Mon enterrement de vie de garçons à garçons
Récit érotique écrit par Lolo-Bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon enterrement de vie de garçons à garçons
Moi, c'est Alex, j'ai 29 ans, je mesure 1m85 pour 77 kg, plutôt bien foutu, brun aux yeux verts, et un beau sourire avec des fossettes sur les deux joues qui ont beaucoup de succès. La semaine prochaine, je me marie avec une fille formidable que j'ai rencontrée il y a un peu plus d'1 an. J'ai décidé de céder à la tradition et de fêter mon enterrement de vie de garçon dans quelques jours avec une petite dizaine d'amis. Je pense que l'on va avoir droit à un bar avec gogo danseuse, et que l'on va bien déconner ! Mais en attendant, j'ai décidé de fêter ça de façon plus confidentielle avec deux amis très chers, deux amis qui ne se connaissent pas mais qui ont marqué ma vie à jamais. Cette soirée sera mon enterrement de vie de garçon à garçons, car mes deux amis sont des amis avec qui j'entretiens une relation sexuelle suivie et chaude à souhaits, entre hommes, pleine de pipes, de foutre et de sodomies qui me font encore bander rien que d'y penser…
Mon premier ami, c'est Benjamin. On a le même gabarit avec Benjamin et on se ressemble même, sauf qu'il a les cheveux très noirs, et un regard bleu pâle qu'il tient de sa mère kabyle. Benjamin et moi, on est copains de lycée, on s'est connus en Seconde, et on ne s'est pas quittés jusqu'en Terminale, jusqu'à ce que l'on parte faire nos études chacun de notre côté. On est restés en contact (même en contact très rapproché ou imbriqué…) tout le temps depuis, mais de façon très épisodique, le temps et les kilomètres faisant leur œuvre. Avec Benji, on s'est tout de suite entendus, que ce soit pour travailler et réviser ensemble, ou que ce soit pour faire du sport, on adorait tous les deux nager, et on était dans l'équipe de water-polo de notre ville, ou pour déconner de choses et d'autres. Je crois qu'on a toujours été attirés l'un par l'autre, même si on ne s'en est rendus compte qu'au bout d'un peu plus d'un an. A force de se doucher à poil dans les vestiaires, on n'avait plus vraiment de pudeur l'un envers l'autre, aussi quand on avait décidé de profiter de l'appartement de vacances de ma tante en fin de Première, on était assez naturellement passés sur la partie nudistes de la plage des Landes où on allait se baigner, et on se baladait même assez souvent nus dans l’appartement. Parfois le soir, on sortait et on ramenait des conquêtes mais toujours séparément, et l'appartement était fait de telle façon que l'on ne voyait pas qui ramenait qui. Souvent, c'est moi qui emballait une fille d'abord et qui rentrait en premier, et j'entendais alors Benji rentrer plus tard, seul ou accompagné, sans jamais avoir vu les nénettes qu'il arrivait à se faire. On plaisantait juste le matin en annonçant le poids estimé de notre conquête, comme dans le film « les bronzés » qu'on avait regardé à la télé le premier soir en arrivant. Et puis un soir par hasard, j'ai vu un mec qui sortait de sa chambre…
Le matin, on se retrouve vers 10h30 tous les deux au petit-déjeuner. On est nus, comme d'habitude en sortant de la salle de bains.
- J'ai vu un mec qui sortait de ta chambre.
- Ouais t'es jaloux ?
- T'es pédé Benji ?
- Faut croire ouais…
- Merde, pourquoi tu l'as pas dit ? Merde ! Merde mon meilleur pote est pédé et je passe mon été avec lui à poil, merde !
- J'étais sûr que tu le prendrais mal…
- Ce que je prends mal, c'est que tu me le dises pas, t'es trop con !
- C'est toi qu'es trop con avec tes certitudes et tes principes !
- Putain mais arrêtes, j'ai pas de problème avec ça…
Mais trop tard, Benji se lève pour retourner dans sa chambre. Merde, je suis effectivement trop con, j'ai dû le vexer ! Je pars dans sa chambre où je le trouve allongé en train de pleurer…
- Tu crois que c'est facile de dire comme ça à son meilleur ami qu'on est pédé ? Je veux pas qu'on ne soit plus amis.
- Mais arrête, pourquoi on ne serait plus amis, je m'en fous que tu sois pédé !
