Mon cousin Thomas
Récit érotique écrit par Caramel1965 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon cousin Thomas
Je m’appelle Stéphane, et l’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a deux ans. Alors âgé de 21 ans, je faisais 1m 85 pour 73 kg. Sportif, je pratiquais régulièrement plusieurs sports, en particulier la natation. Blond aux yeux bleus, finement musclé et élancé, j’avais un certain succès avec les filles ce qui était loin de me déplaire. Je ne me posais pas trop de questions sur ma sexualité et prenais le temps de m’amuser, tout en me consacrant à mes études.
L’été dernier, j’avais prévu de passer deux semaines dans la maison familiale près de Perpignan. La sœur de ma mère, Violaine, et son mari Esteban devaient nous y rejoindre. La maison est grande, avec une belle piscine et dispose d’une ‘cabane’ aménagée au fond du jardin. C’est là que je m’installais habituellement, de manière à être indépendant. Quelques jours avant le départ, Violaine demanda si Thomas, son fils et donc mon cousin pouvait venir. Thomas venait de rompre avec sa copine et du coup les vacances prévues avec son ex tombaient à l‘eau. Mes parents acceptèrent sans problème et pour ma part, je me disais que la compagnie de Thomas serait la bienvenue. Je proposais même qu’il occupe la cabane avec moi. Je n’avais pas vu Thomas depuis plusieurs années ; nous étions alors adolescents et nous nous entendions plutôt bien.
Cela faisait trois jours que nous étions arrivés lorsque ma tante, son mari et mon cousin Thomas débarquèrent. Je ne reconnus pas mon cousin. L’adolescent boutonneux de mes souvenirs était devenu un beau et grand gaillard d’1m90 et 93kg. Thomas était musclé, très musclé même. Son tee-shirt laissait entrevoir de beaux pectoraux recouverts de poils noirs et ses tétons pointaient sous le tissu ; ses bras étaient puissants et velus et ses cuisses, très poilues aussi étaient quasiment deux fois plus grosses que les miennes. Thomas avait également un très beau visage, masculin, viril, adouci par deux magnifiques yeux bleus. Ses cheveux bruns coupés très courts et sa barbe de trois jours lui donnaient incontestablement un air ‘sexe’. Thomas pratiquait le rugby à un bon niveau et devait être très impressionnant sur le terrain.
Alors que je le contemplais, il vint vers moi et me donnant l’accolade me dit :
- Alors Stéphane, comment vas-tu ? Tu as beaucoup changé, je t’ai à peine reconnu !
- Je t’ai à peine reconnu moi aussi, tu as… grandi
- Forcément, je n’allais pas m’arrêter de grandir à 13 ans
- On ne s’est pas vu depuis 10 ans ? Tant que ça ? ça va nous faire pas mal de choses à nous raconter…
- Oui, j’ai aussi besoin de me changer les idées
- Tu vas t’installer dans la cabane avec moi, il y a assez de place et ça nous éviteras d’être avec nos parents… je te fais visiter.
Thomas avait 23 ans et moi 2 de moins. J’étais sincèrement content de le revoir et je me disais que ça serait sympa d’avoir un pote de drague, d’autant qu’il était à nouveau célibataire. Dans le même temps, j’étais un peu troublé par sa présence, cette masculinité et cette virilité qu’il dégageait. Je n’avais connu que des filles mais je trouvais qu’un sexe d’homme pouvait être attirant. Je n’avais cependant jamais franchi le pas et j’avais l’impression d’avoir raté quelque chose.
Une fois la visite faite, nous rejoignîmes le reste de la famille pour l’apéro. Nous parlâmes de tout et de rien. Au bout d’un moment, je proposai à mon cousin de faire un petit tour en voiture ; l’occasion aussi d’être loin de nos parents respectifs. La région est belle et c’était l’occasion de bavarder en toute liberté. Thomas me demanda alors :
- Et toi alors, toujours célibataire ?
- Oui, complètement, ce qui ne m’empêche pas de m’amuser un peu. Mais tu sais, mes études ne me laissent pas le temps d’envisager une relation sérieuse.
- Ça viendra… quand tu trouveras une fille qui te plaira vraiment. Tu vois, moi j’étais engagé avec une nana, mais on a rompu au bout d’un an.
- Elle est partie ?
- Non, c’est moi qui ai décidé d’arrêter. Elle belle et intelligente, mais niveau sexe ce n’était pas parfait ! Alors forcément ça a fini par craquer…
- Ah bon ? Elle n’aimait pas ça?
- Disons que nous n‘avions pas les mêmes besoins. Tu sais, je suis un mec plutôt chaud et j’ai besoin de baiser deux fois par jour au moins. Elle me traitait d’obsédé sexuel! Il n’y a pas de mal à se faire du bien, et puis je ne voulais pas aller voir ailleurs !
- Et tu es parti pour ça?
- Non, pas que ça… elle manquait d’imagination au lit, et puis je voulais essayer de nouveaux trucs, mais pour elle pas question !
- Nouveaux trucs comme quoi ?
- Ben, je suis très branché sodo… enfin, j’ai jamais essayé, mais j’en avais très envie. Elle a toujours refusé, disant qu’elle avait peur d’avoir mal. Je ne suis pas une brute, j’aurais aimé essayer et puis si ça ne va pas, on arrête… non, pour elle, nada... elle ne voulait rien savoir, et disait ma queue est trop grosse…
- Oui, les nanas s’effraient pour un rien.
