Mon Chéri 1
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon Chéri 1
Mon chéri
Au secours, moi Mimi, ton épouse depuis deux ans, je te lance un appel au secours par écrit. Pourquoi pas au cours d'un échange verbal ? Parce que je tiens à pouvoir exposer ma situation désespérée en détails et jusqu'au bout. Certains éléments te révolteront sans doute qui pourraient interrompre mon récit. Je souhaite te donner une vue globale d'événements de ma vie que tu ignores, pour que tu ne t'arrêtes pas à des détails. J'ai vraiment besoin d'être comprise et secourue par toi, en ce moment particulièrement.
Tu es certainement stupéfait d'apprendre que je vais mal, très mal alors que tu n’as rien remarqué. Ton amour va souffrir des révélations que tu vas lire ; pourtant je compte sur ton amour, bien que malmené, pour pouvoir mettre un terme à mes tourments. De grâce ne me condamne pas avant d'avoir tout lu.
J'ai fait un faux pas et afin de ne pas te perdre, j'ai ensuite cédé à un chantage. Une personne a en effet utilisé mon erreur pour m'enfoncer de plus en plus profondément, avec le discours suivant :
- Si tu ne fais pas ce que je te demande, je raconterai à ton mari ce que tu as fait et il te fichera à la porte.
Alors, pour ne pas te perdre à cause de la première faute, j'ai obéi, je me suis soumise au chantage et j'ai offert au maître chanteur de nouvelles matières à chantage. Au début je n'avais pas su prévoir que mon cas serait exploité à l'extrême, je souhaitais surtout t'épargner la peine que tu éprouverais si on me dénonçait. Ainsi je suis allée de mal en pis et je viens d'atteindre un tel degré d'indignité que j'ai longuement hésité avant de recourir à cet appel au secours. Mais plus j'hésite, plus on m'impose des actes insupportables, plus je suis humiliée, plus je me sens indigne de toi, plus je me déteste moi-même. Je tente ma dernière chance tant est grand mon désespoir, dussé-je te perdre.
Il se peut que tu me juges gravement coupable et que tu me répudies, dégoûté de moi. Je n'aurai pas à me plaindre, je ne pourrai m'en prendre qu'à moi-même et à ma peur de ne plus être aimée de toi. Parce que je n'ai pas eu assez confiance en ton amour, parce que je ne voulais pas que tu aies de moi une image salie, j'ai fait le jeu d'une personne d’abord, puis de son complice encore plus impitoyable et plus vicieux que la première personne.
Donc je passe aux aveux avec l'espoir de priver mes bourreaux de leurs moyens d'influencer ma conduite. Au secours, aide-moi... Quand tu posséderas tous les éléments ces gens n’auront plus le moyen de pression actuel. Je cours un risque énorme, mais quelle que soit ta réaction, j'aurai fait mon possible pour échapper au pire. Tu souffriras à cause de ce que tu vas apprendre. Je te demande pardon pour cette peine que j'ai trop voulu t'épargner par amour de toi.
Tu te souviens de notre joie quand nous avons déniché notre logis. Dans la maison l’appartement du haut étant occupé par un couple, nous avons été heureux de pouvoir louer celui du bas, malgré la servitude de devoir partager l’entrée. Nous avons rapidement sympathisé avec Martin et Zoé, les locataires du premier, des gens aimables relativement plus âgés que nous. Pendant que toi et Martin étiez au travail, Zoé et moi avons pris l’habitude de nous rencontrer et de boire ensemble un café ou un thé.
A l’occasion de son anniversaire Zoé a débouché une bouteille de champagne. La première coupe bien fraîche est descendue facilement. Nous ne pouvions pas laisser le vin s’évaporer , nous avons vidé une deuxième coupe. Zoé m'a montré le fond, nous n'allions pas en ce jour d'anniversaire gaspiller le précieux liquide, donc nous nous sommes dévouées et avons partagé ce fond de champagne. Zoé mit alors un dvd de slows.
