Mon divorce… mon avocat (chéri)… suite
Récit érotique écrit par Bourgeoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon divorce… mon avocat (chéri)… suite
Sur le trottoir désert et obscur, il me prend par les épaules et m’embrasse furtivement et me dit doucement :
-ici, je te veux plutôt amoureuse que salope, plutôt fiancée que cliente, je peux compter sur toi ?
-je ferai de mon mieux, mais ne m’excite pas trop !
Le restaurant est plutôt de style romantique, lumières tamisées, musique douce…
Un serveur nous mène vers une table assez isolée en demandant l’avis de mon fiancé du moment qui sourit pour témoigner son accord.
Nous nous installons côte à côte contre le mur alors que deux autres services sont disposés en face de nous. Pour prendre la commande, un serveur colle sa cuisse contre mon épaule et je suis obligée, en m’éloignant de lui de me blottir contre mon fiancé qui passa commande comme si de rien n’était.
Quand nous restons seuls, je sens sa main sur ma joue, puis sur mon cou, alors que son autre main prend mes épaules.
-arrête, stp, arrête chéri…
-tu n’aimes pas ?
-si, mais je suis si bien contre ton épaule de fiancé, j’adore…
-tu n’as pas été fiancée ?
-si, mais pas assez…
Il se contenta alors de caresser ma joue et mes cheveux en me parlant d’amour, me faisant vivre un moment ce dont la vie m’a privée : le grand amour.
Pendant que le repas est servi, je continue à jouer le grand amour, le faisant croire aux autres et un peu aussi à moi-même… Une vendeuse de roses nous offrit même une rose rouge, je la trouvais si bien arrivée que je lui ai donné un billet, en plus d’une bise.
Alors que nous mangions nos salades, une dame dépassant la quarantaine s’approcha de nous, embrassa mon fiancé sans gêne, avant de me faire une bise mouillée sur le bout des lèvres et nous dit que la seule table qu’elle pouvait partager était la nôtre…
-mon copain et moi serions heureux de nous joindre à vous…
Mon fiancé de la soirée, qui la connaissait bien, hocha la tête sans rien dire, et comme elle me regarde en souriant, et je suis obligée de confirmer de mon côté…
Avec son copain, ils prennent les deux chaises restantes à notre table, elle face à mon fiancé, et son jeune copain, qui pourrait être son fils, se retrouve en face de moi.
Il semble d’abord anxieux, avant que sa compagne ne pose sa tête sur son épaule, et que ses mains sont cachées par la table. Elle lui chuchote quelque chose, et il devient plus souriant.
S’adressant à mon amant, elle dit :
-Taoufik, c’est mon chéri, il est bientôt docteur…
-Maria, ma fiancée, est commerciale…
-Je vois que tu as toujours bon goût, dit-elle en riant… Tu es d’accord chéri ?
-euh… oui oui… vous êtes très belle… mais je ne connais pas les autres…
-Mais il a voulu me draguer pendant plus d’un an…
-Je vois, dit Taoufik en souriant…
-C’est qu’elle résiste…
(Il m’expliquera plus tard qu’elle a toujours dit NON, avant de commencer un baiser, avant de se laisser déshabiller, avant de se faire pénétrer. Non, il ne faut pas… Non, je n’aime pas avant de sucer… Non, j’ai des enfants, avant de se faire tripoter les seins… Non, c’est humiliant avant de se faire enculer… Non, nous ne sommes pas mariés avant un coït… Non, arrêtons nos erreurs, avant qu’il ne lui fixe rendez-vous… Elle a toujours le NON à placer comme une virgule… Le dernier avait été catégorique : Non, je ne suis plus seule)
Le repas est copieux, et pour nous faire boire beaucoup, il est assez pimenté. A part quelques rires un peu forts, l’ambiance est plutôt intime, et nos vis-à-vis n’hésitent pas à s’embrasser fougueusement et passionnément sans aucune gêne. La femme en profite pour tendre une jambe en avant en faisant tomber sa chaussure. Mon ‘fiancé’ me montre son pied sur sa cuisse, avant de le caresser doucement.
