Mon apprentissage-7
Récit érotique écrit par Bigou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon apprentissage-7
La cohabitation avec Jacques se passait bien. Il savait maintenant que je rencontrais aussi de riches femmes matures plutôt reconnaissantes. Il nous arrivait de passer des soirées ensemble. Nous apprécions ces périodes de repos pendant lesquelles nous pouvions récupérer.
Un jeudi soir, alors que nous étions ensemble, je sentis qu’il était perturbé et que cela n’allait pas. Je l’interrogeais. Il était très embêté car il avait un rendez-vous avec une riche « cliente » qui utilisait ses services. Elle était de passage à Monaco pour le week-end et souhaitait qu’il l’accompagne à une soirée privée. Ses parents ayant eu un accident, il devait accompagner son oncle samedi à Paris pour les voir.
Il tenait beaucoup à son amie Mary, une veuve de 60 ans, très riche, plutôt bien conservée, qui s’était montrée toujours généreuse avec lui. Il ne voulait pas la perdre, car elle était capable de le remplacer.
Je lui proposais de prendre sa place. Physiquement nous nous ressemblions beaucoup : même âge, même taille, même carrure. Il n’y avait pas d’autre solution. Il lui téléphona et elle nous demanda de passer la voir tous les deux, le lendemain après-midi. Jacques obtint de son oncle l’autorisation pour nous deux de s’absenter pour une demi-journée.
Nous arrivâmes à Monaco. Elle résidait chez une amie américaine vivant sur le rocher, Margaret. Mary vint nous ouvrir. Elle étant grande, bien en chair, très bien conservée. Elle portait une superbe robe bleue qui soulignait ses formes. Elle avait une belle poitrine, lourde que soulignait un décolleté profond.
En voyant jacques, elle se précipita sur lui et ils échangèrent un baiser passionné. Elle parlait très bien le français avec un léger accent américain. Nous nous assîmes dans le salon. La robe de Mary remontait très haut sur ses cuisses et elle ne faisait aucun effort pour l’en empêcher. Jacques avait posé une main sur sa cuisse et la caressait, marquant ainsi sa qualité de « propriétaire ». Mary m’avait demandé de venir en tenue de soirée. Elle m’inspecta sous toutes les coutures, me posa un tas de question. Visiblement je faisais l’affaire. Elle accepta que je sois son cavalier pour le reste du week-end.
Elle me demanda de mettre nu, pour voir comme elle le disait ses futurs joujoux. Je m’exécutais. Comme Jacques et moi nous nous ressemblions beaucoup, elle paru satisfaite. Elle s’approcha de moi et en m’embrassant elle pris mon sexe au repos dans sa main pour le caresser. Le résultat ne se fit pas attendre. Je bandais et ma verge se dressait victorieusement. Jacques, sans doute un peu jaloux se déshabilla et vint se placer à côté de moi. Mary se recula pour regarder ces deux jeunes mâles vigoureux. Jacques avait une queue un peu plus épaisse et plus courte. Elle se mit toute nue. Ses gros seins pendait un petit peu mais se tenaient encore. Ses fesses musclées montraient qu’elle entretenait son corps. Son sexe était épilé. Elle avait un petit ventre rond. Pour une femme de 60 ans elle était superbe et ne faisait pas son âge.
Elle nous prit par la queue et nous entraina dans sa chambre. Elle nous allongea côte à côte et se mit à nous sucer alternativement. Elle était gorge profonde. Nous nous enfoncions dans sa bouche jusqu’à ce que ses lèvres touchent notre pubis. Elle était vraiment une experte en fellations qu’elle avait dû beaucoup pratiquer. Jacques se dégagea, se mit derrière elle, la pénétra brutalement et commença à la baiser sauvagement. Elle avait du mal sous ses coups de boutoir à conserver ma queue dans sa bouche. Jacques s’occupait de ses seins tout en la besognant. Elle aimait visiblement cette chevauchée brutale. . Quittant mon sexe elle se redressa et se mit à jouir en criant son plaisir. Elle était superbe. Je lui caressais les seins, pinçant et étirant ses tétons. Jacques dans un grand cri se déversa en elle. Sentant les jets de sperme frapper sa matrice, elle jouit une deuxième fois.