Nous étions joyeuses, nous avions tendance à rire facilement. Zoé me tendit les bras et nous nous mîmes à danser. Zoé souriait, faisait la folle, m'enlaçait tendrement, posait sa tête contre ma chevelure. Nous formions un couple heureux. La musique nous berçait et les vapeurs de champagne me montaient à la tête. Zoé s'amusait à déposer des bisous sur mes joues, riait de mon étonnement, reprenait quelques pas de danses et semait un bisou sur mon menton, un autre sur mon oeil ou sur mon oreille, derrière mon oreille. Des frissons me parcouraient partout. Zoé riait et je m'efforçais à faire bonne figure.
J'étais comme anesthésiée. Etait-ce l'effet du champagne ou le plaisir de m'amuser avec une amie ? Ces frissons qui allaient de mon cou à mon ventre faisaient-ils tomber mes défenses ? En temps ordinaire j'aurais repoussé ces câlins de Zoé, mais c'était son anniversaire, elle était joyeuse, je n'avais pas le droit de gâcher son plaisir pour quelques bisous. La joie communicative de cette amie me grisait, avec elle je riais de ses fantaisies.
A la fin du disque, Zoé m'entraîne vers son canapé. Elle entame une discussion à propos des deux absents, nos maris. Il faudra les inviter ce soir pour fêter avec eux. Ce sera formidable en raison de leur présence. Zoé a prévu les gâteaux et remis du champagne au frais. Elle me pose des questions sur Jean, mon mari. Aime-t-il le champagne, quels sont ses plats préférés? Est-il un époux fidèle ? Des questions neutres on passe au domaine de l'intimité. Jean est-il bon amant, quelles sont ses positions préférées. Des questions on glisse aux confidences. Martin n'est malheureusement plus très attiré par Zoé.
Du ton enjoué Zoé bascule dans la mélancolie. Elle ne rit plus car elle déplore le manque d'enthousiasme de son mari. Elle suppose que l'habitude freine les élans amoureux.
- Quand j'avais vingt ans, il passait son temps à découvrir mes lolos pour les admirer et les choyer. Ne suis-je plus assez belle. Avant il caressait mes seins, les baisait et parfois il suçait les tétins. Pourquoi ne le fait-il plus ? Ne sont-ils plus aussi beaux ? Tu veux les voir ? Ils sont volumineux oui, mais pas énormes. Regarde. Qu'en penses-tu ?
En quelques mouvements rapides Zoé les fait jaillir de son soutien-gorge et les expose sous mon nez. Je dois être sincère, ne pas chercher à la tromper sur leur aspect. Tombent-ils, ne sont-ils pas fermes? Comment répondre sans toucher, dit-elle :
- Prends celui-là en main, tâte, caresse. La peau est douce! Et frotte un peu le tétin, vois comme aussitôt il durcit et pointe.Je ne comprends pas le désintérêt de Martin. Jean agit-il de même ? Non, les tiens doivent être comme étaient les miens ou je me trompe...tu...
Elle voudrait, elle n'ose pas... Ses yeux sont plus éloquents, fixés sur ma poitrine. Jusqu'à ce jour j'ai fait un complexe en présence de cette femme plus âgée que moi, je vais m'en délivrer. J'ai certainement des seins magnifiques, c'est toi, mon amour, qui me le dis souvent. Zoé aimerait les comparer aux siens. Aujourd'hui, le champagne aidant, tes compliments habituels font que la comparaison ne me fait pas peur. J'ouvre ma blouse tranquillement, je fais désirer le spectacle attendu qui mettra en valeur "mes adorables nénés" comme tu les nommes. Cette fois je me sentirai plus à l'aise face à Zoé. Je dégrafe mon soutien-gorge, je le retire. Zoé est tout excitée, ses mains aux doigts croisés marquent son impatience et quand tombe ma lingerie un cri lui échappe :
- Oh! mon Dieu, comme ils sont beaux. deux amours de colombes. Adorables, mignons, puis-je les toucher ?
