Mon coin de plage
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Mon coin de plage
Cet été il a fait particulièrement chaud. Habitant une station balnéaire je peux, en rentrant de mon travail aller me baigner : pas où est la foule, je connais un endroit particulièrement isolé à deux pas. Je sais que je vais avoir la paix. Sans complexe, je me baigne toujours nu. Ce n’est pas que j’aime particulièrement les « caresses » du soleil, sentir sur ma peau directement le contact de l’eau est particulièrement jouissif. Il m’arrive souvent de me masturber dans la mer.
Cet après midi là, je suis dans l’eau, ma bite à le main, me donnant du plaisir. Je jouis comme d’habitude, face au large.
J’ai la surprise de voir en revenant sur le sable qu’une jeune femme me regarde. Je viens de jouir et donc je débande. Après tout tant pis, je sort de l’eau devant elle, à moins d’une dizaine de mètres. Bien sur elle me regarde, fixe ma bite en souriant. Je me doute qu’elle sait fort bien ce que je viens de faire. Je rejoins ma serviette quand elle me parle :
- J’ai cru vous voir tout à l’heure dans l’eau. Vous ne vous ennuyer pas.
Je deviens certainement rouge :
- J’avoue, je me suis donné du plaisir, ça ne vous arrive pas aussi à vous ?
- Bien sur, c’est bien meilleur dans l’eau, c’est pour ça que je suis là.
Bonne fortune, elle avoue qu’elle se branle, dans l’eau de préférence, certainement à mon endroit préféré.
- Rien ne vous empêche de le faire maintenant. Si vous voulez. Je ne vous gêne pas, vous ne vous êtes pas gênée en me regardant.
- Ca va, je vais le faire, mais je vous préviens je vous regarderai.
- Bien sur en pensant que c’est moi qui vous masturbe.
- Evidemment.
Drôle de façon de faire connaissance en parlant directement de masturbation.
Elle se lève, ôte son petit ensemble de bain qui montre plus qu’il ne cache, sans pudeur me montre son corps, un modèle du genre. Elle part en roulant des hanches pour être à son avantage. En rentrant dans l’eau elle se tourne pour constater que je la vois bien.
Je me demande si c’est une allumeuse ou une fille aimant le sexe.
Elle a de l’eau jusqu’au cou, son visage tourné vers moi. Je ne peux pas voir ce qu’elle se fait exactement. Elle doit s’en rendre compte, elle revient vers la plage d’où je peux voir les mouvements de son bras droit. Elle se caresse c’est certain. Elle ne fait pas durer longtemps sa branlette. Elle revient vers moi, dégoulinante d’eau. Elle vient sur moi, juste à hauteur de mes pieds et écartant les jambes elle me dit :
- Voyez l‘endroit qui ma faite jouir.
- Je le vois, je crois qu’il lui manque quelque chose d’important.
- Quoi donc ?
- Une bonne queue !
Elle sourit sans rien dire, elle vient s’allonger près de moi, pose sa tête sur mon épaule. Je lui offre mon bras, elle s’y met. Ma bouche est sur la sienne, j’entre ma langue dans sa bouche entrouverte, elle me laisse prendre possession de la sienne. Tant pis pour le sable, je commence à la caresser. Je vise particulièrement ses seins durcis par le bain et la branlette. Je les caresse doucement. Je prend entre deux doigts un mamelon que je frôle simplement. Il faut croire que cette simple caresse lui suffit pour qu’elle ait envie d’aller plus loin. Ma main abandonne sa poitrine pour descendre là bas où je sais qu’elle jouit. Je bande certainement, elle le voit bien et pourtant ne me touche pas encore. Je caresse son pubis longuement. Je sens qu’elle écarte les jambes, elle voudrait que mes doigts aillent la fouiller.
Je ne cède pas, je me porte vers ses fesses et ses hanches. J’ai envie qu’elle me demande de la branler, sinon de me le faire comprendre. Elle y arrive facilement en me prenant la queue en main et commence à me branler. J’entre ma main entre ses jambes, je vais à la recherche de son petit bouton qui est réellement petit, sauf qu’après deux ou trois vas et vient sur lui, il grossit considérablement. Je peux, en le mouillant avec ma salive le caresser. Elle ferme le yeux pour profiter de l’instant. Je sens quelle jouit enfin, elle me mordille la langue pendant la durée de son orgasme. Je poursuis à nouveau ma caresse au même endroit, cette fois encore je l’envois au 7° ciel. Je la laisse jouir encore une fois avant de me mettre à ses pieds. Elle ouvre en grand ses jambes. Je lui lèche depuis les chevilles jusqu’à hauteur de son sexe (c’est délicieusement salé par l’eau de mer). Je pends toute sa chatte dans le bouche, c’est moins salé associé avec sa cyprine, c’est délicieux, digne d’une sauce d’un grand cuisinier. Je sors enfin ma langue. Je commence par le bas, je trouve son petit trou facilement : sa capsule me donne envie d’ y entrer une bonne partie de ma langue. Elle écarte un peu plus les jambes et les fesses, je lui met la moitié de mon appendice. Je le fais aller et venir, elle me dit de continuer, qu’elle aime ce que je lui fais. Si elle aime, pourquoi l’en priver. Je continue jusqu’au moment où son sphincter de crispe quand elle jouit.