Nous échangeâmes nos places. J’en profitais pour lui explorer le cul, utilisant le sperme de Jacques comme lubrifiant. Elle était bien ouverte montrant que cette voie était souvent utilisée. Je plaçais son sexe sur la bouche de Jacques et présentais mon sexe sur sa rondelle. La pénétration fût rapide et aisée. Je la besognais, allait et venait dans son cul. Je sentais la bouche de Jacques qui s’occupait de son sexe déraper quelquefois et me lécher les couilles. Elle gémissait, poussait des petits cris. Sentant ma sève monter, je saisis ses seins et m’écroulait contre elle, me vidant dans son cul.
Jacques avait repris des forces. Il la mit sur le dos. Relevant et s’appuyant sur les jambes de Mery, il pris ma place et commença à la sodomiser. Pendant que Jacques s’activais, je l’embrassais, la caressais. Elle avait un clitoris proéminent, comme un petit sexe. Il était irrité par le traitement que lui avait fait subir Jacques et dès que je le touchais elle avait des soubresauts montrant sa sensibilité.
Sous nos assauts conjugués, ses gémissements devinrent de plus en plus forts. Sa tête se balançait de droite à gauche. Jacques accélérant ses mouvements, dans un grand cri, se répandit en elle. Elle semblait complètement KO, évanouie. Les petits gémissements qui sortaient de sa bouche montraient qu’il en était rien. Je mis sa tête sur mes genoux et lui caressait les cheveux. Jacques lui s’occupait de ses fesses, de ses seins. Du sperme coulait de son cul qui avait du mal à se refermer. Son sexe était rouge à force d’avoir été forcé, léché, sucé. Elle sentit sur sa joue mon sexe qui avait repris vigueur. Elle me prit en bouche. Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour exploser. Elle avala le tout puis elle m’embrassa. J’avais le goût de mon sperme dans la bouche.
Nous nous rhabillâmes après avoir pris une douche. Au moment de partir je fis la connaissance de Margaret, l’amie de Mary, petite femme pétillante du même âge. Autant Mary était plantureuse et avec des formes appétissantes, autant Margaret paraissait fragile. Elle avait les cheveux très courts, des petits seins. Elle m embrassa en me disant à demain car il était prévu qu’elle vienne avec nous.
Nous reprîmes la route. Jacques était soulagé que cela se soit passé ainsi. Il me montra l’enveloppe que lui avait remis Mary qui contenait une jolie somme qu’il partagea avec moi.
Le lendemain vers 19h00 je me présentais à l’appartement. Margaret vint m’ouvrir. Toutes les deux étaient superbes. Mary avait une robe fourreau très décolletée qui mettait ses formes plantureuses en valeur. Margaret portait une robe longue noire, très échancrée sur le côté qui laissait parfois entrevoir le haut d’un bas. Un magnifique boléro brodé complétait sa tenue. Nous nous embrassâmes comme de vieux amis.