Mais Benji continue de pleurer, probablement soulagé de lâcher ce qu'il avait au fond de lui… Sans faire attention plus que ça à notre nudité, je viens m'allonger derrière lui pour le rassurer et le consoler. Il est choqué. Il est allongé sur un côté de son lit, recroquevillé sur le côté. Je me blottis contre lui pour le prendre dans mes bras. Nos corps nus sont serrés l'un contre l'autre et tout en discutant et en le consolant, je sens une érection qui monte inexorablement, et ma bite se retrouve bientôt toute droite, remontée le long de son cul. Je me dégage pour partir, mais Benji me retient :
- Non reste avec moi, j'ai besoin de t'entendre. C'est la première fois que je parle de ça, ça fait du bien.
- Oui, mais je vais aller m'habiller, je reviens, je te promets…
Et Benjamin se retourne d'un coup pour se coller contre moi et me tenir dans ses bras. Je sens sa bite tendue et humide elle aussi contre mon ventre !
- Sois pas gêné parce que tu bandes, moi aussi je bande.
- Putain Benji tu fais quoi ?!
- Tu bandes parce que tu sens mon corps contre le tien, et même plus précisément mon cul contre toi, et je bande parce que je sens ta bite qui remonte entre mes fesses. Tu me fais envie depuis que je t'ai vu Alex !
- …
- J'ai envie de toi et je suis presque certain que tu as aussi envie de moi, on s'entend trop bien tous les deux, y'a quelque chose entre nous j'en suis certain.
- Je sais pas quoi te dire Benji.
- Alors dis rien !
Et là, Benji m'embrasse, et je laisse sa langue entrer dans ma bouche et chercher ma langue, je laisse ses mains me caresser le dos, puis les fesses, puis venir saisir mon sexe en érection.
Je me souviens de cet épisode comme si c'était hier. Et je me souviens qu'au bout d'un long baiser, il est descendu le long de mon corps pour me sucer la bite, et que je l'ai laissé faire en gémissant de plaisir. Puis il ma poussé sur le dos, et il est venu me chevaucher, amenant sa rosette sur ma bite tout droite, et la guidant tout doucement en lui. Il s'est empalé sur mon manche et a commencé des mouvements de va et vient pour se faire baiser. Je me souviens qu'après m'avoir senti gicler dans son cul, Benji a joui à son tour, et que j'avais son foutre partout sur mon torse et jusque sur mon visage. Puis il s'est dégagé facilement de ma bite qui ramollissait, et il est venu lécher son sperme pour venir m'embrasser à nouveau. Il a continué comme ça à me lécher à à venir m'embrasser, tant et si bien que nos deux bites étaient à nouveau dures comme du bois. Là, il es remonté pour me présenter son sexe devant ma bouche.
- Tu veux essayer ? Tu verras c'est bon.
Sa bite est encore luisante de son foutre, mais j'en ai déjà goûté en l'embrassant, alors je me lance dans ma première pipe. Benji se met sur le dos, et il se tourne tête bêche pour qu'on commence un 69. Je suis plus excité que jamais. Quand je sens un doigt venir me passer sur l'anus, je sens des frissons me parcourir le corps, et quand la langue de Benjamin délaisse ma bite pour venir s'occuper de mon cul, les frissons se transforment en plaisir pur ! Je le laisse me travailler mon trou comme ça pendant une vingtaine de minutes, pendant lesquelles il alterne sa langue puis deux et trois doigts. Et quand je n'en peux plus de désir, il me fait mettre sur le dos, me remonte les jambes et il vient se positionner pour m'enculer. Il a un bel engin Benji, et je l'ai bien senti passer ! Mais il m'avait suffisamment détendu pour que ça me fasse pas mal plus que ça, et j'ai même pu jouir comme jamais de ma vie j'avais joui avant. On a passé notre dernière semaine à baiser régulièrement, même si on a encore ramené des partenaires chacun de notre côté. Et puis, on a continué comme ça toute l'année de Terminale, pendant laquelle on arrivait à se voir en gros une fois par semaine, même si là aussi, lui s'est dirigé vers une activité sexuelle 100 % gay, alors que moi je restais attiré par les filles.
