Mon beau-père, le maçon et moi.
Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2024 dans la catégorie Plus on est
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Mon beau-père, le maçon et moi.
Tout commence par une nuit apparemment normale, une de ces nuits qui annonce une routine tranquille dans notre petite maison à la périphérie de la ville. Lucas était rentré tard du travail, et même si son visage montrait des signes de fatigue, son sourire dès qu'il me voyait, me rassurait toujours. Mais ce soir-là, quelque chose était différent, quelque chose n'était pas à sa place.
Nôtre dîner s'est déroulé dans un pesant silence. J’avais préparé son plat préféré, espérant briser la barrière invisible qui semblait s'être formée entre nous ces jours-ci.
Cependant, chaque bouchée de Lucas était suivie d'un soupir, chaque regard que nous échangions manquait de l'éclat habituel. Finalement, j'en ai eu assez et j'ai rompu le silence.
- Quelque chose ne va pas Lucas ? Tu as l'air distant dis-je cherchant son regard.
- C'est juste le travail, il n'y a pas de quoi s'inquiéter répondit-il.
Sa voix manquait de conviction, et je compris immédiatement qu’autre chose était en jeu. Je n’insistais pas davantage ce soir-là, pensant qu'il avait peut-être besoin d'espace, mais alors que je ramassais la vaisselle, un commentaire sur la façon dont j'avais préparé le dîner a fait naître en moi une étincelle de frustration.
- Je pense que tu as trop salé cette fois-ci, a commenté Lucas sans malice dans sa voix.
A ce moment-là, après tous les efforts déployés pour pour passer une agréable soirée, ces mots ont résonné en moi comme un gong.
- C'est vrai, c'est tout ce que tu as à dire après une longue journée, rétorquais-je en posant la vaisselle plus fort que nécessaire dans l'évier.
Lucas soupire, se lève et s'approche de moi.
- Je suis désolé, dit-il caressant mes seins sous le tablier, ce n'est pas ce que je voulais dire. Merci pour le dîner, c'est juste que la journée a été longue.
Même s'il s'est excusé, quelque chose en moi a craqué, c'était comme si cette critique avait été la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase, après des semaines d'éclipse dans nos rapports. Je me suis couchée ce soir-là avec un mélange de tristesse et de ressentiment, me demandant comment quelque chose d'aussi petit pouvait me sembler si grand. Alors que Lucas dormait à côté de moi, les fissures dans notre mariage que j'avais ignoré ou minimisé, ont commencé à devenir apparente. C'était comme regarder une peinture se décolorer. Ce qui était autrefois clair et lumineux était maintenant sombre et déconcertant.
Je me suis demandée si Lucas ressentait lui aussi cette déconnexions croissantes, ou s'il était tellement immergé dans son propre monde, qu'il ne le remarquait pas. Dans ce tourbillon de pensées et d'émotions contradictoire, je me suis endormie, ignorant que le lendemain marquerait un tournant dans notre relation. Un jour que je souhaiterais pouvoir effacer de notre vie.
Je me suis réveillée avec le sentiment que quelque chose avait changé, non seulement en moi mais aussi dans l'air qui nous entourait. Lucas était déjà parti au travail, laissant derrière lui un vide palpable et un mot sur la table de la cuisine qui disait simplement
« Je te parlerai ce soir. » Son écriture précipitée ajoutait un poids supplémentaire à mes pensées déjà bien encombrées. Et s’il m’annonçait qu’il avait une maîtresse ?
J'avais à peine fini de me préparer un café, que l'on sonna à la porte. A travers le rideau de la porte, je pouvais voir la silhouette de Martin, mon beau-père, qui se tenait là avec un sourire qui essayait d'être réconfortant. Martin a toujours était plus qu'un beau- père pour moi, c'était un ami et parfois un confident, surtout dans les moments où Lucas se repliait sur lui-même.
- Surprise, s'exclama-t-il d'un ton jovial, j'espère ne pas tomber à un mauvais moment.
- Non, bien sûr que non, ai-je menti en forçant un sourire. Lucas est déjà parti travailler.
- Je sais, il m'a dit que tu serais seule, et j'ai pensé venir te tenir compagnie. Peut-être que tu as besoin de parler, dit-il en suivant mon geste qui nous dirigeait vers le salon.
Alors que je me dirigeais vers la chambre pour m’habiller plus décemment, il me dit que j’étais très belle en peignoir, que cela ne le dérangeait pas. Nous nous sommes assis autour du passe plat, et il m'a regardé tripoter la tasse dans mes mains, signe évident de ma nervosité.
- Qu'est-ce qu'il y a ma chérie, Lucas m'a dit que tu étais un peu distante ces derniers temps.