Une Mercedes avec chauffeur nous attendait dehors. J’étais assis entre les deux femmes qui avaient posé une main sur mes jambes. Mary me caressait doucement la cuisse. On arriva dans une belle propriété toute illuminée. La vue sur le port était magnifique. Nous étions une cinquantaine de personnes plutôt d’âge mur. Trois couples de jeunes étaient présents. Deux femmes d’une cinquantaine d’années étaient accompagnées de jeunes de mon âge. Nos hôtes étaient un couple d’allemands vivants la moitié de l’année à Monaco. Lui très bel homme distinguée, elle très grande, plantureuse, blonde et très belle. Il formait un très joli couple. Une grande complicité les liait visiblement à Mary. En se promenant les deux femmes se tenaient par la taille. Je les observais en tenant compagnie à Margaret qui me fît des confidences. Elle était mariée et voyait très peu son mari qui voyageait autour du monde pour ses affaires. Elle ne voulait pas divorcer car ils avaient beaucoup d’affaires en communs. Mary et elle ne se cachaient rien. Elle lui avait raconté notre séance avec Jacques et elle avait apprécié notre prestation. Elle aussi faisait appel à des jeunes gens vigoureux qui disait-elle, en plus d’être beaux, la comblait. Cela lui évitait de prendre un amant qui était disait-elle source de complication. Jacques était un de ses favoris. Elle l’avait présenté à Mary qui le faisait venir quand elle séjournait à Monaco, trop rarement pour elle à Margaret. Nous nous étions un peu éloignés de la foule. Nous nous assîmes sur un banc face à la mer. Elle m’avait pris la main et l’avait placé sur sa cuisse, là où l’échancrure de sa robe permettait d’apercevoir le haut de ses bas. Guidant ma main elle la plaça plus haut. Ses cuisses étaient légèrement ouvertes. Elle ne portait pas de culotte et son sexe était directement accessible. Elle se leva pour me faciliter la tâche. Les invités ne pouvaient pas voir ce que faisait ma main. Mes doigts la pénétrèrent, caressèrent son clitoris. Elle était trempée. Me servant de sa mouille, j’explorais aussi son cul qui s’ouvrit facilement. Encore une adepte de la sodomie! Revenant à son sexe je la masturbais. Ses lèvres étaient pincées et elle haletait. Au moment de jouir elle serra fortement ses cuisses sur ma main. Elle s’assit pour récupérer, me caressant la cuisse. Elle m’embrassa au coin des lèvres pour me remercier. Nous revînmes avec les autres.
Je l’interrogeais sur les liens qui unissaient Mary et nos hôtes. Ils s’appelaient Frantz et Johanna. Ils s’étaient rencontrés à Berlin dans un club échangiste. Le mari de Mary était encore vivant. Ils avaient sympathisés et pris l’habitude de se voir. Ils avaient découvert la bisexualité. Margaret avait participé à plusieurs de leurs parties fines. Elle préférait cependant ses jeunes amants tout en appréciant les caresses de Mary et Johanna.
La soirée se passa très bien. Les invités étaient de grande qualité et le buffet somptueux. Johanna m’avait accaparé, tandis que Mary et Margaret discutaient avec Frantz. Elle me complimenta sur ma silhouette et mon apparence. Mes performances sexuelles avaient fait l’objet d’un compte rendu par Mary. Elle m’en félicita. Elle m’interrogea sur mes pratiques sexuelles. Je lui indiquait que j’étais attiré par les femmes mures et que j’avais des relations parfois tarifiées avec un certain nombre d’entre elles. Elle me demanda si j’étais bisexuel. Je lui racontais mon adolescence et ma séance avec Brigitte chez Jean-Jacques. Elle me demanda si Brigitte accepterait de venir avec moi chez eux. Je lui envoyais aussitôt un SMS. Brigitte répondit aussitôt. Elle était disponible mercredi. Johanna nous invita à venir chez eux. Elle se dirigea ensuite vers Margaret pour lui proposer de se joindre à nous.
Nous prîmes congé de nos hôtes. Pendant qu’avec Mary nous nous embrassions, je sentais la main de Margaret caresser mon sexe. Le chauffeur en ouvrant la portière nous souhaita avec un beau sourire complice une bonne nuit.
En arrivant à l’appartement, nous nous retrouvâmes très vite nus. Margaret avait de très petits seins à peine formés avec de longs tétons qui se dressaient. Sa toison était taillée façon ticket de métro. Elle possédait un cul qui me rappelait celui de Céline. Elles se mirent à genoux et se partagèrent ma queue et mes couilles. Quand l’une me suçait, l’autre léchait mes couilles. C’était divin. Mary s’allongea sur le lit. Margaret lui ouvrit les jambes et commença à la lécher. Je me plaçais derrière Margaret et la pénétrai. Elle était très serrée et très habile. Je sentais les muscles de son vagin se contracter pour mieux m’avaler. Je jouais avec ses tétons qui étaient très sensibles. Elle continuait à s’occuper du sexe de Mary. Elle avait réussi à faire ressortir son clitoris qui avait la forme d’un petit sexe et le suçait. Je sentais que j’allais jouir car les contractions autour de ma queue était de plus en plus fortes. Elles allaient avoir raison de moi. Quittant ce vagin accueillant, je plaçais ma bitte dans la bouche de Mary qui en quelques allers retours me fit cracher mon sperme qu’elle avala aussitôt. Margaret avait cessé de sucer le clitoris. En introduisant quatre doigts dans le sexe de Mary, son pubis collé à sa main comme pour imiter un sexe, elle commença à la goder tout en l’embrassant. Je plaçais mes mains sur les fesses de Margaret pour accompagner son mouvement. Mary gémissait de plus en plus. Dans des soubresauts qui n’en finissaient plus elle cria sa jouissance.
