Mon beau facteur... 2
Récit érotique écrit par Pasal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon beau facteur... 2
« J’ai jamais couché avec un mec, j’espère que je vais pas te décevoir ! »
Ça faisait plus d’une heure que Damien et moi, Pascal, nous nous embrassions, caressions, léchions. Depuis longtemps, à force de se tourner et de se retourner, la couette était passée par terre, nos deux corps se mêlaient l’un à l’autre. Sa peau contre la mienne, ses lèvres, son souffle, l’odeur de son corps, ses caresses m’électrisaient. Un temps, j’avais oublié que ce super beau mec, mon facteur, rencontré depuis 6 mois, n’avait jamais fait l’amour à un mec. Sa déclaration m’a ramené à la réalité. Il fallait que je l’aide, que je le rassure, que je l’accompagne. Je sentais sa fébrilité et son envie, ses craintes et sa virilité, ses doutes et sa puissance. Pour le rassurer, j’ai répondu :
« T’inquiètes, ça va être bon, on va prendre du plaisir, laisse-moi faire ».
Je l’ai mis sur le dos, j’étais allongé sur lui, je l’embrassais à pleine bouche, nos langues ne formaient plus qu’une, nos deux sexes, durs et raides, se frottaient l’un contre l’autre et mouillaient nos ventres. Mes mains caressaient sa tête, les siennes m’écartaient et me massaient les fesses, parfois, ses doigts me branlaient l’anus et, je mouillais, comme il faisait ça très bien, je gémissais. Un doigt, puis deux sont entrés et ont commencé les va-et-vient. Son expérience d’hétéro lui servait bien, il prenait confiance en lui, je l’encourageais pour le rassurer par des gémissements et des « oh oui, vas-y, c’est bon, continue».
J’ai commencé à descendre pour lui mordiller les tétons, il s’est mis à pousser des petits cris entrecoupés de « Oh putain, c’est bon ! ». J’ai pu observer son torse musclé, puissant, quelques poils pour la virilité, j’étais au paradis, ça valait le coup d’avoir ramé pendant 6 mois pour le mettre dans mon lit !
Après lui avoir excité les tétons, j’ai longuement léché son ventre et son nombril tout en pinçant et massant sa poitrine.
Là, je me suis retourné pour qu’il puisse s’occuper de ma bite et de mon trou, il a compris le message mais, en bon hétéro, il m’a branlé et a commencé à me bouffer le cul. Il faisait ça très bien, j’ai pensé aux meufs à qui il avait dû bouffer le minou, c’était mon tour et je comptais bien en profiter !
Moi, je me suis attaqué à ses couilles, ça lui a arraché quelques cris quand je les ai gobées. En même temps, une de mes mains s’est aventurée dans sa raie que j’ai caressée, je me suis attardé sur son trou, il a écarté les jambes, j’ai sucé mon doigt pour le lubrifier et j’ai enfoncé la première phalange, puis la deuxième et tout le majeur, j’ai limé puis l’index a rejoint son pote ! Il gueulait de plaisir, j’avais sa bite dans la bouche et mes deux doigts dans son fondement. J’étais super fier de moi car là, je le sentais bien, je lui faisais vivre quelque chose d’inédit et il aimait ! Je me disais qu’il fallait lui en donner un maximum pour qu’il n’ait aucun regret après coup et même envie de remettre ça. Tout en lui limant le trou, je me disais qu’un jour prochain, peut-être, je pourrais y faire entrer autre chose que deux doigts. Ah mon beau facteur, moi aussi j’ai parfois envie de faire entrer des gros colis dans les fentes !
Il me branlait de moins en moins régulièrement, il éprouvait tellement de plaisir qu’il ne s’occupait plus de mon cul, je devais le reconcentrer pour lui apprendre à donner du plaisir à un mec. Je lui ai demandé de me doigter aussi, il m’a mis trois doigts, ça m’a filé une décharge électrique, j’ai pris ma bite dans la main et je l’ai guidé dans sa bouche, il l’a avalée et sucé du mieux qu’il le pouvait, je l’aidais par de petits coups de reins. On s’est amusés comme ça pendant un long moment.