Après deux ans d'école préparatoire pendant lesquelles j'ai bossé comme un dingue et où j'ai eu finalement pas beaucoup de vie amoureuse, j'ai intégré une grande école parisienne, et là je suis tombé sur Jean. Jean, comme Benjamin, a le même gabarit que moi, sauf qu'il n'est pas métissé kabyle comme Benjamin, mais qu'il est métissé japonais. Je crois que je suis attiré par les métisses… Du coup, sa peau est aussi foncée et quasiment sans poil, et il a un corps avec de longs muscles qui est trop excitant. Je l'avais repéré dès les premières semaines, puis on avait sympathisé là aussi à la piscine, où je pouvais admirer son corps mis en valeur dans un petit slip de bain sexy qui ne cachait rien de son anatomie. On est restés copains pendant 1 an, pendant lesquels j'ai vite compris très vite que Jean préférait les garçons mais on était restés copains et même devenus très amis sans aller plus loin. Et puis suite à une rupture amoureuse avec une fille, Jean m'a consolé dans son studio où je l'ai rejoint un soir de juin et où je lui ai raconté mon histoire avec Benjamin.
- Tu vois, les filles c'est compliqué, les mecs c'est quand même plus simple, et puis au moins avec un mec, tu peux baiser et te faire baiser, c'est plus varié.
- Là, c'est sûr que je suis un peu dégoûté des filles…
- C'est pas que je veux profiter de la situation, mais tu as besoin de lâcher prise là. On est super proches et je vois bien ce qui t'aiderait tu sais. Tu vas dormir là cette nuit, et ça ira mieux demain.
Et puis arriva ce qui devait arriver, je me suis retrouvé au petit matin blotti dans les bras de Jean, sa bite en érection coincée le long de mes fesses et ses mains me caressant le corps avec douceur. J'étais trop bien, et je l'ai laissé faire, poussant même mes fesses contre lui. Jean m'a enculé tout en douceur, gardant son corps tout contre le mien au maximum, j'avais besoin de chaleur humaine et je savais au fond de moi que je l'aimais à ma façon. Notre relation a ressemblé à celle que j'avais avec Benjamin : on se voyait régulièrement, lui entre deux mecs, et moi entre deux filles. Par contre, Jean s'est assez vite montré dominateur, et quand j'étais avec lui j'adorais jouer le jeu du mec obéissant. J'ai toujours pu l'enculer quand l'envie réciproque nous prenait, mais j'étais avant tout son trou à bite quand il était en manque de sexe. Toujours très doux avec moi, il n’amenait pourtant systématiquement où il voulait. Et ça a duré comme ça les deux dernières années d'école d'ingénieur, jusqu'à ce qu'on vive notre vie chacun de notre côté en trouvant un boulot lui à Marseille et moi sur Paris.
Pendant les 4 ans qui ont suivi, j'ai dû revoir Benjamin trois fois, et Jean quatre fois. A chaque fois pour une ou plusieurs nuits de folie… Il y a un peu moins d'un an j'ai rencontré la femme de ma vie et on doit se marier. Mais je me dois de revoir mes deux amours masculins une dernière fois, et je leur ai demandé séparément de venir me rejoindre à Toulouse où je suis en déplacement. Ils savent qu'un autre existe, mais ne le connaissent pas, et j'ai dans ma tête une dernière nuit entre hommes avec un plan à trois qu'ils ne pourront pas me refuser. Je les attends en sirotant un mojito au bar de mon hôtel où j'ai réservé une grande chambre. Quelle n'est pas ma surprise de les voir arriver ensemble en rigolant !
- Vous vous connaissez ?
- Qu'est-ce que tu crois Alex ? Ça fait même plusieurs années qu'on se connaît. Jean m'a trouvé quand vous vous fréquentiez et on a fait connaissance…
- Et Benjamin n'a pas été surpris quand je lui ai dit que tu aimais bien être dominé.
- On s'est revu quelques fois et on est resté en contact. Et quand tu nous as invité séparément, on a tout de suite su que tu mijotais quelque chose, aussi on t'a préparé une surprise, c'est nous qui avons décidé comment on passe la soirée !
- Mais j'ai une grande chambre…
- Ça on s'en doutait, et ça nous va très bien, c'est sûr qu'on avait pas prévu de juste sucer de la glace…
- J'ai hâte de découvrir ce que vous avez prévu pour moi.
On rigole. Et on monte dans ma chambre d'hôtel tous les trois. J'ai réservé une belle chambre avec un lit king size à l'américaine et une très belle salle de bain. On est bientôt à poil tous les trois à se savonner sous la douche, la bite bien raide et le regard bien chaud. Je suis pris en sandwich entre eux deux et je suis aux anges, j'ai mes deux Apollon rien que pour moi. Ils sont beaux, et l'un à côté de l'autre, on voit bien qu'ils se ressemblent, même taille, même gabarit, la même peau mate uniformément bronzée et épilée, des fesses superbes, une musculature présente et fine, et une bite au-dessus de la moyenne : 18-19cm qui ne demande qu'à être pris dans la bouche, ou dans le cul.
