Mon cher docteur
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon cher docteur
Guillaume Marlot était un médecin généraliste qui exerçait dans un cabinet avec deux autres confrères. Angélique, la secrétaire médicale, les assistait dans leurs tâches quotidiennes. Depuis qu’elle avait été embauchée, six mois auparavant, la jeune femme d’à peine 30 ans avait le béguin pour le plus jeune des médecins. Ce dernier étant marié, Angélique n’avait jamais envisagé de lui avouer ses envies, se refusant de briser un couple.
Cependant, un jour de printemps tout changea. Guillaume était en instance de divorce. Angélique décida de tenter sa chance.
A partir de cet instant, elle soigna ses regards et ses sourires, lançait des allusions à toute occasion favorable pour lui faire comprendre qu’il devait tourner la page et quelle était disponible pour l’y aider.
Parfois, elle frôlait « accidentellement » la main du médecin en lui tendant un document ou un stylo.
Alors que les choses ne bougeaient pas entre eux, il lui proposa de façon inattendue un midi de déjeuner avec lui. Chaque jour, l’un comme l’autre amenait son repas qu’il réchauffait dans le micro-onde disponible derrière le guichet d’accueil de la secrétaire. Guillaume l’invita donc à lui tenir compagnie dans son bureau pour déjeuner. Angélique en fut ravie et en nourrit beaucoup d’espoir, d’autant que cela se reproduisit plusieurs fois depuis lors.
Lors de cette courte pause médiane, ils avaient l’occasion d’apprendre à mieux se connaître. Le repas terminé, Angélique allait de temps en temps s’asseoir sur le fauteuil d’auscultation pour poursuivre la conversation, jambes croisées, légèrement penchée en arrière, appuyée sur ses mains. Ses cuisses se dévoilaient un peu plus lorsqu’elle portait une jupe tandis que sa poitrine pointait fièrement sous le fin tissus de ses débardeurs.
Il lui semblait alors que le regard du médecin s’illuminait.
Les jours, les semaines s’écoulèrent toutefois sans que la situation n’évolue comme la jeune femme l’espérait. Elle se mit alors à porter des tenues un peu plus sexy pour essayer de réveiller le désir du médecin.
Un matin, le docteur Marlot arriva à 8h30, peu de temps après sa secrétaire. Angélique le regarda entrer dans le cabinet avec envie. Ses séances hebdomadaires de course à pieds entretenaient son corps athlétique de trentenaire. Il était dynamique, souriant et avenant. Ses cheveux bruns se parsemaient de quelques cheveux gris qui lui donnait beaucoup de charme. Les traits de son visage étaient harmonieux et son sourire faisait fondre la jeune femme. Il portait un pantalon ajusté beige avec un polo noir qui lui donnait un air décontracté mais élégant, comme toujours.
- Bonjour Angélique, dit Guillaume d’un ton affable en entrant.
- Bonjour, répondit-elle en trouvant son regard noisette plus séducteur que jamais.
Elle eut l’impression que ses yeux firent une courte pose dans son profond décolleté. La jeune femme avait opté pour un soutien-gorge pigeonnant et un t-shirt avec un grand col en V qui laissait entrevoir les belles rondeurs de sa poitrine.
Le médecin entra dans son bureau alors qu’Angélique le suivait du regard, admirant ses fesses musclées joliment mises en valeur par son pantalon.
Dans la matinée, entre deux rendez-vous Angélique entra dans la bureau de Guillaume.
La jeune femme vint se placer face au médecin. Ils étaient séparés par le bureau. Elle se pencha et posa une feuille avec une liste de patients. En se penchant, elle dévoila un peu plus son décolleté.
- Je vous ai noté les rendez-vous urgents qui se sont ajoutés dans le planning aujourd’hui.
- Merci Angélique, dit le médecin, visiblement un peu troublé.
Elle resta quelques instants à échanger des informations, laissant le médecin profiter de la vue. Elle avait des cheveux bruns mi-long qui ondulaient librement autour de son joli visage. Elle était relativement mince mais avait quelques rondeurs qui lui donnaient de belles formes. Elle aimait ses seins et ses fesses qu’elle trouvait parfaits. Elle était audacieuse, un peu bavarde et aimait les journées animées. Elle portait une jupe droite jusqu’à mi-cuisse qui recouvrait ses jambes gaînées de nylon. Même s’il ne le voyait pas, elle avait décidé de laisser de côté les collants habituels pour des bas. Elle se trouvait sexy avec et pensait que pour séduire son patron elle devait elle-même se sentir séduisante.
Hélas pour la jeune femme, il ne se passa rien de particulier entre eux le reste de la journée.
Occasionnellement, elle se plaçait très près de lui, lui touchait le bras, l’épaule ou la main. Il lui semblait que le contact de ses doigts électrisait le médecin.