Je me suis relevé et je lui ai dit que je le voulais en moi, il m’a mis sur le ventre, j’ai écarté les jambes et tendu mon cul, il est venu derrière moi, j’ai senti son gland toucher ma rondelle, il a poussé, c’est entré, j’en rêvais depuis 6 mois, ça a été comme une immense victoire. Je lui ai juste dit : « Oui, viens, j’en crève d’envie ». Il s’est enfoncé en moi, petit à petit, j’ai senti ses couilles s’écraser sur mes fesses, il a commencé ses va-et-vient secs, précis, presque brutaux. Je le sentais coulisser en moi et buter au fond, le rythme était variable, tantôt lent et long, tantôt rapide et très sec. Enfin, je vivais mon fantasme, ce mec, je le voulais depuis 6 mois mais ça valait vraiment le coup ! J’étais manifestement le premier mec qu’il baisait et il faisait ça très bien. Déjà, je me disais qu’il me baiserait encore, je n’allais pas le lâcher comme ça après un premier coup, ça non !
Au début, il se tenait soulevé au-dessus de mon dos, en appuis sur ses bras. Puis, il s’est allongé sur moi, ses mains, passées sous mon torse, me malaxaient la poitrine. Tantôt il me léchait ou me mordillait l’oreille, tantôt il posait son front contre ma nuque. J’entendais son souffle profond, fort qui rythmait ses coups de reins puissants et réguliers, chacun d’eux se terminant par le claquement de ses couilles sur mes fesses.
Là, les mecs, si le paradis existe, j’y étais !
Il s’est retiré, m’a demandé de me mettre à 4 pattes, il a repris sa pénétration en me tenant par les hanches. J’ai senti une chaleur intérieure monter d’un coup, d’une façon irrépressible. J’ai juste eu le temps de lui demander de continuer, qu’il me faisait jouir, il m’a donné un orgasme anal. Ça faisait quelques temps que je n’en avais pas eu, c’est toujours aussi intense et puissant, j’estime que c’est un cadeau que l’on fait à son mec !
Damien l’a senti, bien sûr, mais n’en a pas saisi l’importance, il m’a demandé de me mettre sur le dos, il m’a pris comme sa femelle en m’embrassant. Je me branlais de toutes mes forces, au bout d’un moment, j’ai éjaculé sur mon ventre. Les contractions de mon anus et mes cris l’on amené à la jouissance, il s’est vidé en moi en poussant un long râle et en s’effondrant sur moi.
J’ai éclaté de rire, il m’a demandé ce qu’il m’arrivait, si ça avait été si mauvais que ça ! J’ai répondu que, d’abord, j’avais pris un pied d’enfer, qu’il est un sacré bon baiseur et, qu’ensuite, ça faisait six mois que j’espérais vivre ça ! Ça l’a rassuré, il m’a dit avoir pris un énorme plaisir lui-aussi.
On a ramassé la couette, on s’est couvert, on a fini par s’endormir un peu, il devait être un peu plus de minuit. Vers trois heures de la nuit, j’ai été réveillé par du bruit, Damien se levait. J’ai eu peur qu’il parte mais non, c’était juste un tour aux toilettes, il est revenu, il s’est recouché, je me suis collé à lui, j’ai touché sa bite, elle était dure. Je lui ai dit :
« Eh ben dis donc, depuis que t’as touché aux mecs, t’es insatiable ! »
Je l’ai enjambé, j’ai positionné son chibre devant mon trou et je me suis enfoncé, il m’a pris par les hanches et j’ai commencé les va-et-vient tantôt rapides, parfois lents. Ça a duré un bon moment jusqu’à ce qu’il me dise :
« Oh putain, tu vas me faire jouir, vas-y, je viens, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! «
Je me suis relevé et, sans réfléchir, j’ai approché ma bite de sa bouche, il l’a ouverte, je l’ai enfoncée et je lui ai baisé la bouche jusqu’à ce que je jouisse aussi. Il a avalé, je me suis baissé pour l’embrasser, ça avait un goût de jus, mon jus !
