Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. 19 Ma belle-mère, dernière vengeance.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2020 dans la catégorie Plus on est
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Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. 19 Ma belle-mère, dernière vengeance.
Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. 19Ma belle-mère, dernière vengeance.
Jean la force à le sucer pour la faire taire. Au bout de quelques minutes, il pousse un cri de jouissance car les violents coups de reins de Claude propulsent la bouche de sa femme toujours plus loin sur sa lance qui ne demande plus qu’à se vider, forçant Léonie à avaler son sperme, une première pour lui, et pour elle...
Léonie est en sueur et n’en peut plus, la chatte en feu, mais Jean lui explique:
-Alors ? Ça te plait ? Mais tu n’es qu’au début d’un formidable trip. Le petit coup vite fait avant de faire dodo, c’est pas au programme !
Suite :Elle le regarde d’un air implorant, son corps ne lui appartient plus, sursautant à chaque pénétration trop profonde de ce jeune bouc infatigable, gémissant, feulant aux orgasmes multiples qu’elle ne peut réfréner, arrivant à l’extase. Elle ne se plaint même pas des claques violentes qui tombent sur ses fesses.
Claude s’est retiré après une longue chevauchée, il se branle d’une main et la fiste de l’autre. Elle ressent dans ses entrailles plusieurs doigts qui recherchent son point G, la faisant délirer de plaisir.
Claude est arrivé au point de rupture et zèbre le dos de Léonie de longues trainées blanchâtres.
Une semence épaisse s’étend de la fente de ses fesses jusque dans son abondante chevelure.
Léonie laisse retomber sa tête sur le lit, croyant que son supplice est fini. Elle sent les doigts de Claude racler son dos pour récupérer du foutre, puis en graisser sa chatte et son anus. Affolée, elle sent un, puis deux doigts forcer ce trou qu’elle a toujours interdit à son Mari.
Voyant les fesses offertes, l’anus préparé par ses mains, Claude se positionne et jette un regard à Jean pour son approbation qui anone de la tête. Claude saisit sa verge qui a perdu un peu de sa raideur, colle son gland sur la rondelle fripée et force cette porte étroite.
Léonie hurle de douleur mais le gland a déjà franchi le gué. Je lui conseille d’un air goguenard :
-Laisse-toi faire si tu ne veux pas déguster... Et toi Claude, prends-la par-là, donne-lui du plaisir par le cul, explose lui la rondelle !
-Nooonnn ! Oh putain ! Oh putain ! Arrête ! Tu me casses le cul ! Hurle effrayée Léonie.
Mais Claude n’en a cure. Son défonce-cul, broyé par le sphincter de Léonie, reprend soudain du gourdin. Il peut lâcher la bête sauvage qui na plus besoin de collier. Il pose ses mains sur les reins de Léonie et donne un monstrueux coup de reins, s’enfonçant jusqu’à la garde dans le fion de Léonie.
Elle hurle comme jamais. Autant il a été doux avec moi, autant il ne prend pas de gant avec elle, comme je le lui avais demandé, je tiens ma vengeance.
Claude attend quand même un moment que la douleur s’apaise et que le cul de Léonie prenne la pleine mesure de l’intrus avant de continuer.
Il ressort son engin et recommence, ce coup-ci, avec une extrême lenteur, le membre imposant disparaissant peu à peu, en dilatant le fion à l’extrème, pénétrant doucement entre les fesses d’une Léonie, qui pousse des gémissements en sentant entrer un tel pal, complètement sous le choc d’une telle défloration anale.
Il la taraude un long moment puis, comme tout à l’heure, l’entraine avec lui pour que ça soit lui qui se retrouve en dessous. Il la lâche, espérant qu’elle ne s’éjecte pas de son pieu.
Il a encore gagné car elle replie ses jambes et pose ses mains sur les cuisses de Claude pour avoir des points d’appuis et commence une lascive danse sur cet axe d’airain bien au chaud dans son cul.
Pendant de longues minutes, il fait varier les positions, passant d’une chatte poilue au trou du cul resté entrouvert tellement il a été alésé.
Claude se redresse soudain et approche sa verge de la bouche de Léonie qui comprend où il veut en venir. La sainte-nitouche qui refusait il n’y a pas si longtemps de sucer son mari ne rechigne même pas à engloutir dans sa bouche cette colonne de chair qui sent la merde. Claude lui tient la nuque et se déverse d’une semence abondante qui noie la langue de Léonie d’une bonne couche de crème blanche. Puis il la force à déglutir et à lui montrer qu’elle a avalé la mixture.
Petit instant de pose… Claude en profite pour aller se rafraîchir dans la salle de bain attenante et me fait signe de le suivre.
-Alors ? Que penses-tu de la prestation ? Si tu veux, je peux aller encore plus loin en mettant un cockring.
-Que veux-tu dire par là ? Je lui demande.
-Il est vrai que je ne suis pas allé si loin avec toi. C’est un anneau en caoutchouc de 45mm de diamètre que je mets à la base de ma queue quand elle est au repos, puis quand je bande, la pression exercée par le cockring fait que ma verge est encore plus grosse et plus dure, si raide que rien ne la ferait plier.