Elle les soupèse délicatement, elle éveille mes tétins érectiles aussitôt durcis. Je suis flattée par l'admiration de ma voisine. Je suis surprise quand elle pose ses lèvres sur le gauche alors que d'une main elle caresse le droit. Je deviens incapable de réaction lorsque je suis parcourue de frissons qui affolent mes sens. Zoé suce mon aréole, change de sein avec des soupirs d'admiration. J'étais fière de ma poitrine, un bien-être soudain m'envahit, comparable à celui que tu me donnes chaque fois que tu honores mes seins. Je tremble de plaisir. Zoé est une diablesse, elle me bouleverse, elle m'impose des caresses qui me font fondre. Je n'ai plus de volonté, je jouis.Zoé rit de bonheur. Qu'est-ce que je me sens bien.
On sonne à la porte. Zoé sursaute, lâche ma poitrine, lâche un juron. Nous nous regardons, nous attrapons nos affaires. Le visiteur sonne encore avec insistance, il suppose que la maison est habitée ou se dit que la sonnerie ne dérangera personne. Son doigt ne quitte pas le bouton de sonnette ! Nous battons des records de vitesse pour retrouver une tenue irréprochable. Zoé va ouvrir à l'importun.
Elle remonte en pestant
- L'idiot me dérange pour me proposer l'isolation à 1 euro ! Chaque jours ils me cassent les pieds au téléphone et par e-mails. Qu'ils s'adressent au propriétaire! Quoi, tu t'en vas déjà?
- Oui, je suis un peu étourdie par le champagne, il faut que je m'allonge.
- Ah! bon. C'est de ma faute. Attends je t'accompagne, ne tombe pas dans l'escalier. Donne ta main.
Zoé me dirige à travers notre appartement. Elle ne me rend ma main que lorsque je suis assise sur le bord de mon lit, c'est pour soulever mes pieds et les déposer sur le couvre-lit.
- Comme ça, cela va mieux ? Tu peux t'endormir, je veille sur toi.
Zoé me donne un bisou sur le front, sa main frôle mon sein encore ému. Elle contourne le pied de lit et vient s'allonger à côté de moi. Tout cela me paraît irréel...je sombre dans le sommeil
Au secours, moi Mimi, ton épouse depuis deux ans, je te lance un appel au secours par écrit. Pourquoi pas au cours d'un échange verbal ? Parce que je tiens à pouvoir exposer ma situation désespérée en détails et jusqu'au bout. Certains éléments te révolteront sans doute qui pourraient interrompre mon récit. Je souhaite te donner une vue globale d'événements de ma vie que tu ignores, pour que tu ne t'arrêtes pas à des détails. J'ai vraiment besoin d'être comprise et secourue par toi, en ce moment particulièrement.
Tu es certainement stupéfait d'apprendre que je vais mal, très mal alors que tu n’as rien remarqué. Ton amour va souffrir des révélations que tu vas lire ; pourtant je compte sur ton amour, bien que malmené, pour pouvoir mettre un terme à mes tourments. De grâce ne me condamne pas avant d'avoir tout lu.
J'ai fait un faux pas et afin de ne pas te perdre, j'ai ensuite cédé à un chantage. Une personne a en effet utilisé mon erreur pour m'enfoncer de plus en plus profondément, avec le discours suivant :
- Si tu ne fais pas ce que je te demande, je raconterai à ton mari ce que tu as fait et il te fichera à la porte.
Alors, pour ne pas te perdre à cause de la première faute, j'ai obéi, je me suis soumise au chantage et j'ai offert au maître chanteur de nouvelles matières à chantage. Au début je n'avais pas su prévoir que mon cas serait exploité à l'extrême, je souhaitais surtout t'épargner la peine que tu éprouverais si on me dénonçait. Ainsi je suis allée de mal en pis et je viens d'atteindre un tel degré d'indignité que j'ai longuement hésité avant de recourir à cet appel au secours. Mais plus j'hésite, plus on m'impose des actes insupportables, plus je suis humiliée, plus je me sens indigne de toi, plus je me déteste moi-même. Je tente ma dernière chance tant est grand mon désespoir, dussé-je te perdre.
