Mon beau facteur...3
Récit érotique écrit par Pasal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon beau facteur...3
Il y a des déménagements qui s’éternisent pour plusieurs raisons : soit le nouvel appartement est plus petit que l’ancien, on ne sait pas comment on va pouvoir empiler toutes les affaires, soit parce que l‘on est super mal organisé. Dans le cas de Damien, ce n’est ni l‘un ni l’autre !
Pourtant, il y a encore des choses à lui dans mon appartement. Moi, je les conserve comme des reliques et lui me dit qu’elles ne lui sont pas très utiles pour l’instant, que, si elles ne me dérangent pas, je peux les lui garder encore quelques temps.
En fait, ni lui ni moi ne voulons vraiment couper complètement les ponts. Ces affaires sont un prétexte pour qu’il vienne régulièrement, nous entretenons mutuellement cette magnifique et intense tension sexuelle qui s’est créée entre nous. Ainsi, un lundi, il a subitement eu un besoin urgent de venir chercher son service à raclette. Il est arrivé en fin d’après-midi, Je lui ai proposé de s’assoir sur le canapé pour boire un coup et discuter. Moi, j’ai commencé à lui caresser doucement la cuisse, il a écarté les jambes comme un signal pour me dire qu’il aimait ce que je lui faisais, il m’a regardé en souriant tout en continuant à parler comme si de rien n’était. J’avais l’air captivé par son histoire tandis que ma main massait sa bite de plus en plus dure à travers son jeans. En fait, je ne le regardais plus dans les yeux mais mon regard était capté sur ses lèvres, je les trouvais toujours aussi sensuelles, il passait régulièrement et lentement sa langue dessus pour bien les humidifier, je m’imaginais en train de les embrasser, de les dévorer et d’y introduire mon sexe dur, chaud, humide et plein de désir. Il s’est penché pour prendre son verre sur la table basse et boire une gorgée, il s’est rassis tranquillement, il avait un peu de mousse de bière sur les lèvres, il s’est délicatement essuyé avec le revers de sa main et me l’a tendue pour que je suce les traces. Je me suis approché de lui, j’ai commencé à délicatement ouvrir les boutons de sa chemise les uns après les autres, il continuait à me raconter des trucs anodins dont on se foutait mais rien que le son de sa voix m’excitait.
J’ai écarté les deux pans de la chemise pour bien caresser son magnifique torse et pincer ses tétons, une main est descendue sur son ventre plat et musclé puis s’est glissée sous la ceinture pour aller titiller sa tige désormais dure comme du fer. Je la caressais doucement, je sentais une auréole de mouille se former sur son boxer. On bavardait toujours de la météo et d’autres futilités, c’était surréaliste mais terriblement sexy !
Par sa beauté et sa virilité, ce mec m’excitait comme un fou et, en plus, il savait se servir de tout son pouvoir de séduction et de son charme naturel pour me retourner les sens et me mettre en ébullition. J’imaginais aisément le nombre de femmes qu’il avait dû emballer et rendre folles !
Il a doucement défait sa ceinture en me disant que, comme toujours, il faisait bien chaud dans cet appartement. J’ai pu alors déboutonner la braguette et libérer son sexe déjà décalotté et luisant de mouille. Sans arrêter de parler, il m’a doucement posé une main derrière la tête et a un peu appuyé pour que je descende m’occuper de son service trois pièces.
J’ai commencé par jeter un tout petit coup de langue sur le méat, il a eu un sursaut, a pris une grande inspiration et une grosse goutte de mouille est sortie. Avec ma langue, je l’ai étalée sur tout le gland et sur la hampe tout en le fixant dans les yeux, puis j’ai très lentement posé mes lèvres sur le sommet et je me suis enfoncé très progressivement, ma langue s’enroulant autour du gland et de la hampe. Quand je suis arrivé à la garde, il a eu un nouveau petit sursaut, il a profondément expiré en lâchant : « Oh, putain, que c’est bon. »Il m’a maintenu en fond de gorge quelques secondes puis a relâché son étreinte, j’ai alors commencé les va-et-vient en jouant avec ma langue. Mes mains lui caressaient le ventre et le torse, il gémissait, me félicitait et m’encourageait à ne pas arrêter.