- D'abord tu vas nous sucer, et puis Jean rentre du Japon où il a passé 6 mois dans sa famille, et où il est revenu avec une technique de cordes et de nœuds que je suis impatient de découvrir !
- Je suis peut-être pas d'accord avec ce programme ?
- Cette nuit, tu vas obéir ! Et puis je sais que tu vas aimer ça, tu aimes trop faire ta pute Alex.
- Si tu veux rester du côté hétéro avec ta femme, tu dois d'abord payer d'avance tous les moments avec nous que tu comptes abandonner, alors tais-toi et suces !
Ce que je fais avec application… J'ai leur deux bites sous le nez, et je les suce à tour de rôle, pendant qu'il se roulent des pelles. Et puis on se sèche et on file sur le lit. Jean sort des cordes de son sac à dos, et c'est là que ma vraie aventure commence. Dans un premier temps, je suis bâillonné, à quatre pattes avec les mains attachées dans les dos. Jean m'a également saucissonné la bite et les couilles, qui sont bien serrées dans un cordage, ce qui m'excite comme jamais. Quelques oreillers me soutiennent le torse, et je dois en sucer un tandis que l'autre me bouffe le cul, ils savent tous les deux que c'est mon péché mignon ! Ils alternent régulièrement. De temps en temps, j'en ai un qui vient me sucer la queue, histoire de continuer à faire monter mon excitation. Au bout d'une 1/2 heure, on a déjà tous joui une fois, Benjamin et Jean dans ma bouche, et moi dans celle de Jean, quand Benjamin s'est mis à me travailler la prostate avec deux doigts…
Je suis maintenant mûr pour l'étape d'après : complètement ficelé dans des cordages qui me maintiennent sur le dos, les jambes en l'air, le cul offert à leur bon vouloir. Ils me défoncent comme ça pendant 2 heures, jouissant dans mes entrailles chacun deux fois, et m'amenant à chaque fois leur bite dégoulinant de sperme à nettoyer avec la langue. Je suis leur esclave (consentant) sexuel pendant une bonne partie de la nuit, et j'ai joui du cul comme jamais ça m'était arrivé… Après m'avoir libéré, on s'endort finalement tous les trois, épuisés par notre orgie.
Au petit matin, c'est Benjamin qui se réveille le premier et qui me reprend d'assaut, s'enfonçant sans problème au plus profond de moi, mon trou encore dégoulinant de leur foutre. Cette fois-ci, très excité et frustré de n'avoir pas pu jouir pendant que je me faisais baiser la nuit dernière, je suis bien décidé à lui rendre la pareille, et on permute pour que je puisse m'occuper de son cul. Je lui enduis son trou de salive aussi vite que je peux, et je commence à forcer son entrée, qui cède assez rapidement. C'est alors que Jean se décide à passer à l'action, en se positionnant derrière moi. Je comprends bien ce qu'il veut, et je ralentis le rythme pour le laisser m'enculer. Au final, nous sommes tous les trois allongés sur le côté, et c'est moi qui ondule du bassin pour sodomiser Benjamin à l'aller, tandis que je m'empale sur le gourdin de Jean au retour. Que du bonheur ! Je ne tiens pas très longtemps, et j'éjacule assez rapidement de longs jets de sperme dans le cul de Benjamin, dans un râle de soulagement et d'extase. Il se défait alors de mon emprise, me laissant entre les bras et les coups de boutoir de Jean, qui me fait mettre sur le ventre pour finir de s'occuper de moi sa bite aussi serrée que possible dans mon intimité qui a pourtant été bien détendue ces dernières heures... Il se lâche au bout d'une dizaine de minutes, non sans m'avoir fait jouir du cul une nouvelle fois. Je sens que je vais avoir du mal à m'asseoir dans les heures qui viennent, et je ne sais pas trop comment je vais faire pour cacher ça, mais on verra bien.
On se sépare après avoir fait salle de bain commune :
- Bon mariage donc ! On te souhaite beaucoup de bonheur, n'est-ce pas Benjamin ?
- Oui, c'est sincère, tu es un type bien et je suis sûr que tu seras un bon mari.
- Merci les gars vous êtes trop gentils. Même si vous m'avez bien défoncé là…
- Humm, c'était avec plaisir !
- Et attention Alex, pas de mecs maintenant…
- T'inquiète pas Benji, je suis réglo. Et puis y'a jamais eu que vous deux.
