Mon cœur est tendre mais ma bite est dure
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 281 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Jpj ont reçu un total de 1 731 521 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2018 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 3 368 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mon cœur est tendre mais ma bite est dure
La fille là-bas me plaît. Bonnet de ski sur son casque de cheveux blonds de blé, visage poupin enfantin, gros pull à maille épaisse qui n’arrive pas à camoufler sa forte poitrine, taille fine et jambes longues dans un slim sombre et petites chaussures, de danseuse, plates.
Je mate son entrejambe sous le pull blanc. Le camel toe de sa vulve pulpeuse déchire la maille fine du slim noir.
Je bande.
Manifestement, elle ne porte ni sous vêtement ni épaisse touffe pubienne.
Cette fille est à poil pubis glabre et en sus porte un collant de jersey qui exhauste ses intimités. Mon imagination exacerbée y voit même entre ses cuisses la languette dépasser.
Je m’approche, elle sourit. Le larbin blanc et noir derrière le comptoir me propose un verre de Pic Saint Loup blanc, j’accepte, je l’offre à la fille. Elle sourit encore et encore. Je pose ma main à sa taille. On a le droit, non, de poser sa main à la taille d’une fille qui vous sourit ?
Elle rit et vient se coller contre moi, le verre à la main. Elle dit, on partage ?
Moi ma main est sous le pull, sur sa peau. Sa peau est chaude elle est douce.
Elle présente le verre à mes lèvres et je bois une toute petite gorgée. Puis elle vient contre moi. Ses gros nibars s’écrasent sur ma poitrine. Je comprends qu’elle ne porte pas de soutif. J’envoie mon ventre au sien, ma virilité grandissante à sa hanche, à sa rencontre.
Ma main est toujours à sa taille, sous le pull, sur son sensible. Mes doigts s’agitent. Elle sourit. Elle pose sa tête sur mon épaule. Elle a l’air bien. Je serre de mon autre bras son dos, son épaule.
Son bonnet de ski blanc, de laine tricotée, encadre son visage ne laissant échapper que quelques mèches blondes. Elle a l’air d’une enfant. Je me sens pédophile et j’aime ça. Je bande. Mais son corps pressé contre le mien crie son statut de femme, hanches larges taille fine et thorax lourdement nibaré. Mais moi je suis en tendresse de ce visage de gamine, de ses mèches blondes et de ces joues rebondies de petite fille.
Son sexe que j’ai aperçu tout à l’heure, abricot de fillette, m’a chaviré.
Mon esprit vacille et mon désir va à la femme femelle féconde que je tiens dans mes bras mais mon esprit fantasme sur une petite fille en bonnet de ski à pompon sur le dessus et visage de gamine encadré de la laine claire et sourire de virginité de première communiante, de pucelle d’Orléans.
Je fantasme et, en cette soirée cocktail Château de la Mogère people montpelliérain je remonte avec ma conquête les allées du jardin. Au bosquet nous filons par une allée de sous-bois. Je tiens la fille par la main. Elle rit. Nous basculons dans les feuilles mortes qui font un tapis.
Son pull cachait deux beaux seins bien plus grands que les paumes de mes mains. Ma bouche a su grignoter les tétons et donner à l’ensemble une texture solide.
Par ailleurs, elle avait dégagé mes roupes bien pleines et la tige idoine. Mais elle n’y a pas porté les lèvres. Une jeune fille comme elle ignorait bien entendu le sens même du mot fellation, encore moins celui de pipe.
Nous étions tous deux roulés au sol dans un lit de feuillage chaud comme une couette. Moi, je me sentais en sacrilège avec dans les bras une fillette aux instincts prématures que mon cœur me disait d’aimer mais que ma raison me poussait à repousser.
Mes bras l’avaient accueillie et nous étions tous deux en tendresse. J’aurais bien fini la nuit ainsi. Sous la lune pleine se couchant sur les vignes de ce coin de France, plaine fertile du Bitterois.
Mais la fille en voulait. Elle avait lu des livres, vu des films. Ma bite raide en mains, elle triturait ardemment.
Son visage collé au mien joue à joue. Sa bouche mordillait mes lèvres, et on se bécotait comme des collégiens. Elle avait treize ans et moi guère plus. On était dans un fantasme de gaminerie et je n’osais pas la toucher.
Et puis, j’ai pas su comment ni pourquoi, elle m’a présenté son grand doigt du milieu de sa main droite et je l’ai sucé. Il a été tout enduit de salive, tout mouillé. Elle me l’a foutu dans le cul, à fond. Ça m’a fait drôle.