Je bande trop pour continuer à la faire jouir sans qu’à mon tour je veuille la baiser. C’est simple, je n’ai qu’à remonter vers elle. Elle comprend fort bien ce que je veux, comme elle veut la même chose, c’est facile de nous emboîter. Ma bite traine bien un peu sur le sable, elle a le temps de tout perdre en route puisque quand je suis juste sur son con, elle me fait entrer sans frapper. Je la lui met le plus profond possible, je ne suis pas un superman, j’ai une pine tout ce qu’il y a de normal. Sauf que j’ai un « défaut » quand je suis avec une fille, je ne débande pas facilement. Souvent des filles m’en font le reproche puisque même après avoir jouis en elle je recommence plusieurs fois, alors qu’elles voudraient que je cesse après trois ou quatre fois.
Je suis donc dans son vagin. Je la lime un petit moment, juste le temps pour elle de jouir calment une première fois. Aujourd’hui je compte machinalement le nombre de fois qu’elle jouit, j’ arrive à un chiffre qui m’impressionne : 14 coups de suite pour qu’elle déclare forfait. Compte tenu des autres fois où elle a jouit, elle a du le faire une bonne vingtaine de fois. Elle me demande de sortir de son ventre. Je me penche pour embrasser sa chatte.
Elle revient sur mon épaule pour me demander si je baise toujours de la même façon, je suis son premier à l’avoir faite jouir autant de fois.
Maintenant je passe aux choses sérieuses, pourquoi est-elle dans mon coin ?
Elle m’a vu venir là et elle m’a suivi, par simple curiosité.
Nous restons ainsi, nus prêts à recommencer. Nous verrons ce soir chez moi.
Chez moi la coquine ne veut que des sodomies. Que je la baise ou l’encule, il y a peu de différence pour moi et pour elle qui jouit toujours autant. Durant tout l’été nous ne nous quittons que pendant mes heures de travail. Le reste se passe soit dans mon coin, soit chez moi, jamais chez elle. Je ne sais pour qu’elle raison.
Cet après midi là, je suis dans l’eau, ma bite à le main, me donnant du plaisir. Je jouis comme d’habitude, face au large.
J’ai la surprise de voir en revenant sur le sable qu’une jeune femme me regarde. Je viens de jouir et donc je débande. Après tout tant pis, je sort de l’eau devant elle, à moins d’une dizaine de mètres. Bien sur elle me regarde, fixe ma bite en souriant. Je me doute qu’elle sait fort bien ce que je viens de faire. Je rejoins ma serviette quand elle me parle :
- J’ai cru vous voir tout à l’heure dans l’eau. Vous ne vous ennuyer pas.
Je deviens certainement rouge :
- J’avoue, je me suis donné du plaisir, ça ne vous arrive pas aussi à vous ?
- Bien sur, c’est bien meilleur dans l’eau, c’est pour ça que je suis là.
Bonne fortune, elle avoue qu’elle se branle, dans l’eau de préférence, certainement à mon endroit préféré.
- Rien ne vous empêche de le faire maintenant. Si vous voulez. Je ne vous gêne pas, vous ne vous êtes pas gênée en me regardant.
- Ca va, je vais le faire, mais je vous préviens je vous regarderai.
- Bien sur en pensant que c’est moi qui vous masturbe.
- Evidemment.
Drôle de façon de faire connaissance en parlant directement de masturbation.
Elle se lève, ôte son petit ensemble de bain qui montre plus qu’il ne cache, sans pudeur me montre son corps, un modèle du genre. Elle part en roulant des hanches pour être à son avantage. En rentrant dans l’eau elle se tourne pour constater que je la vois bien.
Je me demande si c’est une allumeuse ou une fille aimant le sexe.
Elle a de l’eau jusqu’au cou, son visage tourné vers moi. Je ne peux pas voir ce qu’elle se fait exactement. Elle doit s’en rendre compte, elle revient vers la plage d’où je peux voir les mouvements de son bras droit. Elle se caresse c’est certain. Elle ne fait pas durer longtemps sa branlette. Elle revient vers moi, dégoulinante d’eau. Elle vient sur moi, juste à hauteur de mes pieds et écartant les jambes elle me dit :
- Voyez l‘endroit qui ma faite jouir.