Quand leur baiser s’arrête, je gratte la plante du pied de mon ongle, et à sa réaction, un clin d’œil me suffit pour lui dire : je t’ai prise le pied dans…
-Tu es jalouse dit-elle en éclatant de rire…
-Pas du tout, je suis fière de mon fiancé dis-je en riant aussi…
Puis le sujet devient celui des hommes, qui se disent confiants, et qu’un geste peut vite arriver… Puis mon fiancé parle de partage…
-comme si tu parlais d’objets, non ! dit Taoufik dont les paroles montrent déjà l’effet évident de l’alcool sur sa langue
-moi, ça ne me gêne pas d’être l’objet pour elles, et toi ?
-Bon, on va prendre un dernier verre chez moi et terminer cette discussion…
Puis, en s’adressant à moi, dans le parking, elle dit en riant :
-on change de voitures ? et de chauffeurs ? hahaha !!!!
Sans attendre de réponse, elle s’était plaquée au bras de mon fiancé, en poussant son mec vers moi et il me prend sous son bras.
-mais tu vois ça, il l’embrasse, me dit-il…
-non, c’est elle qui l’embrasse, et je vais en faire autant, répondis-je, en le prenant par la nuque, en plaquant nos lèvres.
Notre baiser est fougueux et dure un long moment avant d’être interrompu par le claquement d’une portière. Nos partenaires allaient partir.
-dépêchons, me dit-il
-tu sais pas où on va ?
-si, bien sur…
Avant de monter, je relève ma robe pour ne pas la mouiller, et surtout pour montrer mes cuisses et mon pubis imberbe dont je connais les pouvoirs magiques. L’effet ne tarda pas, et dès que nous sommes dans le garage, il me retourne et me prend violemment dans une levrette tordue et sauvage, et son éjaculation un peu précoce me soulage. Et dès qu’il sort de la voiture, il se plie et vomit un bon coup.
La voix qui répond à l’interphone, celle de Nora, est un peu changée par la qualité de l’appareil :
-montez vite, on vous attend…
-tu parles…
Puis à moi
-tu crois qu’ils nous attendent ?
-on les a attendus, nous ?
-ils devaient nous attendre au garage… tu crois pas ?
-pourquoi, pour qu’on baise pas ? tu dis n’importe quoi…
-tu n’as pas jouis, je sais…
-c’est pas grave, entre nous, montons…
Dans l’ascenseur, il pleure sur mon épaule, et je le console en caressant ses cheveux. Une fois dans l’appartement, il est allé vomir encore et revient au salon.
-ça y est, tu as tout dit ?
-que tu m’as faite jouir en me prenant sauvagement comme j’aime, oui…Et je me jette sur sa bouche pour qu’il ne dise rien.
Mon ‘fiancé’, qui avait la tête sur la cuisse de Nora rhabillée lui suggère de me débarrasser de ma robe pour que je sois plus à l’aise, et comme il est sensé me connaître, j’approuve quand Taoufik me demande mon avis.
Dès que je suis nue, je m’approche de mon ‘fiancé’ que j’attire pour le lever de son oreiller (Nora), et dis à son copain :
-met la à l’aise comme moi… fais moi plaisir stp…
Il hésite un peu et dit à mon ‘fiancé’ :
-tu veux pas abuser d’elle devant moi, stp, j’aurais trop mal…
-mais non, je veux juste qu’elle soit à l’aise, comme ma chérie… regarde-la…
Quand je sens son regard sur moi, je me caresse les hanches en me cambrant, en lui souriant innocemment. Nora se lève et reste sur place sans bouger, il s’approche d’elle timidement en pleurnichant :
-Nora, je t’aime trop et…
-tu n’es pas fier de moi…
-mais si…
-montre-le mon chéri, montre-le moi d’abord…
Il ôta à peine les boutons qui restaient à sa chemise qu’elle la laissa tomber à ses pieds en nous tournant le dos, prolongeant pour moi le suspens pour ses seins. Quand il voulut lui retirer sa jupe, elle se pencha en avant, ressortit ses fesses et posa ses mains dessus, comme pour nous montrer qu’elle ne l’aidait pas.