Margaret me prit la main et m’allongea sur le sol. Après m’avoir sucé pour me redonner de la vigueur, elle se mit sur moi. Elle plaça mes mains sur ses tétons et elle s’empala littéralement sur ma queue. Elle me chevauchait, allant le plus loin possible sur ma verge quand elle descendait. Je plaçais mes mains sous ses fesses pour aider le mouvement. Comme elle était menue, le contraste était frappant entre le grand jeune homme, athlétique et cette petite femme mure et allait et venait furieusement sur un beau sexe dressé en ahanant. Mary s’était levée et lui caressait tendrement les cheveux. Je sentis ma sève monter et nous jouirent ensemble. Elle s’écroula sur mon torse et mis un certain temps à récupérer.
Nous nous endormîmes dans le lit, comblés et repus. Après un réveil matinal où je les fît jouir toutes les deux, Margaret nous quitta. Elle avait rendez-vous avec une amie. En me disant au revoir elle me dit « à mercredi ». Mary qui n’était pas au courant me demanda ce dont il s’agissait. Je lui rapportais l’invitation de Johanna et Frantz. Elle me demanda si je savais qu’ils étaient bisexuels. Je lui racontais que j’avais déjà des relations avec des hommes. Je lui racontais donc mon apprentissage et mes relations avec Brigitte. Visiblement mon récit l’excitait. Elle m’entraina dans la chambre, me mis sur le ventre et me demanda de la laisser faire. Elle m’attacha les bras et les jambes aux montants du lit et commença à me caresser le corps avec ses mains et la pointe de ses seins. Elle s’arrêta à mes fesses qu’elle ouvrit. Prenant du gel elle me travailla la rondelle avec douceur. Elle devait en avoir l’habitude car c’était fait avec beaucoup de délicatesse. Les liens étaient suffisamment lâches pour que je puisse l’aider. Quand elle m’estima prêt, elle alla chercher un gode ceinture et elle s’équipa devant moi. Rapprochant le gode de ma bouche elle me demanda de le lubrifier. Revenant derrière moi je sentis le gode contre mon fondement. Elle me pénétra doucement. Je ressentis légère douleur vite effaçée. Elle commença à m’enculer. Je sentais ses seins dans mon dos pendant qu’elle jouait avec mes mamelons. Cette situation était très excitante et me faisait bander. Je sentais aussi à chaque fois son pubis s’écraser sur mes fesses. Après de longues minutes ou je sentis son excitation monter, elle me libéra de mes liens, me mit sur le ventre et s’empala sur ma queue en me demandant de la baiser à fond. Nous jouirent ensemble et une vague de plaisir nous emporta. C’était une amante merveilleuse.
Elle m’invita à manger. Après le repas nous fîmes une promenade au bord de la mer Mary accrochée à mon bras et sa tête penchée sur mon épaule. Je sentais des regards réprobateurs, les gens croisés n’acceptant pas notre différence d’âge. Nous étions bien ensemble.
Nous nous quittâmes un peu tristes après avoir fait une nouvelle fois l’amour. Elle me glissa dans la poche une enveloppe. Elle promis de faire appel à moi et à Jacques la prochaine fois qu’elle séjournerait à Monaco.