On est restés enlacés et l’on s’est endormi. Il s’est levé à 5h45 pour aller bosser. Il est sorti de la salle de bains, je m’étais levé pour lui préparer un café, il a été touché par l’attention, je l’ai regardé déjeuner puis, quand il a fini, j’ai dit :
« T’as aimé, c’était bon ? »
Il m’a regardé l’air surpris et m’a dit :
« Ben oui, c’est gentil de t’être levé. »
« Je ne parlais pas du café… »
Il a compris et s’est ressaisi :
« Oh oui, excuse-moi ! Je suis le roi des cons ! C’était super, j’ai eu beaucoup de plaisir. Tu m’as fait découvrir des choses nouvelles et très agréables… »
« Et maintenant ? »
« Ben, tu sais, faut pas t’emballer, on va pas s’installer ensemble. »
« Ah non, mais on peut peut-être oublier le footing, moi c’est un autre sport que j’aime faire avec toi ! »
Il a souri, s’est levé, moi aussi, il s’est approché de moi, m‘a embrassé sur le front et m’a mis une main aux fesses.
« On en reparlera ce soir ! »
Et là, il est parti au boulot. Ma dernière vision a été son magnifique petit cul moulé dans son jeans noir, cette vision m’a fait bander. Là, je me suis dit que je serais le premier à y entrer !
Les choses ne vont pas toujours aussi vite qu’on le voudrait. Damien est encore resté chez moi une semaine supplémentaire. On a vite opté pour ma chambre, plus grande et plus calme, la chambre d’amis possède un mur mitoyen avec l’appartement des voisins et, surtout, la chambre de leurs enfants !
Damien, cette semaine-là, était dans la période euphorique du début d’une histoire et d’une découverte sexuelle, sa libido était donc explosive. Ça m’arrangeait bien, je rattrapais les 6 mois d’attente ! Il me baisait tous les soirs et parfois même la nuit, il était chaud bouillant. Je faisais de mon mieux pour le rendre accro, ça je sentais bien que c’était en bonne voie. On a testé un grand nombre de positions et l’on a utilisé à peu près toutes les pièces de l’appartement. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser que, quelques années auparavant, il avait déjà dû faire la même chose aux mêmes endroits avec sa copine, ça m’excitait encore plus. Il savait me donner beaucoup de plaisir et me suçait régulièrement, il avait même fait de gros progrès. Par contre, un doigtage et un suçage de son trou étaient le maximum de concession qu’il faisait, pas question d’envisager encore d’être passif. Son cul, si beau, me faisait tellement fantasmer que je lui mordillais les fesses, je le lui caressais et massais tendrement pour qu’il éprouve du plaisir et veuille me le donner mais non, cette étape était encore infranchissable !
Il a trouvé un appartement, ses potes et moi l’avons aidé à s’installer (putain de meubles à monter soi-même avec ses kilos de vis, de chevilles et ses notices en chinois !).
La dernière nuit chez moi, j’ai tenté le tout pour le tout. Il était allongé sur le ventre, je lui bouffait le cul, il gémissait comme une pucelle, j’ai pas réfléchis, je me suis allongé sur lui, j’ai guidé ma bite, j’ai appuyé, le gland a ouvert son trou, j’allais l’avoir.
Et bien non ! Il s’est décalé d’un coup sec, je suis ressorti de lui, il m’a dit :
« Non, pas ça ! Pas maintenant, pas comme ça, j’en ai pas envie ! »
Il fallait que je rattrape le coup !
« Excuse-moi, j’ai pas réfléchis, c’était dans l’excitation du moment. Tes gémissements, j’ai cru que je pouvais, m’en veux pas. »
« Non, non, t’inquiète ! Je sens bien que t’en rêve mais moi, ça me rebute encore »
On a repris les galipettes ! Ouf, je n’avais pas tout gâché !
Au milieu de la nuit, juste avant de nous endormir, je lui dis :
« Dis donc, tu m’as dit tout à l’heure : pas maintenant, pas comme ça ! Ça veut dire qu’un autre jour, différemment, ça pourra le faire ? »
Il s’est retourné, a poussé un long souffle et m’a juste dit :
« Dors au lieu de penser à mon cul ! »
Ça, je ne peux pas m’arrêter d’y penser, je me suis endormi avec un sourire de satisfaction, un premier verrou venait de sauter ! J’allais réussir à baiser mon beau facteur !!!