Ou alors elle laissait échapper un document en ressortant du bureau. Elle se penchait pour le ramasser et s’arranger pour offrir une belle vue de ses fesses. Elle imaginait parfois que sa maladresse irritait le médecin et qu’il lui ordonnerait de s’accouder au bureau. Sans ménagement, il relèverait sa jupe et lui administrerait quelques fessées. Devant l’auréole maculant le fond de son string, il baisserait ce dernier la baiserait sans ménagement. Elle se délecterait de cette queue qui s’enfoncerait dans son ventre avec fougue. Il humidifierait son pouce de son abondante mouille et jouerait avec son anus avant d’y insérer son doigt. Sous les fougueux assauts de son amant elle aurait un puissant orgasme, oubliant les personnes autour d’elle. Son partenaire jouirait à son tour, déchargeant sa semence au fond de son vagin. L’excitation de son corps calmée, elle remettrait son string et sortirait du bureau, les fesses rougies et la chatte dégoulinante d’un mélange de cyprine et de sperme. C’était alors que le médecin la ramenait à la réalité :
- Angélique ? Ca va ? Vous ne dites plus rien !
- Pardon, j’ai eu une absence, s’excusait alors la jeune femme, le rouge lui montant aux joues.
Malheureusement pour la jeune femme, ses fantasmes ne se réalisaient pas.
Toutefois, la situation évolua positivement. Un jour Guillaume lui demanda de venir dans son bureau. Elle entra et referma la porte. Le médecin lui dit alors : « Je pense qu’il faudrait que nous fassions votre visite médicale ».
Surprise, Angélique bredouilla une réponse avant que Guillaume n’enchaîne : « Vous êtes là depuis 6 mois et vous n’avez eu aucune visite médicale de la part de votre employeur. Veuillez vous déshabillez s’il vous plaît ».
L’étonnement passé, la jeune femme obtempéra, prise d’un frisson d’excitation. Elle défit la fermeture éclaire dans son dos de sa robe blanche parsemée de discrets imprimés rouges, fit glisser les fines bretelles de ses épaules puis accompagna la robe jusqu’à ses pieds. Elle se retrouva au milieu de la pièce avec son ensemble de lingerie jaune en dentelle. Le médecin mit du temps avant de reprendre la parole pour lui indiquer de monter sur la balance, semble-t-il troublé par la vue de sa secrétaire en lingerie.
Elle monta sur la balance tandis que le médecin vint se mettre dans son dos sur lequel il posa délicatement sa main et regarda par dessus son épaule le poids indiqué par l’appareil. Angélique frissonna quand elle sentit les doigts chauds la frôler.
Il la fit mettre sous la toise et en baissant cette dernière appuya légèrement sur le ventre de la jeune femme qui savoura le plaisant contact.
Elle s’assit ensuite sur le fauteuil pour que le médecin écoute son cœur et ses poumons. Angélique sentait le froid stéthoscope sur sa épiderme qui contrastait avec la main chaude de Guillaume qui touchait la peau douce de son bras.
« Veuillez vous allonger » demanda le médecin.
La jeune femme se coucha dans le fauteuil et laissa les mains douce du praticien parcourir son corps. Il palpa son ventre, plus lentement et sensuellement qu’il ne l’aurait fait normalement. Il glissa délicatement le bouts de ses doigts sous l’élastique du tanga pour poursuivre son examen. Angélique frissonna lorsque la main s’approcha ainsi du fin duvet de son pubis. Les mains palpèrent avec douceur ensuite son cou puis s’aventurèrent dans sa nuque. En l’auscultant, le médecin plongeait son regard dans celui de sa patiente, qui finit par détourner lui yeux, troublée.
- Je vais palper votre poitrine pour détecter l’éventuelle présence d’une masse, si vous êtes d’accord, dit le médecin.
- D’accord, répondit machinalement Angélique en hochant la tête.
Le jeune médecin saisit l’une des bretelles du soutien-gorge et la fit glisser doucement le long du bras. Il recommença avec la deuxième. Les doigts délicats du praticien qui frôlaient sa peau en la déshabillant excitait fortement la jeune femme. Guillaume tira doucement sur les bonnets du soutien-gorge et dévoila la belle poitrine de sa secrétaire. Ses seins bien ronds s’offraient à lui et son regard envieux se perdit sur les mamelons roses dressés.
Angélique ferma les yeux lorsque les deux mains de son patron empoignèrent son sein gauche et se mirent à le palper. Elle sentait la chaleur l’envahir. Le médecin prolongea l’examen plus que de raison puis s’appliqua à contrôler le deuxième sein.
Après quelques examens supplémentaires, effectués avec plus ou moins d’érotisme, le médecin conclu :
- Tout va bien. Vous pouvez vous rhabiller.
La jeune secrétaire remit ses vêtements devant son collègue dont les yeux ne la quittait pas. Elle trouva la situation fort plaisante et prit tout son temps pour se rhabiller. Elle sortit finalement du bureau et eut le plus grand mal à retrouver ses esprits.
Quelques jours après la visite, alors qu’Angélique était dans le bureau de Guillaume en train de lui montrer des documents, lui assis dans son fauteuil et elle debout à ses côtés, elle sentit la main droite du médecin sur son genoux. Elle crut à un accident mais la main ne se retirait pas.
