Mon dépucelage avec ma prof d’histoire-géo
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon dépucelage avec ma prof d’histoire-géo
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Quatre années étaient passées et je voyais toujours régulièrement ma Tante Annie pendant les vacances, même si elle n’avait plus besoin de me masturber comme par le passé, nous étions tout de même très proches sans jamais avoir eu de relations sexuelles mais nous aimions nous prendre dans les bras et nous faire quelques baisers sur la bouche mais sans jamais mettre notre langue. C’était une relation affectueuse forte et tactile.
Lorsque je suis rentré en seconde, résident à la campagne, il m’avait fallu aller au lycée dans la ville où habitait Tatie, ce fut tout naturellement que l’amie d’enfance de ma mère : Annie se proposa de m’héberger la semaine, tout en s’occupant de mes études, car elle était prof dans le lycée où j’étais inscris. Très rapidement, je suis tombé amoureux de ma professeure d’histoire-géo. Cette belle femme que je voyais en classe était également une très bonne amie de Tatie, elle venait au moins une fois par semaine chez Annie. Je la trouvais sublime, mais une fois encore, cette femme si désirable avait une vingtaine d’années de plus que moi. En classe elle nous laissait voir sa personnalité, elle était très cultivée, passionnée par son travail, exigeante mais savait plaisanter tout en nous faisant travailler, elle restait à notre écoute, et que dire de son physique ? elle était tout simplement magnifique.
Je trouvais cette jeune femme splendide, plantureuse, élégante ayant de jolies formes, sa poitrine d’un 90 D en faisait rêver plus d’un, autant chez les élèves que chez les professeurs. En tout cas, ayant beaucoup plus de facilités de l'approcher que les autres, étant donné que c’était la meilleure amie de ma tante, elle venait beaucoup vers moi dès la fin du cours, n'arrêtant jamais de m'encourager, avec de petits gestes de sympathie. Mon amour pour elle ne faisait qu’augmenter. Annie et Coralie, étaient toutes les deux célibataires, elles sortaient souvent les mercredis soir, Coralie passait chez tatie, avant de retrouver leurs amants pendant leurs sorties nocturnes, Coralie avait toujours un mot gentil pour moi et venait me voir lorsque je faisais mes devoirs, elle posait sa main sur mon épaule et lisait ce j’écrivais puis repartait en me faisant un petit bisou sur la joue en me souhaitant bonne soirée. J’en ruminait de jalousie, je savais qu’elle sortait en me laissant seul avec mes pensées pour elle et une fois qu’elle quittait l’appartement, je me masturbais.
Dès la rentrée de janvier, je ne vis plus Coralie au lycée, je m’en étais inquiété auprès de Tatie qui m’avait expliqué qu’elle était mutée suite à une relation qu’elle avait entretenue avec le jeune professeur de gymnastique. Je l’avais très mal vécu, j’étais triste de ne plus la revoir car le lycée où elle enseignait, se trouvait à plus de 50 km. Même chez Tatie, elle ne venait pratiquement plus, d’une à deux fois par semaine, elle ne passait que tous les mois et encore. Je me décidai donc d’en parler à Annie et je lui avouai que j’étais amoureux de Coralie et que sans elle, je me sentais très mal et j’avais des difficultés de l’admettre. Ma tante fut très compatissante avec moi mais elle m’expliqua que mon amour pour cette femme ne pourrait jamais commencer, que ce n’était qu’un fantasme et que jamais Coralie ne serait amoureuse de moi. Elle avait une vie sexuelle très bien remplie et qu’elle ne la voyait pas vivre avec moi, il fallait que je trouve rapidement une fille de mon âge afin de faire l’amour pour oublier Coralie :
— Il y en a beaucoup dans la cour mon chéri qui n’attendent qu’un signe de toi. Tu sais, j’ai des oreilles et je les entends parler de toi. Ne t’inquiète pas, tu vas trouver.
Deux mois étaient passés lorsque Coralie revint à la maison rendre une petite visite à ma tante, elles étaient toutes les deux installées dans le salon lorsque je suis rentré du lycée. Dès que je l’ai aperçu, mon visage s’était illuminé, elles l’avaient tout de suite remarqué, je m’étais précipité vers Coralie. Me voyant ainsi, elle s’était levée et me fit face, je l’ai prise dans mes bras, lui enserrant le dos, en posant ma tête de profil sur sa poitrine, je la serrai fort quelques secondes avant de dire :
— Vous m’avez tellement manqué Madame Coralie.
