Mon entrée dans la vie active
Récit érotique écrit par Alexandresoumis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon entrée dans la vie active
Premier jour de travail ! Après des mois de recherche et mes diplômes en poche, j’ai enfin trouvé une PME d’une cinquantaine de personnes prête à me donner ma chance. J’arrive ce lundi à 8h et l’assistante de la chef de la communication m’attend déjà. Elle me fait visiter les locaux, me présente à mes nouveaux collègues et me laisse m’installer dans mon bureau. Avant de rejoindre le sien elle me dit : « Catherine est en rendez-vous à l’extérieur ce matin, elle passera vous voir dès son retour ».
Catherine c’est ma supérieure hiérarchique, une belle femme d’environ 35 ans avec qui j’ai passé un des trois entretiens d’embauche. Strict d’apparence, elle ne m’a pas laissé indifférent et je dois avouer qu’une fois l’entretien terminé je suis rentré chez moi me masturber en pensant à ses gros seins et ses fesses à croquer.
Fini les fantasmes, j’ai du pain sur la planche et je dois donner le meilleur de moi-même pour que ma période d’essai soit concluante.
Vers 11h30 Catherine frappe à la porte de mon bureau encore plus resplendissante que la dernière fois que je lai vue. Le bon adjectif serait « sexy » : un tailleur noir, chemise blanche et chaussure noires à talon. Un collier de perles nacrées et ses cheveux d’ébène tirés en arrière me font le plus grand effet.
« Bonjour Alexandre, vous êtes bien installé ? »
« Oui merci beaucoup Madame Fraioli ». Elle me coupe et me dit, « Appelez-moi Catherine comme tout le monde ici ». « Très bien Catherine, oui Clothilde m’a présenté à tout le monde et s’est bien occupée de moi. »
« Ah oui… elle s’est « bien occupée de vous… » »
La manière dont elle me retourne mes propos et son regard intense qui va de mes yeux à mon pantalon me troublent beaucoup.
« Je, heu… je veux dire qu’elle… a été très serviable ce matin »
« C’est la moindre des choses » me répond-elle. « Je n’ai pas passé des mois à éduquer cette petite salope pour rien ».
J’ouvre de grands yeux et ouvre la bouche avec un air de bêtise à l’écoute de propos si inattendus. Elle a bien dit « petite salope ? »
« Ne soyez pas si décontenancé Alexandre, il faut bien appeler un chat un chat, et puis vous verrez assez vite que je ne tiens jamais de propos sans fondement ».
Je la regarde avec toujours un air surpris qui commence à l’agacer.
« Elle se conduit avec beaucoup de liberté surtout quand un beau mâle est dans les parages et que je ne suis pas là pour la surveiller ». Et Catherine quitte on bureau sur ces mots que je n’aurais jamais cru entendre sortir de sa bouche.
Après la pause déjeuner passée avec quatre collègues qui m’ont gentiment invités à leur table habituelle dans un petit restaurant à deux minutes du travail, je reprend la rédaction d’une note que je dois rendre à 18h. Clothilde entre alors dans mon bureau et s’installe sur la chaise en face de mon bureau.
« Je peux te rendre service ? » dis-je
« Oh tu sais, je voulais parler un peu histoire qu’on se connaisse un peu mieux »
« Ah c’est gentil mais j’ai du travail urgent à terminer, on peut prendre un café un peu plus tard cet après-midi si tu veux ».
Elle me répond : « Tu parles de la note sur les nouveaux systèmes de conformité ? Catherine m’a demandé de te dire à ce sujet que… »
Tout en parlant elle se lève et vient à côté de moi et se penche sur mes dossiers. Tout en faisant mine de chercher un document en particulier dont je n’ai jamais eu connaissance elle fait glisser sa main gauche sur ma chemise et descend jusqu’à l’entre jambe. Une fois sa main posée sur mon sexe, elle me dit « peu importe ces nouveaux systèmes, allons à l’essentiel ». Interloqué, j’arrive quand même à enlever sa main mais elle commence à s’agripper à mon cou. Je tente de la repousser lorsqu’elle revient à la charge et replace sa main sur mon pantalon. Malgré le tissu je peux sentir sa paume et ses doigts chauds et il n’en faut pas plus pour m’exciter.
« Tu bandes déjà mon cochon » me dit-elle à l’oreille d’une voix sensuelle. « Il serait dommage de ne pas en profiter ». Et le temps que je réalise ce qui se passe, elle est à genoux en train d’ouvrir ma braguette. Je prononce des paroles confuses mais elle ne m’écoute pas et sors mon sexe déjà bien réveillé. Elle commence à jouer avec sa bouche, le passe sur sa joue, le branle avec dextérité avant de l’engloutir sans ménagement.
Mon corps frissonne de plaisir, je n’ai plus de contrôle sur les évènements. Cette petite salope est en train de me sucer alors que n’importe quel collègue pourrait venir à l’improviste et nous surprendre.