Après un bon moment, j’ai gobé ses couilles, en même temps, je lui enlevais son pantalon, il avait fait sauter ses chaussures et quittait sa chemise. J’ai pris sa bite en main pour la branler doucement, j’ai admiré le corps de ce beau gosse avant de replonger sur sa tige. Quand j’ai senti qu’il n’allait pas tarder à venir, j’ai tout lâché, je l’ai saisi par les cuisses pour le tirer un peu vers le bord du canapé et j’ai relevé ses jambes. Je voulais lui bouffer et doigter la rondelle, l’objet de toutes mes convoitises !
Il s’est laissé faire et semblait apprécier vu les gémissements qu’il poussait. J’étais décidé à aller jusqu’au bout cette fois-ci. Il repartirait de là les couilles vidées mais le cul ouvert !
Ne voulant pas lui donner une chance de résister, j’alternais l’anulingus avec le doigtage et une fellation de dingue. Il était totalement abandonné, j’y étais presque !
Pensant reprendre le dessus, il m’a relevé vers lui pour m’embrasser comme on embrasse une proie que l’on va dévorer et posséder. Habituellement, j’aurais fondu et cédé à son envie de mâle dominant mais là, ma détermination fut plus forte. Ma mission était de le posséder et je l’aurais !
J’étais encore habillé, j’ai baissé mon survêt, je me suis branlé, j’ai mis un peu de salive sur ma bite puis je me suis redressé, j’ai plaqué mon gland sur son trou, bien ouvert et dégoulinant de salive et de mouille. J’ai poussé, c’est entré, il s’est raidi et s’apprêtait à dire quelque chose, j’ai posé mon doigt sur sa bouche pour l’empêcher de parler puis j’ai écarté ses lèvres pour entrer mon doigt dans sa bouche, il s’est mis à le sucer et a fermé les yeux. J’ai poussé encore et encore et, hourra, je suis enfin entré en lui ! Mes couilles ont touché ses fesses, il grimaçait un peu de douleur, je suis resté au fond de lui sans bouger pour qu’il s’habitue et pour en profiter. C’est si bon un petit cul serré, visité pour la première fois, il faut en profiter, ça ne dure pas mais c’est tellement intense !
Il a ouvert les yeux, m’a souri et m’a dit : « Et ben maintenant que t’y es, amuse-toi ! »Ah ça oui, j’allais bien m’amuser ! J’ai commencé des va-et-vient lents puis, sentant qu’il mouillait et que je coulissais de mieux en mieux, j’ai accéléré le rythme, les coups de reins sont devenus plus secs et puissants. Son souffle est devenu râle et petits cris de plaisir. Après 8 mois de fantasmes, deux mois de baises en tant que passif uniquement, je me faisais enfin mon beau facteur comme je l’avais rêvé le jour où je l’ai vu pour la première fois. Il m’en aura donné du fil à retordre mais ça valait vraiment le coup !
Je m’étais un peu penché sur lui pour l’embrasser à pleine bouche. Cette fois, c’est ma langue qui était entrée dans sa bouche et qui s’enroulait autour de la sienne, il était à moi, entièrement, sans aucune résistance ! Sans ressortir, je l’ai doucement fait pivoter pour l’allonger sur le canapé ce qui me permettait de changer de position. Ce n’était pas le moment de me faire un claquage ou une crampe, ah non !
Je l’ai encore baisé un bon moment, ma bite coulissait parfaitement bien en lui désormais. J’alternais les moments tendres avec baisers sur la bouche, sur son front et dans son cou, puis, subitement, je me mettais à le défoncer, lui arrachant des cris de plaisir et de soumission, ses mains me caressaient les flancs, le dos et les fesses. Selon mes assauts, ses caresses étaient tantôt douces et sensuelles, tantôt crispées.
J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais tellement je prenais mon pied mais bon, au bout d’un moment, vous savez bien comme ça se passe, un petit fourmillement apparaît au niveau des couilles, la bite se raidit encore plus, le gland grossit, la montée du plaisir est alors inéluctable, fulgurante et incontrôlable, les muscles se tétanisent, les reins poussent une dernière fois et se bloquent, une sorte de râle venant du fin-fonds de notre ventre est expulsé de notre bouche en même temps qu’un flot de sperme qui jaillit et inonde le canal dans lequel vous êtes enfoncé au maximum. C’est l’orgasme libérateur, le don de ce que l’on a de plus précieux et de plus intime, la fécondation de l’être possédé.
Je pense ne pas avoir joui comme ça de nombreuses fois dans ma vie, huit mois de frustration et d’envie sont partis d’un coup dans son cul ! Comme on dit : « Il a pris cher ! ». Pour son dépucelage, il a été bien servi.
