Mon billet érotique : L'esthéticienne
Récit érotique écrit par Nosiuol [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Mon billet érotique : L'esthéticienne
Avant de partir en vacances au bord de la méditerranée, comme je me suis laissée un peu débordée par ma toison pubienne et mes poils dans l'entrejambe ainsi que la raie fessière ; il y a une semaine, j'ai pris un rendez-vous dans l'institut de beauté dans lequel j'ai mes habitudes, pour un toilettage intime.
Le jeudi avant mon départ pour un mois de vacances, je me suis donc rendue à ce rendez-vous. C'est Lise, une petite brune, nouvelle dans l'établissement qui s'est occupée de moi. Elle m'a installée dans une cabine. À sa demande, j'ai retiré ma robe, mon slip, et je me suis allongée sur la table.
Lise m'a épilée, consciencieusement, méticuleusement. Même si elle était très douce, c'était quand même désagréable, heureusement, en bonne professionnelle, elle a fait cela relativement vite.
Lorsque ma petite chatte a été dépouillée de tout poil, ne me laissant, a ma demande, qu'un ticket de métro sur mon pubis, elle s'est mise à enduire mon minou, l'intérieur des cuisses, la raie fessière et mon petit trou de crème apaisante.
Si la fraîcheur du produit calmait les brûlures que je ressentais, par contre les mains de Lise qui se promenait sur la totalité de mon intimité pour me badigeonner, activait des sensations que je connaissait que trop bien
Les doigts magiques de Lise, folâtraient le long de ma fente, frôlaient l'entrée de ma vulve, la hampe de mon clito... Ils m'émoustillaient et des papillons envahissait mon bas-ventre.
Reprenant un peu de lucidité, je me suis redressée sur mes coudes et j'ai regardé l'esthéticienne. Lise, rouge de confusion a précipitamment retiré sa main.
- Excusez-moi, il m'a semblé que... Vous... Enfin... Voir... Que vous aviez envie... A-t-elle bafouillé.
- Que... Quoi?... Je suis restée perplexe et en même temps très excitée par cette situation.
Nous étions là, toutes les deux dans cette cabine, moi pratiquement nue, jambes ouvertes et repliées. Elle avec une superbe vue sur ma chattoune qui commençait à suinter.
Alors, une pulsion sexuelle ?... Le fait est, que sans réfléchir autrement que par mon sexe, j'ai attrapé la main de Lise et je l'ai remise dessus. D'abord surprise quelques secondes par mon geste, ses doigts ont repris rapidement leur mouvement.
Cette fois, ils ne se sont pas contentés que de me caresser. Ils ont ouvert ma fente, se sont attardés sur mon clitoris qu'ils ont frotté avant qu' un doigt puis un deuxième de son autre main s'enfoncent lentement en moi. Le tout m'arrachant des soupirs de plaisirs au fur et à mesure qu'ils remplissaient mon intimité et me fouillaient.
Je sentais que la situation aidant, il ne me faudrait pas longtemps pour venir.
Pendant qu'elle me branlait et qu'elle me doigtait, Lise me regardait dans les yeux et cela rendait ma jouissance encore plus intense. Jamais je n'aurais pensé en venant me faire épiler que mon esthéticienne allait me faire jouir ! Et pourtant, c'est ce qui allait m'arriver ! Je m'ouvrais de plus en plus, je mouillais tellement que je coulais sur la serviette qui protégeait la table.
J'allais jouir... Quand une immense frustration m'a envahie
Lise m'avait abandonnée pour sortir d'un placard, un concombre !
Concombre normalement réservé aux soins du visage. Mais je pressentais qu'aujourd'hui, il n'allait pas finir en tranches et allait avoir un tout autre usage... Et cette évocation fit grandir mon excitation.
Après l'avoir passé sous le robinet du lavabo de la cabine, lubrifié, Lise est revenue vers moi toujours étendue, cuisses ouvertes, vulve embrasée
- Vous voulez ? M'a-t-elle demandée en me montrant le gros cucurbitacée.
Pour seule réponse, j'ai écarté un peu plus mes cuisses, ouvert mon sexe des deux mains...
Avec délicatesse, elle a enfoncé lentement le légume dans mon vagin. J'étais tellement mouillée, que malgré sa grosseur, il a glissé sans effort jusqu'au plus profond de ma grotte. Il était si long, mais surtout si épais que je me suis sentie d'abord partagée en deux, puis remplie... Pleine, je me sentais pleine... Divin !
Lise tout en ayant repris sa masturbation sur mon petit bouton rose, le faisait aller et venir, de plus en plus vite, de plus en plus profond. Elle le regardait disparaître dans ma chatte en se mordant la lèvre inférieure. Je voyais que ça l'excitait terriblement de me faire ça. J'aurais aimé voir l'état de sa culotte, du moins si elle en portait une.
Et puis, tout à coup, une vague de chaleur s'est propagée dans tout mon corps, les parois de ma vulve se sont contractées spasmodiquement sur le concombre, mon corps tout entier s'est mis a trembler, je me suis raidie... Et j'ai joui ! En mordant ma main pour étouffer mes râles d'agonie...
Un, deux, trois orgasmes se sont enchaînés, car Lise n'arrêtait pas de me baiser, de me torturer le clitoris malgré mes supplications. J'en pleurais de plaisir tellement c'était bon et monstrueux !
Le concombre encore planté en moi, je planais sur mon petit nuage dans un sentiment de plénitude totale. Quand on a tapé à la porte, ce qui a eu pour effet de me faire rapidement redescendre sur terre et affolé Lise qui devait certainement être en retard pour le rendez-vous suivant et se faisait ainsi rappeler à l'ordre par sa patronne.