« Non arrête Clothilde, j’ai… » ah qu’est-ce qu’elle suce bien ! « j’ai une… »
« Une envie de me mettre ce sale foutre au fond de ma gorge ? » me coupe-t-elle en me lançant un regard de défi. Elle replonge la tête sur ma bite qui ne tarde pas à éjaculer. Je pousse un grognement que j’essaie de dissimuler pour ne pas alerter mes collègues. Clothilde vient s’assoir sur mes genoux, ouvre sa bouche grande ouverte et me dis :
« Ton foutre est sacrément bon, dès que j’en aurai envie tu gicleras si tu ne veux pas que notre petite interlude s’ébruite ».
Assise sur mes genoux elle peut sentir que ma bite bien qu’ayant capitulé est prête à repartir pour un assaut encore plus intense. Elle fait courir la main sur son ventre et la fait pénétrer dans sa culotte. Je ne peux malheureusement rien voir car elle a gardé son jean et je ne peux qu’imaginer la douceur de sa chatte suintante de désir. Elle se doigte quelques secondes à me fixant et ressort son majeur trempé pour le mettre dans ma bouche. Je le suce comme un automate, ayant perdu pied avec la réalité de ce qui m’entoure. Elle retire son doigt, se lève et tire mes cheveux en arrière : « Tu es mon jouet Alexandre, tu es là pour mon plaisir. Garde bien cela en tête ». Elle cesse alors de tirer sur mes cheveux et me gifle avec une violence incroyable. « Tu en auras d’autres si tu ne fais pas ce que je t’ordonne ! »
Je me frotte la joue déjà bien rouge et chaude et la regarde avec incrédulité. Prêt à calmer cette petite pute j’ouvre la bouche et… Mais avant que le moindre son ne sorte elle me gifle sur l’autre joue et commence à m’insulter : « Si u crois que tu vas faire la loi ici, tu te trompes, tu n’es qu’un sac à foutre avec lequel je fais ce que je veux » et elle termine sa phrase en m’envoyant une troisième claque sur la joue qui vient de prendre une volée.
Elle se lève, marche vers la porte en roulant son cul rebondi prisonnier de son jean très moulant. Elle ouvre la porte, se retourne et me lance : « Catherine avait raison, tu n’es qu’un salaud qui doit être éduqué. Je te laisse petite merde, elle attend mon rapport ».
La porte se ferme et je sens un grand malaise en moi. Catherine l’a-t-elle envoyée me sucer ? Pourquoi chauffer un mec aussi soudainement et sur son lieu de travail, qui plus est le premier jour ?! A-t-elle vraiment fait du chantage lorsqu’elle m’a menacé d’ébruiter toute la scène ?
Toutes ces questions allaient bientôt trouver des réponses rapidement mais je ne le savais pas encore.
Catherine c’est ma supérieure hiérarchique, une belle femme d’environ 35 ans avec qui j’ai passé un des trois entretiens d’embauche. Strict d’apparence, elle ne m’a pas laissé indifférent et je dois avouer qu’une fois l’entretien terminé je suis rentré chez moi me masturber en pensant à ses gros seins et ses fesses à croquer.
Fini les fantasmes, j’ai du pain sur la planche et je dois donner le meilleur de moi-même pour que ma période d’essai soit concluante.
Vers 11h30 Catherine frappe à la porte de mon bureau encore plus resplendissante que la dernière fois que je lai vue. Le bon adjectif serait « sexy » : un tailleur noir, chemise blanche et chaussure noires à talon. Un collier de perles nacrées et ses cheveux d’ébène tirés en arrière me font le plus grand effet.
« Bonjour Alexandre, vous êtes bien installé ? »
« Oui merci beaucoup Madame Fraioli ». Elle me coupe et me dit, « Appelez-moi Catherine comme tout le monde ici ». « Très bien Catherine, oui Clothilde m’a présenté à tout le monde et s’est bien occupée de moi. »
« Ah oui… elle s’est « bien occupée de vous… » »
La manière dont elle me retourne mes propos et son regard intense qui va de mes yeux à mon pantalon me troublent beaucoup.
« Je, heu… je veux dire qu’elle… a été très serviable ce matin »
« C’est la moindre des choses » me répond-elle. « Je n’ai pas passé des mois à éduquer cette petite salope pour rien ».
J’ouvre de grands yeux et ouvre la bouche avec un air de bêtise à l’écoute de propos si inattendus. Elle a bien dit « petite salope ? »
« Ne soyez pas si décontenancé Alexandre, il faut bien appeler un chat un chat, et puis vous verrez assez vite que je ne tiens jamais de propos sans fondement ».
Je la regarde avec toujours un air surpris qui commence à l’agacer.
« Elle se conduit avec beaucoup de liberté surtout quand un beau mâle est dans les parages et que je ne suis pas là pour la surveiller ». Et Catherine quitte on bureau sur ces mots que je n’aurais jamais cru entendre sortir de sa bouche.
