Mon body Petit Bateau

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Récit libertin : Mon body Petit Bateau Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Mon body Petit Bateau
Ma vêture préférée, c’est le body.

Petite fille gamine je portais toujours des slips Petit Bateau, coton côtelé blanc et fins ourlets d’aine.
Maintenant que je suis grande fille je continue de m’approvisionner en sous-vêtements de cette maison. En quelque sorte je suis une cliente fidèle...

Enfin fidélité à un fabricant de culotte ne signifie pas que je doive l’être aussi à mes anciens princes charmants ou à mes futurs fiancés ... quelque fois.

Encolure ronde danseuse, tout juste assez large pour y passer la tête, le body s’enfile comme un pull-over ras du cou. Manches longues, chaud, près du corps, serrant mes petits seins comme le ferait une brassière bandeau, refermé entre mes cuisses par trois boutons pression.
Après l’avoir passé, enfilé quoi ... un brevet Petit Bateau que ces trois pressions-là. Fort utiles ... je dirais.

Maille de laine doublée de coton sur l’intérieur en un fin gousset emballant protégeant largement les intimités.

Ainsi habillée de ce sous-vêtement, comme par une seconde peau, sur mes bras sur mon poitrail sur mon ventre je suis bien. Protégée. Mes fesses sont bien couvertes, ourlets aux plis, tissu tendu sur les deux globes ronds ne montrant rien de mes profondeurs. La coupe Petit Bateau respecte la pudeur des filles et la maille ne s’enfouit pas pour épouser le fond de craque si souvent moite. Pas comme certaines culottes ordinaires Ali Baba dont le tissu de viscose reste collé coincé dans les replis du dindon. Très désagréable inconfortable et pas élégant du tout au moment de présentation.

Mon pubis tendrement velu se fait lisse et doux et ne dévoile pas, camel toe mazel tov, ma fente haute et son papillon échappé qui dépasse abondamment par en-dessous.
Ma poitrine est, elle aussi, lisse, comme si mes petits seins s’effaçaient, comme si j’étais, presque, garçon. Juste un volume large qui laisse suggérer, légères rondeurs de maille fine tendue avec petit pointu saillant pour exprimer mon intérêt.

Je clos les trois pressions et je pense, il suffirait de presque rien, et Reggiani chante dans ma tête. Et je pousse un grand soupir qui tend fort les étoffes, à les faire, presque, craquer.


Je chausse mes Dim-up de fine laine blanche hauts tirés sur mes cuisses puis mes ballerines de ville. Et, ainsi accoutrée je plonge dans mon dressing me choisir la robe chasuble qui viendra m’habiller pour la journée.

L’idée forte c’est que la robe doit être prétendument bien chaude de tissu épais et, en même temps, laisser voir par larges échancrures diverses, tout ce que j’ai à montrer. Surtout par en dessous les bras le body tendu façon bandeau sur mes petits seins de gamine.
Et aussi, d’ouvrant boutonné lache sur le devant et même un peu trop déboutonné trop haut, la nudité de mes hauts de cuisse, selon mouvements et circonstances de virevoltes, entre pans de chasuble.

Et moi, les virevoltes, ça me connaît.

** *
Ce jour-là j’avais rendez-vous de travail.
Le taxi m’a déposée en sous-sol de la tour Alto, IGG immeuble de grande hauteur 150m de La Défense. L’ascenseur est monté en quelques longues poignées de secondes de quarante étages, d’un coup d’un seul. La tour s’évasait plus on montait. Je savais que la surface des derniers étages était de plus du double de celle de ceux du rez de chaussée.

Le client qui me recevait m’avait envoyé en estafette une trés jolie très bimbette collaboratrice. Elle m’a dit, venez, la terrasse est végétalisée et vous pourrez admirer Paris tout entier depuis une sorte de jardin à la française de 1600m2, comme un petit parc Monceau tout en haut.

La fille était outrageusement sexy. Short ample de soie noire à mi-cuisse, jambes interminables gainée de fins bas brillants, chaussures de ville à hauts talons, petit haut clair moulant sans pudeur une poitrine de star lourde et oscillante qui ouvrait largement sa veste sombre.
Sa frimousse d’oie blanche, naturelle sans maquillage, contrastait étrangement avec cet accoutrement et surtout sa voix détonnait, petite voix haut perchée un peu zozotante de gamine de banlieue délurée.

