Mon dépucelage
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon dépucelage
Après avoir évoqué mes ballades sexuelles avec les hommes, je veux aussi partager mes expériences sexuelles avec les femmes.
Après les séances touche pipi enfantines, ma vie sexuelle s’est d’abord réduite à une exploration de mes zones érogènes en solitaire qui se terminaient en masturbation. Je me suis arrêté de sucer mon pouce vers 12 ans, et je pense que j’ai reporté ma recherche du plaisir sur mon pénis par de fréquentes masturbations, pour ne pas dire quotidiennes le soir dans mon lit.
J’éprouvais une crainte vis-à-vis du sexe opposé, ne sachant pas comment fonctionnait la sexualité, aucune information nous a été donnée en milieu scolaire et pas même en milieu familial. Pour moi, l’école du sexe devait passer par les films érotiques forts rares à l’époque, la k7 vidéo n’existant pas. J’avais repéré, dans une rue discrète, une salle pour films érotiques (et non pornographique) car on ne voyait pas de sexe d’homme en érection et encore moins en train de pénétrer le sexe féminin. Il y avait des corps nus qui s’enlaçaient. Je suis passé souvent devant ce cinéma mais je n’avais pas le courage de franchir le pas. Un soir, la rue étant déserte, je me suis présenté au guichet, j’ai acheté un billet et une ouvreuse m’a placé. Je n’ai pas le souvenir d’avoir vu des spectateurs s’adonner dans la salle à des jeux sexuels. Mais j’étais vraiment puceau dans tous les sens du terme. Avant le film, il y a eu toute une présentation pour évoquer les maladies sexuelles, très bon pour réfréner mon audace.
Mais enhardi par ma témérité d’avoir franchi un cinéma sex, j’ai poursuivi ma ballade nocturne en direction des ruelles fréquentées par des prostituées. J’ai arpenté une de ces rues, observant ces dames qui faisaient le pied de grue ainsi que le trottoir. Elles m’invitaient d’une œillade ou bien par cette phrase : « Tu montes chéri ». Le verbe possédait ici le double sens, monter l’escalier car la chambre se trouvait sous les toits et monter la donzelle, moyennant finances. J’ai progressé dans mon audace, puisqu’il j’ai eu le courage de demander : « Combien ? » sans pour autant conclure, je voulais vraiment choisir un type de femme qui me convienne et surtout pas une qui m’humilie. Je ne pourrai pas cacher longtemps mon état de puceau face à ces professionnelles du sexe. Finalement, je me suis approché d’une dame qui semblait correspondre à mes goûts et qui semblait assez sympathique. Je lui ai demandé combien, j’avoue que c’est si loin que je ne me souviens plus du tarif officiel que toutes pratiquaient. Je n’ai même pas demandé à quelles prestations correspondait ce tarif. Je n’ai pas le souvenir que la pipe était incluse dans ce forfait. Une simple baise point barre !
Le contrat conclu, je ai suivi ma future initiatrice du sexe dans les escaliers qui devaient me conduire au septième ciel, mais en fait je ne suis arrivé qu’au quatrième étage. Une petite chambre de bonne, basse de plafond. Elle m’a invité à me déshabiller, moi, je l’avais déjà déshabillée du regard et du désir quand nous franchissions les étages. Tous mes rêves érotiques allaient enfin se réaliser, je pourrai ensuite partir à la conquête du sexe faible. J’étais nu, un début d’érection allongeait mon pénis. La dame s’est allégée de ses vêtements aguichants sans pour autant se mettre à nue, le sexe tout de même dévoilé. C’était la première fois que je voyais, en vrai, un sexe féminin, les tableaux d’art dans le dictionnaire avaient nourri mon imagination.
Me voilà nu et à la merci de cette travailleuse du sexe. Elle m’a demandé de m’approcher du lavabo qui était à la hauteur de mes bourses !, elle s’est emparée de mon instrument qui n’était jamais entré dans l’intimité d’un corps par la bouche, l’anus ou le vagin. À l’aide du savon, elle le lave avec soin et se permettant de l’inspecter pour voir s’il n’y avait pas d’écoulements, de plaies ou de boutons suspects. Satisfaite de mon engin, elle m’a invité à la rejoindre sur le lit recouvert d’un dessus de lit sur lequel est posée une serviette pour recueillir tout débordement éjaculatoire. Elle s’est mise sur le dos, je me suis avancé pour la couvrir, sans bien connaître la démarche, j’ai sans doute amené mon sexe un peu plus haut que le sien, si bien qu’elle a dû remonter légèrement pour que l’arrimage se fasse correctement. C’est elle qui a dirigé les opérations, me saisissant ma verge pour le présenter à l’entrée de son minou ; la direction étant donnée, je me suis introduit en elle et j’ai commencé d’une façon toute innée les va et vient de la copulation. La baise n’a pas duré longtemps, je n’avais pas encore appris à contrôler mon éjaculation. Je me suis vidé en elle, il n’y avait pas de condom entre nous.