- Je le vois, je crois qu’il lui manque quelque chose d’important.
- Quoi donc ?
- Une bonne queue !
Elle sourit sans rien dire, elle vient s’allonger près de moi, pose sa tête sur mon épaule. Je lui offre mon bras, elle s’y met. Ma bouche est sur la sienne, j’entre ma langue dans sa bouche entrouverte, elle me laisse prendre possession de la sienne. Tant pis pour le sable, je commence à la caresser. Je vise particulièrement ses seins durcis par le bain et la branlette. Je les caresse doucement. Je prend entre deux doigts un mamelon que je frôle simplement. Il faut croire que cette simple caresse lui suffit pour qu’elle ait envie d’aller plus loin. Ma main abandonne sa poitrine pour descendre là bas où je sais qu’elle jouit. Je bande certainement, elle le voit bien et pourtant ne me touche pas encore. Je caresse son pubis longuement. Je sens qu’elle écarte les jambes, elle voudrait que mes doigts aillent la fouiller.
Je ne cède pas, je me porte vers ses fesses et ses hanches. J’ai envie qu’elle me demande de la branler, sinon de me le faire comprendre. Elle y arrive facilement en me prenant la queue en main et commence à me branler. J’entre ma main entre ses jambes, je vais à la recherche de son petit bouton qui est réellement petit, sauf qu’après deux ou trois vas et vient sur lui, il grossit considérablement. Je peux, en le mouillant avec ma salive le caresser. Elle ferme le yeux pour profiter de l’instant. Je sens quelle jouit enfin, elle me mordille la langue pendant la durée de son orgasme. Je poursuis à nouveau ma caresse au même endroit, cette fois encore je l’envois au 7° ciel. Je la laisse jouir encore une fois avant de me mettre à ses pieds. Elle ouvre en grand ses jambes. Je lui lèche depuis les chevilles jusqu’à hauteur de son sexe (c’est délicieusement salé par l’eau de mer). Je pends toute sa chatte dans le bouche, c’est moins salé associé avec sa cyprine, c’est délicieux, digne d’une sauce d’un grand cuisinier. Je sors enfin ma langue. Je commence par le bas, je trouve son petit trou facilement : sa capsule me donne envie d’ y entrer une bonne partie de ma langue. Elle écarte un peu plus les jambes et les fesses, je lui met la moitié de mon appendice. Je le fais aller et venir, elle me dit de continuer, qu’elle aime ce que je lui fais. Si elle aime, pourquoi l’en priver. Je continue jusqu’au moment où son sphincter de crispe quand elle jouit.
Je bande trop pour continuer à la faire jouir sans qu’à mon tour je veuille la baiser. C’est simple, je n’ai qu’à remonter vers elle. Elle comprend fort bien ce que je veux, comme elle veut la même chose, c’est facile de nous emboîter. Ma bite traine bien un peu sur le sable, elle a le temps de tout perdre en route puisque quand je suis juste sur son con, elle me fait entrer sans frapper. Je la lui met le plus profond possible, je ne suis pas un superman, j’ai une pine tout ce qu’il y a de normal. Sauf que j’ai un « défaut » quand je suis avec une fille, je ne débande pas facilement. Souvent des filles m’en font le reproche puisque même après avoir jouis en elle je recommence plusieurs fois, alors qu’elles voudraient que je cesse après trois ou quatre fois.
Je suis donc dans son vagin. Je la lime un petit moment, juste le temps pour elle de jouir calment une première fois. Aujourd’hui je compte machinalement le nombre de fois qu’elle jouit, j’ arrive à un chiffre qui m’impressionne : 14 coups de suite pour qu’elle déclare forfait. Compte tenu des autres fois où elle a jouit, elle a du le faire une bonne vingtaine de fois. Elle me demande de sortir de son ventre. Je me penche pour embrasser sa chatte.
Elle revient sur mon épaule pour me demander si je baise toujours de la même façon, je suis son premier à l’avoir faite jouir autant de fois.
Maintenant je passe aux choses sérieuses, pourquoi est-elle dans mon coin ?
Elle m’a vu venir là et elle m’a suivi, par simple curiosité.
Nous restons ainsi, nus prêts à recommencer. Nous verrons ce soir chez moi.
Chez moi la coquine ne veut que des sodomies. Que je la baise ou l’encule, il y a peu de différence pour moi et pour elle qui jouit toujours autant. Durant tout l’été nous ne nous quittons que pendant mes heures de travail. Le reste se passe soit dans mon coin, soit chez moi, jamais chez elle. Je ne sais pour qu’elle raison.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bonne histoire j'aimerai que ça m'arrive de trouver une femme qui aime le sexe comme moi
Un poil fanfaron!