Ces mots étaient à la fois un soulagement et un fardeau. Comment expliquer les fissures invisibles qui s'étaient en formé dans un mariage qui semblait autrefois indestructible. Avec Martin cependant, les mots ont commencé à couler plus facilement que je ne l'espérais. Je lui ai raconté la dispute de la veille, les petites choses qui s'étaient accumulé pour créer un mur entre Lucas et moi. Martin écoutait attentivement, hochant la tête sans jamais m'interrompre. Sa présence était réconfortante et je trouvais en lui une oasis de calme dans le chaos émotionnel qui avait été ma vie ces dernières semaines.
- Nous traversons tous des périodes difficiles, posant une main sur ma cuisse sous le passe plat. a-t-il finalement déclaré, c'est la façon dont nous y faisons face qui définit notre chemin et n'oublie pas que tu n'es pas seule dans cette situation.
Un geste de réconfort, pensais-je. Sa main poursuivait son escalade, et j’étais nue sous le peignoir. Je fermais les yeux, ne sachant comment réagir. Dans un autre contexte j’aurais repoussé cette main, mais dans la vulnérabilité de mon état émotionnel, ce contact a été comme une étincelle sur un sol sec. J'ai ressenti une chaleur inconnue quand il a effleuré ma chatte, une connexion inattendue qui a jailli d'une caresse qui n'aurait pas dû exister. Nous sommes restés ainsi un moment, perdus dans un silence qui semblait soudain chargé, jusqu'à ce que je retire finalement sa main, avec l'impression d'avoir franchi un seuil invisible.
- Je crois que je devrais me préparer quelque chose à manger, ai-je dit, rompant le silence et essayant d'ignorer le tourbillon d'émotion qui m'envahissait.
Lorsque je me suis levé pour aller à la cuisine, Martin s'est levé à son tour, m'a proposé de m'aider et bien qu'une partie de moi ait voulu refuser son aide, une autre partie, confuse et dans le besoin a accepter. La cuisine devint notre nouvelle scène, un lieu où les émotions continuaient à mijoter, préparant le terrain pour des décisions que je n'aurais jamais imaginer prendre.
La sonnette retentit à nouveau, interrompant l'équilibre tendu qui avait commencé à se former entre Martin et moi dans la cuisine. J'ai sursauté, reconnaissante de cette distraction même momentané. En regardant par la fenêtre, j'ai vu une camionnette garée devant la maison avec le logo d'une entreprise de construction. Je me suis alors souvenu que Lucas avait mentionner que quelqu'un venait réparer une fissure dans le mur du jardin. J'ai ouvert la porte et j'ai trouvé un jeune homme costaud vêtu d'un bleu de travail qui soulignait ses muscles et un sourire facile qui illuminait son visage tanné par le soleil.
- Bonjour madame je suis Gino, le maçon. Lucas est à la maison.
- Non il est parti travailler, mais il m'a parler de votre visite, entrez je vous prie, lui ai-je
répondu en le conduisant dans l'arrière-cour.
Alors que Gin sortait ses outils et commençait à inspecter le mur, Martin s'approcha,
curieux du nouveau visiteur.
- Bonjour, je vois que nous avons du travail ici, dit-il d'un ton amical en lui tendant la main.
- C'est exact monsieur, mais ne vous inquiétez pas, cela prendra une journée.
La présence de Gino apporte une nouvelle dynamique à l'atmosphère déjà chargée. Son énergie juvénile et insouciante contrastait avec la tension qui régnait entre Martin et moi. Je décidais de l'inviter à prendre un café avant de commencer son travail, une excuse pour détendre l'atmosphère et réorganiser mes pensées.
Nous nous sommes assis tous les trois dans la cuisine et la conversation s'est déroulée avec une facilité surprenante. Gino a raconté des histoires sur son travail, des
anecdotes légères qui nous ont fait rire, et pendant un moment j'ai pu oublier le tourbillon émotionnel qui m'avait consumé. Ce matin-là pendant que nous rions, je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer la façon dont Martin observait Gino, comme s'il le jaugeait. Il y avait quelque chose dans son regard, une sorte de calcul, ou peut-être d'admiration qui me laissait perplexe. C'est alors que Martin a fait une proposition inattendue. - Pourquoi ne pas vous joindre à nous pour le déjeuner après avoir fini votre travail, ce sera un plaisir d'avoir un peu plus de compagnie, et on dirait que vous avez besoin d'un bon repas après avoir réparé ce mur.
Gino accepta avec un sourire visiblement ravi de l'invitation, j’acquiesçais, bien qu'une partie de moi s’interrogea sur la sagesse de prolonger notre interaction. Cependant, la décision était prise et il n'y avait pas de retour en arrière possible.
Après le café Gino est sorti dans le jardin pour commencer son travail et Martin m'a aidé à préparer le déjeuner. La cuisine était remplie d'arôme d'épices et de bruit de casserole grésillante, une distraction bienvenue de mes pensées confuses. Au fil de la matinée, mon esprit oscillait entre le tumulte de mes émotions à l'égard de Martin et l'intrigue suscitée par le nouveau visiteur. C'était comme si chaque décision que je prenais ce jour-là m'éloignait de plus en plus du monde que je connaissais, un monde où les décisions étaient simple et où la frontière entre le bien et le mal était claire.