Elle remonta même doucement le long de sa jambe habillée d’un bas. Comme la jeune femme ne disait rien, le médecin prit cela pour un consentement et poursuivit son exploration. La main s’insinua sous la jupe, frôlant l’intérieur de la cuisse. Elle arriva à la couture des bas et s’y arrêta un peu. Les doigts aventureux passaient avec délectation de la peau douce comme la soie à la dentelle puis le nylon du bas. Ces différentes sensations sous ses doigts électrisait le médecin, autant que sa secrétaire. A cet instant, la sonnette retenti, annonçant la venue d’un patient. La main se retira lentement et Angélique sortit du bureau comme s’il ne s’était rien passé.
La même chose se répéta le jour suivant. La main explora cette fois jusqu’au fesses de la jeune femme rendues presque nue par le tanga qu’elle portait ce jour là. Elle ondula un peu du bassin sous les caresses de cette main chaude tant désirée sur son postérieur. Les doigts naviguaient entre la peau veloutée de ses fesses et la dentelle du sous-vêtement, sous lequel ils s’aventuraient avec plaisir. La sonnette sortit Angélique de son agréable torpeur et elle quitta à regret le bureau.
La fois suivante, la main remonta en douceur le long des jambes d’Angélique et atteignit le tissus de son string. Elle sentit les doigts effleurer sa fente avec beaucoup de délicatesse. Elle les sentait à peine mais au moindre frôlement un frisson parcourait son corps en éveil. Les caresses se firent progressivement plus insistantes. Elle sentait le plaisir monter en elle. L’index glissa vers son ventre et s’arrêta sur son clitoris avec lequel il joua avec avec tendresse. Quelques doigts écartèrent son string tandis que d’autres se hasardaient sur sa vulve nue. L’index reprit son jeu avec son bouton tandis que le pouce s’introduisit avec douceur dans la chatte légèrement humide. Les deux doigts excitaient la jeune femme qui se laissait envahir par une divine sensation de plaisir. Elle fermait les yeux, respirait fort et se cramponnait à l’épaule de son amant. C’est à cet instant que la maudite sonnette fit entendre son horrible cri. Angélique aurait voulut l’arracher et la jeter contre un mur.
« Non, ne vous arrêtez pas ! » supplia-t-elle.
Mais Guillaume retira délicatement sa main et porta ostensiblement son pouce luisant à sa bouche et dit avec un sourire un peu satisfait: « Il le faut, je dois recevoir le patient ».
Elle soupçonnait le médecin de prendre du plaisir à l’exciter et à la laisser ainsi terriblement frustrée. Elle fit une moue de mécontentement et sortit du bureau à regret.
Le matin suivant, lorsque le jeune médecin arriva, il ne vit pas sa secrétaire. Il s’en étonna, cette dernière étant toujours arrivée avant lui. Il rentra dans son bureau et c’est à cet instant qu’il la vit.
Angélique était installée dans son fauteuil, les jambes croisées et posées sur le bureau. Pour autant qu’il pouvait le voir, elle ne portait que sa blouse blanche dont les pans recouvraient sa poitrine. Le stéthoscope accroché à son cou pendait entre la belle courbure de ses seins.
La jeune femme se leva et se dirigea d’un mouvement déhanché vers Guillaume. Le médecin vit qu’elle portait un très élégant tanga blanc et se délecta de ces seins libres qui bougeaient sous le tissus de la blouse à chaque pas.
- Il faut vous ausculter aussi, dit la jeune femme en s’approchant très près du médecin, avec un sourire plein de malice.
Ce dernier, ne dit rien, mais était très excité par l’idée.
- Déshabillez-vous, ordonna Angélique.
Guillaume ôta son polo bleu marine pour laisser apparaître un torse musclé dont la jeune femme se délecta avec attrait. Doucement, il défit la ceinture de son pantalon puis déboutonna ce dernier et l’accompagna jusqu’à ses chevilles pour l’enlever.
Il se retrouva avec son seul boxer rouge et la jeune femme apprécia avec envie la bosse qui semblait grossir.
Elle posa sa main douce sur les pectoraux du praticien puis se mit à écouter le cœur du jeune homme à l’aide du stéthoscope. Elle s’attarda longuement pour parcourir tout le torse de son patron. En ne cessant d’effleurer du bout de ses doigts la peau de son patient, elle se plaça dans son dos et continua son examen. Tandis que le froid instrument métallique se déplaçait dans le dos de Guillaume, il appréciait avec beaucoup de plaisir le contact de la douce main de sa secrétaire se poser sur ses épaules, ses flancs, le bas de ses reins et jusqu’à ses fesses musclées.
Lorsqu’elle revint devant lui, la bosse dans le boxer avait doublée de volume.
- Vous avez un soucis ? demanda-t-elle avec espièglerie. Je vais arranger ça.
Angélique s’accroupit et commença à masser la bosse à travers le tissus. Elle finit par faire descendre le boxer pour libérer la queue tendue. Elle admira quelques instant l’objet de ses fantasmes. La jeune femme appliqua le stéthoscope sur la verge qui frémissait à chaque contact du métal froid.
- Je vois où se trouve le problème, dit-elle malicieusement.