-Mais comment fais-tu pour enfiler ce joint « spy » derrière tes bourses, ça ne passera jamais.
-Je passe une burne, puis l’autre dans l’anneau, et ensuite la peau du prépuce pour faire passer le gland, le reste suit. Le seul problème, c’est qu’il faut après que je redébande complètement pour pouvoir retirer l’anneau. Tu veux me le passer ?
-Oh oui ! Ça me fera une expérience de plus dans mon initiation !
Je me mets donc à la tâche, suivant ses indications. Une burne, puis l’autre en tenant le sac de peau. J’ai déjà des difficultés pour réussir à faire passer sa verge dans l’anneau déjà bien plein par ses couilles, je tire sur la peau du prépuce pour faire passer le gland, puis la hampe. Je pousse enfin l’anneau avec difficulté le plus près de son pubis et je sens aussitôt dans ma main grossir sa pine qui devient à une vitesse folle un incroyable obélisque.
Sa queue qui a déjà au naturel des proportions hors du commun est devenue un véritable gourdin**.
Mes mains sont autour d’une véritable massue si ferme que mes doigts serrés au maximum n’arrivent même pas à en diminuer le diamètre. Un vrai bout de bois si lourd qu’il ne peut pas se dresser plus haut que l’horizontal. Je profite au maximum avec mes deux mains et ma bouche en même temps de mon « joujou favori » avant qu’on ne quitte la salle d’eau.
Il revient dans la chambre et force Léonie à se mettre en levrette, lui cachant son bas-ventre où pointe un véritable barreau. Il joue beaucoup avec le cul de Léonie que ses doigts pénètrent sans difficulté. On dirait qu’elle aime ça.
Il me présente sa queue à sucer pendant qu’il lui élargit la rondelle avec ses doigts. Quand son défonce-cul est bien lubrifié de ma salive, sa teub quitte ma bouche. Il la présente devant l’anus et la promène le long du sillon des fesses plusieurs fois puis Claude commence à la pénétrer doucement. Lorsque le gland réussit à forcer le passage et que son sexe l’embroche, elle pousse un cri, ne s’attendant pas à ressentir à nouveau une telle douleur.
-Aaarrrgghhh ! Mais qu’est ce que tu m’enfiles dans le fion ? Comment ta queue peut-elle être encore plus grosse et plus dure ? Oh bordel… Que ça fait mal ! Tu vas me blesser ! Nooonnn !
A suivre…Ps : A la fin du quatrième épisode de cette nouvelle histoire, vous aurez le choix entre continuer de fantasmer sur mes textes ou alors de voir sur quoi je me base pour écrire mes textes.
Jean la force à le sucer pour la faire taire. Au bout de quelques minutes, il pousse un cri de jouissance car les violents coups de reins de Claude propulsent la bouche de sa femme toujours plus loin sur sa lance qui ne demande plus qu’à se vider, forçant Léonie à avaler son sperme, une première pour lui, et pour elle...
Léonie est en sueur et n’en peut plus, la chatte en feu, mais Jean lui explique:
-Alors ? Ça te plait ? Mais tu n’es qu’au début d’un formidable trip. Le petit coup vite fait avant de faire dodo, c’est pas au programme !
Suite :Elle le regarde d’un air implorant, son corps ne lui appartient plus, sursautant à chaque pénétration trop profonde de ce jeune bouc infatigable, gémissant, feulant aux orgasmes multiples qu’elle ne peut réfréner, arrivant à l’extase. Elle ne se plaint même pas des claques violentes qui tombent sur ses fesses.
Claude s’est retiré après une longue chevauchée, il se branle d’une main et la fiste de l’autre. Elle ressent dans ses entrailles plusieurs doigts qui recherchent son point G, la faisant délirer de plaisir.
Claude est arrivé au point de rupture et zèbre le dos de Léonie de longues trainées blanchâtres.
Une semence épaisse s’étend de la fente de ses fesses jusque dans son abondante chevelure.
Léonie laisse retomber sa tête sur le lit, croyant que son supplice est fini. Elle sent les doigts de Claude racler son dos pour récupérer du foutre, puis en graisser sa chatte et son anus. Affolée, elle sent un, puis deux doigts forcer ce trou qu’elle a toujours interdit à son Mari.
Voyant les fesses offertes, l’anus préparé par ses mains, Claude se positionne et jette un regard à Jean pour son approbation qui anone de la tête. Claude saisit sa verge qui a perdu un peu de sa raideur, colle son gland sur la rondelle fripée et force cette porte étroite.
Léonie hurle de douleur mais le gland a déjà franchi le gué. Je lui conseille d’un air goguenard :
-Laisse-toi faire si tu ne veux pas déguster... Et toi Claude, prends-la par-là, donne-lui du plaisir par le cul, explose lui la rondelle !
-Nooonnn ! Oh putain ! Oh putain ! Arrête ! Tu me casses le cul ! Hurle effrayée Léonie.