Lorsque nous nous sommes finalement assis pour déjeuner, l'ambiance était presque festive, une façade de normalité que nous avons tous maintenu.
Mais sous la surface, j'ai senti quelque chose de plus profond, un présage que les choses étaient sur le point de changer de manière irréversible. Le déjeuner s'est déroulé au milieu des rires et des conversations animées, un masque de normalité que nous semblions tous vouloir maintenir.
Gino a raconté d'autres histoires de ses aventures sur les chantiers de construction, tandis que Martin a raconté des anecdotes coquines de sa jeunesse. Pendant un moment, j'ai pu imaginer que nous étions simplement trois amis passant un après-midi ensemble sans complication ni tension sous-jacente. Cependant au fur et à mesure que le repas avançait et que les verres de vin se vidaient et se remplissaient, un sentiment d'insouciance a commencé à s'installer autour de nous. Gino, peut-être émoussé par le vin ou simplement par l'atmosphère des inhibé a commencé à lancer des regards vers moi, plus qu'amicaux chargés d'une intention que je ne pouvais ignorer et étonnamment, je me suis rendue compte que je ne voulais pas les ignorer. Martin, quant à lui, ne semblait pas insensible à ce jeu de regard et de sourire complice. Son attitude était passée de paternelle à plus provocante, comme s'il s'amusait de la tournure des événements. C'est comme si soudain nous étions tous engagés dans une danse dangereuse. Chaque pas nous rapprochant de l'abîme. A la fin du repas, Martin propose d'aller boire quelques verres dans le jardin pour profiter du soleil de l'après-midi.
- Un peu d'air frais nous fera du bien dit-il avec un sourire qui ne cache pas l'éclat malicieux de ses yeux.
Dans le jardin, la conversation devient plus intime plus audacieuse. Manifestement plus décontracté, Gino raconte des histoires de rencontre passées, à la limite de l'indiscrétion. Martin à son tour n'était pas en reste ajoutant ses propres expériences avec une franchise qui m'a surpris. Assise entre eux, je me sentais comme le protagoniste d'un roman que je n'aurais jamais choisi de lire, et pour pourtant, j'étais trop intriguée pour refermer le livre.
La chaleur du soleil, le vin qui coulait à flot et la compagnie dangereusement charismatique créait une atmosphère chargée d'électricité. A un moment donné, Martin s'est levé et s'est placé derrière moi ,commençant à me masser les épaules avec une familiarité qui aurait dû m'alarmer, mais que sous l'emprise du moment, j'ai trouvé extraordinairement réconfortante.
- Tu es tendu, laisse-moi t'aider à te détendre, a-t-il murmuré à mon oreille d'une voix séduisante.
Gino qui observait la scène depuis sa chaise, n'afficha pas de surprise, mais un sourire complice.
- Tu sembles savoir exactement ce dont elle a besoin Martin, sourit Gino.
Le massage de Martin est devenu plus intense, ses mains fortes mais douces éliminant les tensions de mon cou et de mes épaules. Je fermais les yeux m'abandonnant à la sensation, au confort dangereux d'être le centre d'attention de ces deux hommes. C'est alors que Gino s'est approché, sa présence ajoutant une nouvelle chaleur à mon front. Il me dit doucement à l’oreille.
« Laisse-moi contribuer. » Et avant que je puisse pleinement comprendre la situation, ses mains se joignirent à celle de Martin, une sur chaque bras, me guidant vers un territoire inconnu et tumultueux. A ce moment-là, nous avons franchi un seuil. La frontière entre l'innocence et la trahison s'est estompé à chaque caresse, à chaque rire chuchoté à chaque regard chargé de promesses inavouées.
Nous nous sommes laissés emporter par une passion débridée, oubliant toute trace de morale ou de culpabilité. Ce fut un moment de folie collective, un feu qui a consumé tout ce que nous savions être juste ne laissant que des cendres de ce que nous étions autrefois. Le jardin baigné des derniers rayons dorés du soleil était devenu le théâtre de nos indiscrétion. Les limites autrefois claires et respecté c'était dissout comme le sucre dans le vin que nous continuions à consommer sans mesure. Gino et Martin, chacun d'un côté ont transformé leurs caresses en un art de la persuasion, qui m'a complètement enveloppé. A cet instant, j'ai été emporté par un courant trop puissant pour y résister. A chaque contact, à chaque chuchotement, les souvenirs de ma vie d'avant ce jour s'effaçaient un peu plus, le sentiment d'être désiré par ces deux hommes d'une manière aussi écrasante et désinhibée, a déclenché en moi une passion que je ne soupçonnais pas. C'était une libération de toutes les règles que je m'étais imposées, une rupture des chaînes qui me maintenait ancré dans une vie d'attente et de restriction. Martin avec son expérience savait exactement comment attiser les flammes d'un désir que j'avais gardé caché. Gino, avec sa jeunesse et sa vigueur a apporté une audace qui m'a propulsé vers de nouveaux sommets d'abandon. Ils me prenaient les flans, me positionnaient à leur convenance, choisissaient par ou ils allaient me prendre. A eux deux, ils ont créé une symphonie de sensation qui m'a entraîné au-delà des limites de la raison. Le jardin, avec ses fleurs odorantes et son herbe douce sous nos pieds, témoignait de notre union débridé. Il n'y avait pas de place pour la culpabilité dans ces moments-là, seulement l'extase pure et simple d'être le centre d'une telle attention, d'un tel désir. Chaque mouvement était un accord tacite pour aller de l'avant pour explorer des profondeurs de plaisir que nous n'avions jamais envisagé. Lorsque le soleil s'est enfin coucher, laissant derrière lui un ciel teinté de pourpre et d'or, la réalité de nos actes a commencé à s'imposer.