La jeune secrétaire prit la hampe de chaire dans sa main et la porta à sa bouche. Guillaume fermait les yeux pour savourer chaque divine caresse d’Angélique. Elle faisait coulisser sa main sur le membre, léchait avec gourmandise le gland qui perlait de plaisir, caressait les couilles pleines.
Après avoir prit beaucoup de plaisir à sucer longuement son patron, la jeune femme se releva et se dirigea vers le bureau. Avec beaucoup de sensualité elle fit glisser son tanga le long de ses jambes puis s’assit à l’angle du bureau, jambes écartées.
Guillaume, attiré comme une abeille sur une jolie fleur, s’accroupit et se mit à butiner la chatte de la jeune femme pour déguster le divin nectar. La respiration de sa secrétaire se faisait plus forte sous chaque caresse sur son clitoris dressé d’excitation, ses lèvres gonflées de désir et son vagin qui s’ouvrait comme un bourgeon.
La jeune femme prenait beaucoup de plaisir mais ne tenait plus. Elle voulait cette queue en elle, elle voulait sentir le sexe de cet homme s’enfoncer au plus profond de son ventre. Elle le prit par l’épaule pour lui signifier de se relever.
Guillaume caressa avec son gland, de bas en haut, toute la vulve ardente qui dégoulinait littéralement de cyprine puis finit par introduire son sexe dans celui de la jeune femme qui laissa échapper un profond soupir de satisfaction. Elle pouvait enfin assouvir son fantasme, calmer la tension qui s’était emparé de son corps ces dernières semaine.
Tout en imprimant un lent va-et-vient, le médecin plongea son troublant regard noisette dans celui de sa secrétaire. Ils se fixèrent longuement, heureux tous les deux de posséder l’autre. Guillaume écarta les pans de la blouse et découvrit les jolis seins qu’il avait entrevu il y a peu lors de son inavouable visite médicale. Ils étaient d’une belle taille, fermes et en forme de poire. Angélique était fière de sa poitrine et ressentit de la satisfaction à voir son amant la contempler avec envie.
Il empoigna un sein dans chaque main, les massa avec douceur tout. Il fit rouler les durs tétons sous ses doigts et les pinça. Ils étaient si sensibles que cela arracha un petit cri de douleur à la jeune femme.
Il se pencha vers elle en s’excusant et l’embrassa avec fougue. Leurs lèvres se dévorèrent longuement avec passion, leurs langues ne cessant de s’enrouler entre elles.
Angélique voulue changer de position. Elle s’accouda au bureau et ordonna au médecin :
- Donne-moi des fessées !
Un peu surpris par la requête, le médecin resta quelques instants figé avant de réagir. Il finit par administrée une légère tape sur la fesse droite.
- Plus fort, ordonna la jeune femme.
Guillaume avait moins peur de lui faire mal que de ce faire entendre. Il donna quand même plus de force à la deuxième claque.
- Haaannnn, soupira Angélique.
Encouragé, son partenaire continua. Lorsque la fesse droite se mit à rougir, il infligea le même traitement à la gauche. La jeune secrétaire prenait beaucoup de plaisir à se faire un peu châtier. Elle sentait sa chatte bouillante et la cyprine couler le long de ses jambes.
Lorsque la punition fut terminée, Guillaume reprit la jeune femme. Libéré par le traitement qu’il venait de lui infliger, il la besogna avec plus de fougue. Son bassin tapait contre ses fesses endolories, ses couilles claquait sur la vulve gonflée d’excitation.
- Baise-moi fort ! l’encouragea la jeune femme.
Elle haletait de plaisir et sentait la chaleur envahir son corps. Des picotements se firent sentir dans son vagin, annonciateurs d’un orgasme à venir. Quelques secondes après, une vague de plaisir déferla de sa chatte en feu à la pointe douloureuse de ses seins. Elle se mordit les lèvres pour exprimer le moins fort possible son plaisir.
Angélique profita encore quelques minutes de la queue de son amant en elle avant qu’il jouisse à son tour en éjaculant au plus profond du vagin de la jeune femme qui fut prise d’un frisson. Elle fut un peu surprise car elle eut l’impression que son amant avait expulsé une quantité impressionnante de sperme en elle.
Ils restèrent quelques instant dans cette position, le médecin continuant un lent va-et-vient tant que la rigidité de son membre le lui permettait. Lorsqu’il se retira, la jeune femme s’accroupit devant lui et entreprit de lui nettoyer la queue en récoltant la moindre goutte de liquide.
Ils se rhabillèrent sans un mots avec des sourires de bonheur illuminant leurs visages. Après avoir déposé un tendre baiser sur la bouche du médecin, Angélique sortit du bureau, tel qu’elle l’avait fantasmé. Les fesses rougies et douloureuse, et la chatte dégoulinante de sperme.
Lorsqu’elle referma la porte, Guillaume entendit sa secrétaire dire :
- Bonjour Madame Mangin. Le docteur a un peu de retard, il a dû prendre une patiente en urgence ce matin. Il va vous recevoir dans 5 minutes.
Cependant, un jour de printemps tout changea. Guillaume était en instance de divorce. Angélique décida de tenter sa chance.