Dans la voiture, j’ouvris l’enveloppe. Elle avait apprécié certainement mes prestations, car la somme était coquette. Je rentrais à l’appartement attendant avec impatience le rendez-vous de mercredi. Je décidais quand même pour ménager mes forces, de reporter tous mes rendez-vous.
Un jeudi soir, alors que nous étions ensemble, je sentis qu’il était perturbé et que cela n’allait pas. Je l’interrogeais. Il était très embêté car il avait un rendez-vous avec une riche « cliente » qui utilisait ses services. Elle était de passage à Monaco pour le week-end et souhaitait qu’il l’accompagne à une soirée privée. Ses parents ayant eu un accident, il devait accompagner son oncle samedi à Paris pour les voir.
Il tenait beaucoup à son amie Mary, une veuve de 60 ans, très riche, plutôt bien conservée, qui s’était montrée toujours généreuse avec lui. Il ne voulait pas la perdre, car elle était capable de le remplacer.
Je lui proposais de prendre sa place. Physiquement nous nous ressemblions beaucoup : même âge, même taille, même carrure. Il n’y avait pas d’autre solution. Il lui téléphona et elle nous demanda de passer la voir tous les deux, le lendemain après-midi. Jacques obtint de son oncle l’autorisation pour nous deux de s’absenter pour une demi-journée.
Nous arrivâmes à Monaco. Elle résidait chez une amie américaine vivant sur le rocher, Margaret. Mary vint nous ouvrir. Elle étant grande, bien en chair, très bien conservée. Elle portait une superbe robe bleue qui soulignait ses formes. Elle avait une belle poitrine, lourde que soulignait un décolleté profond.
En voyant jacques, elle se précipita sur lui et ils échangèrent un baiser passionné. Elle parlait très bien le français avec un léger accent américain. Nous nous assîmes dans le salon. La robe de Mary remontait très haut sur ses cuisses et elle ne faisait aucun effort pour l’en empêcher. Jacques avait posé une main sur sa cuisse et la caressait, marquant ainsi sa qualité de « propriétaire ». Mary m’avait demandé de venir en tenue de soirée. Elle m’inspecta sous toutes les coutures, me posa un tas de question. Visiblement je faisais l’affaire. Elle accepta que je sois son cavalier pour le reste du week-end.
Elle me demanda de mettre nu, pour voir comme elle le disait ses futurs joujoux. Je m’exécutais. Comme Jacques et moi nous nous ressemblions beaucoup, elle paru satisfaite. Elle s’approcha de moi et en m’embrassant elle pris mon sexe au repos dans sa main pour le caresser. Le résultat ne se fit pas attendre. Je bandais et ma verge se dressait victorieusement. Jacques, sans doute un peu jaloux se déshabilla et vint se placer à côté de moi. Mary se recula pour regarder ces deux jeunes mâles vigoureux. Jacques avait une queue un peu plus épaisse et plus courte. Elle se mit toute nue. Ses gros seins pendait un petit peu mais se tenaient encore. Ses fesses musclées montraient qu’elle entretenait son corps. Son sexe était épilé. Elle avait un petit ventre rond. Pour une femme de 60 ans elle était superbe et ne faisait pas son âge.
Elle nous prit par la queue et nous entraina dans sa chambre. Elle nous allongea côte à côte et se mit à nous sucer alternativement. Elle était gorge profonde. Nous nous enfoncions dans sa bouche jusqu’à ce que ses lèvres touchent notre pubis. Elle était vraiment une experte en fellations qu’elle avait dû beaucoup pratiquer. Jacques se dégagea, se mit derrière elle, la pénétra brutalement et commença à la baiser sauvagement. Elle avait du mal sous ses coups de boutoir à conserver ma queue dans sa bouche. Jacques s’occupait de ses seins tout en la besognant. Elle aimait visiblement cette chevauchée brutale. . Quittant mon sexe elle se redressa et se mit à jouir en criant son plaisir. Elle était superbe. Je lui caressais les seins, pinçant et étirant ses tétons. Jacques dans un grand cri se déversa en elle. Sentant les jets de sperme frapper sa matrice, elle jouit une deuxième fois.