- Il a raison Benji, pas d'autres mecs vis à vis de ta femme, mais vis à vis de nous aussi, on doit rester les seuls, on est assez jaloux en fait.
- D'accord avec Jean, pas d'autres mecs. Bon, sauf l'un de nous, ou même tous les deux si tu as envie, ça c'est différent. On sait jamais.
- Ne vous inquiétez pas, je crois que vous aurez de mes nouvelles de temps en temps.
Mon premier ami, c'est Benjamin. On a le même gabarit avec Benjamin et on se ressemble même, sauf qu'il a les cheveux très noirs, et un regard bleu pâle qu'il tient de sa mère kabyle. Benjamin et moi, on est copains de lycée, on s'est connus en Seconde, et on ne s'est pas quittés jusqu'en Terminale, jusqu'à ce que l'on parte faire nos études chacun de notre côté. On est restés en contact (même en contact très rapproché ou imbriqué…) tout le temps depuis, mais de façon très épisodique, le temps et les kilomètres faisant leur œuvre. Avec Benji, on s'est tout de suite entendus, que ce soit pour travailler et réviser ensemble, ou que ce soit pour faire du sport, on adorait tous les deux nager, et on était dans l'équipe de water-polo de notre ville, ou pour déconner de choses et d'autres. Je crois qu'on a toujours été attirés l'un par l'autre, même si on ne s'en est rendus compte qu'au bout d'un peu plus d'un an. A force de se doucher à poil dans les vestiaires, on n'avait plus vraiment de pudeur l'un envers l'autre, aussi quand on avait décidé de profiter de l'appartement de vacances de ma tante en fin de Première, on était assez naturellement passés sur la partie nudistes de la plage des Landes où on allait se baigner, et on se baladait même assez souvent nus dans l’appartement. Parfois le soir, on sortait et on ramenait des conquêtes mais toujours séparément, et l'appartement était fait de telle façon que l'on ne voyait pas qui ramenait qui. Souvent, c'est moi qui emballait une fille d'abord et qui rentrait en premier, et j'entendais alors Benji rentrer plus tard, seul ou accompagné, sans jamais avoir vu les nénettes qu'il arrivait à se faire. On plaisantait juste le matin en annonçant le poids estimé de notre conquête, comme dans le film « les bronzés » qu'on avait regardé à la télé le premier soir en arrivant. Et puis un soir par hasard, j'ai vu un mec qui sortait de sa chambre…
Le matin, on se retrouve vers 10h30 tous les deux au petit-déjeuner. On est nus, comme d'habitude en sortant de la salle de bains.
- J'ai vu un mec qui sortait de ta chambre.
- Ouais t'es jaloux ?
- T'es pédé Benji ?
- Faut croire ouais…
- Merde, pourquoi tu l'as pas dit ? Merde ! Merde mon meilleur pote est pédé et je passe mon été avec lui à poil, merde !
- J'étais sûr que tu le prendrais mal…
- Ce que je prends mal, c'est que tu me le dises pas, t'es trop con !
- C'est toi qu'es trop con avec tes certitudes et tes principes !
- Putain mais arrêtes, j'ai pas de problème avec ça…
Mais trop tard, Benji se lève pour retourner dans sa chambre. Merde, je suis effectivement trop con, j'ai dû le vexer ! Je pars dans sa chambre où je le trouve allongé en train de pleurer…
- Tu crois que c'est facile de dire comme ça à son meilleur ami qu'on est pédé ? Je veux pas qu'on ne soit plus amis.
- Mais arrête, pourquoi on ne serait plus amis, je m'en fous que tu sois pédé !
Mais Benji continue de pleurer, probablement soulagé de lâcher ce qu'il avait au fond de lui… Sans faire attention plus que ça à notre nudité, je viens m'allonger derrière lui pour le rassurer et le consoler. Il est choqué. Il est allongé sur un côté de son lit, recroquevillé sur le côté. Je me blottis contre lui pour le prendre dans mes bras. Nos corps nus sont serrés l'un contre l'autre et tout en discutant et en le consolant, je sens une érection qui monte inexorablement, et ma bite se retrouve bientôt toute droite, remontée le long de son cul. Je me dégage pour partir, mais Benji me retient :
- Non reste avec moi, j'ai besoin de t'entendre. C'est la première fois que je parle de ça, ça fait du bien.
- Oui, mais je vais aller m'habiller, je reviens, je te promets…
Et Benjamin se retourne d'un coup pour se coller contre moi et me tenir dans ses bras. Je sens sa bite tendue et humide elle aussi contre mon ventre !