Ça faisait plus d’une heure que Damien et moi, Pascal, nous nous embrassions, caressions, léchions. Depuis longtemps, à force de se tourner et de se retourner, la couette était passée par terre, nos deux corps se mêlaient l’un à l’autre. Sa peau contre la mienne, ses lèvres, son souffle, l’odeur de son corps, ses caresses m’électrisaient. Un temps, j’avais oublié que ce super beau mec, mon facteur, rencontré depuis 6 mois, n’avait jamais fait l’amour à un mec. Sa déclaration m’a ramené à la réalité. Il fallait que je l’aide, que je le rassure, que je l’accompagne. Je sentais sa fébrilité et son envie, ses craintes et sa virilité, ses doutes et sa puissance. Pour le rassurer, j’ai répondu :
« T’inquiètes, ça va être bon, on va prendre du plaisir, laisse-moi faire ».
Je l’ai mis sur le dos, j’étais allongé sur lui, je l’embrassais à pleine bouche, nos langues ne formaient plus qu’une, nos deux sexes, durs et raides, se frottaient l’un contre l’autre et mouillaient nos ventres. Mes mains caressaient sa tête, les siennes m’écartaient et me massaient les fesses, parfois, ses doigts me branlaient l’anus et, je mouillais, comme il faisait ça très bien, je gémissais. Un doigt, puis deux sont entrés et ont commencé les va-et-vient. Son expérience d’hétéro lui servait bien, il prenait confiance en lui, je l’encourageais pour le rassurer par des gémissements et des « oh oui, vas-y, c’est bon, continue».
J’ai commencé à descendre pour lui mordiller les tétons, il s’est mis à pousser des petits cris entrecoupés de « Oh putain, c’est bon ! ». J’ai pu observer son torse musclé, puissant, quelques poils pour la virilité, j’étais au paradis, ça valait le coup d’avoir ramé pendant 6 mois pour le mettre dans mon lit !
Après lui avoir excité les tétons, j’ai longuement léché son ventre et son nombril tout en pinçant et massant sa poitrine.
Là, je me suis retourné pour qu’il puisse s’occuper de ma bite et de mon trou, il a compris le message mais, en bon hétéro, il m’a branlé et a commencé à me bouffer le cul. Il faisait ça très bien, j’ai pensé aux meufs à qui il avait dû bouffer le minou, c’était mon tour et je comptais bien en profiter !
Moi, je me suis attaqué à ses couilles, ça lui a arraché quelques cris quand je les ai gobées. En même temps, une de mes mains s’est aventurée dans sa raie que j’ai caressée, je me suis attardé sur son trou, il a écarté les jambes, j’ai sucé mon doigt pour le lubrifier et j’ai enfoncé la première phalange, puis la deuxième et tout le majeur, j’ai limé puis l’index a rejoint son pote ! Il gueulait de plaisir, j’avais sa bite dans la bouche et mes deux doigts dans son fondement. J’étais super fier de moi car là, je le sentais bien, je lui faisais vivre quelque chose d’inédit et il aimait ! Je me disais qu’il fallait lui en donner un maximum pour qu’il n’ait aucun regret après coup et même envie de remettre ça. Tout en lui limant le trou, je me disais qu’un jour prochain, peut-être, je pourrais y faire entrer autre chose que deux doigts. Ah mon beau facteur, moi aussi j’ai parfois envie de faire entrer des gros colis dans les fentes !
Il me branlait de moins en moins régulièrement, il éprouvait tellement de plaisir qu’il ne s’occupait plus de mon cul, je devais le reconcentrer pour lui apprendre à donner du plaisir à un mec. Je lui ai demandé de me doigter aussi, il m’a mis trois doigts, ça m’a filé une décharge électrique, j’ai pris ma bite dans la main et je l’ai guidé dans sa bouche, il l’a avalée et sucé du mieux qu’il le pouvait, je l’aidais par de petits coups de reins. On s’est amusés comme ça pendant un long moment.