Nous sommes restés allongés, un enchevêtrement de corps et de respiration agité sous la vaste étendue du crépuscule qui fermait lentement son rideau sur le jour. La brise nocturne a commencé à souffler, rafraîchissant notre peau encore brûlante du feu de notre passion. C'était un souffle de réalité un rappel que le monde tournait toujours, indifférent aux tempêtes humaines.
Alors que je me levais aidé par des mains qui ne voulaient toujours pas me lâcher, une vague d'émotion m'a frappé avec la force d'un océan de joie et de tristesse, de libération et de peur, le tout mélangé dans un cocktail enivrant qui m'a donné le vertige. J'ai regardé Martin et Gino, voyant dans leurs yeux un mélange similaire de satisfaction et de perplexité. Nous avions franchi une ligne, ensemble nous avions partagé quelque chose qui ne pourrait jamais être effacé. Nous nous sommes habillés, en silence, chacun perdu dans ses pensées.
Les adieux ont été brefs, presque maladroit, avec des promesses que tout irait bien, même si chaque mot sonnait creux dans l'air frais du soir. Je suis retourné à la maison, sentant chaque pierre du chemin sous mes pieds comme si je marchais sur un nouveau terrain. Une carte inconnue que je devais apprendre à parcourir. En refermant la porte derrière moi, le silence de la maison m'enveloppa. Lucas reviendrait bientôt et avec lui la nécessité de faire face à la réalité de ce que j’avais fait.
Ce jour-là, j'avais connu l'extase la plus pure, mais à un prix que je n'étais pas encore sûr de pouvoir me permettre. La maison était silencieuse lorsque je me suis finalement assise sur le canapé du salon, la même ou quelques heures auparavant nous avions ri et partagé des histoires comme s'il n'y avait pas de lendemain. Alors que l'adrénaline du moment se dissipait, l'ampleur de mes actes a commencé à s'installer dans mon esprit.
Un sentiment de culpabilité a commencé à grandir en moi, se répandant comme une tache d'encre dans l'eau claire. Comment avais-je pu laisser les choses aller aussi loin, comment pouvais-je regarder Lucas dans les yeux, en sachant ce que j'avais fait. J'ai essayé de rationaliser mes actes, de me dire que j'avais été emporté par un moment de faiblesse, que ce n'était pas entièrement de ma faute. Mais ces excuses sonnaient creux et faux, même dans ma tête je savais que j'avais fait des choix, que chaque pas dans ce jardin avait été un pas conscient, même s'il avait été guidé par des émotions que je comprenais à peine. Je me suis levée et j'ai commencé à marcher dans la maison, en passant devant les pièces dans lesquelles Lucas et moi avons construit notre vie ensemble. Chaque tableau sur les murs, chaque meuble que nous avions choisi, tout semblait m'accuser, me rappeler la trahison que j'avais commise. Je savais que Lucas rentrerait bientôt du travail, et à chaque minute qui passait, mon angoisse grandissait.
Devais-je tout lui avouer, pourrait-il jamais me pardonner, ou devais-je garder ce secret, l'enfouir au plus profond de moi, espérant qu'il ne sortirait jamais. Je me suis assise sur notre lit là où Lucas et moi avions partagé tant de moments d'amour, et de connexion. Les draps sentaient encore son odeur, un rappel douloureux de combien je l'aimais, et à quel point je l'avais trahi.
J'ai entendu la clé tourner dans la serrure de la porte, mon cœur s'est arrêté.
Lucas entra, le visage fatigué par une longue journée de travail, mais s’illuminèrent encore à ma vue. Il s'approcha de moi, me pris ses bras. Je lui demandais s’il avait passé une bonne journée. Il me répondis que oui, avec un franc sourire.
Je lui dit que j’avais quelque chose à lui avouer. Il m’arrêta, que disant que lui aussi, avait une proposition à me faire. Je l’écoutais, retardant ainsi mes déchirant aveux.
Il me dit qu’il avait proposé à son père, de venir habiter avec nous, et qu’il avait accepté. Il serait moins seul, et pourrait nous aider.