Quand il s’est enfin acquitté de sa mission, elle se déhanche un peu et la laisse glisser à ses pieds, offrant le spectacle d’une belle silhouette droite et svelte. Son copain se mit alors devant elle et commença à l’embrasser furtivement. Elle profita de ce petit jeu pour le débarrasser de sa chemise et de son pantalon, et quand il voulut la serrer dans ses bras, elle lui dit :
-arrête, on me regarde…
-tu es gênée ?
-je crois qu’il y a quelqu’un qui est impatient de voir mes nichons, on lui montre ?
Et sans attendre de réponse, elle se retourna vers moi en relevant ses seins volumineux et un peu moins fermes que dans le temps (je suppose), mais gardant encore une belle allure.
-regarde comment cette salope rougit…
-de honte, ou de gêne… peut-être…
-mais d’envie chéri, tu ne comprends pas ?
Très vite, nous étions l’une contre l'autre, dans le baiser le plus fougueux de la soirée, à la découverte mutuelle de nos corps, alors que mon fiancé fumait tranquillement une cigarette…
Elle avait d’abord avalé un à un mes tétons, tantôt en les tétant, les léchant où les mordillant, alors que je n’ai pu que caresser ses cheveux en mettre sa coiffure dans un désordre total en criant mon plaisir… et quand elle attire mon visage vers son pubis rasé, je lui offre un cunni inédit en espérant lui rendre un peu de plaisir… et de douceur.et ce n’est que l’abondance de son jus de plaisir qui me confirme mon art.
Pour s’écrouler, elle rejoint le divan que mon fiancé n’avait pas quitté depuis notre arrivée, s’adosse à son torse et m’invite à la rejoindre d’un clin d’œil… je m’assoie entre ses jambes écartées et m’adosse à elle. Elle me caresse le ventre et prend mes deux seins en mains.
-tu es très douce, je te garderais bien pour la nuit…
-hummm, oui, toi aussi…
-tu as bien jouis avec mon copain ?
-on a baisé, oui…
-et tu as jouis ? dis moi ?
-pas vraiment, mais là ça va…
-on va voir ça, reprend ton cunni, chérie…
Un peu plus tard, je suis à plat-ventre sur le divan, alors qu’elle caresse affectueusement mon dos et mes fesses, mon fiancé tenant mes bras comme pour m’éviter de glisser en arrière. La caresse, d’abord dorsale atteint progressivement mes fesses, puis ma raie, avant qu’un doigt ne fasse le contour de mon petit trou…
-j’en connais que ça doit exciter, non ?
-oh oui, dit mon fiancé…
-non, toi je sais… mais Taoufik aussi, approche toi… le ton est plus autoritaire cette fois-ci, et l’homme est vraiment gêné, son membre est vraiment détendu. Elle lui ordonne de le déposer sur ma raie, le lèche un peu et le masturbe. Quand il devient un peu dur, elle lui dit :
-baise-la devant moi, vas-y
-mais il ne faut pas…
-et si tu le fais bien, je t’offrirai mes seins…
Je le sens alors à l’entrée de mon anus, le gland me pénètre à peine, et recule, mais quand j’entends une claque frapper une fesse la pénétration est franche, et la suite est une baise assistée par la fessée reçue par mon amant et les encouragements de Nora :
-oui chéri, encule moi cette salope…
Je ne sais pas si la fessée y a été pour quelque chose, mais il n’a pas été précoce cette fois-ci, bien au contraire… et notre soirée se terminera par la branlette espagnole qui fut sa récompense, et que nous avons observée, mon fiancé et moi tout en baisant en levrette.
Plus tard, Nora m’expliquera qu’elle avait profité de cette soirée pour initier son copain à la sodomie, elle me confiera aussi avoir été « fiancée » de mon chéri, à l’époque où elle avait divorcé.
En rentrant, mon avocat chéri s'excuse pour l'imprévu du dîner, je confirme que pour une première soirée, j'aurais préféré n'avoir que lui et n'être qu'à lui, mais que je comprenais sa nostalgie pour Nora, dont je prenais la place. Je lui confiai aussi que nous sommes d'accord pour une rencontre entre femmes.
