Mon cadeau d'anniversaire !
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon cadeau d'anniversaire !
Depuis quelques années je suis seule ! Je vais très bien, je suis prof de mathématique. Aussi pour mes 50 ans, je me suis offerte un petit extra, Une nuit d’amour avec la rencontre sur Internet d’un jeune homme très timide de 25 ans.
Zut ! Je suis déjà en retard et je ne suis pas encore arrivée. Pourvu qu’il prenne patience.
Je suis une fontaine ardente. Ça m’excite au plus haut point et j’ai déjà trempé mon string. Ouf ! J’arrive, je roule doucement, il jette sa cigarette, je le reconnais tout de suite. J’arrête la voiture, il vient vers moi et je baisse la vitre il me demande :
- Voulez-vous que nous allions faire un tour en ville ? Manger ensemble ?
Je fais non avec la tête, j’attends.
- Vous accepteriez de partager maintenant, une chambre d’hôtel avec moi ?
La tournure est touchante, sur Internet, on se tutoyer, mais je ne m’offusque pas de son vouvoiement, maintenant cela m’amuse. Il marque la distance entre nous et me ramène à une réalité pas très agréable, j’ai 50 ans lui 25. Mais, gentiment, il me dit :
- Je peux vous dire quelque chose ? Vous me plaisez beaucoup.
J’ai la gorge tellement nouée que je ne sais pas s’il l’entend ou si seul un souffle rauque en sort. J’acquiesce alors de la tête et je le suis, vers l’hôtel. Je pensais bien que c’est là que nous irions.
Comme il est timide, dans le couloir, ma main frôle la sienne, je lui attrape deux doigts. Nous marchons ensemble dans le couloir comme si nous étions seuls au monde.
La lumière s’éclaire automatiquement devant nous et s’éteint derrière. J’ai l’impression d’être dans un film, il ne manque que la musique. Chambre 118, nous y sommes.
Je suis très contractée, nous entrons dans la chambre, J’enlève mon manteau, lui son blouson de cuir et tout bascule. Il m’étreint et m’embrasse longuement, laisse errer ses mains, me pétrit. Je suis déconcertée par son odeur, forte, mélange de tabac brun et d’émotions.
Ma main trouve son sexe, petit très petit, mais dur comme un caillou, c’est la deuxième fois que je le sens mais cette fois, ce n’est plus à travers ma robe, il est bien dans ma main comme un oiseau.
Il dégrafe mon soutien-gorge, pour un timide, il n’est pas si timide que ça, il fait connaissance avec mes seins, glisse sa tête sous ma jupe, à genoux, maudits collants, je lui caresse la nuque, toute décontenancée.
Ses doigts s’aventurent, pénètrent ma fente à travers le tissu. Sa bouche se colleà la mienne. Je tangue, dépoitraillée avec cet homme à mes pieds, la tête et les doigts contre mon sexe. S’il y a une prochaine fois, je mettrais des bas !
Je n’en peux plus, le plaisir est venu tout seul, je découvre le lit et j’ordonne :
- Déshabille-toi ?
J’ai fait glisser ma jupe et collants, gardant ma culotte qui va l’enlevée, lui, ou moi ?
- Je te veux… Je ne peux finir ma phrase, il sort de sa poche, comme par magie un paquet de capotes. Maintenant il s’affale sur moi et me pénètre. Comment peut-il être si petit et si dur, un vrai caillou. Le lendemain j’aurais certainement du mal à rester assise.
Quelques coups de reins et il me dit :
- Je craque… Sur le coup je ne comprends pas le sens de cette expression. D’autant que, toujours réservé, il fait ça en silence. Je ne m’offusque pas de ce début si peu prometteur.
Il revient vite après avoir jeté le préservatif. Bruits de chasse d’eau. Et nous reprenons illico les caresses, les baisers, le frotti-frotta.
Il s’excuse presque :
- Excusez-moi ! Je ne suis pas bavard.