Je suis resté cloué sur le canapé. Comment désormais avouer ma trahison, Martin ne comprendrait pas. Quand Lucas m’a demandé ce que j’avais à lui dire, je lui dis que j’avais eu la même idée que lui.
Nôtre dîner s'est déroulé dans un pesant silence. J’avais préparé son plat préféré, espérant briser la barrière invisible qui semblait s'être formée entre nous ces jours-ci.
Cependant, chaque bouchée de Lucas était suivie d'un soupir, chaque regard que nous échangions manquait de l'éclat habituel. Finalement, j'en ai eu assez et j'ai rompu le silence.
- Quelque chose ne va pas Lucas ? Tu as l'air distant dis-je cherchant son regard.
- C'est juste le travail, il n'y a pas de quoi s'inquiéter répondit-il.
Sa voix manquait de conviction, et je compris immédiatement qu’autre chose était en jeu. Je n’insistais pas davantage ce soir-là, pensant qu'il avait peut-être besoin d'espace, mais alors que je ramassais la vaisselle, un commentaire sur la façon dont j'avais préparé le dîner a fait naître en moi une étincelle de frustration.
- Je pense que tu as trop salé cette fois-ci, a commenté Lucas sans malice dans sa voix.
A ce moment-là, après tous les efforts déployés pour pour passer une agréable soirée, ces mots ont résonné en moi comme un gong.
- C'est vrai, c'est tout ce que tu as à dire après une longue journée, rétorquais-je en posant la vaisselle plus fort que nécessaire dans l'évier.
Lucas soupire, se lève et s'approche de moi.
- Je suis désolé, dit-il caressant mes seins sous le tablier, ce n'est pas ce que je voulais dire. Merci pour le dîner, c'est juste que la journée a été longue.
Même s'il s'est excusé, quelque chose en moi a craqué, c'était comme si cette critique avait été la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase, après des semaines d'éclipse dans nos rapports. Je me suis couchée ce soir-là avec un mélange de tristesse et de ressentiment, me demandant comment quelque chose d'aussi petit pouvait me sembler si grand. Alors que Lucas dormait à côté de moi, les fissures dans notre mariage que j'avais ignoré ou minimisé, ont commencé à devenir apparente. C'était comme regarder une peinture se décolorer. Ce qui était autrefois clair et lumineux était maintenant sombre et déconcertant.
Je me suis demandée si Lucas ressentait lui aussi cette déconnexions croissantes, ou s'il était tellement immergé dans son propre monde, qu'il ne le remarquait pas. Dans ce tourbillon de pensées et d'émotions contradictoire, je me suis endormie, ignorant que le lendemain marquerait un tournant dans notre relation. Un jour que je souhaiterais pouvoir effacer de notre vie.
Je me suis réveillée avec le sentiment que quelque chose avait changé, non seulement en moi mais aussi dans l'air qui nous entourait. Lucas était déjà parti au travail, laissant derrière lui un vide palpable et un mot sur la table de la cuisine qui disait simplement
« Je te parlerai ce soir. » Son écriture précipitée ajoutait un poids supplémentaire à mes pensées déjà bien encombrées. Et s’il m’annonçait qu’il avait une maîtresse ?
J'avais à peine fini de me préparer un café, que l'on sonna à la porte. A travers le rideau de la porte, je pouvais voir la silhouette de Martin, mon beau-père, qui se tenait là avec un sourire qui essayait d'être réconfortant. Martin a toujours était plus qu'un beau- père pour moi, c'était un ami et parfois un confident, surtout dans les moments où Lucas se repliait sur lui-même.
- Surprise, s'exclama-t-il d'un ton jovial, j'espère ne pas tomber à un mauvais moment.
- Non, bien sûr que non, ai-je menti en forçant un sourire. Lucas est déjà parti travailler.
- Je sais, il m'a dit que tu serais seule, et j'ai pensé venir te tenir compagnie. Peut-être que tu as besoin de parler, dit-il en suivant mon geste qui nous dirigeait vers le salon.
Alors que je me dirigeais vers la chambre pour m’habiller plus décemment, il me dit que j’étais très belle en peignoir, que cela ne le dérangeait pas. Nous nous sommes assis autour du passe plat, et il m'a regardé tripoter la tasse dans mes mains, signe évident de ma nervosité.
- Qu'est-ce qu'il y a ma chérie, Lucas m'a dit que tu étais un peu distante ces derniers temps.
Ces mots étaient à la fois un soulagement et un fardeau. Comment expliquer les fissures invisibles qui s'étaient en formé dans un mariage qui semblait autrefois indestructible. Avec Martin cependant, les mots ont commencé à couler plus facilement que je ne l'espérais. Je lui ai raconté la dispute de la veille, les petites choses qui s'étaient accumulé pour créer un mur entre Lucas et moi. Martin écoutait attentivement, hochant la tête sans jamais m'interrompre. Sa présence était réconfortante et je trouvais en lui une oasis de calme dans le chaos émotionnel qui avait été ma vie ces dernières semaines.