- Un rien, non ! Je reconnais que j’en ai une grosse… mais bon, elle aurait du me laisser essayer.
- Elle est grosse à ce point ? Ou c’est toi qui manque de modestie ?
- Ben 26 cm de long et 7 cm de large c’est pas mal…
Et il éclata de rire ; un rire viril, masculin. Je sentis mes joues s’empourprer et une chaleur envahir mon torse. A vrai dire, Thomas portait un large bermuda qui ne laissait rien deviner de ce qui se cachait dessous. Ses propos excitèrent ma curiosité et j’avais très envie de voir son sexe ; je préférais cependant changer de sujet.
Après la ballade en voiture, nous rentrâmes à la maison. Le reste de la journée se passa tranquillement. Un diner familial autour du barbecue vint conclure la soirée, puis Thomas et moi rejoignîmes la cabane pour nous coucher.
- Je vais me doucher à moins que tu ne préfères commencer ?
- Vas-y, j’irai après toi…
Une petite vingtaine de minutes après, Thomas ressorti de la salle de bain. Il portait un caleçon aux motifs bigarrés, mais il était diablement sexy, avec ses larges épaules et ses pectoraux saillants couverts de poils noirs. Ses tétons rosés tranchaient avec le noir de sa pilosité ; son ventre était délicieusement herbu avec un tourbillon de poils autour de son nombril ; ses cuisses puissantes et velues étaient impressionnantes… A mon grand désespoir, son caleçon ample cachait bien l’objet de ma curiosité.
Pendant que je l’examinais de la tête au pied, il me dit :
- Ben alors, tu rêvasses ? Tu as la salle de bains pour toi maintenant.
Il ne semblait pas avoir remarqué mon trouble. Je me précipitais alors vers la salle de bain, pour me doucher à mon tour, tandis qu’une forte érection déformait mon slip. J’essayais alors de me calmer en laissant l’eau froide couler sur mon torse puis sur mon bas ventre.
La douche finie, je mis un slip propre avant de sortir dans la salle de bain. Thomas était en train de sortir le lit de camp du placard. Saisi par je ne sais quel démon, je lui dis :
- Le lit de camp est plutôt inconfortable, je propose qu’on partage le lit. Il est assez large et tu y dormiras beaucoup mieux.
- Je ne veux pas te déranger mais tu as sans doute raison. Une bonne nuit de sommeil ne sera pas de trop.
Je me couchai alors sur le côté, faisant face au mur tandis que Thomas se mis sur le dos, jambes légèrement écartées. J’étais très excité à l’idée d’avoir ce corps splendide juste à côté de moi, et surtout cet énorme sexe à portée de main… Thomas ne tarda pas à s’endormir, et il commençât à ronfler légèrement. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil, ma queue était raide et je ne cessais de penser aux petites confidences de mon cousin. Après presque une heure passée a me tourner et à me retourner dans le lit, je me redressais bien décidé à voir ce que le caleçon de Thomas cachait à ma vue. Je m’approchais ainsi lentement de son caleçon, et écartais délicatement l’ouverture du sous-vêtement. Thomas dormait profondément et je m’enhardis à saisir sa verge molle et à la sortir à travers l’ouverture du caleçon. Mon rythme cardiaque s’accélérait tandis que je découvrais le sexe de Thomas. Il était simplement gigantesque ; une large et longue hampe avec un prépuce qui couvrait complètement un énorme gland. Bien qu’au repos, le sexe de Thomas avait des dimensions impressionnantes, avec de grosses veines qui le parcouraient. Mon sexe était raide et mon excitation était à son comble. Je soupesais cette grosse tige encore molle et commençais à palper les testicules de mon cousin qui étaient énormes. Je pensais d’un coup à l’ex de Thomas et compris sa frayeur à l’idée de recevoir cet énorme engin dans son orifice anal.
Je dois dire que Thomas n’avait pas menti ; il était particulièrement bien doté par la nature. J’ai vu beaucoup de mecs à poil dans les douches après mes entrainements mais je n’avais jamais rien observé de tel entre leurs jambes. J’avais moi même un sexe de 20 cm de long pour 5 bons cm de large, mais la vue de ce démonte-pneu me complexait et m’excitait en même temps. Thomas continuait à dormir et sans trop réfléchir à ce que je faisais, j’approchais mes lèvres de l’extrémité de sa queue et laissais ma langue titiller son méat. Je ne me contrôlais plus, ma bite turgescente déformait mon slip, des décharges électriques parcouraient mon torse et faisaient se dresser mes tétons. Je gobais alors l’extrémité de la queue de Thomas et pratiquais ainsi ma première fellation sur mon cousin endormi. Je découvrais alors son gland avec ma langue et petit à petit la bite de Thomas devenait dure et raide. Son sexe est ainsi devenu absolument énorme et je ne réussissais à enfoncer guère plus du tiers de son pieu dans ma gorge. La hampe de thomas était dressée à la verticale, les veines qui la parcouraient était dilatées et palpitaient pour faire affluer le sang dans cet organe surdimensionné. Je sentais un liquide salé, translucide et filant couler sur ma langue. Le pré-sperme de Thomas était abondant et son odeur se mêlait à celle plus musquée de son bas ventre. En réponse à cette caresse buccale, Thomas écartait davantage les cuisses tout en ronronnant. Absorbé par cette fellation nocturne improvisée, je ne me rendis pas compte qu’il émergeait progressivement du sommeil. Je sentis alors une grosse main se poser sur ma nuque pour mieux guider mon mouvement.