A partir de cet instant, elle soigna ses regards et ses sourires, lançait des allusions à toute occasion favorable pour lui faire comprendre qu’il devait tourner la page et quelle était disponible pour l’y aider.
Parfois, elle frôlait « accidentellement » la main du médecin en lui tendant un document ou un stylo.
Alors que les choses ne bougeaient pas entre eux, il lui proposa de façon inattendue un midi de déjeuner avec lui. Chaque jour, l’un comme l’autre amenait son repas qu’il réchauffait dans le micro-onde disponible derrière le guichet d’accueil de la secrétaire. Guillaume l’invita donc à lui tenir compagnie dans son bureau pour déjeuner. Angélique en fut ravie et en nourrit beaucoup d’espoir, d’autant que cela se reproduisit plusieurs fois depuis lors.
Lors de cette courte pause médiane, ils avaient l’occasion d’apprendre à mieux se connaître. Le repas terminé, Angélique allait de temps en temps s’asseoir sur le fauteuil d’auscultation pour poursuivre la conversation, jambes croisées, légèrement penchée en arrière, appuyée sur ses mains. Ses cuisses se dévoilaient un peu plus lorsqu’elle portait une jupe tandis que sa poitrine pointait fièrement sous le fin tissus de ses débardeurs.
Il lui semblait alors que le regard du médecin s’illuminait.
Les jours, les semaines s’écoulèrent toutefois sans que la situation n’évolue comme la jeune femme l’espérait. Elle se mit alors à porter des tenues un peu plus sexy pour essayer de réveiller le désir du médecin.
Un matin, le docteur Marlot arriva à 8h30, peu de temps après sa secrétaire. Angélique le regarda entrer dans le cabinet avec envie. Ses séances hebdomadaires de course à pieds entretenaient son corps athlétique de trentenaire. Il était dynamique, souriant et avenant. Ses cheveux bruns se parsemaient de quelques cheveux gris qui lui donnait beaucoup de charme. Les traits de son visage étaient harmonieux et son sourire faisait fondre la jeune femme. Il portait un pantalon ajusté beige avec un polo noir qui lui donnait un air décontracté mais élégant, comme toujours.
- Bonjour Angélique, dit Guillaume d’un ton affable en entrant.
- Bonjour, répondit-elle en trouvant son regard noisette plus séducteur que jamais.
Elle eut l’impression que ses yeux firent une courte pose dans son profond décolleté. La jeune femme avait opté pour un soutien-gorge pigeonnant et un t-shirt avec un grand col en V qui laissait entrevoir les belles rondeurs de sa poitrine.
Le médecin entra dans son bureau alors qu’Angélique le suivait du regard, admirant ses fesses musclées joliment mises en valeur par son pantalon.
Dans la matinée, entre deux rendez-vous Angélique entra dans la bureau de Guillaume.
La jeune femme vint se placer face au médecin. Ils étaient séparés par le bureau. Elle se pencha et posa une feuille avec une liste de patients. En se penchant, elle dévoila un peu plus son décolleté.
- Je vous ai noté les rendez-vous urgents qui se sont ajoutés dans le planning aujourd’hui.
- Merci Angélique, dit le médecin, visiblement un peu troublé.
Elle resta quelques instants à échanger des informations, laissant le médecin profiter de la vue. Elle avait des cheveux bruns mi-long qui ondulaient librement autour de son joli visage. Elle était relativement mince mais avait quelques rondeurs qui lui donnaient de belles formes. Elle aimait ses seins et ses fesses qu’elle trouvait parfaits. Elle était audacieuse, un peu bavarde et aimait les journées animées. Elle portait une jupe droite jusqu’à mi-cuisse qui recouvrait ses jambes gaînées de nylon. Même s’il ne le voyait pas, elle avait décidé de laisser de côté les collants habituels pour des bas. Elle se trouvait sexy avec et pensait que pour séduire son patron elle devait elle-même se sentir séduisante.
Hélas pour la jeune femme, il ne se passa rien de particulier entre eux le reste de la journée.
Occasionnellement, elle se plaçait très près de lui, lui touchait le bras, l’épaule ou la main. Il lui semblait que le contact de ses doigts électrisait le médecin.
Ou alors elle laissait échapper un document en ressortant du bureau. Elle se penchait pour le ramasser et s’arranger pour offrir une belle vue de ses fesses. Elle imaginait parfois que sa maladresse irritait le médecin et qu’il lui ordonnerait de s’accouder au bureau. Sans ménagement, il relèverait sa jupe et lui administrerait quelques fessées. Devant l’auréole maculant le fond de son string, il baisserait ce dernier la baiserait sans ménagement. Elle se délecterait de cette queue qui s’enfoncerait dans son ventre avec fougue. Il humidifierait son pouce de son abondante mouille et jouerait avec son anus avant d’y insérer son doigt. Sous les fougueux assauts de son amant elle aurait un puissant orgasme, oubliant les personnes autour d’elle. Son partenaire jouirait à son tour, déchargeant sa semence au fond de son vagin. L’excitation de son corps calmée, elle remettrait son string et sortirait du bureau, les fesses rougies et la chatte dégoulinante d’un mélange de cyprine et de sperme. C’était alors que le médecin la ramenait à la réalité :
- Angélique ? Ca va ? Vous ne dites plus rien !