- Nous traversons tous des périodes difficiles, posant une main sur ma cuisse sous le passe plat. a-t-il finalement déclaré, c'est la façon dont nous y faisons face qui définit notre chemin et n'oublie pas que tu n'es pas seule dans cette situation.
Un geste de réconfort, pensais-je. Sa main poursuivait son escalade, et j’étais nue sous le peignoir. Je fermais les yeux, ne sachant comment réagir. Dans un autre contexte j’aurais repoussé cette main, mais dans la vulnérabilité de mon état émotionnel, ce contact a été comme une étincelle sur un sol sec. J'ai ressenti une chaleur inconnue quand il a effleuré ma chatte, une connexion inattendue qui a jailli d'une caresse qui n'aurait pas dû exister. Nous sommes restés ainsi un moment, perdus dans un silence qui semblait soudain chargé, jusqu'à ce que je retire finalement sa main, avec l'impression d'avoir franchi un seuil invisible.
- Je crois que je devrais me préparer quelque chose à manger, ai-je dit, rompant le silence et essayant d'ignorer le tourbillon d'émotion qui m'envahissait.
Lorsque je me suis levé pour aller à la cuisine, Martin s'est levé à son tour, m'a proposé de m'aider et bien qu'une partie de moi ait voulu refuser son aide, une autre partie, confuse et dans le besoin a accepter. La cuisine devint notre nouvelle scène, un lieu où les émotions continuaient à mijoter, préparant le terrain pour des décisions que je n'aurais jamais imaginer prendre.
La sonnette retentit à nouveau, interrompant l'équilibre tendu qui avait commencé à se former entre Martin et moi dans la cuisine. J'ai sursauté, reconnaissante de cette distraction même momentané. En regardant par la fenêtre, j'ai vu une camionnette garée devant la maison avec le logo d'une entreprise de construction. Je me suis alors souvenu que Lucas avait mentionner que quelqu'un venait réparer une fissure dans le mur du jardin. J'ai ouvert la porte et j'ai trouvé un jeune homme costaud vêtu d'un bleu de travail qui soulignait ses muscles et un sourire facile qui illuminait son visage tanné par le soleil.
- Bonjour madame je suis Gino, le maçon. Lucas est à la maison.
- Non il est parti travailler, mais il m'a parler de votre visite, entrez je vous prie, lui ai-je
répondu en le conduisant dans l'arrière-cour.
Alors que Gin sortait ses outils et commençait à inspecter le mur, Martin s'approcha,
curieux du nouveau visiteur.
- Bonjour, je vois que nous avons du travail ici, dit-il d'un ton amical en lui tendant la main.
- C'est exact monsieur, mais ne vous inquiétez pas, cela prendra une journée.
La présence de Gino apporte une nouvelle dynamique à l'atmosphère déjà chargée. Son énergie juvénile et insouciante contrastait avec la tension qui régnait entre Martin et moi. Je décidais de l'inviter à prendre un café avant de commencer son travail, une excuse pour détendre l'atmosphère et réorganiser mes pensées.
Nous nous sommes assis tous les trois dans la cuisine et la conversation s'est déroulée avec une facilité surprenante. Gino a raconté des histoires sur son travail, des
anecdotes légères qui nous ont fait rire, et pendant un moment j'ai pu oublier le tourbillon émotionnel qui m'avait consumé. Ce matin-là pendant que nous rions, je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer la façon dont Martin observait Gino, comme s'il le jaugeait. Il y avait quelque chose dans son regard, une sorte de calcul, ou peut-être d'admiration qui me laissait perplexe. C'est alors que Martin a fait une proposition inattendue. - Pourquoi ne pas vous joindre à nous pour le déjeuner après avoir fini votre travail, ce sera un plaisir d'avoir un peu plus de compagnie, et on dirait que vous avez besoin d'un bon repas après avoir réparé ce mur.
Gino accepta avec un sourire visiblement ravi de l'invitation, j’acquiesçais, bien qu'une partie de moi s’interrogea sur la sagesse de prolonger notre interaction. Cependant, la décision était prise et il n'y avait pas de retour en arrière possible.
Après le café Gino est sorti dans le jardin pour commencer son travail et Martin m'a aidé à préparer le déjeuner. La cuisine était remplie d'arôme d'épices et de bruit de casserole grésillante, une distraction bienvenue de mes pensées confuses. Au fil de la matinée, mon esprit oscillait entre le tumulte de mes émotions à l'égard de Martin et l'intrigue suscitée par le nouveau visiteur. C'était comme si chaque décision que je prenais ce jour-là m'éloignait de plus en plus du monde que je connaissais, un monde où les décisions étaient simple et où la frontière entre le bien et le mal était claire.
Lorsque nous nous sommes finalement assis pour déjeuner, l'ambiance était presque festive, une façade de normalité que nous avons tous maintenu.
Mais sous la surface, j'ai senti quelque chose de plus profond, un présage que les choses étaient sur le point de changer de manière irréversible. Le déjeuner s'est déroulé au milieu des rires et des conversations animées, un masque de normalité que nous semblions tous vouloir maintenir.