— À moi aussi tu m’as manqué tu sais. Ici, tu peux m’appeler Coralie, je ne suis plus ton professeur mais ton amie. Comment ça va les cours, tu t’en sors ?
Après une petite conversation banale sans intérêt, j’étais retourné dans ma chambre, afin de faire mes devoirs, les deux femmes étaient restées au salon discuter de leurs histoires de cœurs et de cul, elles en avaient à se dire depuis le temps qu’elles ne s’étaient pas vues. Ce que je ne savais pas, c’était que leur sujet de conversation fut en grande partie à mon sujet.
Je fus agréablement surpris lorsque Tatie était venue me dire que la table était prête et que Coralie restait avec nous toute la soirée. Étant en bout de table, j’avais Coralie à ma droite et Tatie en face de moi. Très souvent, elle me posait la main sur la mienne et me posait des questions sur mon année scolaire. Je ressentais au plus profond de moi, des sensations au contact de sa peau, mon attirance pour elle devenait de plus en plus insupportable. Lorsque Tatie dû aller à la cuisine, Coralie posa sa main sur ma cuisse nue, juste en dessous de mon short, je ressentis comme une décharge électrice, elle se pencha vers moi, toujours sa main sur moi en disant :
— Il parait que tu es amoureux ?
— Madame ! Je ne peux pas vous...
— Appelle-moi Coralie, tu veux bien ?
Annie était revenue s’assoir et nous avions repris la conversation initiale, la main de ma voisine avait quitté ma cuisse et j’en étais désolé mais dans mon short, les choses n’étaient pas si simples, ma verge avait pris du volume et se sentait à l’étroit. Je n’avais d’yeux que pour elle, ses seins de profils étaient là qui semblaient vouloir sortir de son corsage blanc largement décolleté. Les regards qu’elle jetait sur moi m’enflammait, chaque sourire qu’elle me faisait me brûlait les entrailles, je buvais ses paroles lorsqu’elle s’adressait à moi.
Une fois le repas terminé et la table débarrassé, j’eus très peur que Coralie reparte. Mon visage était devenu triste mais lorsque j’appris que mon ancienne professeure restait dormir à la maison, je retrouvai vite le sourire. Les deux amies s’en étaient rendu compte et ce fut à partir de ce moment que les choses se compliquèrent. Elles s’étaient réinstallées au salon et m’attendaient, je n’osais pas me mettre debout afin de ne pas dévoiler l’énorme bosse poussant le fin tissu de mon short. Tatie était venue me prendre par la main et m’emmena, j’avais honte de ce que je leur dévoilais.
Coralie était au milieu du divan et me fit signe, en montrant le coussin à côté d’elle, de m’assoir. Annie reprit la place sur le fauteuil et annonça qu’elle avait rendez-vous ce soir avec son amant mais qu’elle restait encore un peu avec nous en attendant l’heure J. Toujours sans tabou et sans gêne, elle parla de sa relation sexuelle avec Richard un nouveau prétendant, dans les moindres détails et nous écoutions avec attention. Coralie avait posé une nouvelle fois sa main sur ma cuisse, mais celle-ci ne restait pas immobile, délicatement, elle glissait sa paume, de mon genou, au haut de ma cuisse, je croyais que j’allais exploser tellement cela me faisait durcir ma queue qui était au maximum de son érection. Pendant les vingt minutes du récit érotique de Tatie, Coralie me caressait, elle ne s’en rendait même pas compte mais moi je bouillonnais dans mon short.
Annie s’était enfin arrêtée de discuter, nous fit la bise en nous souhaitant bonne nuit puis sortit de l’appartement. J’étais pris entre deux sentiments, la joie d’être enfin avec la femme que j’adorais et la peur de rester seul avec elle. Coralie voulut me mettre l’aise tout de suite, elle se tourna légèrement de trois-quarts me fixant droit dans les yeux. Elle me dit qu’Annie lui avait dit toute la vérité sur ma première masturbation, la grosseur de mon sexe, et les nombreuses fois qu’elle m’avait aidé à me faire éjaculer. En ce qui concernait notre amour, elle m’avait bien annoncé que c’était impossible :
— Elle a raison Annie mon chéri, ce n’est qu’un fantasme sexuel, tu dois passer à autre chose.
— Mais je vous aime Coralie, vous me mettez dans un de ces états, chaque fois que je pense à vous.
— As-tu déjà fait l’amour avec une fille ?
— Non !!! Coralie.