- Sois pas gêné parce que tu bandes, moi aussi je bande.
- Putain Benji tu fais quoi ?!
- Tu bandes parce que tu sens mon corps contre le tien, et même plus précisément mon cul contre toi, et je bande parce que je sens ta bite qui remonte entre mes fesses. Tu me fais envie depuis que je t'ai vu Alex !
- …
- J'ai envie de toi et je suis presque certain que tu as aussi envie de moi, on s'entend trop bien tous les deux, y'a quelque chose entre nous j'en suis certain.
- Je sais pas quoi te dire Benji.
- Alors dis rien !
Et là, Benji m'embrasse, et je laisse sa langue entrer dans ma bouche et chercher ma langue, je laisse ses mains me caresser le dos, puis les fesses, puis venir saisir mon sexe en érection.
Je me souviens de cet épisode comme si c'était hier. Et je me souviens qu'au bout d'un long baiser, il est descendu le long de mon corps pour me sucer la bite, et que je l'ai laissé faire en gémissant de plaisir. Puis il ma poussé sur le dos, et il est venu me chevaucher, amenant sa rosette sur ma bite tout droite, et la guidant tout doucement en lui. Il s'est empalé sur mon manche et a commencé des mouvements de va et vient pour se faire baiser. Je me souviens qu'après m'avoir senti gicler dans son cul, Benji a joui à son tour, et que j'avais son foutre partout sur mon torse et jusque sur mon visage. Puis il s'est dégagé facilement de ma bite qui ramollissait, et il est venu lécher son sperme pour venir m'embrasser à nouveau. Il a continué comme ça à me lécher à à venir m'embrasser, tant et si bien que nos deux bites étaient à nouveau dures comme du bois. Là, il es remonté pour me présenter son sexe devant ma bouche.
- Tu veux essayer ? Tu verras c'est bon.
Sa bite est encore luisante de son foutre, mais j'en ai déjà goûté en l'embrassant, alors je me lance dans ma première pipe. Benji se met sur le dos, et il se tourne tête bêche pour qu'on commence un 69. Je suis plus excité que jamais. Quand je sens un doigt venir me passer sur l'anus, je sens des frissons me parcourir le corps, et quand la langue de Benjamin délaisse ma bite pour venir s'occuper de mon cul, les frissons se transforment en plaisir pur ! Je le laisse me travailler mon trou comme ça pendant une vingtaine de minutes, pendant lesquelles il alterne sa langue puis deux et trois doigts. Et quand je n'en peux plus de désir, il me fait mettre sur le dos, me remonte les jambes et il vient se positionner pour m'enculer. Il a un bel engin Benji, et je l'ai bien senti passer ! Mais il m'avait suffisamment détendu pour que ça me fasse pas mal plus que ça, et j'ai même pu jouir comme jamais de ma vie j'avais joui avant. On a passé notre dernière semaine à baiser régulièrement, même si on a encore ramené des partenaires chacun de notre côté. Et puis, on a continué comme ça toute l'année de Terminale, pendant laquelle on arrivait à se voir en gros une fois par semaine, même si là aussi, lui s'est dirigé vers une activité sexuelle 100 % gay, alors que moi je restais attiré par les filles.
Après deux ans d'école préparatoire pendant lesquelles j'ai bossé comme un dingue et où j'ai eu finalement pas beaucoup de vie amoureuse, j'ai intégré une grande école parisienne, et là je suis tombé sur Jean. Jean, comme Benjamin, a le même gabarit que moi, sauf qu'il n'est pas métissé kabyle comme Benjamin, mais qu'il est métissé japonais. Je crois que je suis attiré par les métisses… Du coup, sa peau est aussi foncée et quasiment sans poil, et il a un corps avec de longs muscles qui est trop excitant. Je l'avais repéré dès les premières semaines, puis on avait sympathisé là aussi à la piscine, où je pouvais admirer son corps mis en valeur dans un petit slip de bain sexy qui ne cachait rien de son anatomie. On est restés copains pendant 1 an, pendant lesquels j'ai vite compris très vite que Jean préférait les garçons mais on était restés copains et même devenus très amis sans aller plus loin. Et puis suite à une rupture amoureuse avec une fille, Jean m'a consolé dans son studio où je l'ai rejoint un soir de juin et où je lui ai raconté mon histoire avec Benjamin.
- Tu vois, les filles c'est compliqué, les mecs c'est quand même plus simple, et puis au moins avec un mec, tu peux baiser et te faire baiser, c'est plus varié.