Gino a raconté d'autres histoires de ses aventures sur les chantiers de construction, tandis que Martin a raconté des anecdotes coquines de sa jeunesse. Pendant un moment, j'ai pu imaginer que nous étions simplement trois amis passant un après-midi ensemble sans complication ni tension sous-jacente. Cependant au fur et à mesure que le repas avançait et que les verres de vin se vidaient et se remplissaient, un sentiment d'insouciance a commencé à s'installer autour de nous. Gino, peut-être émoussé par le vin ou simplement par l'atmosphère des inhibé a commencé à lancer des regards vers moi, plus qu'amicaux chargés d'une intention que je ne pouvais ignorer et étonnamment, je me suis rendue compte que je ne voulais pas les ignorer. Martin, quant à lui, ne semblait pas insensible à ce jeu de regard et de sourire complice. Son attitude était passée de paternelle à plus provocante, comme s'il s'amusait de la tournure des événements. C'est comme si soudain nous étions tous engagés dans une danse dangereuse. Chaque pas nous rapprochant de l'abîme. A la fin du repas, Martin propose d'aller boire quelques verres dans le jardin pour profiter du soleil de l'après-midi.
- Un peu d'air frais nous fera du bien dit-il avec un sourire qui ne cache pas l'éclat malicieux de ses yeux.
Dans le jardin, la conversation devient plus intime plus audacieuse. Manifestement plus décontracté, Gino raconte des histoires de rencontre passées, à la limite de l'indiscrétion. Martin à son tour n'était pas en reste ajoutant ses propres expériences avec une franchise qui m'a surpris. Assise entre eux, je me sentais comme le protagoniste d'un roman que je n'aurais jamais choisi de lire, et pour pourtant, j'étais trop intriguée pour refermer le livre.
La chaleur du soleil, le vin qui coulait à flot et la compagnie dangereusement charismatique créait une atmosphère chargée d'électricité. A un moment donné, Martin s'est levé et s'est placé derrière moi ,commençant à me masser les épaules avec une familiarité qui aurait dû m'alarmer, mais que sous l'emprise du moment, j'ai trouvé extraordinairement réconfortante.
- Tu es tendu, laisse-moi t'aider à te détendre, a-t-il murmuré à mon oreille d'une voix séduisante.
Gino qui observait la scène depuis sa chaise, n'afficha pas de surprise, mais un sourire complice.
- Tu sembles savoir exactement ce dont elle a besoin Martin, sourit Gino.
Le massage de Martin est devenu plus intense, ses mains fortes mais douces éliminant les tensions de mon cou et de mes épaules. Je fermais les yeux m'abandonnant à la sensation, au confort dangereux d'être le centre d'attention de ces deux hommes. C'est alors que Gino s'est approché, sa présence ajoutant une nouvelle chaleur à mon front. Il me dit doucement à l’oreille.
« Laisse-moi contribuer. » Et avant que je puisse pleinement comprendre la situation, ses mains se joignirent à celle de Martin, une sur chaque bras, me guidant vers un territoire inconnu et tumultueux. A ce moment-là, nous avons franchi un seuil. La frontière entre l'innocence et la trahison s'est estompé à chaque caresse, à chaque rire chuchoté à chaque regard chargé de promesses inavouées.
Nous nous sommes laissés emporter par une passion débridée, oubliant toute trace de morale ou de culpabilité. Ce fut un moment de folie collective, un feu qui a consumé tout ce que nous savions être juste ne laissant que des cendres de ce que nous étions autrefois. Le jardin baigné des derniers rayons dorés du soleil était devenu le théâtre de nos indiscrétion. Les limites autrefois claires et respecté c'était dissout comme le sucre dans le vin que nous continuions à consommer sans mesure. Gino et Martin, chacun d'un côté ont transformé leurs caresses en un art de la persuasion, qui m'a complètement enveloppé. A cet instant, j'ai été emporté par un courant trop puissant pour y résister. A chaque contact, à chaque chuchotement, les souvenirs de ma vie d'avant ce jour s'effaçaient un peu plus, le sentiment d'être désiré par ces deux hommes d'une manière aussi écrasante et désinhibée, a déclenché en moi une passion que je ne soupçonnais pas. C'était une libération de toutes les règles que je m'étais imposées, une rupture des chaînes qui me maintenait ancré dans une vie d'attente et de restriction. Martin avec son expérience savait exactement comment attiser les flammes d'un désir que j'avais gardé caché. Gino, avec sa jeunesse et sa vigueur a apporté une audace qui m'a propulsé vers de nouveaux sommets d'abandon. Ils me prenaient les flans, me positionnaient à leur convenance, choisissaient par ou ils allaient me prendre. A eux deux, ils ont créé une symphonie de sensation qui m'a entraîné au-delà des limites de la raison. Le jardin, avec ses fleurs odorantes et son herbe douce sous nos pieds, témoignait de notre union débridé. Il n'y avait pas de place pour la culpabilité dans ces moments-là, seulement l'extase pure et simple d'être le centre d'une telle attention, d'un tel désir. Chaque mouvement était un accord tacite pour aller de l'avant pour explorer des profondeurs de plaisir que nous n'avions jamais envisagé. Lorsque le soleil s'est enfin coucher, laissant derrière lui un ciel teinté de pourpre et d'or, la réalité de nos actes a commencé à s'imposer.