J’étais effondré sur lui, vidé, crevé mais terriblement heureux !
Je me suis retiré doucement tout en l’embrassant, il a allongé ses jambes sur le canapé, j’ai écarté les miennes, je me suis relevé, j’ai branlé sa bite devenue mi molle, elle a repris de la vigueur, j’ai laissé tomber deux filets de salive dessus pour la lubrifier, je l’ai positionnée à l’entrée de mon trou et je me suis empalé. Il était encore groggy, comme absent, j’ai commencé à monter et descendre, d’abord doucement puis de plus en plus vite et fort. Machinalement, il a posé ses mains sur mes hanches mais il semblait ailleurs, comme transporté par ce qu’il venait de vivre.
D’un coup, son souffle s’est fait plus rapide, ses mains se sont crispées, je me suis enfoncé au maximum, il a poussé ce magnifique râle libérateur et s‘est vidé à son tour. J’ai cru qu’il n’arrêterait pas de jouir, il était secoué de spasmes et a bien mis une minute en tout avant de reprendre le contrôle.
Je me suis allongé à côté de lui, on s’est embrassé et je lui ai dit :« Alors, t’as aimé ? »« C’était ENORME ! Jamais je n’aurais cru pouvoir prendre un pied pareil en me faisant baiser. J’ai eu presque pas mal et j’ai éprouvé un plaisir tout nouveau et tellement intense, c’est délirant ! Merci de m’avoir fait connaître ça. »« Tu vois, c’est ce que je t’avais dit, deux mecs, c’est encore plus de possibilités ! Et encore, t’as pas encore tout vu. »« Ouais mais bon, là, ça va aller ! »On est resté comme ça un long moment puis son portable a sonné, il recevait un SMS, il s’est relevé, a lu le message et m’a dit qu’il devait y aller, j’en ai profité pour admirer son cul désormais ouvert et bien rempli, il s’est rhabillé puis est parti après m’avoir embrassé et remercié. Je suis allé me doucher et là, seul dans ma cabine de douche, j’ai poussé un énorme cri de victoire !!!
En sortant de la douche, j’avais, moi aussi un SMS de Damien : « J’ai adoré, faut qu’on remette ça bientôt ! »« Quand tu veux ! » ai-je répondu.
Pourtant, il y a encore des choses à lui dans mon appartement. Moi, je les conserve comme des reliques et lui me dit qu’elles ne lui sont pas très utiles pour l’instant, que, si elles ne me dérangent pas, je peux les lui garder encore quelques temps.
En fait, ni lui ni moi ne voulons vraiment couper complètement les ponts. Ces affaires sont un prétexte pour qu’il vienne régulièrement, nous entretenons mutuellement cette magnifique et intense tension sexuelle qui s’est créée entre nous. Ainsi, un lundi, il a subitement eu un besoin urgent de venir chercher son service à raclette. Il est arrivé en fin d’après-midi, Je lui ai proposé de s’assoir sur le canapé pour boire un coup et discuter. Moi, j’ai commencé à lui caresser doucement la cuisse, il a écarté les jambes comme un signal pour me dire qu’il aimait ce que je lui faisais, il m’a regardé en souriant tout en continuant à parler comme si de rien n’était. J’avais l’air captivé par son histoire tandis que ma main massait sa bite de plus en plus dure à travers son jeans. En fait, je ne le regardais plus dans les yeux mais mon regard était capté sur ses lèvres, je les trouvais toujours aussi sensuelles, il passait régulièrement et lentement sa langue dessus pour bien les humidifier, je m’imaginais en train de les embrasser, de les dévorer et d’y introduire mon sexe dur, chaud, humide et plein de désir. Il s’est penché pour prendre son verre sur la table basse et boire une gorgée, il s’est rassis tranquillement, il avait un peu de mousse de bière sur les lèvres, il s’est délicatement essuyé avec le revers de sa main et me l’a tendue pour que je suce les traces. Je me suis approché de lui, j’ai commencé à délicatement ouvrir les boutons de sa chemise les uns après les autres, il continuait à me raconter des trucs anodins dont on se foutait mais rien que le son de sa voix m’excitait.
J’ai écarté les deux pans de la chemise pour bien caresser son magnifique torse et pincer ses tétons, une main est descendue sur son ventre plat et musclé puis s’est glissée sous la ceinture pour aller titiller sa tige désormais dure comme du fer. Je la caressais doucement, je sentais une auréole de mouille se former sur son boxer. On bavardait toujours de la météo et d’autres futilités, c’était surréaliste mais terriblement sexy !