Il se peut que tu me juges gravement coupable et que tu me répudies, dégoûté de moi. Je n'aurai pas à me plaindre, je ne pourrai m'en prendre qu'à moi-même et à ma peur de ne plus être aimée de toi. Parce que je n'ai pas eu assez confiance en ton amour, parce que je ne voulais pas que tu aies de moi une image salie, j'ai fait le jeu d'une personne d’abord, puis de son complice encore plus impitoyable et plus vicieux que la première personne.
Donc je passe aux aveux avec l'espoir de priver mes bourreaux de leurs moyens d'influencer ma conduite. Au secours, aide-moi... Quand tu posséderas tous les éléments ces gens n’auront plus le moyen de pression actuel. Je cours un risque énorme, mais quelle que soit ta réaction, j'aurai fait mon possible pour échapper au pire. Tu souffriras à cause de ce que tu vas apprendre. Je te demande pardon pour cette peine que j'ai trop voulu t'épargner par amour de toi.
Tu te souviens de notre joie quand nous avons déniché notre logis. Dans la maison l’appartement du haut étant occupé par un couple, nous avons été heureux de pouvoir louer celui du bas, malgré la servitude de devoir partager l’entrée. Nous avons rapidement sympathisé avec Martin et Zoé, les locataires du premier, des gens aimables relativement plus âgés que nous. Pendant que toi et Martin étiez au travail, Zoé et moi avons pris l’habitude de nous rencontrer et de boire ensemble un café ou un thé.
A l’occasion de son anniversaire Zoé a débouché une bouteille de champagne. La première coupe bien fraîche est descendue facilement. Nous ne pouvions pas laisser le vin s’évaporer , nous avons vidé une deuxième coupe. Zoé m'a montré le fond, nous n'allions pas en ce jour d'anniversaire gaspiller le précieux liquide, donc nous nous sommes dévouées et avons partagé ce fond de champagne. Zoé mit alors un dvd de slows.
Nous étions joyeuses, nous avions tendance à rire facilement. Zoé me tendit les bras et nous nous mîmes à danser. Zoé souriait, faisait la folle, m'enlaçait tendrement, posait sa tête contre ma chevelure. Nous formions un couple heureux. La musique nous berçait et les vapeurs de champagne me montaient à la tête. Zoé s'amusait à déposer des bisous sur mes joues, riait de mon étonnement, reprenait quelques pas de danses et semait un bisou sur mon menton, un autre sur mon oeil ou sur mon oreille, derrière mon oreille. Des frissons me parcouraient partout. Zoé riait et je m'efforçais à faire bonne figure.
J'étais comme anesthésiée. Etait-ce l'effet du champagne ou le plaisir de m'amuser avec une amie ? Ces frissons qui allaient de mon cou à mon ventre faisaient-ils tomber mes défenses ? En temps ordinaire j'aurais repoussé ces câlins de Zoé, mais c'était son anniversaire, elle était joyeuse, je n'avais pas le droit de gâcher son plaisir pour quelques bisous. La joie communicative de cette amie me grisait, avec elle je riais de ses fantaisies.
A la fin du disque, Zoé m'entraîne vers son canapé. Elle entame une discussion à propos des deux absents, nos maris. Il faudra les inviter ce soir pour fêter avec eux. Ce sera formidable en raison de leur présence. Zoé a prévu les gâteaux et remis du champagne au frais. Elle me pose des questions sur Jean, mon mari. Aime-t-il le champagne, quels sont ses plats préférés? Est-il un époux fidèle ? Des questions neutres on passe au domaine de l'intimité. Jean est-il bon amant, quelles sont ses positions préférées. Des questions on glisse aux confidences. Martin n'est malheureusement plus très attiré par Zoé.
Du ton enjoué Zoé bascule dans la mélancolie. Elle ne rit plus car elle déplore le manque d'enthousiasme de son mari. Elle suppose que l'habitude freine les élans amoureux.