Nous sommes restés allongés, un enchevêtrement de corps et de respiration agité sous la vaste étendue du crépuscule qui fermait lentement son rideau sur le jour. La brise nocturne a commencé à souffler, rafraîchissant notre peau encore brûlante du feu de notre passion. C'était un souffle de réalité un rappel que le monde tournait toujours, indifférent aux tempêtes humaines.
Alors que je me levais aidé par des mains qui ne voulaient toujours pas me lâcher, une vague d'émotion m'a frappé avec la force d'un océan de joie et de tristesse, de libération et de peur, le tout mélangé dans un cocktail enivrant qui m'a donné le vertige. J'ai regardé Martin et Gino, voyant dans leurs yeux un mélange similaire de satisfaction et de perplexité. Nous avions franchi une ligne, ensemble nous avions partagé quelque chose qui ne pourrait jamais être effacé. Nous nous sommes habillés, en silence, chacun perdu dans ses pensées.
Les adieux ont été brefs, presque maladroit, avec des promesses que tout irait bien, même si chaque mot sonnait creux dans l'air frais du soir. Je suis retourné à la maison, sentant chaque pierre du chemin sous mes pieds comme si je marchais sur un nouveau terrain. Une carte inconnue que je devais apprendre à parcourir. En refermant la porte derrière moi, le silence de la maison m'enveloppa. Lucas reviendrait bientôt et avec lui la nécessité de faire face à la réalité de ce que j’avais fait.
Ce jour-là, j'avais connu l'extase la plus pure, mais à un prix que je n'étais pas encore sûr de pouvoir me permettre. La maison était silencieuse lorsque je me suis finalement assise sur le canapé du salon, la même ou quelques heures auparavant nous avions ri et partagé des histoires comme s'il n'y avait pas de lendemain. Alors que l'adrénaline du moment se dissipait, l'ampleur de mes actes a commencé à s'installer dans mon esprit.
Un sentiment de culpabilité a commencé à grandir en moi, se répandant comme une tache d'encre dans l'eau claire. Comment avais-je pu laisser les choses aller aussi loin, comment pouvais-je regarder Lucas dans les yeux, en sachant ce que j'avais fait. J'ai essayé de rationaliser mes actes, de me dire que j'avais été emporté par un moment de faiblesse, que ce n'était pas entièrement de ma faute. Mais ces excuses sonnaient creux et faux, même dans ma tête je savais que j'avais fait des choix, que chaque pas dans ce jardin avait été un pas conscient, même s'il avait été guidé par des émotions que je comprenais à peine. Je me suis levée et j'ai commencé à marcher dans la maison, en passant devant les pièces dans lesquelles Lucas et moi avons construit notre vie ensemble. Chaque tableau sur les murs, chaque meuble que nous avions choisi, tout semblait m'accuser, me rappeler la trahison que j'avais commise. Je savais que Lucas rentrerait bientôt du travail, et à chaque minute qui passait, mon angoisse grandissait.
Devais-je tout lui avouer, pourrait-il jamais me pardonner, ou devais-je garder ce secret, l'enfouir au plus profond de moi, espérant qu'il ne sortirait jamais. Je me suis assise sur notre lit là où Lucas et moi avions partagé tant de moments d'amour, et de connexion. Les draps sentaient encore son odeur, un rappel douloureux de combien je l'aimais, et à quel point je l'avais trahi.
J'ai entendu la clé tourner dans la serrure de la porte, mon cœur s'est arrêté.
Lucas entra, le visage fatigué par une longue journée de travail, mais s’illuminèrent encore à ma vue. Il s'approcha de moi, me pris ses bras. Je lui demandais s’il avait passé une bonne journée. Il me répondis que oui, avec un franc sourire.
Je lui dit que j’avais quelque chose à lui avouer. Il m’arrêta, que disant que lui aussi, avait une proposition à me faire. Je l’écoutais, retardant ainsi mes déchirant aveux.
Il me dit qu’il avait proposé à son père, de venir habiter avec nous, et qu’il avait accepté. Il serait moins seul, et pourrait nous aider.
Je suis resté cloué sur le canapé. Comment désormais avouer ma trahison, Martin ne comprendrait pas. Quand Lucas m’a demandé ce que j’avais à lui dire, je lui dis que j’avais eu la même idée que lui.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
L'histoire aurait pu être belle et excitante mais ça manque trop de détails ! Si la suite est de cet acabit , ce sera triste à lire ! Allez un effort pour des actes expliqués et croustillants.