- Non, mais tu sais bien parler avec les mains.
- Oui ! Comme un vrai méditerranéen répond-t-il.
C’est ainsi qu’il restera toujours dans ma tête, avec ses cheveux bien noirs, le méditerranéen aux mains agiles.
- Guides-moi, fais ce que tu aimes ?
Je le chevauche, fais à mon rythme, à mon goût, je veux lui donner l’occasion de jouer avec mes seins, de m’en faire jouir.
Plutôt banal, pas très habile, sa bouche effleure à peine. Doit progresser, peut mieux faire. Je me demandais, vu la différence d’âge ce qui l’avait vraiment attiré. Trop discret, je ne le saurais jamais.
Qu’importe, pour l’instant, je prends mon plaisir et il me suit. J’ai les joues en feu et le sexe brûlant, nous restons enlacés sur le lit dégageant une telle chaleur que même un drap serait de trop.
Je ne dis rien, mais je réclame la pause. Nous papotons, faisons plus connaissance. Il se livre un peu, m’explique combien il s’investit dans son travail, me parle de son goût pour la solitude, de sa famille. Il se présente comme l’enfant inattendu venu bien tard. Se cherche t’il en moi une autre maman ?
Et voilà ! Maintenant, il s’exprime plus bas. Je craque mais autrement, je veux dire par-là que je ne tiens plus le rythme. Ma tête descend, ma bouche l’aspire, mais je suis folle de montrer autant d’audace. Et zut, ne rien penser. J’ai dit que je m’offre un cadeau pour mon anniversaire, je ne vais pas lésiner.
Je ne me souviens pas du goût du gland de son sexe, toujours aussi pierreux. Il ne dit rien, ne manifeste rien, ni étonnement, ni plaisir supplémentaire.
Il remet une capote. Il me reprend, je n’en peux plus, il a la santé et moi, je n’ai plus l’âge, bientôt trois heures que je suis là.
Je laisse faire par complaisance, il le sent. Par contre, ses nouvelles capotes sont formidables, bien lubrifier, on ne se rend compte de rien. Pourtant, quelque part dans ma tête, ça me gêne, ne pas rester sur cette impression mitigée parce que je suis déjà gorgée. Je lui propose d’enlever la capote et de jouir entre mes seins, ce qu’il fait aussitôt.
Il est insatiable, ou alors il n’a plus baisé depuis une éternité. Je vais prendre une douche, je sens son envie de fumer.
- Allez, je te laisse, trompe-moi quelques instants avec Miss Nicotine.
Je reviens dans ma chemise courte, j’ai un peu honte de mon corps et de mon âge. Nous ne l’avons pas évoqué, mais il sait sans doute, je n’ai rien caché. Même pas mon grand fils de 30 ans.
Adossé au lit, il a un sourire béat. C’est un des souvenirs que j’emporterai de cette soirée, lui qui sourit si peu. Il me demande :
- Tu as passé une bonne soirée ?
- Oh oui ! Une très bonne soirée !
Il me reprend contre lui pour un long câlin très tendre. On reste là, un bon moment silencieux. Bien. A son tour il se douche et me dit qu’il est l’heure. Il me dit :
- Pas d’imprudence pour le retour sur la route. Je te raccompagne à la bretelle de l’autoroute.
- Mais non, inutile.
Il fait comme s’il n’entendait rien. Gentil et têtu. Quelle tête j’ai, et même pas un peigne. Retraverser le hall de l’hôtel sous le regard de l’employé. Mes talons claquent, je suis fière de moi, cette fois ci il me tient par l’épaule. J’avais dit :
- Disons-nous au revoir dans la chambre.
Il rend la clé. A chacun sa voiture. Nous roulons. Je suis bien, il se range sur l’esplanade, je m’arrête, il me serre dans ses bras, fugace mais immédiat, nos corps se retrouvent une dernière fois.