Mais Claude n’en a cure. Son défonce-cul, broyé par le sphincter de Léonie, reprend soudain du gourdin. Il peut lâcher la bête sauvage qui na plus besoin de collier. Il pose ses mains sur les reins de Léonie et donne un monstrueux coup de reins, s’enfonçant jusqu’à la garde dans le fion de Léonie.
Elle hurle comme jamais. Autant il a été doux avec moi, autant il ne prend pas de gant avec elle, comme je le lui avais demandé, je tiens ma vengeance.
Claude attend quand même un moment que la douleur s’apaise et que le cul de Léonie prenne la pleine mesure de l’intrus avant de continuer.
Il ressort son engin et recommence, ce coup-ci, avec une extrême lenteur, le membre imposant disparaissant peu à peu, en dilatant le fion à l’extrème, pénétrant doucement entre les fesses d’une Léonie, qui pousse des gémissements en sentant entrer un tel pal, complètement sous le choc d’une telle défloration anale.
Il la taraude un long moment puis, comme tout à l’heure, l’entraine avec lui pour que ça soit lui qui se retrouve en dessous. Il la lâche, espérant qu’elle ne s’éjecte pas de son pieu.
Il a encore gagné car elle replie ses jambes et pose ses mains sur les cuisses de Claude pour avoir des points d’appuis et commence une lascive danse sur cet axe d’airain bien au chaud dans son cul.
Pendant de longues minutes, il fait varier les positions, passant d’une chatte poilue au trou du cul resté entrouvert tellement il a été alésé.
Claude se redresse soudain et approche sa verge de la bouche de Léonie qui comprend où il veut en venir. La sainte-nitouche qui refusait il n’y a pas si longtemps de sucer son mari ne rechigne même pas à engloutir dans sa bouche cette colonne de chair qui sent la merde. Claude lui tient la nuque et se déverse d’une semence abondante qui noie la langue de Léonie d’une bonne couche de crème blanche. Puis il la force à déglutir et à lui montrer qu’elle a avalé la mixture.
Petit instant de pose… Claude en profite pour aller se rafraîchir dans la salle de bain attenante et me fait signe de le suivre.
-Alors ? Que penses-tu de la prestation ? Si tu veux, je peux aller encore plus loin en mettant un cockring.
-Que veux-tu dire par là ? Je lui demande.
-Il est vrai que je ne suis pas allé si loin avec toi. C’est un anneau en caoutchouc de 45mm de diamètre que je mets à la base de ma queue quand elle est au repos, puis quand je bande, la pression exercée par le cockring fait que ma verge est encore plus grosse et plus dure, si raide que rien ne la ferait plier.
-Mais comment fais-tu pour enfiler ce joint « spy » derrière tes bourses, ça ne passera jamais.
-Je passe une burne, puis l’autre dans l’anneau, et ensuite la peau du prépuce pour faire passer le gland, le reste suit. Le seul problème, c’est qu’il faut après que je redébande complètement pour pouvoir retirer l’anneau. Tu veux me le passer ?
-Oh oui ! Ça me fera une expérience de plus dans mon initiation !
Je me mets donc à la tâche, suivant ses indications. Une burne, puis l’autre en tenant le sac de peau. J’ai déjà des difficultés pour réussir à faire passer sa verge dans l’anneau déjà bien plein par ses couilles, je tire sur la peau du prépuce pour faire passer le gland, puis la hampe. Je pousse enfin l’anneau avec difficulté le plus près de son pubis et je sens aussitôt dans ma main grossir sa pine qui devient à une vitesse folle un incroyable obélisque.
Sa queue qui a déjà au naturel des proportions hors du commun est devenue un véritable gourdin**.
Mes mains sont autour d’une véritable massue si ferme que mes doigts serrés au maximum n’arrivent même pas à en diminuer le diamètre. Un vrai bout de bois si lourd qu’il ne peut pas se dresser plus haut que l’horizontal. Je profite au maximum avec mes deux mains et ma bouche en même temps de mon « joujou favori » avant qu’on ne quitte la salle d’eau.
Il revient dans la chambre et force Léonie à se mettre en levrette, lui cachant son bas-ventre où pointe un véritable barreau. Il joue beaucoup avec le cul de Léonie que ses doigts pénètrent sans difficulté. On dirait qu’elle aime ça.
Il me présente sa queue à sucer pendant qu’il lui élargit la rondelle avec ses doigts. Quand son défonce-cul est bien lubrifié de ma salive, sa teub quitte ma bouche. Il la présente devant l’anus et la promène le long du sillon des fesses plusieurs fois puis Claude commence à la pénétrer doucement. Lorsque le gland réussit à forcer le passage et que son sexe l’embroche, elle pousse un cri, ne s’attendant pas à ressentir à nouveau une telle douleur.
-Aaarrrgghhh ! Mais qu’est ce que tu m’enfiles dans le fion ? Comment ta queue peut-elle être encore plus grosse et plus dure ? Oh bordel… Que ça fait mal ! Tu vas me blesser ! Nooonnn !
A suivre…Ps : A la fin du quatrième épisode de cette nouvelle histoire, vous aurez le choix entre continuer de fantasmer sur mes textes ou alors de voir sur quoi je me base pour écrire mes textes.
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Un sacré loustic, l'auteur