- Pardon, j’ai eu une absence, s’excusait alors la jeune femme, le rouge lui montant aux joues.
Malheureusement pour la jeune femme, ses fantasmes ne se réalisaient pas.
Toutefois, la situation évolua positivement. Un jour Guillaume lui demanda de venir dans son bureau. Elle entra et referma la porte. Le médecin lui dit alors : « Je pense qu’il faudrait que nous fassions votre visite médicale ».
Surprise, Angélique bredouilla une réponse avant que Guillaume n’enchaîne : « Vous êtes là depuis 6 mois et vous n’avez eu aucune visite médicale de la part de votre employeur. Veuillez vous déshabillez s’il vous plaît ».
L’étonnement passé, la jeune femme obtempéra, prise d’un frisson d’excitation. Elle défit la fermeture éclaire dans son dos de sa robe blanche parsemée de discrets imprimés rouges, fit glisser les fines bretelles de ses épaules puis accompagna la robe jusqu’à ses pieds. Elle se retrouva au milieu de la pièce avec son ensemble de lingerie jaune en dentelle. Le médecin mit du temps avant de reprendre la parole pour lui indiquer de monter sur la balance, semble-t-il troublé par la vue de sa secrétaire en lingerie.
Elle monta sur la balance tandis que le médecin vint se mettre dans son dos sur lequel il posa délicatement sa main et regarda par dessus son épaule le poids indiqué par l’appareil. Angélique frissonna quand elle sentit les doigts chauds la frôler.
Il la fit mettre sous la toise et en baissant cette dernière appuya légèrement sur le ventre de la jeune femme qui savoura le plaisant contact.
Elle s’assit ensuite sur le fauteuil pour que le médecin écoute son cœur et ses poumons. Angélique sentait le froid stéthoscope sur sa épiderme qui contrastait avec la main chaude de Guillaume qui touchait la peau douce de son bras.
« Veuillez vous allonger » demanda le médecin.
La jeune femme se coucha dans le fauteuil et laissa les mains douce du praticien parcourir son corps. Il palpa son ventre, plus lentement et sensuellement qu’il ne l’aurait fait normalement. Il glissa délicatement le bouts de ses doigts sous l’élastique du tanga pour poursuivre son examen. Angélique frissonna lorsque la main s’approcha ainsi du fin duvet de son pubis. Les mains palpèrent avec douceur ensuite son cou puis s’aventurèrent dans sa nuque. En l’auscultant, le médecin plongeait son regard dans celui de sa patiente, qui finit par détourner lui yeux, troublée.
- Je vais palper votre poitrine pour détecter l’éventuelle présence d’une masse, si vous êtes d’accord, dit le médecin.
- D’accord, répondit machinalement Angélique en hochant la tête.
Le jeune médecin saisit l’une des bretelles du soutien-gorge et la fit glisser doucement le long du bras. Il recommença avec la deuxième. Les doigts délicats du praticien qui frôlaient sa peau en la déshabillant excitait fortement la jeune femme. Guillaume tira doucement sur les bonnets du soutien-gorge et dévoila la belle poitrine de sa secrétaire. Ses seins bien ronds s’offraient à lui et son regard envieux se perdit sur les mamelons roses dressés.
Angélique ferma les yeux lorsque les deux mains de son patron empoignèrent son sein gauche et se mirent à le palper. Elle sentait la chaleur l’envahir. Le médecin prolongea l’examen plus que de raison puis s’appliqua à contrôler le deuxième sein.
Après quelques examens supplémentaires, effectués avec plus ou moins d’érotisme, le médecin conclu :
- Tout va bien. Vous pouvez vous rhabiller.
La jeune secrétaire remit ses vêtements devant son collègue dont les yeux ne la quittait pas. Elle trouva la situation fort plaisante et prit tout son temps pour se rhabiller. Elle sortit finalement du bureau et eut le plus grand mal à retrouver ses esprits.
Quelques jours après la visite, alors qu’Angélique était dans le bureau de Guillaume en train de lui montrer des documents, lui assis dans son fauteuil et elle debout à ses côtés, elle sentit la main droite du médecin sur son genoux. Elle crut à un accident mais la main ne se retirait pas.
Elle remonta même doucement le long de sa jambe habillée d’un bas. Comme la jeune femme ne disait rien, le médecin prit cela pour un consentement et poursuivit son exploration. La main s’insinua sous la jupe, frôlant l’intérieur de la cuisse. Elle arriva à la couture des bas et s’y arrêta un peu. Les doigts aventureux passaient avec délectation de la peau douce comme la soie à la dentelle puis le nylon du bas. Ces différentes sensations sous ses doigts électrisait le médecin, autant que sa secrétaire. A cet instant, la sonnette retenti, annonçant la venue d’un patient. La main se retira lentement et Angélique sortit du bureau comme s’il ne s’était rien passé.
