Mon entraînement anal (1) - histoire érotique

Première partie: je découvre mon cul...

Bonjour à tous! Vous m'avez déjà peut-être découverte avec ma première histoire; si c'est le cas, voici la suite de mes aventures!
Pour les autres, je vous invite à me rencontrer au travers d'un précédent récit ou à poursuivre votre lecture: je ferais en sorte de ne pas vous perdre!

Suite à ma première expérience de domination virtuelle, j'ai continué à me connecter frénétiquement sur mon tchat de sexe. Je recherchais des Hommes, de ceux qui n'avaient pas peur de me mettre plus bas que terre pour mon grand plaisir. J'ai appris à sélectionner rapidement ceux qui pouvaient me satisfaire, leur donnant mes limites et mes envies.
J'ai compris que je ne voulais pas particulièrement suivre d'ordres: connaissant mon corps mieux que quiconque, je n'aime pas qu'on m'impose des fantasmes. Je refuse également systématiquement les pratiques anales, non pas par manque de désir mais par peur.

L'anal est en effet une pratique qui m'attire depuis très longtemps. Je suis un petit format, très sensible, et mon anus n'est pas capable de prendre une bite entière. Nos expériences avec mon fiancé se sont souvent soldées par un échec, malgré nos désirs. Je possède un plug anal très petit que j'arrive à rentrer, mais il est rare que j'y trouve la motivation nécessaire...

Ce jour là, tout allait changer...

Connectée comme à mon habitude avec un galant, je suis déjà toute mouillée rien que d'imaginer l'orgasme que je vais vivre. J'ai acheté récemment des boules de geisha et ai prit l'habitude de les porter parfois plusieurs heures avant de rejoindre mes prétendants. Nous discutons et il me fait savoir à quel point il aime sodomiser ses soumises. Il me décrit son sexe, long, proéminant, et les doux mouvements qu'il sait faire avec. M'informe qu'il aimerait me mettre ses doigts pour que je le sente bouger tout au fond de moi. J'ignore ce qu'il a allumé dans mon cerveau à cet instant là (est-ce sa prose particulièrement élaborée?) mais je met à penser à mon anus si injustement négligé. Serait-ce l'heure de lui donner sa chance? Je me sens soudain vide, comme s'il me manquait quelque chose... A cet instant, je suis déjà en train d'onduler sur mon gros gode, comme à mon habitude, et j'ai envie de tenter quelque chose. Après tout, je fantasme sur la double pénétration depuis si longtemps...

J'informe mon interlocuteur que je veux me soumettre à ses désirs et vais chercher mon plug. Je le lubrifie énormément pour qu'il glisse bien au fond de moi. Pour une fois, je ne bâcle pas cette étape: je veux me sentir pénétrée par tous les trous!
Avec appréhension, j'enfonce mon gode en moi. La réaction de mon corps est amusante: mon gros gode, écrasé par cette pression nouvelle, est éjecté hors de moi, provoquant une délicieuse réaction dans ma chatte. Je le renfonce sauvagement et soudain, je réalise: je suis totalement pleine, devant et derrière.

Mes jambes ne peuvent s'arrêter de trembler alors que mon cerveau se confond en extase. Cette sensation est divine. Le plaisir qui m'envahit à ce moment là n'a rien à voir avec ce que j'ai pu connaître avant. C'est donc cela être une vraie chienne soumise? Je ressens un sentiment de force incomparable: je pourrais ainsi satisfaire deux hommes en même temps? Ou même trois si on compte ma bouche! Oh, comme j'aimerai à ce moment avoir en face de moi une belle bite bien veineuse pour la sucer jusqu'au plus profond de ma gorge! J'imagine une horde d'hommes en chaleur se branler en me contemplant, fourrée jusqu'au plus profond de mon intimité, et commentant quelle jolie petite salope je fais. Je les branlerai tous avec mes mains, mes fesses, mes seins... Leur semence giclerai dans mes trous ouverts et sur mon visage et je serais enfin la pute comblée que j'aspire à devenir!

Je ne tarit pas de commentaires sur cette nouvelle expérience oh combien plaisante. Mon partenaire se réjouit de ma jouissance et m'encourage à me goder le cul, mais l'engin est encore un peu douloureux lorsque je le remue. Je jouis en me caressant le clito, comme un animal en rut incapable de se contenir. Ma mouille vient tâcher mon canapé et je me demande vaguement comment je vais pouvoir le camoufler à mon fiancé lorsqu'il rentrera. Si il sait que je me touche devant les mots d'inconnus, il ignore cependant à quel point je suis cochonne. Je ne sais si il aimerait me savoir soumise, mendiant pour quelques insultes...

Je pourrais vous dire qu'après cet orgasme gargantuesque, ma vie a reprit son cours normalement, mais ce serait vous mentir.
Le soir même, alors que je vais me coucher, je contemple mon petit gode, celui là même qui ne suffit plus à ma chatte. Il est plus long que mon plug mais moins épais. Il a une belle base qui me permettrait de m'enculer sans risques. Mon anus a déjà prit cher, j'ignore si je suis capable de recommencer, mais l'envie est bien trop pressante.
Je le lubrifie et le présente devant mon cul, curieuse et affamée.
Il me pénètre sans difficultés. J'apprécie la sensation qu'il me procure et je commence à faire des allers-retours, d'abord doux, puis de plus en plus violents. C'est comme si un homme me prenait, moi la chienne, et me punissait ainsi de trop aimer le sexe. La sodomie est brutale, humiliante, jouissive... Je me touche en même temps et, rapidement, je jouis grâce à mon cul.

Je suis à présent une salope anale, prête à tout pour se faire enculer une nouvelle fois...

Depuis une semaine, je n'envisage mes séances solitaires qu'en compagnie de mes deux godes, un dans chaque trou. Je prends tant de plaisir à décrire les sensations qu'ils me procurent!
Je commence même à être connue ainsi sur mon tchat, un galant venant régulièrement prendre des nouvelles de mon avancée dans la découverte sodomite!
J'ai décidé de tenir un journal de mon entraînement afin de vous informer de mes progrès!
N'hésitez pas à revenir lire mes exploits solitaires!