Manifestement le client œuvrait pour obtenir de ma société des prix tirés et des conditions qui lui seraient particulièrement favorables.

Nous avons monté encore un escalier depuis le palier du quarantième. La fille m’avait précédée et j’ai pu constater qu’elle ne portait pas de collants. J’ai retenu ma main qui serait volontiers allée caresser le haut de cuisse nu clair dessus la lisière du bas autofixant, en toute simplicité...

Arrivées au niveau terrasse, on s’est arrêtées toutes deux devant la porte double avec ses barres jaunes anti-panique. La bimbette me badait et j’ai compris que je lui faisais de l’effet, de l’émotion.


Manifestement cette hôtesse d’accueil avait été recrutée pour ses généreuses et chaleureuses aptitudes empathiques.

Prétextant poursuivre et visiter la terrasse j’ai poursuivi ma route, la bousculant tendrement en collant mon poitrail tout plat de gars contre ses gros nibars chauds et mous.
Tout se serait bien passé si la barre rouge et jaune de la serrure incendie n’avait cédé sous l’appui des deux fesses callipyges de la fille, nous déséquilibrant toutes deux vers l’extérieur, vers la fameuse terrasse.

Me tenant par la taille, elle m’a fait faire le tour du propriétaire.
Au milieu, la machinerie d’ascenseur, la tour de réfrigération et le groupe de ventilation, le tout encadré de verdure grimpante sur des palissades en treillis de bois blond, comme pour camoufler l’indispensable modernité industrielle.
Tout du tour un mur assez haut pour abriter la terrasse des vents et générer une sorte de microclimat d’altitude. Et ce mur était fait de grandes baies vitrées panoramiques qui permettaient d’admirer la ville et ses avenues et ses bâtiments, ses buildings et ses jardins.
Côté sud, une piscine à débordement avec une plage de planches et quelques matelas bleus.

J’étais en admiration de ce jardin suspendu quand j’ai senti sur mes fesses le passage d’une main caressante légère. Je pensais, c’est peut être seulement un coup de vent qui soulève ta jupe. Mais après une caresse légère au tissu humide du body, trois doigts qui cherchaient incisifs les pressions du gousset m’ont fait comprendre que j’étais dans l’erreur.
Les pressions ont lâché et le body s’est ouvert à la caresse.
Mon dindon fut brusquement trempé de surprise libidineuse, comme en séduction.
La fille s’est collée à mon dos, ses deux gros nibars contre mes omoplates, son bras gauche à ma taille et sa main droite venant par devant sous mes jupes a enfilé trois doigts dont le plus long s’est aussitôt posé sur mon devant, côté intérieur, tandis que les deux autres encadraient mes lèvres luisantes et glissantes.
Les languettes du body étaient remontées sur mon ventre et mes fesses, tirées par l’élastane tendu aux épaules.

Je ne voyais rien mais mes mains jumelles sont parties en arrière au short et ont remonté le long des bas de la bimbette, dépassant le renfort de maille doublée pour chercher sous la soie fine sombre le string ou la culotte. En vain. Elle ne portait aucun dessous et pire encore elle était épilée sans le moindre poil résiduel. Sa chatte était comme fente de petite fille, lisse et douce sous mes doigts caressants.

Mon geste marquait ma consentance à sa caresseCette bimbette et moi on était devenues en rien de temps de vraies copines.

Je pensais, dans cette entreprise de La Défense, ils savent y faire pour réussir en affaires...

La fille m’a menée à l’étage inférieur dans le bureau du directeur de département que je devais rencontrer. J’avais le gousset ouvert des trois boutons pression dégraphés et mes intimités, toujours promptes à dégouliner sur mes hauts de cuisse, dégorgeaient de mouille entre les deux langues d’étoffe qui pendouillaient devant et derrière au rythme de mes pas.
Manifestement mon homologue, contrat en main, ignorait mon état d’esprit et cherchait le moyen de signer quelques avenants très favorables à sa société, et moins à la mienne.

