Mon combi-short
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2017 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Mon combi-short
Je me suis réveillé un beau matin d’été avec une envie impérieuse de voir mon amie uniquement vêtue d’une très courte robe de cotonnade qui dévoile son corps nu au moindre mouvement. Je vois ses bras se lever et son sexe imberbe apparaitre. Je la vois tourner sur elle-même pour me montrer son cul magnifique et ses fesses galbées. J’imagine la bretelle trop lâche de la robe tomber et dévoiler un sein lourd et ferme. Je réclame ce plaisir… ! Je veux ce surplus d’érotisme qui accompagne cette intimité à peine cachée.
La réponse ne s’est pas faite attendre. Aucun souci si je change mon habillement et m’affuble d’une combinaison aux jambes et manches ultra courtes laissant deviner mes épaules et le bas de mes fesses. Elle devra être dotée d’une unique fermeture éclair dorsale qui se termine au milieu de mon postérieur. J’imagine bien les idées tordues qu’un tel vêtement peut donner à la gente féminine. Elle consacre ma totale dépendance à autrui pour me déshabiller notamment pour aller faire mes besoins. De la même façon, je ne puis envisager de me rhabiller seul. Ce vêtement me condamne, faute d’aide, à laisser mon dos nu jusqu’au niveau des fesses. Je me délecte d’imaginer combien un tel outil va me contraindre, plus que jamais, à mon vice favori : l’exhibition.
Si l’achat petite robe n’a pas posé de problème, il en a été tout autrement du combi-short pour homme. Après de nombreuses recherches, j’ai fini par en découvrir un sur Internet. Une habile couturière fut réquisitionnée pour raccourcir manches et jambes à une longueur plus évocatrice. Mon amie, pour compléter l’ouvrage, s’est appliquée à faire disparaître toute pilosité de la zone couverte par le combi. Sexe, fesses, aisselles, poitrine, dos ont été soigneusement rasés. Et me voici apte à enfiler l’objet à même la peau. Je me sens quasi nu dans cet accoutrement et c’est un plaisir subtil. J’imagine que ce que doit ressentir la propriétaire de la minirobe doit être fort proche de ces perceptions.
Sandales enfilées et délicieusement nus sous nos frêles étoffes, nous voici tous deux partis nous promener dans la forêt toute proche. Je ne peux m’empêcher de trousser ma compagne qui se venge en jouant avec la fermeture éclair chargée de protéger l’essentiel de mon anatomie. D’exhib en exhib, nous voici rendus au bord d’un petit lac bordé d’une plage de sable fin entourée de taillis et d’une futaie de résineux. Quelques personnes sont allongées nues au bord de l’eau. De légers bruissements montent des bosquets environnants.
Mon amie s’y engage dans le but d’accomplir un besoin naturel tandis que je contemple les corps dénudés qui m’environnent. Comme d’habitude, je les trouve tous beaux ainsi exhibés. La majorité ne cache rien de son anatomie, bras et jambes écartés, tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos. Les seins sont petits ou imposants, en forme de poire ou de pomme, parfois à peine marqués. Leurs auréoles varient en couleur et en dimension. Les sexes de femmes de tailles variées alternent entre la discrète fente, l’abricot bien renflé ou les longues lèvres ondulées en forme de feuilles de salade. Le pénis des hommes est souvent court et trapu, mais parfois long, fin ou monumental. Souvent les fesses largement écartées laissent voir des rosettes plus ou moins larges, de couleurs variées, aux sphincters dilatés ou sages.
Le temps passe et mon amie ne revient pas. Je m’engage donc dans le sous-bois. Après quelques minutes, je perçois à l’approche d’un épais bosquet un doux feulement et des bruits de feuilles froissées. Je me dirige vers lui prudemment et, à l’abri d’un arbuste, je découvre mon amie en galante compagnie. Elle est debout, sa robe troussée au niveau du cou, jambes largement écartées pour permettre à plusieurs mains d’homme de s’introduire dans ses deux cavités. Ses seins sont malaxés assez violemment par d’autres. Je décide d’intervenir quand sa robe lui est arrachée et vole par-dessus les buissons.
Mais un petit cri de plaisir et un sourire béat m’en dissuadent. La majorité des hommes présents se branlent vigoureusement en regardant ou en participant. Ils sont peut-être une dizaine. Sans quitter son entrejambe de leurs mains, ils la forcent à se pencher en avant et leurs phallus commencent à se succéder dans sa bouche, pendant que d’autres s’offrent son sexe. Au bout d’un moment quelques protagonistes commencent à cracher leur foutre sur son dos et ses jambes. Je la vois alors avec étonnement se saisir d’un vît long et fin pour le présenter devant ses fesses. Son propriétaire ne se fait pas prier pour l’enculer avec force et lâcher sa semence dans les abysses de son fondement. Deux ou trois autres se succèdent en elle. A chaque fois, elle laisse un râle guttural qui, crescendo, se transforme un cri primal de bonheur. Elle jouit la garce !...