A suivre
-ici, je te veux plutôt amoureuse que salope, plutôt fiancée que cliente, je peux compter sur toi ?
-je ferai de mon mieux, mais ne m’excite pas trop !
Le restaurant est plutôt de style romantique, lumières tamisées, musique douce…
Un serveur nous mène vers une table assez isolée en demandant l’avis de mon fiancé du moment qui sourit pour témoigner son accord.
Nous nous installons côte à côte contre le mur alors que deux autres services sont disposés en face de nous. Pour prendre la commande, un serveur colle sa cuisse contre mon épaule et je suis obligée, en m’éloignant de lui de me blottir contre mon fiancé qui passa commande comme si de rien n’était.
Quand nous restons seuls, je sens sa main sur ma joue, puis sur mon cou, alors que son autre main prend mes épaules.
-arrête, stp, arrête chéri…
-tu n’aimes pas ?
-si, mais je suis si bien contre ton épaule de fiancé, j’adore…
-tu n’as pas été fiancée ?
-si, mais pas assez…
Il se contenta alors de caresser ma joue et mes cheveux en me parlant d’amour, me faisant vivre un moment ce dont la vie m’a privée : le grand amour.
Pendant que le repas est servi, je continue à jouer le grand amour, le faisant croire aux autres et un peu aussi à moi-même… Une vendeuse de roses nous offrit même une rose rouge, je la trouvais si bien arrivée que je lui ai donné un billet, en plus d’une bise.
Alors que nous mangions nos salades, une dame dépassant la quarantaine s’approcha de nous, embrassa mon fiancé sans gêne, avant de me faire une bise mouillée sur le bout des lèvres et nous dit que la seule table qu’elle pouvait partager était la nôtre…
-mon copain et moi serions heureux de nous joindre à vous…
Mon fiancé de la soirée, qui la connaissait bien, hocha la tête sans rien dire, et comme elle me regarde en souriant, et je suis obligée de confirmer de mon côté…
Avec son copain, ils prennent les deux chaises restantes à notre table, elle face à mon fiancé, et son jeune copain, qui pourrait être son fils, se retrouve en face de moi.
Il semble d’abord anxieux, avant que sa compagne ne pose sa tête sur son épaule, et que ses mains sont cachées par la table. Elle lui chuchote quelque chose, et il devient plus souriant.
S’adressant à mon amant, elle dit :
-Taoufik, c’est mon chéri, il est bientôt docteur…
-Maria, ma fiancée, est commerciale…
-Je vois que tu as toujours bon goût, dit-elle en riant… Tu es d’accord chéri ?
-euh… oui oui… vous êtes très belle… mais je ne connais pas les autres…
-Mais il a voulu me draguer pendant plus d’un an…
-Je vois, dit Taoufik en souriant…
-C’est qu’elle résiste…
(Il m’expliquera plus tard qu’elle a toujours dit NON, avant de commencer un baiser, avant de se laisser déshabiller, avant de se faire pénétrer. Non, il ne faut pas… Non, je n’aime pas avant de sucer… Non, j’ai des enfants, avant de se faire tripoter les seins… Non, c’est humiliant avant de se faire enculer… Non, nous ne sommes pas mariés avant un coït… Non, arrêtons nos erreurs, avant qu’il ne lui fixe rendez-vous… Elle a toujours le NON à placer comme une virgule… Le dernier avait été catégorique : Non, je ne suis plus seule)
Le repas est copieux, et pour nous faire boire beaucoup, il est assez pimenté. A part quelques rires un peu forts, l’ambiance est plutôt intime, et nos vis-à-vis n’hésitent pas à s’embrasser fougueusement et passionnément sans aucune gêne. La femme en profite pour tendre une jambe en avant en faisant tomber sa chaussure. Mon ‘fiancé’ me montre son pied sur sa cuisse, avant de le caresser doucement.