La même chose se répéta le jour suivant. La main explora cette fois jusqu’au fesses de la jeune femme rendues presque nue par le tanga qu’elle portait ce jour là. Elle ondula un peu du bassin sous les caresses de cette main chaude tant désirée sur son postérieur. Les doigts naviguaient entre la peau veloutée de ses fesses et la dentelle du sous-vêtement, sous lequel ils s’aventuraient avec plaisir. La sonnette sortit Angélique de son agréable torpeur et elle quitta à regret le bureau.
La fois suivante, la main remonta en douceur le long des jambes d’Angélique et atteignit le tissus de son string. Elle sentit les doigts effleurer sa fente avec beaucoup de délicatesse. Elle les sentait à peine mais au moindre frôlement un frisson parcourait son corps en éveil. Les caresses se firent progressivement plus insistantes. Elle sentait le plaisir monter en elle. L’index glissa vers son ventre et s’arrêta sur son clitoris avec lequel il joua avec avec tendresse. Quelques doigts écartèrent son string tandis que d’autres se hasardaient sur sa vulve nue. L’index reprit son jeu avec son bouton tandis que le pouce s’introduisit avec douceur dans la chatte légèrement humide. Les deux doigts excitaient la jeune femme qui se laissait envahir par une divine sensation de plaisir. Elle fermait les yeux, respirait fort et se cramponnait à l’épaule de son amant. C’est à cet instant que la maudite sonnette fit entendre son horrible cri. Angélique aurait voulut l’arracher et la jeter contre un mur.
« Non, ne vous arrêtez pas ! » supplia-t-elle.
Mais Guillaume retira délicatement sa main et porta ostensiblement son pouce luisant à sa bouche et dit avec un sourire un peu satisfait: « Il le faut, je dois recevoir le patient ».
Elle soupçonnait le médecin de prendre du plaisir à l’exciter et à la laisser ainsi terriblement frustrée. Elle fit une moue de mécontentement et sortit du bureau à regret.
Le matin suivant, lorsque le jeune médecin arriva, il ne vit pas sa secrétaire. Il s’en étonna, cette dernière étant toujours arrivée avant lui. Il rentra dans son bureau et c’est à cet instant qu’il la vit.
Angélique était installée dans son fauteuil, les jambes croisées et posées sur le bureau. Pour autant qu’il pouvait le voir, elle ne portait que sa blouse blanche dont les pans recouvraient sa poitrine. Le stéthoscope accroché à son cou pendait entre la belle courbure de ses seins.
La jeune femme se leva et se dirigea d’un mouvement déhanché vers Guillaume. Le médecin vit qu’elle portait un très élégant tanga blanc et se délecta de ces seins libres qui bougeaient sous le tissus de la blouse à chaque pas.
- Il faut vous ausculter aussi, dit la jeune femme en s’approchant très près du médecin, avec un sourire plein de malice.
Ce dernier, ne dit rien, mais était très excité par l’idée.
- Déshabillez-vous, ordonna Angélique.
Guillaume ôta son polo bleu marine pour laisser apparaître un torse musclé dont la jeune femme se délecta avec attrait. Doucement, il défit la ceinture de son pantalon puis déboutonna ce dernier et l’accompagna jusqu’à ses chevilles pour l’enlever.
Il se retrouva avec son seul boxer rouge et la jeune femme apprécia avec envie la bosse qui semblait grossir.
Elle posa sa main douce sur les pectoraux du praticien puis se mit à écouter le cœur du jeune homme à l’aide du stéthoscope. Elle s’attarda longuement pour parcourir tout le torse de son patron. En ne cessant d’effleurer du bout de ses doigts la peau de son patient, elle se plaça dans son dos et continua son examen. Tandis que le froid instrument métallique se déplaçait dans le dos de Guillaume, il appréciait avec beaucoup de plaisir le contact de la douce main de sa secrétaire se poser sur ses épaules, ses flancs, le bas de ses reins et jusqu’à ses fesses musclées.
Lorsqu’elle revint devant lui, la bosse dans le boxer avait doublée de volume.
- Vous avez un soucis ? demanda-t-elle avec espièglerie. Je vais arranger ça.
Angélique s’accroupit et commença à masser la bosse à travers le tissus. Elle finit par faire descendre le boxer pour libérer la queue tendue. Elle admira quelques instant l’objet de ses fantasmes. La jeune femme appliqua le stéthoscope sur la verge qui frémissait à chaque contact du métal froid.
- Je vois où se trouve le problème, dit-elle malicieusement.
La jeune secrétaire prit la hampe de chaire dans sa main et la porta à sa bouche. Guillaume fermait les yeux pour savourer chaque divine caresse d’Angélique. Elle faisait coulisser sa main sur le membre, léchait avec gourmandise le gland qui perlait de plaisir, caressait les couilles pleines.
Après avoir prit beaucoup de plaisir à sucer longuement son patron, la jeune femme se releva et se dirigea vers le bureau. Avec beaucoup de sensualité elle fit glisser son tanga le long de ses jambes puis s’assit à l’angle du bureau, jambes écartées.
Guillaume, attiré comme une abeille sur une jolie fleur, s’accroupit et se mit à butiner la chatte de la jeune femme pour déguster le divin nectar. La respiration de sa secrétaire se faisait plus forte sous chaque caresse sur son clitoris dressé d’excitation, ses lèvres gonflées de désir et son vagin qui s’ouvrait comme un bourgeon.