Alors tout dans ma tête a basculé. Je l’ai retournée et ai roulé sur elle, l’enfilant de longue bite en son ventre trempé. L’interdit de fille mineure était brusquement tombé et je me déchaînais de violence entre ses cuisses écartelées. Elle les levait, ses cuisses, et moi je cherchais au fond de sa jeunesse ouverte le lieu de fécondation, le col de vie pour y cracher lourdement ma semence.
Je mate son entrejambe sous le pull blanc. Le camel toe de sa vulve pulpeuse déchire la maille fine du slim noir.
Je bande.
Manifestement, elle ne porte ni sous vêtement ni épaisse touffe pubienne.
Cette fille est à poil pubis glabre et en sus porte un collant de jersey qui exhauste ses intimités. Mon imagination exacerbée y voit même entre ses cuisses la languette dépasser.
Je m’approche, elle sourit. Le larbin blanc et noir derrière le comptoir me propose un verre de Pic Saint Loup blanc, j’accepte, je l’offre à la fille. Elle sourit encore et encore. Je pose ma main à sa taille. On a le droit, non, de poser sa main à la taille d’une fille qui vous sourit ?
Elle rit et vient se coller contre moi, le verre à la main. Elle dit, on partage ?
Moi ma main est sous le pull, sur sa peau. Sa peau est chaude elle est douce.
Elle présente le verre à mes lèvres et je bois une toute petite gorgée. Puis elle vient contre moi. Ses gros nibars s’écrasent sur ma poitrine. Je comprends qu’elle ne porte pas de soutif. J’envoie mon ventre au sien, ma virilité grandissante à sa hanche, à sa rencontre.
Ma main est toujours à sa taille, sous le pull, sur son sensible. Mes doigts s’agitent. Elle sourit. Elle pose sa tête sur mon épaule. Elle a l’air bien. Je serre de mon autre bras son dos, son épaule.
Son bonnet de ski blanc, de laine tricotée, encadre son visage ne laissant échapper que quelques mèches blondes. Elle a l’air d’une enfant. Je me sens pédophile et j’aime ça. Je bande. Mais son corps pressé contre le mien crie son statut de femme, hanches larges taille fine et thorax lourdement nibaré. Mais moi je suis en tendresse de ce visage de gamine, de ses mèches blondes et de ces joues rebondies de petite fille.
Son sexe que j’ai aperçu tout à l’heure, abricot de fillette, m’a chaviré.
Mon esprit vacille et mon désir va à la femme femelle féconde que je tiens dans mes bras mais mon esprit fantasme sur une petite fille en bonnet de ski à pompon sur le dessus et visage de gamine encadré de la laine claire et sourire de virginité de première communiante, de pucelle d’Orléans.
Je fantasme et, en cette soirée cocktail Château de la Mogère people montpelliérain je remonte avec ma conquête les allées du jardin. Au bosquet nous filons par une allée de sous-bois. Je tiens la fille par la main. Elle rit. Nous basculons dans les feuilles mortes qui font un tapis.
Son pull cachait deux beaux seins bien plus grands que les paumes de mes mains. Ma bouche a su grignoter les tétons et donner à l’ensemble une texture solide.
Par ailleurs, elle avait dégagé mes roupes bien pleines et la tige idoine. Mais elle n’y a pas porté les lèvres. Une jeune fille comme elle ignorait bien entendu le sens même du mot fellation, encore moins celui de pipe.
Nous étions tous deux roulés au sol dans un lit de feuillage chaud comme une couette. Moi, je me sentais en sacrilège avec dans les bras une fillette aux instincts prématures que mon cœur me disait d’aimer mais que ma raison me poussait à repousser.
Mes bras l’avaient accueillie et nous étions tous deux en tendresse. J’aurais bien fini la nuit ainsi. Sous la lune pleine se couchant sur les vignes de ce coin de France, plaine fertile du Bitterois.
Mais la fille en voulait. Elle avait lu des livres, vu des films. Ma bite raide en mains, elle triturait ardemment.
Son visage collé au mien joue à joue. Sa bouche mordillait mes lèvres, et on se bécotait comme des collégiens. Elle avait treize ans et moi guère plus. On était dans un fantasme de gaminerie et je n’osais pas la toucher.
Et puis, j’ai pas su comment ni pourquoi, elle m’a présenté son grand doigt du milieu de sa main droite et je l’ai sucé. Il a été tout enduit de salive, tout mouillé. Elle me l’a foutu dans le cul, à fond. Ça m’a fait drôle.
Alors tout dans ma tête a basculé. Je l’ai retournée et ai roulé sur elle, l’enfilant de longue bite en son ventre trempé. L’interdit de fille mineure était brusquement tombé et je me déchaînais de violence entre ses cuisses écartelées. Elle les levait, ses cuisses, et moi je cherchais au fond de sa jeunesse ouverte le lieu de fécondation, le col de vie pour y cracher lourdement ma semence.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jpj
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...