- Vas y, prends bien ma bite… ne sois pas timide, enfonce là bien dans ta gorge me dit-il
- Elle est vraiment trop grosse lui dis-je en reprenant mon souffle
- Vas y, masse bien mon gland avec ta gorge et remonte sur ma hampe, encore plus profond… putain, tu as une bonne bouche bien humide. On dirait que tu as fait ça toute ta vie. Continue, laisse ta langue rouler autour de mon gland !
Je m’étouffais presque alors que moins de la moitié de la bite de Thomas était dans ma gorge.
- Arrête une minute me dit-il, je vire mon caleçon !
Aussitôt dit aussitôt fait. Thomas était à présent demi assis et j’avais la tête enfouie dans la masse noire des poils de son bas-ventre. Ses couilles hyperpoilues étaient énormes et il s’en dégageait une odeur de sueur virile et masculine. Je continuais à sucer l’énorme membre de Thomas et gobait ou tentait de gober ses boules poilues.
- Tu es un expert, jamais mon ex ne m’a sucé comme ça ! Ta bouche est bien gourmande…
Dans le même temps, alors que j’étais à quatre pattes face à Thomas, ma tête entre ses cuisses et ma bouche autour de son chibre, je sentis une main se glisser dans mon slip et un doigt fureter dans ma raie et s’attarder sur mon anus serré. Thomas humidifia son majeur avec sa salive et revint à la charge en introduisant progressivement son doigt dans mon cul vierge.
- Non Thomas… je ne pourrais pas…
- Détends toi… on va se faire du bien
- Non, non, je suis vierge et je n’ai jamais fait ça
- Je ne fais que jouer avec ton cul… Pas d’affolement, je n’irai pas plus loin.
A moitié rassuré, je laissais Thomas enfoncer un puis deux en enfin trois doigts dans mon trou. Je mouillais du cul et cette sensation rajoutait à mon excitation. Je n’arrêtais pas pour autant ma fellation, grisé par cette grosse bite qui remplissait ma bouche et mouillait abondamment.
- Putain, elle est bien serrée ta fente ; je me demande ce que ça ferrait de fourrer ma queue dans ton trou de mec.
Soudain, Thomas m’interrompit et sans même me laisser le temps de réagir se plaça derrière moi. J’étais à quatre pattes, face à la tête de lit quand Thomas vint se positionner et plaça sa queue raide contre mes fesses. Il tirât alors sur mon slip et me le retira complètement. Il avait alors une vue imprenable sur les fesses musclées et légèrement écartées et sur mon cul duveteux et vierge.
- Ne t’inquiète pas, je vais juste frotter ma queue contre ton cul. Je n’ai pas l’intention de te faire mal…
Il commençât alors à faire coulisser sa verge dans ma raie, son pré-cum faisant office de lubrifiant. Mon sphincter anal palpitait d’excitation et je me disais que Thomas ne tenterait pas d’aller plus loin.
- Putain, avec la chatte que tu as j’ai du mal à croire que tu sois encore vierge… Personne n’a essayé de te violer dans les vestiaires ?
- Je n’ai jamais fait ça avec un mec…
- Moi non plus ! Mais cette fente aux lèvres rosées et humides, cernée de duvets blonds est un appel au viol.
- Pas ça Thomas, je ne suis pas… je ne suis pas homo…
Je disais vraiment n’importe quoi. L’énorme bite de Thomas faisait des va-et-vient, calée dans ma raie humide, alors que je tendais les fesses comme une catain.
- Attends, faut vraiment que j’essaye. C’est trop tentant ! Une bonne chatte comme ça, l’occasion est trop rare pour la laisser passer.
Thomas crachat sur mon cul et introduisit brutalement le bout de son gland dans mon anus. La douleur fut brutale et une intense sensation de brûlure parcourut mon sphincter anal, me coupant littéralement le souffle.
- Non Thomas, arrête, je ne veux pas. Arrête
- Calme toi, je veux juste mettre mon gland… respire un bon coup et pousse
- J’ai trop mal, arrête !
Dans le même temps je tendais les fesses à mon enculeur. La douleur était trop vive, ce qui n’empêchait pas Thomas de progresser centimètre par centimètre dans mon rectum et d’y enfoncer sa verge géante. J’étais complètement déchiré par sa bite, rempli par se monstre de chair… Progressivement la mouille de Thomas commença à lubrifier les parois de mon anus ; sa bite monstrueuse coulissait de plus en plus facilement dans mon cul béant. Je sentais les veines de sa verge frotter mes muqueuses humides et tièdes.
Thomas se penchât alors sur moi, caressant mon sein de sa main droite, titillant mon téton et me murmurant à l’oreille :
- Vas y… ouvre ton cul, je vais te remplir. Putain, ta chatte me serre bien. Tu n’imagines pas comme c’est bon. Allez, ouvre toi et donne moi ton boule… pas de pudeur entre nous.
- Doucement Thomas, ta queue est vraiment trop grosse.
- Trop grosse peut être mais elle est complètement rentrée dans ton trou. J’enfonce presque mes couilles dans ta fente là !