La jeune femme prenait beaucoup de plaisir mais ne tenait plus. Elle voulait cette queue en elle, elle voulait sentir le sexe de cet homme s’enfoncer au plus profond de son ventre. Elle le prit par l’épaule pour lui signifier de se relever.
Guillaume caressa avec son gland, de bas en haut, toute la vulve ardente qui dégoulinait littéralement de cyprine puis finit par introduire son sexe dans celui de la jeune femme qui laissa échapper un profond soupir de satisfaction. Elle pouvait enfin assouvir son fantasme, calmer la tension qui s’était emparé de son corps ces dernières semaine.
Tout en imprimant un lent va-et-vient, le médecin plongea son troublant regard noisette dans celui de sa secrétaire. Ils se fixèrent longuement, heureux tous les deux de posséder l’autre. Guillaume écarta les pans de la blouse et découvrit les jolis seins qu’il avait entrevu il y a peu lors de son inavouable visite médicale. Ils étaient d’une belle taille, fermes et en forme de poire. Angélique était fière de sa poitrine et ressentit de la satisfaction à voir son amant la contempler avec envie.
Il empoigna un sein dans chaque main, les massa avec douceur tout. Il fit rouler les durs tétons sous ses doigts et les pinça. Ils étaient si sensibles que cela arracha un petit cri de douleur à la jeune femme.
Il se pencha vers elle en s’excusant et l’embrassa avec fougue. Leurs lèvres se dévorèrent longuement avec passion, leurs langues ne cessant de s’enrouler entre elles.
Angélique voulue changer de position. Elle s’accouda au bureau et ordonna au médecin :
- Donne-moi des fessées !
Un peu surpris par la requête, le médecin resta quelques instants figé avant de réagir. Il finit par administrée une légère tape sur la fesse droite.
- Plus fort, ordonna la jeune femme.
Guillaume avait moins peur de lui faire mal que de ce faire entendre. Il donna quand même plus de force à la deuxième claque.
- Haaannnn, soupira Angélique.
Encouragé, son partenaire continua. Lorsque la fesse droite se mit à rougir, il infligea le même traitement à la gauche. La jeune secrétaire prenait beaucoup de plaisir à se faire un peu châtier. Elle sentait sa chatte bouillante et la cyprine couler le long de ses jambes.
Lorsque la punition fut terminée, Guillaume reprit la jeune femme. Libéré par le traitement qu’il venait de lui infliger, il la besogna avec plus de fougue. Son bassin tapait contre ses fesses endolories, ses couilles claquait sur la vulve gonflée d’excitation.
- Baise-moi fort ! l’encouragea la jeune femme.
Elle haletait de plaisir et sentait la chaleur envahir son corps. Des picotements se firent sentir dans son vagin, annonciateurs d’un orgasme à venir. Quelques secondes après, une vague de plaisir déferla de sa chatte en feu à la pointe douloureuse de ses seins. Elle se mordit les lèvres pour exprimer le moins fort possible son plaisir.
Angélique profita encore quelques minutes de la queue de son amant en elle avant qu’il jouisse à son tour en éjaculant au plus profond du vagin de la jeune femme qui fut prise d’un frisson. Elle fut un peu surprise car elle eut l’impression que son amant avait expulsé une quantité impressionnante de sperme en elle.
Ils restèrent quelques instant dans cette position, le médecin continuant un lent va-et-vient tant que la rigidité de son membre le lui permettait. Lorsqu’il se retira, la jeune femme s’accroupit devant lui et entreprit de lui nettoyer la queue en récoltant la moindre goutte de liquide.
Ils se rhabillèrent sans un mots avec des sourires de bonheur illuminant leurs visages. Après avoir déposé un tendre baiser sur la bouche du médecin, Angélique sortit du bureau, tel qu’elle l’avait fantasmé. Les fesses rougies et douloureuse, et la chatte dégoulinante de sperme.
Lorsqu’elle referma la porte, Guillaume entendit sa secrétaire dire :
- Bonjour Madame Mangin. Le docteur a un peu de retard, il a dû prendre une patiente en urgence ce matin. Il va vous recevoir dans 5 minutes.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un très bon thème mais la pause de midi est méridienne et non médiane.
Et puis toujours l’erreur hélas trop répandue : le sexe féminin (la chatte) avec le Clito et les lèvres s’appelle la vulve et non la vagin.
Le vagin existe mais il est placé plus haut dans le corps féminin, qui conduit vers l’ovaire
Ça suffit de répéter des conneries au plan anatomique Merci à tous
Matthieu du 74
Et puis toujours l’erreur hélas trop répandue : le sexe féminin (la chatte) avec le Clito et les lèvres s’appelle la vulve et non la vagin.
Le vagin existe mais il est placé plus haut dans le corps féminin, qui conduit vers l’ovaire
Ça suffit de répéter des conneries au plan anatomique Merci à tous
Matthieu du 74
excellent scénario. j ai pris plaisir à lire ce recit bien écrit