— Annie t’a aidé à ta première branlette, serais-tu d’accord que je sois ta première fois ?
— Comment serait-ce possible enfin ?
— Grégoire ! Veux-tu que je te dépucelle ?
Elle n’attendit pas ma réponse, elle se pencha sur moi et me déposa un baiser sur mes lèvres, elle passa sa langue sur ma bouche qui restait fermée mais força le passage. Elle m’avait tout contre elle, nous nous embrassions pendant plus d’une minute, puis me retira mon teeshirt et se mise à genoux au sol pour me retirer mon short. Mon pénis, tel un élastique, se banda devant elle :
— Mon Dieu ! Quelle bite, tu as !!!
Je n’en pouvais plus, dès qu’elle m’enserra ma queue dans sa main, pour l’avaler dans sa bouche, je n’ai pu me contrôler, les jets de spermes s’éjectèrent de ma verge qui était devenue incontrôlable. Elle avait tout reçu sur sa gorge et entre les seins par le décolleté de son corsage. J’avais honte, je ne savais plus où me mettre, j’avais les larmes aux yeux et j’allais m’effondrer :
— C’est bien me dit-elle, il fonctionne à la perfection. Dit-elle avec humour.
C’était les mots et le ton qu’il fallait que j’entende, cela ne l’avait pas du tout étonné et me rassura. Elle souriait en se levant, elle me prit par la main et m’emmena à la salle de bain :— Ce n’est pas de la précocité, ça fait trois heures que tu es sous pression, c’est de ma faute, j’aurais dû m’en douter. Viens, préparons-nous et je viens me coucher avec toi. Si tu es d’accord ?
— Quelle question Coralie, ça fait un an que j’en rêve toutes les nuits, je me branle plusieurs fois par jour en pensant te faire l’amour.
Ma nuit fut magique, si je n’étais pas parvenu à la faire jouir lors de mon dépucelage, les trois fois suivantes, Coralie en grande experte m’avait expliqué comment il fallait que je m’y prenne. Je ne saurais dire combien de fois elle avait crié, en inondant les draps cette nuit-là, mais d’après les propos qu’elle avait tenu à Annie, lorsque celle-ci était rentrée à 4 heures du matin, elle était radieuse et comblée. « C’est un futur étalon, il est fait pour l’amour. » avait-elle dit.
Quatre années étaient passées et je voyais toujours régulièrement ma Tante Annie pendant les vacances, même si elle n’avait plus besoin de me masturber comme par le passé, nous étions tout de même très proches sans jamais avoir eu de relations sexuelles mais nous aimions nous prendre dans les bras et nous faire quelques baisers sur la bouche mais sans jamais mettre notre langue. C’était une relation affectueuse forte et tactile.
Lorsque je suis rentré en seconde, résident à la campagne, il m’avait fallu aller au lycée dans la ville où habitait Tatie, ce fut tout naturellement que l’amie d’enfance de ma mère : Annie se proposa de m’héberger la semaine, tout en s’occupant de mes études, car elle était prof dans le lycée où j’étais inscris. Très rapidement, je suis tombé amoureux de ma professeure d’histoire-géo. Cette belle femme que je voyais en classe était également une très bonne amie de Tatie, elle venait au moins une fois par semaine chez Annie. Je la trouvais sublime, mais une fois encore, cette femme si désirable avait une vingtaine d’années de plus que moi. En classe elle nous laissait voir sa personnalité, elle était très cultivée, passionnée par son travail, exigeante mais savait plaisanter tout en nous faisant travailler, elle restait à notre écoute, et que dire de son physique ? elle était tout simplement magnifique.
Je trouvais cette jeune femme splendide, plantureuse, élégante ayant de jolies formes, sa poitrine d’un 90 D en faisait rêver plus d’un, autant chez les élèves que chez les professeurs. En tout cas, ayant beaucoup plus de facilités de l'approcher que les autres, étant donné que c’était la meilleure amie de ma tante, elle venait beaucoup vers moi dès la fin du cours, n'arrêtant jamais de m'encourager, avec de petits gestes de sympathie. Mon amour pour elle ne faisait qu’augmenter. Annie et Coralie, étaient toutes les deux célibataires, elles sortaient souvent les mercredis soir, Coralie passait chez tatie, avant de retrouver leurs amants pendant leurs sorties nocturnes, Coralie avait toujours un mot gentil pour moi et venait me voir lorsque je faisais mes devoirs, elle posait sa main sur mon épaule et lisait ce j’écrivais puis repartait en me faisant un petit bisou sur la joue en me souhaitant bonne soirée. J’en ruminait de jalousie, je savais qu’elle sortait en me laissant seul avec mes pensées pour elle et une fois qu’elle quittait l’appartement, je me masturbais.