Je me sentais complètement dominé. J’avais très mal mais un vague plaisir commençait à parcourir mes entrailles. Thomas avait sa bite complètement enfoncée dans mon cul écartelé et commençât de lents mouvement de va et vient. A chaque mouvement, je le sentais buter au plus profond de mon antre. Ses couilles battaient contre mes fesses et je sentais la chaleur des poils de son torse contre mon dos. Il ne cessait de me murmurer à l’oreille.
- Si tu savais comme ta chatte de mec est bonne. Bien plus serrée que tous les vagins que j’ai rempli. Oui, ton trou palpite autour de ma queue… putain… je n’aurais jamais cru que c’était si bon.
La douleur de l’enculade se dissipait peu à peu et le plaisir que me donnait Thomas était indicible. Je tendais encore plus les fesses vers mon enculeur et secouait mon boule de manière à mieux me faire remplir par cette bite d’exception. De temps en temps, Thomas faisait complètement ressortir sa queue de mon trou pour l’enfoncer sans ménagement quelques fractions de seconde après. Il me limait vigoureusement et j’avais l’impression que mon cul ne pourrait jamais se refermer. De temps en temps, les grosses couilles velues et pleines de sperme de mon cousin venaient buter contre mon entre-fesses. Du liquide séminal s’échappait de mon méat tandis que Thomas sondait mon orifice de son membre turgescent. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides et sa respiration s’accélérât.
- Putain, j’ai les couilles pleines. Je vais bien t’engrosser ma salope. Tu vas prendre tout mon foutre… Han… Je vais lâcher la purée !
Dans le même temps, il se redressât et me saisit par les hanches de manière à maintenir sa bite bien au fond de mon trou défloré. J’éclatais alors d’un violent orgasme et plusieurs jets de mon sperme épais atterrirent sur le drap. Thomas jouit en même temps que moi, et tandis que je me vidais de mon sperme laiteux, le foutre épais et gluant de Thomas emplit mon rectum recalibré par sa pine et commençât à s’échapper de mon orifice anal. Son éjaculation semblait interminable, les saccades de sperme se succédant les unes aux autres et venant lubrifier davantage ma chatte violée et livrée aux assauts de mon cousin en rut.
Je m’écroulais alors à plat ventre sur le lit. Thomas était encore sur moi et je sentais son corps chaud en sueur contre mon dos, et surtout sa bite toujours bien grosse et bien raide dans mon cul. Il restât ainsi de longues minutes avant de me déculer et de s’écarter. Il me tournât le dos tandis que je me mis sur le côté, lui tournant le dos aussi. Mon trou restait béant et je sentais des flots de sperme s’échapper de mon anus explosé et couler sur les draps.
Thomas s’endormit très vite sans me dire un mot. Je ne tardais pas non plus à trouver le sommeil malgré toutes ses sensations nouvelles que je venais de découvrir.
Le lendemain matin, je me réveillais en découvrant un lit vide. Les nombreuses taches de sperme séché sur les draps m’indiquaient que je n’avais pas rêvé et que mon cousin Thomas m’avait bel et bien enfoutré avec sa bite de cheval. Je tirais rapidement les draps pour masquer les traces de notre jouissance. Je me levais alors en me dirigeais vers la salle de bain. Ma démarche était un rien hésitante, mon cul endolori n’avait pas récupéré des outrages que lui avait fait subir la bite de Thomas. Après une bonne douche, je m’habillais rapidement et sortais dans le jardin où toute la famille prenait le petit déjeuner. Mes parents et ceux de Thomas prenaient leur petit-déjeuner tranquillement. Thomas était là, torse nu, plus sexe que jamais. Je me dirigeais alors vers la chaise à côté de lui, la seule chaise restée libre…
- Bonjour tout le mode, vous commencez sans moi ?
- On n’allait pas t’attendre me répondit ma mère. D’autant que Thomas nous a dit que vous aviez dormi tard. J’imagine que vous avez pas mal papoté !
- On a quasiment refait connaissance, cela faisait si longtemps rajoutât Thomas. Je redécouvre Stéphane là !
Je me sentis un brin gêné quand ma mère me demanda :
- Vous comptez faire quoi Thomas et toi aujourd’hui ? Nous autres on va sans doute sortir toute la journée. Le temps s’annonce magnifique.
Je n’eus pas le temps de répondre que Thomas annonçât, en posant discrètement sa main sur ma cuisse :
- On avait prévu de rester à la maison et de profiter de la piscine en toute tranquillité. Depuis le temps qu’on ne s’est pas vu, on a encore plein de choses à faire et à se raconter…
- Je ne vais pas me mêler de vos histoires de mecs dit alors ma mère ; le plus important est que vous profitiez de vos vacances.
- On en profite déjà répondit Thomas.
A suivre…
L’été dernier, j’avais prévu de passer deux semaines dans la maison familiale près de Perpignan. La sœur de ma mère, Violaine, et son mari Esteban devaient nous y rejoindre. La maison est grande, avec une belle piscine et dispose d’une ‘cabane’ aménagée au fond du jardin. C’est là que je m’installais habituellement, de manière à être indépendant. Quelques jours avant le départ, Violaine demanda si Thomas, son fils et donc mon cousin pouvait venir. Thomas venait de rompre avec sa copine et du coup les vacances prévues avec son ex tombaient à l‘eau. Mes parents acceptèrent sans problème et pour ma part, je me disais que la compagnie de Thomas serait la bienvenue. Je proposais même qu’il occupe la cabane avec moi. Je n’avais pas vu Thomas depuis plusieurs années ; nous étions alors adolescents et nous nous entendions plutôt bien.
