Mon entrée dans la vie active - 2e partie
Récit érotique écrit par Alexandresoumis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 3 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Alexandresoumis ont reçu un total de 28 011 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 8 974 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mon entrée dans la vie active - 2e partie
17h45 : la note sur laquelle j’ai travaillé toute la journée est terminée. Je me dépêche de l’envoyer par email à Catherine pour rentrer me détendre après une longue et inattendue première journée. Heureusement, rien à signaler depuis le passage de Clothilde dans mon bureau. Je n’ai qu’une envie, retrouver ma copine avec qui je dois sortir diner pour fêter mon premier jour. Mes désirs attendront… Catherine vient juste de répondre à mon mail et me demande de venir la voir dans son bureau.
- Passez dans mon bureau avant de partir. Votre première journée a dû être riche en expériences et nous devrions en parler.
Message lapidaire mais qui n’annonce rien de bon. Clothilde a dû tout lui raconter et même inventer des choses aussi folles que cette petite salope venue m’allumer.
Je me rends donc dans le grand bureau de Catherine et marche dans l’open space où Clothilde me déshabille du regard et passe lentement sa langue entre ses lèvres. Je n’ai jamais vu une nympho pareil. Je fais semblant de ne rien remarquer et frappe à la porte de Catherine.
- Entrez, asseyez-vous et mettez-vous à l’aise
- Merci, je suppose que vous souhaitez parler de la note sur les systèmes de conformité ?
- Oui mais ce n’est pas le plus important… Clothilde m’a dit que vous avez commencé à bien vous intégrer au groupe.
- Ah oui, Estelle, Luc, Kader et Jean-Pierre ont eu la gentillesse de m’inviter à déjeuner.
- C’est en effet, sympathique. Il faut que vous soyez à l’aise chez nous pour que le travail soit bien fait.
- Oui.
-D’ailleurs il semble que vous n’ayez aucun mal à ce sujet si j’en croire les dires de Clothilde…
- Heu… oui, enfin heu… je ne suis pas sûr de comprendre.
-Hé bien cet après-midi, dans votre bureau.
Je suis extrêmement gêné, Clothilde a donc tout dit à Catherine et je ne sais plus si je dois admettre ou nier tout en bloc. Je sens le regard inquisiteur de Catherine qui se pose désormais sur mon entre jambes.
- Ce qui se passe entre vous deux ne me regarde pas du moment que vous faites ce qu’on vous demande. Défoncez-lui le cul autant que vous voulez mais restez discret. N’oubliez pas que vous êtes sur un strapontin. Il serait dommage de devoir quitter un poste comme le vôtre juste parce que vous ne gardez pas votre bite dans votre pantalon.
- Heu, ce n’est pas exactement ce qui s’est passé. En fait, Clothilde est venue…
- Peu importe ! Me dit-elle d’un ton très autoritaire. Cette pute a un appétit insatiable, mettez certaines limites sinon il sera trop tard. Je lirai votre note demain. Au revoir !
Pris de court je ne peux que lui dire au revoir et repartir tout penaud.
En jetant un coup d’œil par-dessus mon épaule je vois Catherine pétrir son sein gauche avec sa main droite. Vraiment ? Ai-je bien vu ? Est-elle aussi perverse que Clothilde ?
Je repasse devant le bureau de cette dernière mais elle est déjà partie. Pas de geste déplacé à subir cette fois…
Je prends mes affaires et quitte d’un pas pressé ce lieu devenu si étrange.
Après une demi-heure de transport, je suis enfin chez moi. Ma copine, Christina, arrive quelques minutes plus tard et me demande comment s’est passée ma journée.
- Heu… pas mal, rien d’exceptionnel tu sais.
- Qu’est-ce que tu as fait ? Tu as fait la connaissance de tes collègues, ils sont sympas ?
Si j’ai fait connaissance ? Oui ! Il y a même la nympho de la boîte qui m’a sucé comme une reine. Une pipe comme rarement j’en ai eu même si Christina n’est pas une débutante en la matière.
- Heu… oui chérie mes collègues sont sympas et plutôt prévenants. Il y a une bonne ambiance générale…
- Très bien, c’est important. Tu es prêt à aller diner dans notre resto fétiche ?
- Je sais qu’on avait prévu de sortir mais je préférerais qu’on reste tranquille ce soir.
- Tranquille ? Mais je ne vais pas te laisser tranquille ! J’ai pensé à toi toute la journée. Quand je t’ai vu dans ton costume ce matin cela m’a donné des envies très vicieuses toute la journée… Pas de resto mais tu t’occupes de moi !