Dès la rentrée de janvier, je ne vis plus Coralie au lycée, je m’en étais inquiété auprès de Tatie qui m’avait expliqué qu’elle était mutée suite à une relation qu’elle avait entretenue avec le jeune professeur de gymnastique. Je l’avais très mal vécu, j’étais triste de ne plus la revoir car le lycée où elle enseignait, se trouvait à plus de 50 km. Même chez Tatie, elle ne venait pratiquement plus, d’une à deux fois par semaine, elle ne passait que tous les mois et encore. Je me décidai donc d’en parler à Annie et je lui avouai que j’étais amoureux de Coralie et que sans elle, je me sentais très mal et j’avais des difficultés de l’admettre. Ma tante fut très compatissante avec moi mais elle m’expliqua que mon amour pour cette femme ne pourrait jamais commencer, que ce n’était qu’un fantasme et que jamais Coralie ne serait amoureuse de moi. Elle avait une vie sexuelle très bien remplie et qu’elle ne la voyait pas vivre avec moi, il fallait que je trouve rapidement une fille de mon âge afin de faire l’amour pour oublier Coralie :
— Il y en a beaucoup dans la cour mon chéri qui n’attendent qu’un signe de toi. Tu sais, j’ai des oreilles et je les entends parler de toi. Ne t’inquiète pas, tu vas trouver.
Deux mois étaient passés lorsque Coralie revint à la maison rendre une petite visite à ma tante, elles étaient toutes les deux installées dans le salon lorsque je suis rentré du lycée. Dès que je l’ai aperçu, mon visage s’était illuminé, elles l’avaient tout de suite remarqué, je m’étais précipité vers Coralie. Me voyant ainsi, elle s’était levée et me fit face, je l’ai prise dans mes bras, lui enserrant le dos, en posant ma tête de profil sur sa poitrine, je la serrai fort quelques secondes avant de dire :
— Vous m’avez tellement manqué Madame Coralie.
— À moi aussi tu m’as manqué tu sais. Ici, tu peux m’appeler Coralie, je ne suis plus ton professeur mais ton amie. Comment ça va les cours, tu t’en sors ?
Après une petite conversation banale sans intérêt, j’étais retourné dans ma chambre, afin de faire mes devoirs, les deux femmes étaient restées au salon discuter de leurs histoires de cœurs et de cul, elles en avaient à se dire depuis le temps qu’elles ne s’étaient pas vues. Ce que je ne savais pas, c’était que leur sujet de conversation fut en grande partie à mon sujet.
Je fus agréablement surpris lorsque Tatie était venue me dire que la table était prête et que Coralie restait avec nous toute la soirée. Étant en bout de table, j’avais Coralie à ma droite et Tatie en face de moi. Très souvent, elle me posait la main sur la mienne et me posait des questions sur mon année scolaire. Je ressentais au plus profond de moi, des sensations au contact de sa peau, mon attirance pour elle devenait de plus en plus insupportable. Lorsque Tatie dû aller à la cuisine, Coralie posa sa main sur ma cuisse nue, juste en dessous de mon short, je ressentis comme une décharge électrice, elle se pencha vers moi, toujours sa main sur moi en disant :
— Il parait que tu es amoureux ?
— Madame ! Je ne peux pas vous...
— Appelle-moi Coralie, tu veux bien ?
Annie était revenue s’assoir et nous avions repris la conversation initiale, la main de ma voisine avait quitté ma cuisse et j’en étais désolé mais dans mon short, les choses n’étaient pas si simples, ma verge avait pris du volume et se sentait à l’étroit. Je n’avais d’yeux que pour elle, ses seins de profils étaient là qui semblaient vouloir sortir de son corsage blanc largement décolleté. Les regards qu’elle jetait sur moi m’enflammait, chaque sourire qu’elle me faisait me brûlait les entrailles, je buvais ses paroles lorsqu’elle s’adressait à moi.
Une fois le repas terminé et la table débarrassé, j’eus très peur que Coralie reparte. Mon visage était devenu triste mais lorsque j’appris que mon ancienne professeure restait dormir à la maison, je retrouvai vite le sourire. Les deux amies s’en étaient rendu compte et ce fut à partir de ce moment que les choses se compliquèrent. Elles s’étaient réinstallées au salon et m’attendaient, je n’osais pas me mettre debout afin de ne pas dévoiler l’énorme bosse poussant le fin tissu de mon short. Tatie était venue me prendre par la main et m’emmena, j’avais honte de ce que je leur dévoilais.