Après la pause déjeuner passée avec quatre collègues qui m’ont gentiment invités à leur table habituelle dans un petit restaurant à deux minutes du travail, je reprend la rédaction d’une note que je dois rendre à 18h. Clothilde entre alors dans mon bureau et s’installe sur la chaise en face de mon bureau.
« Je peux te rendre service ? » dis-je
« Oh tu sais, je voulais parler un peu histoire qu’on se connaisse un peu mieux »
« Ah c’est gentil mais j’ai du travail urgent à terminer, on peut prendre un café un peu plus tard cet après-midi si tu veux ».
Elle me répond : « Tu parles de la note sur les nouveaux systèmes de conformité ? Catherine m’a demandé de te dire à ce sujet que… »
Tout en parlant elle se lève et vient à côté de moi et se penche sur mes dossiers. Tout en faisant mine de chercher un document en particulier dont je n’ai jamais eu connaissance elle fait glisser sa main gauche sur ma chemise et descend jusqu’à l’entre jambe. Une fois sa main posée sur mon sexe, elle me dit « peu importe ces nouveaux systèmes, allons à l’essentiel ». Interloqué, j’arrive quand même à enlever sa main mais elle commence à s’agripper à mon cou. Je tente de la repousser lorsqu’elle revient à la charge et replace sa main sur mon pantalon. Malgré le tissu je peux sentir sa paume et ses doigts chauds et il n’en faut pas plus pour m’exciter.
« Tu bandes déjà mon cochon » me dit-elle à l’oreille d’une voix sensuelle. « Il serait dommage de ne pas en profiter ». Et le temps que je réalise ce qui se passe, elle est à genoux en train d’ouvrir ma braguette. Je prononce des paroles confuses mais elle ne m’écoute pas et sors mon sexe déjà bien réveillé. Elle commence à jouer avec sa bouche, le passe sur sa joue, le branle avec dextérité avant de l’engloutir sans ménagement.
Mon corps frissonne de plaisir, je n’ai plus de contrôle sur les évènements. Cette petite salope est en train de me sucer alors que n’importe quel collègue pourrait venir à l’improviste et nous surprendre.
« Non arrête Clothilde, j’ai… » ah qu’est-ce qu’elle suce bien ! « j’ai une… »
« Une envie de me mettre ce sale foutre au fond de ma gorge ? » me coupe-t-elle en me lançant un regard de défi. Elle replonge la tête sur ma bite qui ne tarde pas à éjaculer. Je pousse un grognement que j’essaie de dissimuler pour ne pas alerter mes collègues. Clothilde vient s’assoir sur mes genoux, ouvre sa bouche grande ouverte et me dis :
« Ton foutre est sacrément bon, dès que j’en aurai envie tu gicleras si tu ne veux pas que notre petite interlude s’ébruite ».
Assise sur mes genoux elle peut sentir que ma bite bien qu’ayant capitulé est prête à repartir pour un assaut encore plus intense. Elle fait courir la main sur son ventre et la fait pénétrer dans sa culotte. Je ne peux malheureusement rien voir car elle a gardé son jean et je ne peux qu’imaginer la douceur de sa chatte suintante de désir. Elle se doigte quelques secondes à me fixant et ressort son majeur trempé pour le mettre dans ma bouche. Je le suce comme un automate, ayant perdu pied avec la réalité de ce qui m’entoure. Elle retire son doigt, se lève et tire mes cheveux en arrière : « Tu es mon jouet Alexandre, tu es là pour mon plaisir. Garde bien cela en tête ». Elle cesse alors de tirer sur mes cheveux et me gifle avec une violence incroyable. « Tu en auras d’autres si tu ne fais pas ce que je t’ordonne ! »
Je me frotte la joue déjà bien rouge et chaude et la regarde avec incrédulité. Prêt à calmer cette petite pute j’ouvre la bouche et… Mais avant que le moindre son ne sorte elle me gifle sur l’autre joue et commence à m’insulter : « Si u crois que tu vas faire la loi ici, tu te trompes, tu n’es qu’un sac à foutre avec lequel je fais ce que je veux » et elle termine sa phrase en m’envoyant une troisième claque sur la joue qui vient de prendre une volée.
Elle se lève, marche vers la porte en roulant son cul rebondi prisonnier de son jean très moulant. Elle ouvre la porte, se retourne et me lance : « Catherine avait raison, tu n’es qu’un salaud qui doit être éduqué. Je te laisse petite merde, elle attend mon rapport ».
La porte se ferme et je sens un grand malaise en moi. Catherine l’a-t-elle envoyée me sucer ? Pourquoi chauffer un mec aussi soudainement et sur son lieu de travail, qui plus est le premier jour ?! A-t-elle vraiment fait du chantage lorsqu’elle m’a menacé d’ébruiter toute la scène ?
Toutes ces questions allaient bientôt trouver des réponses rapidement mais je ne le savais pas encore.
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