- Là, c'est sûr que je suis un peu dégoûté des filles…
- C'est pas que je veux profiter de la situation, mais tu as besoin de lâcher prise là. On est super proches et je vois bien ce qui t'aiderait tu sais. Tu vas dormir là cette nuit, et ça ira mieux demain.
Et puis arriva ce qui devait arriver, je me suis retrouvé au petit matin blotti dans les bras de Jean, sa bite en érection coincée le long de mes fesses et ses mains me caressant le corps avec douceur. J'étais trop bien, et je l'ai laissé faire, poussant même mes fesses contre lui. Jean m'a enculé tout en douceur, gardant son corps tout contre le mien au maximum, j'avais besoin de chaleur humaine et je savais au fond de moi que je l'aimais à ma façon. Notre relation a ressemblé à celle que j'avais avec Benjamin : on se voyait régulièrement, lui entre deux mecs, et moi entre deux filles. Par contre, Jean s'est assez vite montré dominateur, et quand j'étais avec lui j'adorais jouer le jeu du mec obéissant. J'ai toujours pu l'enculer quand l'envie réciproque nous prenait, mais j'étais avant tout son trou à bite quand il était en manque de sexe. Toujours très doux avec moi, il n’amenait pourtant systématiquement où il voulait. Et ça a duré comme ça les deux dernières années d'école d'ingénieur, jusqu'à ce qu'on vive notre vie chacun de notre côté en trouvant un boulot lui à Marseille et moi sur Paris.
Pendant les 4 ans qui ont suivi, j'ai dû revoir Benjamin trois fois, et Jean quatre fois. A chaque fois pour une ou plusieurs nuits de folie… Il y a un peu moins d'un an j'ai rencontré la femme de ma vie et on doit se marier. Mais je me dois de revoir mes deux amours masculins une dernière fois, et je leur ai demandé séparément de venir me rejoindre à Toulouse où je suis en déplacement. Ils savent qu'un autre existe, mais ne le connaissent pas, et j'ai dans ma tête une dernière nuit entre hommes avec un plan à trois qu'ils ne pourront pas me refuser. Je les attends en sirotant un mojito au bar de mon hôtel où j'ai réservé une grande chambre. Quelle n'est pas ma surprise de les voir arriver ensemble en rigolant !
- Vous vous connaissez ?
- Qu'est-ce que tu crois Alex ? Ça fait même plusieurs années qu'on se connaît. Jean m'a trouvé quand vous vous fréquentiez et on a fait connaissance…
- Et Benjamin n'a pas été surpris quand je lui ai dit que tu aimais bien être dominé.
- On s'est revu quelques fois et on est resté en contact. Et quand tu nous as invité séparément, on a tout de suite su que tu mijotais quelque chose, aussi on t'a préparé une surprise, c'est nous qui avons décidé comment on passe la soirée !
- Mais j'ai une grande chambre…
- Ça on s'en doutait, et ça nous va très bien, c'est sûr qu'on avait pas prévu de juste sucer de la glace…
- J'ai hâte de découvrir ce que vous avez prévu pour moi.
On rigole. Et on monte dans ma chambre d'hôtel tous les trois. J'ai réservé une belle chambre avec un lit king size à l'américaine et une très belle salle de bain. On est bientôt à poil tous les trois à se savonner sous la douche, la bite bien raide et le regard bien chaud. Je suis pris en sandwich entre eux deux et je suis aux anges, j'ai mes deux Apollon rien que pour moi. Ils sont beaux, et l'un à côté de l'autre, on voit bien qu'ils se ressemblent, même taille, même gabarit, la même peau mate uniformément bronzée et épilée, des fesses superbes, une musculature présente et fine, et une bite au-dessus de la moyenne : 18-19cm qui ne demande qu'à être pris dans la bouche, ou dans le cul.
- D'abord tu vas nous sucer, et puis Jean rentre du Japon où il a passé 6 mois dans sa famille, et où il est revenu avec une technique de cordes et de nœuds que je suis impatient de découvrir !
- Je suis peut-être pas d'accord avec ce programme ?
- Cette nuit, tu vas obéir ! Et puis je sais que tu vas aimer ça, tu aimes trop faire ta pute Alex.
- Si tu veux rester du côté hétéro avec ta femme, tu dois d'abord payer d'avance tous les moments avec nous que tu comptes abandonner, alors tais-toi et suces !
