma combinaison ce qui me procurait un plaisir fou. Elle caressa mon entrejambe au passage ce qui me raviva mon excitation. J’essayais tant bien que mal d’insérer le pommeau à l’intérieur de mon vêtement. Mais cela ne marchait pas bien. J’étais propre et je me séchais avec une serviette. J’essayais de retirer ma tenue, je m’aidais avec le rebord de la commode, mais le zip resta immobile.
Je me sentais idiote de rester coincée dans une combinaison de plongée. Mon copain allait se moquer en me voyant, c’était sûr ! Le plus cocasse, c’était que j’avais un œuf vibrant sans batterie dans mon sexe. Comment vais-je pour la retirer ? pensais-je.
Je n’avais pas de solution, je devais attendre mon copain pour m’aider.
La nuit risque d’être longue, me dis-je.
La combinaison était insupportable à porter, elle serrait mon corps, j’avais du mal à respirer. Je transpirais beaucoup à l’intérieur. Comment vais-je faire pour passer la nuit ?
Je me dirige vers ma chambre et j’allonge sur le lit. Pas besoin de couverture, j’avais tellement chaud. Mes yeux se fermaient, et j’essayais de dormir. Mais ma vessie se remplit de nouveau. Il devait être deux heures du matin quand je me levais pour uriner dans la baignoire.
Après m’être douchée et séchée, je retournai au lit. La nuit fut longue, je me réveillais toutes les deux heures.
À huit heures, j’étais épuisée par la fatigue et je n’avais qu’une envie que mon copain rentre le plus vite possible. Je l’appelais sur son téléphone portable, mais je tombais directement sur sa messagerie. Il devait avoir plus de batteries. J’attachais mes cheveux pleins de sueurs. J’essayais de m’assoupir, mais cela ne marchait pas. Je sors du lit et je me dirigeais vers la cuisine pour prendre le petit-déjeuner.
À neuf et demi, j’essayais de nouveau d’appeler mon copain, mais aucune réponse. Quand soudain, la porte de l’entrée s’ouvrit. C’était évidemment mon copain. Ses pas se rapprochaient de la cuisine, mon cœur s’accéléra comme si j’avais fait une bêtise. Il passa la porte de la cuisine et il me contempla comme si j’étais une statue antique.
— j’ignorais que tu étais fétichiste de combinaison de plongée, elle te va à merveille.
— Tu veux venir m’aider à l’enlever, s’il te plaît.
Il explosa de rire.
— Petite coquine ! Heureusement pour toi, que mon téléphone est HS, car j’aimerais beaucoup te prendre en photo, approche.
Je me dirige vers lui, et il passa sa main sur mon épaule puis sur mon dos. Il défie le zip aussi facilement que dire bonjour. Mon copain remarqua que j’étais nue sous ma combinaison. Il commença à embrasser sur mes seins.
— Tu es si sexy !
— Merci beaucoup.
J’enlevais le bas de ma combinaison. Mon copain fut étonné de voir un objet sexuel dans ma chatte.
— Toi tu sais comment m’exciter, tu l’as fait exprès, non ?
Je ne répondis pas, j’étais toute nue et ce qu’il comptait. On fit l’amour avec mon copain et je me fis la promesse de ne plus jamais porter de combinaison de plongée pour me faire plaisir.
Ce soir, j’étais toute seule, mon copain passait la soirée et la nuit chez un pote. C’était la grosse fête et il voulait que je vienne. Je lui répondis que j’avais une migraine et cela l’avait convaincu, il était parti seul chez son pote.
J’avais envie de me faire plaisir en solitaire. Je commençais par fermer les volets et la porte, c’était pour être tranquille.
Une fois que j’étais sûre que personne ne pouvait me déranger, j’allais dans ma chambre. Planqué dans ma penderie, se trouvait une boîte à chaussure. Évidemment, ce n’était pas une paire de chaussures qui se trouvait à l’intérieur, mais bien une combinaison de plongée.
La semaine dernière, quand je l’avais essayée en magasin, la combinaison m’avait procuré tellement de plaisir que je l’avais acheté sans hésiter.
Je suis une très fan de tenue moulante, c’était pour ça que vous verrez toujours un collant sous mes jupes.
