Mon collègue gay (3)
Récit érotique écrit par Bi02aisne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon collègue gay (3)
Voilà plusieurs mois que je suis Sarah pour mon amant. Tous les jours je porte des dessous féminins au boulot et me fait sauter en salle de pause par mon bel étalon. Il me donne tout un tas de petits noms lubriques pendant que l'on baise mais je suis SA Sarah. Pour ne rien gâcher, mon amie a pris goût au fait que je me rase le corps entièrement et trouve ça excitant. Résultat, je baise quasiment 2 fois par jour: une fois en étant la «femme» de mon amant et une fois en étant l'homme de ma compagne. Mais dans les 2 cas, j'en prend plein le cul car mon amie est très fan de son gode ceinture et s'en sers presque à chaque fois. Je ne vous raconte pas à quel point je suis heureux de ce rythme, moi qui suis extrêmement demandeur en matière de sexe.
Ce matin, journée classique de boulot triste à mourir et j'attendais, comme d'habitude, la fin de la journée pour me faire défoncer le petit trou violemment. Sur les coups de 9h30, mon chéri entra dans le bureau et s'assit en face de moi.
Bonjour ma Sarah
Bonjour mon chéri
J'ai un petit cadeau pour toi, il devrait te plaire
Ah oui?
Sur ces derniers mots, il me tendit un paquet qu'il me fit ouvrir tout de suite. Il y avait une mini-jupe blanche, un soutien-gorge assorti à mon string (noir), des prothèses mammaires pour rembourrer le précédent accessoire, un petit top en résille noir transparent, une paire de ballerines noires et une perruque rousse des plus aguicheuses. Il me dit que c'était pour ce soir, que j'allais devenir « réellement » Sarah. Le rendez-vous était pris, 20h en salle de pause comme d'habitude. Je dois préciser que ma femme ne se rend compte de rien car elle a des horaires bizarres: elle commence tôt le matin, a une grosse pause la journée pour reprendre en soirée et finir tard. Ça me permet de me préparer tranquillement le matin, de me faire sauter tard et de rentrer me changer sans aucun soucis d'être surpris. La journée me parue interminable quand mon amant fut reparti bosser lui aussi. J'avoue que l'idée d'être considéré comme une vrai femme dans toute sa splendeur m'excitait à mort. L'heure tant attendue arriva enfin et je me courais presque pour me rendre en salle de pause. A cette heure là, il n'y a déjà plus personne dans l'entreprise et je peux me changer tranquillement. J'enlevai mon costume avec une vitesse record pour enfiler les vêtements que mon chéri m'avait amener le matin même. Une fois prêt, je me regardai dans un miroir et fut stupéfait par ma tenue: on dirait une vrai petite salope prête à se faire démonter par tout se qui passe.
Mon amant arriva presque aussitôt et siffla quand il me vit, apparemment, le spectacle lui plaisait beaucoup. Il ne me toucha pas tout de suite et me fit assoir, il me maquilla pour parfaire la transformation en vraie femme. Une fois qu'il eut finit, je me regardait à nouveau dans le miroir et ne me reconnu pas, j'étais devenu une vraie femme et, à part une bosse se voyant à travers ma jupe, rien ne laissait paraitre que j'étais un homme. Pendant ma contemplation, je sentis une main passer sous ma jupe et me caresser les fesses. Mon amant profitais de mon attention sur mon reflet pour me peloter allégrement. Il faut dire que ce n'était pas difficile vu la longueur plus que minimale du vêtement, c'est ce que j'appelle communément une jupe « ras de la chatte ». Il me retourna et m'embrassa fougueusement, baiser que je lui rendis avec envie.
N'y tenant plus, il me fit me pencher sur la table dans la pièce, souleva ma jupe, écarta mon string et me prit avec force. Son membre était d'une vigueur que je ne lui connaissais pas. Je l'excitais tellement qu'il me prenait avec force et sans aucune délicatesse. Je n'ai pas protesté de cette prise « à sec » car je commençais à prendre l'habitude de ce traitement. Dans mon excitation je lui criais d'y aller plus fort et plus violemment et de ma traiter comme une vraie chienne. Il ne se fit pas prier et tout y passait: chienne, pute, salope, etc... Il se donnait à fond et je le sentais comme jamais. Je ne sais combien de temps à durer ce traitement mais il a finit par jouir dans mon cul dans un râle puissant avant de se retirer. Je repris mon souffle quelques instants en sentant son sperme chaud dégouliner de mon petit (?) trou. N'ayant pas encore joui, j'avais la bite droite et dure comme jamais auparavant. Sans un mot, mon chéri se mit à genou et me goba mon bâton de chair en me prodiguant la meilleure pipe que l'on m'ait jamais faite. Je lui joui dans la bouche très vite tant je fut excité et, une fois n'est pas coutume, il avala tout. Il m'embrassa encore fougueusement et me dit qu'on recommencerai le lendemain mais, qu'avant, nous nous promènerions dans la rue comme ça pour voir les réactions des autres hommes. Il me tarde d'y être pour voir, si habillé comme ça, je fait bander les hommes.