Après nos ébats sexuels, retour au lavabo, mais c’est moi qui ai dû me charger du nettoyage de la bite, elle m’a tendu un sopalin, déjà je ne l’intéressait plus. Elle s’est rhabillée prestement, pour avoir un nouveau client rapidement. je suis redescendu sans avoir atteint ce fameux septième ciel. C’était bon, j’étais surtout fier d’avoir le courage de faire le premier pas dans le monde du sexe, même si la récompense n’était pas à la hauteur de mes rêves.
Par contre, j’ai réalisé que j’avais plongé ma plume dans un encrier partagé par de nombreux clients et que je risquais d’attraper une cochonnerie comme annoncé quelques heures avant au cinéma. Et ce qui devait arriver arriva. Le lendemain, en allant uriner, j’ai senti comme une gène, une brûlure. J’ai d’abord réagi en solitaire, sachant que la pénicilline servait à lutter, entre autre, contre les maladies vénériennes, j’ai pris du fromage, du bleu contenant de la moisissure, donc de la pénicilline et j’ai trempé quotidiennement mon bout dans une mixture à base de moisi de fromage pour un résultat nul. Comme cette sensation désagréable persistait et qu’il y avait dans mon premier jet d’urine des sortes de petits filaments blancs qui nageaient entre deux eau, je me suis résolu à aller chez un médecin qui ne me connaissait pas, ayant pris l’adresse dans l’annuaire, je lui ai exposé mon mal et comment je l’avais attrapé. Il m’envoya faire des analyses. Une infirmière, à l’aide d’une pipette introduite au bout de mon gland, a aspiré le dépôt suspect. C’est ainsi que j’ai eu ma toute première « pipe » sanitaire ! Quand je suis retourné voir le médecin, il m’a dit « Ce que vous avez attrapé n’est même pas classé maladie vénérienne ! » Par contre ça ma bien refroidi de l’approche féminine et même de la masturbation. Je n’osais plus toucher mon engin et je suis devenu pendant plusieurs mois abstinent sexuel. Et c’est en exposant, un jour dans les bois, mon instrument que des mouches venant pomper ma queue ont provoqué une éjaculation formidable qui est allée se perdre dans les feuilles mortes et les buissons. J’ai donc fait l’amour avec Dame Nature !
Après les séances touche pipi enfantines, ma vie sexuelle s’est d’abord réduite à une exploration de mes zones érogènes en solitaire qui se terminaient en masturbation. Je me suis arrêté de sucer mon pouce vers 12 ans, et je pense que j’ai reporté ma recherche du plaisir sur mon pénis par de fréquentes masturbations, pour ne pas dire quotidiennes le soir dans mon lit.
J’éprouvais une crainte vis-à-vis du sexe opposé, ne sachant pas comment fonctionnait la sexualité, aucune information nous a été donnée en milieu scolaire et pas même en milieu familial. Pour moi, l’école du sexe devait passer par les films érotiques forts rares à l’époque, la k7 vidéo n’existant pas. J’avais repéré, dans une rue discrète, une salle pour films érotiques (et non pornographique) car on ne voyait pas de sexe d’homme en érection et encore moins en train de pénétrer le sexe féminin. Il y avait des corps nus qui s’enlaçaient. Je suis passé souvent devant ce cinéma mais je n’avais pas le courage de franchir le pas. Un soir, la rue étant déserte, je me suis présenté au guichet, j’ai acheté un billet et une ouvreuse m’a placé. Je n’ai pas le souvenir d’avoir vu des spectateurs s’adonner dans la salle à des jeux sexuels. Mais j’étais vraiment puceau dans tous les sens du terme. Avant le film, il y a eu toute une présentation pour évoquer les maladies sexuelles, très bon pour réfréner mon audace.
Mais enhardi par ma témérité d’avoir franchi un cinéma sex, j’ai poursuivi ma ballade nocturne en direction des ruelles fréquentées par des prostituées. J’ai arpenté une de ces rues, observant ces dames qui faisaient le pied de grue ainsi que le trottoir. Elles m’invitaient d’une œillade ou bien par cette phrase : « Tu montes chéri ». Le verbe possédait ici le double sens, monter l’escalier car la chambre se trouvait sous les toits et monter la donzelle, moyennant finances. J’ai progressé dans mon audace, puisqu’il j’ai eu le courage de demander : « Combien ? » sans pour autant conclure, je voulais vraiment choisir un type de femme qui me convienne et surtout pas une qui m’humilie. Je ne pourrai pas cacher longtemps mon état de puceau face à ces professionnelles du sexe. Finalement, je me suis approché d’une dame qui semblait correspondre à mes goûts et qui semblait assez sympathique. Je lui ai demandé combien, j’avoue que c’est si loin que je ne me souviens plus du tarif officiel que toutes pratiquaient. Je n’ai même pas demandé à quelles prestations correspondait ce tarif. Je n’ai pas le souvenir que la pipe était incluse dans ce forfait. Une simple baise point barre !