Cela faisait trois jours que nous étions arrivés lorsque ma tante, son mari et mon cousin Thomas débarquèrent. Je ne reconnus pas mon cousin. L’adolescent boutonneux de mes souvenirs était devenu un beau et grand gaillard d’1m90 et 93kg. Thomas était musclé, très musclé même. Son tee-shirt laissait entrevoir de beaux pectoraux recouverts de poils noirs et ses tétons pointaient sous le tissu ; ses bras étaient puissants et velus et ses cuisses, très poilues aussi étaient quasiment deux fois plus grosses que les miennes. Thomas avait également un très beau visage, masculin, viril, adouci par deux magnifiques yeux bleus. Ses cheveux bruns coupés très courts et sa barbe de trois jours lui donnaient incontestablement un air ‘sexe’. Thomas pratiquait le rugby à un bon niveau et devait être très impressionnant sur le terrain.
Alors que je le contemplais, il vint vers moi et me donnant l’accolade me dit :
- Alors Stéphane, comment vas-tu ? Tu as beaucoup changé, je t’ai à peine reconnu !
- Je t’ai à peine reconnu moi aussi, tu as… grandi
- Forcément, je n’allais pas m’arrêter de grandir à 13 ans
- On ne s’est pas vu depuis 10 ans ? Tant que ça ? ça va nous faire pas mal de choses à nous raconter…
- Oui, j’ai aussi besoin de me changer les idées
- Tu vas t’installer dans la cabane avec moi, il y a assez de place et ça nous éviteras d’être avec nos parents… je te fais visiter.
Thomas avait 23 ans et moi 2 de moins. J’étais sincèrement content de le revoir et je me disais que ça serait sympa d’avoir un pote de drague, d’autant qu’il était à nouveau célibataire. Dans le même temps, j’étais un peu troublé par sa présence, cette masculinité et cette virilité qu’il dégageait. Je n’avais connu que des filles mais je trouvais qu’un sexe d’homme pouvait être attirant. Je n’avais cependant jamais franchi le pas et j’avais l’impression d’avoir raté quelque chose.
Une fois la visite faite, nous rejoignîmes le reste de la famille pour l’apéro. Nous parlâmes de tout et de rien. Au bout d’un moment, je proposai à mon cousin de faire un petit tour en voiture ; l’occasion aussi d’être loin de nos parents respectifs. La région est belle et c’était l’occasion de bavarder en toute liberté. Thomas me demanda alors :
- Et toi alors, toujours célibataire ?
- Oui, complètement, ce qui ne m’empêche pas de m’amuser un peu. Mais tu sais, mes études ne me laissent pas le temps d’envisager une relation sérieuse.
- Ça viendra… quand tu trouveras une fille qui te plaira vraiment. Tu vois, moi j’étais engagé avec une nana, mais on a rompu au bout d’un an.
- Elle est partie ?
- Non, c’est moi qui ai décidé d’arrêter. Elle belle et intelligente, mais niveau sexe ce n’était pas parfait ! Alors forcément ça a fini par craquer…
- Ah bon ? Elle n’aimait pas ça?
- Disons que nous n‘avions pas les mêmes besoins. Tu sais, je suis un mec plutôt chaud et j’ai besoin de baiser deux fois par jour au moins. Elle me traitait d’obsédé sexuel! Il n’y a pas de mal à se faire du bien, et puis je ne voulais pas aller voir ailleurs !
- Et tu es parti pour ça?
- Non, pas que ça… elle manquait d’imagination au lit, et puis je voulais essayer de nouveaux trucs, mais pour elle pas question !
- Nouveaux trucs comme quoi ?
- Ben, je suis très branché sodo… enfin, j’ai jamais essayé, mais j’en avais très envie. Elle a toujours refusé, disant qu’elle avait peur d’avoir mal. Je ne suis pas une brute, j’aurais aimé essayer et puis si ça ne va pas, on arrête… non, pour elle, nada... elle ne voulait rien savoir, et disait ma queue est trop grosse…
- Oui, les nanas s’effraient pour un rien.
- Un rien, non ! Je reconnais que j’en ai une grosse… mais bon, elle aurait du me laisser essayer.
- Elle est grosse à ce point ? Ou c’est toi qui manque de modestie ?
- Ben 26 cm de long et 7 cm de large c’est pas mal…
Et il éclata de rire ; un rire viril, masculin. Je sentis mes joues s’empourprer et une chaleur envahir mon torse. A vrai dire, Thomas portait un large bermuda qui ne laissait rien deviner de ce qui se cachait dessous. Ses propos excitèrent ma curiosité et j’avais très envie de voir son sexe ; je préférais cependant changer de sujet.
Après la ballade en voiture, nous rentrâmes à la maison. Le reste de la journée se passa tranquillement. Un diner familial autour du barbecue vint conclure la soirée, puis Thomas et moi rejoignîmes la cabane pour nous coucher.
- Je vais me doucher à moins que tu ne préfères commencer ?