Tout en parlant elle m’a pris les mains et me les as plaquées sur ces seins fermes. J’adore ses seins. Elle arrive toujours à les mettre bien en valeur. Ok, ce n’est pas très difficile avec un 90 C mais quand elle joue de ses attributs il est impossible de lui résister.
- Lèche-moi, fesse-moi j’ai été vilaine Alexandre !
Je déchire son chemisier, enlève sa jupe sans ménagement et commence à la fesser tout en pressant son sein droit. Ses tétons durcissent après quelques secondes de ce traitement et je la sens prête à s’abandonner complètement ce soir.
- Tu as été vilaine ? Tu connais le tarif pour ce genre de comportement !
Je la pousse et enlève mon pantalon sans coup férir. Une grosse bosse est visible sous mon boxer. Christina se rue sur mon engin tout dur et je presse sa tête fortement contre moi.
- Ah tu sais y faire avec les pipes ! Aaaahhh, continue allez… Aahhh
Elle peine à respirer mais c’est trop bon. Je ne cesse de penser à ma première pipe de la journée et à cette salope qui m’a giflé. Je m’en occuperai plus tard !
- Aahhh c’est bien ne t’arrête pas.
Je joue avec les seins de Christina pendant qu’elle me suce et imagine que ce sont ceux de Catherine. Je suis sûr que cette pétasse s’est caressée alors que je n’étais même pas encore sorti de son bureau. D’un coup je retire ma bite de la bouche avide de ma copine et lui dit de se mettre à quatre pattes sur le canapé.
- Tu te conduis comme une chienne ce soir. Tu vas voir ce que je fais aux chiennes comme toi !
Et sans autre forme de préliminaire j’enfonce ma verge dans son cul serré.
- Ah ça fait mal !
- C’est toi qui l’a voulu alors maintenant ferme-là !
Je commence mon travail de va et vient en pensant à Catherine. Je m’imagine en elle en train de la soumettre. Quelle pute ! Si elle croit me mener par le bout du nez elle se trompe.
- Oui défonce-moi ! Remplis mon trou de sale chienne !
Est-ce Christina qui me supplie ou mon esprit qui imagine Catherine ? J’évacue toute ma colère sur Christina qui jouit à deux reprises avant que je ne laisse échapper mon sperme dans son cul.
- Je vois que le travail te donne de la vigueur. J’avais peur que tu rentres épuisé, me dit-elle avec un large sourire.
- Non chérie, pour toi j’ai toujours de l’énergie à revendre même si je suis crevé.
Demain je mettrai les points sur les « i » au bureau et me ferai respecter de la nympho de Clothilde et de l’autre pute autoritaire qui hante mon esprit.
- Passez dans mon bureau avant de partir. Votre première journée a dû être riche en expériences et nous devrions en parler.
Message lapidaire mais qui n’annonce rien de bon. Clothilde a dû tout lui raconter et même inventer des choses aussi folles que cette petite salope venue m’allumer.
Je me rends donc dans le grand bureau de Catherine et marche dans l’open space où Clothilde me déshabille du regard et passe lentement sa langue entre ses lèvres. Je n’ai jamais vu une nympho pareil. Je fais semblant de ne rien remarquer et frappe à la porte de Catherine.
- Entrez, asseyez-vous et mettez-vous à l’aise
- Merci, je suppose que vous souhaitez parler de la note sur les systèmes de conformité ?
- Oui mais ce n’est pas le plus important… Clothilde m’a dit que vous avez commencé à bien vous intégrer au groupe.
- Ah oui, Estelle, Luc, Kader et Jean-Pierre ont eu la gentillesse de m’inviter à déjeuner.
- C’est en effet, sympathique. Il faut que vous soyez à l’aise chez nous pour que le travail soit bien fait.
- Oui.
-D’ailleurs il semble que vous n’ayez aucun mal à ce sujet si j’en croire les dires de Clothilde…
- Heu… oui, enfin heu… je ne suis pas sûr de comprendre.
-Hé bien cet après-midi, dans votre bureau.
Je suis extrêmement gêné, Clothilde a donc tout dit à Catherine et je ne sais plus si je dois admettre ou nier tout en bloc. Je sens le regard inquisiteur de Catherine qui se pose désormais sur mon entre jambes.
- Ce qui se passe entre vous deux ne me regarde pas du moment que vous faites ce qu’on vous demande. Défoncez-lui le cul autant que vous voulez mais restez discret. N’oubliez pas que vous êtes sur un strapontin. Il serait dommage de devoir quitter un poste comme le vôtre juste parce que vous ne gardez pas votre bite dans votre pantalon.