Je me déshabillais rapidement, je plaçais un œuf vibrant dans mon sexe glabre. Et je finis par me vêtir de la combinaison en néoprène, elle était difficile à mettre. J’avais pris exprès une taille inférieure pour que ça soit très ajusté.
Pourquoi ai-je pris une taille inférieure?
Je n’abandonne pas. Après une trentaine de minutes, j’ai réussi à zipper ma combinaison. Je ne vais pas l’enlever de sitôt. Je suis tout excitée de sentir la combinaison sur ma peau. Certes, j’étais peu sexy avec, mais peu importe, j’étais toute seule. Ma faible poitrine, que j’avais, fut bridée encore plus.
Bordel, comment je me sens bien à l’intérieur !
J’allumais mon téléphone et me connectais à mon œuf. Je commençais par des vibrations lentes et galantes. J’avais le sourire aux lèvres, c’était trop bon ! Cela me faisait de petites caresses comme si j’avais mon doigt qui faisait des cercles sur ma vulve.
Je me dirigeais vers ma cuisine, je voulais manger tôt ce soir-là pour avoir le temps de m’amuser.
Je pris une casserole et j’allume le robinet. Très vite, mes esprits s’envolaient vers de la rêverie. Je fermais les yeux un instant. Avec ma main gauche me touchait l’entrejambe, je poussais l’œuf vers l’intérieur de mon sexe. Je gémis pour la première fois, comme si je recevais un très bon massage.
Une fois les yeux ouverts, l’eau débordée de la casserole. Je coupais l’eau.
Faire la cuisine avec un œuf vibrant n’est pas une chose aisée, croyez-moi !
Je déposais la casserole sur le feu et j’observais l’eau immobile.
J’attrapai mon téléphone et j’augmentais doucement les vibrations, elles étaient toujours calmes, mais un peu plus soutenues. Je pinçais mes seins à travers du néoprène. Mais cela ne faisait pas le résultat voulu.
Je versais les pâtes dans l’eau bouillante. Et je les remuais un peu. Je sentais les vibrations dans mon sexe, c’était très agréable, mais je faisais la cuisine. C’était frustrant de ne pas se laisser emporter par son plaisir.
Je suis le genre de fille à être impatiente dans le sexe, je veux jouir rapidement. En ce moment, mon sexe devait être bien mouillé, ma chatte était bien mouillée.
J’essorais les pattes dans un gémissement incontrôlable.
Je saisis une assiette et je mis toutes les pattes à l’intérieur. En serrant, je sentis l’œuf bouger dans mon sexe, ce qui me fit gémir de plaisir. J’avais l’impression qu’il se glissait comme une luge sur de la neige.
Je mangeais lentement, pour éviter de m’étouffer. Avec mes gémissements involontaires, j’avais peur de m’étrangler. Toute cette excitation me donna chaud. Des gouttes de sueur perlèrent sur mon front et d’autres ruisselaient dans ma poitrine. Je bus de l’eau pour me rafraîchir.
Le repas finit, je pus m’installer sur le canapé et m’amuser avec l’intensité de l’œuf. J’allumais la télévision pour regarder une série, rien d’érotique. C’était pour avoir une distraction visuelle.
Les vibrations étaient maintenant en forme de S, des fois c’était fort, des fois faible. Je gémissais sans retenue. Ma main s’empressait de caresser mon entrejambe à travers du néoprène.
Quelle idée de porter une combinaison de plongée ? On a chaud, ça colle, on transpire.
Je m’en fichais de tout ça, ce qui comptait, c’était mon plaisir solitaire. Les vibrations paraissaient aléatoires à présent, par moments, c’était violent, par d’autres moments, c’était faible, des fois plus rien pendant de longues secondes.
J’appréciais beaucoup ce mode aléatoire, car je n’avais plus le contrôle sur les vibrations.
Mon orgasme arriva en début de soirée vers 22 h 30, il fut bref, mais intense. Là, par tristesse, l’œuf tombait en rade de batterie. Plus aucune vibration. C’était le moment d’arrêter et de continuer à la main. Pour cela, il faut enlever ma combinaison, ce qui semblait une chose compliquée. Ce qui était encore plus embêtant était que ma vessie se remplissait de manière fulgurante.