- Vas-y, j’irai après toi…
Une petite vingtaine de minutes après, Thomas ressorti de la salle de bain. Il portait un caleçon aux motifs bigarrés, mais il était diablement sexy, avec ses larges épaules et ses pectoraux saillants couverts de poils noirs. Ses tétons rosés tranchaient avec le noir de sa pilosité ; son ventre était délicieusement herbu avec un tourbillon de poils autour de son nombril ; ses cuisses puissantes et velues étaient impressionnantes… A mon grand désespoir, son caleçon ample cachait bien l’objet de ma curiosité.
Pendant que je l’examinais de la tête au pied, il me dit :
- Ben alors, tu rêvasses ? Tu as la salle de bains pour toi maintenant.
Il ne semblait pas avoir remarqué mon trouble. Je me précipitais alors vers la salle de bain, pour me doucher à mon tour, tandis qu’une forte érection déformait mon slip. J’essayais alors de me calmer en laissant l’eau froide couler sur mon torse puis sur mon bas ventre.
La douche finie, je mis un slip propre avant de sortir dans la salle de bain. Thomas était en train de sortir le lit de camp du placard. Saisi par je ne sais quel démon, je lui dis :
- Le lit de camp est plutôt inconfortable, je propose qu’on partage le lit. Il est assez large et tu y dormiras beaucoup mieux.
- Je ne veux pas te déranger mais tu as sans doute raison. Une bonne nuit de sommeil ne sera pas de trop.
Je me couchai alors sur le côté, faisant face au mur tandis que Thomas se mis sur le dos, jambes légèrement écartées. J’étais très excité à l’idée d’avoir ce corps splendide juste à côté de moi, et surtout cet énorme sexe à portée de main… Thomas ne tarda pas à s’endormir, et il commençât à ronfler légèrement. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil, ma queue était raide et je ne cessais de penser aux petites confidences de mon cousin. Après presque une heure passée a me tourner et à me retourner dans le lit, je me redressais bien décidé à voir ce que le caleçon de Thomas cachait à ma vue. Je m’approchais ainsi lentement de son caleçon, et écartais délicatement l’ouverture du sous-vêtement. Thomas dormait profondément et je m’enhardis à saisir sa verge molle et à la sortir à travers l’ouverture du caleçon. Mon rythme cardiaque s’accélérait tandis que je découvrais le sexe de Thomas. Il était simplement gigantesque ; une large et longue hampe avec un prépuce qui couvrait complètement un énorme gland. Bien qu’au repos, le sexe de Thomas avait des dimensions impressionnantes, avec de grosses veines qui le parcouraient. Mon sexe était raide et mon excitation était à son comble. Je soupesais cette grosse tige encore molle et commençais à palper les testicules de mon cousin qui étaient énormes. Je pensais d’un coup à l’ex de Thomas et compris sa frayeur à l’idée de recevoir cet énorme engin dans son orifice anal.
Je dois dire que Thomas n’avait pas menti ; il était particulièrement bien doté par la nature. J’ai vu beaucoup de mecs à poil dans les douches après mes entrainements mais je n’avais jamais rien observé de tel entre leurs jambes. J’avais moi même un sexe de 20 cm de long pour 5 bons cm de large, mais la vue de ce démonte-pneu me complexait et m’excitait en même temps. Thomas continuait à dormir et sans trop réfléchir à ce que je faisais, j’approchais mes lèvres de l’extrémité de sa queue et laissais ma langue titiller son méat. Je ne me contrôlais plus, ma bite turgescente déformait mon slip, des décharges électriques parcouraient mon torse et faisaient se dresser mes tétons. Je gobais alors l’extrémité de la queue de Thomas et pratiquais ainsi ma première fellation sur mon cousin endormi. Je découvrais alors son gland avec ma langue et petit à petit la bite de Thomas devenait dure et raide. Son sexe est ainsi devenu absolument énorme et je ne réussissais à enfoncer guère plus du tiers de son pieu dans ma gorge. La hampe de thomas était dressée à la verticale, les veines qui la parcouraient était dilatées et palpitaient pour faire affluer le sang dans cet organe surdimensionné. Je sentais un liquide salé, translucide et filant couler sur ma langue. Le pré-sperme de Thomas était abondant et son odeur se mêlait à celle plus musquée de son bas ventre. En réponse à cette caresse buccale, Thomas écartait davantage les cuisses tout en ronronnant. Absorbé par cette fellation nocturne improvisée, je ne me rendis pas compte qu’il émergeait progressivement du sommeil. Je sentis alors une grosse main se poser sur ma nuque pour mieux guider mon mouvement.
- Vas y, prends bien ma bite… ne sois pas timide, enfonce là bien dans ta gorge me dit-il
- Elle est vraiment trop grosse lui dis-je en reprenant mon souffle
- Vas y, masse bien mon gland avec ta gorge et remonte sur ma hampe, encore plus profond… putain, tu as une bonne bouche bien humide. On dirait que tu as fait ça toute ta vie. Continue, laisse ta langue rouler autour de mon gland !
Je m’étouffais presque alors que moins de la moitié de la bite de Thomas était dans ma gorge.
- Arrête une minute me dit-il, je vire mon caleçon !
Aussitôt dit aussitôt fait. Thomas était à présent demi assis et j’avais la tête enfouie dans la masse noire des poils de son bas-ventre. Ses couilles hyperpoilues étaient énormes et il s’en dégageait une odeur de sueur virile et masculine. Je continuais à sucer l’énorme membre de Thomas et gobait ou tentait de gober ses boules poilues.