Par sa beauté et sa virilité, ce mec m’excitait comme un fou et, en plus, il savait se servir de tout son pouvoir de séduction et de son charme naturel pour me retourner les sens et me mettre en ébullition. J’imaginais aisément le nombre de femmes qu’il avait dû emballer et rendre folles !
Il a doucement défait sa ceinture en me disant que, comme toujours, il faisait bien chaud dans cet appartement. J’ai pu alors déboutonner la braguette et libérer son sexe déjà décalotté et luisant de mouille. Sans arrêter de parler, il m’a doucement posé une main derrière la tête et a un peu appuyé pour que je descende m’occuper de son service trois pièces.
J’ai commencé par jeter un tout petit coup de langue sur le méat, il a eu un sursaut, a pris une grande inspiration et une grosse goutte de mouille est sortie. Avec ma langue, je l’ai étalée sur tout le gland et sur la hampe tout en le fixant dans les yeux, puis j’ai très lentement posé mes lèvres sur le sommet et je me suis enfoncé très progressivement, ma langue s’enroulant autour du gland et de la hampe. Quand je suis arrivé à la garde, il a eu un nouveau petit sursaut, il a profondément expiré en lâchant : « Oh, putain, que c’est bon. »Il m’a maintenu en fond de gorge quelques secondes puis a relâché son étreinte, j’ai alors commencé les va-et-vient en jouant avec ma langue. Mes mains lui caressaient le ventre et le torse, il gémissait, me félicitait et m’encourageait à ne pas arrêter.
Après un bon moment, j’ai gobé ses couilles, en même temps, je lui enlevais son pantalon, il avait fait sauter ses chaussures et quittait sa chemise. J’ai pris sa bite en main pour la branler doucement, j’ai admiré le corps de ce beau gosse avant de replonger sur sa tige. Quand j’ai senti qu’il n’allait pas tarder à venir, j’ai tout lâché, je l’ai saisi par les cuisses pour le tirer un peu vers le bord du canapé et j’ai relevé ses jambes. Je voulais lui bouffer et doigter la rondelle, l’objet de toutes mes convoitises !
Il s’est laissé faire et semblait apprécier vu les gémissements qu’il poussait. J’étais décidé à aller jusqu’au bout cette fois-ci. Il repartirait de là les couilles vidées mais le cul ouvert !
Ne voulant pas lui donner une chance de résister, j’alternais l’anulingus avec le doigtage et une fellation de dingue. Il était totalement abandonné, j’y étais presque !
Pensant reprendre le dessus, il m’a relevé vers lui pour m’embrasser comme on embrasse une proie que l’on va dévorer et posséder. Habituellement, j’aurais fondu et cédé à son envie de mâle dominant mais là, ma détermination fut plus forte. Ma mission était de le posséder et je l’aurais !
J’étais encore habillé, j’ai baissé mon survêt, je me suis branlé, j’ai mis un peu de salive sur ma bite puis je me suis redressé, j’ai plaqué mon gland sur son trou, bien ouvert et dégoulinant de salive et de mouille. J’ai poussé, c’est entré, il s’est raidi et s’apprêtait à dire quelque chose, j’ai posé mon doigt sur sa bouche pour l’empêcher de parler puis j’ai écarté ses lèvres pour entrer mon doigt dans sa bouche, il s’est mis à le sucer et a fermé les yeux. J’ai poussé encore et encore et, hourra, je suis enfin entré en lui ! Mes couilles ont touché ses fesses, il grimaçait un peu de douleur, je suis resté au fond de lui sans bouger pour qu’il s’habitue et pour en profiter. C’est si bon un petit cul serré, visité pour la première fois, il faut en profiter, ça ne dure pas mais c’est tellement intense !
Il a ouvert les yeux, m’a souri et m’a dit : « Et ben maintenant que t’y es, amuse-toi ! »Ah ça oui, j’allais bien m’amuser ! J’ai commencé des va-et-vient lents puis, sentant qu’il mouillait et que je coulissais de mieux en mieux, j’ai accéléré le rythme, les coups de reins sont devenus plus secs et puissants. Son souffle est devenu râle et petits cris de plaisir. Après 8 mois de fantasmes, deux mois de baises en tant que passif uniquement, je me faisais enfin mon beau facteur comme je l’avais rêvé le jour où je l’ai vu pour la première fois. Il m’en aura donné du fil à retordre mais ça valait vraiment le coup !