Du coup, notre petit tête-à-tête s'est arrêté là. Dommage, j'avais envie de la gouiner, de la faire jouir à mon tour... Mais je sais ou la retrouver, je reviendrais pour un massage...
Manon.
Le jeudi avant mon départ pour un mois de vacances, je me suis donc rendue à ce rendez-vous. C'est Lise, une petite brune, nouvelle dans l'établissement qui s'est occupée de moi. Elle m'a installée dans une cabine. À sa demande, j'ai retiré ma robe, mon slip, et je me suis allongée sur la table.
Lise m'a épilée, consciencieusement, méticuleusement. Même si elle était très douce, c'était quand même désagréable, heureusement, en bonne professionnelle, elle a fait cela relativement vite.
Lorsque ma petite chatte a été dépouillée de tout poil, ne me laissant, a ma demande, qu'un ticket de métro sur mon pubis, elle s'est mise à enduire mon minou, l'intérieur des cuisses, la raie fessière et mon petit trou de crème apaisante.
Si la fraîcheur du produit calmait les brûlures que je ressentais, par contre les mains de Lise qui se promenait sur la totalité de mon intimité pour me badigeonner, activait des sensations que je connaissait que trop bien
Les doigts magiques de Lise, folâtraient le long de ma fente, frôlaient l'entrée de ma vulve, la hampe de mon clito... Ils m'émoustillaient et des papillons envahissait mon bas-ventre.
Reprenant un peu de lucidité, je me suis redressée sur mes coudes et j'ai regardé l'esthéticienne. Lise, rouge de confusion a précipitamment retiré sa main.
- Excusez-moi, il m'a semblé que... Vous... Enfin... Voir... Que vous aviez envie... A-t-elle bafouillé.
- Que... Quoi?... Je suis restée perplexe et en même temps très excitée par cette situation.
Nous étions là, toutes les deux dans cette cabine, moi pratiquement nue, jambes ouvertes et repliées. Elle avec une superbe vue sur ma chattoune qui commençait à suinter.
Alors, une pulsion sexuelle ?... Le fait est, que sans réfléchir autrement que par mon sexe, j'ai attrapé la main de Lise et je l'ai remise dessus. D'abord surprise quelques secondes par mon geste, ses doigts ont repris rapidement leur mouvement.
Cette fois, ils ne se sont pas contentés que de me caresser. Ils ont ouvert ma fente, se sont attardés sur mon clitoris qu'ils ont frotté avant qu' un doigt puis un deuxième de son autre main s'enfoncent lentement en moi. Le tout m'arrachant des soupirs de plaisirs au fur et à mesure qu'ils remplissaient mon intimité et me fouillaient.
Je sentais que la situation aidant, il ne me faudrait pas longtemps pour venir.
Pendant qu'elle me branlait et qu'elle me doigtait, Lise me regardait dans les yeux et cela rendait ma jouissance encore plus intense. Jamais je n'aurais pensé en venant me faire épiler que mon esthéticienne allait me faire jouir ! Et pourtant, c'est ce qui allait m'arriver ! Je m'ouvrais de plus en plus, je mouillais tellement que je coulais sur la serviette qui protégeait la table.
J'allais jouir... Quand une immense frustration m'a envahie
Lise m'avait abandonnée pour sortir d'un placard, un concombre !
Concombre normalement réservé aux soins du visage. Mais je pressentais qu'aujourd'hui, il n'allait pas finir en tranches et allait avoir un tout autre usage... Et cette évocation fit grandir mon excitation.
Après l'avoir passé sous le robinet du lavabo de la cabine, lubrifié, Lise est revenue vers moi toujours étendue, cuisses ouvertes, vulve embrasée
- Vous voulez ? M'a-t-elle demandée en me montrant le gros cucurbitacée.
Pour seule réponse, j'ai écarté un peu plus mes cuisses, ouvert mon sexe des deux mains...
Avec délicatesse, elle a enfoncé lentement le légume dans mon vagin. J'étais tellement mouillée, que malgré sa grosseur, il a glissé sans effort jusqu'au plus profond de ma grotte. Il était si long, mais surtout si épais que je me suis sentie d'abord partagée en deux, puis remplie... Pleine, je me sentais pleine... Divin !
Lise tout en ayant repris sa masturbation sur mon petit bouton rose, le faisait aller et venir, de plus en plus vite, de plus en plus profond. Elle le regardait disparaître dans ma chatte en se mordant la lèvre inférieure. Je voyais que ça l'excitait terriblement de me faire ça. J'aurais aimé voir l'état de sa culotte, du moins si elle en portait une.
Et puis, tout à coup, une vague de chaleur s'est propagée dans tout mon corps, les parois de ma vulve se sont contractées spasmodiquement sur le concombre, mon corps tout entier s'est mis a trembler, je me suis raidie... Et j'ai joui ! En mordant ma main pour étouffer mes râles d'agonie...
Un, deux, trois orgasmes se sont enchaînés, car Lise n'arrêtait pas de me baiser, de me torturer le clitoris malgré mes supplications. J'en pleurais de plaisir tellement c'était bon et monstrueux !
Le concombre encore planté en moi, je planais sur mon petit nuage dans un sentiment de plénitude totale. Quand on a tapé à la porte, ce qui a eu pour effet de me faire rapidement redescendre sur terre et affolé Lise qui devait certainement être en retard pour le rendez-vous suivant et se faisait ainsi rappeler à l'ordre par sa patronne.
Du coup, notre petit tête-à-tête s'est arrêté là. Dommage, j'avais envie de la gouiner, de la faire jouir à mon tour... Mais je sais ou la retrouver, je reviendrais pour un massage...
Manon.
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