Nous échangeâmes nos places. J’en profitais pour lui explorer le cul, utilisant le sperme de Jacques comme lubrifiant. Elle était bien ouverte montrant que cette voie était souvent utilisée. Je plaçais son sexe sur la bouche de Jacques et présentais mon sexe sur sa rondelle. La pénétration fût rapide et aisée. Je la besognais, allait et venait dans son cul. Je sentais la bouche de Jacques qui s’occupait de son sexe déraper quelquefois et me lécher les couilles. Elle gémissait, poussait des petits cris. Sentant ma sève monter, je saisis ses seins et m’écroulait contre elle, me vidant dans son cul.
Jacques avait repris des forces. Il la mit sur le dos. Relevant et s’appuyant sur les jambes de Mery, il pris ma place et commença à la sodomiser. Pendant que Jacques s’activais, je l’embrassais, la caressais. Elle avait un clitoris proéminent, comme un petit sexe. Il était irrité par le traitement que lui avait fait subir Jacques et dès que je le touchais elle avait des soubresauts montrant sa sensibilité.
Sous nos assauts conjugués, ses gémissements devinrent de plus en plus forts. Sa tête se balançait de droite à gauche. Jacques accélérant ses mouvements, dans un grand cri, se répandit en elle. Elle semblait complètement KO, évanouie. Les petits gémissements qui sortaient de sa bouche montraient qu’il en était rien. Je mis sa tête sur mes genoux et lui caressait les cheveux. Jacques lui s’occupait de ses fesses, de ses seins. Du sperme coulait de son cul qui avait du mal à se refermer. Son sexe était rouge à force d’avoir été forcé, léché, sucé. Elle sentit sur sa joue mon sexe qui avait repris vigueur. Elle me prit en bouche. Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour exploser. Elle avala le tout puis elle m’embrassa. J’avais le goût de mon sperme dans la bouche.
Nous nous rhabillâmes après avoir pris une douche. Au moment de partir je fis la connaissance de Margaret, l’amie de Mary, petite femme pétillante du même âge. Autant Mary était plantureuse et avec des formes appétissantes, autant Margaret paraissait fragile. Elle avait les cheveux très courts, des petits seins. Elle m embrassa en me disant à demain car il était prévu qu’elle vienne avec nous.
Nous reprîmes la route. Jacques était soulagé que cela se soit passé ainsi. Il me montra l’enveloppe que lui avait remis Mary qui contenait une jolie somme qu’il partagea avec moi.
Le lendemain vers 19h00 je me présentais à l’appartement. Margaret vint m’ouvrir. Toutes les deux étaient superbes. Mary avait une robe fourreau très décolletée qui mettait ses formes plantureuses en valeur. Margaret portait une robe longue noire, très échancrée sur le côté qui laissait parfois entrevoir le haut d’un bas. Un magnifique boléro brodé complétait sa tenue. Nous nous embrassâmes comme de vieux amis.