Coralie était au milieu du divan et me fit signe, en montrant le coussin à côté d’elle, de m’assoir. Annie reprit la place sur le fauteuil et annonça qu’elle avait rendez-vous ce soir avec son amant mais qu’elle restait encore un peu avec nous en attendant l’heure J. Toujours sans tabou et sans gêne, elle parla de sa relation sexuelle avec Richard un nouveau prétendant, dans les moindres détails et nous écoutions avec attention. Coralie avait posé une nouvelle fois sa main sur ma cuisse, mais celle-ci ne restait pas immobile, délicatement, elle glissait sa paume, de mon genou, au haut de ma cuisse, je croyais que j’allais exploser tellement cela me faisait durcir ma queue qui était au maximum de son érection. Pendant les vingt minutes du récit érotique de Tatie, Coralie me caressait, elle ne s’en rendait même pas compte mais moi je bouillonnais dans mon short.
Annie s’était enfin arrêtée de discuter, nous fit la bise en nous souhaitant bonne nuit puis sortit de l’appartement. J’étais pris entre deux sentiments, la joie d’être enfin avec la femme que j’adorais et la peur de rester seul avec elle. Coralie voulut me mettre l’aise tout de suite, elle se tourna légèrement de trois-quarts me fixant droit dans les yeux. Elle me dit qu’Annie lui avait dit toute la vérité sur ma première masturbation, la grosseur de mon sexe, et les nombreuses fois qu’elle m’avait aidé à me faire éjaculer. En ce qui concernait notre amour, elle m’avait bien annoncé que c’était impossible :
— Elle a raison Annie mon chéri, ce n’est qu’un fantasme sexuel, tu dois passer à autre chose.
— Mais je vous aime Coralie, vous me mettez dans un de ces états, chaque fois que je pense à vous.
— As-tu déjà fait l’amour avec une fille ?
— Non !!! Coralie.
— Annie t’a aidé à ta première branlette, serais-tu d’accord que je sois ta première fois ?
— Comment serait-ce possible enfin ?
— Grégoire ! Veux-tu que je te dépucelle ?
Elle n’attendit pas ma réponse, elle se pencha sur moi et me déposa un baiser sur mes lèvres, elle passa sa langue sur ma bouche qui restait fermée mais força le passage. Elle m’avait tout contre elle, nous nous embrassions pendant plus d’une minute, puis me retira mon teeshirt et se mise à genoux au sol pour me retirer mon short. Mon pénis, tel un élastique, se banda devant elle :
— Mon Dieu ! Quelle bite, tu as !!!
Je n’en pouvais plus, dès qu’elle m’enserra ma queue dans sa main, pour l’avaler dans sa bouche, je n’ai pu me contrôler, les jets de spermes s’éjectèrent de ma verge qui était devenue incontrôlable. Elle avait tout reçu sur sa gorge et entre les seins par le décolleté de son corsage. J’avais honte, je ne savais plus où me mettre, j’avais les larmes aux yeux et j’allais m’effondrer :
— C’est bien me dit-elle, il fonctionne à la perfection. Dit-elle avec humour.
C’était les mots et le ton qu’il fallait que j’entende, cela ne l’avait pas du tout étonné et me rassura. Elle souriait en se levant, elle me prit par la main et m’emmena à la salle de bain :— Ce n’est pas de la précocité, ça fait trois heures que tu es sous pression, c’est de ma faute, j’aurais dû m’en douter. Viens, préparons-nous et je viens me coucher avec toi. Si tu es d’accord ?
— Quelle question Coralie, ça fait un an que j’en rêve toutes les nuits, je me branle plusieurs fois par jour en pensant te faire l’amour.
Ma nuit fut magique, si je n’étais pas parvenu à la faire jouir lors de mon dépucelage, les trois fois suivantes, Coralie en grande experte m’avait expliqué comment il fallait que je m’y prenne. Je ne saurais dire combien de fois elle avait crié, en inondant les draps cette nuit-là, mais d’après les propos qu’elle avait tenu à Annie, lorsque celle-ci était rentrée à 4 heures du matin, elle était radieuse et comblée. « C’est un futur étalon, il est fait pour l’amour. » avait-elle dit.
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