Ce matin, journée classique de boulot triste à mourir et j'attendais, comme d'habitude, la fin de la journée pour me faire défoncer le petit trou violemment. Sur les coups de 9h30, mon chéri entra dans le bureau et s'assit en face de moi.
Bonjour ma Sarah
Bonjour mon chéri
J'ai un petit cadeau pour toi, il devrait te plaire
Ah oui?
Sur ces derniers mots, il me tendit un paquet qu'il me fit ouvrir tout de suite. Il y avait une mini-jupe blanche, un soutien-gorge assorti à mon string (noir), des prothèses mammaires pour rembourrer le précédent accessoire, un petit top en résille noir transparent, une paire de ballerines noires et une perruque rousse des plus aguicheuses. Il me dit que c'était pour ce soir, que j'allais devenir « réellement » Sarah. Le rendez-vous était pris, 20h en salle de pause comme d'habitude. Je dois préciser que ma femme ne se rend compte de rien car elle a des horaires bizarres: elle commence tôt le matin, a une grosse pause la journée pour reprendre en soirée et finir tard. Ça me permet de me préparer tranquillement le matin, de me faire sauter tard et de rentrer me changer sans aucun soucis d'être surpris. La journée me parue interminable quand mon amant fut reparti bosser lui aussi. J'avoue que l'idée d'être considéré comme une vrai femme dans toute sa splendeur m'excitait à mort. L'heure tant attendue arriva enfin et je me courais presque pour me rendre en salle de pause. A cette heure là, il n'y a déjà plus personne dans l'entreprise et je peux me changer tranquillement. J'enlevai mon costume avec une vitesse record pour enfiler les vêtements que mon chéri m'avait amener le matin même. Une fois prêt, je me regardai dans un miroir et fut stupéfait par ma tenue: on dirait une vrai petite salope prête à se faire démonter par tout se qui passe.
Mon amant arriva presque aussitôt et siffla quand il me vit, apparemment, le spectacle lui plaisait beaucoup. Il ne me toucha pas tout de suite et me fit assoir, il me maquilla pour parfaire la transformation en vraie femme. Une fois qu'il eut finit, je me regardait à nouveau dans le miroir et ne me reconnu pas, j'étais devenu une vraie femme et, à part une bosse se voyant à travers ma jupe, rien ne laissait paraitre que j'étais un homme. Pendant ma contemplation, je sentis une main passer sous ma jupe et me caresser les fesses. Mon amant profitais de mon attention sur mon reflet pour me peloter allégrement. Il faut dire que ce n'était pas difficile vu la longueur plus que minimale du vêtement, c'est ce que j'appelle communément une jupe « ras de la chatte ». Il me retourna et m'embrassa fougueusement, baiser que je lui rendis avec envie.
N'y tenant plus, il me fit me pencher sur la table dans la pièce, souleva ma jupe, écarta mon string et me prit avec force. Son membre était d'une vigueur que je ne lui connaissais pas. Je l'excitais tellement qu'il me prenait avec force et sans aucune délicatesse. Je n'ai pas protesté de cette prise « à sec » car je commençais à prendre l'habitude de ce traitement. Dans mon excitation je lui criais d'y aller plus fort et plus violemment et de ma traiter comme une vraie chienne. Il ne se fit pas prier et tout y passait: chienne, pute, salope, etc... Il se donnait à fond et je le sentais comme jamais. Je ne sais combien de temps à durer ce traitement mais il a finit par jouir dans mon cul dans un râle puissant avant de se retirer. Je repris mon souffle quelques instants en sentant son sperme chaud dégouliner de mon petit (?) trou. N'ayant pas encore joui, j'avais la bite droite et dure comme jamais auparavant. Sans un mot, mon chéri se mit à genou et me goba mon bâton de chair en me prodiguant la meilleure pipe que l'on m'ait jamais faite. Je lui joui dans la bouche très vite tant je fut excité et, une fois n'est pas coutume, il avala tout. Il m'embrassa encore fougueusement et me dit qu'on recommencerai le lendemain mais, qu'avant, nous nous promènerions dans la rue comme ça pour voir les réactions des autres hommes. Il me tarde d'y être pour voir, si habillé comme ça, je fait bander les hommes.
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