J’attrapai le fil qui retenait le zip, je le tirai vers le bas. Le zip semblait bloqué, il ne pouvait pas bouger d’un centimètre. Je tirais plusieurs fois sur le fil, mais celui-ci se cassa.
Merde ! Mes mains n’arrivaient pas à atteindre le zip sur mon dos. Ma vessie semblait pleine. Je me dirige vers la baignoire dans la salle de bain.
De l’urine chaude coula sur mes cuisses, la sensation fut à la désagréable et excitante. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu un accident de ce type. La pisse s’écoula lentement et dégagea une forte odeur.
Après de longues minutes, ils restaient encore de l’urine sur mes cuisses bloquées dans ma combinaison. Je me douchais pour enlever toute cette odeur infecte.
L’eau chaude pénétra à l’intérieur à ma combinaison ce qui me procurait un plaisir fou. Elle caressa mon entrejambe au passage ce qui me raviva mon excitation. J’essayais tant bien que mal d’insérer le pommeau à l’intérieur de mon vêtement. Mais cela ne marchait pas bien. J’étais propre et je me séchais avec une serviette. J’essayais de retirer ma tenue, je m’aidais avec le rebord de la commode, mais le zip resta immobile.
Je me sentais idiote de rester coincée dans une combinaison de plongée. Mon copain allait se moquer en me voyant, c’était sûr ! Le plus cocasse, c’était que j’avais un œuf vibrant sans batterie dans mon sexe. Comment vais-je pour la retirer ? pensais-je.
Je n’avais pas de solution, je devais attendre mon copain pour m’aider.
La nuit risque d’être longue, me dis-je.
La combinaison était insupportable à porter, elle serrait mon corps, j’avais du mal à respirer. Je transpirais beaucoup à l’intérieur. Comment vais-je faire pour passer la nuit ?
Je me dirige vers ma chambre et j’allonge sur le lit. Pas besoin de couverture, j’avais tellement chaud. Mes yeux se fermaient, et j’essayais de dormir. Mais ma vessie se remplit de nouveau. Il devait être deux heures du matin quand je me levais pour uriner dans la baignoire.
Après m’être douchée et séchée, je retournai au lit. La nuit fut longue, je me réveillais toutes les deux heures.
À huit heures, j’étais épuisée par la fatigue et je n’avais qu’une envie que mon copain rentre le plus vite possible. Je l’appelais sur son téléphone portable, mais je tombais directement sur sa messagerie. Il devait avoir plus de batteries. J’attachais mes cheveux pleins de sueurs. J’essayais de m’assoupir, mais cela ne marchait pas. Je sors du lit et je me dirigeais vers la cuisine pour prendre le petit-déjeuner.
À neuf et demi, j’essayais de nouveau d’appeler mon copain, mais aucune réponse. Quand soudain, la porte de l’entrée s’ouvrit. C’était évidemment mon copain. Ses pas se rapprochaient de la cuisine, mon cœur s’accéléra comme si j’avais fait une bêtise. Il passa la porte de la cuisine et il me contempla comme si j’étais une statue antique.
— j’ignorais que tu étais fétichiste de combinaison de plongée, elle te va à merveille.
— Tu veux venir m’aider à l’enlever, s’il te plaît.
Il explosa de rire.
— Petite coquine ! Heureusement pour toi, que mon téléphone est HS, car j’aimerais beaucoup te prendre en photo, approche.
Je me dirige vers lui, et il passa sa main sur mon épaule puis sur mon dos. Il défie le zip aussi facilement que dire bonjour. Mon copain remarqua que j’étais nue sous ma combinaison. Il commença à embrasser sur mes seins.
— Tu es si sexy !
— Merci beaucoup.
J’enlevais le bas de ma combinaison. Mon copain fut étonné de voir un objet sexuel dans ma chatte.
— Toi tu sais comment m’exciter, tu l’as fait exprès, non ?
Je ne répondis pas, j’étais toute nue et ce qu’il comptait. On fit l’amour avec mon copain et je me fis la promesse de ne plus jamais porter de combinaison de plongée pour me faire plaisir.
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