Je me suis relevé et je lui ai dit que je le voulais en moi, il m’a mis sur le ventre, j’ai écarté les jambes et tendu mon cul, il est venu derrière moi, j’ai senti son gland toucher ma rondelle, il a poussé, c’est entré, j’en rêvais depuis 6 mois, ça a été comme une immense victoire. Je lui ai juste dit : « Oui, viens, j’en crève d’envie ». Il s’est enfoncé en moi, petit à petit, j’ai senti ses couilles s’écraser sur mes fesses, il a commencé ses va-et-vient secs, précis, presque brutaux. Je le sentais coulisser en moi et buter au fond, le rythme était variable, tantôt lent et long, tantôt rapide et très sec. Enfin, je vivais mon fantasme, ce mec, je le voulais depuis 6 mois mais ça valait vraiment le coup ! J’étais manifestement le premier mec qu’il baisait et il faisait ça très bien. Déjà, je me disais qu’il me baiserait encore, je n’allais pas le lâcher comme ça après un premier coup, ça non !
Au début, il se tenait soulevé au-dessus de mon dos, en appuis sur ses bras. Puis, il s’est allongé sur moi, ses mains, passées sous mon torse, me malaxaient la poitrine. Tantôt il me léchait ou me mordillait l’oreille, tantôt il posait son front contre ma nuque. J’entendais son souffle profond, fort qui rythmait ses coups de reins puissants et réguliers, chacun d’eux se terminant par le claquement de ses couilles sur mes fesses.
Là, les mecs, si le paradis existe, j’y étais !
Il s’est retiré, m’a demandé de me mettre à 4 pattes, il a repris sa pénétration en me tenant par les hanches. J’ai senti une chaleur intérieure monter d’un coup, d’une façon irrépressible. J’ai juste eu le temps de lui demander de continuer, qu’il me faisait jouir, il m’a donné un orgasme anal. Ça faisait quelques temps que je n’en avais pas eu, c’est toujours aussi intense et puissant, j’estime que c’est un cadeau que l’on fait à son mec !
Damien l’a senti, bien sûr, mais n’en a pas saisi l’importance, il m’a demandé de me mettre sur le dos, il m’a pris comme sa femelle en m’embrassant. Je me branlais de toutes mes forces, au bout d’un moment, j’ai éjaculé sur mon ventre. Les contractions de mon anus et mes cris l’on amené à la jouissance, il s’est vidé en moi en poussant un long râle et en s’effondrant sur moi.
J’ai éclaté de rire, il m’a demandé ce qu’il m’arrivait, si ça avait été si mauvais que ça ! J’ai répondu que, d’abord, j’avais pris un pied d’enfer, qu’il est un sacré bon baiseur et, qu’ensuite, ça faisait six mois que j’espérais vivre ça ! Ça l’a rassuré, il m’a dit avoir pris un énorme plaisir lui-aussi.
On a ramassé la couette, on s’est couvert, on a fini par s’endormir un peu, il devait être un peu plus de minuit. Vers trois heures de la nuit, j’ai été réveillé par du bruit, Damien se levait. J’ai eu peur qu’il parte mais non, c’était juste un tour aux toilettes, il est revenu, il s’est recouché, je me suis collé à lui, j’ai touché sa bite, elle était dure. Je lui ai dit :
« Eh ben dis donc, depuis que t’as touché aux mecs, t’es insatiable ! »
Je l’ai enjambé, j’ai positionné son chibre devant mon trou et je me suis enfoncé, il m’a pris par les hanches et j’ai commencé les va-et-vient tantôt rapides, parfois lents. Ça a duré un bon moment jusqu’à ce qu’il me dise :
« Oh putain, tu vas me faire jouir, vas-y, je viens, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! «
Je me suis relevé et, sans réfléchir, j’ai approché ma bite de sa bouche, il l’a ouverte, je l’ai enfoncée et je lui ai baisé la bouche jusqu’à ce que je jouisse aussi. Il a avalé, je me suis baissé pour l’embrasser, ça avait un goût de jus, mon jus !
On est restés enlacés et l’on s’est endormi. Il s’est levé à 5h45 pour aller bosser. Il est sorti de la salle de bains, je m’étais levé pour lui préparer un café, il a été touché par l’attention, je l’ai regardé déjeuner puis, quand il a fini, j’ai dit :
« T’as aimé, c’était bon ? »
Il m’a regardé l’air surpris et m’a dit :
« Ben oui, c’est gentil de t’être levé. »
« Je ne parlais pas du café… »
Il a compris et s’est ressaisi :
« Oh oui, excuse-moi ! Je suis le roi des cons ! C’était super, j’ai eu beaucoup de plaisir. Tu m’as fait découvrir des choses nouvelles et très agréables… »
« Et maintenant ? »
« Ben, tu sais, faut pas t’emballer, on va pas s’installer ensemble. »
« Ah non, mais on peut peut-être oublier le footing, moi c’est un autre sport que j’aime faire avec toi ! »
Il a souri, s’est levé, moi aussi, il s’est approché de moi, m‘a embrassé sur le front et m’a mis une main aux fesses.