Une Mercedes avec chauffeur nous attendait dehors. J’étais assis entre les deux femmes qui avaient posé une main sur mes jambes. Mary me caressait doucement la cuisse. On arriva dans une belle propriété toute illuminée. La vue sur le port était magnifique. Nous étions une cinquantaine de personnes plutôt d’âge mur. Trois couples de jeunes étaient présents. Deux femmes d’une cinquantaine d’années étaient accompagnées de jeunes de mon âge. Nos hôtes étaient un couple d’allemands vivants la moitié de l’année à Monaco. Lui très bel homme distinguée, elle très grande, plantureuse, blonde et très belle. Il formait un très joli couple. Une grande complicité les liait visiblement à Mary. En se promenant les deux femmes se tenaient par la taille. Je les observais en tenant compagnie à Margaret qui me fît des confidences. Elle était mariée et voyait très peu son mari qui voyageait autour du monde pour ses affaires. Elle ne voulait pas divorcer car ils avaient beaucoup d’affaires en communs. Mary et elle ne se cachaient rien. Elle lui avait raconté notre séance avec Jacques et elle avait apprécié notre prestation. Elle aussi faisait appel à des jeunes gens vigoureux qui disait-elle, en plus d’être beaux, la comblait. Cela lui évitait de prendre un amant qui était disait-elle source de complication. Jacques était un de ses favoris. Elle l’avait présenté à Mary qui le faisait venir quand elle séjournait à Monaco, trop rarement pour elle à Margaret. Nous nous étions un peu éloignés de la foule. Nous nous assîmes sur un banc face à la mer. Elle m’avait pris la main et l’avait placé sur sa cuisse, là où l’échancrure de sa robe permettait d’apercevoir le haut de ses bas. Guidant ma main elle la plaça plus haut. Ses cuisses étaient légèrement ouvertes. Elle ne portait pas de culotte et son sexe était directement accessible. Elle se leva pour me faciliter la tâche. Les invités ne pouvaient pas voir ce que faisait ma main. Mes doigts la pénétrèrent, caressèrent son clitoris. Elle était trempée. Me servant de sa mouille, j’explorais aussi son cul qui s’ouvrit facilement. Encore une adepte de la sodomie! Revenant à son sexe je la masturbais. Ses lèvres étaient pincées et elle haletait. Au moment de jouir elle serra fortement ses cuisses sur ma main. Elle s’assit pour récupérer, me caressant la cuisse. Elle m’embrassa au coin des lèvres pour me remercier. Nous revînmes avec les autres.
Je l’interrogeais sur les liens qui unissaient Mary et nos hôtes. Ils s’appelaient Frantz et Johanna. Ils s’étaient rencontrés à Berlin dans un club échangiste. Le mari de Mary était encore vivant. Ils avaient sympathisés et pris l’habitude de se voir. Ils avaient découvert la bisexualité. Margaret avait participé à plusieurs de leurs parties fines. Elle préférait cependant ses jeunes amants tout en appréciant les caresses de Mary et Johanna.
La soirée se passa très bien. Les invités étaient de grande qualité et le buffet somptueux. Johanna m’avait accaparé, tandis que Mary et Margaret discutaient avec Frantz. Elle me complimenta sur ma silhouette et mon apparence. Mes performances sexuelles avaient fait l’objet d’un compte rendu par Mary. Elle m’en félicita. Elle m’interrogea sur mes pratiques sexuelles. Je lui indiquait que j’étais attiré par les femmes mures et que j’avais des relations parfois tarifiées avec un certain nombre d’entre elles. Elle me demanda si j’étais bisexuel. Je lui racontais mon adolescence et ma séance avec Brigitte chez Jean-Jacques. Elle me demanda si Brigitte accepterait de venir avec moi chez eux. Je lui envoyais aussitôt un SMS. Brigitte répondit aussitôt. Elle était disponible mercredi. Johanna nous invita à venir chez eux. Elle se dirigea ensuite vers Margaret pour lui proposer de se joindre à nous.
Nous prîmes congé de nos hôtes. Pendant qu’avec Mary nous nous embrassions, je sentais la main de Margaret caresser mon sexe. Le chauffeur en ouvrant la portière nous souhaita avec un beau sourire complice une bonne nuit.
En arrivant à l’appartement, nous nous retrouvâmes très vite nus. Margaret avait de très petits seins à peine formés avec de longs tétons qui se dressaient. Sa toison était taillée façon ticket de métro. Elle possédait un cul qui me rappelait celui de Céline. Elles se mirent à genoux et se partagèrent ma queue et mes couilles. Quand l’une me suçait, l’autre léchait mes couilles. C’était divin. Mary s’allongea sur le lit. Margaret lui ouvrit les jambes et commença à la lécher. Je me plaçais derrière Margaret et la pénétrai. Elle était très serrée et très habile. Je sentais les muscles de son vagin se contracter pour mieux m’avaler. Je jouais avec ses tétons qui étaient très sensibles. Elle continuait à s’occuper du sexe de Mary. Elle avait réussi à faire ressortir son clitoris qui avait la forme d’un petit sexe et le suçait. Je sentais que j’allais jouir car les contractions autour de ma queue était de plus en plus fortes. Elles allaient avoir raison de moi. Quittant ce vagin accueillant, je plaçais ma bitte dans la bouche de Mary qui en quelques allers retours me fit cracher mon sperme qu’elle avala aussitôt. Margaret avait cessé de sucer le clitoris. En introduisant quatre doigts dans le sexe de Mary, son pubis collé à sa main comme pour imiter un sexe, elle commença à la goder tout en l’embrassant. Je plaçais mes mains sur les fesses de Margaret pour accompagner son mouvement. Mary gémissait de plus en plus. Dans des soubresauts qui n’en finissaient plus elle cria sa jouissance.