Je m’étais un peu penché sur lui pour l’embrasser à pleine bouche. Cette fois, c’est ma langue qui était entrée dans sa bouche et qui s’enroulait autour de la sienne, il était à moi, entièrement, sans aucune résistance ! Sans ressortir, je l’ai doucement fait pivoter pour l’allonger sur le canapé ce qui me permettait de changer de position. Ce n’était pas le moment de me faire un claquage ou une crampe, ah non !
Je l’ai encore baisé un bon moment, ma bite coulissait parfaitement bien en lui désormais. J’alternais les moments tendres avec baisers sur la bouche, sur son front et dans son cou, puis, subitement, je me mettais à le défoncer, lui arrachant des cris de plaisir et de soumission, ses mains me caressaient les flancs, le dos et les fesses. Selon mes assauts, ses caresses étaient tantôt douces et sensuelles, tantôt crispées.
J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais tellement je prenais mon pied mais bon, au bout d’un moment, vous savez bien comme ça se passe, un petit fourmillement apparaît au niveau des couilles, la bite se raidit encore plus, le gland grossit, la montée du plaisir est alors inéluctable, fulgurante et incontrôlable, les muscles se tétanisent, les reins poussent une dernière fois et se bloquent, une sorte de râle venant du fin-fonds de notre ventre est expulsé de notre bouche en même temps qu’un flot de sperme qui jaillit et inonde le canal dans lequel vous êtes enfoncé au maximum. C’est l’orgasme libérateur, le don de ce que l’on a de plus précieux et de plus intime, la fécondation de l’être possédé.
Je pense ne pas avoir joui comme ça de nombreuses fois dans ma vie, huit mois de frustration et d’envie sont partis d’un coup dans son cul ! Comme on dit : « Il a pris cher ! ». Pour son dépucelage, il a été bien servi.
J’étais effondré sur lui, vidé, crevé mais terriblement heureux !
Je me suis retiré doucement tout en l’embrassant, il a allongé ses jambes sur le canapé, j’ai écarté les miennes, je me suis relevé, j’ai branlé sa bite devenue mi molle, elle a repris de la vigueur, j’ai laissé tomber deux filets de salive dessus pour la lubrifier, je l’ai positionnée à l’entrée de mon trou et je me suis empalé. Il était encore groggy, comme absent, j’ai commencé à monter et descendre, d’abord doucement puis de plus en plus vite et fort. Machinalement, il a posé ses mains sur mes hanches mais il semblait ailleurs, comme transporté par ce qu’il venait de vivre.
D’un coup, son souffle s’est fait plus rapide, ses mains se sont crispées, je me suis enfoncé au maximum, il a poussé ce magnifique râle libérateur et s‘est vidé à son tour. J’ai cru qu’il n’arrêterait pas de jouir, il était secoué de spasmes et a bien mis une minute en tout avant de reprendre le contrôle.
Je me suis allongé à côté de lui, on s’est embrassé et je lui ai dit :« Alors, t’as aimé ? »« C’était ENORME ! Jamais je n’aurais cru pouvoir prendre un pied pareil en me faisant baiser. J’ai eu presque pas mal et j’ai éprouvé un plaisir tout nouveau et tellement intense, c’est délirant ! Merci de m’avoir fait connaître ça. »« Tu vois, c’est ce que je t’avais dit, deux mecs, c’est encore plus de possibilités ! Et encore, t’as pas encore tout vu. »« Ouais mais bon, là, ça va aller ! »On est resté comme ça un long moment puis son portable a sonné, il recevait un SMS, il s’est relevé, a lu le message et m’a dit qu’il devait y aller, j’en ai profité pour admirer son cul désormais ouvert et bien rempli, il s’est rhabillé puis est parti après m’avoir embrassé et remercié. Je suis allé me doucher et là, seul dans ma cabine de douche, j’ai poussé un énorme cri de victoire !!!
En sortant de la douche, j’avais, moi aussi un SMS de Damien : « J’ai adoré, faut qu’on remette ça bientôt ! »« Quand tu veux ! » ai-je répondu.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Adorable histoire pleine de sensualité et de tendresse.
très sympa tes textes ! Merci.
Belle histoire comme je les aimes , donnant chacun du plaisir a l'autre , être recto-verso a tour de rôle quel bonheur !!!!!!! J'attend la suite avec impatience
Superbe histoire, sobre, crédible, bien écrite avec force détails évocateurs... bref, on bande bien à la lire!