Alors que tous ses amants semblent occupés à recharger leurs accus et la laissent enfin tranquille, je me décide à pénétrer dans l’étroite clairière, théâtres des opérations, dans le but de la soustraire à un nouvel assaut. Bien mal m’en prend ! Je ne fais que réveiller le troupeau en rut. Un protagoniste s’exclame en me regardant : « Il faut être une autre petite salope pour porter un vêtement aussi indécent et provocateur. On se le fait, les gars ! » Puis je sens ma fermeture dorsale me descendre jusqu’aux fesses et mon combi tomber en corole à mes pieds. Je suis totalement nu, peureux et offert. Une clameur salue l’exhibition : « Et totalement rasé en plus ! Quelle chienne ! ». Mon amie, assise par terre affiche un sourire pervers et murmure : « C’est ton tour !... ».
Rapidement je me retrouve à genoux, je devrais plutôt dire à quatre pattes. Je sens un doigt me caresser la raie des fesses puis exciter ma rosette avant de pénétrer doucement mon cul. Mes cuisses s’ouvrent et écartent mes fesses comme par automatisme. Un sexe approche ma bouche. Je pose mes mains sur les hanches de son propriétaire et l’avale goulument. Il va et vient dans la bouche et ma gorge. On me pince les tétons, branle mon sexe qui durcit, masse brutalement mes couilles, mon dos et m’écartèle peu à peu. Deux doigts dilatent maintenant mon anus puis un sexe s’y engage. Je hoquète de crainte et de plaisir, distendu comme jamais.
Presque en face de moi, deux inoccupés debout ont soulevé mon amie et l’ont enfichée sur leurs verges, l’un au vagin, l’autre au fondement. Elle émet à nouveau ces petits cris rauques de plaisir. Pour ma part, les acteurs se succèdent dans mes trous de plus en plus accueillants et dilatés et me branlent rudement. J’éjacule par petites quantités à trois ou quatre reprises. Je gargouille de plaisir la gouge tapissée de foutre. Ma peau entière est devenue érogène et le moindre frottement m’envoie plus loin dans le Nirvana. Certains protagonistes, devenus moins actifs, s’amusent à me faire tressaillir de leurs caresses. J’ai l’impression que tout ce qui est privé et sacré en moi s’est ouvert jusqu’à l’excès et ne demande qu’à être le réceptacle de leurs profanations.
Sous mes yeux, mon amie est maintenant endormie au sol, disloquée. Elle aussi expose toute son intimité écartelée, ouverte et salie au regard de tous. Quant à moi, je ne suis toujours pas rassasié et tortille lentement mon fessier avec obscénité comme pour provoquer de nouveaux assauts. Mais nul ne vient me soulager. A la tombée du jour, tous ont disparu et nous pouvons tous deux nous laver de nos miasmes dans le petit lac avant de revêtir notre légère vêture et rentrer chez nous. Mon amie marche avec sa robe troussée jusqu’aux seins et refuse de fermer mon combi. J’avance donc le dos et les fesses à l’air.
Ces instants ont considérablement changé ma vie. Mon amie a pris conscience de mon plaisir à me soumettre, à m’exhiber et à m’offrir à qui veut de moi. Pour cela, le combi short avec ce qu’il véhicule d’image et contraint comme aide nécessaire pour s’en vêtir ou l’enlever est un bon outil. Elle n’hésite pas à m’obliger, lors de soirées entre amis, à servir nu ou revêtu de courtes tuniques transparentes. Elle exige que je prépare mon cul pour recevoir, s’ils le désirent, leurs assauts. Elle les incite à me toucher aux endroits les plus sensibles pendant le service. Souvent ils me pénètrent sauvagement d’objets oblongs et je hurle de douleur et de plaisir. Parfois, ils me laissent sadiquement les sens en ébullition et je dois passer de longues heures à me masturber et me défoncer jusqu’à ce que je retrouve mon calme. Elle s’est mise à faire l’amour avec toute personne de passage sous mes yeux en me laissant à ma douloureuse frustration. Il ne se passe pas une semaine sans que je pratique violemment l’onanisme et en ressorte encore plus frustré qu’avant.