- Tu es un expert, jamais mon ex ne m’a sucé comme ça ! Ta bouche est bien gourmande…
Dans le même temps, alors que j’étais à quatre pattes face à Thomas, ma tête entre ses cuisses et ma bouche autour de son chibre, je sentis une main se glisser dans mon slip et un doigt fureter dans ma raie et s’attarder sur mon anus serré. Thomas humidifia son majeur avec sa salive et revint à la charge en introduisant progressivement son doigt dans mon cul vierge.
- Non Thomas… je ne pourrais pas…
- Détends toi… on va se faire du bien
- Non, non, je suis vierge et je n’ai jamais fait ça
- Je ne fais que jouer avec ton cul… Pas d’affolement, je n’irai pas plus loin.
A moitié rassuré, je laissais Thomas enfoncer un puis deux en enfin trois doigts dans mon trou. Je mouillais du cul et cette sensation rajoutait à mon excitation. Je n’arrêtais pas pour autant ma fellation, grisé par cette grosse bite qui remplissait ma bouche et mouillait abondamment.
- Putain, elle est bien serrée ta fente ; je me demande ce que ça ferrait de fourrer ma queue dans ton trou de mec.
Soudain, Thomas m’interrompit et sans même me laisser le temps de réagir se plaça derrière moi. J’étais à quatre pattes, face à la tête de lit quand Thomas vint se positionner et plaça sa queue raide contre mes fesses. Il tirât alors sur mon slip et me le retira complètement. Il avait alors une vue imprenable sur les fesses musclées et légèrement écartées et sur mon cul duveteux et vierge.
- Ne t’inquiète pas, je vais juste frotter ma queue contre ton cul. Je n’ai pas l’intention de te faire mal…
Il commençât alors à faire coulisser sa verge dans ma raie, son pré-cum faisant office de lubrifiant. Mon sphincter anal palpitait d’excitation et je me disais que Thomas ne tenterait pas d’aller plus loin.
- Putain, avec la chatte que tu as j’ai du mal à croire que tu sois encore vierge… Personne n’a essayé de te violer dans les vestiaires ?
- Je n’ai jamais fait ça avec un mec…
- Moi non plus ! Mais cette fente aux lèvres rosées et humides, cernée de duvets blonds est un appel au viol.
- Pas ça Thomas, je ne suis pas… je ne suis pas homo…
Je disais vraiment n’importe quoi. L’énorme bite de Thomas faisait des va-et-vient, calée dans ma raie humide, alors que je tendais les fesses comme une catain.
- Attends, faut vraiment que j’essaye. C’est trop tentant ! Une bonne chatte comme ça, l’occasion est trop rare pour la laisser passer.
Thomas crachat sur mon cul et introduisit brutalement le bout de son gland dans mon anus. La douleur fut brutale et une intense sensation de brûlure parcourut mon sphincter anal, me coupant littéralement le souffle.
- Non Thomas, arrête, je ne veux pas. Arrête
- Calme toi, je veux juste mettre mon gland… respire un bon coup et pousse
- J’ai trop mal, arrête !
Dans le même temps je tendais les fesses à mon enculeur. La douleur était trop vive, ce qui n’empêchait pas Thomas de progresser centimètre par centimètre dans mon rectum et d’y enfoncer sa verge géante. J’étais complètement déchiré par sa bite, rempli par se monstre de chair… Progressivement la mouille de Thomas commença à lubrifier les parois de mon anus ; sa bite monstrueuse coulissait de plus en plus facilement dans mon cul béant. Je sentais les veines de sa verge frotter mes muqueuses humides et tièdes.
Thomas se penchât alors sur moi, caressant mon sein de sa main droite, titillant mon téton et me murmurant à l’oreille :
- Vas y… ouvre ton cul, je vais te remplir. Putain, ta chatte me serre bien. Tu n’imagines pas comme c’est bon. Allez, ouvre toi et donne moi ton boule… pas de pudeur entre nous.
- Doucement Thomas, ta queue est vraiment trop grosse.
- Trop grosse peut être mais elle est complètement rentrée dans ton trou. J’enfonce presque mes couilles dans ta fente là !
Je me sentais complètement dominé. J’avais très mal mais un vague plaisir commençait à parcourir mes entrailles. Thomas avait sa bite complètement enfoncée dans mon cul écartelé et commençât de lents mouvement de va et vient. A chaque mouvement, je le sentais buter au plus profond de mon antre. Ses couilles battaient contre mes fesses et je sentais la chaleur des poils de son torse contre mon dos. Il ne cessait de me murmurer à l’oreille.
- Si tu savais comme ta chatte de mec est bonne. Bien plus serrée que tous les vagins que j’ai rempli. Oui, ton trou palpite autour de ma queue… putain… je n’aurais jamais cru que c’était si bon.
La douleur de l’enculade se dissipait peu à peu et le plaisir que me donnait Thomas était indicible. Je tendais encore plus les fesses vers mon enculeur et secouait mon boule de manière à mieux me faire remplir par cette bite d’exception. De temps en temps, Thomas faisait complètement ressortir sa queue de mon trou pour l’enfoncer sans ménagement quelques fractions de seconde après. Il me limait vigoureusement et j’avais l’impression que mon cul ne pourrait jamais se refermer. De temps en temps, les grosses couilles velues et pleines de sperme de mon cousin venaient buter contre mon entre-fesses. Du liquide séminal s’échappait de mon méat tandis que Thomas sondait mon orifice de son membre turgescent. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides et sa respiration s’accélérât.