« On en reparlera ce soir ! »
Et là, il est parti au boulot. Ma dernière vision a été son magnifique petit cul moulé dans son jeans noir, cette vision m’a fait bander. Là, je me suis dit que je serais le premier à y entrer !
Les choses ne vont pas toujours aussi vite qu’on le voudrait. Damien est encore resté chez moi une semaine supplémentaire. On a vite opté pour ma chambre, plus grande et plus calme, la chambre d’amis possède un mur mitoyen avec l’appartement des voisins et, surtout, la chambre de leurs enfants !
Damien, cette semaine-là, était dans la période euphorique du début d’une histoire et d’une découverte sexuelle, sa libido était donc explosive. Ça m’arrangeait bien, je rattrapais les 6 mois d’attente ! Il me baisait tous les soirs et parfois même la nuit, il était chaud bouillant. Je faisais de mon mieux pour le rendre accro, ça je sentais bien que c’était en bonne voie. On a testé un grand nombre de positions et l’on a utilisé à peu près toutes les pièces de l’appartement. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser que, quelques années auparavant, il avait déjà dû faire la même chose aux mêmes endroits avec sa copine, ça m’excitait encore plus. Il savait me donner beaucoup de plaisir et me suçait régulièrement, il avait même fait de gros progrès. Par contre, un doigtage et un suçage de son trou étaient le maximum de concession qu’il faisait, pas question d’envisager encore d’être passif. Son cul, si beau, me faisait tellement fantasmer que je lui mordillais les fesses, je le lui caressais et massais tendrement pour qu’il éprouve du plaisir et veuille me le donner mais non, cette étape était encore infranchissable !
Il a trouvé un appartement, ses potes et moi l’avons aidé à s’installer (putain de meubles à monter soi-même avec ses kilos de vis, de chevilles et ses notices en chinois !).
La dernière nuit chez moi, j’ai tenté le tout pour le tout. Il était allongé sur le ventre, je lui bouffait le cul, il gémissait comme une pucelle, j’ai pas réfléchis, je me suis allongé sur lui, j’ai guidé ma bite, j’ai appuyé, le gland a ouvert son trou, j’allais l’avoir.
Et bien non ! Il s’est décalé d’un coup sec, je suis ressorti de lui, il m’a dit :
« Non, pas ça ! Pas maintenant, pas comme ça, j’en ai pas envie ! »
Il fallait que je rattrape le coup !
« Excuse-moi, j’ai pas réfléchis, c’était dans l’excitation du moment. Tes gémissements, j’ai cru que je pouvais, m’en veux pas. »
« Non, non, t’inquiète ! Je sens bien que t’en rêve mais moi, ça me rebute encore »
On a repris les galipettes ! Ouf, je n’avais pas tout gâché !
Au milieu de la nuit, juste avant de nous endormir, je lui dis :
« Dis donc, tu m’as dit tout à l’heure : pas maintenant, pas comme ça ! Ça veut dire qu’un autre jour, différemment, ça pourra le faire ? »
Il s’est retourné, a poussé un long souffle et m’a juste dit :
« Dors au lieu de penser à mon cul ! »
Ça, je ne peux pas m’arrêter d’y penser, je me suis endormi avec un sourire de satisfaction, un premier verrou venait de sauter ! J’allais réussir à baiser mon beau facteur !!!
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi bien, senXUel et bien écrit. Tu as du talent. Et de la chance. Lol
très cool, j'ai bandé et mouillé comme un fou
Vivement la suite !! J'adore
Très belle histoire. Je suis hétéro mais j'ai bandé en te lisant.Si j'avais pu rencontrer un mec comme toi j'aurais peut être aussi franchi le pas.
Superbe. Vivement la suite.
Super récit, très excitant et surtout très bien écrit.
Super la suite. Encore merci pour cette lecture... euh... captivante !
il dira oui !