Heureusement, de temps à autre lorsqu’il fait beau, je peux retourner sur la zone de drague découverte par hasard. Il me suffit d’enfiler mon combi-short et je suis reconnu même par ceux que je n’ai jamais vus. Je suis devenu la légende du coin sous le nom de « la catin en combi ». Je suis toujours abusé sans complaisance, sodomisé, humilié obligé à sucer et renvoyé à demi-nu. Les plus anciens réclament parfois mon amie qui ne répugne pas à m’y accompagner et à leur donner accès à tous ses orifices.
La réponse ne s’est pas faite attendre. Aucun souci si je change mon habillement et m’affuble d’une combinaison aux jambes et manches ultra courtes laissant deviner mes épaules et le bas de mes fesses. Elle devra être dotée d’une unique fermeture éclair dorsale qui se termine au milieu de mon postérieur. J’imagine bien les idées tordues qu’un tel vêtement peut donner à la gente féminine. Elle consacre ma totale dépendance à autrui pour me déshabiller notamment pour aller faire mes besoins. De la même façon, je ne puis envisager de me rhabiller seul. Ce vêtement me condamne, faute d’aide, à laisser mon dos nu jusqu’au niveau des fesses. Je me délecte d’imaginer combien un tel outil va me contraindre, plus que jamais, à mon vice favori : l’exhibition.
Si l’achat petite robe n’a pas posé de problème, il en a été tout autrement du combi-short pour homme. Après de nombreuses recherches, j’ai fini par en découvrir un sur Internet. Une habile couturière fut réquisitionnée pour raccourcir manches et jambes à une longueur plus évocatrice. Mon amie, pour compléter l’ouvrage, s’est appliquée à faire disparaître toute pilosité de la zone couverte par le combi. Sexe, fesses, aisselles, poitrine, dos ont été soigneusement rasés. Et me voici apte à enfiler l’objet à même la peau. Je me sens quasi nu dans cet accoutrement et c’est un plaisir subtil. J’imagine que ce que doit ressentir la propriétaire de la minirobe doit être fort proche de ces perceptions.
Sandales enfilées et délicieusement nus sous nos frêles étoffes, nous voici tous deux partis nous promener dans la forêt toute proche. Je ne peux m’empêcher de trousser ma compagne qui se venge en jouant avec la fermeture éclair chargée de protéger l’essentiel de mon anatomie. D’exhib en exhib, nous voici rendus au bord d’un petit lac bordé d’une plage de sable fin entourée de taillis et d’une futaie de résineux. Quelques personnes sont allongées nues au bord de l’eau. De légers bruissements montent des bosquets environnants.
Mon amie s’y engage dans le but d’accomplir un besoin naturel tandis que je contemple les corps dénudés qui m’environnent. Comme d’habitude, je les trouve tous beaux ainsi exhibés. La majorité ne cache rien de son anatomie, bras et jambes écartés, tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos. Les seins sont petits ou imposants, en forme de poire ou de pomme, parfois à peine marqués. Leurs auréoles varient en couleur et en dimension. Les sexes de femmes de tailles variées alternent entre la discrète fente, l’abricot bien renflé ou les longues lèvres ondulées en forme de feuilles de salade. Le pénis des hommes est souvent court et trapu, mais parfois long, fin ou monumental. Souvent les fesses largement écartées laissent voir des rosettes plus ou moins larges, de couleurs variées, aux sphincters dilatés ou sages.
Le temps passe et mon amie ne revient pas. Je m’engage donc dans le sous-bois. Après quelques minutes, je perçois à l’approche d’un épais bosquet un doux feulement et des bruits de feuilles froissées. Je me dirige vers lui prudemment et, à l’abri d’un arbuste, je découvre mon amie en galante compagnie. Elle est debout, sa robe troussée au niveau du cou, jambes largement écartées pour permettre à plusieurs mains d’homme de s’introduire dans ses deux cavités. Ses seins sont malaxés assez violemment par d’autres. Je décide d’intervenir quand sa robe lui est arrachée et vole par-dessus les buissons.
Mais un petit cri de plaisir et un sourire béat m’en dissuadent. La majorité des hommes présents se branlent vigoureusement en regardant ou en participant. Ils sont peut-être une dizaine. Sans quitter son entrejambe de leurs mains, ils la forcent à se pencher en avant et leurs phallus commencent à se succéder dans sa bouche, pendant que d’autres s’offrent son sexe. Au bout d’un moment quelques protagonistes commencent à cracher leur foutre sur son dos et ses jambes. Je la vois alors avec étonnement se saisir d’un vît long et fin pour le présenter devant ses fesses. Son propriétaire ne se fait pas prier pour l’enculer avec force et lâcher sa semence dans les abysses de son fondement. Deux ou trois autres se succèdent en elle. A chaque fois, elle laisse un râle guttural qui, crescendo, se transforme un cri primal de bonheur. Elle jouit la garce !...