- Putain, j’ai les couilles pleines. Je vais bien t’engrosser ma salope. Tu vas prendre tout mon foutre… Han… Je vais lâcher la purée !
Dans le même temps, il se redressât et me saisit par les hanches de manière à maintenir sa bite bien au fond de mon trou défloré. J’éclatais alors d’un violent orgasme et plusieurs jets de mon sperme épais atterrirent sur le drap. Thomas jouit en même temps que moi, et tandis que je me vidais de mon sperme laiteux, le foutre épais et gluant de Thomas emplit mon rectum recalibré par sa pine et commençât à s’échapper de mon orifice anal. Son éjaculation semblait interminable, les saccades de sperme se succédant les unes aux autres et venant lubrifier davantage ma chatte violée et livrée aux assauts de mon cousin en rut.
Je m’écroulais alors à plat ventre sur le lit. Thomas était encore sur moi et je sentais son corps chaud en sueur contre mon dos, et surtout sa bite toujours bien grosse et bien raide dans mon cul. Il restât ainsi de longues minutes avant de me déculer et de s’écarter. Il me tournât le dos tandis que je me mis sur le côté, lui tournant le dos aussi. Mon trou restait béant et je sentais des flots de sperme s’échapper de mon anus explosé et couler sur les draps.
Thomas s’endormit très vite sans me dire un mot. Je ne tardais pas non plus à trouver le sommeil malgré toutes ses sensations nouvelles que je venais de découvrir.
Le lendemain matin, je me réveillais en découvrant un lit vide. Les nombreuses taches de sperme séché sur les draps m’indiquaient que je n’avais pas rêvé et que mon cousin Thomas m’avait bel et bien enfoutré avec sa bite de cheval. Je tirais rapidement les draps pour masquer les traces de notre jouissance. Je me levais alors en me dirigeais vers la salle de bain. Ma démarche était un rien hésitante, mon cul endolori n’avait pas récupéré des outrages que lui avait fait subir la bite de Thomas. Après une bonne douche, je m’habillais rapidement et sortais dans le jardin où toute la famille prenait le petit déjeuner. Mes parents et ceux de Thomas prenaient leur petit-déjeuner tranquillement. Thomas était là, torse nu, plus sexe que jamais. Je me dirigeais alors vers la chaise à côté de lui, la seule chaise restée libre…
- Bonjour tout le mode, vous commencez sans moi ?
- On n’allait pas t’attendre me répondit ma mère. D’autant que Thomas nous a dit que vous aviez dormi tard. J’imagine que vous avez pas mal papoté !
- On a quasiment refait connaissance, cela faisait si longtemps rajoutât Thomas. Je redécouvre Stéphane là !
Je me sentis un brin gêné quand ma mère me demanda :
- Vous comptez faire quoi Thomas et toi aujourd’hui ? Nous autres on va sans doute sortir toute la journée. Le temps s’annonce magnifique.
Je n’eus pas le temps de répondre que Thomas annonçât, en posant discrètement sa main sur ma cuisse :
- On avait prévu de rester à la maison et de profiter de la piscine en toute tranquillité. Depuis le temps qu’on ne s’est pas vu, on a encore plein de choses à faire et à se raconter…
- Je ne vais pas me mêler de vos histoires de mecs dit alors ma mère ; le plus important est que vous profitiez de vos vacances.
- On en profite déjà répondit Thomas.
A suivre…
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15 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour qd la suite svp ???? énorme !!!!
Superbe histoire, très excitante et qui tient debout. J'ai adoré.
Il m'est arrivé de prendre dans mon cul la bite de cheval d'un jeune mec de 35 ans en 1998 , c'était une découverte pour moi qui n'avais eu des relations qu'avec des filles et j'ai eu très mal à l'intérieur du ventre( j'avais l'impression que mon ventre allait exploser car il avait une queue de 20cms pour un diamètre de 5 cms et mème si son gland était assez fin , c'était douloureux ) .Par contre , avec d'autres mecs , j'ai beaucoup apprécié la fellation mutuelle et j'adore !
Oui, il y aura une suite
Perso jdr les grosses bite comme sa donc me faire defoncer la chatte ne me dérange absolument pas au contraire
Sinon c une hitoire superbe je me branle tellement c bon!!!
Sinon c une hitoire superbe je me branle tellement c bon!!!
Très belle histoire entre cusins...Seulement les mensurations de la bite de Thomas me semblent un peu exagérées , surtout pour une premiere fois
tres belle histoire de cousin de decouverte vite la suite bisous a vous deux
J'ai beaucoup aimé cette histoire où l'auteur se fait déflorer l'anus par son cousin : tout y est minutieusement décrit avec force détails et j'ai trouvé particulièrement excitant ce mélange de délicatesse, de bestialité et de paroles obscènes…Poursuivez dans cette voie.
GENIAL !!! Vivement la suite !
C'est super excitant!
Continue stp
Continue stp
Très belle histoire, bien écrite, avec le bon vocabulaire : chatte, bite de cheval, engrosser... tout y est. Vite, la suite bien chaude au bord de la piscine et encore bravo !
Vivement la suite
Une histore excitante et dont le rythme chauffe bien, de bonne vacs en perspective =)
y aura t'il une suite
Vraiment super histoire ! Hâte à la suite !