Margaret me prit la main et m’allongea sur le sol. Après m’avoir sucé pour me redonner de la vigueur, elle se mit sur moi. Elle plaça mes mains sur ses tétons et elle s’empala littéralement sur ma queue. Elle me chevauchait, allant le plus loin possible sur ma verge quand elle descendait. Je plaçais mes mains sous ses fesses pour aider le mouvement. Comme elle était menue, le contraste était frappant entre le grand jeune homme, athlétique et cette petite femme mure et allait et venait furieusement sur un beau sexe dressé en ahanant. Mary s’était levée et lui caressait tendrement les cheveux. Je sentis ma sève monter et nous jouirent ensemble. Elle s’écroula sur mon torse et mis un certain temps à récupérer.
Nous nous endormîmes dans le lit, comblés et repus. Après un réveil matinal où je les fît jouir toutes les deux, Margaret nous quitta. Elle avait rendez-vous avec une amie. En me disant au revoir elle me dit « à mercredi ». Mary qui n’était pas au courant me demanda ce dont il s’agissait. Je lui rapportais l’invitation de Johanna et Frantz. Elle me demanda si je savais qu’ils étaient bisexuels. Je lui racontais que j’avais déjà des relations avec des hommes. Je lui racontais donc mon apprentissage et mes relations avec Brigitte. Visiblement mon récit l’excitait. Elle m’entraina dans la chambre, me mis sur le ventre et me demanda de la laisser faire. Elle m’attacha les bras et les jambes aux montants du lit et commença à me caresser le corps avec ses mains et la pointe de ses seins. Elle s’arrêta à mes fesses qu’elle ouvrit. Prenant du gel elle me travailla la rondelle avec douceur. Elle devait en avoir l’habitude car c’était fait avec beaucoup de délicatesse. Les liens étaient suffisamment lâches pour que je puisse l’aider. Quand elle m’estima prêt, elle alla chercher un gode ceinture et elle s’équipa devant moi. Rapprochant le gode de ma bouche elle me demanda de le lubrifier. Revenant derrière moi je sentis le gode contre mon fondement. Elle me pénétra doucement. Je ressentis légère douleur vite effaçée. Elle commença à m’enculer. Je sentais ses seins dans mon dos pendant qu’elle jouait avec mes mamelons. Cette situation était très excitante et me faisait bander. Je sentais aussi à chaque fois son pubis s’écraser sur mes fesses. Après de longues minutes ou je sentis son excitation monter, elle me libéra de mes liens, me mit sur le ventre et s’empala sur ma queue en me demandant de la baiser à fond. Nous jouirent ensemble et une vague de plaisir nous emporta. C’était une amante merveilleuse.
Elle m’invita à manger. Après le repas nous fîmes une promenade au bord de la mer Mary accrochée à mon bras et sa tête penchée sur mon épaule. Je sentais des regards réprobateurs, les gens croisés n’acceptant pas notre différence d’âge. Nous étions bien ensemble.
Nous nous quittâmes un peu tristes après avoir fait une nouvelle fois l’amour. Elle me glissa dans la poche une enveloppe. Elle promis de faire appel à moi et à Jacques la prochaine fois qu’elle séjournerait à Monaco.
Dans la voiture, j’ouvris l’enveloppe. Elle avait apprécié certainement mes prestations, car la somme était coquette. Je rentrais à l’appartement attendant avec impatience le rendez-vous de mercredi. Je décidais quand même pour ménager mes forces, de reporter tous mes rendez-vous.
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