Quand leur baiser s’arrête, je gratte la plante du pied de mon ongle, et à sa réaction, un clin d’œil me suffit pour lui dire : je t’ai prise le pied dans…
-Tu es jalouse dit-elle en éclatant de rire…
-Pas du tout, je suis fière de mon fiancé dis-je en riant aussi…
Puis le sujet devient celui des hommes, qui se disent confiants, et qu’un geste peut vite arriver… Puis mon fiancé parle de partage…
-comme si tu parlais d’objets, non ! dit Taoufik dont les paroles montrent déjà l’effet évident de l’alcool sur sa langue
-moi, ça ne me gêne pas d’être l’objet pour elles, et toi ?
-Bon, on va prendre un dernier verre chez moi et terminer cette discussion…
Puis, en s’adressant à moi, dans le parking, elle dit en riant :
-on change de voitures ? et de chauffeurs ? hahaha !!!!
Sans attendre de réponse, elle s’était plaquée au bras de mon fiancé, en poussant son mec vers moi et il me prend sous son bras.
-mais tu vois ça, il l’embrasse, me dit-il…
-non, c’est elle qui l’embrasse, et je vais en faire autant, répondis-je, en le prenant par la nuque, en plaquant nos lèvres.
Notre baiser est fougueux et dure un long moment avant d’être interrompu par le claquement d’une portière. Nos partenaires allaient partir.
-dépêchons, me dit-il
-tu sais pas où on va ?
-si, bien sur…
Avant de monter, je relève ma robe pour ne pas la mouiller, et surtout pour montrer mes cuisses et mon pubis imberbe dont je connais les pouvoirs magiques. L’effet ne tarda pas, et dès que nous sommes dans le garage, il me retourne et me prend violemment dans une levrette tordue et sauvage, et son éjaculation un peu précoce me soulage. Et dès qu’il sort de la voiture, il se plie et vomit un bon coup.
La voix qui répond à l’interphone, celle de Nora, est un peu changée par la qualité de l’appareil :
-montez vite, on vous attend…
-tu parles…
Puis à moi
-tu crois qu’ils nous attendent ?
-on les a attendus, nous ?
-ils devaient nous attendre au garage… tu crois pas ?
-pourquoi, pour qu’on baise pas ? tu dis n’importe quoi…
-tu n’as pas jouis, je sais…
-c’est pas grave, entre nous, montons…
Dans l’ascenseur, il pleure sur mon épaule, et je le console en caressant ses cheveux. Une fois dans l’appartement, il est allé vomir encore et revient au salon.
-ça y est, tu as tout dit ?
-que tu m’as faite jouir en me prenant sauvagement comme j’aime, oui…Et je me jette sur sa bouche pour qu’il ne dise rien.
Mon ‘fiancé’, qui avait la tête sur la cuisse de Nora rhabillée lui suggère de me débarrasser de ma robe pour que je sois plus à l’aise, et comme il est sensé me connaître, j’approuve quand Taoufik me demande mon avis.
Dès que je suis nue, je m’approche de mon ‘fiancé’ que j’attire pour le lever de son oreiller (Nora), et dis à son copain :
-met la à l’aise comme moi… fais moi plaisir stp…
Il hésite un peu et dit à mon ‘fiancé’ :
-tu veux pas abuser d’elle devant moi, stp, j’aurais trop mal…
-mais non, je veux juste qu’elle soit à l’aise, comme ma chérie… regarde-la…
Quand je sens son regard sur moi, je me caresse les hanches en me cambrant, en lui souriant innocemment. Nora se lève et reste sur place sans bouger, il s’approche d’elle timidement en pleurnichant :
-Nora, je t’aime trop et…
-tu n’es pas fier de moi…
-mais si…
-montre-le mon chéri, montre-le moi d’abord…
Il ôta à peine les boutons qui restaient à sa chemise qu’elle la laissa tomber à ses pieds en nous tournant le dos, prolongeant pour moi le suspens pour ses seins. Quand il voulut lui retirer sa jupe, elle se pencha en avant, ressortit ses fesses et posa ses mains dessus, comme pour nous montrer qu’elle ne l’aidait pas.