- Heu, ce n’est pas exactement ce qui s’est passé. En fait, Clothilde est venue…
- Peu importe ! Me dit-elle d’un ton très autoritaire. Cette pute a un appétit insatiable, mettez certaines limites sinon il sera trop tard. Je lirai votre note demain. Au revoir !
Pris de court je ne peux que lui dire au revoir et repartir tout penaud.
En jetant un coup d’œil par-dessus mon épaule je vois Catherine pétrir son sein gauche avec sa main droite. Vraiment ? Ai-je bien vu ? Est-elle aussi perverse que Clothilde ?
Je repasse devant le bureau de cette dernière mais elle est déjà partie. Pas de geste déplacé à subir cette fois…
Je prends mes affaires et quitte d’un pas pressé ce lieu devenu si étrange.
Après une demi-heure de transport, je suis enfin chez moi. Ma copine, Christina, arrive quelques minutes plus tard et me demande comment s’est passée ma journée.
- Heu… pas mal, rien d’exceptionnel tu sais.
- Qu’est-ce que tu as fait ? Tu as fait la connaissance de tes collègues, ils sont sympas ?
Si j’ai fait connaissance ? Oui ! Il y a même la nympho de la boîte qui m’a sucé comme une reine. Une pipe comme rarement j’en ai eu même si Christina n’est pas une débutante en la matière.
- Heu… oui chérie mes collègues sont sympas et plutôt prévenants. Il y a une bonne ambiance générale…
- Très bien, c’est important. Tu es prêt à aller diner dans notre resto fétiche ?
- Je sais qu’on avait prévu de sortir mais je préférerais qu’on reste tranquille ce soir.
- Tranquille ? Mais je ne vais pas te laisser tranquille ! J’ai pensé à toi toute la journée. Quand je t’ai vu dans ton costume ce matin cela m’a donné des envies très vicieuses toute la journée… Pas de resto mais tu t’occupes de moi !
Tout en parlant elle m’a pris les mains et me les as plaquées sur ces seins fermes. J’adore ses seins. Elle arrive toujours à les mettre bien en valeur. Ok, ce n’est pas très difficile avec un 90 C mais quand elle joue de ses attributs il est impossible de lui résister.
- Lèche-moi, fesse-moi j’ai été vilaine Alexandre !
Je déchire son chemisier, enlève sa jupe sans ménagement et commence à la fesser tout en pressant son sein droit. Ses tétons durcissent après quelques secondes de ce traitement et je la sens prête à s’abandonner complètement ce soir.
- Tu as été vilaine ? Tu connais le tarif pour ce genre de comportement !
Je la pousse et enlève mon pantalon sans coup férir. Une grosse bosse est visible sous mon boxer. Christina se rue sur mon engin tout dur et je presse sa tête fortement contre moi.
- Ah tu sais y faire avec les pipes ! Aaaahhh, continue allez… Aahhh
Elle peine à respirer mais c’est trop bon. Je ne cesse de penser à ma première pipe de la journée et à cette salope qui m’a giflé. Je m’en occuperai plus tard !
- Aahhh c’est bien ne t’arrête pas.
Je joue avec les seins de Christina pendant qu’elle me suce et imagine que ce sont ceux de Catherine. Je suis sûr que cette pétasse s’est caressée alors que je n’étais même pas encore sorti de son bureau. D’un coup je retire ma bite de la bouche avide de ma copine et lui dit de se mettre à quatre pattes sur le canapé.
- Tu te conduis comme une chienne ce soir. Tu vas voir ce que je fais aux chiennes comme toi !
Et sans autre forme de préliminaire j’enfonce ma verge dans son cul serré.
- Ah ça fait mal !
- C’est toi qui l’a voulu alors maintenant ferme-là !
Je commence mon travail de va et vient en pensant à Catherine. Je m’imagine en elle en train de la soumettre. Quelle pute ! Si elle croit me mener par le bout du nez elle se trompe.
- Oui défonce-moi ! Remplis mon trou de sale chienne !
Est-ce Christina qui me supplie ou mon esprit qui imagine Catherine ? J’évacue toute ma colère sur Christina qui jouit à deux reprises avant que je ne laisse échapper mon sperme dans son cul.
- Je vois que le travail te donne de la vigueur. J’avais peur que tu rentres épuisé, me dit-elle avec un large sourire.
- Non chérie, pour toi j’ai toujours de l’énergie à revendre même si je suis crevé.
Demain je mettrai les points sur les « i » au bureau et me ferai respecter de la nympho de Clothilde et de l’autre pute autoritaire qui hante mon esprit.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alexandresoumis
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...