Je repars, trois petits coups sur la pédale de frein en guise d’au revoir trois coups là aussi et je me dis :
- Bon anniversaire ma chérie, rien ne pouvait te faire plus de plaisir pour fêter tes cinquante ans.
Zut ! Je suis déjà en retard et je ne suis pas encore arrivée. Pourvu qu’il prenne patience.
Je suis une fontaine ardente. Ça m’excite au plus haut point et j’ai déjà trempé mon string. Ouf ! J’arrive, je roule doucement, il jette sa cigarette, je le reconnais tout de suite. J’arrête la voiture, il vient vers moi et je baisse la vitre il me demande :
- Voulez-vous que nous allions faire un tour en ville ? Manger ensemble ?
Je fais non avec la tête, j’attends.
- Vous accepteriez de partager maintenant, une chambre d’hôtel avec moi ?
La tournure est touchante, sur Internet, on se tutoyer, mais je ne m’offusque pas de son vouvoiement, maintenant cela m’amuse. Il marque la distance entre nous et me ramène à une réalité pas très agréable, j’ai 50 ans lui 25. Mais, gentiment, il me dit :
- Je peux vous dire quelque chose ? Vous me plaisez beaucoup.
J’ai la gorge tellement nouée que je ne sais pas s’il l’entend ou si seul un souffle rauque en sort. J’acquiesce alors de la tête et je le suis, vers l’hôtel. Je pensais bien que c’est là que nous irions.
Comme il est timide, dans le couloir, ma main frôle la sienne, je lui attrape deux doigts. Nous marchons ensemble dans le couloir comme si nous étions seuls au monde.
La lumière s’éclaire automatiquement devant nous et s’éteint derrière. J’ai l’impression d’être dans un film, il ne manque que la musique. Chambre 118, nous y sommes.
Je suis très contractée, nous entrons dans la chambre, J’enlève mon manteau, lui son blouson de cuir et tout bascule. Il m’étreint et m’embrasse longuement, laisse errer ses mains, me pétrit. Je suis déconcertée par son odeur, forte, mélange de tabac brun et d’émotions.
Ma main trouve son sexe, petit très petit, mais dur comme un caillou, c’est la deuxième fois que je le sens mais cette fois, ce n’est plus à travers ma robe, il est bien dans ma main comme un oiseau.
Il dégrafe mon soutien-gorge, pour un timide, il n’est pas si timide que ça, il fait connaissance avec mes seins, glisse sa tête sous ma jupe, à genoux, maudits collants, je lui caresse la nuque, toute décontenancée.
Ses doigts s’aventurent, pénètrent ma fente à travers le tissu. Sa bouche se colleà la mienne. Je tangue, dépoitraillée avec cet homme à mes pieds, la tête et les doigts contre mon sexe. S’il y a une prochaine fois, je mettrais des bas !
Je n’en peux plus, le plaisir est venu tout seul, je découvre le lit et j’ordonne :
- Déshabille-toi ?
J’ai fait glisser ma jupe et collants, gardant ma culotte qui va l’enlevée, lui, ou moi ?
- Je te veux… Je ne peux finir ma phrase, il sort de sa poche, comme par magie un paquet de capotes. Maintenant il s’affale sur moi et me pénètre. Comment peut-il être si petit et si dur, un vrai caillou. Le lendemain j’aurais certainement du mal à rester assise.
Quelques coups de reins et il me dit :
- Je craque… Sur le coup je ne comprends pas le sens de cette expression. D’autant que, toujours réservé, il fait ça en silence. Je ne m’offusque pas de ce début si peu prometteur.
Il revient vite après avoir jeté le préservatif. Bruits de chasse d’eau. Et nous reprenons illico les caresses, les baisers, le frotti-frotta.
Il s’excuse presque :
- Excusez-moi ! Je ne suis pas bavard.
- Non, mais tu sais bien parler avec les mains.
- Oui ! Comme un vrai méditerranéen répond-t-il.