- Quand j'avais vingt ans, il passait son temps à découvrir mes lolos pour les admirer et les choyer. Ne suis-je plus assez belle. Avant il caressait mes seins, les baisait et parfois il suçait les tétins. Pourquoi ne le fait-il plus ? Ne sont-ils plus aussi beaux ? Tu veux les voir ? Ils sont volumineux oui, mais pas énormes. Regarde. Qu'en penses-tu ?
En quelques mouvements rapides Zoé les fait jaillir de son soutien-gorge et les expose sous mon nez. Je dois être sincère, ne pas chercher à la tromper sur leur aspect. Tombent-ils, ne sont-ils pas fermes? Comment répondre sans toucher, dit-elle :
- Prends celui-là en main, tâte, caresse. La peau est douce! Et frotte un peu le tétin, vois comme aussitôt il durcit et pointe.Je ne comprends pas le désintérêt de Martin. Jean agit-il de même ? Non, les tiens doivent être comme étaient les miens ou je me trompe...tu...
Elle voudrait, elle n'ose pas... Ses yeux sont plus éloquents, fixés sur ma poitrine. Jusqu'à ce jour j'ai fait un complexe en présence de cette femme plus âgée que moi, je vais m'en délivrer. J'ai certainement des seins magnifiques, c'est toi, mon amour, qui me le dis souvent. Zoé aimerait les comparer aux siens. Aujourd'hui, le champagne aidant, tes compliments habituels font que la comparaison ne me fait pas peur. J'ouvre ma blouse tranquillement, je fais désirer le spectacle attendu qui mettra en valeur "mes adorables nénés" comme tu les nommes. Cette fois je me sentirai plus à l'aise face à Zoé. Je dégrafe mon soutien-gorge, je le retire. Zoé est tout excitée, ses mains aux doigts croisés marquent son impatience et quand tombe ma lingerie un cri lui échappe :
- Oh! mon Dieu, comme ils sont beaux. deux amours de colombes. Adorables, mignons, puis-je les toucher ?
Elle les soupèse délicatement, elle éveille mes tétins érectiles aussitôt durcis. Je suis flattée par l'admiration de ma voisine. Je suis surprise quand elle pose ses lèvres sur le gauche alors que d'une main elle caresse le droit. Je deviens incapable de réaction lorsque je suis parcourue de frissons qui affolent mes sens. Zoé suce mon aréole, change de sein avec des soupirs d'admiration. J'étais fière de ma poitrine, un bien-être soudain m'envahit, comparable à celui que tu me donnes chaque fois que tu honores mes seins. Je tremble de plaisir. Zoé est une diablesse, elle me bouleverse, elle m'impose des caresses qui me font fondre. Je n'ai plus de volonté, je jouis.Zoé rit de bonheur. Qu'est-ce que je me sens bien.
On sonne à la porte. Zoé sursaute, lâche ma poitrine, lâche un juron. Nous nous regardons, nous attrapons nos affaires. Le visiteur sonne encore avec insistance, il suppose que la maison est habitée ou se dit que la sonnerie ne dérangera personne. Son doigt ne quitte pas le bouton de sonnette ! Nous battons des records de vitesse pour retrouver une tenue irréprochable. Zoé va ouvrir à l'importun.
Elle remonte en pestant
- L'idiot me dérange pour me proposer l'isolation à 1 euro ! Chaque jours ils me cassent les pieds au téléphone et par e-mails. Qu'ils s'adressent au propriétaire! Quoi, tu t'en vas déjà?
- Oui, je suis un peu étourdie par le champagne, il faut que je m'allonge.
- Ah! bon. C'est de ma faute. Attends je t'accompagne, ne tombe pas dans l'escalier. Donne ta main.
Zoé me dirige à travers notre appartement. Elle ne me rend ma main que lorsque je suis assise sur le bord de mon lit, c'est pour soulever mes pieds et les déposer sur le couvre-lit.
- Comme ça, cela va mieux ? Tu peux t'endormir, je veille sur toi.
Zoé me donne un bisou sur le front, sa main frôle mon sein encore ému. Elle contourne le pied de lit et vient s'allonger à côté de moi. Tout cela me paraît irréel...je sombre dans le sommeil
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