Ce que je fais avec application… J'ai leur deux bites sous le nez, et je les suce à tour de rôle, pendant qu'il se roulent des pelles. Et puis on se sèche et on file sur le lit. Jean sort des cordes de son sac à dos, et c'est là que ma vraie aventure commence. Dans un premier temps, je suis bâillonné, à quatre pattes avec les mains attachées dans les dos. Jean m'a également saucissonné la bite et les couilles, qui sont bien serrées dans un cordage, ce qui m'excite comme jamais. Quelques oreillers me soutiennent le torse, et je dois en sucer un tandis que l'autre me bouffe le cul, ils savent tous les deux que c'est mon péché mignon ! Ils alternent régulièrement. De temps en temps, j'en ai un qui vient me sucer la queue, histoire de continuer à faire monter mon excitation. Au bout d'une 1/2 heure, on a déjà tous joui une fois, Benjamin et Jean dans ma bouche, et moi dans celle de Jean, quand Benjamin s'est mis à me travailler la prostate avec deux doigts…
Je suis maintenant mûr pour l'étape d'après : complètement ficelé dans des cordages qui me maintiennent sur le dos, les jambes en l'air, le cul offert à leur bon vouloir. Ils me défoncent comme ça pendant 2 heures, jouissant dans mes entrailles chacun deux fois, et m'amenant à chaque fois leur bite dégoulinant de sperme à nettoyer avec la langue. Je suis leur esclave (consentant) sexuel pendant une bonne partie de la nuit, et j'ai joui du cul comme jamais ça m'était arrivé… Après m'avoir libéré, on s'endort finalement tous les trois, épuisés par notre orgie.
Au petit matin, c'est Benjamin qui se réveille le premier et qui me reprend d'assaut, s'enfonçant sans problème au plus profond de moi, mon trou encore dégoulinant de leur foutre. Cette fois-ci, très excité et frustré de n'avoir pas pu jouir pendant que je me faisais baiser la nuit dernière, je suis bien décidé à lui rendre la pareille, et on permute pour que je puisse m'occuper de son cul. Je lui enduis son trou de salive aussi vite que je peux, et je commence à forcer son entrée, qui cède assez rapidement. C'est alors que Jean se décide à passer à l'action, en se positionnant derrière moi. Je comprends bien ce qu'il veut, et je ralentis le rythme pour le laisser m'enculer. Au final, nous sommes tous les trois allongés sur le côté, et c'est moi qui ondule du bassin pour sodomiser Benjamin à l'aller, tandis que je m'empale sur le gourdin de Jean au retour. Que du bonheur ! Je ne tiens pas très longtemps, et j'éjacule assez rapidement de longs jets de sperme dans le cul de Benjamin, dans un râle de soulagement et d'extase. Il se défait alors de mon emprise, me laissant entre les bras et les coups de boutoir de Jean, qui me fait mettre sur le ventre pour finir de s'occuper de moi sa bite aussi serrée que possible dans mon intimité qui a pourtant été bien détendue ces dernières heures... Il se lâche au bout d'une dizaine de minutes, non sans m'avoir fait jouir du cul une nouvelle fois. Je sens que je vais avoir du mal à m'asseoir dans les heures qui viennent, et je ne sais pas trop comment je vais faire pour cacher ça, mais on verra bien.
On se sépare après avoir fait salle de bain commune :
- Bon mariage donc ! On te souhaite beaucoup de bonheur, n'est-ce pas Benjamin ?
- Oui, c'est sincère, tu es un type bien et je suis sûr que tu seras un bon mari.
- Merci les gars vous êtes trop gentils. Même si vous m'avez bien défoncé là…
- Humm, c'était avec plaisir !
- Et attention Alex, pas de mecs maintenant…
- T'inquiète pas Benji, je suis réglo. Et puis y'a jamais eu que vous deux.
- Il a raison Benji, pas d'autres mecs vis à vis de ta femme, mais vis à vis de nous aussi, on doit rester les seuls, on est assez jaloux en fait.
- D'accord avec Jean, pas d'autres mecs. Bon, sauf l'un de nous, ou même tous les deux si tu as envie, ça c'est différent. On sait jamais.
- Ne vous inquiétez pas, je crois que vous aurez de mes nouvelles de temps en temps.
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Belle histoire d'amitiés
Envie d'être a ta place
Être un garage a bites ça doit être jouissif
Belle histoire d'amitiés
Envie d'être a ta place
Être un garage a bites ça doit être jouissif
de jose salut a toi superbe histoire entre pote denvis de partage et de sexe merci
Super excitant. Quel kif! J'ai adoré. Vite la suite!
Très belle histoire, merci