Comment s’y prendre, quand on est une faible femme, que l’on a en face de soi un homme séduisant et, entre les cuisses, un besoin absolu de se faire mettre, par qui que ce soit ?

Mon regard est tombé, sans malice mais plutôt par loi naturelle de gravité, sur le paquet. Ce paquet qui gonflait outrageusement la braguette du gars. Et je voyais d’évidence qu’il portait à droite et ce sans fausse modestie, même avec fierté.
Ma main vibrait de désirade. Un besoin lancinant qui ne laissait aucun répit au poignet. Parkinson à même pas vingt cinq ans...

Il balbutiait les modifications envisagées du contrat et moi j’effleurais en pensée les formes explicites de son appareil sous le tissu du futal léger, assurément sans sous vêtement aucun.
Je voyais la tige je voyais le gland et même les deux testicules en faire-valoir comme socle par en dessous.

Je pensais, il n’y a pas que les filles qui oublient leur culotte matin en s’habillant.
Les filles à treize ans elles portent des soutifs moltonnés teenform. A vingt ans elles expriment leur liberté seins nus. À vingt-cinq ans elles retombent dans le politiquement correct et s’équipent à nouveau de soutien-gorges mais en contre-partie tombent la culotte et naviguent frisette au vent sous leurs jupes ou leurs robes.
Je voyais là d’évidence qu’il n’y avait pas que les filles qui trouvaient bonheur à ne pas s’encombrer de sous vêtements.

J’avais tout cela en tête avant de l’avoir en bouche dans ma détermination à signer le contrat au profit de mon entreprise et non pas de la sienne.
Et je cherchais comment procéder. En toute élégance...

Il a dit, je me suis laissé dire que vous avez eu bon contact avec notre hôtesse d’accueil et opportunité de visiter notre jardin suspendu en toiture. Elle m’a rapporté votre intérêt pour la vue de Paris et je vous propose, quand nous en aurons terminé de ces paperasses, de prendre ensemble un rafraîchissement avec quelques tapas au bord de la piscine. Nous pourrons demander à cette jeune hôtesse de faire le service et éventuellement, ensuite, lui permettre de profiter de la piscine.

Je sais qu’elle aime à se baigner et ensuite s’offrir au soleil sur les matelas bleus en toute simplicité et nudité.
Vous verrez, notre jardin suspendu vaut largement celui de Babylone et vous y trouverez aboutissement heureux de nos négociations commerciales.

Moi, je pensais que le gars me faisait simple offre malhonnête. En quelque sorte, il me proposait la botte.
Et je matais son paquet, les yeux vrillés sur la braguette.
Et j’étais plutôt consentante, vu les palpitations qui agitaient le creux de mon ventre.

L’affaire du contrat que j’avais dans mon petit cartable était mon idée fixe. Je pensais à de Maesmaker, Jidehem aux Éditions Dupuis, poursuivi par le funeste.
J’avais comme une certaine conscience professionnelle qui me taraudait. Le ventre aussi.

Mes yeux ses yeux chaviraient en symbiose. On ne savait pas de nous deux celui qui céderait. On était bien, nous. On savait comment tout ça finirait, por qué te vas disait Jeanette.
Destin écrit immuable de ces rencontres...
Chaleur inouïe au fond de soi des giclées de tendresse d’homme et du bonheur de vivre et d’être bien, longuement.

Miracle qui emporte le réel.

J’avais préparé modification de plusieurs paragraphes et j’ai proposé à mon interlocuteur de les lire pendant que j’étudierais les avenants qu’il proposait.
Nous avons été studieux pendant plus de trois quarts d’heure, annotant à la mine de plomb les marges des documents.

Et puis c’est venu d’un coup. J’ai brusquement empaumé le paquet de main droite, zippant bas la braguette de main gauche, faisant jaillir une tige longue mais encore spongieuse et deux roupes velues.
Personne ne parlait ni n’exprimait ses émotions.
Le gland s’est dégagé des peaux protectrices tandis que l’érection prenait son ampleur et le col roulé se déroulait sous le sillon coronal couvrant, tendu, le haut de tige.
L’engin avait pris look de gueule de squale.