Alors que tous ses amants semblent occupés à recharger leurs accus et la laissent enfin tranquille, je me décide à pénétrer dans l’étroite clairière, théâtres des opérations, dans le but de la soustraire à un nouvel assaut. Bien mal m’en prend ! Je ne fais que réveiller le troupeau en rut. Un protagoniste s’exclame en me regardant : « Il faut être une autre petite salope pour porter un vêtement aussi indécent et provocateur. On se le fait, les gars ! » Puis je sens ma fermeture dorsale me descendre jusqu’aux fesses et mon combi tomber en corole à mes pieds. Je suis totalement nu, peureux et offert. Une clameur salue l’exhibition : « Et totalement rasé en plus ! Quelle chienne ! ». Mon amie, assise par terre affiche un sourire pervers et murmure : « C’est ton tour !... ».
Rapidement je me retrouve à genoux, je devrais plutôt dire à quatre pattes. Je sens un doigt me caresser la raie des fesses puis exciter ma rosette avant de pénétrer doucement mon cul. Mes cuisses s’ouvrent et écartent mes fesses comme par automatisme. Un sexe approche ma bouche. Je pose mes mains sur les hanches de son propriétaire et l’avale goulument. Il va et vient dans la bouche et ma gorge. On me pince les tétons, branle mon sexe qui durcit, masse brutalement mes couilles, mon dos et m’écartèle peu à peu. Deux doigts dilatent maintenant mon anus puis un sexe s’y engage. Je hoquète de crainte et de plaisir, distendu comme jamais.
Presque en face de moi, deux inoccupés debout ont soulevé mon amie et l’ont enfichée sur leurs verges, l’un au vagin, l’autre au fondement. Elle émet à nouveau ces petits cris rauques de plaisir. Pour ma part, les acteurs se succèdent dans mes trous de plus en plus accueillants et dilatés et me branlent rudement. J’éjacule par petites quantités à trois ou quatre reprises. Je gargouille de plaisir la gouge tapissée de foutre. Ma peau entière est devenue érogène et le moindre frottement m’envoie plus loin dans le Nirvana. Certains protagonistes, devenus moins actifs, s’amusent à me faire tressaillir de leurs caresses. J’ai l’impression que tout ce qui est privé et sacré en moi s’est ouvert jusqu’à l’excès et ne demande qu’à être le réceptacle de leurs profanations.
Sous mes yeux, mon amie est maintenant endormie au sol, disloquée. Elle aussi expose toute son intimité écartelée, ouverte et salie au regard de tous. Quant à moi, je ne suis toujours pas rassasié et tortille lentement mon fessier avec obscénité comme pour provoquer de nouveaux assauts. Mais nul ne vient me soulager. A la tombée du jour, tous ont disparu et nous pouvons tous deux nous laver de nos miasmes dans le petit lac avant de revêtir notre légère vêture et rentrer chez nous. Mon amie marche avec sa robe troussée jusqu’aux seins et refuse de fermer mon combi. J’avance donc le dos et les fesses à l’air.
Ces instants ont considérablement changé ma vie. Mon amie a pris conscience de mon plaisir à me soumettre, à m’exhiber et à m’offrir à qui veut de moi. Pour cela, le combi short avec ce qu’il véhicule d’image et contraint comme aide nécessaire pour s’en vêtir ou l’enlever est un bon outil. Elle n’hésite pas à m’obliger, lors de soirées entre amis, à servir nu ou revêtu de courtes tuniques transparentes. Elle exige que je prépare mon cul pour recevoir, s’ils le désirent, leurs assauts. Elle les incite à me toucher aux endroits les plus sensibles pendant le service. Souvent ils me pénètrent sauvagement d’objets oblongs et je hurle de douleur et de plaisir. Parfois, ils me laissent sadiquement les sens en ébullition et je dois passer de longues heures à me masturber et me défoncer jusqu’à ce que je retrouve mon calme. Elle s’est mise à faire l’amour avec toute personne de passage sous mes yeux en me laissant à ma douloureuse frustration. Il ne se passe pas une semaine sans que je pratique violemment l’onanisme et en ressorte encore plus frustré qu’avant.
Heureusement, de temps à autre lorsqu’il fait beau, je peux retourner sur la zone de drague découverte par hasard. Il me suffit d’enfiler mon combi-short et je suis reconnu même par ceux que je n’ai jamais vus. Je suis devenu la légende du coin sous le nom de « la catin en combi ». Je suis toujours abusé sans complaisance, sodomisé, humilié obligé à sucer et renvoyé à demi-nu. Les plus anciens réclament parfois mon amie qui ne répugne pas à m’y accompagner et à leur donner accès à tous ses orifices.
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