C’est ainsi qu’il restera toujours dans ma tête, avec ses cheveux bien noirs, le méditerranéen aux mains agiles.
- Guides-moi, fais ce que tu aimes ?
Je le chevauche, fais à mon rythme, à mon goût, je veux lui donner l’occasion de jouer avec mes seins, de m’en faire jouir.
Plutôt banal, pas très habile, sa bouche effleure à peine. Doit progresser, peut mieux faire. Je me demandais, vu la différence d’âge ce qui l’avait vraiment attiré. Trop discret, je ne le saurais jamais.
Qu’importe, pour l’instant, je prends mon plaisir et il me suit. J’ai les joues en feu et le sexe brûlant, nous restons enlacés sur le lit dégageant une telle chaleur que même un drap serait de trop.
Je ne dis rien, mais je réclame la pause. Nous papotons, faisons plus connaissance. Il se livre un peu, m’explique combien il s’investit dans son travail, me parle de son goût pour la solitude, de sa famille. Il se présente comme l’enfant inattendu venu bien tard. Se cherche t’il en moi une autre maman ?
Et voilà ! Maintenant, il s’exprime plus bas. Je craque mais autrement, je veux dire par-là que je ne tiens plus le rythme. Ma tête descend, ma bouche l’aspire, mais je suis folle de montrer autant d’audace. Et zut, ne rien penser. J’ai dit que je m’offre un cadeau pour mon anniversaire, je ne vais pas lésiner.
Je ne me souviens pas du goût du gland de son sexe, toujours aussi pierreux. Il ne dit rien, ne manifeste rien, ni étonnement, ni plaisir supplémentaire.
Il remet une capote. Il me reprend, je n’en peux plus, il a la santé et moi, je n’ai plus l’âge, bientôt trois heures que je suis là.
Je laisse faire par complaisance, il le sent. Par contre, ses nouvelles capotes sont formidables, bien lubrifier, on ne se rend compte de rien. Pourtant, quelque part dans ma tête, ça me gêne, ne pas rester sur cette impression mitigée parce que je suis déjà gorgée. Je lui propose d’enlever la capote et de jouir entre mes seins, ce qu’il fait aussitôt.
Il est insatiable, ou alors il n’a plus baisé depuis une éternité. Je vais prendre une douche, je sens son envie de fumer.
- Allez, je te laisse, trompe-moi quelques instants avec Miss Nicotine.
Je reviens dans ma chemise courte, j’ai un peu honte de mon corps et de mon âge. Nous ne l’avons pas évoqué, mais il sait sans doute, je n’ai rien caché. Même pas mon grand fils de 30 ans.
Adossé au lit, il a un sourire béat. C’est un des souvenirs que j’emporterai de cette soirée, lui qui sourit si peu. Il me demande :
- Tu as passé une bonne soirée ?
- Oh oui ! Une très bonne soirée !
Il me reprend contre lui pour un long câlin très tendre. On reste là, un bon moment silencieux. Bien. A son tour il se douche et me dit qu’il est l’heure. Il me dit :
- Pas d’imprudence pour le retour sur la route. Je te raccompagne à la bretelle de l’autoroute.
- Mais non, inutile.
Il fait comme s’il n’entendait rien. Gentil et têtu. Quelle tête j’ai, et même pas un peigne. Retraverser le hall de l’hôtel sous le regard de l’employé. Mes talons claquent, je suis fière de moi, cette fois ci il me tient par l’épaule. J’avais dit :
- Disons-nous au revoir dans la chambre.
Il rend la clé. A chacun sa voiture. Nous roulons. Je suis bien, il se range sur l’esplanade, je m’arrête, il me serre dans ses bras, fugace mais immédiat, nos corps se retrouvent une dernière fois.
Je repars, trois petits coups sur la pédale de frein en guise d’au revoir trois coups là aussi et je me dis :
- Bon anniversaire ma chérie, rien ne pouvait te faire plus de plaisir pour fêter tes cinquante ans.
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