Je n’avais plus d’yeux que pour ce bébé requin bébé velours, bébé requin bébé d’amour. Va-t-il me dévorer le cœur ? Ou bien, pire encore, envahir mon ventre et faire chanter mes yeux noisette de tendresse partagée...

J’ai passé sans vergogne mes mains entre mes cuisses sous la robe pour recueillir dans mes paumes le bon jus qui sourdait de mon ventre. L’homme a immédiatement compris que je vaquais fente à l’air libre. Peut-être la bimbette lui avait-elle conté nos tribulations de terrasse du matin entre filles...
Quatre aller-retour, aller de main gauche, retour de main droite et le gland turgescent était déjà cramoisi. Le pompier est une gâterie assez sympa mais il faut veiller à ne pas en exagérer le rythme si l’on espère bonne endurance ensuite du garçon.

Alors, j’ai remballé à grand peine le bitos dressé dans le pantalon en compagnie de son sac à roupes qui était devenu tout serré tout strié tout velu. Je pensais que si je voulais quelques concessions sur le contrat il était préférable que, lui, soit en forte désirade et moi au contraire apaisée.
Alors, coquine, je lui ai suggéré de me brouter, là étendue sur le dos sur son bureau au milieu des feuillets de ses avenants à notre contrat. Moi, quand on me pourlèche les plis et replis roses qui s’échappent de ma vulve, je prend mon pied deux fois trois fois dix fois sans retenue aucune. Mes orgasmes s’enchaînent en réflexes en rafales.

On en était là. J’avais eu mon compte et gisais ravie sur son bureau. Les dossiers étaient ravagés illisibles de mes contorsions incontrôlées. Et lui avait la bite incroyablement raidie qui tendait le futal comme le mat du cirque Bouglione sous le chapiteau.

Je lui dit, faut être sérieux et maintenant signer notre contrat. Ensuite, si vous savez faire, j’aimerais assez une petite enculade, ça nous laisserait souvenir impérissable de ce bon accord commercial.
Le gars avait les yeux qui lui sortaient de la tête.

Ses avenants qui trainaient sur le bureau étaient tout froissés, maculés mouillés de divers écoulements libidineux. Ils n’étaient plus trop présentables. On a décidé de signer rapidement les miens et que l’on reverrait ses propositions à lui après l’enculade. Il était d’accord.

On a signé et puis j’ai proposé qu’il me lubrifie longuement la rondelle de mignardises salivantes. Alors seulement j’ai pris position de levrette sur le canapé, fesses cambrées hautes ouvertes, cul accueillant rond béant en poussée.
Son magnifique appendice caudal a jailli de l’ouvrant du futal et il me l’a présenté pour une rapide pipette non pour améliorer la glisse mais pour donner à connaître goût et texture. Puis s’est agenouillé derrière moi.

La petite visite vaginale en aubade, profonde, avait elle pour but de bien enduire gland et hampe de fluides viscosités à même d’assurer le confort de l’opération.

Il a posé la tête ronde du bitos sur ma rondelle entrebâillée sans appuyer. Un premier réflexe a refermé le sphincter anal puis une décontraction accueillante en suivant a longuement avalé la tige jusqu’au cœur de mes entrailles.
Il était abuté sur mes fesses et de mes deux mains en arrière je les ai écartées pour qu’il puisse s’enfoncer encore plus profond dans mon ampoule rectale, gland au coude du colon.

Moi j’étais pleinement emplie. J’étais bien.

Je pensais, une fois encore ce body Petit Bateau remplit son office, trois pressions de gousset dégraphées.

L’homme était derrière moi et lutinait mon cul avec délicatesse et tendresse. Je sentais son plaisir monter et le mien était en concordance.
Il n’a pas accéléré et moi je suis restée bien sage sauf que je chantais haut mon bonheur. Il a eu les hoquettements de décharge tout au fond de moi et j’ai senti le liquide inonder mon derrière et couler sur mes hauts de cuisse en débordement.

On est restés assez longtemps ainsi emanchés sans parler.

Et puis j’ai dit, c’est pas tous les jours que je m’éclate en sodomie. Viens on va les regarder tes avenants...

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Texte coquin : Mon body Petit Bateau
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