Quand il s’est enfin acquitté de sa mission, elle se déhanche un peu et la laisse glisser à ses pieds, offrant le spectacle d’une belle silhouette droite et svelte. Son copain se mit alors devant elle et commença à l’embrasser furtivement. Elle profita de ce petit jeu pour le débarrasser de sa chemise et de son pantalon, et quand il voulut la serrer dans ses bras, elle lui dit :
-arrête, on me regarde…
-tu es gênée ?
-je crois qu’il y a quelqu’un qui est impatient de voir mes nichons, on lui montre ?
Et sans attendre de réponse, elle se retourna vers moi en relevant ses seins volumineux et un peu moins fermes que dans le temps (je suppose), mais gardant encore une belle allure.
-regarde comment cette salope rougit…
-de honte, ou de gêne… peut-être…
-mais d’envie chéri, tu ne comprends pas ?
Très vite, nous étions l’une contre l'autre, dans le baiser le plus fougueux de la soirée, à la découverte mutuelle de nos corps, alors que mon fiancé fumait tranquillement une cigarette…
Elle avait d’abord avalé un à un mes tétons, tantôt en les tétant, les léchant où les mordillant, alors que je n’ai pu que caresser ses cheveux en mettre sa coiffure dans un désordre total en criant mon plaisir… et quand elle attire mon visage vers son pubis rasé, je lui offre un cunni inédit en espérant lui rendre un peu de plaisir… et de douceur.et ce n’est que l’abondance de son jus de plaisir qui me confirme mon art.
Pour s’écrouler, elle rejoint le divan que mon fiancé n’avait pas quitté depuis notre arrivée, s’adosse à son torse et m’invite à la rejoindre d’un clin d’œil… je m’assoie entre ses jambes écartées et m’adosse à elle. Elle me caresse le ventre et prend mes deux seins en mains.
-tu es très douce, je te garderais bien pour la nuit…
-hummm, oui, toi aussi…
-tu as bien jouis avec mon copain ?
-on a baisé, oui…
-et tu as jouis ? dis moi ?
-pas vraiment, mais là ça va…
-on va voir ça, reprend ton cunni, chérie…
Un peu plus tard, je suis à plat-ventre sur le divan, alors qu’elle caresse affectueusement mon dos et mes fesses, mon fiancé tenant mes bras comme pour m’éviter de glisser en arrière. La caresse, d’abord dorsale atteint progressivement mes fesses, puis ma raie, avant qu’un doigt ne fasse le contour de mon petit trou…
-j’en connais que ça doit exciter, non ?
-oh oui, dit mon fiancé…
-non, toi je sais… mais Taoufik aussi, approche toi… le ton est plus autoritaire cette fois-ci, et l’homme est vraiment gêné, son membre est vraiment détendu. Elle lui ordonne de le déposer sur ma raie, le lèche un peu et le masturbe. Quand il devient un peu dur, elle lui dit :
-baise-la devant moi, vas-y
-mais il ne faut pas…
-et si tu le fais bien, je t’offrirai mes seins…
Je le sens alors à l’entrée de mon anus, le gland me pénètre à peine, et recule, mais quand j’entends une claque frapper une fesse la pénétration est franche, et la suite est une baise assistée par la fessée reçue par mon amant et les encouragements de Nora :
-oui chéri, encule moi cette salope…
Je ne sais pas si la fessée y a été pour quelque chose, mais il n’a pas été précoce cette fois-ci, bien au contraire… et notre soirée se terminera par la branlette espagnole qui fut sa récompense, et que nous avons observée, mon fiancé et moi tout en baisant en levrette.
Plus tard, Nora m’expliquera qu’elle avait profité de cette soirée pour initier son copain à la sodomie, elle me confiera aussi avoir été « fiancée » de mon chéri, à l’époque où elle avait divorcé.
En rentrant, mon avocat chéri s'excuse pour l'imprévu du dîner, je confirme que pour une première soirée, j'aurais préféré n'avoir que lui et n'être qu'à lui, mais que je comprenais sa nostalgie pour Nora, dont je prenais la place. Je lui confiai aussi que nous sommes d'accord pour une rencontre entre femmes.
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