Le contrat conclu, je ai suivi ma future initiatrice du sexe dans les escaliers qui devaient me conduire au septième ciel, mais en fait je ne suis arrivé qu’au quatrième étage. Une petite chambre de bonne, basse de plafond. Elle m’a invité à me déshabiller, moi, je l’avais déjà déshabillée du regard et du désir quand nous franchissions les étages. Tous mes rêves érotiques allaient enfin se réaliser, je pourrai ensuite partir à la conquête du sexe faible. J’étais nu, un début d’érection allongeait mon pénis. La dame s’est allégée de ses vêtements aguichants sans pour autant se mettre à nue, le sexe tout de même dévoilé. C’était la première fois que je voyais, en vrai, un sexe féminin, les tableaux d’art dans le dictionnaire avaient nourri mon imagination.
Me voilà nu et à la merci de cette travailleuse du sexe. Elle m’a demandé de m’approcher du lavabo qui était à la hauteur de mes bourses !, elle s’est emparée de mon instrument qui n’était jamais entré dans l’intimité d’un corps par la bouche, l’anus ou le vagin. À l’aide du savon, elle le lave avec soin et se permettant de l’inspecter pour voir s’il n’y avait pas d’écoulements, de plaies ou de boutons suspects. Satisfaite de mon engin, elle m’a invité à la rejoindre sur le lit recouvert d’un dessus de lit sur lequel est posée une serviette pour recueillir tout débordement éjaculatoire. Elle s’est mise sur le dos, je me suis avancé pour la couvrir, sans bien connaître la démarche, j’ai sans doute amené mon sexe un peu plus haut que le sien, si bien qu’elle a dû remonter légèrement pour que l’arrimage se fasse correctement. C’est elle qui a dirigé les opérations, me saisissant ma verge pour le présenter à l’entrée de son minou ; la direction étant donnée, je me suis introduit en elle et j’ai commencé d’une façon toute innée les va et vient de la copulation. La baise n’a pas duré longtemps, je n’avais pas encore appris à contrôler mon éjaculation. Je me suis vidé en elle, il n’y avait pas de condom entre nous.
Après nos ébats sexuels, retour au lavabo, mais c’est moi qui ai dû me charger du nettoyage de la bite, elle m’a tendu un sopalin, déjà je ne l’intéressait plus. Elle s’est rhabillée prestement, pour avoir un nouveau client rapidement. je suis redescendu sans avoir atteint ce fameux septième ciel. C’était bon, j’étais surtout fier d’avoir le courage de faire le premier pas dans le monde du sexe, même si la récompense n’était pas à la hauteur de mes rêves.
Par contre, j’ai réalisé que j’avais plongé ma plume dans un encrier partagé par de nombreux clients et que je risquais d’attraper une cochonnerie comme annoncé quelques heures avant au cinéma. Et ce qui devait arriver arriva. Le lendemain, en allant uriner, j’ai senti comme une gène, une brûlure. J’ai d’abord réagi en solitaire, sachant que la pénicilline servait à lutter, entre autre, contre les maladies vénériennes, j’ai pris du fromage, du bleu contenant de la moisissure, donc de la pénicilline et j’ai trempé quotidiennement mon bout dans une mixture à base de moisi de fromage pour un résultat nul. Comme cette sensation désagréable persistait et qu’il y avait dans mon premier jet d’urine des sortes de petits filaments blancs qui nageaient entre deux eau, je me suis résolu à aller chez un médecin qui ne me connaissait pas, ayant pris l’adresse dans l’annuaire, je lui ai exposé mon mal et comment je l’avais attrapé. Il m’envoya faire des analyses. Une infirmière, à l’aide d’une pipette introduite au bout de mon gland, a aspiré le dépôt suspect. C’est ainsi que j’ai eu ma toute première « pipe » sanitaire ! Quand je suis retourné voir le médecin, il m’a dit « Ce que vous avez attrapé n’est même pas classé maladie vénérienne ! » Par contre ça ma bien refroidi de l’approche féminine et même de la masturbation. Je n’osais plus toucher mon engin et je suis devenu pendant plusieurs mois abstinent sexuel. Et c’est en exposant, un jour dans les bois, mon instrument que des mouches venant pomper ma queue ont provoqué une éjaculation formidable qui est allée se perdre dans les feuilles mortes et les buissons. J’ai donc fait l’amour avec Dame Nature !
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